dossier de presse

Festival arts en fête dossier presse 2011

DOSSIER DE PRESSE

Avril 2011

FESTIVAL ARTS EN FETE #7

Du 22 juillet au 14 août - La Clayette [71]

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SOMMAIRE

P.1 P.6 P.12 COMMUNIQUE DE PRESSE

I-UNE PROPOSITION ARTISTIQUE EXIGEANTE AVEC DES DISCIPLINES VARIEES ET DES ARTISTES DE HAUT VOL

II-DES LIEUX DE CARACTERE ET DE PATRIMOINE, EMBLEMATIQUES DE LA VILLE ET TRADUISANT AUSSI SON QUOTIDIEN

P.17 III-ANNEXES

*Programme détaillé d’ARTS EN FÊTE *La Clayette au cœur de sa région

Avril 2011

Communique de presse

FESTIVAL ARTS EN FETE #7

Du 22 juillet au 14 août - La Clayette [71]

Plus de 3 semaines de découvertes, d’échanges et de rencontres autour de l’art contemporain Désormais incontournable dans le cadre des festivités proposées pendant l’été dans la région, ARTS EN FETE 2011 s’annonce comme un moment fort et convivial avec une thématique ambitieuse et passionnante « Un Monde en Moi ». L’événement regroupe des disciplines variées telles que la gravure, la photographie, l’art graphique, le livre-objet, la peinture, la sculpture, l’installation, la vidéo. Seize artistes venant de France et de l’étranger, pour la plupart reconnus au niveau international, exposeront une douzaine d’œuvres chacun sur ce thème. Originalité et force du concept, ARTS EN FETE offre aux visiteurs un véritable parcours dans la ville avec la présentation des œuvres dans sept lieux publics ou privés transformés en « galeries ». Quand une balade touristique devient un parcours artistique…

Une 7ème édition encore plus interactive L’ambition affichée d’ARTS EN FETE est de permettre à tous une approche de l’art par un biais original, attractif et participatif. Mélangeant habilement visites guidées ou parcours libres, mais aussi ateliers-découvertes pour s’initier à différentes disciplines, cette manifestation se veut populaire et qualitative. Ces 25 jours d’effervescence sont une formidable opportunité pour découvrir cette forme d’art et ses multiples facettes. Pensée pour séduire petits et grands, néophytes et amateurs éclairés, ARTS EN FETE est une illustration parfaite de la possibilité de rapprocher l’art et le public en toute convivialité.

Avec dix ateliers proposés au public (enfants et adultes), un artiste en résidence, la mobilisation de la ville et la possibilité de combiner balade patrimoniale, rencontres avec les Clayettois qui participent à l’accueil des visiteurs et avec les artistes, ARTS EN FETE allie proximité et ouverture, simplicité et questionnement pour le plus grand plaisir de tous.

Avril 2011

Communique de presse

En amont de la manifestation, grâce aux professeurs des écoles Lamartine et Ste Marie, les enfants de la ville participeront à un projet artistique en lien avec le thème d’ARTS EN FETE et adapté à leur compréhension.

Les élèves des Ateliers d’Esther (atelier situé à La Clayette) y travailleront également.

Chaque élève pourra produire une réalisation en volume représentant son univers. Issue d’une réflexion engagée avec les enfants sur leur identité, sur leur personne, ce travail artistique leur permettra d’exprimer la connaissance de soi, pour amener à l’estime de soi (émotions, sensorialité, sensibilité, désirs, tempérament, caractère, qualités et défauts...).

Leurs travaux seront exposés aux abords de la mairie, place Rambuteau et chez quelques commerçants durant ARTS EN FÊTE.

Où, quand, comment, avec qui ?

Ville de la Clayette Du 22 juillet au 14 août 2011 Visites pour les lieux « galeries » de 15 à 19 heures Lieux extérieurs accessibles à temps complet Visites guidées gratuites les lundis (visite ludique pour les enfants accompagnés) et les mercredis (tout public) à 15 heures.

Départ à l’Espace Sainte Avoye (lieu 1).

Ateliers Ecole Lamartine les 2, 4, 5, 6, 8, 9, 11 et 12 août ARTS EN FETE est une manifestation organisée et financée par la Commune de la Clayette (curatrice Valérie Loron), soutenue par le Pays Charolais-Brionnais, la Région Bourgogne et le Département de Saône et Loire, ainsi que des sponsors privés.

Pendant la manifestation, Laurent Melon, artiste en résidence, artiste à l’univers épicurien et onirique propose aux visiteurs de participer à son projet « Grand ciel ».

Le public est invité à venir laisser sa « trace » et entrer dans un monde fantastique. Les participants pourront s’essayer à la technique de peinture inédite de Laurent Melon, poser pour des photos portraits… Tout cela pour la réalisation d’un projet participatif afin de créer un « scoopitone »* sur La Clayette, les lieux et les gens…

L’idée est que la personne reparte avec un « souvenir » (image imprimée et participation au film) et aussi de promouvoir une ville où il fait bon vivre... Partant du constat que ce sont les gens qui font le lieu, son histoire et son activité, Laurent Melon aimerait que les gens puissent laisser leur empreinte dans une production qui veut rendre l’esprit du lieu.

Une approche artistique exigeante Les organisateurs d’ARTS EN FETE ont pris le parti de proposer des artistes et des œuvres d’envergure. Les 16 artistes présents cette année ne dérogent pas à cette approche puisqu’ils sont majoritairement des talents reconnus internationalement. La variété de leurs disciplines respectives apporte une caution supplémentaire à cette manifestation qui se veut didactique.

