RDP MARS 2022

Page 1

REVUE DE PRESSE MARS 2022


Sommaire Ces modèles vous feront aimer l’électrique !

3

Profession Paysagiste - 01/03/2022

Les nouveaux pulvérisateurs Pellenc EOLE 2000 et 3000 pour un traitement maîtrisé

6

Terres de Cognac - 01/03/2022

Pulvérisation : les nouveautés sur le marché

7

Terres de Cognac - 01/03/2022

AEM Specialty Crop Leadership Group Members Weigh in on Sector’s Present, Future

9

aem.org - 31/03/2022

The mechanization sweet spot in the vineyard

12

goodfruit.com - 31/03/2022

Corso di potatura dell'ulivo, tappa a Torella dei Lombardi

14

avellinotoday.it - 29/03/2022

Pellenc

15

La Provence Marseille - Marseille - 28/03/2022

Viticoltura, come far fronte alle sfide del cambiamento climatico

16

Agronotizie.Imagelinenetwork.com - 25/03/2022

Des porte-outils pour un bon débit de chantier

18

reussir.fr - 23/03/2022

La taille rase de précision, une solution à la crise ?

22

L'Avenir Agricole & Viticole Aquitain - 16/03/2022

Désherber mécaniquement et chimiquement en un seul passage

24

Réussir L'Agriculteur Charentais - 04/03/2022

Motoseghe gamma Selion di Pellenc

27

olivoeolio.edagricole.it - 02/03/2022

NUOVO FORMAT Stress test tagliasiepi

29

gardentv.it - 01/03/2022

Pellenc déploie son activité de conseil et d'ingénierie

30

Réussir Vigne - 01/03/2022

Des porte-outils pour un bon débit de chantier

31

Réussir Vigne - 01/03/2022

P.2


PAYS :France

DIFFUSION :(2000)

PAGE(S) :44-46 SURFACE :267 % PERIODICITE :Mensuel

1 mars 2022 - N°123

CES MODELES

vous feront aimer l’électrique

!

nette croissancedes outils à batterie, confirmée par Axema* et le Secimpac**, s’explique par la qualité de l’offre actuelle, à la fois plurielle et singulière. Les fabricants font évoluer leurs standardset proposent des nouveautésaux caractéristiques remarquées(autonomie, légèreté...). La

En voici

quelques-unes.

n réponse aux besoins actuels exprimés par les utilisateurs professionnels, toutes les catégories de matériels sont désormais concernées par l'électrification. Les industriels l'ont bien compris, et malgré les tensions encore prononcées la supply chain, de nouveaux matériels à batterie ne cessent de sortir des usines, remplaçant ainsi progressivement les premières générations.

E

Pourles sols Plusieurs fabricantssesont déjà fait une solide réputation dansla fourniture de plaquesvibranteset de pilonneusesà batterie.On pense,bien évidemment, à l’entrepriseWacker Neuson, également connue pour ses mini pelles et dumpers à batterie. Ou bien encore au constructeurBomag, qui vient de lancer la pilonneuse électrique BT 6oe,aussipuissanteque son homologue thermique. Une petite révolution. Mais d’autres sociétés misent sur l’électrification d’une catégoriebienparticulière : les découpeuses, appeléeségalement disqueuses. Sur cesegment, Stihl afrappé un grand coup en 2019 avec le modèle TSA 230, première découpeuse à batterie du marché.Poids affiché : 3,9 kg ! Contreenviron 10 kg pour lesmodèlesthermiques.Point fort : cettemachine délivre une puissanceéquivalenteà seshomologuesthermiques d’entrée de gamme. D’autres fabricants s’y sont mis depuis, à l’exemple de Cramer, réputé pour l'ensemble de sesoutils portatifs à batterie. En effet, la marque proposeaujourd’hui la découpeuse 82PC300 (82 V), d'une puissancede 3,5 kW. Grâce à son disque diamant de 300 mm et saprofondeur de coupe de 100 mm, il est possible de trancher n'importe quel matériau,notamment du béton et des pavés en pierre reconstituée.Les utilisateurs apprécient aussi son poids, plutôt léger (5,7 kg à vide), son autonomiesuffisante (jusqu’à 40min moteur allumé en continu) et sesfaiblesémissions sonores (moins de 90 dB). Ce qui représenteune avancée majeure pour cettecatégoriede produits.

Cramerpropose une disqueuse à batterie : le modèle 82PC300 (82 V) de 3,5 kW. Son disque en diamant de 300 mm de diamètre peut tourner pendant près de 40 min avecune seule charge.

Parmi les différents outils qui peuvent équiper la poignée Powercoup PW3 du constructeur Infaco, le lamier double possède une longueur de 60 ou 70 cm. L’ensemble poignée-lamier. d'un poids de 3,7 kg, génère 3 200 coupes/min. Son autonomie est de 15 h (avec une

batterie dorsale L850B).

Pour les feuilles En matière de taille-haies à batterie, l’offre est pléthorique. Husqvarna, Kress, Echo, EGO, Pellenc et bien d'autresproposent actuellement ce genred'outils (y compris sur perche pour les travaux en hauteur). Cependant,certains ont mis au point une poignée multifonctions, sur laquelle il est possible d’intégrer divers accessoires : un guidede tronçonneuse,une scie,un lamier... C’est le cas de la poignée Powercoup PW3 du constructeur Infaco, pouvant intégrer un lamier double de 60 ou 70 cm, adaptable également sur une perche (fixe de 93 cm ou télescopiquede 110/165 cm). Les caractéristiques de cet outil sont tout à fait comparablesaux modèles thermiques : une vitesse de 3 200 coupes/min,une puissancede près de 1 400 W... Seuls le poids (moins de 3,7 kg) et, indirectement, les vibrations ressentiesau niveau desmains et despoignets, diffèrent. Autonomie affichée : 2 à 3 h (avec une batterie F3010) etjusqu'à 15 h (avec une batterie dorsale L850B). Après les opérations de taille, l'inévitable entrée en scène des souffleurs pour regrouper les feuilles (et autres déchets). Là encore, les modèles à batterie sont nombreux. Dernièrement, le fabricant Stiga aprésenté le souffleur BL 900e. Alimenté par sa batterie E 475 de 48 V et 7,5 Ah et associé au nouveau harnais dorsal BH 900e, ce souffleur de 900 W travaille sans relâche pendant près de 120 min. Et sansdépasserles 92 dB. Le volume d’air généréest de 15,8 m3. De quoi soulever aisémentles feuilles et autresdéchetsverts, même humides. Poids net del’outil : 2,7 kg. Ce qui explique, en partie,les faibles vibrationsressenties(moins de 2,5 m/s2).

Tous droits de reproduction réservés

P.3


PAYS :France

DIFFUSION :(2000)

PAGE(S) :44-46 SURFACE :267 % PERIODICITE :Mensuel

1 mars 2022 - N°123

Pourles branches

Dans cette catégorie, on retrouve le constructeur Infaco, l’inventeur du sécateur électrique, avecson modèle de référence Electrocoup F3O15. Léger (790 g en main), qui intègre différents kits (standard, medium, maxi) pour sectionner, respectivement, desdiamètres de 40,45et 55 mm. Dernière innovation apportée sur ce modèle : l’option DSES Wireless. Concrètement, dès que la tête de coupe entre en contact avec la peau,la réouverture de la lame du sécateur sedéclencheinstantanément. L’accident peut ainsi être évité. Ce nouveau système de sécurité sansfil se compose d'une gâchette conductrice qui réalise la liaison entre le corps de l’utilisateur et le système électronique (breveté) du sécateur. Le secteur des tronçonneuses et élagueusesà batterie innove sans cesse également. Exemple chez Stihl, avec les nouvelles tronçonneuses MSA 300 et les élagueuses MSA 220 T. Notons que ces dernières sont les plus puissantes proposées actuellement par la marque. Elles sont équipées de série de dispositifs de coupes professionnels à gouges carrées adaptés à leur utilisation : une chaîne Stihl 325' Rapid Super Pro (RS Pro) pour la MSA 300, qui offre performances et qualité de coupe ; une chaine Stihl 3/8" Picco Super 3 (PS3)pourla MSA 220 T, qui offre d’excellentes performances de coupe tout en minimisant le niveau de vibrations et le rebond. Associée au guide-chaîne léger Stihl Light P04, la qualité de coupe de lachaîne est optimale et le 'broutage' des branches est limité. L’énergie nécessaire au fonctionnement de la MSA 220 T, qui ne pèseque 2,7 kgà vide, est fournie par une batterie lithium-ion de 36 V. Une batterieAP 300 S offre uneautonomie allant jusqu’à 29 minutes,soit l’équivalent de 260 coupes dans du bois d’épicéa équarri de 10 x 10 cm. Le bruit généré est inférieur à 100 dB. Toutes les donnéessont compilées sur unboîtier de commande innovant.

30%

Alimenté par le nouveauharnais dorsalet sabatterie E 475 de 48 V et 7,5 Ah, le souffleur BL 900e de Stiga est autonome pendant près de 120 min.

nouvelles élagueusesMSA 220 T de Stihl intègrent un guidechaîne Stihl Light P04, supportant une chaîneStihl 3/8" Picco Super 3 (PS3) à gouges carrées. La coupe est nette et le broutage' des branchesest réduit. Les

de poids en moins pour les débroussailleuses à batterie par rapport aux versionsthermiques.

