Supplément publicitaire au Courrier picard n°22983 du 7 juin 2016
P.2
Le bac en poche partir à l’étranger
P.4
Le sport à l’université
P.5
La Marine Nationale
P.8
Le CFA BTP de la Somme
P.10 Le CFA Agricole et Horticole d’AIRION
Directeur de la publication : Jean-Dominique Lavazais - Imprimerie La Voix du Nord
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Partir à l’étranger bac en poche
Partir une année à l’étranger avant d’enchaîner sur ses études, voilà une idée qui trotte dans la tête de nombreux bacheliers. Suivant la carrière que l’on envisage, mieux vaut parfois mettre le projet en suspend. Actuellement, avoir effectué un séjour prolongé à l’étranger au cours de ses études ne peut que s’avérer bénéfique quand on débarque sur le marché de l’emploi. À l’heure de la mondialisation, les compétences linguistiques sont de plus en plus prisées par les entreprises, et elles offrent aussi des possibilités en termes de mobilité : une fois la barrière de la langue franchie, on hésite moins à faire ses valises et à partir pour décrocher le job de ses rêves. Reste à savoir comment et quand partir…
Les voyages forment la jeunesse, mais… Beaucoup de futurs étudiants aspirent à passer un an à l’étranger avant d’entamer leur cursus. Partir aussitôt après le bac, c’est d’abord s’émanciper, quitter la douceur du cocon familial pour partir à l’aventure. Mais ce choix n’est pas forcément la décision la plus pragmatique : tout dépend du type d’enseignement que l’on souhaite suivre et de la manière dont on compte voyager. En effet, les établissements ouverts comme les universités ne trouveront rien à redire à cette orientation, et elle sera même un gage de réussite dans les filières linguistiques. En revanche, les écoles opérant une stricte sélection sur dossier, telles que les prépas, n’apprécient pas les profils atypiques. Elles ne seront donc pas forcément enthousiasmées par un départ anticipé hors du cadre scolaire, car l’élève risque d’oublier une partie de ses connaissances et des méthodologies dont il aura besoin pour poursuivre
ses études, et ses progrès en langue ne compenseront pas cette baisse de niveau. Elles donneront donc la priorité aux nouveaux bacheliers plutôt qu’à ceux qui on fait le choix d’une année sabbatique avant l’inscription. Toutefois, cela n’a rien d’inéluctable, et les jurys ne traiteront pas de la même manière le dossier d’un routard parti explorer l’Australie sac au dos et celui d’un étudiant studieux qui aura décidé d’effectuer sa première année d’étude à l’étranger : même si ce dernier n’obtient pas d’équivalence pour les cours suivis dans un autre pays, il pourra arguer qu’il a entretenu son niveau scolaire. Encore faut-il pouvoir se le permettre…
Question de budget Le financement demeure en effet une question clé en matière de départ : certaines familles ont bien sûr les moyens de subvenir aux besoins du globe-trotter, mais beaucoup de jeunes gens doivent gagner un peu d’argent, soit en cherchant de petits boulots sur place, soit en partant au pair. Cette solution a le mérite de rassurer les parents : ils savent que leur enfant est accueilli dans une famille, et que le gîte et le couvert sont donc assurés. En contrepartie, il faut participer aux tâches ménagères et s’occuper des enfants. L’idéal, pour garder toutes les chances de son côté, quel que soit son choix de carrière, et partir dans de bonnes conditions, c’est cependant de repousser son départ. De nombreuses formations intègrent un stage à l’étranger durant leur cursus, ce qui permet de partir avec la garantie de ne pas mettre son diplôme dans la balance. Si ce n’est pas le cas, on peut également participer au programme Erasmus, qui favorise les échanges au sein de l’Union européenne. Ouvert aux étudiants dès la deuxième année, il permet de bénéficier d’aides financières. En outre, l’année s’inscrit dans la continuité des études.
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Le sport à la faculté, pourquoi faut-il en faire ? Le passage du lycée à l’université est synonyme de nouveautés : nouvelles matières, nouveau logement, nouvelles rencontres… Parmi tous ces changements, il y en a un qui passe parfois inaperçu mais qui est pourtant important. Il s’agit du sport. En quittant le lycée et ses cours d’éducation physique et sportive obligatoires, bon nombre de jeunes abandonnent purement et simplement toute activité physique. Pourtant, faire du sport à la faculté peut-être intéressant à bien des titres. Ceux qui se sont réjouis de ne plus avoir à enfiler un survêtement pour aller faire des tours de piste ou jouer un match de basket-ball ont peut-être eu tort. Faire du sport est une bonne chose et ce, d’autant plus lorsqu’on passe son temps entre les bancs de l’université et son fauteuil de bureau. En plus d’être proposées à des tarifs défiant toute concurrence, les différentes activités pratiquées dans le cadre d’un cursus universitaire peuvent rapporter gros.
