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Billets récents Des villesentreprises pour supporter la croissance des géants des hautes technologies OCTOBRE 25, 2016
Des dispositifs créatifs pour se réapproprier l’espace urbain OCTOBRE 10, 2016
Panmela Castro, un street art dévoué à la cause des femmes Publié le 24 AOÛT 2016
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Vert Marine, des équipements sportifs bien gérés pour les collectivités OCTOBRE 3, 2016
Sur le mur de la favela, le dessin d’une femme aux lèvres pulpeuses et aux formes généreuses attire immanquablement
Des téléphériques urbains en Ile de France d’ici cinq
le regard des passants. De ses beaux yeux coulent pourtant des larmes de sang. Cette œuvre fait partie des dizaines de peintures signées Anarkia Boladona, nom d’artiste de cette brésilienne de 35 ans, militant inlassablement pour la cause féminine.
Défense et illustration du droit des femmes
ans SEPTEMBRE 28, 2016
selon son humeur, d’une douceur acidulée ou d’une violence extrême rappellent que, chaque jour, au Brésil et partout dans le
Theaster Gates ressuscite les quartiers désœuvrés de Chicago
monde, des femmes sont victimes de mauvais traitements et que, parfois, elles en meurent.
SEPTEMBRE 12, 2016
Depuis plus de quinze ans, Panmela Castro arpente sans relâche les rues de Rio afin de transmettre son message. Cette militante a très tôt choisi son combat et cela par la force des choses : victime de violences au sein de sa famille, la jeune artiste n’a de cesse de se battre pour que le droit des femmes soit enfin reconnu et appliqué. Ses œuvres sont capables d’être,
Panmela Castro, un street art dévoué à la cause
Panmela Castro : enfance de l’art Son père, selon ses propres dires, était un « ignorant et un machiste ». Ce milieu familial très conservateur s’avérait lourd et étouffant. Pour exprimer sa rébellion, l’adolescente issue des quartiers désœuvrés tague le mot « anarchie » (Anarkia) sur les
des femmes
murs de Rio. Son attitude d’alors, colérique et indocile, lui vaut quant à elle le surnom de « Boladona ». Son nom d’artiste était
AOÛT 24, 2016
né.
Rennes Métropole : les quartiers historiques de la
Incontestablement douée pour le dessin, la jeune femme se tourne alors vers les BeauxArts sans pouvoir se conformer aux règles strictes imposées par ses enseignants. La rue lui laisse carte blanche et c’est sur ses murs que son talent peut librement mûrir et s’exprimer. Avec toutefois des limites : si le milieu des graffeurs se révèle plus ouvert, elle n’en demeure pas moins l’une des rares femmes à faire partie de sa bande d’artistes. Elle décide alors d’abandonner le simple tag pour se lancer dans la fresque murale, seule capable, selon elle, de véhiculer un message fort : la défense du droit des femmes.
ville font peau neuve AOÛT 16, 2016
Opération saleté : The Ugly Indian entreprend d’améliorer la propreté des rues en Inde AOÛT 5, 2016
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