Pourl'herbe Jamais les tondeuses à conducteur marchant et à batterie n’ont fait autant d’émules. Cette catégorie de matériels est effectivement très disputée par les fabricants. Les nouveautés sontnombreuses.Et fonctionnelles, celavasans dire. Parexemple, Husqvarna, qui se concentre en parallèle sur ses robots de tonte, vient de dévoiler la tondeuse mulching à batterie LB553IV. Ses principales caractéristiques : une résistance IPX4 (possibilité de travailler sous la pluie), un carter de coupe en aluminium de 53 cm, desjantes en aluminium, une interface numérique, deux emplacements de batterie (possibilité de rajouter un adaptateur pour intégrer une batterie dorsale),le système Bioclip® qui broie finement l’herbe sous lecarter, un guidon réglage sur le côté... Autre modèle, proposé cette fois-ci par Milwaukee depuis mars 2022 : la tondeuseautotractée M18 Fuel à double batterie Capable de tondre ou mulcher jusqu'à 2 000 m2 de terrain par charge, mais aussi d’éjecter latéralement les déchets de coupe depuis son carter en acier de 53 cm, cette machine offre une excellente productivité. La hauteur de tonte est réglable de 2,5 à 10 cm (7 niveaux). Un bac de ramassagede 70 L est également disponible. Des phares LED sont même proposés à l'avant de la machine pour travailler lorsque le jour décline. De son côté, l’entreprise Solvert distribue lestondeuses Recycler® de la marque Toro, ayant déjà fait leur preuve sur le terrain. Equipéesd'une batterie L405de 7,5 Ah, cesmachines sont capables de tondre 1600 m2 en une seulecharge.A noter que cestondeuses de 55 cm delargeur de coupe bénéficient de latechnologie Smart Power™, adaptant automatiquement le régime moteur aux conditions de tonte.

Disponible depuis mars 2022, la tondeuseautotractée Ml8 Fuel à double batteriede Milwaukee est capable de fondre ou mulcher jusqu'à 2 000 m! de terrain par charge, mais aussi d'éjecter

de

Tous droits de reproduction réservés

P.4


PAYS :France

DIFFUSION :(2000)

PAGE(S) :44-46 SURFACE :267 % PERIODICITE :Mensuel

1 mars 2022 - N°123

Husqvarna présentela tondeuse mulching à batterie LB553IV, qui intègre deux emplacementsde batteries (un adaptateurpermet d'intégrer une batterie dorsale). Classée IPX4, elle peut travailler sous la pluie.

Dans la catégorie supérieure, les autoportées s’électrisent aussi (cf. Espace Public et Paysage n°2i8). Si un ou deux modèles étaientdisponibles sur le marché il y a ne serait-ce que deux ou trois ans, les versions à batterie se démocratisent largement à l’heure actuelle. L’arrivée de la marque américaine Mean Green surle marché français, avec sesautoportées autonomes pendant près de 8 h, explique en partie cet engouement. Mais d’autres fabricants, connus pour leurs outils portatifs à batterie, se sont lancés dansl’aventure. C'est l’exemple de Stiga,Cramer, Cub Cadet et EGOnotamment. Ce dernier propose en effet la zéro turn Z6, d’une largeur de coupe de 107 cm à éjection latérale. Pour rappel, ce modèle,équivalent à une version thermique de 22 cv, s'équipe des mêmes batteries (jusqu’à6 au total) qui alimentent les outils portatifs de la marque. Enfin, les herbes hautessont également soumises à l’action des outils à batterie, notamment des débroussailleuses, comme celles proposées par Pellenc. Exemple : la débroussailleuse Excelion 2, adaptée aux opérations intensives et 30 % plus légère qu'une version thermique. Au travail, elle génère 6 600 tours/min pendant près de 4 h d’affilée si besoin (avecune batterie 1500). Plusieurs têtes de coupe sontdisponibles selon les travaux à effectuer : ’tap eut 3' pourla végétation dense, ‘couteau broyeur' pour les broussailles hautes, city eut’ pour désherber sans projections, ‘couteaux tridents et bilames’ pour faucher broussailles et arbustes, et ‘scie à dents douces' pour sectionner de gros calibres. Ce qui plait aussi sur cette machine ? La poignée ‘intelligente’, regroupant desinformations pertinentes (autonomie restante, alerte ‘défaut’, message de maintenance...).Au regard de l’offre actuelle, complétée par cette débroussailleuse à batterie high tech, travailler en silence, en toute sécurité et avecl’assurance d'un travail bien fait, est désormais possible. A chaque usage correspond son matériel à batterie ! ?Syndicat des industriels del'agroéquipement ??Syndicat des entreprises internationales de l’outillage portatif et des consommables.

La débroussailleuseExcelion 2 de Pellenc travaille pendant près de 4 h d’affilée (avec unebatterie 1500). Cinq têtes de coupe sont disponibles : ici tap eut 3' pour la végétation dense.

La zéro turn

16 du constructeurEGO a la puissanced’une version thermique de 22 cv. Cette machine s’équipe des mêmesbatteries (6 au total) qui alimentent lesoutils portatifs de la marque.

Station de recharge Premier systèmeà plateau proposele premier système de charge de batterie Développéen partenariatavec l’équipementierautomobile bott, le bottTainersefixe au plateau d'un camion porteur et permet de rechargerles packsde batteries et les batteriesdorsales du système Stihl

à usage mobile.

Stihl AP via les chargeurs multiples Stihl AL 301-4. Les professionnels peuventrechargerjusqu'à 28 batteries sur site. Cetéquipement est disponible en trois versions:

avec deux (petit modèle), quatre (modèle standard) ou sept (grand modèle) chargeurs multiples pouvant accueillir chacun quatre batteries. Une prise centrale permet de le raccorder au réseauélectrique domestique 230 V. Le bottTainer grand modèlepeut également fonctionner sur un réseautriphasé 400 V.

Equipées d'une batterie L405 de 7,5 Ah, les tondeusesRecycler®

de

capables de

en

seule charge.

Tous droits de reproduction réservés

P.5


PAYS :France

DIFFUSION :(1500)

PAGE(S) :25 SURFACE :15 % PERIODICITE :Bimestriel

Cliquez ici pour voir la page source de l’article

1 mars 2022

Les nouveaux pulvérisateurs Pellenc EOLE 2000 et 3000 pour un traitement maîtrisé Les nouvelles versions de l'EOLE proposent des capacités de 2 000 et 3 000 litres permettant aux utilisateurs de bénéficier d'un meilleur débit. Ces configurations sont disponibles pour vignes étroites (1. 30 à 2, 00 m) et vignes larges (2, 00 m à 3, 60 m). Directement intégré dans le pupitre du porteur, le système DPAE (Débit Proportionnel à l'Avancement Électronique), permet de travailler avec un débit qui se régule automatiquement en fonction de la vitesse d'avancement. En fonction du modèle, le pulvérisateur comprend 6 ou 8 descentes face par face, avec chacune 5 à 6 diffuseurs actifs modulables et des buses antidérive pour un travail de précision. L'utilisateur n'a qu'à saisir les données concernant la dose à appliquer, la largeur de l'inter-rang, ainsi que le nombre de buses. La sécurité de l'opérateur a également été optimisée. Un incorporateur de produit permet de préparer la bouillie depuis le sol et des rince bidons ont été intégrés, avec une cuve embarquée de 350 litres d'eau claire. Une nouvelle aide à la conduite est également proposée sur la nouvelle gamme EOLE avec l'ajout de 3 caméras et 3 feux à leds, pour plus de visibilité.

MISE EN OEUVRE CENTRALISÉE Poste de mise en oeuvre· Permet de contrôler la mise en oeuvre d'EOLE entièrement depuis le sol. · Ce panneau regroupe les vannes et commandes pour l'ensemble des fonctions du pulvérisateur. · Un mémo intuitif des fonctions permet de positionner les vannes en toute simplicité. lncorporateur de produit· Permet de préparer la bouillie en toute sécurité depuis le sol. · L'incorporation peut être effectuée simultanément avec le remplissage. · Cuve de gros volume (40L) et graduée. · Rince bidon intégré. ■

0ssgiMFEi3KTlqajBk9kXOzG-n_qowVk9WCGay2BbVFhgNA2iy9TcOwOw91MhdtxzYTll

Tous droits de reproduction réservés

P.6


PAYS :France

DIFFUSION :(1500)

PAGE(S) :24 SURFACE :25 % PERIODICITE :Bimestriel

Cliquez ici pour voir la page source de l’article

1 mars 2022

MATÉRIEL

Pulvérisation : les nouveautés sur le marché CHABASDU PNEUMATIQUE AU JET PORTÉ EN QUELQUES CLICS Passer de la pulvérisation pneumatique au jet porté (et inversement) en quelques clics et quelques secondes sans quitter son siège : c'est ce que propose Chabas avec l'option Click Zone. Piloté depuis un boîtier en cabine, le système s'appuie sur un double circuit avec des buses antidérive d'un côté et des diffuseurs de l'autre : l'opérateur n'a pas à sortir de cabine et encore moins à toucher de vannes manuelles. Un jeu de vannes motorisées permet de passer facilement de l'un à l'autre des circuits, notamment pour se mettre en conformité avec les contraintes réglementaires des ZNT. Cette option sera proposée sur les machines neuves, mais également adaptée sur des pulvérisateurs existants. PELLENCUN PULVÉRISATEUR 7 RANGS Pellenc HD lance, sur son nouveau tracteur enjambeur 140 de 80 ch, un nouveau pulvérisateur sept rangs, en complément de son modèle 5 rangs. Cet appareil dispose d'une circulation continue et de la technologie de porte-buses à pulsation PWM combinée à des buses à fente classique. Cette technologie de porte-buses permet de couper individuellement chaque buse, donc chaque rang, et de moduler le dosage sur chaque buse

pour l'adapter à la vitesse d'avancement. Le repliage de la rampe sur deux plans différents permet d'avoir un gabarit routier compact. PULVÉRISATION S21LA RAMPE TANGENTIELLE ÉVOLUE Pulvérisation S21 fait évoluer sa gamme de pulvérisateurs tangentiels. Auparavant conçues en inox soudé, ces rampes sont dorénavant construites en aluminium non soudé, tout comme les carters de ventilation redessinés pour améliorer le vortex. Le constructeur conserve le montage des turbines tangentielles à deux modules par côté, les deux modules supérieurs, orientables, étant placés plus en avant pour ne pas interférer avec les modules inférieurs au niveau des flux d'air. Pour le traitement du début de végétation, les modules du haut peuvent être désactivés pour réduire l'utilisation d'huile et la consommation de puissance et de carburant.