Sont donc attendus cette année : Cécile Babin artiste-verrier, Luc Bernad dessinateurpeintre, Jean-François Berjoan peintre, Marielle Chauvin photographe, Nathalie Cirino sculptrice, Marie-Hélène Collinet-Baillon peintre, graveuse, musicienne, Judith Franken

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Communique de presse

sculptrice céramiste, Didier Hamey graveur-sculpteur, Medjid Houari sculpteur-designer, Catherine Léva sculptrice, Laurent Melon peintre, graphiste, vidéaste, Christophe Miralles peintre, Muriel Moreau graveur, Loretta Rossi peintre, Rémy Weité photographe, Sophie Wilbert graveur.

Des évènements dans l’évènement…

L’inauguration d’ARTS EN FETE aura lieu le jeudi 21 juillet à partir de 17h et sera l’occasion d’un parcours accompagné avec le BLUE DIXIE BAND, qui donneront ensuite un concert à 21h place Rambuteau (Jeudis en fête : entrée libre).

Le samedi 6 août à 18h, l’artiste Luc Bernad proposera une performance avec son ami musicien Thibaut Monnier sur le thème qui lui et cher et qui est le fil conducteur de son travail : La LIGNE. Cette performance intitulée « le rythme et la ligne » aura lieu place Rambuteau (lieu 6) avec repli à l’école Lamartine en cas de pluie. Pour Luc Bernad, l’acte de dessiner ou de peindre inclut la musique et la danse depuis toujours. D’où comme l’artiste le dit « les performances... qui m’ont bien aidé à sortir de 25 ans de graphisme minutieux pour aller vers une peinture vivante. La ligne graphique, point de départ de toutes mes créations, utilise une musique de préférence surprenante pour trouver son rythme. Le son qui pénètre l’esprit fait alors bouger le corps jusqu’à la main qui n’a plus qu’à suivre le chemin ainsi tracé en s’adaptant au rythme. Donner en peinture ce que la musique me donne. Une nouvelle formule, avec le même musicien, sera donc présentée le 6 août prochain. La piste suivie est en rapport avec les images fractales. « Un objet fractal est un objet dont chaque élément est aussi un objet fractal ».

Enfin, le 14 août en clôture d’ARTS EN FETE, le travail de l’artiste Laurent Melon et des visiteurs PLEIN CIEL sera présenté à partir de 15 heures au centre ville. Ce « scoopitone » qui devrait traduire ce qu’est la ville et comment ELLE est perçue par les gens en fonction de leur propre imaginaire sera ainsi présenté au regard de tous.

Une thématique qui interroge Faisant écho au thème de l’édition précédente, « Le Monde et Nous », qui interrogeait sur la quête de l’artiste, sa perception du monde et son rapport aux autres, la thématique de 2011 « Un Monde en Moi » se tourne vers la perception intime de l’artiste, ses questionnements intérieurs, son cheminement personnel. Cette addition d’émotions, de sensations alliées au but et concept artistique dégage une œuvre qui sait ainsi toucher le spectateur et provoquer chez lui une prise de conscience. Au fond, le sujet n’est que prétexte, et le matériau qu’un médium pour permettre à l’artiste de s’exprimer. Au-delà des visites et de la découverte des oeuvres, l’échange qui aura lieu avec les artistes dans le cadre des ateliers viendra renforcer cette idée qui touchera d’autant plus le spectateur qu’il pourra lui-même devenir artiste et exprimer ainsi cette quête intérieure, de façon simple, ludique et porteuse de sens. *scoopitone : en référence aux scoo pitones films musicaux des années 60, ancêtre des clips vidéo…

SERVICE PRESSE DU BRUIT AU BALCON - Sébastien Sechaud sebastien@dubruitaubalcon.com +33 (0)4 37 92 04 07 www.dubruitaubalcon.com

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I. UNE PROPOSITION ARTISTIQUE EXIGEANTE AVEC DES DISCIPLINES VARIEES ET DES ARTISTES DE HAUT VOL Ils seront 16 cette année à participer à ARTS EN FETE. Issus de pays différents, d’univers et de disciplines artistiques variées, ces artistes offriront au regard des visiteurs près de deux cents œuvres réparties dans la ville.

Cécile BABIN,

artiste verrier est « compagnon verrier européen ». Après 3 ans aux Beaux Arts de Rouen, puis 2 ans à la faculté d’arts plastiques, Paris 8, elle choisit le verre comme matériau de son art. Elle obtient une bourse de 2 ans au CERFAV (Centre européen de recherches et de formation aux arts verriers), puis passe un CAP de verrier en complément. Ses sculptures allient maîtrise et originalité. Exposant depuis plus de 10 ans à travers tourte la France, elle a décliné son œuvre autour d’une thématique qui lui est chère : la maison. Voici ce qu’elle écrit « la maison, récit d’une vie, d’une famille, d’une génération.Lieu de refuge, de protection où se font et défont des histoires… » «Après le déluge», pâte de cristal, 26 cm de haut

Jean-François BERJOAN,

peintre, expose dans de nombreuses et célèbres galeries parisiennes. Il utilise diverses techniques, des pâtes personnelles sur toile. Les éléments de ses tableaux par la diversité de leurs textures, leur position, leurs intensités différentes créent une dynamique très sensorielle. Il dit « Toujours je cherche une alchimie du rythme, des couleurs, du trait. Mouvement perpétuel où se déjouent les lois de la gravité. Pas vraiment un centre, mais des centres laissant le regard libre de son parcours. »

«Déshabillez-moi», pigments et liants, 100 x 73 cm.

