ortfolio
2018
Pauline Lhuillier Architecte D.E pauline_lhuillier@hotmail.fr 0607616797
Pauline Lhuillier Architecte D.E pauline_lhuillier@hotmail.fr 0607616797
* Dessin réalisé dans le cadre du projet «Pleins & Vides»
Formation Février 2018 : Diplôme d’Architecte d’Etat, mention bien Septembre 2015 à Juin 2017 : 1ère et 2ème années de Master à l’ENSA-V (Ecole Nationale Supérieure d’Architecture de Versailles) Septembre 2012 à Juin 2015 : 1ère, 2ème et 3ème années de Licence à l’ENSA-V Septembre 2011 à Juin 2012 : Année préparatoire, section « Architecture/ Design » à LISAA Paris (L’Institut des Arts Appliqués) Septembre 2010 à Juin 2011 : 1ère année de Licence en biologie (préparation aux écoles vétérinaires) à Paris 7-Diderot Juin 2010 : Diplôme du Baccalauréat général scientifique (avec mention), série S, mention assez bien
Expériences Professionnelles Septembre 2017 : Assistante montage d’exposition à La Maréchalerie, centre d’art, à Versailles Février à Juillet 2016 : Stage en architecture dans l’agence LRS à Genève Octobre à Janvier 2015 : Serveuse cafétéria de l’ENSA-Versailles Septembre 2015 : Stage dans l’agence d’architecture Moatti-Rivière à Paris Juin à Juillet 2014 : Stage cabinet d’architecture dans l’agence Jaouen & Raimbault à Vitré Avril 2013 : Stage « de chantier » en architecture dans la société Art du Bois à Rennes
Logiciels
Langues
Intêrets
Autocad Vectorworks Photoshop Illustrator Indesign Stechup Rhinocéros Archicad Artlantis V-Ray
Français Anglais Allemand
Equitation Tennis Running Dessin Peinture Voyages (Iran, Turquie, Suisse, Congo,
Namibie, Afrique du Sud, Egypte, Sénégal, Indonésie, Chine, Canada, Belgique, Allemagne, Italie, Portugal, Angleterre, Irlande, Pays-Bas, Etats-Unis)
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* Dessin réalisé réalisé dans du du projet * Montage dansle lecadre cadre PFE«Pleins & Vides»
PFE La halte : complexe d’équipements publics
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Projets d’école Trait d’union : logements et équipements publics
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L’envers d’Ispahan : infrastructures publiques
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Plongeon dans la nappe : logements collectifs
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Bercy taupinière : base secrète militaire
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Pleins & Vides : centre intergénérationnel
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Concours The car that rocks : 120 heures 2018
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Mémoire L’empreinte, langage architectural : thèse
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Projet d’agence CSGenève : bureaux
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PFE Dirigé par N.PHAM avec E.ANKOU
Anvers est une ville portuaire flamande de Belgique où l’eau peut y être considérée comme une infrastructure au même titre que les réseaux (autoroutiers, ferroviaires). Les usages et les foncions liés à cette infrastructure « eau » ne profitent qu’à l’activité portuaire et laissent pour compte l’aménagement et l’appropriation des berges par ses habitants. Le sujet de ce mémoire de PFE se place exactement autour du Lobroekdock, un bassin aujourd’hui désaffecté rattaché au canal Albert. Il se trouve être à la confluence du centre-ville anversois, de ses banlieues Nord-Est et d’Eilandje. Ce dock se trouve
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sur le parcours du canal reliant le port industriel et commercial du XXème siècle d’Anvers à Lièges et à l’hinterland belge. Il est entre ville et port. L’objet de ce projet consiste à proposer un lieu de transit aux bateliers au sein de la ville, à la rencontre de ceux qui la pratiquent au quotidien, le temps d’une halte. L’infrastructure abritant divers usages et programmes est au service d’un nouveau lieu de rencontre et de sociabilité sur les traces d’une infrastructure autoroutière, le Ring, qui sera prochainement enterrée selon le Master Plan 2020 d’Anvers.
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La halte
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MASTER 1 Dirigé par N.PHAM «Habiter-travailler» à Montreuil, telle est la règle dans cette intervention : faire cohabiter l’espace de vie et l’espace de travail, tout en repsectant le contexte dans lequel elle s’inscrit. La réponse à cette demande est un projet reliant ces deux types d’espaces dans un même objet. Il s’inscrit dans un îlot très ouvert et poreux. Le bâtiment se place dans une porosité non qualifiée et non appropriée permettant ainsi de redonner sens et qualité au reste et à l’intérieur de l’îlot. Le projet se décompose en 3 strates de programmes visibles depuis la rue : un espace partagé d’accueil en rez-de-chaussée, une école de danse aux 2
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niveaux supérieurs, surmontés enfin de 3 étages de logements. Tous les accès et espaces de circulation sont rassemblés dans une « tranche » côté cours intérieure. Cette tranche de distribution transparente, dans laquelle un ensemble d’escaliers s’acheminent et se croisent, est composée d’une structure métallique répondant au style industriel de l’îlot.
