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Liège

Dossier réalisé par la régie publicitaire - Supplément au journal du 12 octobre 2017

PROVINCE DE LIÈGE


la solution hybride

Même lorsqu’il fait moins chaud, l’environnement contient toujours de l’énergie. Mobilisant ses propriétés thermodynamiques, la pompe à chaleur est une machine capable de récupérer les calories présentes dans l’air, l’eau, la terre... Généralement placée à l’extérieur – en veillant à la protéger du gel –, elle achemine cette chaleur, à l’aide d’un compresseur et d’un échangeur thermique, jusque dans votre intérieur. Il n’y a donc aucune création d’énergie, juste la récupération et la valorisation d’une autre déjà présente autour de vous. Bien que fonctionnant à l’électricité, elle produit trois à quatre fois plus d’énergie qu’elle n’en consomme, ce qui la rend particulièrement performante. Moins soumise à l’usure que les technologies mobilisant un combustible fossile, elle

n’engendrera pratiquement pas d’entretien. Un bémol, cependant : lorsqu’il fait plus froid, la pompe à chaleur peine à assurer un approvisionnement calorifique suffisant. C’est pour cette raison qu’elle fait particulièrement bon ménage avec une chaudière, dont la performance n’est jamais meilleure que lorsqu’elle tourne à plein régime, et donc par temps froid. Employées de façon combinée, ces deux sources d’énergie se complètent, la chaudière prenant le relais, grâce à un système de régulation, lorsque la rentabilité et le confort en matière d’eau chaude le nécessitent. Souvent, les vendeurs avancent l’argument environnemental pour promouvoir l’utilisation d’une pompe à chaleur. Il est vrai que, contrairement à la chaudière, qui fonctionne généralement au gaz ou au fuel, elle ne produit pas directement de CO2. Mais elle emploie de l’électricité. Ce sera donc la qualité de cette dernière qui déterminera la performance environnementale de la pompe. Pour ce faire, il va sans dire que l’emploi des alternatives renourenou velables, que sont les éoliennes ou les panpan neaux photovoltaïques, demeure la solution la plus verte.

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Chaudière & pompe à chaleur :


L’audit énergétique : cette utile boussole En Wallonie, une petite moitié des logements ont été bâtis avant 1945 et plus des deux tiers sont antérieurs à 1970. Autre époque, autre réalité, les enjeux énergétiques étaient à mille lieues de ce qu’ils sont désormais et bien des demeures tournent encore sur un modèle aujourd’hui complètement désuet. Par conséquent, il peut vous sembler judicieux de refaire l’isolation de votre façade, changer de chaudière, placer des nouveaux vitrages ou, simplement, déterminer le moyen le plus adéquat pour diminuer notablement votre facture énergétique. Mais que réaliser en priorité et comment ? Pour répondre à cette question, il existe un service complet, chapeauté par les Régions, qui vous indiquera le Nord pour vous permettre d’effectuer votre choix en connaissance de cause : l’audit énergétique. Encore appelé « Procédure d’Avis Énergétique » (PAE), il donnera lieu à une évaluation concrète des performances énergétiques de votre bâtiment et vous aiguillera vers toutes les mesures d’améliorations envisageables.

Trois étapes Seuls les auditeurs agréés par les Régions sont aptes à vous remettre un avis ouvrant l’accès à la prime régionale. Répertoriés en ligne (energie.wallonie.be, environnement.brussels.be), ceux-ci vous proposeront une procédure en trois étapes. 1. La collecte d’informations préalable. L’auditeur se renseignera sur vos éventuelles intentions, et vous demandera de lui fournir un certain nombre d’informations concernant votre logement : plan de la maison avec cahier des charges, année de construction, vos

factures d’énergie, les papiers de votre chaudière... 2. L’audit. Fort de son expertise, l’auditeur analysera l’ensemble de ces données avant de venir en collecter d’autres sur place. Il testera l’isolation de vos différents murs, l’étanchéité de l’air, le fonctionnement de vos installations diverses (chauffage, eau chaude...), de tous vos équipements (thermostat...), bref l’ensemble des postes susceptibles d’impacter votre facture énergétique. Toutes ces données seront rentrées dans un logiciel spécialisé favorisant leur traitement optimal.

demandes de permis d’environnement. Son contenu vous est livré à titre purement informatif, ne vous obligeant en rien à suivre ses différentes recommandations. Notons, de surcroît, que si l’auditeur peut vous fournir tout complément d’information qui lui semble pertinent, il lui est interdit de faire de la publicité pour un quelconque entrepreneur.

Combien ça coûte ? Le coût de l’audit varie d’un professionnel à l’autre, mais également en fonction de votre logement et du profil de votre demande. L’audit peut être partiel (vous déterminez précisément les éléments à expertiser) ou complet. Généralement, il gravite autour de 800 euros pour une maison et de 500 euros pour un appartement.

Les primes

3. La remise du rapport. Une fois son travail de terrain accompli, l’auditeur commencera par attribuer un label ( de G à A+) reflétant l’actuelle qualité énergétique de votre maison. Il dressera ensuite un rapport contenant plusieurs options d’améliorations, chiffres et explications détaillées à l’appui.

Et après ? L’époque où l’audit était une obligation en prélude à certains travaux est désormais révolue – si ce n’est à Bruxelles, pour les grandes entreprises ou les gros consommateurs lors de

Pour amoindrir ce coût, des primes sont disponibles. En Wallonie, la « Prime Énergie » permet d’obtenir 200 euros qui seront majorés (jusqu’à 600 euros) selon la valeur des revenus annuels de votre ménage. Cette prime implique que votre habitation ait connu une première occupation en tant que logement daté d’au minimum 20 ans. Le montant de la prime est limité à 70% du montant des factures TVAC. À Bruxelles, la « Prime Énergie A1 » offre à tous 400 euros, lorsque l’audit porte sur une maison unifamiliale et 3000 euros pour tout le bâtiment lorsque ce dernier est composé d’appartements. Le logement doit avoir plus de dix ans et le montant de la prime ne peut dépasser 50% des coûts éligibles de la facture du service.


La chaudière à

condensation

C’est actuellement ce qu’il se fait de mieux en matière de rendement. Sa technologie favorise, de surcroît, un respect accru de l’environnement. Fleurissant un peu partout dans les chaumières belges, la chaudière à condensation permet d’exploiter au mieux l’énergie fournie en annihilant les pertes thermiques qu’occasionnent les vapeurs dégagées par chaudières classiques. Il existe des modèles fonctionnant au gaz ou au mazout. Comment cela fonctionne ? Comme la chaudière traditionnelle, la chaudière à condensation fonctionne grâce à un système de combustion. Une fois embrasé, le combustible fait chauffer l’eau qui circule dans le réseau de tuyaux pour alimenter le corps de chauffe. Au moment de la combustion, du CO2 et de l’H2O sont dégagés à l’état gazeux. Alors que la chaudière traditionnelle évacuait ces vapeurs, celle à condensation permet de tirer parti de l’eau qu’elles contiennent. En abaissant la température de ces fumées, l’eau redevient liquide, laissant, au passage, s’échapper de l’énergie : la chaleur de condensation. Cette dernière, qu’on appelle aussi chaleur latente – celle qui change l’état physique d’une matière –, sera exploitée pour préchauffer l’eau de chauffe. De plus, la chaudière récupère aussi davantage de chaleur sensible – celle qui modifie la température d’une matière –. Quand les gaz de combustion ont une température moins élevée – 45°C plutôt que 150°C à la sortie de la cheminée, dans ce cas-ci –, les pertes thermiques diminuent au profit du rendement de l’installation.

Un excellent rendement La chaudière à condensation, c’est l’assurance de diminuer drastiquement sa consommation énergétique : jusqu’à 35% de moins qu’une chaudière traditionnelle. Lorsqu’on sait qu’elle sera exploitable pendant 20 à 30 ans, on anticipe joyeusement les économies qu’elle facilitera, même si son coût d’achat est plus élevé qu’un modèle classique (entre 15% et 30%, principalement parce que sa conception nécessite un alliage plus solide). Bref, son rendement fait son principal atout marketing. Certains commerciaux n’hésitent d’ailleurs pas à servir à leurs clients l’argument massue d’un rendement outrepassant les 100% (parfois 104% ou 105%), ce qui semble assez incroyable... et scientifiquement impossible ! En réalité, si cette affirmation n’est pas foncièrement mensongère, elle joue espièglement sur un changement des données prises en compte pour calculer le rendement d’une chaudière. Avant les chaudières à condensation, le calcul ne s’opérait que sur base du pouvoir calorifique inférieur (PCI) du combustible, soit la quantité de chaleur exploitable lors de la combustion

à l’exclusion de celle obtenue via la condensation. On considérait la perte de la chaleur latente comme inévitable. Aujourd’hui, alors que les nouvelles technologies permettent de récupérer une partie de cette chaleur latente, certains continuent de confronter le rendement au seul PCI, ce qui tronque évidemment la donne et permet d’obtenir ces pourcentages idylliques. C’est sur base du pouvoir calorifique supérieur (PCS), qui inclut la chaleur latente, que doit être déterminé le pourcentage de rendement. Ainsi, un rendement annoncé à 104% sera, en réalité, de 93,6%. Ce qui est déjà une bien belle performance. Pour vous assurer de la qualité de la chaudière que vous comptez acheter, vérifier son label sur l’étiquette. Si les chaudières à basse température sont labellisées « HR+ », une chaudière à condensation digne de ce nom bénéficiera du label« HR TOP ». Aménagement de la cheminée La cheminée reliée à la chaudière à condensation doit être résistante à l’humidité. Cela permet d’éviter la corrosion progressive que lui causerait le passage de la vapeur d’eau. Si vous construisez, optez pour un conduit métallique ou synthétique résistant à la chaleur. En cas de rénovation, il faudra tuber votre cheminée à l’aide d’un tuyau en plastique. Une purge avec siphon doit également être placée en bas du conduit d’évacuation pour permettre aux résidus d’être acheminés vers les égouts via un tuyautage suffisamment résistant (le PVC fera parfaitement l’affaire).