Luc Bernad,

peintre et performeur, cet artiste issu des Beaux Arts de Metz, travaille depuis 30 ans en maniant avec expertise feutre, peinture ou aérographe. Il s’intéresse aux mystères de la LIGNE. Laissons le parler « La LIGNE initiale tracée à la plume encre de Chine en 1973, a traversé les décennies en « explaurant » (sous le pseudo de Plaur) tous les mediums. Du pastel sec au graff, peintures, performances, vidéo, le but était de lui donner plus d’impact sans en perdre la liberté. En effet, une LIGNE se joue des pleins et des vides.

C’est le regard qui va choisir. Seule, la LIGNE reste suspendue dans le vide... Après 20 ans d’aérographe utilisé en complément de la brosse sur toile, il se révèle que c’est l’outil qui me permet de retrouver le «XXL», dessin à l’aérographe, 2,5 x 1,2 m. dessin à la plume originel, enrichi de toutes les « explaurations. » La boucle est bouclée… ».

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Marielle CHAUVIN,

photographe et docteur en philosophie a allié recherche théorique et recherche plastique. Passionnée d’Afrique où elle vit, elle participe à de nombreuses rencontres internationales de photographies et donne des conférences dans de nombreuses universités. Son univers se dévoile un peu au travers de ce texte illustrant une série de ses photographies : Carnet d’errance. « Lorsque j’avais 20 ans, l’errance me semblait être une formidable aventure : toi, souriant et tranquille, les poches retournées, libre «Carnet d’errance», photographie 20x30 cm de rien avoir, moi, extraordinairement naïve et silencieusement écorchée. Il me semblait qu’aller nulle part ensemble constituait un acte d’amour. Chemin faisant, des flots vaporeux et empoisonnés se sont mis dans notre sillage, ressacs impromptus et tellement prévisibles d’un itinéraire divagateur… »

Marie-Hélène COLLINET-BAILLON,

peintre, graveur et musicienne, plusieurs fois primée, elle compte des œuvres acquises par la BNF, la Sorbonne. Elle s’est nourrie de ses rencontres avec de grands musiciens comme Xénakis, Messian, le poète François Cheng, et a réalisé de nombreux « shows » musicaux comme en 2004 le Show musical « Trinité » Partition de Miroglio sur des tableaux de Kandinsky, Klee, Miró, et Collinet-Baillon. Mais laissons quelqu’un d’autre parler d’elle : « La matérialité de ses supports, la forme plastique et la figuration du sens témoignent de son travail à transfigurer l’inconscient.

«Phantaisie», aquatinte et carborundum, 65 x 50 cm.

Entre « écriture » et « désécritures » MHCB se cherche et se trouve en tant que plasticienne » G Laisné.

Nathalie CIRINO,

jeune sculptrice, déjà récompensée (1er prix international de sculpture abstraite, “ Artegal ”, Endingen, Allemagne,en 2010, 1er prix Conseil Général, symposium de sculpture sur bois, Chaumont sur Tharonneen 2009 et en 2005 1er prix international de sculpture, “Art Mondial”, Breisach, Allemagne) expose en France, en Hongrie, au Costa Rica. Travaillant en taille directe elle questionne à la fois la matière et sa propre intimité « Mon travail est une quête de pureté et d’harmonie, le désir de créer une émotion par le biais de formes simples. Nées parfois d’un assemblage des matières, mes sculptures ont leur propre dialogue et communiquent leur propre vie….Utilisant la technique de la taille directe, mes constructions sont une succession de courbes aux surfaces lisses, «balance» de bois de guanacaste ( Costa Rica ) et calcaire 120 x 60 x 25 cm. de rondeurs alternées de lignes angulaires. à la fois organiques et animales, futuristes et architecturales, ces formes font le lien entre le primitif et le contemporain; modernes et intemporelles à la fois. Ma recherche de pureté est la volonté d’aller à l’essentiel, à l’universel, un questionnement des valeurs, un message de poésie et de sagesse ».

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Judith FRANKEN, Sculptrice-céramiste néerlandaise installée en France depuis 1998 et professeur d’arts plastiques. Elle travaille de nombreux matériaux, parmi lesquels le bronze, mais aussi la terre cuite (réalisée à la main, sans moulage) avec finition à froid, patine polychromée. La patine utilisée donne à la sculpture un aspect métallique proche du bronze. Cette maîtrise à mains nues fait se conjuguer ce torrent impétueux à un aspect serein et équilibré. Elle écrit : « Le visage humain est un masque derrière lequel se cache le mystère de chacun. Force intérieure, sérénité, douleur, tourment ? A la fois porteur d’introversion et de rayonnement extérieur, il traduit un équilibre fragile. Les yeux fermés ou cachés, symbolisent l’introspection, la recherche de sa propre vérité ». sans titre, céramique, 32 x 45 x 56 cm.

Didier HAMEY,

graveur-sculpteur expose en permanence en France mais aussi au Maroc, en Espagne, au Brésil. Son atelier aux allures de cabinet de curiosités l’accueille pour travailler sur des bestiaires fabuleux conjuguant grâce et mystère, poésie et questionnement sur la fragilité du monde.« Violence cachée de l’extrême douceur » a dit Alain Jouffroy en parlant de mon travail, des mots qui définissent bien mes intentions. La nature, dans son extraordinaire richesse, est pour moi un merveilleux espace de découverte plastique et en même temps un exemple d’harmonie et de simplicité. C’est pourquoi peut-être je grave des cœurs cocons couronnés de deux inséparables, des cœurs incisés et griffés à la pointe sèche pour parler de partage et d’amour » .Tout un bestiaire gravé foisonnant, un jardin où l’on trouve «Balancettes», matériaux divers, 60 cm, de bien drôles de bestioles inspirées aussi de Bruegel, d’Ensor et nourrie à l’énergie du carnaval de Dunkerque !!

