MAGAZINE PPOC
AUTOMNE 2019
NUMÉRO DES ACCRÉDITATIONS Brent McCombs - Mode | Jacquie Matechuk - Paysage / Scénique | Rabih Madi - Histoire de mariage
AUSSI
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Voyager avec votre équipement photo Prendre en photo les reflets de goutte d’eau pour des images macro Lorsque ta journée est une journée de chiens, et que c’est une bonne chose ! Studio dans le ciel Programme du Congrès 2020 des PPOC
Qui a dit qu’on ne peut pas tout avoir? AUTOMNE 2019 | MAGAZINE GALLERIE | 2
Lors de la réalisation de portraits ou de la couverture d’événement comme un mariage, vous ne visez pas qu’à atteindre la perfection dans votre travail, mais surtout à capter des images que vos clients chériront toute leur vie. La différence entre une bonne et une mauvaise photo est facilement observable, une excellente photo est plus difficile à définir, mais est facile à reconnaître.
Notre travail est de vous aider à obtenir la prise de vue parfaite en commençant par l’équipement utilisé et nous avons tout ce qu’il vous faut! Vistek a toujours été à l’avant-garde en ce qui concerne les derniers modèles d’appareils photo et l’équipement professionnel. Nous offrons un grand éventail de matériel de vos marques préférées et en lesquelles vous avez confiance. De plus, notre équipe d’experts connait bien le matériel qu’ils vendent.
Vous avez une question? Ils auront la réponse! Vous considérez sérieusement la production vidéo? Nous aussi! Si vous hésitez avant d’acheter, il est même possible de louer le matériel d’abord. Par la suite, si vous décidez d’acheter, le coût d’une journée de location sera déduit du montant final de l’achat. Nous faisons plus que vendre de l’équipement photographique : nous comprenons la réalité de la photographie et vidéographie professionnelles. Nous voulons vous permettre de réussir à tout coup! Vous trouverez un magasin Vistek dans les villes suivantes : Toronto, Mississauga, Ottawa, Calgary et Edmonton.
P H O T O | V ID É O | NUMÉRI QUE | VENTES | LOCAT ION | S E RV ICE TO R O N T O • MIS S IS S AUGA • OTTAWA • CALGARY • E DM ONT ON
V I STEK . C A
TA B L E D E S M AT I È R E S
4
4
Message de la présidente
6
Brent McCombs, Accréditation : Mode
10
Jacquie Matechuk, Accréditation : Paysage / Scénique
14
Voyager avec votre équipement photo
16
Rabih Madi, Accréditation : Histoire de mariage
20
Programme du Congrès des PPOC 2020
par Jeff McDonald, BSc, CPA
6
10
22
14
16
Prendre en photo les reflets de goutte d’eau pour des images macro
par Don Komarechka
26
Lorsque ta journée est une journée de chiens, et que c’est une bonne chose !
20 24
30
29
Studio dans le ciel
31
Mon PPOC
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À propos de la couverture
par Chris TT Thombs, CD, MPA
27
par Shelley Vandervelde, MPA
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par Marc Durocher
MESSAGE
de la présidente Le don de générosité Alors que nous entrons la saison des fêtes, je prépare mon plateau et mes accessoires pour le gala annuel de collecte de fonds SantaPix pour la Louise Vessey, MPA, SPA Société humaine de l’Ile du Prince Edouard. J’adore PPOC National Chair le chocolat chaud, les chansons de Noël, les cannes en bonbon et photographier les animaux avec Saint Nicolas ! Travailler avec les autres bénévoles pour les animaux de compagnie me fait TELLEMENT de bien ! C’est la meilleure façon de commencer la période des fêtes ! J’ai les mêmes sentiments pour le travail bénévole des PPOC, même si parfois il est plus facile de s’occuper de mes chats que d’organiser une réunion du conseil ! C’est beaucoup de travail mais c’est aussi très gratifiant de faire partie des coulisses des PPOC, particulièrement à ce niveau. J’ai commencé à m’impliquer au niveau régional il y a environ 16 ans. En y repensant, qu’est-ce que les choses ont changé depuis, entre la technologie de photographie numérique, les réseaux sociaux, et les nouveaux photographes. Et les PPOC sont toujours là. Nous sommes toujours pertinents, mais nous avons besoin du soutien et des ressources de nos membres bénévoles pour continuer à aller de l’avant. Les gens me demandent pourquoi je suis bénévole. Qu’est-ce que cela m’apporte ? Voici mes pensées et pourquoi vous devriez partager votre temps et vos talents en faisant du bénévolat :
- Agrandissez votre cercle social ! Le bénévolat vous rapproche de vos collègues
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photographes et de vos amis. J’ai rencontré mes meilleurs amis sur les différents conseils des PPOC !
- Vous vivez et apprenez de nouvelles choses. J’ai développé des compétences en prise de parole en public (j’étais TERRIFIÉE la première fois que je me suis approchée d’un micro). J’ai développé des compétences sociales, de leadership, de résolution de problèmes, d’écriture et d’organisation qui me serviront au-delà de mon temps au conseil. - Points-mérites de service. Vous obtiendrez des points-mérites précieux envers les titres plus rapidement. - Cela fait du bien ! Cela fait du bien de sentir que je donne à une organisation qui a tant fait pour mon succès au fil des ans. Cela me donne un sentiment d’accomplissement et d’appréciation. - Cela rend bien ! Avoir votre poste listé sur votre biographie ou dans votre signature est impressionnant et montre aux autres votre caractère (même si je n’aime toujours pas le terme « chair »). - C’est du bon karma. Faites des bonnes actions et cela vous reviendra.
L’ASSOCIATION DES PPOC EST HEUREUSE DE VOUS PRÉSENTER SA PUBLICATION, GALLERIE. AVEC DES LAURÉATS, DES ARTICLES DE FOND, DES INFORMATIONS ÉDITORIALES, DES SERVICES AUX MEMBRES ET DE LA PUBLICITÉ, GALLERIE EST LE MAGAZINE PAR EXCELLENCE POUR LES PHOTOGRAPHES PROFESSIONNELS À TRAVERS LE CANADA. GALLERIE est publié trois fois par année : - Hiver (version numérique en ligne) - Été (imprimé et version numérique en ligne) - Automne (version numérique en ligne) ABONNEMENT Tous les membres des PPOC recoivent le magazine imprimé par la poste. Une version numérique en ligne est disponible pour tous les photographes. Pour être ajouté à notre liste de diffusion, veuillez contacter le bureau des PPOC à info@ppoc.ca en indiquant votre province de résidence. Des exemplaires additionnels de Gallerie sont dispo nibles au coût de 6,95 $, plus les frais de poste. SOUMISSIONS Les articles ainsi que les textes des membres sont les bienvenus. Veuillez les soumettre à l’éditeur pour examen. PUBLICITÉ Un forfait publicitaire unique assurera votre espace publicitaire dans les trois numéros. Double page Page complète dos de couverture Page complète intérieur couverture Supplément publicitaire Page complète Demi page Quart de page
Les partenaires commerciaux des PPOC ont un escompte de 20 %. Pour réserver votre espace publicitaire contactez l’éditeur. ÉDITEUR Bruce Allen Hendricks, MPA t : 204 227-9447 c : editor@ppoc.ca
Merci à tous ceux qui donnent de leur temps et qui sont bénévoles. Pour des organisations caritatives et pour les PPOC. Si vous êtes intéressé pour devenir bénévole, contacter votre Responsable ou Directeur régional.
CONCEPTRICE ET INFOGRAPHISTE Josée Talbot t : 418 881-3998 c : josee@talbotphotoart.ca
Louise Vessey MPA SPA
DIRECTEUR DE PUBLICITÉ Brad Kelly, MPA c : advertising@ppoc.ca
Présidente (Grand Poobah, Leader suprême) des PPOC
1575 $ / an 1375 $ / an 1125 $ / an 1000 $ / an 975 $ / an 630 $ / an 400 $ / an
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BRENT MCCOMBS ACCRÉDITATION : MODE AUTOMNE 2019 | MAGAZINE GALLERIE | 6
par Brent McCombs SOUMETTRE MA PREMIÈRE SÉRIE D’IMAGES POUR UNE ACCRÉDITATION DES PPOC ÉTAIT UN PEU ANGOISSANT, MAIS DANS L’ENSEMBLE, JE N’AI VRAIMENT PAS COMPRIS LE PROCESSUS ET J’AI DÛ ME PRÉCIPITER POUR OBTENIR DES IMAGES AFIN DE RESPECTER UN DÉLAI TRÈS SERRÉ DE TROIS JOURS. DANS LA FRÉNÉSIE D’ASSEMBLER MA SOUMISSION, JE N’AI VRAIMENT PAS EU BEAUCOUP DE TEMPS POUR M’ÉNERVER. DE PLUS, JE SOUMETTAIS MES IMAGES DANS LA CATÉGORIE PORTRAIT, CE QUI N’A PAS ÉTÉ AU CENTRE DE MES PRÉOCCUPATIONS DEPUIS TRÈS LONGTEMPS ; MES ATTENTES ÉTAIENT DONC TRÈS LIMITÉES ET J’AI ÉTÉ AGRÉABLEMENT SURPRIS DE RECEVOIR MON ACCRÉDITATION PORTRAIT DU PREMIER COUP. Mais cela, c’était l’année dernière. Cette fois-ci, j’ai eu toute une année pour réfléchir au processus de soumission et je savais que je soumettrais dans la catégorie Mode, domaine dans lequel je me concentrais depuis six ou sept ans. Je voulais bien faire les choses, mais aussi, j’ai ressenti un peu plus de pression parce que cela ÉTAIT ma spécialisation depuis si longtemps. La validation est une maîtresse capricieuse. Lors du choix de mes dix images, je ne voulais pas simplement envoyer mes 10 meilleures images. Je voulais montrer un éventail diversifié de travail, y compris du travail de studio et extérieur, et un mélange de travail local et international. De plus, les directives de soumission demandent également de soumettre quelques images avec plusieurs modèles.