NOUVEAU

CHARENTAIS EN PULVÉRISATION VITICOLE La startup Praysbee, installée à Cognac, a fait breveter un nouveau système de pulvérisation appelé Wulp. Entièrement conçu en aluminium, il est équipé de descentes qui ne pèsent que 3 kg. Le principe de pulvérisation n'emploie pas d'assistance d'air et combine d'une part du jet projeté au travers de doubles buses orientables et d'autre part l'oscillation gauche-droite des descentes. Le but est de diminuer la dérive et de favoriser une meilleure pénétration des produits dans la végétation. Les différentes fonctions, ouverture des vannes, angle, oscillation, vitesse, sont gérées par un seul boitier de commande. Le Wulp est disponible en un rang complet, deux demi-rangs ou deux rangs complets. Il est homologué pour des ZNT de trois mètres. r Praysbee dispose de quelques modules pour équiper des pulvérisateurs en deuxième monte en 2022. Les utilisateurs apporteront leur retour d'expérience et participeront à un groupe de réflexion sur l'évolution de la pulvérisation. t l t s Infos : www. praysbee. fr et contact@praysbee. fr

BREVET

0TnK4Ecr4qnh82j40iwpZ0lZ2138RtobTPfXKd9dZycbvp5R-NfprwS-O6pzNn8EKNGMw

Tous droits de reproduction réservés

P.7


PAYS :France

DIFFUSION :(1500)

PAGE(S) :24 SURFACE :25 % PERIODICITE :Bimestriel

Cliquez ici pour voir la page source de l’article

1 mars 2022

Tous droits de reproduction réservés

P.8


PAYS :États-unis

aem.org

TYPE :(Autre)

31 mars 2022 - 12:47

> Version en ligne

AEM Specialty Crop Leadership Group Members Weigh in on Sector’s Present, Future

Specialty crops are among the largest agricultural outputs in the United States today. Accounting for more than 16% of total agricultural output and possessing a market value of approximately $79.8 billion, the importance – and growing prominence – of specialty crops in the wider ag industry can’t be overstated. With that fact in mind, AEM is committed to working with company leaders to better meet the needs, wants and demands of equipment end users who have helped make the specialty crop industry what it is today. This is largely accomplished through the work being done by the association’s Specialty Crop Leadership Group, which works to identify product-related challenges to the specialty crop industry, formulate industry driven solutions, develop and grow awareness of specialty crop-related issues with the general public and governing bodies, as well as identifies means by which AEM may better support this product group. AEM recently spoke with four of the group’s representatives to discuss the future of the specialty crop sector, AEM’s role in its ongoing evolution and much, much more. AEM: There seems to be a wealth of opportunities and challenges facing the specialty crop sector right now. With that in mind, do you feel like there’s reason to expect growth on the horizon in this sector? Why or why not? Pat Abert, President, Pellenc America, Inc.: That’s a pretty tough question. In my opinion, though, there’s reason to be pretty optimistic for the next five years, overall. Generally, in the United States. we’re still lacking mechanization in the industry. I think more mechanization is coming, just because it has to at this point. It’s really just a matter of time. We’re also going to see good longer-term rentals in the future, and we’re already seeing consolidation between larger corporations in our industry. It’s really difficult to tell if, or how, it’ll impact our business. Large companies are trying to run as lean and as efficient possible. And, ultimately, it’s difficult to say how that’ll impact the overall sales and growth.

Tous droits de reproduction réservés

P.9


PAYS :États-unis

aem.org

TYPE :(Autre)

31 mars 2022 - 12:47

> Version en ligne

Also, in my experience, anytime you talk about specialty crop sector, we’re behind the general ag industry. At least, that’s what I’ve seen over the last 30 years. One of the challenges is that, because we are specialty equipment, growers want something very specific. You talk to one customer, they want one thing. Then, you talk to another, and they want something a little bit different. The challenge for companies is to try to put on the market something that they will sell more just a handful of units. I don’t know how that’s going to affect our industry long term, but I really do believe there’s going to be more and more standardization of the specialty crop market over time. Matt Walker, Product Manager, Kubota Tractor Corporation: Overall, I think the next five years will be fairly interesting, as people understand more, and as technology becomes more and more prevalent with time. The consumer is demanding it, and that demand isn’t going to go away. Bigger picture, when you look at the crops that are in this category, demand will continue to be there, and growers will have to react accordingly. Bigger companies have – and will continue to – get involved in the market, and the impacts are going to be interesting to watch as things unfold. Overall, though, I think the outlook is a positive one. AEM: AEM has begun to expand into specialty crops, and work is underway to better serve that sector. Can you speak to the efforts of the Specialty Crop Leadership Group thus far, and also what it’s purpose is moving forward? Walker : As a group, we are trying to put across more balanced viewpoint on the industry and all that entails, as well as serve as a voice to growers and give government agencies that are making decisions more information about the industry as a whole. AEM: In what ways can AEM better serve the specialty crop industry? Abert : When you talk about specialty crops, there’s always concerns about safety. There isn’t a lot of guidance, I would say. If you look at root crops, for example, you’ve got equipment that is custom built, a company is trying to make some modifications, and you’ve got equipment that is being modified by some companies to meet specific needs. There isn’t much out there to help these companies know what they should or shouldn’t include from a safety standpoint. For equipment manufacturers, I think that could be a part of the challenge depending on the regulations that pop up. I’m thinking of specifically California. I think AEM can help guide what is -- and what is not -- required in terms of safety. Jerry Johnson, President and CEO, Smart Guided Systems: I think AEM’s Ag Sector Board should have a seat allocated to a short liner from the specialty crop sector. We brought in dairy in the past, and it helped broaden the discussion among the Board. The large OEMs are broad enough that they cover all markets. But I think if there’s someone from specialty crop represented, and that’s all they do, I think AEM could help that way. AEM: What do you and your organization hope to get out of your involvement with the Specialty Crop Leadership Group, or what do you hope to gain from that experience? Johnson : For me, it’s simple -- knowledge and visibility for us as a startup company and the value we add to growers and OEMs. Walker: It’s about having a presence to show who we are, show that we are invested in the market, and that we are investing in technology for the market. It’s also a good opportunity to learn from and speak to other people in the industry who have different views and experiences. AEM: Let’s say another manufacturer had some questions or interest in contributing to this group. What advice would you give them about getting involved themselves?

Tous droits de reproduction réservés

P.10


PAYS :États-unis

aem.org

TYPE :(Autre)

31 mars 2022 - 12:47

> Version en ligne

Walker: Don’t hold back! We’re all here to learn, and we’re all in the same situation. It’s an important industry. Ask questions, get involved and be curious. Tanner Cady, Product Marketing Manager, New Holland: Be open minded, as we have a whole array of products. And, in order to keep up, listen to your dealers, and listen to your customers. AEM: Imagine someone came to you and asked, “Why do specialty crops matter?” What would you say? Walker: I would say, the next time you hit the bar and have a pint of beer or a glass of wine, or you order a salad, think about where it’s coming from. That is a great way to impact people and show the importance of specialty crops. Cady : Absolutely. We touch everyone in the world, 100%. Abert : I think for me, it’s usually a lot of people have a passion for what we do. I’m not saying others lack passion. But once you enter the specialty crop industry, nothing is black or white. It’s very interesting how things are always changing. I’ve been here for 20 years, and I’ve never been bored. It’s always evolving, and it’s always a challenge. And, to me, ultimately, that’s a good thing. Learn More Want to learn more about AEM’s Ag Leadership Groups and the work being done on behalf of members? Contact AEM Agricultural Services Manager Austin Gellings at agellings@aem.org. For more perspectives from AEM members,

Tous droits de reproduction réservés

P.11


goodfruit.com

PAYS :États-unis TYPE :(Autre)