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Trait d’union
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MASTER 2 Dirigé par J-P.CALORI & B.AZIMI avec C.DAUTANCOURT
Anciennement «ville jardin» Ispahan fait face a un problème majeur d’assèchement de son fleuve, le Zayandeh Rud, rendant tous les équipements et le réseau de canaux d’eau ou djoubs qui y sont reliés aujourd’hui obselètes. L’objet de ce projet est de proposer une nouvelle lecture de la ville, en redonnant sens et vie à l’un des djoubs dans le Sud d’Ispahan. Etant aussi une ville marquée par le traffic important de véhicules, l’intérêt de ce projet est de proposer une nouvelle mobilité (piétonne), de désenclaver des tissus anciens et de renforcer le parcours tout au long de ce djoub. Ce parcours est marqué par une
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continuité de sol et l’aménagement de deux projets : une place publique dotée d’un équipement d’assainissement des eaux en guise de point de départ, et une «passerelle ruban» englobant un théatre existant à ciel ouvert en guise de point final.
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L’envers d’Ispahan
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1.1100 1.1100
1.500 1.500
1.1100 1.1100
Camille DAUTANCOURT & Pauline LHUILLIER
L’ENVERS D’ISPAHAN L’ENVERS D’ISPAHAN
Camille DAUTANCOURT & Pauline LHUILLIER
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1.1100
1.500
L’ENVERS D’ISPAHAN
1.500
L’ENVERS D’ISPAHAN 1.1100 1.1100
Camille DAUTANCOURT & Pauline LHUILLIER
Atelier P45 Iran Bita Azimi & Jean Patrice Calori & Olivier Rigal Atelier P45 Iran Bita Azimi & Jean Patrice Calori & Olivier Rigal
1.500
1.1100
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L’ENVERS D’ISPAHAN L’ENVERS D’ISPAHAN
Camille DAUTANCOURT & Pauline LHUILLIER
Atelier P45 Iran Bita Azimi & Jean Patrice Calori & Olivier Rigal Atelier P45 Iran Bita Azimi & Jean Patrice Calori & Olivier Rigal Camille DAUTANCOURT & Pauline LHUILLIER
Atelier P45 Iran Camille DAUTANCOURT & Pauline LHUILLIER Bita Azimi & Jean Patrice Calori & Olivier Rigal Atelier P45 Iran Bita Azimi & Jean Patrice Calori & Olivier Rigal
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L’ENVERS L’ENVERS D’ISPAHAN D’ISPAHAN
Camille DAUTANCOURT & Pauline LHUILLIER Camille DAUTANCOURT & Pauline LHUILLIER
Atelier P45 Iran Bita Azimi & Jean Patrice Calori & Olivier Rigal
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1.333
1.333
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LICENCE 3 Dirigé par S.DELHAY & E.COMBAREL avec C.PICAULT, C.VIAL & M.BRISSAC
L’élaboration d’un grand ensemble de logements par le regroupement de 4 projets passe par une idée commune. Cette idée est celle d’une pièce, de 3,6x3,6m, devenant l’élément répété d’une immense trame et dictant le plan de tous les logements. Ces derniers deviennent un assemblage de pièces, qui eux-même assemblés, forment une nappe et une barre respectant ce principe tramé. Les 4 projets sont répartis de façon à ce que chacun constitue une partie dans la nappe et dans la barre. L’essence de la contribution au grand ensemble qui suit, est de marquer chacune des pièces dans un logement, en coupe, en définissant
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au préalable chaque hauteur sous plafond de chaque pièce comme un ensemble de règles à respecter. Ainsi le passage d’une pièce à l’autre induit un changement de niveau permettant : la création d’un mobiler fixe en escalier, des vues et des ambiances singulières.
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Plongeon dans la nappe
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3,2
3,2
2,3 2,3
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3,2
2,3
3,2
2,3
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LICENCE 3 Dirigé par F.CHOCHON
avec C.PICAULT & R.LEBRETON
Imaginez la transformation de Bercy et de son parc, qui s’étend devant le stade, en véritable nid d’espions. Le projet « transformers » a eu pour but l’étude d’un bâtiment plus ou moins contemporain de notre choix dans la région parisienne et d’en transformer complètement sa nature. Pour cet exercice de détournement, quoi de mieux que d’utiliser le complexe de Bercy, connu pour ses grands spectacles et évènements ludiques, à des fins beaucoup plus sérieuses voire secrètes (base militaire et camp d’entraînement). La forme octogonale qui émerge du sol a été la première piste de cette idée de véritable taupinière.
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Bercy taupinière
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SP31_P.LHUILLIER_C.PICAULT_R.LEBRETON
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LICENCE 3 Dirigé par F.CHAS & L.MACHET avec C.DAUTANCOURT & C.HANS
La réalisation d’un quartier de centre intergénérationnel implique de nombreux éléments programmatiques et équipements. La réflexion menée pour ce projet porte sur la mise en relation de tous ces éléments, à travers les notions de plein & de vide: Le plein étant l’ensemble des espaces clos, couverts (logements, crèche, bureaux…) s’ouvrant différemment sur les vides qui sont des espaces à ciel ouvert et de rassemblement. Les vides sont 4 places publiques singulières: un jardin, un amphithéâtre, une place urbaine avec un escalier monumental doté de gradins et une place familiale plus intime avec des jeux pour enfants.