Medjid HOUARI,

sculpteur spécialiste du travail sur métal, cet artiste de nombreuses fois primé pour ses sculptures épurées, martelées, soudées et patinées aux matériaux denses et pérennes (comme l’inox, l’acier Corten, le cuivre..) nous invite à un vrai cheminement. En France, comme à l’étranger son œuvre reconnue est exposée dans des lieux prestigieux. Depuis janvier 2011, il est présent de façon permanente dans l’Atrium de Cœur-Défense (quartier de la Défense). Laissons le expliquer comment il intègre son travail dans la thématique 2011 d’ARTS EN FETE « mon œuvre pourrait se définir comme une ligne tendue vers l’abstraction des formes, la pureté et la simplicité…

Bien que les formes soient dépouillées, chaque sculpture laisse échapper un clin d’œil malicieux et ludique qui renvoie à son propre imaginaire. Elle laisse également deviner le paysage intérieur de l’artiste, sa vision et sa sérénité. »

« Présence », laiton façonné, 2,60m x 1,50m

Catherine LEVA,

sculptrice travaillant avec passion la pierre, expose en France et à l’étranger, participe à de nombreux symposiums et salons internationaux (Allemagne, Egypte, Grande Bretagne). A son actif, des œuvres publiques comme des commandes de particuliers avec toujours cette même union avec la pierre, la roche ce matériau avec lequel l’artiste a établi un véritable dialogue.« Chaque sculpture est une aventure intérieure avec la pierre que je travaille en taille directe, sans esquisse ni maquette. Ce qui m’intéresse est cette recherche d’une harmonie dans les oppositions. Ce jeu se situe souvent dans des subtilités et des mouvements, à l’intérieur d’une masse ou d’une construction que je veux simple . La gageure pour moi est de garder la force du bloc, son côté abrupt, tout en lui donnant une vie et une légèreté intérieure. » « Sirocco », basalte, 105 x 45 x 35 cm.

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Christophe MIRALLES,

peintre d’origine espagnole, est un « alchimiste », digne héritier des Vélasquez, Bacon, Goya, reconnu et primé au niveau national et international. Son travail est basé sur une figuration statique, patiente. Les formes se lèvent, et, lentement dans les coulées paisibles d’une brume colorée se tiennent à la lisière de ce qui se fait et se défait. Pour ARTS EN FETE, il livre cette réflexion. « Tu es couvert de taches d’hommes, cette phrase que j’ai rencontré dans le poème d’André Breton et qui m’a profondément marqué illustre parfaitement le propos de ma création picturale actuelle autour du Portrait. A partir de cette notion de portrait je cherche à créer une rencontre entre toile et public ; je réfléchis à la forme qui pourra le mieux inciter celui qui regarde à s’interroger sur sa place dans la société.

Son regard plaque son vécu sur la toile et se l’approprie. Pour dévoiler uniquement l’humain, je recherche, dès l’ébauche de mes toiles, l’effacement, l’information minimum. Le regard du visiteur doit être une promenade parmi les ancêtres de demain. » «la préstation nécessaire» 130x97cm huile sur toile

Muriel MOREAU,

graveur, née en 1975 cette graveuse de talent, reconnue au niveau international et souvent primée expose tant en France qu’en Espagne, Allemagne…Elle pratique la gravure en taille douce. Elle réalise des installations de « land arts » car la nature et un de ses grands centres d’intérêts. Elle exprime avec simplicité son travail. « À travers la gravure, j’envisage de nouveaux espaces, je cherche à lui donner un caractère singulier et nouveau, à la mettre pleinement sur la scène artistique contemporaine. La thématique principale de mon travail est la Nature.

Donner l’illusion de rentrer dans la matière végétale et de lui attribuer une dimension poétique. Petit à petit, j’oriente mon travail vers la réalisation d’installations. Mon travail de plasticienne s’oriente autour de la dimension poétique propre à la nature. Dans mes créations, je veux reproduire la sensation, l’illusion de pénétrer en soi-même, de se replier dans son être intérieur et de rentrer en contact avec la matière qui nous entoure. Petit à petit, la nature s’humanise, des ponts s’établissent entre le paysage, réel et naturel et celui, plus introspectif, du corps humain. » «Sève», eau forte, 30 x 35 cm.

Loretta ROSSI,

peintre dessinatrice, vidéaste cette artiste italienne, née en Vénétie est installée depuis 15 ans en France. Etudes de littérature, de cinéma, passage dans l’univers de la publicité, Loretta expose en galeries en France et en Italie.

En perpétuelle recherche, elle puise au plus profond d’elle des présences primitives aux sources de la vie. Des êtres issus d’une mythologie illusoire, transitoire dont une apparition que l’on devine furtive, chaotique mais intense sur la toile où le fond semble irradier le spectateur. Elle se plaît à exprimer son art de différentes manières : « Si aujourd’hui la peinture et le dessin sont mes moyens d’expression habituels, je peux aussi utiliser la photo, la vidéo, voire la sculpture, selon que l’une ou l’autre se trouve en meilleure adéquation avec mon intention créative du moment. »

« Illusoire,transitoire », technique mixte sur papier encollé sur toile, 140 x 90 cm.