31 mars 2022 - 13:12

> Version en ligne

The mechanization sweet spot in the vineyard High-end vineyards look for balance between machine and hand pruning. Hector Ochoa preprunes a block of Cabernet Sauvignon with a Pellenc TRP Precision Pruner at Coyote Canyon Vineyard near Alderdale, Washington, where farm supervisors have settled into a mixture of mechanical and hand labor to prune for efficiency and grape quality. Labor is expensive, no question. And Coyote Canyon Vineyards liked the idea of taking care of their winter pruning with a machine. In theory. However, after a few years of trial and error, the high-end Washington wine grape producer has pulled back from mechanical pruning to leave some work for its skilled hand crew, seeking a balance between the machine and man. “We are planning on mechanization to facilitate for our crew,” said Todd Chapman, vineyard manager for the 1,300-acre Horse Heaven Hills business. Coyote Canyon uses a Pellenc TRP mechanical pruner that worked as efficiently as the vineyard hoped. Guided by a light bar that follows the cordon, horizontal overlapping blades cut vertical shoots to a desired height, while mulching blades help remove the tall growth from trellis wires. During prepruning, Ochoa sets the blades of the Pellenc 10 inches above the cordon, intentionally leaving some decisions for the company’s skilled hand pruners. However the cordon ended up pushing congested uprights that led to inconsistent sun exposure and air flow, resulting in a canopy that was harder to manage later in the year, Chapman said. The next year, Chapman and his supervisors had to lower the blades to make up for it, each year getting closer and closer to the cordon and removing quality fruit positions for the upcoming spring. It saved time and money one year but cost extra time and money the following years. “It was a mistake,” said Tony Flores, a crew supervisor. But, Coyote Canyon didn’t abandon the machine. Chapman instead instructed his operators to raise the horizontal blades a good 10 inches above the cordon and “preprune” with the Pellenc to clear away a lot of the long canes. The operators also make a pass with the drum-shaped shoot thinner for winter cane removal. (The vineyard also uses the shoot thinner in the spring to clean the undersides of the cordon, again, to make access easier for hand crews.) The machine removes a lot of rubble, a task that chews up a lot of time for hand crews. It’s also dangerous. Those hand crews instead focus their energy on carefully choosing and preparing the right fruiting positions for the upcoming season. Depending on variety, Coyote Canyon likes each shoot between 4 and 6 inches apart with two to three buds on each. After prepruning, veteran employee Adela Ramos hand prunes a block of Merlot to leave spurs roughly 6 inches apart, each with two buds. Chapman praises the skill and speed of his hand pruners; they quickly and cleanly work a block nearly to perfection. He pays them piece rate — some of them work out to $250 per day. Hand labor is more expensive, but combining it with the machine saves him money in the long run, he said.

Tous droits de reproduction réservés

P.12


goodfruit.com

PAYS :États-unis TYPE :(Autre)

31 mars 2022 - 13:12

> Version en ligne

Meanwhile, the mechanical pruners don’t work on all varieties and training systems. Old vines are sometimes so hard and woody that the blades won’t cut through them. And the vineyard has some that are so high-end, only hand labor will do, Chapman said. Pellenc also makes a prepruner for the work Chapman describes. Coyote Canyon is ordering one that can do two rows at a time. Chapman said they plan to sell one of the vineyard’s two TRPs and keep the other “in our back pocket.” The economics of vineyard labor could continue to change, especially with Washington’s staggered overtime mandate that began this year. Washington State University research favors the use of mechanical pruning in general, said Jim Harbertson, a professor of enology at the Wine Science Center in Richland. One-year comparisons of fruit phenolics, sensory profiles and alcohol levels in wines made from mechanically pruned grapes showed little difference from hand-pruned controls. “These wines really weren’t that different from each other,” Harbertson said in mid-February at a convention hosted by the Washington Winegrowers Association. “I think you can move forward, and yes, you can mechanically prune.”

Tous droits de reproduction réservés

P.13


avellinotoday.it

URL :http://www.avellinotoday.it PAYS :Italie TYPE :Web Grand Public

29 mars 2022 - 08:43

> Version en ligne

Corso di potatura dell'ulivo, tappa a Torella dei Lombardi

Economia Torella dei Lombardi Continua la formazione di personale qualificato dedito alla potatura dell'ulivo. La lezione si è tenuta presso l'azienda Biancaniello Rosa Iandiorio 29 marzo 2022 09:53 Continua incessante la formazione di AprolCampania sulla potatura dell'ulivo per formare figure professionali che sappiano valorizzare le cultivar del territorio e le eccellenze olearie campane. Lo sviluppo delle aziende agricole dedite alla coltivazione dell'olivo ha infatti ampliato l’esigenza del comparto di avvalersi di personale esperto e maggiormente aggiornato sulle tecniche legate all'aspetto della potatura, fondamentale nella coltivazione dell'ulivo. Rosa Iandiorio 29 marzo 2022 09:53 Continua incessante la formazione di AprolCampania sulla potatura dell'ulivo per formare figure professionali che sappiano valorizzare le cultivar del territorio e le eccellenze olearie campane. Lo sviluppo delle aziende agricole dedite alla coltivazione dell'olivo ha infatti ampliato l’esigenza del comparto di avvalersi di personale esperto e maggiormente aggiornato sulle tecniche legate all'aspetto della potatura, fondamentale nella coltivazione dell'ulivo. "Siamo stati presenti, insieme a Coldiretti Avellino , sabato 26 Marzo a Torella Dei Lombardi (AV), presso l' Azienda Agricola Biancaniello - scrive Aprol Campania Massima partecipazione da parte degli aspiranti potatori, che grazie alla presenza di Pellenc Italia , azienda leader nella progettazione e vendita di attrezzature per le colture arboree, hanno potuto mettersi davvero alla prova, confrontandosi con le più innovative tecniche ed attrezzature del settore".

Tous droits de reproduction réservés

P.14


PAYS :France

DIFFUSION :117057

SURFACE :2 % PERIODICITE :Quotidien

28 mars 2022 - Edition Marseille

INDUSTRIE

Pellenc De nombreux et divers postes en CDI, CDD ou alternance sont à pourvoir sur la région d'Aix-en-Provence : ingénieur mécanique, technicien prototypes, monteur assembleur, gestionnaire de paie, développeur informatique... Pour candidater www. pellenc. com/fr-fr/jobs ■

0DVjNdFFuHiFO8_nc9zYe0fKYYbaJlahlhY0MMl1PQd_eIn-cpODa3emLMq_qcj84ZTYw

Tous droits de reproduction réservés

P.15


Agronotizie.Imageli

URL :http://agronotizie.imagelinenetwork.com/ PAYS :Italie TYPE :Web International

25 mars 2022 - 09:01

> Version en ligne

Viticoltura, come far fronte alle sfide del cambiamento climatico Sarà possibile preservare la qualità delle uve a fronte del surriscaldamento del Pianeta? Se ne è parlato nel corso di "Un giro di vite", il convegno organizzato dalle Donne della Vite

Per fronteggiare il global warming evoluzione tecnologica e sostenibilità ambientale saranno ancor più indissolubilmente legate (Foto di archivio) Fonte foto: © riebevonsehl - Adobe Stock Sarà possibile preservare la qualità delle uve a fronte del surriscaldamento del Pianeta? Una risposta positiva, almeno nell'immediato, potrà giungere da una diversa interpretazione di alcune tecniche colturali e dall'adozione di nuove, in modo da gestire gli effetti del cambiamento climatico e cogliere l'occasione per rinnovare gli schemi produttivi preservando la qualità del prodotto in un contesto climatico nuovo per riuscire negli areali "storicamente" vocati a produrre vini a denominazione. C'è bisogno di "Un giro di vite", per dirla con il titolo scelto dalle Donne della Vite per il convegno organizzato nell'ambito di Enoliexpo 2022 a Bari l'11 marzo scorso. "Su questo tema di grande attualità - ha affermato Valeria Fasoli, presidente dell'Associazione - abbiamo chiamato esperti a portare il loro contributo di conoscenza ed esperienza, continuando nel solco dello spirito che contraddistingue Donne della Vite, a comunicare, trasmettere e diffondere cultura nel mondo vitivinicolo, nel rispetto dei principi cardine di una viticoltura sostenibile". "Abbiamo voluto creare un momento di confronto tra esperienze diverse e di dialogo tra percorsi di ricerca e sperimentazione solo apparentemente lontani - ha spiegato la vicepresidente dell'Associazione Donne della Vite e moderatrice del convegno Costanza Fregoni - nella consapevolezza che il cambiamento climatico necessita di uno sforzo congiunto di ricercatori, tecnici e produttori per preservare standard qualitativi del prodotto e competitività del settore". Secondo quanto riportato dall'ultimo Rapporto dell'Intergovernmental Panel for Climate Change (Ipcc), a correre il rischio maggiore sono i Paesi del Sud dell'Europa dove si concentra la vite. Anche nello scenario più ottimistico, che prefigura il

Tous droits de reproduction réservés

P.16


Agronotizie.Imageli

URL :http://agronotizie.imagelinenetwork.com/ PAYS :Italie TYPE :Web International