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Pleins & Vides SCHÉMAS // PROGRAMMES GROUPE 11 // CAMILLE DAUTANCOURT - CAROLINE HANS - PAULINE LHUILLIER
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PRODUCED BY AN AUTODESK EDUCATIONAL PRODUCT
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N
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CONCOURS 120 Hours avec C.DAUTANCOURT & M.RECOURSE
Dans un monde où règnent technologie, efficacité et applications sur smartphone, quelle place reste-t-il à l’interaction? Tous les jours des milliards de personnes prennent les transports en commun. Tous deviennent alors des voyageurs, égaux, au moment où ils pénètrent un wagon. Tous sont concentrés sur leur téléphone plutôt que sur les gens qui les entourent. Imaginez ce même wagon, vide, où pendant un court laps de temps, les voyageurs deviennent des prisonniers volontaires d’une pièce où il n’y aurait plus de barres, plus de sièges, ni de recoins où s’isoler. À quoi vous raccrocheriez-vous au prochain virage, secousse?
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The car that rocks
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MEMOIRE Dirigé par C.CHEVRIER Ma volonté dans l’élaboration de mon Mémoire a été de développer le thème de la matière. Il me semble que le rôle d’un architecte est de formaliser une réponse à un contexte particulier, un projet en lien avec un site et qui le respecte. Dans ma pratique de l’architecture, visuelle, physique ou de projet, j’ai toujours été sensible à la réponse au sens du lieu et à la façon dont la matière peut dialoguer avec le site. L’utilisation d’un matériau, peut s’apparenter à un langage, qui raconte l’histoire du lieu et permet d’en comprendre le sens. La dialectique entre un matériau et sa mise en œuvre comme langage
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architectural peut ainsi devenir la réponse au sens du lieu. Dans cette notion de langage il y a deux aspects : ce que l’on voit dans la façon dont le bâtiment est construit ; et ce que l’on nous donne à lire (qui s’écarte de la technique et de la façon dont il a été construit). C’est sur ce deuxième aspect que se concentre mon Mémoire. Suite à l’analyse de certains bâtiments en Suisse, mon travail au sein de l’agence LRS Architectes à Genève et ma rencontre avec les architectes de l’agence Bassicarella, mon étude généralisée des matériaux s’est concentrée plus précisément sur celle du béton.
L’empreinte, langage architectural Le béton, pour ces propriétés de matière informelle, nécessite d’autres formes pour exister (un moule, un banchage). C’est ainsi qu’est apparue la notion d’empreinte. Les empreintes sont des figures réalisées par impression en relief ou en creux sur d’autres formes. Elles deviennent des images, racontent l’histoire d’un contexte et marquent à jamais son existence. Ces empreintes sont devenues le sujet de mes expériences et de mes productions plastiques. Avec ce processus de béton « empreinté » j’ai tenté d’exprimer une mise en œuvre particulière
de la matière, qui possède grâce aux empreintes, un caractère unique, répondant à un lieu, s’octroyant une véritable identité. L’empreinte est devenue le coeur de ma réflexion sur le projet architectural et son rapport au lieu. J’en suis arrivée au point de me demander si l’empreinte ne pouvait-elle pas devenir à son tour langage architectual ? Car si l’enjeu de l’architecture est de répondre au site, au contexte, la solution ne serait-elle pas d’en prendre l’empreinte?
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PROJET AGENCE LRS Dirigé par A.ROBBE & M.LOSANA CSG, futur siège du Fonds mondial, marque l’entrée du secteur des Organisations Internationales à Genève. Sa forme de trèfle, morphologie plissée et tripartite, qui engage au rayonement, lui vaut aussi le nom de «Trèfle campus santé». Le bâtiment exprime une architecture conjuguant poésie, simplicité, efficacité et transparence. La conservation du cadre verdoyant du site et sa considération dans l’implantation reflète une démarche respectueuse de l’environnement. L’expression de la façade, en acier inox colinal, est animée par un jeu de bandeaux horizontaux, qui
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s’élargissent progressivement. Sa géométrie ne privilégie pas d’orientations et offre ainsi des expositions et des points de vues différents à chaque étages. Le rez de chaussée dessine un socle répondant au dénivelé du site créant différents parcours et niveaux. En coupe le projet propose une stratification de programmes: aux rezs inférieur et supérieur, un ensemble de fonctions semi-publiques telles que l’entrée, les salles de réunions, les coffee points, l’auditorium, la cafétéria, ainsi que la bibliothèque. Aux sept niveaux supérieurs sont installés des espaces de travail, bureaux, cuisines et sanitaires.
CSGenève
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Pauline Lhuillier 65, Boulevard Exelmans 75016 Paris 04.12.1992 06 07 61 67 97 pauline_lhuillier@hotmail.fr