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Rémy WEITE,

photographe. Sensibilisé tôt à la photographie, il développe et tire ses images en noir et blanc dans le laboratoire familial. En 2002, avec un appareil numérique bas de gamme livré avec un ordinateur, il découvre une autre manière de photographier et de développer. Ces références de photographes sont Alfred Stieglitz, André Kertesz et Saul Leiter. L’évolution de sa pratique et de son regard se trouvera confortée en 2006 par sa rencontre avec des photographes du collectif FotoPovera : il est séduit par la philosophie de ce mouvement alternatif qui revendique une photographie sensitive et poétique. « J’aimerais restituer des émotions furtives du quotidien, de ces instants qui nous traversent et nous chevillent parfois : la torpeur d’un dimanche après-midi, le soleil froid du petit jour et la sensation de l’herbe mouillée, une musique lointaine dans un square parisien, le bruit du vent et l’odeur de la neige, une voix familière dans un demi sommeil, le cri des choucas le soir dans la vallée… Accrocher dans «Nuque», tirage numérique,60 x 60 cm. la lumière une rêverie, une enfance possible ».

Sophie WILBERT,

graveur, élabore une œuvre fine et délicate qui exprime sa relation à la nature. Son parcours atypique, elle fut d’abord ingénieur informaticienne avant d’entamer des études artistiques (Beaux Arts, diplôme de décoration sur verre…), influe certainement ses recherches et procédés. Vivant et travaillant à Paris, elle expose en France et à l’étranger (Allemagne, Grande Bretagne, Espagne…).« Fascinée par l’empreinte, je tente d’élaborer une œuvre gravée en relation à la nature et au corps humain, d’élaborer par un graphisme libre les formes organiques du monde végétal. Hanns Schimansky, dessinateur allemand de sortes de « paysages scripturaires » est un artiste qui me touche beaucoup. Cela donne un éclairage sur mon travail lorsqu’il dit: « Mon action vient du visible. Il faut trouver le commencement qui engage le jeu. Sur le chemin, des évènements inattendus se produisent. Je tente d’inventer un code, dense ou épuré, afin de donner un souffle à la structure des associations. Continuer à développer un travail « Huître 3 », eau forte, 6 x 6 cm. artistique, comme Schimansky le dit si bien, c’est une façon « d’opposer quelque chose à ce monde médiatique vertigineux. Ralentir. »

Laurent MELON,

artiste en résidence (voir le zoom page suivante) Laurent Melon est un artiste absolument inclassable, qui a également travaillé dans l’édition et pour la radio, sans cesser de peindre et de dessiner. En 1990, il met au point une nouvelle matière picturale qui peut s’appliquer sur différents supports et qu’il est le seul à utiliser. Il n’expose pas dans les circuits institutionnels de l’art.

En 2000, il crée une émission radio « Léo 38 » avec diffusion d’images sur le site leo38hotel.free.fr. Parallèlement, il réalise des commandes pour l’UNESCO, pour le ministère de la Défense, pour des artistes musiciens, pour la direction du Tour de France, pour des magazines comme Vélo Magazine, pour des éditeurs (éditions Libertaires, etc.), pour le musée du sport du Parc des Princes. Après « Brel Ferré Brassens », son dernier livre « Récital Esope, Fables » part en tournée dans toute la France, accompagné également d’un Projection de films d’animation de Laurent Melon (scoopitones). film d’animation (qu’il appelle scoopitone), dont il arrange la musique.

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ZOOM SUR LAURENT MELON Artiste en résidence à la Clayette du 22 juillet au 14 août et concepteur du projet « GRAND CIEL » Dessins, courts-métrages qu’il appelle scoopitones Laurent Melon, artiste atypique ouvre un monde fantastique teinté d’humour. Cet épicurien, digne héritier de Bosch travaille avec des pigments selon une recette secrète.

Laurent Melon a, en 2006, composé un gala imaginaire tel que Léo Ferré le voyait à un moment dans une émission radiophonique restée célèbre où étaient aussi présents Brel et Brassens. L’association de ces trois noms met aussitôt à l’esprit la célèbre photo de JeanPierre Leloir qui avait saisi cet instant. C’est à présent un livre réalisé par Laurent Melon pour la collection Paroles des éditions Libertaires.

Qui ne connaît pas LA photo de Jean-Pierre Leloir ? Elle a fait le tour du monde. On y voit Jacques Brel, Léo Ferré et Georges Brassens réunis, le 6 janvier 1969, autour d’une table dans un appartement de la rue Saint-Placide, à Paris. Les larrons fument, boivent de la bière et, surtout, répondent aux questions de François-René Christiani, un jeune journaliste de Rock & Folk qui a eu la bonne idée de réunir les trois monstres rebelles de la chanson française. Des extraits de la causerie seront diffusés quelques jours plus tard sur RTL et passeront dans Rock & Folk le mois suivant. « J’ai une idée, tous les trois, qu’on choisisse chacun douze chansons, et qu’on fasse s’il faut la parade, et pis qu’on rentre, et qu’on vienne sur scène. Brassens une chanson, y s’en va, puis Brel, puis moi, puis Brel et puis Brassens puis moi, pendant deux heures », proposait Léo Ferré dans cette « causerie ».La grande parade n’a jamais eu lieu. Alors, Laurent Melon l’a imaginée, à sa façon. Piochant un couplet chez l’un, détournant un vers chez l’autre, piquant un refrain au troisième, il a brossé la mort, l’enfance, l’argent, l’amour, la religion, l’anarchie, les artistes, les puissants… dans un grand tourbillon débridé.

Venez participer à un film sur La Clayette : facile et en 15 minutes !

L’artiste vous accueille et vous guide.

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Du 22 juillet au 13 août, tous les jours en accès libre, au 31 r. centrale (lieu 5), le public est invité à venir laisser sa trace et entrer dans un monde fantastique. Il pourra essayer la technique de peinture inédite de Laurent Melon, poser pour des photos portraits pour la réalisation d’un projet participatif afin de créer un scoopitone sur La Clayette ‘les lieux et les gens’ L’idée est aussi de promouvoir une ville où il fait bon vivre... Partant du constat que ce sont les gens qui font le lieu, son histoire et son activité, il aimerait que les gens puissent laisser leur trace dans une production qui veut rendre l’esprit du lieu.