En regardant l’étendue de mon travail, je savais que ma première image serait une photo d’une robe en tartan rouge pour la créatrice Veronica MacIsaac
Apparel. C’était ma première image à apparaître dans Vogue britannique, et j’espérais que si elle était assez bonne pour eux, elle passerait l’accréditation. Ayant beaucoup travaillé avec Veronica MacIsaac, j’ai également choisi l’un de mes clichés d’une campagne plus récente, mettant en vedette une robe en laine blanche dans un paysage de neige, également capturé en Nouvelle-Écosse. J’ai cru que ces deux images montraient un sens de la composition de mode dans paysage et mettaient en lumière la mode de façon spectaculaire. La séance au Cap-Breton avait été assez simple, mais l’image que l’on voit ici a été prise le jour qui devait être notre jour de voyage jusqu’au Cape Breton. Le plan était de finir la conduite, souper, puis préparer les vêtements et l’équipement pour la séance des trois prochains jours. Cependant, en conduisant, le ciel de mi / fin d’après-midi devenait de plus en plus dramatique, et une vérification des prévisions météorologiques indiquait un ciel sans nuages pour les 3 prochains jours. Je voulais un ciel dramatique dans notre image de campagne. J’ai donc convaincu le styliste et le mannequin de se dépêcher pour se maquiller dans la voiture en route, et de préparer les vêtements, de sorte que lorsque nous sommes arrivés sur le lieu de la séance (la maison familiale abandonnée de l’arrière-arrière-grand-père de Veronica), nous serions prêts à commencer. Nous avons eu environ 40 minutes de bonne lumière et de ciel dramatique, et voilà l’image que vous voyez ici. Après avoir choisi les images de printemps et d’hiver, j’ai alors pensé : pourquoi ne pas compléter les saisons. Je pensais que trouver une photo d’automne serait une bonne image, et je savais immédiatement que l’un de mes clichés que j’avais capturés pour un éditorial deux ans auparavant à Oak Island ferait l’affaire. Il y avait une image en particulier, de la mannequin à tête rouge Liz Ernst dans une robe blanche et noire photographiée entre trois bouleaux et sur un fond d’arbres colorés d’automne que j’aime beaucoup. Ceci est le seul éditorial de mode jamais capturé sur Oak Island, car il s’agit d’une propriété privée et les propriétaires sont très réticents à autoriser l’accès. En plus de cela, nous avons dû négocier avec la série télévisée Oak Island Treasure pour obtenir l’autorisation de travailler sur leur plateau. En fin de compte, la stylise Dee Wilkie s’est occupée de la majeure partie des autorisations et bien que cela ait pris plus de 5 mois, nous avons finalement obtenu la permission de travailler pendant 4 heures le lendemain de la fin de tournage de l’émission. C’était un dimanche, et nous avions de 10 heures à 14 heures, quelles que soient les conditions météorologiques, pour terminer notre séance- sans avoir vu l’emplacement auparavant. C’était TRES effréné d’essayer de me déplacer dans ma Kia Soul à travers la terre, les nids de poules et les rochers, et de couvrir 6 sites en 4 heures, mais nous avons réussi.
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Je suis également un peu biaisé à l’égard de certaines catégories des PPOC, étant donné que nous sommes membres d’une organisation professionnelle, je crois que je devrais limiter mes soumissions au travail réalisé pour des clients et NON créé spécifiquement pour soumission aux PPOC. De toute évidence, il y a de nombreuses catégories où cela ne s’appliquerait pas, mais pour moi, il était important d’ajouter cette règle personnelle à ma soumission de mode et de portrait.
Après avoir couvert les trois premières saisons, je devais trouver une image estivale et je n’ai pas eu beaucoup à chercher, puisqu’une autre série d’images que j’avais réalisée pour Dee Wilkie l’été précédent offrait un certain nombre de choix. Finalement, de cet ensemble, j’ai choisi une robe bleue photographiée sur place tout près de Peggy’s Cove il y a deux étés, avec le tissu en soie de la créatrice basée au Nouveau-Brunswick (maintenant Toronto), Dee Wilkie. Dans cette image, nous répétions les motifs bleus et blancs du ciel et de l’océan dans la robe, avec les mouvements de danse gracieux de la danseuse de ballet élite locale Katie McDonald, qui était à la maison pour l’été après avoir fréquenté l’école Joffrey à New York. Ayant couvert les saisons à l’extérieur, il me fallait quelques clichés de studio, et probablement parce que je venais de photographier Katie / Dee Wilkie, j’ai pensé à quelques images de deux campagnes/catalogues que j’avais déjà réalisés pour Dee avec Katie avant qu’elle ne déménage à New York.
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Le défi que représentait la séance des « surfaces » de Dee était qu’elle ne concevait pas de vêtements, mais plutôt du matériel que d’autres créateurs transformaient en vêtements. Nous devions essentiellement trouver des moyens créatifs de montrer des pièces de tissu sans forme ni taillées. Lors de notre première séance, Katie a dansé et nous avions mis en assistance quelques morceaux de tissus derrière elle. Vous pouvez réaliser 1000 de ces séances stylisées et ne jamais réussir à faire tomber le tissu de manière esthétique, ou vous pouvez obtenir un look superbe dès le début - il y a vraiment un degré de hasard et de chance à ce type de séance. Sur cette photo de Katie faisant un mouvement de « scorpion », nous sommes tombés au milieu de la gamme, avec environ 150 clichés nécessaires. La synchronisation requise par ceci, surtout en utilisant un appareil de format moyen à mise au point manuelle construit dans les années 1980, avec un léger retard entre la pression de l’obturateur et la capture d’image, était intense. Katie réussissait souvent le pas de danse et je manquais le moment. Parfois, je capturais le moment, mais Katie n’était pas satisfaite de son positionnement. Mais finalement, nous avons capturé une image dont nous étions tous les deux satisfaits et où le tissu a coopéré - pour moi, cela ressemble à un spectre à capuchon qui a visité notre plateau.
eu la chance d’avoir plein accès à l’église pendant plusieurs heures, mais la météo a fait en sorte qu’il n’y avait presque aucune lumière ambiante qui nous aidait. Dans ce cliché d’une robe en soie bleue des années 20 (je crois), j’avais une petite boîte à lumière qui se monte sur un flash sur pied au cas où l’éclairage ambiant nous ferait défaut, et je l’ai utilisé à bon escient, permettant seulement un soupçon de lumière de fond pour faire ressortir la scène.
Quand Dee m’a demandé de photographier un autre catalogue pour ses nouveaux tissus, j’avais déjà utilisé ma « bonne » idée de jeter son tissu derrière une danseuse. Donc, après avoir réfléchi, nous avons créé des images inspirées de la peinture à l’aquarelle, où les motifs de ses tissus constitueraient le fond de l’image, et nous utiliserions à nouveau Katie comme sujet principal.
J’avais besoin d’une image de plus d’une personne et, prolongeant vaguement le thème de l’église, j’ai choisi l’une de mes images les plus récentes que j’avais prises au coin de mon studio dans un parc provincial, avec quelques bons amis comme
Pour cette série, la position de l’appareil était directement au-dessus de la mannequin, à environ 14 pieds dans les airs. Le positionnement et la stabilisation de l’appareil étaient un défi de taille, tout comme la mise au point, mais une fois celui-ci installé, il suffisait d’attendre le placement des tissus autour des mannequins allongés au sol. Cette fois, nous avons répété le mouvement « scorpion » de notre précédente séance, mais la pose par terre a donné à Katie l’occasion de défier la gravité et d’obtenir un positionnement moins raide. Ayant choisi un certain nombre d’images produites localement, je voulais montrer une partie du travail que j’avais réalisé outremer. J’ai donc regardé le travail que j’ai fait à Londres. La première image que j’ai choisie a été photographiée à Trafalgar Square, à Londres, avec la Galerie nationale en arrière-plan. Cela faisait partie d’une campagne pour une entreprise de chaussures et de vêtements basée en Inde, et comme les budgets étaient limités, nous avons fait toutes nos séances en style guérilla (c’est-à-dire sans permis). Compte tenu de la quantité de couvertures CCTV et de la sécurité locale, cela signifiait que nous n’avions jamais plus de 3 à 5 minutes pour prendre et capturer une image. Cependant, sur cet escalier en particulier nous étions à l’abri de la sécurité de sorte que personne ne s’est rendu compte jusqu’à ce que mon assistant monte un trépied et une boîte à lumière. J’ai réalisé environ 20 images avant que nous soyons obligés de quitter. Une autre image de Londres que j’aime a été faite pour un créateur de robes de mariée rétro et a été capturée dans la cathédrale Saint-Bart lors de l’un des jours les plus sombres et les plus maussades de l’année. L’église a été construite dans les années 1100 et présente de spectaculaires vitraux suspendus dans un plafond voûté qui projette normalement une lumière magnifique à l’intérieur. Nous avons
Ayant besoin d’un dernier cliché, je choisis celui qui met en vedette l’un de mes bons amis, le modèle Mandy Brown. Modélisant une robe orange dramatique de la créatrice de Halifax Caitlin Coo, je voulais un endroit qui reflète ce ton (et le ton de la belle chevelure rousse de Mandy). J’ai choisi un emplacement sur la rive d’un lac voisin comportant des roches de couleur rouille. L’enjeu majeur de cette séance est venu au moment où nous entrions sur le site, et juste au moment où nous traversions le schiste instable du rivage rocheux et que Mandy enfilait des talons
hauts avant de monter sur le rocher, Mandy me dit avec désinvolture « J’espère que je ne tombe pas, parce que je suis enceinte » Quoi !!??? J’étais sous le choc et j’ai immédiatement mis fin à la session. En fait, Mandy l’avait appris la veille et je n’étais que la troisième personne à l’apprendre après sa mère et son petit ami. « TU ne peux pas monter sur le rocher en talons » ai-je dit. « Ne sois pas bête, je vais sur le rocher » répondit-elle. Ugh… Si vous regardez la photo, vous remarquerez peut-être qu’elle est cadrée plus serrée que 2 x 3. C’est parce qu’à la droite du cadre, nous avons la maquilleuse qui garde un œil sur Mandy. Derrière Mandy, dans le cadre, mais cachée par la robe se trouve notre coiffeuse, la main sur les fesses de Mandy pour la stabiliser, et à gauche du cadre se trouve notre deuxième modèle, une gymnaste entraînée habituée de donner de l’assistance manuelle pour d’autres athlètes. J’ai interdit à Mandy de bouger les pieds (compromettant un peu la ligne du corps pour ne pas risquer le bébé), et le cliché que j’ai apprécié le plus était en fait une image prise au milieu de la pose où Mandy était en train de reprendre son équilibre après l’avoir presque perdu, et les deux personnes à gauche et à droite du cadre se sont projetées en avant. Hé ! La mère et le bébé ont été sains et saufs et j’ai donné une copie de cette photo à Mandy lors de son prochain anniversaire. Cela a conclu ma sélection de 10 images et j’ai eu la chance de recevoir mon accréditation en photographie de mode. Je ne sais pas quelle catégorie sera la prochaine, mais je prends une petite pause avant de prendre ma décision !
Brent McCombs Brent McCombs est un photographe de mode réformée, né en Ontario, formé à Los Angeles, mais vivant et travaillant maintenant en Nouvelle-Écosse. Brent a commencé à faire de la photographie à temps plein en 1997 et n’a plus jamais eu besoin d’avoir un vrai emploi depuis. Il vit à Halifax avec son épouse Sarah, leur chat, quatre oiseaux et un cheval, et embrasse la vie conjugale. Brent a recentré son entreprise vers la photographie de mariage et de portrait.