Le chauffage L’idée que la source de chaleur de votre intérieur se situe sous vos pieds est loin d’être neuve. Les Romains, et les Grecs avant eux, ne juraient que par le fameux chauffage par hypocauste. Montés sur des piliers d’une cinquantaine de centimètres, leurs sols étaient traversés de courants d’air secoués par un foyer extérieur. Aujourd’hui, si nos technologies n’imposent plus d’aller embraser un tas de branches dans le jardin pour attiédir le climat de nos thermes, le concept de chauffage par le sol n’en est pas devenu plus désuet. Que du contraire, puisque la méthode peut se targuer d’un certain nombre d’avantages non négligeables en cette période de transition énergétique. Littéralement encastré dans le plancher, le chauffage par hypocauste contemporain peut être conçu de plusieurs façons différentes. Il sera soit alimenté par de l’eau chaude, soit par de l’électricité. Le système humide C’est le plus usité et le meilleur marché. Il consiste à immerger les tuyaux de chauffage dans une chape bétonnée. Ceux-ci réchauffent la chape qui va prodiguer uniformément à la pièce qui la surplombe la chaleur qu’elle engrange. Cette méthode ne permet pas de discontinuité dans la chauffe. Afin de ne pas voir son plancher se fissurer, il faudra veiller à pourvoir la chape d’un treillis d’armature. Il est également envisageable, dans le cadre d’une rénovation, de fraiser des sillons dans une chape existante – pourvu que son état soit encore correct – afin d’y insérer les tuyaux. Le système demi-sec Ici, les tuyaux parcourent un isolant expressément taillé pour les accueillir. On y superpose ensuite un treillis de protection avant de coucher, par-dessus le tout, une chape de béton. La méthode est plus avantageuse en ce qu’elle amoindrit les pertes de chaleur vers le bas et l’usure progressive des tuyaux.

par le sol

Le système sec Plus de chape, cette fois-ci. Seulement des panneaux isolants, qui officient comme conducteurs thermiques, au sein desquels la tuyauterie se balade. On y ajoute des plaques en acier reposant sur des profilés métalliques. Les tuyaux se dilatent plus facilement et ne souffrent que très peu d’inertie thermique. C’est le système qui convient le mieux en cas de rénovation, car la hauteur d’installation est moindre. Le système électrique Beaucoup plus énergivore, le chauffage au sol électrique peut tout de même s’avérer intéressant pour les pièces que vous ne désirez pas chauffer en continu. On en distingue de trois types : avec des nattes de fibres de verre traversées par des câbles électriques (peu épais, chauffe rapide et idéal pour les petites pièces), avec des câbles électriques placés dans une chape (chauffe plus lente, mais plus économique et la chaleur créée reste plus longtemps) ou avec des feuilles électriques fixées à des panneaux isolants (facile à placer, chauffe complète ou partielle selon les envies, mais moins résistant).

Quels avantages ? Le chauffage par le sol fonctionne à basse température (un maximum de 29°C), ce qui le rend moins énergivore qu’un chauffage traditionnel. L’entièreté du sol produit la chaleur qui se transmet principalement par un rayonnement de grande surface : toute la pièce baigne dans une température agréable, plus constante. Se balader en chaussettes devient un vrai bonheur ! Outre le gain d’espace (une bibliothèque pourra jouxter un mur anciennement monopolisé par un radiateur), il demande également peu d’entretien. Cependant, son installation est plus coûteuse que celle des radiateurs habituels, bien que l’économie d’énergie permette d’amortir ce surplus d’investissement. En cas de pépin, il faudra aussi démolir le sol pour avoir accès aux installations. Ajoutons que la chauffe comme le refroidissement des pièces s’opère plus lentement qu’en présence de radiateurs traditionnels. Finalement, il faudra éviter de recouvrir votre sol de tapis, au risque d’emprisonner la chaleur qui ne pourra se diffuser dans la pièce.


Le boiler

La pergola

thermodynamique

Dérivé direct de la pergola traditionnelle, cette construction de jardin composée de poutres horizontales boisées reposant sur des colonnes porteuses, et qui permettait aux plantes grimpantes de s’y balader, la pergola bioclimatique constitue une jolie synthèse entre le store et la véranda. Concrètement, elle offre un espace extérieur surplombé par des lames orientables que vous inclinerez, selon vos envies, pour faire courir une brise rafraîchissante, pénétrer la luminosité ou, au contraire, pour lutter contre la pluie ou la chaleur. En obstruant l’entrée des rayons du soleil, ses lames (souvent en aluminium) permettent de réguler la température de votre intérieur, lorsque la pergola le jouxte. En cela, elle joue un rôle de protection solaire pour votre habitation. Les lames seront orientées soit manuellement, soit à l’aide d’une télécommande activant un système motorisé. Pas de doute, d’un point de vue du confort et de l’esthétisme, la pergola bioclimatique est une alternative de choix !

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C’est une option plus écologique que le boiler électrique ou combiné avec une chaudière. Dans ce système, l’eau contenue dans le boiler est chauffée à l’aide d’une pompe à chaleur autonome. Cette pompe puise directement l’énergie calorifique dans l’air (généralement extérieur) et peut faire monter votre eau à 55°C. Si cet air n’est pas suffisamment chaud, l’installation compense la carence par assistance électrique. Bien qu’il soit en partie électrisé, le boiler thermodynamique consomme, en moyenne, trois fois moins d’électricité que le boiler électrique, offrant une belle économie dans votre budget (certains vendeurs parlent de 75% d’économie). Pour favoriser un rendement optimal, il est particulièrement judicieux de placer le boiler dans une des pièces les plus chaudes de la maison, comme la chaufferie. Généralement, la majorité des boilers thermodynamiques ont une contenance de 300 litres d’eau chaude, ce qui convient parfaitement pour la consommation moyenne d’un ménage de cinq personnes.

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Choisir sa chaudière adéquatement La chaudière, c’est la pierre angulaire de votre système de chauffe. Investissement relativement conséquent, pour plusieurs décennies parfois, elle mérite d’être sélectionnée avec attention, d’autant que les options sont nombreuses. Comme souvent, chacune d’entre elles présente des avantages et des défauts, qui varieront selon le profil de votre maison, vos besoins en matière de consommation et votre budget. Petit panaché des critères utiles à garder en tête. Chaudière murale ou au sol C’est principalement l’espace disponible dans votre logement qui vous permettra de trancher. La chaudière au sol, d’un gabarit bien plus massif, prend de la place et nécessite la mobilisation d’une pièce qui n’est pas affectée à la vie de tous les jours. D’autant qu’il faudra, dans bien des cas, prévoir un circulateur et un vase d’expansion séparés. Elle est plus robuste que la chaudière murale et permet, lorsqu’elle est bien entretenue, d’espérer une longévité plus conséquente. Spécialement conseillée lorsqu’il vous faut chauffer une grande maison, elle est cependant plus chère que la seconde option. Plus discrète, la chaudière murale peut, grâce à ses faibles masse et envergure, prendre place pratiquement partout dans la demeure. De base , la plupart des chaudières murales produisent également de l’eau chaude sanitaire, via un échangeur à serpentin ou un boiler intégré, ce qui peut s’avérer plus économique qu’un boiler ajouté à la chaudière au sol. Chaudière atmosphérique ou étanche La chaudière atmosphérique (ou ouverte) puise directement l’oxygène nécessaire à la combus-

tion dans la pièce où elle se trouve, ce qui nécessite une bonne arrivée d’air. Elle est reliée à une cheminée qui évacue le gaz de combustion. La chaudière étanche (ou fermée) prélève l’oxygène à l’extérieur, via un double tuyau qui assurera aussi l’évacuation des fumées. Plus besoin de cheminée onéreuse, dans ce cas-ci. Généralement ces chaudières offrent un plus haut

rendement (+/- 5% de combustible en moins), diminuent les risques d’humidité et d’intoxication au monoxyde de carbone et sont moins bruyantes. Leur coût est cependant supérieur et le ventilateur permettant d’évacuer les gaz est potentiellement sujet à des pannes.