Mise en oeuvre : Inviter les gens à venir à cet atelier, ouvert en permanence pendant l’exposition, sur le lieu n°5 où expose Laurent Melon qui les accueillera.

Pour faire entrer les gens dans son univers fantastique, Laurent leur montrera sur l’ordinateur une galerie d’une quinzaine d’images, représentant des vues de La Clayette retravaillées numériquement par lui. Ils pourront en choisir une sur laquelle Laurent incrustera leur portrait.

Ils poseront alors pour un portrait photographique, avec ou sans masque (style comedia dell’ arte). Le traitement graphique, l’insertion du portrait dans le décor choisi, pourra se faire en direct devant le participant. L’image finale pourra être imprimée par le studio Godard (14 rue du Château) comme souvenir de La Clayette et du moment passé avec l’artiste. Avec son accord, elle pourra être utilisée dans le scoopitone sur La Clayette que l’artiste réalisera pendant le festival et montrera lors de la clôture, le 14 août.

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II.DES LIEUX DE CARACTERE ET DE PATRIMOINE, EMBLEMATIQUES DE LA VILLE ET TRADUISANT AUSSI SON QUOTIDIEN Le pari artistique d’ARTS EN FETE repose aussi sur cette notion d’un parcours qui entremêle découverte de l’art contemporain et du patrimoine, tant architectural que « quotidien » d’une ville. Cette volonté d’allier ces notions et de proposer de véritables balades « artistiques » est un des fers de lance de cette manifestation. En choisissant de conjuguer lieux publics et privés, en extérieur et en intérieur, ARTS EN FETE offre aux visiteurs une approche originale. La rencontre est ainsi plus personnelle parfois, voire intime ou bien plus spectaculaire.

Lieu 1 : L’Espace Sainte Avoye Rue Lamartine

Cette superbe chapelle de style gothique flamboyant, restaurée (travaux de 2003 à 2011) fut édifiée en 1451 par Loys de Chantemerle, seigneur de La Clayette.

La municipalité a réalisé l’aménagement des abords de la chapelle : le jardin offre ainsi aux promeneurs un petit havre de paix. L’Espace Sainte Avoye, totalement opérationnel cet été sera un lieu d’expression culturelle unique en son genre. “Cette restauration s’inscrit dans une volonté de diversifier l’offre culturelle, tant au niveau des équipements que de la programmation. Nous avons, là, un outil fédérateur pour tout le canton et ce sera un lieu commun d’expériences créatives assurant la rencontre des publics” explique l’adjoint à la culture de la Clayette. En plein centre-ville, à proximité d’un parking en cours de création, la salle pourra accueillir une centaine de personnes. Nous avons pu initier un partenariat avec le Département, dans le cadre de ses saisons culturelles ; signer avec la scène nationale de l’ARC du Creusot et le Pays Charolais pour des spectacles décentralisés et de très haute qualité” note Pierre Bodet-Desbot qui met également en avant une belle opération de sauvetage du patrimoine.

Lieu 2 : le 17 rue Lamartine

est un lieu privé. Cette maison sera prochainement mise en vente. C’était une maison de famille habitée quelquefois pendant les vacances. L’intérieur date de l’après-guerre, sauf le petit salon qui avait été refait il y a une quinzaine d’années. Au rez-de-chaussée se situait un commerce « coquetier-crémier ».

L’avantage de cette maison est de se situer à côté de Sainte Avoye, les visiteurs souhaitant voir un maximum de choses dans un secteur restreint, et d’offrir un intérieur ancien, dans son « jus », chargé d’histoires vécues et qui correspond bien au thème, la maison étant le lieu de son intimité, de son histoire.

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Lieu 3 : le 14 rue Lamartine

est un lieu privé, dont le rez-de-chaussée est en partie consacré aux expositions, notamment à Arts en fête depuis plusieurs années. Les dépendances et le porche, ainsi que la cour peuvent aussi être utilisés.

Cette maison était constituée de deux maisons qui ont été réunies au début au XXe s. La cour et les dépendances ont été construites fin XIXe en même temps que l’aménagement du parc, qui contient quelques arbres remarquables. La partie principale de la maison date du XVIIIe. Comme le lieu précédent cette maison est située à côté de Sainte Avoye.

Lieu 4 : 12 rue du Château

dans une rue commerçante du centre ville, le 12 rue du Château est très bien situé et nous offre un bel espace, dans un immeuble construit en 1793.

Nous aménagerons dans un appartement au rez-de-chaussée composé d’un grand séjour lumineux s’ouvrant par une porte à double battants sur une autre pièce. Une pièce avec cheminée Napoléon III la jouxte et ces deux pièces donnent sur une véranda par des portes-fenêtres. Une terrasse permettra également de faire une halte : cet agrandissement de la maison d’origine, comme celui de toutes les maisons voisines, se situe sur l’ancienne rue des tonneliers, qui n’existe plus .

Lieu 5 : Le 31 rue Centrale

est une cette ancienne bijouterie de la famille de la propriétaire et est une boutique idéalement placée dans le centre ville, qui place donc ARTS EN FETE comme animation de ce centre. C’est pour cela que l’atelier permanent proposé au public par l’artiste Laurent Melon s’y trouvera, avec la projection de ses scoopitones qui ne manquera pas d’attirer les passants et les clients des cafés voisins.

Lieu 6 : Place Rambuteau

mise en valeur du beau point de vue sur le château de la Clayette.