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modèles, sous ce que j’appelle « cathédrale naturelle de bouleaux », pour la façon dont les arbres convergent de façon spectaculaire sur le chemin. Les feuilles de couleur rouille foncée sont le résultat d’un été très sec (ou humide - je ne m’en souviens jamais), et seulement un léger ajustement de ton dans Photoshop a été nécessaire pour me donner un effet spectaculaire de tapis rouge naturel pour les vêtements en tartan et tweed d’inspiration rétro.
JACQUIE MATECHUK
ACCRÉDITATION : PAYSAGE / SCÉNIQUE par Jacquie Matechuk
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IL Y A 6 MOIS, J’AI DÉCOUVERT LES PPOC ET, AVEC ÇA, UN GRAND DÉSIR DE DEVENIR UNE PHOTOGRAPHE ACCRÉDITÉE. D’APRÈS CE QUE JE POUVAIS COMPRENDRE, IL S’AGISSAIT D’UN NIVEAU DE DISTINCTION ÉLITE, À LA FOIS MÉRITÉ ET RECONNU, ET J’ÉTAIS CAPTIVÉE PAR L’IDÉE DE TROUVER MON CHEMIN DANS CE CERCLE RESTREINT. JE N’AI DONC PAS PERDU DE TEMPS POUR M’INSCRIRE EN TANT QUE NOUVELLE MEMBRE ET TRAVAILLER À OBTENIR MA TOUTE PREMIÈRE ACCRÉDITATION. Mon voyage a commencé en explorant de l’art photographique parmi les meilleurs que j’ai jamais vu. Tous les genres, styles et influences représentés par un élément commun - l’excellence même. Pourrais-je être aussi bonne ? Ces images étaient captivantes et je savais que je voulais plus que jamais être à la hauteur de la situation. C’était en avril et la date limite des soumissions d’accréditation approchait rapidement. Je n’avais encore parlé ni rencontré aucun membre de l’organisation, mais j’étais persuadée que c’était quelque chose dont je voulais faire partie.
J’ai envoyé ma première soumission dans la catégorie Sports. Un type de photographie que j’exécute depuis des années et avec lequel je me sens le plus à l’aise. La catégorie était différente de la plupart des autres parce que vous ne pouviez pas simplement sélectionner les photos que vous pensiez être les meilleures. La majorité de vos images devait également avoir été publiée. Je suis donc allé de l’avant et j’ai présenté ma première soumission. C’était grisant et stressant à la fois, mais j’avais bon espoir que mon travail réussirait. Quelques semaines se sont écoulées et j’ai reçu un courrier électronique commençant par « Chère Jacquie, félicitations… ». J’étais submergée de soulagement et d’enthousiasme. La soumission avait été acceptée avec une note de bien (pas excellente) mais au moins, j’ai réussi. Dans les jours qui ont suivi, j’ai assisté à ma première réunion de club et j’ai été accueillie à bras ouverts. J’ai été agréablement rassurée sur le fait que c’était exactement là où je devais être. Mais cela m’a aussi rendue consciente de la dure réalité des difficultés auxquelles on est confronté lorsqu’on aspire à être accrédité. Des histoires de détermination inébranlable, de déception totale et de désir incessant me remplissaient la tête et je développais une nouvelle
appréciation de ce que tout cela signifiait. J’étais déterminée à essayer encore et améliorer mon art. Je devais juste savoir dans quelle catégorie. J’ai choisi la catégorie Paysage / Scénique car je pensais avoir déjà plusieurs images dans mon portfolio qui seraient à la hauteur. Au cours des semaines qui ont suivi, j’ai travaillé à créer les trois dernières images dont j’avais besoin, mais j’ai surtout demandé à devenir « protégée ». Quelques jours plus tard, on m’a confiée à un mentor et j’ai commencé à préparer ma soumission. Je me souviens m’être sentie heureuse de mes images et excitée de voir ce que penserait mon nouveau mentor. Mais d’une manière ou d’une autre, il semblait trouver des défauts dans tant, tant de choses. Certains que j’avais créés intentionnellement et d’autres avec lesquelles je suis tout à fait en désaccord. Maintenant, faites attention, car c’est là que tout change.
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Après avoir examiné les critiques utiles de mon mentor et défendu farouchement mon travail, j’ai pris du recul. J’ai pris quelques jours de pause des séances et de la post-production et je suis revenue aux commentaires avec un état d’esprit différent. Peut-être que ce mentor, avec toute son expérience et son expertise, pourrait savoir des choses que je ne connaissais pas. J’ai arrêté de me défendre et j’ai commencé à écouter. Et quand j’ai commencé à écouter, j’ai appris. Je me suis vite rendue compte qu’après des années à suivre mon instinct dans toutes les facettes de ma vie, je devais donner ma confiance et la placer ailleurs. Je ne comprenais pas nécessairement ou n’étais pas toujours d’accord avec les concepts et les théories. Dans l’impact impardonnable de détails imparfaits qui ne font même pas une différence… n’est-ce pas ? Bien ils
l’ont fait et ils le font. En fait, tout est important si vous voulez créer une belle image. Donc, alors que j’avais l’impression de tout recommencer, à chaque modification et suggestion, les images s’amélioraient et tout commençait à avoir un sens. Mon plus grand défi n’était pas d’obtenir cette accréditation, c’était d’apprendre à accepter et à nourrir les critiques constructives. Et rien ne peut vraiment nous préparer à la difficulté de voir notre travail exposé et vulnérable. En quelques semaines à peine, j’ai commencé à désirer les critiques de mon mentor. Parce que j’ai vu que ce n’était pas à propos de ce que j’avais mal fait ou manqué quand j’ai pris cette image-là, c’était à propos de la façon dont je pouvais rendre cette image à son meilleur absolu. Ce processus de réflexion a commencé à avoir une incidence sur mon approche lors des nouvelles séances photo et, avant même de le savoir, j’ai remplacé plus des deux tiers des images que j’avais prévu de soumettre.
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En juillet, j’ai soumis 10 images pour accréditation dans la catégorie Paysage / Scénique, toutes sous la direction et l’évaluation scrupuleuses de mon mentor des PPOC. Cette fois, j’étais plus inquiète que lors de ma première soumission. Lorsque les résultats sont arrivés, j’étais aussi reconnaissante qu’excitée. L’accréditation a été acceptée avec une note d’excellence et j’ai eu l’impression que mon travail, mon point de vue et ma passion évoluaient. J’ai hâte de relever de nouveaux défis et de surmonter mes déceptions. Surmonter mes lacunes et célébrer de petites victoires. Mais par-dessus tout, je suis impatiente de le faire avec le soutien et l’amitié des membres de cette organisation. Pour moi, les PPOC et son processus d’accréditation sont plus à propos du chemin pour s’améliorer que d’être bon.
En entrant le monde de la photographie de sport il y a 2 décennies, je recherchais toujours de nouvelles méthodes et de nouveaux genres de photographie, de composition et de création de contenu. Que ce soit le suspense de voir une belle figure réussie pour la première fois sur un half-pipe de 22’, ou se lever à 3 h du matin pour trouver l’endroit idéal lorsque la première lumière éclaire les pics au lac Abraham, illuminant les bulles de gaz enfermées dans les couches de glace. La photographie m’a apporté des amitiés et des voyages que je n’avais jamais imaginés, et elle continue de me mener vers des aventures excitantes.
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Jacquie Matechuk
VOYAGER AVEC VOTRE ÉQUIPEMENT PHOTO par Jeff McDonald, BSc, CPA JE SAIS QUE PLUSIEURS D’ENTRE VOUS SONT COMME MOI ET EMPORTENT BEAUCOUP TROP D’ÉQUIPEMENT QUAND VIENT LE TEMPS DE PARTIR EN VACANCES À CET ENDROIT EXOTIQUE OU UNE COURTE RANDONNÉE…JUSTE AU CAS OÙ VOUS EN AURIEZ BESOIN. JE DEVINE QUE LA PLUPART D’ENTRE VOUS AVEZ ÉTÉ RALENTI OU STRESSÉ À VOTRE AÉROPORT PAR UN AGENT D’INSPECTION QUI A EU BESOIN DE REGARDER DANS VOTRE SAC D’ÉQUIPEMENT POUR S’ASSURER QU’AUCUN OBJET NE POSAIT UN PROBLÈME DE SÉCURITÉ. JE CONNAIS PAR MA PROPRE EXPÉRIENCE CE MOMENT D’ANGOISSE QUAND UN INCONNU FOUILLE AU TRAVERS DE MILLIERS DE DOLLARS D’ÉQUIPEMENTS POUR CHERCHER QUELQUE CHOSE DE VAGUE ET D’INCERTAIN VU SUR LEUR ÉCRAN À RAYON-X. S’il y avait un moyen d’aider le personnel à inspecter votre équipement sans avoir à fouiller physiquement, le feriez-vous ?
Vous y trouverez ce qui est permis d’apporter en cabine ou si ce doit être transporté en soute. Sachant cela, vous pourrez empaqueter correctement… ou laisser l’objet à la maison.
Je voudrais prendre quelques minutes pour parler de quelques façons de préparer votre voyage qui pourront aider à améliorer cette partie de l’expérience. Ci-dessous sont quelques astuces et suggestions qui viennent de mon expérience des deux côtés de la ligne de sécurité. Essayez-en et voyez si vous pouvez rendre votre expérience au point sécurité plus plaisante.
Vous pouvez aussi télécharger et utiliser l’application de l’ACSTA au https ://www. catsa-acsta.gc.ca/fr/app-mobile pour vérifier le temps d’attente à votre aéroport et trouver l’information sur les objets permis ou défendus. Assurez-vous de vérifier les règles et les restrictions à l’avance dans le cas où vous avez des objets inhabituels dans vos bagages (globe de neige, bâton de randonnée).
CONNAÎTRE LES RÈGLES ET LES RESTRICTIONS
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Qu’avez-vous le droit d’apporter en voyage ? Y a-t-il des limitations sur le nombre de certains éléments autorisés ? L’une des principales raisons pour laquelle des gens subissent une fouille est qu’ils apportent trop de liquides, aérosols, gels et/ou des contenants qui dépassent la limite autorisée. Les liquides, gels et aérosols doivent tous être de 100 ml ou moins et doivent tous entrer dans un sac de plastique de 1 litre que vous trouverez à l’entrée de tous les points d’inspection. Chaque personne est limitée à un sac. Rappelez-vous de vider vos grandes bouteilles d’eau et assurez-vous de vérifier que vous avez retiré des contenant qui auraient pu rester là depuis votre dernière expédition. Des exceptions sont permises pour des fournitures médicales comme des solutions pour lentilles de contact et du sirop contre la toux. Gardez en tête que les items dépassants 100 ml seront interceptés, vérifiés et testés, alors sortez-les de votre sac pour accélérer le processus et éviter une fouille supplémentaire. Si vous n’êtes pas certains qu’un objet est accepté ou non, prenez le temps de visiter le site web de l’Autorité canadienne de la Sécurité des transports aériens (ACSTA) au www.catsa-acsta.gc.ca pour trouver la réglementation qui concerne vos objets.