L’optimisation du rendement Diminuer son empreinte carbone et augmenter ses économies, c’est notre grand dessein contemporain. La directive européenne « Eco-design » impose d’ailleurs, depuis 2015, que ne soient plus employées que des chaudières à basse température efficientes ou la fameuse chaudière à condensation, qui s’implante de plus en plus dans les chaumières. Si cette première catégorie (labellisée HR+) permet de belles économies à l’usage, la seconde (labellisée HR Top) pousse la performance encore plus loin. Ceci explique son prix plus élevé, qui s’amortira cependant progressivement. Il vous faudra encore garder un oeil attentif sur la puissance de votre chaudière. Souvent, par méconnaissance, les consommateurs optent pour des modèles surdimensionnés qui coûtent plus cher et produisent trop d’énergie par rapport au besoin réel. Se baser sur la puissance de l’ancienne chaudière est un leurre : les méthodes de calcul ont changé et, si vous avez amélioré de façon quelconque l’isolation de votre maison, vos besoins peuvent être moindres que par le passé. L’idéal est de bien insister auprès du chauffagiste pour qu’il réalise le calcul adéquat avant de faire votre choix. Quel combustible ? Les chaudières à condensation et à basse température peuvent fonctionner au gaz ou au mazout. Il est également possible de se chauffer au bois voire au charbon (déconseillé, car excessivement polluant et dangereux pour la santé). Idéalement, le gaz est à privilégier par rapport au mazout. Avec 25% d’émissions de CO2 en moins par rapport à ce dernier, il pollue moins et coûte normalement moins cher – les prévisions à moyen et long terme semblent indiquer que la tendance ne s’inversera pas. L’avantage du mazout tient en ce qu’on peut choisir le moment où son prix est plus bas pour remplir sa cuve entièrement. Sur le plan du faible coût, le bois reste le champion hors catégorie, devant le pellet.


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Le vitrage

Précieux allié des vitrines de magasins, le vitrage pare-soleil est également régulièrement employé pour les habitations de particuliers. L’utilité : diminuer l’incursion énergétique des rayons solaires qui, tout spécialement en été, ont tendance à transformer certaines pièces de vie en véritable sauna.

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Équipé d’un film de protection, ce type de vitrage réduit sensiblement le facteur de transmission solaire : le facteur g. Ce dernier s’exprime en pourcentage et représente le rapport entre l’énergie solaire pénétrant, par la fenêtre, dans la pièce et l’énergie solaire incidente. Plus ce pourcentage est moindre, plus la chaleur bloquée par le vitrage est élevée. Ainsi, là où un simple vitrage présente un facteur solaire g de 0,85, un double vitrage à haut rendement s’approche davantage de 0,37. Cette donnée doit vous être fournie par le vendeur. Si le vitrage pare-soleil n’impacte pas substantiellement la lumière entrante, cette dernière est tout de même un peu atténuée (car le verre est légèrement teinté). En fonction de la couleur et de la teinte choisie – les options sont variées – la transmission lumineuse peut être plus ou moins modifiée. L’idéal est de venir observer les différents modèles en salle d’exposition pour prendre pleinement conscience de son impact éventuel sur la luminosité. Le désavantage du vitrage pare-soleil tient en ce qu’il limite aussi en hiver le réchauffement de la pièce par le soleil. Cette propriété le rend peu apte à s’intégrer dans une habitation passive ou de faible énergie, qui favorise la chauffe de l’intérieur par des moyens naturels comme le soleil. Dans ce cas-là, mieux vaut opter pour une protection solaire (stores, tentes...). En réalité, il est idéal pour les grandes fenêtres, velux, baies vitrées et autres vérandas – bref, les pièces où la chaleur devient vite insupportable – lorsque ceux-ci sont exposés au sud, sud-est ou sud-ouest. Notons encore que l’utilisation d’un vitrage pare-soleil, même s’il en amoindrit l’utilité, n’exclut pas forcément la nécessité d’un système de protection solaire supplémentaire.

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Également compatible avec certaines chaudières à condensation – pour un rendement très légèrement inférieur à celui du gaz naturel –, le fioul doit être stocké dans une cuve. Il ne nécessite donc pas de raccordement, ce qui s’avérera particulièrement utile lorsque la maison est éloignée des zones raccordées. Le fioul prend moins d’espace de stockage que l’électricité ou le bois. Contrairement au gaz, dont l’approvisionnement s’opère en continu (entraînant des variations de prix), vous pouvez influer sur votre facture en remplissant votre cuve lorsque son prix descend. Il est par contre quasiment impossible de suivre régulièrement sa consommation, à moins de placer des compteurs sur les brûleurs et d’en faire le relevé périodique. Son plus gros point faible est son empreinte écologique. Les fournisseurs ont tenté d’en atténuer l’impact en proposant du mazout « vert », plus pauvre en soufre, tandis que les concepteurs développent des systèmes combinables avec d’autres types d’énergies renouvelables.


Garder un oeil sur le

coefficient U

Le coefficient de transmission thermique d’une paroi – « coefficient U », pour les intimes – est une notion indispensable afin d’évaluer les propriétés isolantes des fenêtres – mais également de la toiture, des portes, des parois extérieures... – que vous vous apprêtez à poser. Ce coefficient indique la quantité de chaleur traversant, en flux continu, une paroi déterminée, par unité d’espace, de temps et à raison d’une unité de température de différence entre les deux extrémités de cette paroi. Pour faire simple : il permet de chiffrer la quantité d’énergie calorifique que la paroi laisse s’échapper. Ce coefficient s’exprime en watt par mètre carré-kelvin (W/M2K). Plus le coefficient sera faible, plus la paroi concernée jouira d’une isolation performante. Il s’agira donc de garder un oeil attentif sur cette donnée au moment d’opérer votre choix de fenêtre, tant pour le cadre que pour le vitrage. Les différents coefficients En matière de fenêtre, vous serez confronté à trois types de coefficients U. Le premier est l’Uf , pour « frame » – châssis en anglais –, et se rapportera au cadre de menuiserie. Le second, l’Ug (« glass »), se réfèrera exclusivement à la valeur U du vitrage. La plupart du temps, c’est la valeur globale de la fenêtre, l’Uw (pour « window), qui sera employée. En Wallonie, les exigences PEB (performance énergétique des bâtiments), en vigueur depuis le 1er janvier 2017, imposent certaines normes tant pour les nouvelles constructions que pour les rénovations importantes ou simples. Ces normes visent à permettre, pour 2021, la transition vers des bâtiments

qualifiés de « Quasi Zéro Energie ». Celles-ci stipulent que l’Uw – l’ensemble châssis et vitrage – devra être égal ou inférieur à 1,50. Une fenêtre équipée d’un simple vitrage tournant autour de 6, celle munie d’un double vitrage traditionnel s’approchant de 3, il faudra se tourner vers une fenêtre avec double vitrage HR pour rencontrer les nouvelles exigences. À noter que les exigences du PEB précisent que les vitrages seuls doivent avoir un Ug maximum de 1,1.

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Les primes pour votre

matériel de chauffe

Un système de chauffe économe et performant, c’est l’assurance de limiter sa consommation énergétique tout en s’inscrivant positivement dans une démarche pro environnementale. Pour vous aider à vous équiper adéquatement, diverses primes sont proposées par les Régions. Notons qu’à l’échelle locale, certaines communes et provinces octroient également des aides, assez variables selon les entités, raison pour laquelle il est préférable de vous renseigner directement auprès de l’administration concernée.

En Wallonie Depuis 2015, la prime Energie regroupe l’ensemble des aides accordées par la Région wallonne pour l’exécution de travaux visant à améliorer la performance énergétique d’un logement. Celle-ci ne comprend plus d’aide pour l’obtention d’un poêle à bois ou à pellets comme c’était le cas antérieurement. Les installations concernées sont les suivantes : La chaudière à condensation au gaz naturel : 200 € La pompe à chaleur pour l’eau sanitaire : 400 € La pompe à chaleur pour le chauffage, seule ou combinée avec une chaudière : 800 € La chaudière à biomasse : 800 € Le chauffe-eau solaire : 1.500 € Ces primes ne peuvent pas dépasser 70% du coût des factures, TVA comprise. De plus, leur montant sera majoré sur base du revenu de référence annuel de votre ménage (ensemble des cohabitants majeurs, à l’exception des ascendants et descendants). Si ce revenu est supérieur à 93.000 € (une fois soustrait 5.000 € par enfant à charge), vous serez exclu du régime d’attribution. Pour le reste : Entre 93.000 € et 41.100,01 €, la prime est celle de référence Entre 41.100,01 € et 31.100,01 €, la prime de

référence est multipliée par 1,5. Entre 31.100 € et 21.900,01 €, la prime de référence est multipliée par 2. En dessous de 21.900 €, la prime de référence est multipliée par 3. Vous devez disposer d’un droit réel sur un logement, situé en terre wallonne, dont la première occupation doit remonter à 20 ans minimum (il ne sera donc pas possible d’obtenir la prime en cas de construction d’un nouveau logement). L’installation devra être prise en charge par un entrepreneur. Sur le plan procédural, il est impératif d’envoyer un formulaire de demande avant d’entamer les travaux. Le Département de l’Energie et du Bâtiment durable analysera celle-ci et vous informera de sa décision. Dans la foulée, vous pourrez placer votre appareil de chauffe. Finalement, une fois la facture finale réceptionnée, vous aurez quatre mois pour vous enquérir du montant de votre prime. Plus d’infos sur : energie.wallonie.be

À Bruxelles Bruxelles environnement prévoit tout un panel de primes en matière d’énergie. Comme en Wallonie, le montant de celles-ci variera selon le revenu annuel du ménage. Il y a trois catégories :