25 mars 2022 - 09:01

> Version en ligne

contenimento del riscaldamento globale in 1,5 °C nei prossimi venti anni, le conseguenze ambientali, sociali ed economiche saranno gravissime e irreversibili. E non è difficile immaginare quali possano essere gli effetti sulla vite. "Abbiamo molti strumenti per mitigare gli effetti del climate change - ha detto Vittorino Novello dell'Università di Torino e vicepresidente della Commissione Viticoltura dell' Oiv - ma è necessario riesaminare e rivedere alcune tecniche adottate negli ultimi decenni per innalzare la qualità delle uve. Un esempio è la riduzione delle rese che oggi, con aumento di concentrazione zuccherina e calo di acidità delle uve indotti dal riscaldamento globale, diventa un'arma a doppio taglio". La nuova situazione sarà assimilabile a quella dei climi caldo aridi. "In areali viticoli come quello pugliese - ha illustrato Antonio Carlomagno, agronomo di Agriproject - stiamo già affrontando condizioni estreme. Bisogna evitare la standardizzazione dei modelli viticoli ricorrendo al monitoraggio delle variabili meteorologiche su scala aziendale o di comprensorio e servendosi della sensoristica e dei modelli di supporto alle decisioni per perseguire l'uso sostenibile ed efficiente di risorse sempre più rare e preziose come, ad esempio, l'acqua". Per fronteggiare il global warming evoluzione tecnologica e sostenibilità ambientale saranno ancor più indissolubilmente legate. "Una sinergia possibile - ha sottolineato a questo proposito Marcello Salvestrini di Volentieri Pellenc, Azienda del comparto e partner del convegno - grazie a macchine con tecnologie avanzate capaci di ridurre i costi e perseguire la qualità delle uve selezionate con sistemi di precisione. Oltre settanta ingegneri lavorano nel Gruppo Pellenc, in una sorta di comunanza di intenti, per elaborare tecnologie sempre più rispondenti alle esigenze dei viticoltori con uno sforzo costante in termini di innovazione e investimenti in ricerca". Il deserto è un formidabile laboratorio in cui testare sulla vite gli effetti che i cambiamenti climatici hanno o potranno avere sui vigneti di zone non desertiche. "La sperimentazione nel deserto del Negev su vite da vino e su altre colture - ha raccontato Aaron Fait della Ben Gurion University del Negev (Israele) - permette di ottenere modelli per anticipare quella che sarà la condizione in Europa tra venti o trenta anni. Oggi riusciamo, comunque, a produrre vini di qualità, come testimoniano i premi ricevuti. Tuttavia osserviamo una riduzione di rese, in particolare su alcune varietà, che ci porta a prevedere una perdita fino al 60% della produzione con un incremento di temperatura di 2 °C. Stiamo ottenendo buoni risultati sull'omogeneità e sul livello qualitativo delle uve mitigando gli effetti delle alte temperature costanti dei grappoli, anche oltre i 45°C, con reti di diversi colori sulla fascia produttiva e modificando l'architettura della pianta". Il riscaldamento globale detterà inesorabilmente, per quanto si possa mitigarne gli effetti, il profilo futuro dei vini e implicherà anche un cambiamento sociologico. "Muterà l'idea stessa dell'evoluzione e della longevità dei top wine - ha osservato il sociologo Gianmarco Navarini dell'Università Bicocca di Milano - e si modificheranno la valutazione della qualità da parte della critica enologica e, di conseguenza, gli orientamenti dei consumatori. Oggi si registra la tendenza all'intreccio della concezione di qualità del vino con quella di ambiente e, quest'ultima, con il contesto e il territorio di produzione. Nel clima sociale, culturale e intergenerazionale attuale, la nuova posta in gioco della qualità sembra risiedere in questo intreccio, che dal punto di vista della produzione chiama in causa la bellezza di una certa dose di coraggio".

Tous droits de reproduction réservés

P.17


URL :http://www.reussir.fr/

reussir.fr

PAYS :France TYPE :Web Pro et Spécialisé

23 mars 2022 - 08:10

> Version en ligne

Des porte-outils pour un bon débit de chantier

Les constructeurs proposent des porte-outils pour augmenter les débits de chantier, améliorer la qualité de travail ou le confort du chauffeur. Sur les machines à vendanger de types porteurs multifonctions, les porte-outils arrière doubles permettent de réaliser des bons débits de chantier à chaque passage. Dotés de prise de force pour chaque outil, ils contribuent à valoriser les puissances de traction et hydraulique disponibles sur ces automoteurs et aident à les amortir. Lorsque le porteur multifonction est également doté d’un bras avant, il peut réaliser deux, voire trois travaux en même temps. « Certains de nos clients installent une rogneuse un rang plus deux demi-rangs à l’avant et, au choix, deux cultivateurs sur chacun des relevages arrière, s’ils labourent chaque interrang, ou un cultivateur et une tondeuse interrang, s’ils maintiennent l’enherbement un rang sur deux », donne pour exemples Jacques Servoles de Pellenc . Même si on peut y voir attelés des épandeurs d’engrais ou des rampes pour désherber ou épamprer chimiquement, ces porte-outils sont principalement utilisés en travail du sol et à la tonte, des travaux pouvant être réalisés à des vitesses élevées. Rares sont ceux qui y mettent des interceps, éventuellement des roues Kress. Ces appareils proposent un certain nombre d’automatismes qui aident à la conduite. « On ne peut pas avoir l’attention portée sur deux ou trois outils en même temps », justifie Jacques Servoles. Le porte-outil multifonction dispose de palpeurs au sol et latéraux. Les premiers règlent la hauteur de l’outil par rapport au sol : le conducteur a juste à paramétrer la profondeur de travail en début de chantier par rapport à ces palpeurs. Les seconds servent, une fois l’interrang paramétré, à recentrer en permanence l’outil dans l’interrang, corrigeant les écarts de conduite. Certains s’équipent de caméras pour avoir une vue sur les outils. D’autres se limitent juste aux rétros bien positionnés pour contrôler. Un seul chauffeur pour faire le travail de deux Se montant et se démontant en dix à trente minutes, ces porte-outils offrent, outre ceux servant au positionnement de chaque outil, des automatismes de bout de rang

Tous droits de reproduction réservés

P.18


URL :http://www.reussir.fr/

reussir.fr

PAYS :France TYPE :Web Pro et Spécialisé

23 mars 2022 - 08:10

> Version en ligne

qui permettent de simplifier les manœuvres. « Une seule impulsion et on relève tous les matériels », explique Pierre Cayrouse de New Holland. « Les outils sont recentrés sur le châssis et se replient à la verticale s’ils sont pourvus d’un troisième point hydraulique, poursuit Jacques Servoles. Une fois le demi-tour effectué, on appuie sur le même bouton et les outils redescendent et se recentrent dès que les palpeurs touchent les premiers ceps. » Côté tarif, Pellenc et New Holland proposent leurs solutions aux prix respectifs de 26 000 et 60 000 euros. « C’est un frein à l’investissement, constate Pierre Cayrouse, mais dès lors que l’on a un grand parcellaire pour bien valoriser le porte-outil, il y a un bon retour sur investissement. Dans un contexte de pénurie de main-d’œuvre, notamment qualifiée, un bon chauffeur peut faire le travail de deux personnes. » Les heures réalisées avec le porte-outils aident également à l’amortissement du porteur multifonction. Mieux vaut travailler les deux côtés du rang en même temps

Le porte-outils Acolyte 150+ de Boisselet travaille un rang complet et s'appuie sur les palpeurs pour s'autocentrer. © Boisselet Outre les versions sur porteurs multifonctions, il existe également les porte-outils traînés derrière les tracteurs, notamment pour travailler sous le rang

Tous droits de reproduction réservés

P.19


URL :http://www.reussir.fr/

reussir.fr

PAYS :France TYPE :Web Pro et Spécialisé

23 mars 2022 - 08:10

> Version en ligne

, à l’image de l’Acolyte 150 + de Boisselet. « Lorsque nous avons créé cet outil, nous sommes partis d’un constat, dont nous n’avons toujours pas l’explication : travailler simultanément les deux côtés d’un rang réalise un meilleur boulot que faire la même tâche pour chaque demi-rang en deux passages successifs , reconnaît Fabrice Dulor de Boisselet. En d’autres mots, un enjambeur réalisera toujours un travail plus qualitatif qu’un cadre porte-outils interrang bien réglé. » Le porte-outil Acolyte 150 + (pour les vignes de 1,50 m et plus) est donc la transposition traînée d’un enjambeur. Ne nécessitant qu’un tracteur de 50 chevaux, le porte-outil dispose d’une centrale hydraulique composée de trois pompes (débit de 20, 30 et 30 l/min), ainsi qu’une roue motrice à droite, qui a pour vocation de maintenir aligné l’Acolyte qui roule en déporté par rapport au tracteur. « Un potentiomètre piloté par le conducteur donne à cette roue plus de motricité en montée ou moins dans les descentes, explique Fabrice Dulor. Des palpeurs assurent l’autocentrage permanent. Et les roues au milieu de l’interrang procurent de la stabilité aux interceps en termes de profondeur de travail. » Pour les viticulteurs pratiquant l’enherbement un interrang sur deux, l’Acolyte permet de circuler avec le tracteur uniquement dans les interrangs enherbés. Côté débit de chantier, la vitesse d’avancement de l’Acolyte, dont le tarif varie de 30 000 à 45 000 euros selon les équipements, est limitée par ce que permettent les outils interceps. L’Emisol travaille deux rangs en intercep

Le porte-outil Emisol de Forge Boisnier travaille deux rangs complets à chaque passage. © Forge Boisnier Pour avoir davantage de débit de chantier avec des interceps, il n’y a nul autre choix que de multiplier le nombre de rangs travaillés . C’est le choix qu’a fait Forge Boisnier, en développant il y a trois ans l’Emisol. Doté d’un double essieu à voie variable pour s’adapter aux interrangs, le porte-outils traîné dispose de deux portiques pour travailler deux rangs complets et ne circuler que sur les interrangs enherbés. À l’arrière, un relevage et une prise de force permettent d’atteler un outil interrang

Tous droits de reproduction réservés

P.20


URL :http://www.reussir.fr/

reussir.fr

PAYS :France TYPE :Web Pro et Spécialisé

23 mars 2022 - 08:10

> Version en ligne

, une tondeuse par exemple. D’un poids de 2,7 tonnes et doté de deux pompes hydrauliques de 40 et 70 l/min, l’outil connaît un vif succès avec plus de 60 appareils commercialisés ( tarif actuel de 67 000 euros HT ) et répond à la demande de viticulteurs qui veulent du débit de chantier, notamment suite à l’arrêt du désherbage chimique sur le rang. « Certains clients travaillent 650 hectares par an, en quatre passages » , cite pour exemple Adrien Boisnier, le dirigeant. L’appareil dispose d’une gestion de la hauteur des interceps sur chaque descente et d’un recentrage automatique des outils. Destiné aux vignes de 2,20 à 3 m, l’Emisol dispose depuis peu d’un petit frère, le Limasol livré récemment en Anjou, pour les vignes de 1,70 à 2,50 m. « Une version plus musclée, baptisée Emisol Adrien, sortira prochainement de l’atelier, pour les vignes de 2,50 à 3 m, poursuit Adrien Boisnier. Pourvu d’un double châssis pour pouvoir recevoir des décavaillonneuses, il affiche une tonne de plus sur la bascule et intègre le graissage centralisé, un pont moteur, le report de charge, l’Isobus et la gestion de la hauteur par laser. Doté de pompes hydrauliques de 40 et 90 l/min, il pourra recevoir d’autres outils que des interceps, comme des rogneuses, des épampreuses et des rotofils. »

Tous droits de reproduction réservés

P.21


PAYS :France

RUBRIQUE :Technique

PAGE(S) :9

DIFFUSION :(6000)

SURFACE :32 %

JOURNALISTE :Naïs Capdebon

PERIODICITE :Bimensuel

Cliquez ici pour voir la page source de l’article

16 mars 2022

La taille rase de précision, une solution à la crise ? Naïs Capdebon VIGNOBLE Le 3 mars, près de 150 personnes sont venues découvrir la taille mécanique de précision à Mauriac.