SE PRÉPARER AVEC SUCCÈS Alors que vos objets passent par les rayons-x, la machine prend deux images du contenu. Une du dessus et une de côté. Sachant cela, ceci vous aidera à placer les items dans votre sac et vous laisser déterminer comment placer au mieux dans le bac pour l’inspection. Avant de procéder, vous devez savoir à quoi ressemble votre équipement aux rayons-x. Les équipements électroniques et batteries - les appareils photos, téléphones portables, tablettes, chargeurs, disques durs, posemètres, déclencheurs, et autres, apparaissant comme une collection de fils, circuits électroniques et les composants qui les entourent. Ils peuvent être très difficiles à voir au travers s’ils sont empilés dans votre sac. Les batteries ont des restrictions de taille et la plupart des batteries d’appareil photo respectent ces limites. Jetez un œil au tableau des restrictions et exclusions. Type de batterie
Cote de En cabine Watt-heure (Wh)
En soute
Dans un équipement
Moins de 100 Wh
OUI
OUI
Rechange
Moins de 100 Wh
OUI
Seulement avec l’appro bation du transporteur
Dans un équipement
100-160 Wh
OUI
Seulement avec l’appro bation du transporteur
Rechange
100-160 Wh
Deux par pers. Seulement avec l’appro avec l’approbation bation du transporteur du transporteur
Dans un équipement
Plus de 160Wh
NON
Seulement avec l’appro bation du transporteur
Rechange
Plus de 160 Wh
NON
Seulement avec l’appro bation du transporteur
Objectifs - Ils apparaissent différemment, selon comment ils sont construits. Meilleure est la qualité de l’objectif, plus dense le verre apparaitra à l’intérieur. Plus l’objectif et ses mécanismes sont complexes, plus il sera difficile de distinguer les différentes pièces. Câbles - Se présentent comme enchevêtrement de fils qui sont difficiles à voir au travers selon leur quantité et comment ils sont placés dans votre sac.
Objets communément interdits - Briquet torche - Aérosol contre la statique - Couteau, ciseaux, outils avec une lame ou un outil de plus de 6 cm - Beurre d’arachide, Nutella, gelée, autres items que l’on peut tartiner, boîte à jus, yogourt de plus de 100 ml Si vous prenez quelques minutes de plus pour planifier vos bagages avant de vous rendre à l’aéroport vous vous éviterez du stress et de l’irritation lors du passage à l’inspection. Si tous les passagers aidaient les officiers d’inspection à vérifier plus efficacement et rapidement, il y aurait une réduction considérable du temps d’attente et de l’anxiété au poste de sécurité. Arriver bien en avance de l’heure d’embarquement (je crois que les compagnies aériennes recommandent deux heures pour les vols domestiques et 3-4 heures pour les vols internationaux) est également une bonne idée, juste au cas où ce serait un moment occupé à l’aéroport et qu’il y a une file d’attente. Le stress à la sécurité d’un aéroport est la plupart du temps lié aux gens qui arrivent avec peu ou pas de temps devant eux et qui doivent attendre en ligne avec des centaines d’autres gens… qui sont tout autant pressés et mal préparés pour l’inspection de sécurité.
Pensez que chaque image aux rayons-x est comme un calque semi-transparent dans Photoshop. L’opérateur de rayons-x peut voir au travers l’image en tranche et d’angle différents (comme les modes de mélange dans Photoshop) pour déterminer ce qui se trouve dans le sac ; cependant, quand des objets complexes sont emballés les uns contre les autres, ceci rend l’image aux rayons-x floue et presque impossible de voir au travers. Quand l’opérateur de rayons-x ne peut pas déterminer ce qu’il voit, il envoie le sac pour une recherche manuelle à un autre officier. Si vous voulez réduire les chances que votre sac soit stoppé vous devez faire au mieux pour aider les inspec teurs à vérifier que rien de dangereux ne s’y trouve.
Astuces pour les inspections aux rayons-x - Faites votre sac de telle façon qu’il soit facile de voir le contenu d’en haut et de côté. - Toujours prendre vos ordinateurs portables, imprimantes ou autre grands appareils électroniques et les sortir pour les placer bien en vue dans un bac prévu à cet effet. - Pensez à sortir vos appareils et objectifs de grande dimension pour réduire l’encombrement dans votre sac.
Bien sûr, on ne peut être parfait 100 % du temps. On peut oublier un objet interdit dans un sac ou vous pouvez tomber sur un officier débutant qui n’a jamais vu un boitier plein format avec un objectif professionnel. Soyez patient s’ils décident d’inspecter vos bagages et rappelez-vous qu’ils ne font que leur travail en appliquant les règlements pour assurer votre sécurité et celle des autres pour votre vol, tout en essayant de faire passer les gens le plus simplement et rapidement possible. Si vous pensez à une façon d’améliorer le processus, ou si vous avez des questions, commentaires, plaintes ou compliment en lien avec votre expérience à l’un des points de contrôle, vous avez quelques options pour contacter l’ACSTA : - Parlez au gérant du point de contrôle pendant que vous êtes encore sur place. - Utilisez l’une de ces options pour contacter l’ACSTA directement : • Appelez
1 888 294-2202 (sans frais) si vous avez une question qui nécessite une réponse immédiate.
• Contactez
l’ACSTA via leurs comptes sur les réseaux sociaux ou leur site web. Ils répondent du lundi au vendredi. ° Twitter : https ://twitter.com/catsa_gc ° Facebook : https ://www.facebook.com/CATSAGC/ ° Formulaire en ligne : https ://www.catsa-acsta.gc.ca/en/form/questionscomments-complaints
Un dernier point : faites de votre mieux pour être amical et poli, ça fonctionnera mieux. Bon voyage !
- Si vous avez plus d’une tablette, sorte-en une ou toutes. - N’empilez pas vos petits électroniques dans votre sac. - Si vous avez plusieurs câbles, pensez à les ranger chacun dans leur étui et sortez-les du sac. - N’ayez crainte d’utiliser plusieurs bacs, il est plus facile de voir lorsqu’il y a moins d’objets par bac.
Jeff McDonald, BSc, CPA Jeff possède et dirige McDonald Photographe à Calgary en Alberta. Il possède le titre d’Artisan des arts photographiques et a des accréditations des PPOC dans les catégories Animaux, Commercial, Performance d’artiste et Portrait en studio. Il est aussi un officier d’inspection L3 dont la tâche est d’appliquer les lois et règles de l’Agence canadienne de la Sécurité des transports aériens (ACSTA) à l’aéroport de Calgary.
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IDUKE/Wikipedia
RABIH MADI
ACCREDITATION : HISTOIRE DE MARIAGE par Rabih Madi
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#RACONTETONHISTOIRE (#HAVEYOURSTORYTOLD) - C’EST LE MOT-DIÈSE QUE J’AI CRÉÉ APRÈS QUELQUES ANNÉES À PHOTOGRAPHIER DES MARIAGES. QUAND J’AI COMMENCÉ – PLUS SÉRIEUSEMENT - JE FAISAIS BEAUCOUP DE MARIAGES « ETHNIQUES » (LIBANAIS / SYRIENS / ARMÉNIENS) ET BIEN QUE CEUX-CI M’ONT AIDÉ À ME LANCER EN PHOTOGRAPHIE DE MARIAGE, J’AI AUSSI APPRIS QUE DERRIÈRE CHAQUE TRADITION, CHAQUE PETIT ÉLÉMENT DE CES 14 + HEURES DE LA JOURNÉE, IL Y A UNE HISTOIRE - UNE HISTOIRE QUI EST UNIQUE. AU FIL DES ANNÉES ET DES MARIAGES, J’AI VU QU’UNE DES FAÇONS DE RENDRE LA JOURNÉE UN PEU DIFFÉRENTE EST D’ESSAYER DE TROUVER L’HISTOIRE ET CHAQUE PERSONNE EN A UNE - C’EST POURQUOI J’AI TOUJOURS MENTIONNÉ « RACONTE TON HISTOIRE ». Quand je vais à un mariage, je suis stressé, je crains de ne pas performer aussi bien que je le voudrais, car il n’y a pas de répétition le jour du mariage. Cependant, je suis enthousiasmé de voir ce que ce grand jour me réserve et comment je peux capturer ce qui se passe « dans l’arrière-scène ». La majorité des gens a tendance à s’attacher à une image quand il s’agit d’une histoire qui doit être racontée, quand il y a un sens à l’image. Dans 20 ans, ils ne veulent pas dire à leurs amis et à leur famille : « Oh, le photographe m’a fait répéter cela 4 fois ». Ils se contentent de dire « Waouh, je me souviens d’avoir essayé de le faire plusieurs fois, jusqu’à ce que j’abandonne et c’est la réaction que j’ai eue ! » En gardant cela à l’esprit, j’ajoute un défi à chaque mariage : je dois avoir au moins une photo « WOW » ou une photo complètement différente de celles que je fais normalement ! Et cette approche m’a aidé à devenir créatif ! Quelle est la définition de la folie déjà ? Faites-vous la même chose encore et encore et attendez-vous un résultat différent ? - Quelque chose comme ça - Eh bien, c’est une petite variation, essayez d’approcher la journée en vous disant « voyons ce que je peux faire de totalement différent de la précédente ». Même si vous devez créer la scène, soyez celui ou celle qui la prend en charge ! Si vous avez vu une partie de mon travail, vous voyez des épouses dans les airs, ou une émotion folle parfois, et bien, pour être totalement transparent, tout ne se fait pas sans mon intervention. Parfois, je dis aux invités du mariage : prenez la mariée ou le marié et envoyez-les en l’air - capturons des émotions naturelles, cela fonctionne normalement !