A (par défaut) : revenu supérieur à 67.050,72 € (personne isolée) ou 82.050,72 € (cohabitants ou couple). B: revenu entre 33.525,36 € et 67.050,72 € (personne isolée) ou entre 48.525,36 et 82.050,72€ (cohabitants ou couple). C: revenu inférieur à 33.525,36 € (personne isolée) ou 48.525,36 (cohabitants ou couple). Les installations qui retiennent notre attention : La chaudière de classe énergétique A, pour peu que sa puissance nominale soit inférieure à 70kW et celle labellisée HR-TOP (même supérieure à 70kW) : 500 € pour la catégorie A, 600 € pour la B et 700 pour la C. Au-dessus de 40kW, un bonus de 5 € par kW supplémentaire sera accordé. La pompe à chaleur pour le chauffage : 4250 € pour la catégorie A, 4500 € pour la B, 4750 € pour la C. Le tout plafonné à 50% des coûts éligibles de la facture. La pompe à chaleur pour l’eau sanitaire : 1400 € (A), 1500 € (B) et 1600 € (C). Également plafonné à 50% des coûts éligibles de la facture. Le chauffe-eau solaire : 2500 € (A), 3000 € (B) et 3500 € (C) pour une surface optique allant jusqu’à 4 m2. Au-delà, 200 € supplémentaires seront accordés par m2. Sauf indication contraire, le montant de la prime n’est limité que par celui de la facture. Comme en Wallonie, l’installation devra être prise en charge par un entrepreneur. Par contre, même s’il est préférable de s’informer, aucune demande préalable ne doit être formulée. Il faudra juste envoyer la demande endéans les 4 mois suivant les travaux. Cette prime est conditionnée par une ancienneté du bâtiment de 10 ans.

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Isolation des murs par l’intérieur :

Les différentes méthodes

Généralement, après la toiture, les murs de votre maison constituent la seconde zone la plus sujette aux déperditions de chaleur. Une bonne isolation est un prérequis indispensable, bien que plus de la moitié des murs de nos contrées n’en soit en rien pourvue. Si elle n’est pas exempte de difficultés, l’isolation par l’intérieur peut être la seule option envisageable lorsqu’il est exclu de toucher à la façade extérieure. Pour ce faire, plusieurs méthodes existent. Le système à structure Il est particulièrement pertinent lorsque vous être confronté à un mur rendu irrégulier par ses aspérités. Il est constitué d’une structure boisée ou métallique, subdivisée en plusieurs « compartiments », au sein de laquelle est introduit un isolant thermique souple ou en vrac. Le tout sera éventuellement recouvert d’une plaque d’isolant rigide, ce qui permettra d’amoindrir les déperditions causées par la structure, puis d’un pare-vapeur avant d’entamer les finitions. Pour l’isolant, vous pourrez compter sur de la laine minérale ou végétale.

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Les panneaux collés À l’inverse de la première option, celle-ci impose un mur plutôt plat. Les panneaux, qui seront directement fixés sur ledit mur, peuvent être constitués de polystyrène expansé ou extrudé, de polyuréthane ou de fibres de bois. Ils pourront, à nouveau, être recouverts d’un pare-vapeur avant les finitions. Cette méthode est plus aisée à mettre en pratique que celle du système à structure. La projection Ici, peu importe les aspérités du mur : on projette directement l’isolant dessus, la plupart du temps sous forme de mousse de polyuréthane. Plusieurs couches sont appliquées et, une fois séchées, sont directement recouvertes par les finitions. La contre-cloison maçonnée Plus massive, cette méthode prend aussi davantage d’espace, raison pour laquelle elle est moins employée. L’idée est d’apposer un isolant souple ou en vrac qui sera pris en étau entre le mur d’origine et une nouvelle cloison . Cette dernière sera constituée d’un matériau lourd, généralement des briques en terre cuite, des carreaux de plâtre, des blocs de béton... Source : www.energieplus-lesite.be/

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L’avantage premier de cette méthode est qu’il permet de dissocier chaque élément de la structure lorsqu’il faut la modifier, ce qui favorise aussi le tri. Comme son nom l’indique, elle consiste à fixer au mur existant une structure (boisée ou même métallique) au sein de laquelle, selon la formule, le matériau isolant sera placé ou insufflé. Si la structure est en bois, il faudra veiller à le traiter correctement pour éviter la prolifération de champignons. Cette structure sera agencée de telle sorte qu’elle laissera une lame d’air (celle-ci peut être ventilée ou non) entre l’isolant et les finitions. Pour ces dernières, vous aurez le choix entre apposer des panneaux qui serviront de support à l’enduit final ou fixer un lattage à la structure pour y juxtaposer le bardage adéquat. Si nécessaire, il est également possible d’insérer une membrane d’étanchéité à l’air au système. Source : www.energieplus-lesite.be


Le poêle à

pellets

Son succès a considérablement crû ces dernières années dans nos contrées. Alliant des atouts écologiques et économiques, le poêle à pellets s’impose désormais comme une alternative sérieuse en matière de chauffage d’appoint . Alors que les modèles se diversifient toujours plus, offrant aux consommateurs le choix entre toutes sortes de designs, le lobby exercé par l’ANEC (Association de Normalisation Européenne pour les Consommateurs) en faveur d’une législation plus sévère a permis de jolies avancées en matière de sécurité des appareils contre les incendies. Les pellets, ce sont ces granulés cylindriques constitués à base de sciure de bois compressée. Vendus en sacs, ils sont plus faciles à stocker que du bois, coûtent bien moins cher que les combustibles fossiles, offrent un joli rendement, bénéficient d’une grande autonomie de combustion et ne représentent pas de danger pour l’environnement puisqu’ils sont neutres en CO2. Mis sur le marché par bon nombre de producteurs wallons – il n’est jamais fâcheux de soutenir l’industrie locale – , leur prix est aussi très stable, offrant des perspectives rassurantes à moyen terme. Contrairement à un poêle à

bois classique, un poêle à pellets fonctionne grâce à un système électronique (d’où le prix d’achat supérieur) qui nécessite une alimentation électrique. Le système permet l’allumage facile du poêle, mais également, selon les modèles, la programmation anticipée des périodes de chauffe, la température exacte à atteindre... Cette dépendance à l’électricité induit son inutilité en cas de panne de courant. Le système électronique peut aussi occasionnellement souffrir de pannes. De façon plus marginale, certains concepteurs proposent des modèles sans électricité. Dans ce dernier cas, le prix de l’indépendance énergétique retrouvée impliquera d’effectuer manuellement l’allumage et de perdre la maîtrise précise du réglage de la température. Côté entretien, il faudra penser à aspirer régulièrement sa chambre de combustion. Finalement, il convient de souligner que, pour les puristes, la flamme d’un poêle à pellets, plus petite et nerveuse, offre une odeur et un esthétisme moins glamour que celle de la bûche traditionnelle.

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Les primes pour le vitrage

super-isolant

Parce que les enjeux énergétiques sont devenus incontournables dans la course à la transition écologique, les pouvoirs publics ont mis à disposition du citoyen certaines primes visant à stimuler les pratiques éco-responsables. On peut toutefois regretter que celles-ci ne soient accessibles que dans un certain nombre de cas limités. Comme la compétence est régionalisée, les incitants accordés pour le vitrage super-isolant varieront selon la situation géographique de votre maison.

En Région wallonne Il n’y a malheureusement pas d’aide à la construction. Par contre, en cas de rénovation d’une maison, la Région accorde une prime pour les menuiseries extérieures lorsque ces dernières ne respectent pas certains critères d’étanchéité. Pour que le nouveau vitrage ouvre l’accès à cette prime, il faut, d’une part, que son coefficient de transmission thermique Ug soit équivalent ou inférieur à 1,1 et, d’autre part que le coefficient Uw de toute la fenêtre (châssis inclus, donc) n’outrepasse pas 1,8. Comme il s’agit d’une prime « Rénovation », il faut que votre habitation ait connu une première occupation en tant que logement au minimum 20 ans avant l’introduction de votre demande. Le montant de base de la prime est fixé à 15 euros par mètre carré de vitrage, pour un maximum de 40m2 cumulés. Cette somme sera majorée en fonction des revenus cumulés de l’ensemble du ménage : + 200% en cas de revenus annuels inférieurs à 21.900 euros, + 100% lorsqu’il se situe entre 21.900 euros et 31.100 euros et + 50% entre 31.100 euros et 41. 100 euros. La prime ne sera pas accordée si vos revenus annuels dépassent 93.000 euros et ne pourra, dans tous les cas, outrepasser 70% du montant de l’investissement.