Des viticulteurs intéressés sont venus de tout le département.

Les rencontres techniques taille de la Chambre d'agriculture de la Gironde se sont déroulées au sein des vignobles Yon, le 3 mars, à Mauriac. André Faugère, président de l'ADAR des deux rives, précisait le contexte : « la taille rase de précision (TRP) ne fait pas partie du vocabulaire local. Les habitudes AOC puis AOP sont plus calées sur la taille guyot, même si, avec le temps, on a vu arriver la taille en cordon. En réalité, la TRP, c'est l'évolution de la taille en cordon mécanisé. On reste dans le cahier des charges qui nous est imposé en AOP ou en IGP, ce qui est un moyen de s'adapter aux différents marchés et de répondre aux attentes des consommateurs. » Il a poursuivi : « Aujourd'hui, tout le monde est en train de réfléchir à ses coûts de production. Quand on voit les cours dans le commerce, on a des

questions à se poser sur la pérennité de certaines exploitations. Il y a aussi le problème du déficit de main-d'œuvre, spécialement de main-d'œuvre qualifiée. Par ces rencontres, nous essayons de répondre à toutes ces questions. » Rigueur dans l'installation L'installation de la taille mécanique peut se faire sur des vignobles de dix à quinze ans. David Clerdan, conseiller agroéquipement de la Chambre d'agriculture, préconisait une certaine rigueur : « Nous conseillons de remettre un fil à 10 cm environ au-dessus du premier fil du bas pour repartir sur un cordon unilatéral ou bilatéral. Car ce qui est important, c'est d'avoir un rang le plus rectiligne possible. La TRP demande d'avoir une constance des hauteurs de pieds et ce n'est pas le cas actuellement dans la plupart des vignes de Bordeaux. En effet, on a des hauteurs de pieds qui sont différents dans une même parcelle et même si ce n'est que de 5 centimètres, sur une TRP, le résultat sera décevant. » Quelle machine choisir ? Lors de cette rencontre, trois constructeurs étaient représentés : Ferrand, (Ets Ortega, Targon), Provitis (Ets Chambon, Preignac) et Pellenc Bordeaux Charentes. La démonstration s'est déroulée sur une vingtaine de rangs. Les machines étaient toutes équipées de disques scies horizontaux et verticaux, dont la durée de vie est équivalente. Il y a une sécurité d'effacement pour éviter un palissage défectueux. La

principale différence technique est au niveau du guidage automatique, c'est-à-dire de la lecture du cordon par suivi optique. Ferrand et Pellenc proposent le suivi optique, pas Provitis. Pour Florent Renaut, commercial de cette marque : « Le suivi de cordon manuel est accessible à tout le monde. Notre machine est simple, elle n'a pas d'électronique, donc pas de panne, et son coût d'entretien est moindre. Un viticulteur équipé en polyvalence frontale chez Provitis va pouvoir passer à la taille rase à moindre coût 12 : 000 euros et moins de 19 000 euros pour un équipement complet (mât + TRP + commande en cabine). » Autre son de cloche, évidemment, chez Christophe Grisolle, technicien chez Pellenc : « le gros avantage de cette machine est son suivi de cordon. La hauteur de coupe se règle en pas de 5 mm. Seule la partie arrière de la machine va se lever et suivre le cordon, la tête et les scies restent totalement fixes. La vitesse de coupe est de 4 000 tours minutes. » Quelles surfaces consacrer à la TRP ? Selon André Faugère « si on fait appel à un prestataire de services, on peut commencer sur une petite surface. Si on décide d'investir, et afin d'amortir le matériel, on peut décider d'aller plus vite pour la reconversion. » Selon lui, « Passer des travaux d'hiver traditionnels à une technique simplifiée et mécanisée permet d'économiser de 800 à 1 000 euros

04RI-KK1EPs5yysTK9OZ-eiuq8fSUYalshxh_07JNH_jLdtq6zKifOlBm98u6bFLVOTVi

Tous droits de reproduction réservés

P.22


PAYS :France

RUBRIQUE :Technique

PAGE(S) :9

DIFFUSION :(6000)

SURFACE :32 %

JOURNALISTE :Naïs Capdebon

PERIODICITE :Bimensuel

Cliquez ici pour voir la page source de l’article

16 mars 2022

par hectare. » ■

Tous droits de reproduction réservés

P.23


PAYS :France

RUBRIQUE :Pulvérisateurs

PAGE(S) :15

DIFFUSION :(3437)

SURFACE :68 %

JOURNALISTE :Xavier Delbecque

PERIODICITE :Hebdomadaire

Cliquez ici pour voir la page source de l’article

4 mars 2022

Désherber mécaniquement et chimiquement en un seul passage Xavier Delbecque > Le désherbinage sous le rang est une pratique qui suscite l'intérêt des viticulteurs. À la clé, un gain sur le nombre de passages annuels et les doses d'herbicides.

L'Herbiduo de Natur'Agri a été présenté pour la première fois à un groupe de viticulteurs en mars dernier.

A vec la limitation du glyphosate, les solutions de désherbage en vigne s'amenuisent. Depuis quelques années, l'idée d'un désherbage mixte entre travail du sol et solutions chimiques a fait son apparition. Lors du Sitevi 2019, l'entreprise Corteva a présenté son concept Grifherbi : un cadre avec des lames et des disques émotteurs, sur lequel repose une cuve de pulvérisation pour le désherbage ainsi que des buses orientées sur le cavaillon. « Au départ c'est une initiative régionale, d'un de nos commerciaux qui a eu cette idée en voyant que les itinéraires tout chimiques étaient de plus en plus décriés », explique Camille Jouan, responsable produit chez Corteva. « Il s'est rapproché d'un concessionnaire pour lancer un prototype et nous avons décidé de le dévelop-per au niveau national. »

Séduit par le concept, Renaud Cavalier, conseiller en agroéquipements à la chambre d'agriculture du Gard, est venu prêter main-forte pour le développement. « Jusqu'ici l'itinéraire classique dans le bassin méditerranéen consistait à passer un glyphosate associé à un herbicide de prélevée avant le printemps. Mais avec les hivers de plus en plus doux, on constate qu'il y a davantage d'herbe. Dans ce cas, si le glyphosate fait correctement effet, il n'en est pas de même pour l'antigerminatif, qui ne fonctionne pas. Il ne sert strictement à rien s'il est positionné sur de l'herbe », analyse le conseiller. Ne pas repasser l'intercep du printemps Ce dernier a partagé son expertise en matériel viticole avec le chimiste Corteva afin de rendre le prototype de Grifherbi plus efficace et moins onéreux. Avec un objectif en tête : optimiser le placement de l'antigerminatif. L'idée est donc de faire place nette avec l'outil de travail du sol inter-cep, et de positionner le prélevée sur une terre propre et meuble pour une efficience maximale. Ainsi, le sol devient propre et le reste pour trois mois. Car c'est surtout cela l'objectif : gagner du temps à un moment où il y a tout à faire, notamment la protection phyto. Les buses sont placées à 40 cm derrière l'outil afin de déposer le produit sans l'incorporer. Et les jets se recroisent au niveau du cep pour avoir la

même quantité de matière active répartie de façon homogène sur toute la surface. « Les premiers essais menés en 2019 et 2020 sont concluants », assure Camille Jouan. « L'an dernier, notre viticulteur partenaire a fait un passage avec le Grifherbi le 2 avril et a été tranquille jusqu'à la récolte. L'efficacité s'est montrée meilleure qu'avec une application classique de glyphosate associé à du flazasulfuron. » Selon les chiffres de Corteva, l'efficacité à 60 jours a été de 40 % sur ray-grass, 60 % sur morelle, 30 % sur érigéron et 60 % sur laiteron avec un passage chimique couplant glyphosate et flazasulfuron, là où l'on atteint respectivement 60 %, 50 %, 50 % et 70 % d'efficacité avec un travail du sol couplé à un flazasul-furon, et 80 %, 95 %, 90 % et 100 % d'efficacité lors d'un travail du sol couplé à une association de Boa et Cent 7. Pour 2021, Corteva a créé une communauté de viticulteurs équipés (8 dans le Sud-Est, 1 dans le Bordelais et 1 en Bourgogne), afin de multiplier les retours d'expérience. Chacun notera, en comparaison avec sa modalité habituelle, la flore présente, le nombre de passage et le bilan carbone. L'objectif étant d'arriver à gérer le cavaillon avec seulement un travail du sol automnal et un Grifherbi dans l'année, soit deux passages de tracteur. Le Grifherbi n'est pas commercialisé avec le cadre de travail du sol, « ce ne serait pas pertinent car chaque