La soumission à l’accréditation d’avril dernier (2019), c’était un mariage vraiment amusant et je voulais le mettre en valeur ! Mais si je reste honnête, je suis intervenu plusieurs fois parce que j’ai vu quelque chose que je ne fais pas normalement. Une de mes photos préférées est celle où la mariée prend sa robe et monte les escaliers ! Environ 30 minutes avant cette image, j’avais placé la robe pour la prendre en photo car la lumière naturelle était tout simplement incroyable ! Plus tard, pendant la préparation et après le petit-déjeuner, la mariée a décidé de monter les escaliers mais elle avait oublié sa robe, alors nous avons crié (mon assistant aussi) – « HEY, ta robe ! » Alors elle la prit et commença à monter l’escalier lentement. Ainsi, nous avons eu le temps de configurer notre éclairage et de photographier la mariée qui l’a prise sans qu’elle sache que nous avions déjà effectué notre test d’éclairage. Toute cette histoire pour dire que nous intervenons parfois pour créer quelque chose de naturel ; n’hésitez pas à prendre le relais et à faire de la « mise en scène » afin que vous puissiez obtenir quelque chose que vous n’obtenez pas normalement. Bien qu’une image de la mariée ou du marié près de la fenêtre qui regarde
à l’extérieur ou devant la caméra soit importante, ce n’est pas la vraie histoire ici, c’est ce qui se passe avant et après qui raconte réellement cette journée. Mon conseil lorsque vous essayez de vous rendre à un mariage est de toujours y aller comme si vous racontiez un conte pour dormir ou si vous vouliez écrire un scénario de film pour le rendre stimulant et amusant. Vous êtes les artistes et c’est votre travail de leur montrer ce que les autres ne peuvent pas voir, c’est vous qui racontez l’histoire et l’approchez en tant que telle.
Pour être encore plus technique, jetons un coup d’œil à certains des équipements que j’utilise à chaque mariage et à la façon dont j’ai réalisé les photos qui m’ont valu l’accréditation. Premièrement, j’utilise du matériel Nikon et mes boitiers principaux
sont les D750, D850 et Z6 (nouveau) et mes objectifs principaux sont de 24-35-50-85 mm, tandis que l’objectif principal est l’objectif macro (105 mm). Récemment, je viens d’acquérir le 135 mm de Sigma. En général, chaque jour, je photographie tous les détails et les maquillages avec un 85 ou un 105 mm ! Le niveau de détail ne peut être atteint qu’avec un
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Sur un plan plus technique, j’ai suivi de nombreux cours, participé à des ateliers et participé à quelques compétitions. Il y a certaines choses que tout le monde devrait prendre l’habitude de faire ! Ayez toujours votre équipement prêt et maîtrisez-le ! Vous voulez être prêt à prendre des photos avant que l’action ne se produise. Laissez-moi vous expliquer… avez-vous déjà assisté à un match de boxe ? Avez-vous déjà vu les photographes travailler ? Ils prennent des centaines d’images avant l’action… pourquoi ? La réponse est évidente, c’est parce qu’ils espèrent capturer quelque chose de solide, c’est l’anticipation que quelque chose va se passer ! Si votre appareil photo est éteint et que le capuchon est sur votre objectif… alors ces émotions brutes, ces larmes sur la joue, risquent de vous filer entre les doigts ! Alors, soyez prêt à TOUS les instants lors d’un mariage ! Un autre conseil technique que je pourrais vous donner, que j’ai appris de nombreux photographes, est parfois de prendre des photos sous un angle différent de celui que la plupart des gens voient (invités par exemple). Si vous affichez des images qui ont le même cadrage qu’une image de téléphone, en quoi êtes-vous différent ? N’oubliez pas que nous devons effectuer ces prises de vue sûres, ces prises de vue à angle « normal », mais essayez toujours de fournir une image supplémentaire avec une perspective différente. Cela va beaucoup vous aider.
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objectif spécial (comme la photo de la bague en page 17), celui-ci étant le 105 mm. De plus, j’aime toujours créer des ombres dans ma prise de vue pour créer une impression de profondeur dans la photo, normalement entre 90 et 30 degrés par rapport au sujet que je photographie. Maintenant, d’un autre côté, comme j’avais le D850 avec un objectif portrait, cela signifie que mon autre boitier avait un objectif moyengrand angle, donc je photographiais avec le 35 mm. L’image qui a été récompensée par une « Excellence », j’utilisais le D750 et ce n’était pas seulement du talent, mais de la chance. Cette maison était immense avec des fenêtres incroyables et une lumière naturelle, le travail était donc à moitié fait pour moi, je devais juste jouer avec les réglages. Une règle que j’ai apprise est qu’il ne devrait pas y avoir de grande différence d’exposition entre les lumières et les ombres (moins de 2 ou 3 stops sur de très bons appareils). Qu’est-ce que ça veut dire ? Eh bien, si vous utilisez la mesure spot, vous pouvez voir le petit marqueur sauter de haut en bas, assurez-vous que le marqueur ne bouge pas trop. Si ce n’est pas le cas, vous pouvez prendre le cliché et récupérer dans Lightroom. Donc, en général, je m’approche toujours des images où je peux créer de la profondeur et de la « superposition » et si vous n’avez aucun objet devant ou derrière, vous devriez jouer avec votre « ouverture » pour créer cette profondeur. Je sens que j’ai beaucoup écrit et que je peux écrire beaucoup plus ! Mais pour terminer, ces compétitions auxquelles j’aime participer sont destinées à me perfectionner et non à servir mes clients. Avec chaque victoire, j’ai eu 10 défaites ! Ne le faites pas parce que vous pensez avoir plus de clients. Les clients se soucient d’aimer leurs photos, que vous en gagniez 1000 ou 1 ! Lors de mes participations à ces compétitions, telles que la dernière accréditation, j’ai choisi un mariage qui me convenait bien, qui transmettait le plus d’émotions, mais qui avait aussi une histoire unique. Donc, le défi que je vous propose : prenez un appareil photo (vous devriez toujours en avoir un avec vous) et photographiez un ami, un être cher, un étranger s’il est gentil et marchez pendant une heure. Cette heure-là, il suffit de saisir les différentes émotions que le sujet peut dégager. Prenez différentes actions et essayez de les anticiper ! Je suis presque sûr que vous pouvez avoir une douzaine de photos pouvant raconter l’histoire de votre activité d’une heure ! Imaginez utiliser cette approche pendant 8-10-12 heures ! Combien d’images pouvez-vous obtenir ? J’espère vous voir au prochain événement et mettez-vous au travail !
Rabih Madi Né en Arabie Saoudite, puis ayant immigré au Canada après m’être arrêté en chemin dans plusieurs pays, voyager est dans mes veines. Mais dès que j’ai pris un appareil pour la première fois lors de mon voyage pour voir ma famille, et que j’ai capturé ces visages et paysages, j’ai su que j’avais trouvé quelque chose de spécial. Voir ces visages illuminés, regardant l’avenir, était le parfait début de carrière. Je savais que je me diriger vers la photographie de « gens », mais je ne savais pas exactement quoi… jusqu’à maintenant !
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PROGRAMME DU CONGRÈS DES PPOC 2020
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PRENDRE EN PHOTO LES REFLETS DE GOUTTE D’EAU
POUR DES IMAGES MACRO par Don Komarechka TELLES DE PETITES BOULES DE CRISTAL, LES GOUTTES D’EAU PEUVENT AJOUTER UN ÉLÉMENT MAGIQUE AUX PHOTOS MACRO. IL Y A BEAUCOUP D’ÉLÉMENTS À PRENDRE EN COMPTE, MAIS LE CONCEPT DE BASE EST SIMPLE : UNE GOUTTE SPHÉRIQUE PEUT SERVIR DE LENTILLE, RÉFRACTANT LA LUMIÈRE D’UN OBJET SE TROUVANT DERRIÈRE ELLE.
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Trouver de belles gouttes d’eau peut être problématique, car beaucoup de surfaces dispersent l’eau plutôt que de créer de belles perles. En utilisant de l’eau pure (sans glycérine ou autres additifs), un des objets de premier plan les plus faciles à utiliser est une graine de pissenlit (image 1). Toutes les graines de fleurs sauvages ayant un duvet fonctionneront sûrement ici, pour créer exactement le genre de gouttes dont nous avons besoin, tout en conservant une ligne de vue dégagée vers l’arrière-plan. Le pâturin, les toiles d’araignées, les feuilles d’épine-vinette et de lupin et les sarments de vignes sont d’autres surfaces de premiers plans qui fonctionnent bien (image 2).
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Un simple brin d’herbe torsadé couvert de fines gouttes d’eau peut être une composition convaincante, mais ces images révèlent l’un des défis auxquels sont confrontés tous les photographes : la profondeur de champ est si faible qu’elle ne 3a
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de contrôle est nécessaire ici pour obtenir les meilleurs résultats. Heureusement, un morceau de carton placé au bon endroit peut projeter une ombre au premier plan sans affecter la lumière de l’arrière-plan. Comparez l’image à l’arrière de l’écran LCD de l’appareil photo avec les résultats ci-dessus (image 5). Dépendre d’un flacon pulvérisateur peut être un élément de chaos indésirable, surtout si vous souhaitez placer des gouttelettes très précisément. Si vous souhaitez contrôler cet élément, utilisez une aiguille hypodermique à voie étroite pour placer les gouttelettes à l’endroit souhaité. La pointe de l’aiguille étant hydrophobe, l’eau veut y échapper et « sauter » sur la surface sur laquelle vous essayez de la poser plus facilement que si vous utilisiez une pipette en verre ou une pipette en plastique. J’ai acheté des aiguilles à bouts arrondis sur eBay (image 6).
