D U 18 .0 5 AU 24 .0 5 . 16 / N °1 0 15
L’ H E B D O G R AT U I T D E S S P E C TAC L E S
CINÉMA 04
SOIRÉES 09
Un grand Marvel
Deux grands DJs
SUPPLÉMENT PARCOURS
TEKI LATEX ET BETTY
X-MEN : APOCALYPSE
LE BAC PRO QUÉSACO ?
À LA UNE - THÉÂTRE
ÇA IRA (1) FIN DE LOUIS À LA MC2
ÉDITO PAR AURÉLIEN MARTINEZ
dination des intermittents et précaires. Reste que l'accord doit encore être validé par les partenaires sociaux au niveau interprofessionnel, ce qui n'est pas gagné vu les positions du Medef. Mais au fait, pourquoi ce point cristallise-t-il autant de passions, chacun semblant avoir un avis – si possible le plus tranché possible – sur la question ? Peut-être parce qu'en cette période dite de crise, certains pensent (inconsciemment ?) que quelqu'un qui a déjà la chance d'avoir un métier dans
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lequel il s'épanouit ne devrait pas en plus se la ramener, même pour préserver des droits loin d'être abusifs… Il faut écouter les bonnes personnes parler de ce régime source de nombreux fantasmes et contrevérités – sur son coût, son bien-fondé… Samuel Churin est justement l'un de ceux qui a les arguments les plus solides. Sa longue interview accordée le 12 mai à France Inter le prouve. On vous recommande de l'écouter en podcast pour votre prochain dîner en ville. © David Balicki
«C'
est historique. » La ministre de la culture Audrey Azoulay est contente et elle le fait savoir. Le 28 avril dernier, un accord a ainsi été conclu entre les syndicats et les employeurs du monde du spectacle concernant le régime d'assurance chômage des intermittents. « Treize ans de combats, de luttes acharnées à décrypter, expliquer, convaincre. C'est une immense victoire » s'est réjoui sur Facebook Samuel Churin, porte-parole de la Coor-