Vous pouvez encore obtenir un prêt à 0% vous permettant de réaliser vos travaux de rénovation avec préfinancement des primes. C’est le « Rénopack » qui ouvre accès à cette aide. Les montants financés peuvent aller de 1000 euros à 30.000 euros, doivent être remboursés endéans les 15 ans et ne seront accordés que si les revenus annuels du ménage sont inférieurs à 93.000 euros, ce qui n’exclut que les 10% les plus riches de la population. Pour davantage d’informations, rendez-vous sur le site http://energie.wallonie.be ou composez le numéro vert 1718. En Région Bruxelles-Capitale À Bruxelles, il existe une prime « Énergie » activable lorsque vous troquez votre vitrage peu performant contre un nouveau super-isolant. Ici encore, les bâtiments neufs ne peuvent bénéficier du coup de pouce public (le bâtiment doit être âgé de minimum 10 ans). En cas de remplacement de l’ensemble de la fenêtre, les conditions relatives au coefficient de transmission thermique seront identiques à celles requises en Wallonie (l’Ug sera, par contre, de maximum 1,2 si vous gardez des châssis identiques). Contrairement à la pratique wallonne, personne n’est exclu du régime d’attribution de la prime en fonction de ses revenus. Il y a, tout

de même, trois catégories. La première, dite de base, offre 10 euros par mètre carré de vitrage. La seconde (revenus entre 33.525,36 euros et 67.050,72 euros pour une personne isolée, entre 48.525,36 euros et 82.050,72 euros pour les cohabitants), attribuée aux revenus moyens, sera de 15 euros par mètre carré. La troisième, destinée aux bas revenus (moins de 33.525,36 euros pour la personne seule ou de 48.525,36 euros pour les ménages) accordera 20 euros par mètre carré. Les informations complémentaires sont disponibles sur le site www.ibgebim.be, section primes énergie. Vous pouvez encore appeler le 027/75.75.74 En Région flamande En Flandre, une prime est également accordée pour le remplacement d’un simple ou double vitrage par un vitrage super-isolant. Elle n’intervient, à nouveau, que pour les maisons existantes – dans ce cas-ci, lorsque l’habitation est raccordée au réseau électrique depuis le 1er janvier 2006 –. Cette prime vous permettra de bénéficier de 10 euros par mètre carré de vitrage ancien remplacé par un nouveau au coefficient de transmission thermique U inférieur ou égal à 1,1. Le complément d’information sur le site www. energiesparen.be ou au numéro vert 1700.


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Isolation des murs par l’intérieur : Plus capricieuse que l’isolation par l’extérieur, l’isolation intérieure des murs peut donner lieu à certaines difficultés dont il est important d’avoir conscience, surtout si vous réalisez vous-même vos travaux, pour ne pas être confronté à de mauvaises surprises ultérieures. Pour y remédier, il sera plus raisonnable d’en toucher un mot à un professionnel avant de passer à l’action. Pertes thermiques et condensation de surface Des déperditions de chaleur lorsqu’on isole un mur, en voici un phénomène curieux. Le risque existe pourtant, lorsque l’isolation est réalisée par l’intérieur, et doit son existence au phénomène des ponts thermiques – zone du mur où la barrière isolante est rompue –. Certaines constructions, de par leur configuration, rendent excessivement compliquée (parfois impossible) l’éviction de ces ponts par l’intérieur. Résultat : la chaleur peut s’échapper et de la condensation, voire de la moisissure, n’est pas à exclure. Condensation interne Spécialement en hiver, la différence de pression de vapeur d’eau entre

Les risques l’intérieur (grande) et l’extérieur (moindre) crée un phénomène de diffusion, propice à la condensation interne. Il est fondamental d’opter pour un isolant non perméable à la vapeur d’eau ou, à défaut, d’intégrer un pare-vapeur dans votre ouvrage. Plus courant encore : une discontinuité dans l’isolant (mal placé, percé par le placement d’une prise...) peut favoriser cette même condensation causée par un transport de vapeur par convection. Altération de la maçonnerie Entre l’intérieur et l’extérieur, la chute de température s’opère principalement à l’intérieur de la couche isolante. Quand cette dernière est placée à l’intérieur de l’habitation, la maçonnerie extérieure est davantage soumise aux variations de température du dehors (plus que s’il n’y avait pas d’isolant intérieur!), ce qui peut entraîner des fissures plus ou moins importantes selon la taille de la façade, le type de matériau qui la constitue et le niveau d’exposition. Comme le mur est sensiblement plus froid et humide, le gel hivernal peut encore altérer davantage la façade si la brique est moins résistante. Source : www.energieplus-lesite.be VendreDirect vous offre une réelle garantie de résultat ! Qui d’autre peut en dire autant ? Et tout cela sans mandat, sans exclusivité et surtout sans commission…

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Pour la bûche :

poêle, cassette ou feu ouvert ?

S’il existe désormais bien des alternatives à la bûche, le charme ancestral de cette dernière n’en finira jamais d’emporter l’engouement des amateurs de lecture au coin du feu. Une question reste cependant à régler : vaut-il mieux opter pour un poêle, une cassette (ou insert) ou un feu ouvert ? Comme souvent, il n’y a pas de réponse exclusive, chacune de ces installations offrant des arguments qui convaincront différemment selon les profils. Le feu ouvert, c’est l’assurance de se rapprocher au plus près de l’authenticité rustique chère à bien des âmes : proximité, crépitement, jolie cheminée... Si l’aspect esthétique constitue son principal avantage, il faudra abandonner l’idée d’en faire un outil de chauffe performant : à peine 10 ou 15% de rendement, l’énergie s’échappant littéralement en fumée par la cheminée. Cette principale faiblesse a permis de dérouler le tapis rouge à la cassette, ce dispositif vitré encastrable dans les cheminées existantes. Si on la compare au feu ouvert, la cassette offre un rendement cinq à sept fois plus élevé et une autonomie presque quadruplée. Une différence notable qui fait passer l’outil d’un chauffage d’appoint décoratif à une alternative solide en matière de chauffe, tout en conservant une proximité, certes

médiatisée par une vitre, mais toujours propice à la contemplation des flammes dansantes. Il faudra cependant renoncer aux crépitements et à l’odeur caractéristique que seul un feu ouvert peut offrir. De plus, bien que variablement salissantes selon les modèles, les vitres nécessiteront un entretien quasi hebdomadaire. Largement démocratisé ces dernières années, le poêle à bois propose un look et une ambiance différents de ceux de ses deux compères. Complètement apparent, disponible sous toutes les formes, ornés d’autant de potentiels motifs, il peut facilement, de par sa compacité, s’installer dans des espaces restreints. Couplé avec des radiateurs, il peut facilement chauffer une maison entière. Contrairement à l’insert, qui en comporte toujours un, le poêle à bois n’est généralement pas équipé d’un système de ventilation, ce qui rend la propagation de la chaleur moins diffuse dans votre intérieur.

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Isoler sa

porte de garage

Lorsque le garage est intégré dans votre habitation, et que celui-ci est chauffé pour une raison x ou y ( la pièce se prolonge sur une buanderie...), sa porte peu donner lieu à des pertes calorifiques non négligeables. Une option est de placer une porte de garage pré-isolée par le fabricant. Les modèles à isolation performante et résistants aux ponts thermiques se multiplient, mais ils ont leur coût. Une autre possibilité, pour les bricoleurs, est de s’armer de son cutter et de ruban adhésif double face pour isoler soi-même la porte défaillante. Pour ce faire, vous pouvez utiliser un film thermo-réflecteur (collé avec du double-face et encadré par des lés d’isolants) ou des plaques isolantes (en polystyrène ou en liège). Moins performante que la seconde, la première option présente l’avantage d’être

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très fine et légère, et ne pèse donc pas à outrance sur la structure basculante de la porte. L’efficacité accrue de la seconde engendrera un peu plus d’encombrement. Pour les contours de la porte, des joints de mousse adhésifs (ou bourrelets), vendus dans bien des enseignes, feront l’affaire. Vous clôturerez votre ouvrage à l’aide d’un bas de porte en caoutchouc ou en brosse (aussi utile pour lutter contre les infiltrations d’eau. Selon plusieurs professionnels du secteur, cela ne sert à rien d’investir à outrance dans l’isolation de la porte de garage. S’il est important que celui-ci soit isolé correctement, viser une performance répondant aux standards du passif entraînerait un coût disproportionné au vu de l’économie modérée qu’une pareille installation engendrerait. D’abord, car il subsisterait toujours un minimum de ponts thermiques entre la porte de garage et la façade, ensuite parce que la fonction même de cette porte est de s’ouvrir entièrement, pour laisser pénétrer le véhicule, ce qui engendre, au passage, une massive perte d’énergie. Dans tous les cas, l’idéal reste soit de ne pas intégrer le garage à la maison, soit que celui-ci ne fasse pas partie des pièces chauffées, en étant distancé de ces dernières par une solide isolation des murs partagés.

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Plutôt populaire au début de la seconde moitié du 20e siècle, le chauffage central à l’électricité a fortement subi la hausse des coûts au kilowatt-heure, perdant considérablement en attractivité. Il existe cependant encore des cas de figure où l’idée est pertinente. C’est par exemple le cas pour un chauffage d’appoint voire pour des petites maisons lorsque celles-ci sont peu occupées par temps froid. Car, si l’électricité, est cher, l’installation est très facile à poser et s’opère à moindre coût. La pompe à chaleur électrique, qui consomme moins qu’un radiateur électrique, est une bonne idée. Il faudra tout de même une installation électrique suffisamment puissante que pour assurer un approvisionnement adéquat. Notons encore que, à l’instar du gaz, l’électricité ne nécessite pas d’espace de stockage. Finalement, et c’est là que l’option devient vraiment pertinente, il est possible de diminuer drastiquement son empreinte écologique en optant pour l’un des modes de production d’électricité renouvelable que sont, par exemple, les panneaux photovoltaïques.