s’étend pas jusqu’à la profondeur du brin d’herbe. Nous récoltons les avantages d’un arrière-plan doux et lisse, et certaines images peuvent survivre avec une profondeur de champ aussi courte, mais l’empilement de mises au point (focus stacking) est la solution si vous souhaitez des détails de premier plan parfaits (images 3a et 3b). L’empilement de mises au point est une technique qui vous permet d’étendre votre profondeur de champ en déplaçant très légèrement la mise au point afin de couvrir une plage de mises au point qui se chevauchent. Plus vous ajoutez de prises supplémentaires, plus votre profondeur de champ augmente. Nous voulons le meilleur des deux mondes : éviter un arrière-plan encombré tout en ayant la netteté désirée partout, tout en évitant les problèmes de diffraction. Il existe de nombreuses applications logicielles disponibles pour combiner ces images, mais avec moins d’une douzaine d’images nécessaires au maximum pour le travail en gouttelettes d’eau, ma préférence est ON1 Photo RAW ou Photoshop (image 4). L’éclairage est une autre considération clé ici : les gouttelettes doivent « briller ». Pour ce faire, des flashes externes ou des lampes de poche à LED brillantes sont utilisés pour éclairer davantage l’arrière-plan que le premier plan. Le premier plan n’a pas besoin d’être complètement en silhouette, mais un certain niveau
Jusqu’à présent, chaque image de cet article utilise une sorte de fleur ressemblant à une marguerite : la symétrie radiale et le design plat conviennent parfaitement aux expériences initiales, mais ne laissez pas cela vous limiter. Placez une photo derrière la gouttelette et voyez-la se réfracter également à travers la lentille minuscule ! Qu’en est-il du feu ou d’une image 7
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La graine de fleurs sauvages de cette image est délicate à traiter car elle « s’anime » lorsqu’elle est mouillée, elle se tord et se retourne lorsque sa tige absorbe de l’humidité. Vous pensez avoir la composition parfaite ? Ajoutez de l’eau et cela change presque immédiatement. La meilleure partie d’une journée a été consacrée à deviner où une courbe changerait, puis à photographier les lignes et les formes souhaitées (image 9). Une plante en mouvement est une chose, mais qu’en est-il d’un acteur réel ? Certaines créatures resteront relativement immobiles, comme ce charançon immigrant vert sur une jeune feuille d’épine-vinette. Avec l’éclairage en place, l’exposition et l’alignement testés, ajoutez simplement quelque chose de plus dynamique ! Ces charançons ne bougent pas trop vite, ils restent souvent immobiles quelques instants à la fois (image 10). 10
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pyrotechnique explosive ? Un papillon ? Mieux encore, parcourez les archives du domaine public de la NASA pour trouver une carte de la Terre et placez notre planète dans une goutte d’eau : (image 7). Une sélection judicieuse des sujets, une attention particulière pour l’arrière-plan et une superposition de la mise au point entrent en jeu, mais la vitesse l’est aussi. Les plus petites gouttelettes d’eau s’évaporent très rapidement. Selon l’humidité relative dans laquelle vous travaillez, elles peuvent disparaître en moins d’une minute. Parce que l’alignement des ingrédients visuels est mieux réalisé en faisant pivoter la caméra autour des gouttelettes en tant que centre de rotation, l’utilisation d’un trépied est fastidieuse ou du moins, non productive en termes de temps. La plupart des images de cette série ont été prises à la main, avec un alignement des images en post-traitement pour compenser les décalages d’image. Soutenir l’extrémité de l’objectif avec votre main gauche ou votre bras gauche contribue grandement à la stabilisation de votre objectif, même si un certain niveau de pratique est nécessaire. Pousser légèrement votre visage légèrement sur l’arrière de l’appareil photo peut suffire à déplacer la mise au point de la quantité dont vous avez besoin, sinon déplacez légèrement tout votre torse pour un meilleur contrôle de ce décalage de mise au point. Cela semble fou, mais cela fonctionne ; rappelez-vous : des mouvements très légers (image 8). L’image « en arrière-scène » ci-dessus représente une graine de fleurs sauvages (Prairie Smoke) serrée sous la surface de l’eau avec un « outil de troisième main », facilement disponible sur Amazon pour moins de 10 $. Vous en voudrez plusieurs, car elles sont un outil indispensable pour ce type de photographie. Ils se cassent également assez facilement et se corrodent si vous les laissez dans des seaux d’eau, mais en tant qu’objet peu coûteux, ils peuvent être facilement remplacés.
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Les coccinelles et les fourmis sont une histoire différente, vous obligeant à les pourchasser dans une certaine mesure, en espérant que vous pourrez toujours garder l’alignement pour une réfraction décente des gouttelettes. Une fois que vous maîtriserez les simples réfractions de gouttelettes, l’ajout de défis supplémentaires peut être une entreprise amusante. Parfois, vous ne l’aurez pas, parfois vous serez chanceux (image 11).
Don Komarechka Don Komarechka est un photographe de nature et de macro basé à Barrie, en Ontario. Des aurores au pollen, des insectes à l’infrarouge, les nombreuses aventures photographiques de Don révèlent une compréhension plus profonde du fonctionnement de l’univers. Explorer le monde que nous ne pouvons pas voir de nos propres yeux a été un fil conducteur dans la carrière de Don en tant que photographe professionnel. Son travail va souvent à l’encontre des limites techniques des appareils photographiques modernes et des limitations physiques de la lumière elle-même.
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RABAIS DE 20% SUR LES RÉPARATIONS
LORSQUE TA JOURNÉE EST UNE JOURNÉE DE CHIENS,
ET QUE C’EST UNE BONNE CHOSE ! AUTOMNE 2019 | MAGAZINE GALLERIE | 26
par Marc Durocher CE PRINTEMPS, J’AI DÉCIDÉ D’ESSAYER UNE NOUVELLE STRATÉGIE MARKETING AXÉE SUR LA PHOTOGRAPHIE EN STUDIO NOIR ET BLANC DE PORTRAIT DE CHIEN. JAMES HODGINS, UN ANCIEN MEMBRE DES PPOC, ORGANISAIT UNE COLLECTE DE FONDS UNE FOIS PAR AN POUR LA SPCA LOCALE DE SUDBURY. APRÈS AVOIR DISCUTÉ AVEC LUI, IL M’A ENCOURAGÉ À TENTER MA CHANCE. IL A MÊME PARTAGÉ TOUTE SA STRATÉGIE MARKETING ET M’A OFFERT DE NOMBREUX CONSEILS POUR EN FAIRE UN SUCCÈS. JE SUIS PEUT-ÊTRE PHOTOGRAPHE À TEMPS PARTIEL, MAIS POUR MOI, LE SUCCÈS FINANCIER DE CETTE PROMOTION ÉTAIT IMPORTANT, CAR MA RESSOURCE LA PLUS PRÉCIEUSE EST MON TEMPS. J’AI AUSSI ADORÉ CETTE IDÉE, CAR JE FAIS BEAUCOUP DE BÉNÉVOLAT TANT AU NIVEAU LOCAL QU’INTERNATIONAL ET J’AI PENSÉQUE CELA CONVENAIT PARFAITEMENT À MA MARQUE. James m’a expliqué que le secret de son succès avec cet événement annuel d’une journée était de faire une campagne de marketing en ligne de 2 à 3 mois, de poster des teasers et de créer de la demande avant même d’ouvrir les réservations de la journée. Il a également recommandé de trouver un chien à utiliser dans la publicité. J’ai aussi trouvé un chien très énergique et sympathique, nommé Toby, qui a été mon modèle et mon porte-parole !
J’ai commercialisé l’événement comme un portrait beaux-arts de votre bébé poilu. J’ai vendu les 20 places bien à l’avance. Les frais de session s’élevaient à 30 $ et je les ai reversés à 100 % à l’organisme de bienfaisance au nom du client afin qu’il reçoive le crédit d’impôt. Les clients devaient également apporter un article pour la SPA à partir de la liste fournie. De plus, chaque client devait acheter un de mes forfaits photo, et c’était là que je gagnerais de l’argent. Mon plus petit forfait était au coût de 89 $ et le plus grand 1199 $. J’en ai vendu 11 à 89 $ et 9 à 289 $. J’étais satisfait des résultats financiers et les commentaires de mes clients. Chaque forfait ne comprenait qu’une seule image pour limiter mon temps de retouche, mais des images supplémentaires étaient disponibles à un coût supplémentaire. Environ la moitié de mes clients a acheté des images supplémentaires que j’ai vendues à mes prix habituels. Je m’attendais à ce que beaucoup achètent le minimum. J’ai donc conçu ce forfait pour limiter les coûts à 5 $ et maximiser un profit brut d’au moins 75 $ par chien.
COMMENT AI-JE ORGANISÉ LA JOURNÉE J’ai publié beaucoup de détails sur mon site Web. J’avais également une longue section de FAQ pour répondre à une multitude de questions fréquentes que James a dit avoir reçues par le passé. J’ai fait un rappel à tous les clients une semaine avant leurs séances. renifler librement pendant les 5 premières minutes, puis dans 95 % des cas, j’avais au moins 5 à 10 images utilisables au cours des 5 à 7 minutes suivantes. J’ai demandé à mes clients de préréserver une session de visionnage d’images la semaine suivante (à nouveau le vendredi soir et le samedi) en même temps qu’ils réservaient leurs séances de photos. J’avais deux assistants, tous deux bénévoles, l’un travaillant avec les clients pour les tâches administratives (elle était bénévole pour la SPA) et la mère de Toby, talentueuse avec les chiens et bonne amie à moi. Je crois que la raison pour laquelle j’ai pu obtenir tant de superbes images si rapidement était à cause d’elle. Elle a compris ce dont j’avais besoin en termes de poses (garder les yeux du chien face à la lumière principale) et de placement général pour obtenir les meilleurs angles, et nous avons très bien travaillé ensemble. En échange de son aide, je lui ai donné une toile de son chien Toby de 40 po. x 20 po.
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J’ai débuté l’événement le vendredi soir et c’était une invitation pour les amis et la famille. J’ai utilisé cette soirée pour peaufiner ce que j’avais appris en photographiant mon modèle, Toby. Ces séances étaient un peu plus longues que mes séances ordinaires pour que je puisse faire les bons ajuste ments. Le lendemain matin, j’ai eu 15 séances de 20 minutes chacune et des réservations dos à dos toutes les 30 minutes. Cela me donna le temps de rassembler les images et de présenter mes meilleures sélections sur un téléviseur mural de 65 pouces. Au début, je craignais que 15 minutes ne soient pas suffisantes, mais à la fin, j’ai trouvé que j’avais amplement le temps. Je laissais le chien entrer et
LES DÉTAILS TECHNIQUES
POST-TRAITEMENT
Oui, mon studio c’est mon salon, et ce depuis mes débuts. J’ai déplacé le grand réflecteur à l’arrière de la photo au côté droit de l’appareil. J’étais assis par terre autour de la zone où se termine le fond blanc. Je voulais une perspective différente, donc la plupart des images ont été prises avec un objectif grand-angle 16-35 mm, utilisée principalement entre 20 mm et 35 mm et j’étais assis ou allongé sur le sol. Les réglages de l’appareil photo étaient 1/160 f5.6, ISO 320.
J’ai décidé de faire de cet événement un événement uniquement en noir et blanc pour plusieurs raisons. Premièrement, j’aime l’esthétique et, deuxièmement, cela donnait une apparence haut de gamme beaux-arts. J’ai présenté les images en couleurs à mes clients avec un exemple d’image en noir et blanc. J’ai créé un paramètre prédéfini dans Lightroom pour apporter des modifications globales aux images brutes lors de l’importation. Une fois qu’ils ont acheté une image, je l’ai importée dans Photoshop où j’ai utilisé quelques actions, ce qui a accéléré le traitement. Une des raisons pour lesquelles j’ai photographié en clair-obscur c’est que ça m’a permis de recadrer l’image finale à la dimension dont j’avais besoin. Dans mes forfaits, tous les canevas avaient une orientation paysagée 2 :1 (c’est-àdire 40 x 20, 24 x 12).