Se faire des amis L’entrée à l’université n’est pas toujours un passage agréable pour l’étudiant. Dans son lycée, il avait ses habitudes et sa bande de copains. À la faculté, tout est différent. Les repères ne sont plus les mêmes et les amis sont inscrits dans diverses filières. Il faut donc tout reconstruire, se recréer un petit monde et faire de nouvelles connaissances. Une tâche simplifiée par la pratique du sport. S’il est parfois difficile de créer des liens en amphithéâtre ou au resto U, sur un terrain de sport, c’est souvent plus facile et ce, d’autant plus que les deux interlocuteurs se connaissent un point commun
CAHIER ORIENTATION Supplément du Courrier Picard du 7 juin 2016 Coordination : PMP régie publicitaire Directeur de la publication : Jean-Dominique Lavazais Réalisation : Prémédia La Voix du Nord Rédactionnels et crédits photos : «Libre Service Presse» et «Annonceurs» (CENTRE PÉDAGOGIQUE - CFA AIRION - BTP CFA SOMME) Publicité : Picardie Matin Publicité.
Le sport permet d’évacuer le stress avant même d’avoir engagé la conversation. Parler football, judo, tennis de table, plongée sous-marine ou squash peut s’avérer très pratique pour lancer une première discussion et pour nouer des liens. À l’université, la pratique d’une activité sportive peut être un accélérateur d’amitié. L’idéal lorsqu’on débarque dans ce nouvel environnement et que l’on se sent parfois un peu seul.
Évacuer le stress Le sport est également un bon moyen d’évacuer le stress, ce phénomène chimique qui, face à une situation nouvelle, provoque la libération d’hormones stimulantes pour aider l’organisme à s’adapter. Ces substances, proches de l’adrénaline et de l’endorphine, décuplent l’énergie et réduisent la souffrance. S’il peut être bénéfique lorsqu’il est géré, le stress, lorsqu’il est excessif, peut avoir des effets catastrophiques et c’est justement dans ce cas que le sport est recommandé. La pratique d’une activité physique « consomme le stress ». Les hormones accumulées tout au long de la journée sont brûlées par l’activité sportive. Mais le sport est aussi parfois une source d’anxiété, notamment en compétition. Chose positive puisque ces pics hormonaux réguliers apprennent au corps à se reposer et à « déstresser » dans les moments de récupération. Ce qui n’est pas négligeable dans le cadre d’études supérieures.
Compléter ses UE Sur le plan comptable, faire du sport à l’université peut également être très intéressant. En effet, en choisissant de pratiquer une activité physique dans le cadre de son cursus universitaire, l’étudiant peut gagner jusqu’à 4 crédits ECTS (Système Européen de Transfert et d’accumulation de Crédits), l’équivalent des anciennes UV (Unités de Valeur). Sachant qu’une année vaut 60 crédits, l’UE Sports (Unité d’Enseignement) représente plus de 6 % des points demandés pour accéder au niveau supérieur. Des points qui sont parfois plus facilement acquis sur un terrain de sport (moyennant la participation à 10 séances au cours du semestre suivie d’un examen théorique) qu’en microéconomie, statistiques, chinois, science du langage et autres examens de philo ! En d’autres termes, la pratique sportive favorise la réussite. Elle aide l’étudiant à valider son année, lui permet d’être plus concentré pour étudier et plus performant le jour de l’examen tout en lui ouvrant de nouveaux horizons sociaux. Sans oublier qu’il n’y a pas mieux pour entretenir son corps et, par conséquent, se sentir mieux dans sa peau. Bref, le sport, courez-y !
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Optez pour la Marine Le processus de recrutement
La Marine nationale a un besoin constant de renouvellement. C’est pourquoi elle s’est donnée pour objectif d’attirer quelque 3 000 nouvelles recrues dans ses rangs chaque année, en leur proposant plus d’une cinquantaine de métiers très variés et accessibles à différents niveaux de qualification. Si l’une des conditions essentielles pour s’engager dans cette voie est de savoir nager, il ne faut pas non plus négliger le critère d’âge ! La plupart des postes sont en effet destinés à des jeunes actifs de moins de 30 ans, voire de moins de 25 ans, après un passage obligé dans l’une des écoles de la Marine. Avant de prendre vos fonctions, il faudra ainsi intégrer au choix l’École des mousses - à partir de la 3e ou de la 2nde -, celle des matelots - de la 3e au Bac -, l’École de maistrance - Bac à Bac +2 - ou l’École navale pour les officiers à Bac +5. Chaque établissement correspond à un niveau de formation et à un grade différent. Toutefois, débuter comme matelot ne signifie pas pour autant rester en bas de l’échelle tout au long de sa carrière ! Vous pouvez, tout d’abord, choisir de ne vous engager que pour quatre ans avant de retourner à la vie civile, fort d’une formation diplômante et d’une expérience professionnelle riche. Mais si vous souhaitez poursuivre dans la Marine, des évolutions internes vous permettront de progresser en responsabilité et en grade. Un matelot de la flotte peut, à titre d’exemple, devenir officier marinier au bout de deux à six ans d’ancienneté.