Ce lieu qui se trouve place Rambuteau, agrémentera cette place où ont lieu de plus les spectacles des jeudis en fête. Les oeuvres pouvant rester à l’extérieur seront en partie installées ici, ce qui permet de montrer une partie d’ARTS EN FETE au coeur de la ville à tout moment de la journée.

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Lieu 7 : Square de chantemerle

Pour les mêmes raisons, les oeuvres présentes au square de Chantemerle seront visibles toute la journée et permettent de découvrir le quartier de la mairie car des commerces se situe encore au-delà, rue de la gare.

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Arts en fête 2011 – Projet Ecoles Une réflexion sera engagée avec les enfants sur leur identité, sur leur personne.

L’expression plastique cette année sera le volume. Les œuvres seront installées pour toute la durée d’ARTS EN FETE. Cette action est menée en collaboration avec les écoles de la Clayette (Lamartine et Sainte Marie) et les Ateliers d’Esther.

Il s’agira pour les enfants de réaliser des « petits univers » personnels, comprenant un contenant et son contenu. Le contenant sera assez ouvert pour voir le contenu. Ce petit monde intérieur pourra être élaboré ou non à l’aide du petit questionnaire « Téquimoi ».

L’enfant fera apparaître son nom sous la forme: « Moi, prénom ».

Ma couleur préférée Ma forme géométrique préférée Si j’étais un animal, je serais...

Si j’étais une matière, je serais...

Mes héros de fiction préférés Mes héros préférés dans la vie Mon occupation favorite La nourriture dont je me régale L’odeur que je déteste Le bruit que je ne supporte pas Une sensation agréable sur ma peau Ma principale qualité Mon principal défaut Ce que je déteste qu’on me fasse La qualité que j’apprécie chez quelqu’un Le défaut que je déteste chez quelqu’un Ce qui me fait peur Ce qui me fait rire

Matériaux

Matériaux naturels si possible (pas exclusivement et pas obligatoire), pouvant supporter la pluie et la chaleur, comme le bois, le fil métallique, le fer plat (boîte), la pierre, le tissus, la laine, le chanvre. Si l’enfant tient à utiliser du papier, par exemple, son œuvre sera placée dans une vitrine d’un commerçant, à l’abri. L’enfant peut y ajouter une figurine ou autres petits objets manufacturés. Les matériaux peuvent être peints. Ils seront assemblés entre eux avec de la colle, des clous ou du fil métallique (ce dont l’école dispose). L’enfant se chargera de collecter les matériaux qu’il souhaite utiliser.

Dimensions

Chacun de ces volumes n’excédera pas 20 cm de haut par 15 cm de large et par 10 cm de profond environ.

Installation

Deux options sont possibles, selon les classes. Soit les enfants iront placer eux-mêmes leur œuvre avec l’enseignant(e) à la fin de l’année scolaire dans l’espace à investir. Celui-ci serait le square de Chantemerle (à côté de la mairie) et les abords de la mairie, y compris le bâtiment lui-même (fenêtres, bords d’escalier, murets). Soit des membres de l’équipe Arts en fête passeraient les chercher pour les installer. Une partie des œuvres sera réservée aux commerçants clayettois qui voudront les exposer. Les enfants pourront reprendre leur œuvre après le 14 août avec leurs parents.

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ANNEXES

PROGRAMME DETAILLE D’ARTS EN FETE

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Les visites guidées

Pour tout public, visite guidée gratuite tous les mercredis (27/07, 3/08 et 10/08 ).

Rendez-vous à l’espace Sainte Avoye (lieu 1) à 15h.

Pour les enfants (accompagnés si possible), visite ludique tous les lundis (25/07, 1 et 8/08).

Les rencontres avec les artistes

La plupart resteront du 21 (vernissage) au 24 juillet, ainsi que le dernier week-end, avec leurs jours d’ateliers en plus.

Tout le festival pour Laurent Melon.

Les ateliers (fournitures comprises)

Renseignement et réservation à l’office du tourisme – 03 85 28 16 35 Lieu : salle de l’école Lamartine Catherine Perret, art-thérapeute «S’exprimer autrement», Mardi 2 août, 14h-16h; Mardi 9 août, 10h-12h. 7 € Luc Bernad: Jeudi 4 août, 10h-12h : dessin encre et feutre. 5 € 14h-16h : le dessin en liberté. 6 € pour débutant ou confirmé, + de 8 ans ou adulte.

Vendredi 5 août, 10h-12h : les 7 contrastes de la couleur. 5 € 14h-16h : la magie du pastel sec. 6 € Samedi 6 août, 14h-15h et 15h-16h: jeu pictural collectif sur feuille de 5m. 3 €.

Judith Franken : réalisation d’une sculpture en argile.

Lundi 8 août, 10h-15h30, pause de 12h à 13h30, adulte. 9 € Laurent Melon : Du 22 juillet au 13 août, tous les jours en accès libre, au 31 r. centrale (lieu 5), tout public, Venez laisser votre trace et entrer dans un monde fantastique (essayez sa technique de peinture inédite, posez pour votre portrait: projet participatif pour le scoopitone « Grand ciel » sur La Clayette) Mardi 9 août, 10h-15h30, pause de 12h à 13h30, + 12 ans, animation d’une scène (traitement d’image, montage du movie et mise sur le web possible). 5 € Marie-Hélène Collinet-Baillon, gravure avec impression de l’oeuvre Jeudi 11 août, 9h30-12h15, enfant + 9 ans. 9 € Vendredi 12 août, 9h30-12h30, adulte. 11 €

Évènements

Jeudi 21 juillet à 17h : inauguration en musique avec BLUE DIXIE BAND (départ en mairie lieu 7) suivie à 21h du spectacle gratuit des « Jeudis en fête ». Restauration possible en ville.