Isolez le

plafond de vos caves non chauffées

Lorsque la cave n’est affectée qu’au stockage de biens, qu’on la traverse ponctuellement, en coup de vent, pour venir y chercher une conserve ou un outil de jardin, il peut sembler un brin superflu de la chauffer. Si cette économie est évidemment la bienvenue, encore faut-il qu’elle ne soit pas réduite à néant par une mauvaise isolation. Dans une maison, jusqu’à 10% des pertes de chaleur se font par le sol. Isoler ce dernier devient, dès lors, incontournable. L’idéal, parce qu’ils s’opèrent plus facilement et à moindre coût, sera de réaliser vos travaux sur le plafond de votre cave plutôt que sur le sol de la pièce qui la surplombe. De la sorte, vous vous éviterez le démontage de votre superbe parquet et les difficultés causées par la présence éventuelle de vos installations techniques (électricité, chauffage...). Pour ce faire, deux possibilités s’offrent vous. S’il vous importe peu que l’isolation du plafond de votre cave soit apparente, vous pouvez directement coller, visser ou projeter votre isolant dessus. Vous aurez le choix entre différents types de panneaux (fibre de

bois, polystyrène...) ou d’isolants projetables (polyuréthane, flocage de cellulose...). Il existe également des panneaux dont l’isolant est caché par des finitions en plaque. Pour un plafond moins régulier et une finition plus léchée, optez pour un isolant intégré dans une structure boisée que vous placerez préalablement. Vous devrez choisir entre des isolants insufflés (cellulose, laine minérale...), souples (laine minérale, chanvre...) ou semi-rigides (fibre de bois...). Dans tous les cas, il faudra soit sélectionner un isolant non perméable à la vapeur d’eau, soit insérer un pare-vapeur entre le plafond et l’isolant. Dans la mesure du possible, surtout si vous ne bénéficiez pas de beaucoup d’espace, privilégiez un isolant à haute performance thermique (une résistance thermique « R » d’au moins 2). Si l’espace n’est pas un problème, n’hésitez pas à poser la couche la plus épaisse possible. Même si elle est un peu plus chère, vous y gagnerez clairement sur le long terme.

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Les

screens solaires

Fort d’un design souvent léché, les « screens solaires », ces stores déroulants constitués d’une toile haut de gamme micro perforée (en fibre de verre, polyester ...), ont plutôt la cote du côté des nouvelles constructions. C’est une des alternatives courantes en matière de protection solaire. Le screen permet d’éviter la surchauffe en été – le rayonnement thermique est stoppé avant d’atteindre la fenêtre, s’il est placé à l’extérieur – tout comme l’intrusion des rayons UV. S’il peut être presque totalement opaque ( pour une chambre, par exemple), il préserve, la plupart du temps, la vue vers l’extérieur tout en laissant filtrer la lumière, ce qui en fait l’allié idéal des baies vitrées et autres grandes surfaces du même acabit lorsque le soleil devient incommodant en été. Pouvant résister à des vents de grande ampleur, c’est aussi une excellente moustiquaire qui vous protégera des intrusions d’insectes. Notons que, si le screen préserve, la journée, votre intimité des regards extérieurs, il est moins performant, une fois la nuit tombée, lorsque la lumière est allumée dans la pièce.


Sus à la

vapeur !

De la vapeur d’eau, il y en a partout. À l’intérieur comme à l’extérieur de votre habitation. Souvent, et spécialement en hiver, la différence de pression exercée par la vapeur de part et d’autre d’un mur peut provoquer, selon la perméabilité de votre isolant, sa diffusion plus ou moins importante vers l’extérieur causant, au passage, une condensation interne peu souhaitable. Pour lutter contre ce phénomène, on utilise un film totalement étanche, le parevapeur, qui empêchera l’humidité de traverser la paroi. Il est toujours fixé sous l’isolant, côté chaud, c’est-à-dire sur le versant intérieur de celui-ci.

un pare-vapeur en présence d’un isolant très perméable, se réservant, pour les autres cas, un freine-vapeur (membrane moins étanche) qui limitera ces condensations internes d’été. Aujourd’hui, et c’est l’option idéale, il existe aussi des membranes dites « intelligentes ». Leur perméabilité varie selon que la pression s’exerce de l’intérieur vers l’extérieur ou inversement, luttant conjointement contre la condensation d’hiver et d’été. Dans tous les cas, il faudra scrupuleusement veiller à soigner la pose du film, en collant minutieusement chaque joint étanche – tout en limitant l’emploi de joints aux seules sections où leur présence est indispensable – et en mastiquant suffisamment leur jonction avec des éléments tiers. Idéalement, il est préférable d’éviter de faire passer des tuyaux à travers le pare-vapeur. S’il est impossible de procéder autrement, employez des manchons adaptés favorisant une traversée complètement étanche à l’air.

Selon le degré d’étanchéité de ce film de protection, on parlera d’un pare-vapeur ou d’un freine-vapeur. Car le pare-vapeur, caractérisé par son imperméabilité quasi totale, n’est pas forcément adéquat en ce qu’il peut compliquer sérieusement le séchage du mur à l’intérieur quand, en été, le phénomène de diffusion de l’humidité s’inverse. Par conséquent, on favorisera

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Quels châssis pour vos fenêtres ? Assurer la chauffe efficace d’une habitation, c’est également éviter que la chaleur ne s’échappe. Selon le type de maison, 10 à 15% des pertes d’énergie thermique sont dus à des fenêtres mal conçues. Il est, par conséquent, fondamental d’isoler au mieux ces dernières. Revient, ainsi, régulièrement la question du choix adéquat en matière de châssis. Notons d’emblée que, si certaines tendances se dégagent, le type de matériau employé n’est plus aussi déterminant qu’il ne le fut par le passé. Qu’on opte pour une structure boisée, en alu, en PVC ou mixte, l’important est que celle-ci soit de qualité et posée par un professionnel consciencieux. Il incombe néanmoins de revenir sur les atouts et faiblesses de chacune de ces matières pour vous permettre d’effectuer le choix le plus judicieux en fonction de votre profile et de celui de votre maison. En gardant à l’esprit qu’il vaut toujours mieux privilégier la qualité, quitte à payer un peu plus cher. Le bois : au top, mais nécessite un entretien régulier Par nature, le bois est un isolant thermique – et acoustique – formidable. Aujourd’hui, plusieurs châssis en bois certifiés « passifs » sont disponibles sur le marché. On retrouve des essences de pin, d’épicéa, de mélèze (...) au coefficient Uf très faible. Outre son aspect chaleureux, le bois limite fortement le phénomène des ponts thermiques et présente une belle longévité. Il peut aisément être réparé lorsqu’il est altéré. Pourtant, il est actuellement très peu sollicité par les maîtres d’ouvrage (moins de 10%) et ne cesse de perdre du terrain depuis l’époque où il était l’unique alternative. La raison est double : son prix, qui variera en fonction de l’essence, mais qui stagne généralement entre celui du PVC et de l’aluminium, et son entretien, notamment pour lutter contre la moisissure et l’humidité. C’est ce dernier désagrément qui refroidit bon nombre de Belges. En fonction du positionnement des façades, les lasures (ce produit hydrofuge et microporeux qui protège le bois) et peintures devront être renouvelées tous les 2 à 5 ans (si façade exposée plein sud) ou 5 à 10 ans ( si tournée vers le nord). Un inconvénient dont s’accommoderont plus facilement ceux qui aiment renouveler la couleur de leurs châssis. Le PVC : efficace, peu cher, mais moins charmant et loin d’être écolo Sur le plan de l’isolation thermique, le PVC rivalise presque avec le bois, allant même, lorsqu’il multiplie les chambres étanches contenant de l’air fixe, à surpasser certaines essences. S’il a réussi à s’imposer sur la moitié des façades de notre plat pays, c’est d’abord pour son faible coût – en moyenne 15 à 30% moins cher que le bois – doublé d’une excellente résistance au pourrissement et à la corrosion. Contrairement au bois, il ne nécessite aucun entretien et bénéficie d’une durée de vie remarquable (minimum 50 ans). S’il peut être décliné en presque autant de styles que de couleurs – allant jusqu’à proposer un effet boisé – , on descend tout de même d’un cran en matière de charme et d’esthétisme. Côté écologie, il faut être prêt à fermer les yeux sur ses propriétés peu respectueuses de l’environnement. Constitué, pour près de la moitié de ses composantes, d’un sous-produit de pétrole raffiné, il souffre d’une empreinte écologique plus lourde que ses homologues. L’Aluminium, plus performant qu’avant S’il a souvent été discrédité pour ses faibles capacités d’isolant thermique – il est autant conducteur de chaud que de froid –, la mauvaise réputation de l’aluminium semble derrière lui. Et pour cause : désormais constitué de profilés à minimum 3 chambres, il bénéficie d’un système de rupture de ponts thermiques qui en fait un isolant tout à fait acceptable. D’une finesse seulement égalée par son élégance, il est idéal pour les grandes fenêtres et représente 40% du marché actuel en matière de châssis. Il est entièrement recyclable. Seul véritable bémol : son prix, qui en fait le matériau le plus cher par rapport à ses concurrents. Le compromis du mixte bois-alu Cette formule permet de bénéficier pleinement des propriétés isolantes naturelles du bois, qui constituera la structure principale du châssis, tout en les combinant à l’esthétisme et au faible entretien que nécessite l’aluminium. Un compromis qui séduit de plus en plus.