Bien que moins médiatisés, les domaines de la restauration, de l’administration (ressources humaines, comptabilité…) et des télécommunications offrent, eux aussi, des débouchés intéressants. Le site Internet www.etremarin.fr permet de se faire une idée plus précise des métiers proposés en présentant des fiches détaillées et en indiquant le nombre de postes à pourvoir cette année.
Si la Marine nationale vous intéresse, voici la procédure à suivre : - contactez un Centre d'information et de recrutement des forces armées (Cirfa) pour affiner votre orientation avec un conseiller. La liste est disponible sur www.etremarin.fr. - constituez un dossier de candidature ou postulez en ligne. Vous serez ensuite reçu pour un entretien de motivation ou après sélection, selon le poste visé. - vous serez soumis à une série d'évaluations comportant des épreuves physiques, psychotechniques, de niveau scolaire ainsi qu'une visite médicale. - votre dossier sera enfin examiné par une commission nationale. En cas d'acceptation, vous ferez le point avec un conseiller en recrutement avant d'intégrer le centre de formation adéquat. Infos pratiques : www.etremarin.fr
LA MARINE RECRUTE
Des secteurs de métiers variés
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À la fois professionnel de la mer et militaire, un marin peut exercer un métier dans une multitude de secteurs d’emploi. Dans le domaine de la navigation, on trouve par exemple les matelots opérations navales en charge des radars mais aussi différents postes occupés par des officiers mariniers comme les métiers de manœuvriers, de marins-pompiers de la flotte ou encore de navigateurs timoniers. L’aéronautique navale et l’armement impliquent également une importante main-d’œuvre opérationnelle mettant à contribution les matelots maintenance aéronautique, les matelots fusiliers marins, les matelots pont d’envol, les techniciens spécialisés ou les électroniciens d’armes…
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BTS TRAVAUX PUBLICS MÉTIERS DES TRAVAUX PUBLICS SITE DE SAINT-SAUVEUR Rue Jules-Verne 80470 SAINT-SAUVEUR • Visite du site des Travaux Publics
MERCREDI 8 JUIN • Travaux Public, site de Saint Sauveur
Pour les jeunes intéressés par les formations suivantes : • CAP Constructeur de Routes • CAP Constructeur de Canalisations • CAP Conducteur d’engins de Travaux Publics & Carrières • Bac Pro Travaux Publics • BTS Travaux Publics
LE BTS TRAVAUX PUBLICS Le titulaire de ce BTS assure l’interface entre le chantier, les clients, les fournisseurs et la hiérarchie de l’entreprise. Il est capable de remplir les fonctions suivantes :
• Réalisation : il conduit les travaux du chantier jusqu’à leur réception suivant le cahier des charges, contrôle et anime les équipes, assure les relations avec le maître d’œuvre et les organisations extérieures.
• Études : il mène les études techniques et économiques d’un ouvrage.
• Il sait tenir compte des impératifs de qualité, de coût, de sécurité.
• Exploitation : il participe à la préparation de chantier. Il en réalise le budget prévisionnel.
• Le technicien supérieur peut avoir des activités commerciales, comme la recherche de clients. Il peut aussi assurer une mission de conseil, en particulier auprès des décideurs régionaux.
• Préparation : il choisit les moyens humains, les matériels et les matériaux. Il améliore les conditions techniques et économiques du chantier. Il effectue les démarches administratives, élabore le budget, établit le Plan Particulier de Sécurité et de Protection de la Santé.