Samedi 6 août à 18h : performance de Luc Bernad avec son ami musiciens Thibaut Monnier, « le rythme et la ligne », place Rambuteau (lieu 6). Repli au lieu École sous le préau.

Dimanche 14 août à partir de 15h, au 31 r. centrale (lieu 5), clôture de la manifestation par la projection du scoopitone Grand Ciel créé par Laurent Melon pendant le festival.

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La Clayette au cœur de sa région Blotti entre les vallonnements verdoyants, La Clayette est l’un des sites les plus pittoresque de Bourgogne avec son château du XIV-XVIII-XIXème, qui se mire dans les eaux de son lac. Ville renommée pour son fleurissement original, ses courses et concours hippiques, son spectacle son et lumière et ses personnages célèbres résidents ou de passage (Jean-Claude de la Méthérie, Lamartine...). Une campagne accueillante parsemée de villages fleuris, riches d’un patrimoine de vieilles pierres bien préservé. La Clayette, chef-lieu, petite ville coquette et centre commercial actif a su préserver un tissu associatif bien vivant.

Le château de la Clayette ne se visite pas.

Le château, construit en 1380 a été jusqu’à la Révolution, le centre de l’une des seigneuries les plus importantes de la région. Il subsiste du XIVème siècle les communs munis d’échauguettes, la tour de Paray et la porte fortifiée. Au XVIIIème siècle, de nouveaux bâtiments furent ajoutés au donjon médiéval et au XIXème siècle, une partie fut remaniée dans un style néo-renaissance. Le château est doté d’un plan d’eau de 33 ha alimenté par une petite rivière « La Genette » et d’un parc.

Ce dernier s’ouvre exceptionnellement au public à l’occasion de la fête du muguet le 1er Mai, du spectacle son et lumière du groupe Chantemerle en juillet et en août, des concours hippiques en août et pour les journées du patrimoine en septembre.

«Un pays où il fait bon vivre!»

Terre de contrastes entre la Bourgogne du Sud, le Rhône et La Loire, le Pays Clayettois décline sa gamme de verts et de bleus. Pâturages ouvrant sur des horizons plus larges, collines boisées où se mêlent feuillus et résineux. Sentiers, rivières, étangs ou lacs invitent le visiteur à la détente. Des lieux chargés d’histoire (châteaux, églises romanes…) et résolument tournés vers l’avenir : exploitations agricoles valorisant les produits du terroir (présence d’un Centre du goût), artisanat d’art abondant et diversifié, entreprises au savoir faire international.

La Clayette est située en Pays Charolais-Brionnais, en Bourgogne du Sud côté ouest, au carrefour des régions Bourgogne, Auvergne et Rhône-Alpes, palpite le Pays Charolais-Brionnais. A 1h15 de Paris en TGV. A 1h20 de Lyon en voiture. Une joue posée sur la Loire, drapé dans un voluptueux bocage, brodé par le fil scintillant des rivières et des canaux, voici notre territoire ! Notre « Pays d’Art et d’Histoire » au patrimoine d’exception vous ouvre bon gîte et bonne table. Terroir heureux et généreux, le Pays Charolais-Brionnais vous destine une palette formidable d’atmosphères, de découvertes, de rencontres et d’activités. C’est le génie des lieux.

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Ce territoire bénéficie d’un patrimoine culturel, immatériel et paysager riche et varié.

De tels atouts lui ont valu l’obtention en 2007 du label « Pays d’Art et d’Histoire », décerné par le Ministère de la Culture. Ce label a pour vocation l’animation et la valorisation du patrimoine, quelqu’en soit le type, auprès de tous les publics. Le Charolais Brionnais présente des paysages variés et pleins d’attraits, entre monts, vallées, cours d’eau, forêts et bocage façonné par l’homme depuis le XVIIIe siècle.

Terre d’élevage par excellence (deux Appellations d’origine contrôlée à ce jour sur le territoire : Bœuf de Charolles et Charolais (fromage), la position géographique et les richesses naturelles du Charolais Brionnais l’ont aussi aidé à évoluer dans le cadre des mutations économiques des XIXe et XXe siècles : forges, textile et céramiques... Le patrimoine bâti est riche: de l’habitat rural aux châteaux d’apparat, du bâti industriel et du génie civil aux Églises romanes.

Sponsors privés Chocolats Dufoux, Club des entreprises du canton de La Clayette, Crédit Agricole Centre-Est, Intermarché de Varennes-sous-Dun, Laines Plassard, le musée de la filature, les boutiques Annick & Nicolas, Boucherie charcuterie Lapierre, Boulangerie Dallery, Boulangerie Machillot, Cache Cache, Capucine Côté déco, Droguerie Buisson, Duperray pâtissier, France Boissons, Haack opticien, L’empreinte chaussures, Librairie 2B, Phildar La Clayette, Tacher traiteur et les restaurants La belle époque, Le Bourgogne, Lesclette; pour le prêt des maisons M et Mme Cordet, la famille Vermuseau-Ben Jelloun, M et Mme Loron.

Et la participation de Des écoles Lamartine et Ste Marie, de l’UCIA, , des commerçants clayettois, Dilivoyage Afat, Réceptive Traces et découvertes, des festivals Musique en Brionnais, festival des Mômes, spectacles Son et lumière Chantemerle, des Ateliers d’Esther, studio Godard.

Ainsi que toute l’équipe de volontaires s’activant pour ARTS EN FETE

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www.artsenfete.over-blog.com

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