Les primes à

En Wallonie C’est la prime énergie, déjà détaillée précédemment – primes pour le matériel de chauffe –, qui couvre l’isolation du toit et des murs. Les conditions générales et règles de majoration en fonction du revenu de référence du ménage restent inchangées. L’isolation du toit, dont le coefficient de résistance thermique (R) doit être égal ou supérieur à 4,5 m2 K/W, ouvrira l’accès à 2 ou 5€/m2 selon qu’elle a été réalisée par le demandeur ou l’entrepreneur. Pour les murs, il faudra distinguer selon qu’ils ont été isolés par l’intérieur (R de minimum 2 m2 K/W), par le creux du mur existant (minimum 1,5m2K/W) ou par l’extérieur (minimum 3,5 m2 K/W). La prime s’élèvera à 8€/m2 dans le premier cas, 6€/m2 dans le second et 12€/m2 dans le dernier. À Bruxelles Bruxelles Environnement prévoit également des primes. C’est toujours le même système, établissant trois catégories de bénéficiaires sur base des revenus annuels du ménage, qui s’applique.

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Pour les toitures, la prime vise l’isolation thermique des toits plats, inclinés, mais aussi du sol des greniers non aménageables lorsque leur toiture n’est pas isolée. Elle est fixée à 15€/m2 de toiture isolée (catégorie A), 20€/m2 (catégorie B) et 25€/m2 (catégorie C). Elle prévoit un bonus de 10€/m2 en cas d’emploi de matériaux isolants naturels. Pour débloquer l’accès à la prime, l’isolant doit afficher un coefficient R de minimum 4 m2 K/W. Un pare-vapeur (ou frein-vapeur, selon le type d’isolant) doit encore être apposé sur le versant intérieur de la couche d’isolation. La prime pour l’isolation thermique des murs variera selon le mode d’isolation et sera plafonnée à 50% des coûts de la facture. Si l’isolation est effectuée par l’extérieur, et à condition que son coefficient R soit égal ou supérieur à 3,5 m2 K/W, la prime s’élèvera à 40 (A), 45 (B) ou 50 (C) €/ m2. Pour une isolation par l’intérieur, au coefficient R de minimum 2 m2 K/W, elle sera de 20 (A), 25 (B) ou 30(C)€/m2. Finalement, lorsque l’isolation est réalisée dans le creux d’un mur existant, le coefficient R minimum devra être de 1 m2 K/W et ouvrira l’accès à 8 (A), 10 (B) ou 12(C)€/m2. Le bonus isolant naturel est aussi de 10€/m2.

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Optez pour un En un demi-siècle, le monde de la vitre a opéré un solide bond en avant. Alors que le simple vitrage, composé d’une unique plaque de verre, était la règle dans les chaumières jusqu’au début des années 70, il fut progressivement remplacé par le double vitrage, révolution qui consistait à dédoubler la fameuse plaque de verre pour insérer, en son milieu, une lame d’air salvatrice. Deux fois moins de déperditions thermiques pour une jolie économie énergétique et financière. Aujourd’hui, les enjeux en la matière ont encore évolué et la technologie s’est à nouveau adaptée pour proposer des formules de vitrage tellement performantes qu’elles relaient les innovations d’hier à l’âge de pierre.

vitrage performant

pas beaucoup plus cher que ce dernier, alors même que son coefficient Ug descend facilement en dessous de 1,5 (pour une valeur de 3 dans le cas du double vitrage classique) et offre donc des économies d’énergie non négligeables. Ses propriétés isolantes couplées à son prix abordable en font le compromis idéal pour les petits et moyens budgets.

Le triple vitrage C’est la formule la plus performante, bien que son attractivité demeure, jusqu’à présent, relativement modérée. Comme son nom l’indique subtilement, une troisième feuille de verre a été rajoutée au vitrage et le film métallisé a

Le vitrage super-isolant On l’appelle également vitrage à haut rendement et, le moins qu’on puisse dire, c’est qu’il rend bien hommage, en pratique, à sa dénomination. Si, structurellement, on pourrait presque le confondre avec un double vitrage traditionnel, le vitrage super-isolant présente la particularité d’avoir troqué le coussin d’air entre ses deux feuilles de verre par un gaz noble (souvent de l’argon, ou du krypton, bien que ce dernier soit beaucoup plus cher). Un film métallisé (oxyde de fer), employé pour entraver les déperditions de chaleur par rayonnement, est, de surcroît, accolé, par l’intérieur, à l’une des deux vitres. L’emploi du gaz rare permet d’augmenter considérablement les capacités d’isolation thermique, rendant ce type de vitrage deux fois plus performant que le double vitrage traditionnel. Étonnamment, il ne coûte

été doublé. En fonction de l’isolant placé entre ces feuilles, les performances thermiques de la vitre peuvent atteindre des sommets : Ug de 1 avec de l’air, de 0,8 en présence d’argon et de 0,6 lorsque vous optez pour le plus onéreux krypton. Les limites repoussées par le vitrage super-isolant sont, ici, à nouveau acculées. Sauf que dans une habitation, le vitrage est loin de constituer l’unique rempart contre la déperdi-

tion de chaleur. Aussi, équiper votre maison d’un triple vitrage sans avoir pensé consciencieusement le reste de celle-ci peut s’avérer, si ce n’est inutile, très peu signifiant par rapport à l’investissement financier injecté dans l’entreprise. Dans le cas d’une rénovation, il faudra s’assurer que les autres lieux privilégiés par les fuites énergétiques (toiture, murs ou les châssis qui encadrent le vitrage) bénéficient de propriétés isolantes suffisamment optimales que pour ne pas réduire à néant les efforts fournis par le vitrage. Car ce dernier souffre d’un coût relativement conséquent (son écart avec le double vitrage variera sensiblement selon les formules), principal frein à son expansion sur le marché. L’importance de son prix complique sa rentabilité dans une maison à l’isolation classique. En réalité, le triple vitrage prend tout son sens dans le cadre d’une maison passive ou à très basse consommation. C’est dans cet unique cas qu’il impactera vraiment les dépenses énergétiques. Autre élément à garder à l’esprit lorsqu’on pose un triple vitrage : son poids (30% plus lourd qu’un double vitrage traditionnel). Il nécessite une structure de soutien adaptée, qui engendre encore un surcoût lorsque vous rénovez votre maison et qu’il vous faut aussi changer votre menuiserie. Sur le plan de la luminosité, l’épaisseur du triple vitrage amoindrit la transmission de l’éclairage naturel, ce qui peut constituer un désagrément en hiver. Finalement, il convient de souligner que, si cette formule lutte efficacement contre les déperditions thermiques, ses propriétés isolantes sur le plan acoustique n’évoluent en rien – voire régressent sur certains modèles – par rapport au double vitrage.


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Les systèmes de production d’eau chaude sanitaire sont subdivisés en deux catégories principales. La première, dont plusieurs exemples seront exposés dans les pages suivantes, consiste à stocker de l’eau, préalablement chauffée, dans un réservoir appelé boiler. La seconde, qui permet de chauffer l’eau dès l’ouverture du robinet, est le système du chauffe-eau instantané. Nous allons l’explorer dans ces lignes.

La caractéristique principale du chauffe-eau instantané réside dans sa capacité à fournir de l’eau chaude sanitaire à la demande, sans limites de disponibilité. En fonction de sa source d’énergie ( électrique ou au gaz), l’eau sera soit chauffée par résistance soit par le biais d’un brûleur. L’option électrique est très peu employée, car elle mobilise une puissance qui la rend extrêmement énergivore pour un trop faible rendement. On peut tout de même envisager d’y recourir pour des petites quantités d’eau. Pour le reste, le chauffe-eau instantané au gaz, apte à alimenter la plupart de vos points d’eau (éviers, douches...), sera le plus répandu. Avantages et inconvénients Au rang des avantages, on retrouve d’abord le faible taux de gaspillage énergétique lorsque l’eau n’est pas soutirée. Ce gaspillage est nul pour les appareils à allumage électronique et très faible pour ceux munis d’une veilleuse. Par définition, et contrairement aux boilers, l’eau chaude ne vient jamais à manquer, ce qui permet d’éviter les désagréables surprises en milieu de douche matinale. Généralement moins cher que les boilers, les chauffe-eau instantanés prennent également très peu de place. Ils s’installent facilement et sont d’une simplicité équivalente lors de l’utilisation. Ajoutons encore que l’absence de stockage de l’eau per-

met d’écarter les problèmes de tartre, de corrosion et le risque que celle-ci soit contaminée par la légionellose. Le système n’est pas pour autant exempt d’inconvénients. Si le chauffeeau limite le gaspillage en cas de non-utilisation, il nécessite, par contre, une puissance instantanée plus importante, ce qui place son rendement en deçà de celui des boilers. La température de l’eau peut également souffrir d’inconstances. Il faudra souvent un léger temps d’attente avant d’obtenir l’eau chaude désirée (le cas classique d’une douche qui tarde à atteindre la température adéquate, entraînant une consommation d’eau inutile). L’emploi simultané de plusieurs robinets perturbe encore l’homogénéité de la température de l’eau, bien que cette difficulté peut être contournée à l’aide d’un brûleur modulaire qui maintiendra la température même si le débit varie. La capacité de débit La capacité de débit du chauffe-eau instantané – le nombre de litres écoulés par minute – est un élément primordial dont il faut tenir compte lors de la sélection d’un modèle. Une capacité

de débit trop faible provoquera des carences en eau chaude là où une capacité trop haute engendrera une surconsommation énergétique. Il faut veiller à opter pour une formule correspondant le plus à vos besoins. À titre d’exemple, un chauffe-eau d’une capacité de 5 litres d’eau chaude (+/- 55°) par minute fera l’affaire pour l’utilisation simultanée de deux éviers. Si vous les cumulez avec une douche et une baignoire, vous ne vous en tirerez pas en dessous d’un appareil capable de chauffer 20 litres par minute. En plus du débit, le temps d’attente pour obtenir une eau à la température souhaitée variera encore en fonction de l’épaisseur de la tuyauterie, de son isolation et de la proximité entre le chauffe-eau et le point de sortie de l’eau (il est recommandé de l’approcher un maximum des douches et baignoires). Sécurité Le risque principal, si l’on ne respecte pas les normes d’installation et d’utilisation d’un chauffe-eau au gaz, est d’encourir une intoxication au monoxyde de carbone. Pour éviter un tel incident, les appareils traditionnels doivent être équipés d’une évacuation des gaz brûlés, d’un système de ventilation performant et d’un système de sécurité stoppant l’appareil en cas de pépin. Désormais, on conçoit des chauffeeau étanches, dits « à ventouses », qui puisent l’air nécessaire à la combustion à l’extérieur et y rejettent les gaz. Plus besoin de cheminée ni de l’air de la pièce, ce qui accroît grandement votre sécurité, même si le système est plus cher.