Je me suis vite rendu compte que pour obtenir les meilleures expressions de chien qui changent si rapidement, je voulais tirer à 6 IPS. J’ai fait beaucoup d’essais pour m’assurer que mes lumières pourraient se recycler assez rapidement. Les deux rétroéclairages (400 ws chacun) ils étaient réglés à 1/16 de la puissance et la lumière principale (640 ws) à 1/32. Cette configuration m’a permis de tirer à 6 images par seconde en continu. Le contre-jour a été mesuré pour être environ deux arrêts plus puissants que mon éclairage principal, qui fournit un arrièreplan blanc pur qui m’a fait gagner beaucoup de temps en retouche.
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J’ai utilisé une énorme source de lumière située à seulement quelques mètres de sorte que, même si le chien n’était pas à la position idéale, j’obtiendrais tout de même la lumière que je voulais.
J’ai également créé mes propres préréglages dans Topaz Labs, qui ont été appliqués à chaque image pour la conversion des contrastes, la clarté et le noir et blanc. L’action l’a sauvegardé dans un calque séparé afin que je puisse faire quelques retouches mineures en ajustant l’opacité du calque et donc l’intensité de l’effet. Ce processus m’a permis de garder un aspect cohérent, mais aussi de m’ajuster légèrement pour les chiens foncés et les chiens clairs. Si vous souhaitez voir plus d’images de Journée de chiens, vous trouverez quelques-unes de mes préférées sur mon site Web : http://www.marcdurocher.com/portfolio/dog-portrait-day/ Si vous avez des questions, poursuivons la conversation sur le groupe Facebook des PPOC !
Marc Durocher Je m’appelle Marc Durocher et je suis un photographe à temps partiel accrédité et basé à Timmins, en Ontario. Je suis membre des PPOC depuis 2012 et je suis impliqué comme volontaire avec les PPOC dans plusieurs projets autant au niveau local, provincial et national. Je suis actuellement le trésorier de la région de l’Ontario. En 2016, j’ai remporté le meilleur de sa catégorie au Salon de l’image Ontario et je suis en voie pour obtenir mon CPA.
STUDIO DANS LE CIEL par Chris TT Thombs, CD, MPA
La première chose que tous les photographes doivent avoir au début est au moins 100 sauts en parachute et un mentor. La raison en est de s’assurer que le parachutiste a les bases et peut faire face aux urgences qui peuvent survenir, de simples vrilles de lignes, un atterrissage en dehors du site et, bien sûr, une gestion en toute confiance d’un parachute en panne. Le mentor ou l’entraîneur est extrêmement important, car il aidera à former le nouveau photographe parachutiste à l’utilisation des ailes sur leur combinaison photo avant même d’attacher la caméra à la tête. Cela est dû au fait que l’introduction d’ailes sur le photographe parachutiste causera même des problèmes lors de l’activation du parachute si elle n’est pas effectuée correcte ment, mettant potentiellement le photographe parachutiste dans une position de rotation non contrôlée pouvant causer un dysfonctionnement du parachute principal et du parachute de secours. Le mentor transmet également les réglages du matériel photographique les plus utilisés dans le ciel, en permettant aux entraîneurs de sauts en parachute de travailler sur le maintien du niveau et du contrôle du taux de chute. Ceci permettra au nouveau photographe parachutiste de s’entraîner à garder le cadrage et la composition de la sortie de l’avion au déploiement des parachutes avec un sujet expérimenté pouvant réagir à la situation. L’image idéale pour la photographie de parachutisme varie d’une discipline à l’autre et continue d’évoluer. Certaines photographies sont trompeusement complexes à créer.
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FAIRE VOLER LE BOITIER À 120 OU 200 KM/H EN SORTANT D’UN AVION À UNE ALTITUDE VARIANT ENTRE 3 000 ET 20 000 PIEDS AU-DESSUS DE LA TERRE, EN UTILISANT VOTRE TÊTE COMME TRÉPIED, AINSI QUE COMME SUPPORT POUR L’ÉCLAIRAGE. AVEC PEUT-ÊTRE SEULEMENT 56 SECONDES OU MOINS DE TEMPS DE TRAVAIL POUR OBTENIR LE CLICHÉ. DÉCLENCHER VOTRE APPAREIL PHOTO AVEC UN DÉCLENCHEUR DANS LA BOUCHE, UTILISER UN SITE POUR CADRER LA PHOTO ET FAIRE PIVOTER VOTRE CORPS AUTOUR DE VOTRE TÊTE POUR MAINTENIR LA PRISE DE VUE STABLE ET BIEN CADRÉE. VOUS ÊTES MAINTENANT ENTRÉ DANS LE ROYAUME DU PHOTOGRAPHE PARACHUTISTE. ET CE N’EST QUE LE DÉBUT DE LA RÉSOLUTION DU PROBLÈME AUQUEL LE PHOTOGRAPHE PARACHUTISTE DOIT FAIRE FACE POUR CRÉER SON TRAVAIL.
Le parachutisme a tellement de disciplines et de possibilités créatives différentes qu’il est trop difficile d’en parler dans un court article. Certains veulent avoir la symétrie, verrouiller l’action, d’autres veulent montrer le passager (le client) et l’environnement. Donc, je vais vous donner les bases de ce qui se passe vraiment dans une séance photo de parachutisme. Il y a d’abord la pratique du saut en parachute sur le sol avant de s’envoler. Cela s’appelle un « saut sale » (dirtdive). Il s’agit de planifier, de définir le cadre et d’atténuer le risque de tuer le client ou de vous tuer vous-même. Cela aide également à pouvoir se préparer à anticiper l’action à mesure que les choses évoluent dans le ciel.
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Ensuite, il y a l’installation du casque d’appareil, certains viennent de mettre la caméra en mode auto, en mode « capture et prière ». Les photographes parachutistes qualifiés utiliseront un site de boucle calibrée, des réglages manuels, une distance hyper focale en utilisant une distance connue et parfois l’ISO automatique. De plus, certains d’entre nous vont sauter avec le flash d’appoint pour essayer de contourner les conditions d’éclairage, car parfois les vents sont bons mais l’éclairage est nul lorsque vous travaillez en tant que photographe parachutiste. Ensuite, il y a la préparation, assurant que le parachute est en état de fonctionnement en l’inspectant pour s’assurer qu’il fonctionnera correctement, allumant / réglant l’altimètre audible et allumant le dispositif d’activation d’urgence. Il est fortement recommandé d’avoir un système de détachement sur le casque de la caméra pour pouvoir le sacrifier si le casque reste accroché.
En altitude, il y a des vérifications d’équipe ment pour s’assurer que le parachute est encore en bon état de fonctionnement et des répétitions mentales. Puis c’est le moment de vérité, déplacezvous vers la porte ou sortez de l’avion pour capturer la sortie. Trois, deux, un, GO !!!! Ensuite, le saut en parachute se produit en succession rapide, trouvez la composition, ne dépassez pas votre mémoire tampon / flash, prenez des photos délibérément, veillez à ce que le soleil soit là où il devrait être, gardez une oreille attentive à l’altimètre audible pour le moment de détachement, détachez-vous, assurez-vous de ne pas être dans une autre bulle de déploiement de parachutistes, assurez-vous que votre bulle est dégagée, déployez un parachute, assurez-vous qu’il se déploie correctement, cherchez d’autres parachutistes, choisissez un espace aérien dégagé, pilotez la voile rapidement / en toute sécurité pour descendre en premier afin de pouvoir photographier des atterrissages, larguez la parachute pour pouvoir se déplacer rapidement, photographiez les atterrissages, célébrez tout autour, ramassez la tête de parachute vers la zone de d’emballage, téléchargez / sauvegardez des images, emballez le parachute, puis recommencez. Et ceci est la version courte du cycle de production d’un photographe parachutiste. Ciel bleu et vents doux.
Il y a ensuite l’habillage et l’inspection par un autre parachutiste. Ce qui est suivi d’un autre « saut sale » comme une confirmation, puis on monte dans l’avion.
Chris TT Thombs, CD, MPA Chris TT Thombs, CD, MPA, est un photographe parachutiste qui a débuté en 1998 avec un appareil volant. Il a été le photographe principal de l’équipe de parachutistes des Forces canadiennes The SkyHawks. Il a également travaillé à l’international pour créer des contenus de photographie et de vidéo de parachutisme pour des entreprises internationales, des émissions de télévision et des initiatives de marketing.
Les PHOTOGRAPHES PROFESSIONNELS DU CANADA (PPOC) sont un groupe d’artistes créatifs variés qui est dévoué aux plus hauts standards dans le domaine de l’imagerie professionnelle. Les photographes de tous les genres sont les bienvenues pour se joindre aux PPOC. Rencontrez de nouveaux amis et mentors et profitez de la richesse de l’expérience et de la connaissance. Les PPOC offrent aux photographes un moyen de s’élever au statut de professionnel. Les possibilités d’éducation, de réseautage, de bénéfices directs aux membres et la possibilité de gagner des prix et des titres vous aideront à atteindre votre potentiel de croissance et à l’amélioration de votre situation économique. Saviez-vous que vous pouvez devenir membre de l’association de photographie professionnelle la plus ancienne et la plus reconnue au Canada pour seulement 26 $ par mois (taxes en sus) ? L’adhésion Observateur vous donnera droit à des prix réduits sur les événements éducatifs, à l’accès à un réseau de collègues qui vous feront bénéficier de leurs connaissances, à des tarifs préférentiels auprès de plusieurs de nos partenaires de l’industrie, à des critiques de vos images et vous ouvrira la porte afin de soumettre vos images à une accréditation dans votre catégorie de prédilection. Vous pouvez même vous inscrire afin d’avoir accès à un mentor pour vous aider à tirer le meilleur parti de votre adhésion aux PPOC ! Une fois que vous avez obtenu votre accréditation, vous pourrez passer au statut de membre « Photographe accrédité par les PPOC » et figurer dans la section « Rechercher un photographe » de notre site Web. Vous pouvez vous promouvoir en utilisant le logo des PPOC et serez également éligible aux prix prestigieux de la Compétition nationale de l’image et aux titres d’Artisan des arts photographiques (CPA), de Maître des arts photographiques (MPA) et de Service des Arts photographiques (SPA). Êtes-vous prêt à faire progresser votre carrière photographique ? Devenez reconnu comme membre des PPOC, démarquez-vous de la foule et profitez des avantages d’adhésion ! Créez un profil de membre Observateur en suivant les liens permettant de vous inscrire sur www.ppoc.ca et activez cette adhésion avec paiement intégral en ligne, ou en nous contactant par téléphone au (888) 643-PPOC (7762) pour établir un plan de paiement mensuel pratique en utilisant votre carte VISA ou MasterCard. Devenez membre AUJOURD’HUI ! https://ppoc.formstack.com/forms/ membership_application CONTACTEZ NOUS 1 888 643-PPOC (7762) Tél. : 519 537-2555 Info@ppoc.ca www.ppoc.ca
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MON PPOC POURQUOI JE SUIS DEVENUE MEMBRE DES PPOC
ET POURQUOI JE SUIS ENCORE MEMBRE J’AI PRIS MA RETRAITE APRÈS 20 ANS DE CARRIÈRE COMME ORTHOPHONISTE LORSQUE MON DÉFUNT MARI EST TOMBÉ GRAVEMENT MALADE. J’AVAIS PRÉVU DE ME PLONGER DANS LA PHOTOGRAPHIE COMME PASSE-TEMPS LORSQUE MA NIÈCE M’A DEMANDÉ SI JE VOULAIS LA REJOINDRE POUR PROPOSER DES PHOTOGRAPHIES DE MARIAGE « ABORDABLES ». J’AI DIT QUE NOUS DEVIONS PRENDRE DES COURS ET APPRENDRE À DEVENIR PHOTOGRAPHES PROFESSIONNELLES. SON IDÉE ÉTAIT « SI NOUS SOMMES PAYÉES, NOUS SOMMES DES PROFESSIONNELLES », CE QUI ÉTAIT UN PEU « SI NOUS ACHETONS DE BONS APPAREILS PHOTO, NOUS SOMMES DES PROFESSIONNELLES ». POURTANT, JE L’AI CONVAINCUE DE S’INSCRIRE POUR LE CERTIFICAT EN PHOTOGRAPHIE AU SAIT (INSTITUT DE TECHNOLOGIE DU SUD DE L’ALBERTA).