0FecBNKWxpYi5wzjARdBMWkyaSUazX9MS2ayMPErprawza-jTmi2O_wB86v42ii-BZjI4

Tous droits de reproduction réservés

P.24


PAYS :France

RUBRIQUE :Pulvérisateurs

PAGE(S) :15

DIFFUSION :(3437)

SURFACE :68 %

JOURNALISTE :Xavier Delbecque

PERIODICITE :Hebdomadaire

Cliquez ici pour voir la page source de l’article

4 mars 2022

viticulteur a des besoins spécifiques en matériel », justifie Camille Jouan. Il s'agit donc d'un kit, distribué par Buisard, composé d'une cuve de 98 litres, une pompe de 8 l/min, un régulateur de pression, deux tronçons avec électrovanne, un bloc électrique en cabine et des buses IDKS Lechler (antidérive) montées sur des porte-buses orientables. Il faut compter environ 500 €pour un kit, à monter soi-même. Un résultat satisfaisant En mars 2021, la Coopérative agricole Provence Languedoc (CAPL) a quant à elle présenté l'outil Herbiduo, fruit d'une collaboration entre le distributeur et le fabricant de matériel Hervé & Mauricio (Vaucluse). Les deux entreprises ont conjointement créé la société Natur'Agri, marque détentrice de l'Herbiduo. L'Herbiduo est également un kit, composé d'une cuve de 100 litres (il est possible de monter à 150 ou 250 litres), d'un système de fixation au cadre (démontable), une pompe électrique, un régulateur de pression, une soupape antiretour, un boîtier électrique en cabine et deux systèmes de fixation de buse, montés sur ressorts en cas d'accrochage. À la différence du Grifherbi, le kit de Natur'Agri est monté par la société dans ses ateliers. Le viticulteur peut choisir de le poser sur son propre cadre intercep s'il est équipé, ou bien d'acheter un ensemble en fonction des besoins. Après deux ans d'essais et de développement, Thierry Favier, expert technique vigne à la CAPL, est affirmatif : « le résultat est très satisfaisant, même jusqu'à 120 jours après application ». Il est convaincu qu'un tel système permet de garder des vignes propres avec seulement deux passages dans l'année. « En passant au printemps avec

l'Herbiduo, on fait place nette et l'application de racinaire permet de tenir jusqu'à l'été », dit-il. « Ensuite c'est gagné, particulièrement en contexte méditerranéen. » L'expert prévient toutefois, il faut que le sol soit relativement propre lors du passage de l'Herbiduo, sous peine de positionner le prélevée sur les touffes d'herbe arrachées. Ce qui nécessite impérativement un passage d'intercep à l'automne. « L'avantage est qu'à cette période le viticulteur est plus tranquille. Cet itinéraire évite d'avoir à passer l'intercep quatre à cinq fois au printemps alors qu'il y a déjà tout à faire », argumente Thierry Favier. Un moyen de gagner des points d'IFT herbicide Cela permet aussi de garder l'option du glyphosate, qui sera limité à un seul passage par an à 450 g/L, pour gérer les vivaces qui posent problème ou faire des rattrapages. En termes de matière active à utiliser avec l'Herbiduo, l'expert suggère de partir sur des substances peu dépendantes de la pluviométrie derrière, précisant que le programme doit être étudié en fonction des problématiques du viticulteur, de ses habitudes ou encore de l'âge des vignes. Il préconise également de travailler entre 4 et 4, 5 km/h et à un volume de bouillie de 50 l/ha. « C'est un outil qui a été pensé pour être polyvalent, conclut l'expert. Je pense qu'il sera une option intéressante face aux impasses techniques, mais aussi pour ceux qui entrent dans une démarche HVE et souhaitent réduire leur IFT herbicide car on ne passe plus qu'un seul herbicide et potentiellement à dose partielle. » > Un pulvérisateur 7 rangs Pellenc

Pellenc HD lance, sur son nouveau tracteur enjambeur 140 de 80 ch, un nouveau pulvérisateur sept rangs, en complément de son modèle 5 rangs. Cet appareil dispose d'une circulation continue et de la technologie de porte-buses à pulsation PWM combinée à des buses à fente classique. Cette technologie de porte-buses permet de couper individuellement chaque buse, donc chaque rang, et de moduler le dosage sur chaque buse pour l'adapter à la vitesse d'avancement. Le repliage de la rampe sur deux plans différents permet d'avoir un gabarit routier compact. > La rampe tangentielle évolue Pulvérisation S21

Pulvérisation S21 fait évoluer sa gamme de pulvérisateurs tangentiels. Auparavant conçues en inox soudé, ces rampes sont dorénavant construites en aluminium non soudé, tout comme les carters de ventilation redessinés pour améliorer le vortex. Le constructeur conserve le montage des turbines tangentielles à deux modules par côté, les deux modules supérieurs, orientables, étant placés plus en avant pour ne pas interférer avec les modules inférieurs au niveau des flux d'air. Pour le

Tous droits de reproduction réservés

P.25


PAYS :France

RUBRIQUE :Pulvérisateurs

PAGE(S) :15

DIFFUSION :(3437)

SURFACE :68 %

JOURNALISTE :Xavier Delbecque

PERIODICITE :Hebdomadaire

Cliquez ici pour voir la page source de l’article

4 mars 2022

traitement du début de végétation, les modules du haut peuvent être désactivés pour réduire l'utilisation d'huile et la consommation de puissance et de carburant. ■

Tous droits de reproduction réservés

P.26


olivoeolio.edagrico

URL :https://olivoeolio.edagricole.it PAYS :Italie TYPE :Web Grand Public

2 mars 2022 - 15:13

> Version en ligne

Motoseghe gamma Selion di Pellenc • Notizie dalle aziende Di Olivo e Olio2 Marzo 2022 Facebook Twitter Linkedin Pinterest WhatsApp Email Print Flipboard

Il gruppo Pellenc da oltre 40 anni lavora al fianco degli agricoltori e dei giardinieri professionisti, in modo da progettare e realizzare attrezzature all’avanguardia, in grado di rispondere alle esigenze più specifiche, così da semplificare, velocizzare e rendere più redditizio il lavoro dell’uomo. L’olivicoltura è uno dei mercati fondamentali per Pellenc; dalle forbici da potatura agli agevolatori di raccolta, passando per un’intera gamma di motoseghe professionali, tutto quanto alimentato unicamente dalle batterie multifunzione agli ioni di litio in grado di lavorare in assenza di gas di scarico, con pesi, vibrazioni e ingombri ridotti al minimo. Sia per garantire operazioni di raccolta agevolate e fruttuose, che per ottimizzare gestione e benessere della pianta stessa, risulta fondamentale mettere in atto una potatura precisa e funzionale; per farlo Pellenc ha pensato ad una gamma di motoseghe professionali leggere, ergonomiche precise e potenti. La gamma Selion, comprende: • una motosega ad impugnatura manuale (M12), • una tradizionale (C21) • e due modelli di motoseghe su asta (Selion T)

Tous droits de reproduction réservés

P.27


olivoeolio.edagrico

URL :https://olivoeolio.edagricole.it PAYS :Italie TYPE :Web Grand Public

2 mars 2022 - 15:13

> Version en ligne

e permette di effettuare in sicurezza, da terra e nel totale rispetto di operatore e ambiente, le operazioni di potatura dell’olivo in modo estremamente preciso e professionale.

Disponibile in due lunghezze, fino a 225 cm e fino a 300 cm di altezza, Selion T assicura ergonomia e prestazioni senza paragoni sul mercato; la nuova barra Precision permette di ottimizzare la durata della batteria, aumentando ulteriormente la precisione in fase di taglio. Il motore brushless, progettato e realizzato direttamente da Pellenc, in grado di raggiungere un rendimento fino al 93%, lavora senza parti di sfregamento e con vibrazioni ed emissioni ridotte al minimo; la gestione del flusso dell’olio è invece totalmente regolata dalla scheda elettronica, così da ottimizzarne il consumo e garantire sempre la corretta lubrificazione della catena in fase di taglio.

Torna alla Rassegna dei prodotti per la potatura dell’olivo

Tous droits de reproduction réservés

P.28


gardentv.it

URL :http://gardentv.it/ PAYS :Italie TYPE :Web Grand Public

1 mars 2022 - 09:21

> Version en ligne

NUOVO FORMAT Stress test tagliasiepi

ATTREZZATURE 01-03-2022 Abbiamo testato per un'intera stagione di lavoro il tagliasiepi Helion 2 Pellenc eseguendo solo la manutenzione ordinaria, cioè lubrificando le lame e inserendo del grasso nel corpo motore. Dopo 50 ore di utilizzo intenso abbiamo smontato l'attrezzo per vedere l'usura delle lame e del motore, eventuali parti danneggiate e lo stato della batteria. Con questo nuovo format GardenTV effettua dei test di lunga durata degli attrezzi da giardinaggio, come il tosasiepi, e ne verifica la qualità dopo una prova di lunga durata nel lavoro di giardinieri e manutentori del verde.

Tous droits de reproduction réservés

P.29


PAYS :France

DIFFUSION :(22500)

PAGE(S) :25

JOURNALISTE :Justine Gravé

SURFACE :36 % PERIODICITE :Mensuel

1 mars 2022 - N°293

Pellenc déploie son activité de conseil et d'ingénierie Le groupe Pellenca annoncéle 24 janvier Le groupe mise sur son expertise beaucoup été sollicités à l’étranger dernier lancer une offre de conseil et d'ingénie- vignoble et sa maîtrise des process sur des projets d’implantation de œnologiques pour se différencier vignoble ou de création de cave. rie indépendantede son activité de fabrication d'équipementspour la viticulture et l'œnologie. desbureauxd’études spécialistes du Nous avons une vraie légitimité », ouvelle année, nouveau défi pour le groupe Pellenc qui vient d’officialiser la création d’un département conseil et ingénierie vitivinicole. « Nous disposonsdéjà d’un d’étude interne qui est sollicité pour les projets de création ou LES PROJETS de restructuration de chai. L’idée ACCOMPAGNÉS par est de valoriser nos compétences le bureaud'études et notre savoir-faire en proposant Pellenc n'engagent un accompagnementdécorrélé de aucunement les donotre offre commerciale », expose maines à s'éguiper de matériels conçus Nicolas Bernard, directeur conseil par le fabricant. & ingénierie vitivinicole Pellenc.