ACCÈS À LA FORMATION Bac Pro Travaux Publics - Bac STI2D - Bac S
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Les mercredis de juin, venez construire votre projet ! Les 8 - 15 - 22 - 29 juin 2016 de 14 h à 17 h 30
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Catherine Laplace, Directrice du CFA Agricole de l’Oise Challenge Sportif : tir à la corde
JIMA 2016 La première Journée Interapprenti des Métiers de l’Agriculture Ce sont donc plus de 110 jeunes, de 15 à 22 ans, qui ont vécu un moment pas comme les autres, le 12 mai à Gouvieux. En effet, ce jour-là, le CFA Agricole de l’Oise organisait sa première Journée Inter-apprenti des métiers de l’agriculture. « Ils se sont rencontrés aujourd’hui autour de challenges sportifs, culturels et techniques. » précise Catherine Laplace, la directrice du CFA Agricole de l’Oise basé à Airion. Chaque année, plus de 400 jeunes, du DIMA au Bac +3, évoluent en lien avec le monde agricole au sein du CFA Agricole de l’Oise. Avec ses cinq sites de formation Airion, Beauvais, Gouvieux, Ribécourt et Pierrefonds, le CFA Agricole de l’Oise offre aux jeunes des formations de proximité. « Notre réseau regroupe plus de 300 partenaires professionnels dans le département. Nous pouvons distinguer sept branches professionnelles à savoir : les services à la personne, l’aménagement Paysager, l’agroéquipement, les productions agricoles, l’horticulture, le commerce et les courses hippiques. » explique Catherine Laplace qui poursuit : « Dans l’Oise, l’apprentissage agricole est un investissement sur l’avenir : une façon pour l’employeur de transmettre ses acquis, son métier, tout son savoir-faire à un jeune et ainsi former son collaborateur de demain. C’est aussi l’un des chemins les plus efficaces vers l’insertion professionnelle : près de 90% de nos apprentis sont en emploi ou en poursuite d’études, un an après leur formation. Un atout non négligeable dans
un contexte économique où tant de jeunes peinent à trouver un emploi. »
dans leurs projets proposant des représentations originales et dynamiques.
Challenges sportifs, culturels et techniques
Les apprentis, en BTSA Aménagements Paysagers, ont remporté avec brio le trophée de cette première édition. Grâce à un travail initié quelques mois auparavant avec l’aide de leurs formatrices, Sarah Boukaka et Laetitia Loiseaux, les étudiants ont présenté leur métier à travers un clip de leur production : parole, musique et chorégraphie. « Tous les critères étaient présents : l’originalité, la créativité, les activités professionnelles du métier. Le jury a été unanime sur leur prestation » explique Catherine Laplace et de poursuivre « Les autres apprentis n’ont pas pour autant démérités ».
Cent dix jeunes ont donc participé à cette journée autour de quatre ateliers. Qu’ils soient en CAP ou en BTS, les apprentis ont exprimé le souhait de se rencontrer pour échanger sur leurs apprentissages et leurs métiers respectifs. Ils ont pu le faire sur l’atelier « L’apprentissage que des avantages !! ?? ». Chaque jeune a pu exprimer sur son vécu en centre de formation, en entreprise. Atelier qui a été riche d’échanges de par la diversité des métiers auxquels ils se préparent. Ensuite, ils se sont mesurés les uns aux autres. Tout d’abord sur le challenge sportif, l’équipe éducative de Gouvieux, menée par Stéphanie Gérard, a amené les apprentis à se dépasser. Ensuite sur le troisième atelier intitulé : « Viens découvrir mon monde professionnel : Cavalier d’entraînement ! », les jeunes ont joué de leurs équilibres pour se maintenir en selle ! Simuler la montée d’un cheval de course, entretenir un box, des gestes professionnels quotidiens que les apprentis de Gouvieux ont fait découvrir à leurs collègues d’Airion, de Beauvais et de Ribécourt.
« C’est quoi ton métier ? » Dans le dernier atelier, chaque classe avait cinq minutes pour présenter son futur métier. Sous forme de reportage, de journal, ou encore de clip, les apprentis se sont investis
En effet, les apprentis de la filière Services aux Personnes se sont distingués à travers un reportage « Projecteurs sur le Bac Pro SAPAT : À votre service !». Coup de cœur du jury, ils ont su présenter toutes les facettes de leur futur métier de l’accompagnement et services auprès des personnes âgées ou des enfants, à l’animation culturelle et touristique.
Les apprentis de Bac Pro SAPAT avec Monsieur Booghs, Responsable des sites d’Airion et Beauvais.
Les apprentis BTSA AP, Lauréats de cette première édition 2016 avec Valérie Fabre, Responsable du site de Ribécourt, Catherine Laplace, Directrice du CFA Agricole de l’Oise et Stéphanie Gérard, Animatrice du Site de Gouvieux.
« C’est une belle réalisation, riche de leurs propres expériences. La filière gagne à être connue, le Bac pro SAPAT d’Airion est une formation complète dans les services à la personne qui offre de nombreux débouchés porteurs d’emploi. » conclut Catherine Laplace.
Viens découvrir mon monde professionnel : Cavalier d’entraînement, apprenti en démonstration
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FORMATIONS SUPERIEURES TRANSPORT ET LOGISTIQUE INTERNATIONALE 1361618000vd
Des formations pour un secteur qui recrute : le transport et la logistique internationale Bac +2 : • Transport aérien et maritime • Transports terrestres Bac +3 : • Responsable Transport • Responsable Logistique Nouveau en 2016 • Déclarant en Douane et Conseil Bac +5 : • Manager Transport Logistique Commerce International Titres reconnus par l’état et inscrits au RNCP
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