J’ai été acceptée aux PPOC. Mark Laurie, membre de longue date, m’a proposé de m’aider à soumettre ma première accréditation. Il m’a averti que cela pouvait prendre quelques tentatives, mais après avoir terminé une Maîtrise en orthophonie, j’étais ouverte aux critiques et prête à relever le défi. Ma soumission complète a été acceptée ! J’étais vraiment surprise et prête pour la prochaine étape, la compétition. Encore une fois, des membres m’ont guidée tout au long du processus et m’ont donné des commentaires et des encouragements. Une image sur quatre a été acceptée lors de la première compétition provinciale et j’ai été ravie ! J’ai appris qu’il fallait une accréditation pour gagner le titre d’Artisan et deux pour mériter le titre de Maître. Bien que loin de l’un ou de l’autre, j’ai soumis une deuxième accréditation. À ma grande surprise, elle a également été acceptée dès la première fois. Le problème, c’est qu’il n’y a pas eu beaucoup de commentaires sur les images. J’ai soumis à la compétition nationale et bien qu’une seule image ait été acceptée, elle a obtenu une note de Mérite. C’était gratifiant, mais ce sont les retours sur les trois autres qui m’ont aidée à progresser. Chaque année, j’ai continué à participer à des compétitions avec le soutien des membres des PPOC tels que Don MacGregor, la regrettée Edith VanderKloot, et Darton Drake, membre des Photographes professionnels d’Amérique (PPA). Je dois dire que les plus grands avantages d’être membre des PPOC sont les amitiés qui se développent, les congrès avec les formations en personne des meilleurs de l’industrie et le fait que mon travail soit critiqué par les maîtres. J’étais incapable de voir comment améliorer une image ou mes compétences en général. Une fois que l’on a signalé un élément susceptible d’être amélioré, je ne pouvais pas NE PAS voir le problème tout en créant ou en améliorant mon art, des mains mal positionnées par exemple. Et plus j’apprends, plus il y a à apprendre. La photographie est en constante évolution et avance et je ne peux pas imaginer ne pas vouloir continuer à apprendre et à partager.
Les nombreux conférenciers aux congrès des PPOC au fil des ans m’ont aidée à comprendre l’importance de la connexion avec mes clients, le narratif, la composition, l’harmonie des couleurs, les styles et ratios d’éclairage et leur impact sur l’ambiance de l’image, la retouche, la peinture photo et les améliorations, la vente en personne, les stratégies de prix, les compétences en affaires et bien plus encore. Plus j’apprends, plus ma confiance pour vendre mes portraits de manière appropriée a augmenté. Quand j’ai commencé, je n’avais jamais imaginé conclure une vente de 12 000 $. Ma nièce et moi avons rapidement compris pourquoi les photographes professionnels facturent ce qu’ils font. Nous avons gagné 9 $ chacune lors de notre premier mariage ! Nous avons commencé par facturer 10 dollars pour un 4x6, 15 dollars pour un 5x7 et 30 dollars pour l’un de ces GRANDS 8x10. La maladie de mon mari a progressé rapidement et j’ai arrêté de photographier les mariages et je me suis orientée vers le portrait. D’autres photographes m’ont dit : « mes clients ne se soucient pas des récompenses ». Cela peut être vrai dans une certaine mesure et certainement si vous n’en avez pas. Ma plaque de « Maître des arts photographiques » (MPA) est la première chose que voient mes clients lorsqu’ils entrent dans mon studio. Trois trophées de « Meilleure de la catégorie Portrait d’enfant » en Alberta, Meilleure de la compétition, Choix du juge, Photographe de l’année pour le Canada et l’Alberta peuvent être vus lors des séances photo et lors des rencontres pour les commandes. Je pense que cela permet à mes clients de justifier plus facilement de me donner leur carte de crédit lors de leurs commandes. En tant que photographe primée, j’ai également été acceptée dans des événements qui me mettaient devant mes clients idéaux, tels que des événements de gala haut de gamme. Un client m’a récemment dit que l’amie à laquelle elle faisait référence lui avait demandé « Avez-vous vu tous ses trophées ? » Le seul point que je n’ai pas mentionné concerne les efforts incessants des associations pour faire en sorte que nous détenions les droits d’auteur sur notre travail. Il a fallu de nombreuses années et de nombreuses tentatives pour y parvenir, et il faudra bientôt le réviser. Je crois que CHAQUE photographe du pays devrait être membre d’une association qui s’efforce de nous soutenir dans cet enjeu important.
Shelley Vandervelde , MPA Shelley Vandervelde a rejoint les Photographes professionnels du Canada en 2004. Elle a immédiatement soumis aux accréditations et participé aux congrès régionaux et nationaux, tout en soumettant aux compétitions de l’image. Shelley a maintenant obtenu sa troisième barre de Maître des arts photographiques, elle est juge qualifiée, et continue de faire partie du comité exécutif de la branche central des PPOC Alberta.
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J’avais possédé plusieurs appareils photo et lu le manuel d’un couvert à l’autre, j’ai donc compris tous les points techniques. Cependant, après une carrière exigeante, je n’avais pas eu beaucoup de chance de pratiquer ce que je savais et j’avais tendance à utiliser mes appareils photo en « mode P ». Étudier au SAIT m’a aidée à comprendre que l’appareil photo était le dernier élément de ce que je me devais d’apprendre. Il me suffisait de terminer le programme afin d’obtenir mon certificat ; cela ne me semblait pas très professionnel ! L’un de mes instructeurs, Patrick Kornak, membre des PPOC à l’époque, a présenté les Photographes professionnels du Canada (PPOC) à notre classe. Apprendre que je pouvais devenir « accréditée », obtenir un titre d’« Artisan des arts photographiques » (CPA) et peut-être même de « Maître des arts photographiques » (MPA) m’excitait. Maintenant, cela sonne professionnel ! J’ai soumis mon portfolio et j’attendais avec impatience que l’Association des photographes professionnels de l’Alberta, maintenant nommée PPOC AB, propose un atelier de deux jours avec le regretté Darton Drake. Je me suis inscrite et j’ai plus appris en deux jours que les trois années précédentes.
À PROPOS DE LA COUVERTURE MINDS EYE LORSQUE JE TRAVAILLE SUR UNE COMPILATION, IL N’EST PAS RARE QUE JE M’IMMERGE COMPLÈTEMENT DANS MA CRÉATION. LA VISUALISATION DE MA CRÉATION CHANGE SOUVENT AU COURS DU PROCESSUS. IL EST SOUVENT DIT QUE LES PHOTOGRAPHES PASSENT D’INNOMBRABLES HEURES À TRAVAILLER LEURS IMAGES, ET C’EST CERTAINEMENT VRAI. IL Y A TELLEMENT DE LIBERTÉ LORSQU’ON COMMENCE AVEC UNE COLLECTION D’IMAGES ET ON VOIT NOTRE IDÉE PRENDRE FORME. Minds Eyes est comme un oignon, avec d’innom brables couches. Je ne peux souligner à quel point la conception, la texture, l’harmonie des couleurs, la lumière et l’histoire sont importantes. J’utilise Photoshop pour construire mon image. Je commence avec un arrière-plan de lignes convergentes et formes géométriques. L’étape suivante est l’histoire. Cette étape inclut un œil, des corbeaux et le centre de l’univers. Si j’ai l’impression qu’il manque un élément, je le photographie. C’était le cas avec Minds Eyes. J’ai photographié la montre de poche car je voulais introduire un élément temporel.
Les compétitions me donnent une plateforme pour partager mon art. Je trouve cela intriguant d’entendre les commentaires sur mon travail, qu’ils soient positifs ou négatifs. Le retour est toujours important pour mes créations futures, et cela m’a toujours aidé à suivre ma passion, en tant qu’artiste.
MaryEllen Nealis, MPA
J’ai ajouté de la lumière et de la couleur lorsque j’ai réalisé qu’il fallait une séparation entre l’arrière-plan et l’univers. En ajoutant ces éléments, cela a donné de la profondeur à l’image et elle a vraiment pris forme.
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Images utilisées pour créer Minds Eye.
MaryEllen Nealis, MPA MaryEllen a eu le privilège de recevoir plusieurs prix au cours de sa carrière. Elle a été nommée Photographe de l’année 1999 et 2000 par les PPOC Atlantique. MaryEllen a été nominée pour le titre de Photographe portraitiste de l’année en 2007. En plus de ces accomplissements, les images MaryEllen ont souvent été sélectionnées pour la collection permanente des PPOC. MaryEllen a une longue histoire au service de la communauté photographique de l’Atlantique et du Canada. Elle a reçu son titre de Maître des arts photographiques des Photographes professionnels du Canada (PPOC) en 2013. Elle a aussi reçu le prix pour service distingué des PPOC Atlantique en 2006 et son titre de Compagnon en 2008. MaryEllen a reçu sa septième barre de maître des PPOC en 2018.
Image finale.
Joyeuses Fêtes
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Collage mural
Merci beaucoup pour une année productive ! Nous nous réjouissons de contribuer à votre succès dans la nouvelle année.