N

secteur viticole. « Nous proposons un accompagnement stratégique orienté flux et process.Nous n’intervenons pas sur les parties bâtiment et condiEn cela, notre offre est tionnement. complémentaire de l’existante », juge

Nicolas Bernard.

poursuit le responsable. En outre, le créneaudu conseil est perçu parle groupePellenccomme

stratégique pour accompagner le développement des nouvelles technologiesdans la filière vin. « L’arrivée des outils connectés et de la robotique modifie considérablement

Faciliter l'intégration les schémasde production, illustre des nouvelles technologies Nicolas Bernard. Notre expérience De la définition des marchéscibles métier, de la vigne à la cave, estun aux profils produits, en passantpar atout pour opérer cette transition. » la conduite du vignoble et la gestion A traversson activité de conseil, le des flux logistiques, les axes d’ingroupe assures’adresser« tant aux tervention proposés par le bureau grands producteurs qu’aux petits d’études sont vastes.« Nous avons domaines». cKé Justine Gravé

Tous droits de reproduction réservés

P.30


PAYS :France

DIFFUSION :(22500)

PAGE(S) :28-29

JOURNALISTE :Ludovic Vimond

SURFACE :119 % PERIODICITE :Mensuel

1 mars 2022 - N°293

Des porte-outils pour un bon débit de chantier Les constructeurs proposent des porte-outils pour augmenter les débits de chantier, améliorer la qualité de travail ou le confort du chauffeur.

simplifier les manœuvres. « Une seuleimpulsion et on relève tous les matériels», explique Pierre Cayrouse de New Holland. « Les outils sont recentréssur le châssis et se replient à la verticale s’ils sontpourvus d’un troisième point hydraulique, poursuit JacquesServoles.Une fois le demi-tour

ur les machinesàvendanger LES PORTE-OUTILS de types porteursmultifoncMULTIFONCTIONS tions, les porte-outilsarrière s'adaptent

S

doublespermettent de réaliser

aux reliefs

desbons débitsde chantier et permettent de de réaliser à chaquepassage. Dotésde prise deux opérations force pour chaqueoutil, ils contrisur deux rangs buent àvaloriser les puissancesde en traction et hydraulique disponibles complets un passage. sur ces automoteurs et aident à les amortir. Lorsque le porteur multifonction est égalementdoté d’un bras avant, il peut réaliser deux, voire trois travaux en mêmetemps. « Certains de nos clients installent une rogneuse un rang plus deux demi-rangs à l’avant et, au choix, deux cultivateurs sur chacun des relevages arrière, s’ils labourent chaque interrang, ou un cultivateur et une tondeuse interrang, s’ils maintiennentl’enherbement unrang sur deux », donne pour exemples Jacques Servoles dePellenc. Même si on peut y voir attelésdesépandeurs d’engrais ou desrampes pour désherber ou épamprerchimiquement, ces porte-outils sont principalement utilisés en travail dusol et à la tonte, des travaux pouvant être réalisés

effectué, on appuie sur le même bouton et les outils redescendentet se recentrent dèsque les palpeurs touchentlespremiers ceps. » Côté tarif, Pellenc et New Holland proposent leurs solutions aux prix respectifs de 26 000 et 60 000 euros. « C’est un frein à l’investissement, constatePierre Cayrouse, mais dès lors que l’on a un grand parcellaire pour bien valoriser le porte-outil, il y a un bon retour sur investissement. Dans un contexte de pénurie de main-d’œuvre, notamment qualià des vitesses élevées. Rares sont fiée, un bon chauffeur peut faire ceux qui y mettent des interceps, le travail de deuxpersonnes.» Les heures réalisées avec le porte-outils éventuellementdes roues Kress. Ces appareils proposent un certain aident également à l’amortissement nombre d’automatismes qui aidentà du porteur multifonction. la conduite. « On ne peut pas avoir Mieux vaut travaillerles deux l'attention portée sur deuxou trois outils en mêmetemps », justifieJacques côtés du rang enmêmetemps Servoles. Le porte-outil multifonction Outre les versions sur porteurs muldispose de palpeurs au sol et latéraux. Les premiers règlent la hauteur de l’outil par rapport au sol : le conducteur a juste à paramétrer la profondeur de travail en début de chantier par rapport à ces palpeurs. Les seconds servent, une fois l’interrang paramél'outil tré. à recentrer en permanence dans l’interrang, corrigeant lesécarts de conduite. Certains s’équipent de caméras pour avoir une vue sur les outils. D’autres se limitent juste aux rétros bien positionnés pour contrôler.

il existe également les porte-outilstraînés derrièreles tracteurs, notamment pour travailler sous le rang, à l’image del’Acolyte 150 + de Boisselet. « Lorsque nous avons créé cet outil, nous sommes partis d’un constat, dont nousn’avons toujours pas l’explication: travailler simultanément les deuxcôtés d’un rang réalise un meilleur boulot que faire la même tâche pour chaque demi-rang en deux successifs, reconnaît Fabrice passages Dulor de Boisselet. En d’autres mots, un enjambeur réalisera toujoursun Un seul chauffeur pourfaire travail plus qualitatif qu’un cadre le travailde deux porte-outils interrang bien réglé. » Le Se montant et se démontant en dix à porte-outil Acolyte 150 + (pour les trente minutes, cesporte-outils offrent, vignes de 1,50 m et plus) est donc outre ceux servant au positionnement la transpositiontraînée d’un enjamde chaque outil, des automatismes beur. Ne nécessitant qu’un tracteur de bout de rang qui permettent de de 50 chevaux, le porte-outil dispose tifonctions,

Tous droits de reproduction réservés

P.31


PAYS :France

DIFFUSION :(22500)

PAGE(S) :28-29

JOURNALISTE :Ludovic Vimond

SURFACE :119 % PERIODICITE :Mensuel

1 mars 2022 - N°293

LE PORTE-OUTIL

EMISOLde Forge Boisnier travaille deux rangscomà chaque passage. plets

d’une centrale hydraulique composée de trois pompes (débit de 20, 30 et 30 1/min), ainsi qu’une roue motrice à droite, qui a pour vocation de maintenir aligné l’Acolyte qui roule en déporté par rapport au tracteur. « Un potentiomètre piloté par le conducteur donne à cette roue plus de motricité en montéeoumoins dans les descentes,explique Fabrice Dulor. Despalpeurs assurent l’autocentrage permanent. Et les roues au milieu de l’interrang procurent de la stabilité aux interceps en termes de profondeur de travail. » Pour les viticulteurs pratiquant l’enherbement un interrang sur deux, F Acolyte permet decirculer avec le tracteur uniquementdans les interrangs enherbés. Côté débit de chantier. la vitesse d’avancement de F Acolyte, dont le tarif varie de 30000 à 45000 eurosselon les équipements, est limitée parce que permettent les outils interceps. Pour avoir davantagede débit de chantier avec desinterceps, il n’y a

nul autre choix que de multiplier le nombre de rangs travaillés. C’est le choix qu’a fait Forge Boisnier, en développant il y atrois ansl’Emisol. L’Emisol travaille deuxrangs

en intercep Doté d’un double essieu à voie variable pours’adapter aux interrangs, le porte-outils traîné dispose de deux portiques pour travailler deux rangs complets et ne circuler que sur les interrangs enherbés. A l’arrière, un relevage et une prise de force perd’atteler un outil interrang, mettent une tondeusepar exemple. D’un poids de 2,7 tonnes et doté de deux pompes hydrauliques de40 et 70 1/ min, Foutil connaît un vif succèsavec plus de 60 appareils commercialisés (tarif actuel de 67 000 euros HT) et répond à la demandede viticulteurs

an, en quatre passages», cite pour exempleAdrien Boisnier, le dirigeant. L’appareil dispose d’une gestion de la hauteur des interceps sur chaque descenteet d’un recentrage automatique des outils. Destinéaux vignes de 2,20 à 3 m, l’Emisol dispose depuis peu d’un petit frère, le Limasol livré récemment en Anjou, pourles vignes de 1,70 à 2,50 m. « Une version plus musclée, baptisée Emisol Adrien, sortira prochainementde l'atelier, pour les vignes de 2,50 à 3 m, poursuit Adrien Boisnier. Pourvu d’un double châssis pour pouvoir recevoir des décavaillonneuses,il

affiche une tonne de plus sur la basculeet intègre le graissage centralisé, un pont moteur, le report de charge, l’Isobus et la gestion de la hauteur parlaser. Doté de pompes hydrauliques de 40 et 90 l/min, il qui veulent du débit de chantier, nopourra recevoir d’autres outils que tamment suite à l’arrêt du désherbage des interceps, comme desrogneuses, chimique sur le rang. « Certains des épampreuseset des rotofils. » clients travaillent 650 hectares par cte Ludovic Vimond

Tous droits de reproduction réservés

P.32


Turn static files into dynamic content formats.

Create a flipbook
Issuu converts static files into: digital portfolios, online yearbooks, online catalogs, digital photo albums and more. Sign up and create your flipbook.