Poêles et inserts : pourquoi pas

au gaz ?

Si le bois est chéri par beaucoup pour son charme et son faible coût, son utilisation dans les poêles et inserts est loin d’être sans contraintes : stockage des bûches, allumage manuel du feu, entretien, saletés... De quoi en décourager certains. Au rang des alternatives en plein boom, les poêles et foyers au gaz accumulent des avantages susceptibles de vous faire succomber à leur charme. Raccordés au gaz de ville, ces appareils permettent de revisiter le monde de la flamme en évitant, dans une majorité des cas, le piège du kitch. La modernité épouse ainsi l’authenticité pour enfanter une variété de designs attrayants et toujours plus multiples. L’intérieur peut être garni de fausses bûches, de galets, être plus épuré... C’est inévitablement un professionnel qui s’occupera de l’installation de votre appareil. Selon les formules, différents impératifs liés à l’évacuation des gaz et à l’arrivée d’air doivent scrupuleusement être respectés. Pour assurer que l’ensemble des exigences de sécurité a été rencontré, un installateur agréé ou un membre d’un organisme de contrôle indépendant devra valider la pose

et le raccordement. Les avantages avancés par les concepteurs des foyers et poêles au gaz sont légion. La praticité est probablement l’argument le plus pertinent. L’allumage automatique à l’aide d’une télécommande – celui-ci peut être programmé à l’avance sur certains modèles – et le réglage de l’intensité de la flamme – manuellement ou via un thermostat – offrent une facilité d’exécution particulièrement remarquable. Pas de stockage de bois, pas de poussières, pas de cendres : vous profiterez sans contraintes du spectacle des flammes dans une ambiance chaude et confortable. Certains bémols enfument tout de même ce joli tableau. Si les différents modèles ne sont pas toujours donnés, leur consommation énergétique, elle aussi, est bien plus élevée que celle du bois ou du pellet. De surcroît, le gaz demeure une énergie fossile – même si elle est plus propre que d’autres – et contribue à l’émission de CO2. Finalement, il faudra accepter de renoncer à une odeur et à des crépitements que seul le bois est susceptible de prodiguer.


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Championne hors catégorie des déperditions de chaleur dans une maison, la toiture est le lieu sur lequel concentrer en priorité ses investissements énergétiques. La meilleure des chaudières ne pourra pas grand-chose face au gouffre calorifique abyssal que représente un toit mal isolé. Selon que ce dernier est plat ou incliné, les techniques d’isolation varieront.

La toiture plate Première option parmi les techniques d’isolation d’un toit plat, la toiture chaude consiste à placer la couche d’isolant directement sur le support ( ce peut être une dalle, un plancher, de la tôle...), en insérant tout de même un pare-vapeur entre les deux, avant de la recouvrir d’une membrane d’étanchéité pour en assurer la protection. En fonction de la solidité de la structure, vous pourrez vous arrêter là ou rajouter un lestage (qui n’est pas fondamental). Afin d’amplifier la longévité de la membrane d’étanchéité, la technique de la toiture inversée suggère de placer celle-ci en dessous de l’isolant (directement sur le support). Cela permet de la protéger des variations de chaleur et de rayonnements du soleil, mais expose davantage l’isolant aux intempéries, ce qui en amoindrit partiellement les performances. Il faudra encore placer une natte de protection entre l’isolant et le lestage pour favoriser la diffusion de la vapeur, contrer en partie l’humidité et rompre le film. Synthèse entre ces deux premières méthodes, la technique de la toiture combinée nécessite davantage d’investissements en matériaux. Ici, il y aura une superposition d’isolants. Après avoir éventuellement déposé un pare-vapeur sur le support – inutile si la deuxième couche d’isolant possède une résistance thermique deux fois plus grande que la première – , vous coucherez un premier

isolant qui sera recouvert par une membrane d’étanchéité. Pour éviter à cette dernière de subir les désagréments météorologiques et solaires, et lui offrir une plus belle espérance de vie, une seconde couche d’isolant sera placée par-dessus. Il faudra encore ajouter une natte de protection et un lestage pour parachever

l’entreprise. Souvent usitée par le passé, la méthode de la toiture froide, qui consiste à placer l’isolant en dessous du support, est complètement déconseillée à moins que vous soyez friand de condensation interne et de tous les désagréments qu’elle engendre.

La toiture inclinée Contrairement au toit plat, la toiture inclinée crée un nouvel espace, le comble, qui se situe entre ses versants pentus et le dernier plancher

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de la maison. Selon l’usage qu’on en fait, on peut choisir de ne pas chauffer le comble, en quel cas il sera suffisant d’isoler son plancher. Dans une perspective inverse, il faudra donc isoler la charpente de la toiture. Pour ce faire, trois techniques : L’isolation intérieure, qui s’opérera « entre chevrons ou fermettes » (chevrons et isolant s’alterneront sur toute la longueur de la toiture), consiste à placer la couche isolante entre la finition intérieure et la sous-toiture ellemême surplombée par la toiture (constituée de contre-lattes recouvertes de la couverture en tuiles, ardoises, chaume...). Un pare-vapeur sera inséré en dessous de la couche isolante si cette dernière est constituée de panneaux en laine de roche non revêtus (cas assez classique). Il est encore conseillé de laisser un vide technique entre le pare-vapeur et la finition intérieure. L’isolation par l’extérieur peut s’opérer de deux manières. La première technique est celle de la toiture « sharking » et consiste en la pose de panneaux rigides (généralement en mousse synthétique ou en verre cellulaire) au-dessus des chevrons ou des fermettes avant d’être recouverte par la sous-toiture et la toiture. Un pare-vapeur est inséré entre les chevrons et l’isolant. Généralement, en plus d’être isolants, ces panneaux assurent aussi la fonction de sous-toiture et d’écran étanche à l’air. La seconde technique est celle des panneaux autoportants. Ceuxci sont préfabriqués, fermés sur les côtés, et constitués, en leur intérieur, d’une plaque inférieure, d’un pare-vapeur intégré et de l’isolant. Avec ça, pas besoin de chevrons. Le panneau assure le rôle de la sous-toiture, de l’isolation, de l’écran d’étanchéité à l’air et à la vapeur et même celui de la finition intérieure ! Source : www.energieplus-lesite.be


Le

boiler combiné

avec une chaudière

C’est le cas de figure le plus courant. Le gaz et le mazout permettent, dans une majorité de cas, de réaliser de meilleures économies qu’en présence d’un boiler électrique. Le système fonctionne aussi bien avec des petits boilers de 50 litres que ceux de plus de 300 litres. Ici, c’est votre chaudière qui apporte l’énergie calorifique à l’eau contenue dans le boiler. Beaucoup de modèles sont constitués d’un échangeur à serpentin, placé dans la cuve, et parcouru par l’eau de la chaudière. L’alternative est d’opter pour le système de la « double enveloppe », encore nommé « tank-in-tank », et consiste à placer, à la façon d’un bain-marie, la cuve du boiler dans une plus grande cuve, elle-même traversée par l’eau chaude du chauffage. Cette option offre une chauffe plus rapide et permet d’éviter plus efficacement l’accumulation de calcaire. Pour ceux qui seraient rebutés par l’idée de voir leur chaudière tourner en été, il existe encore des boilers mixtes qui utiliseront la chaudière lorsque celle-ci est active et passeront en mode électrique durant les beaux jours.

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Isoler par l’extérieur avec des panneaux

C’est la méthode d’isolation extérieure d’une habitation la plus communément employée. Elle consiste à fixer des panneaux d’isolant sur le mur existant soit à l’aide de mortier – il s’agira alors d’un collage – soit avec des fixations mécaniques. Si ces dernières engendrent de petites déperditions thermiques, elles sont à favoriser en ce que le collage au mortier est peu respectueux de l’écologie et empêche tout tri ou recyclage lorsque l’isolation devra être changée. Pour le choix des panneaux, il existe un large éventail de possibilités. Les matériaux les plus courants sont le polystyrène expansé et la laine minérale. Sur le plan écologique, les panneaux en fibre de bois ou de liège constituent un choix particulièrement pertinent. Mousse polyuréthane, phénolique ou polystyrène extrudé sont encore d’excellentes alternatives thermiques. Finalement, les panneaux seront recouverts d’une armature synthétique ou métallique sur laquelle l’enduit de finition pourra être apposé. Source : www.energieplus-lesite.be/

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