Le conseiller Renaissance

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LE CONSEILLER RENAISSANCE

Apprenez pourquoi les conseillers utilisent le Portefeuille optimal de revenu Renaissance pour répondre aux véritables besoins des clients

Réservé à l’usage des conseillers


UNE SOLIDE PROTECTION NE VIENT PAS DE CEUX QUI FONT LE TRAVAIL À MOITIÉ.

PROTECTION CONTRE LES HAUSSES DE TAUX Avec des hausses de taux qui pointent à l’horizon, les clients ont besoin d’un plan pour protéger leurs portefeuilles. Renaissance s’est associée aux experts d’Ares Management afin d’apporter une gestion institutionnelle des placements en matière de prêts à taux variable et ce, exclusivement à l’intention des investisseurs individuels canadiens. Accès exclusif à l’expertise institutionnelle d’Ares en matière de taux variables Préparez vos clients à ce qui les attend à l’aide du Fonds de revenu à taux variable Renaissance.

investissementsrenaissance.ca

MDInvestissements Renaissance est offert par Gestion d’actifs CIBC inc. et est une marque déposée de celle-ci. Les placements dans les fonds communs de placement peuvent faire l’objet de commissions, de commissions de suivi, de frais de gestion et d’autres charges. Veuillez lire le prospectus simplifié de la famille des fonds d’Investissements Renaissance avant d’investir. Les fonds communs de placement ne sont pas garantis, leur valeur varie fréquemment et leur rendement passé n’est pas indicatif de leur rendement futur.


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Dans ce numéro

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Planification fiscale et successorale Les nouvelles règles régissant les fiducies testamentaires pourraient toucher des Canadiens vulnérables

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Perspectives économiques La Fed commence son décompte pendant que le Canada décolle

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À l’endos de la serviette Tirer parti des activités clientèle en petit comité, Partie 2

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De véritables besoins exigent de véritables résultats

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Solution clé de placement L’avantage des obligations mondiales

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Merci à ceux qui nous ont offert leur soutien Intéressez-vous à la vie de vos clients

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Aliments réconfort canadiens

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Pour un cerveau en pleine forme

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Lettre de l’équipe de vente Renaissance

Répondre aux véritables besoins de vos clients Lorsque des clients passent vous voir, ils recherchent souvent des conseils pour leurs portefeuilles. Vos clients ont de véritables besoins de placement, et ils ont recours à votre expertise pour les combler. Pour certains d’entre eux, il peut s’agit d’une protection en cas de baisse lorsque le marché boursier commence à fléchir. D’autres peuvent rechercher une source de revenu régulier pour leur retraite ou un placement qui s’accroîtra au fil du temps, parce qu’ils ont besoin de fonds pour acheter une maison par exemple. Le Portefeuille optimal de revenu Renaissance a procuré de véritables résultats aux clients au cours des sept dernières années, et ce, malgré deux importants replis du marché et une longue période de faibles taux. Dans le présent numéro, vous pouvez en apprendre plus sur la manière dont nos conseillers partenaires utilisent cette solution tout-en-un pour répondre aux véritables besoins de leurs clients. Nous voulons aussi remercier toutes les personnes qui ont assisté à la tournée d’Investissements Renaissance quand elle s’est arrêtée dans leur ville cet automne. Nous apprécions votre appui constant qui fait de cet événement une des tournées à l’intention des conseillers les mieux cotées au Canada. Nos experts qui ont participé à la tournée continuent de partager leurs connaissances dans Le conseiller Renaissance. Dans le présent numéro, Jamie Golombek évalue à quel point vos clients seront touchés par les nouvelles règles entourant les fiducies testamentaires, qui, selon lui, semblent inéquitables pour les Canadiens vulnérables. Dans sa mise à jour économique, Benjamin Tal donne son avis sur la croissance au Canada ainsi que des idées sur ce que la Réserve fédérale américaine pourrait maintenant faire. Vous pourrez aussi découvrir comment tirer parti d’activités clientèle en petit comité dans le deuxième volet du dossier de Grant Shorten intitulé Accumulation d’actifs : les secrets des conseillers de haut vol. À Renaissance, nous avons à cœur de devenir votre premier partenaire de confiance. Nous recevrons comme toujours vos commentaires avec intérêt.

Équipe de vente Renaissance


Les nouvelles règles régissant les fiducies testamentaires pourraient toucher des Canadiens vulnérables PLANIFICATION FISCALE ET SUCCESSORALE

En 2013, j’ai rédigé un article sur les propositions du gouvernement visant à éliminer l’imposition à taux progressifs des fiducies testamentaires et des successions. Les mesures proposées mettront fin à une technique de planification successorale couramment utilisée par certains Canadiens pour réduire l’impôt à payer sur les revenus de placement tirés de leurs actifs après leur décès. En août, le gouvernement a fait le point sur les propositions initialement annoncées dans le budget fédéral de 2014 et a publié un avant-projet de loi qui entrera en vigueur à compter de 2016. Selon les règles proposées, un impôt uniforme au taux maximum, soit 29 % au fédéral, s’appliquerait aux fiducies testamentaires – qui sont constituées après un décès – et aux successions. Il y a quelques exceptions d’importance aux règles proposées. D’abord, les successions ne sont assujetties à l’impôt uniforme au taux maximum qu’« après une période raisonnable au titre de l’administration » de 36 mois. Par conséquent, l’imposition à taux progressifs serait encore possible pendant les trois premières années d’une succession. Une deuxième exception s’applique à une « fiducie admissible pour personne handicapée », dont les bénéficiaires ont droit au crédit d’impôt pour personnes handicapées (« CIPH ») du Canada, en raison d’une déficience grave et prolongée des fonctions physiques ou mentales. L’imposition à taux progressifs continuera de s’appliquer à ces fiducies. Malgré ces exceptions, les règles proposées ont été l’objet de critiques parce qu’elles ne sont pas équitables à plusieurs égards. Par exemple, supposons que les bénéficiaires d’une fiducie testamentaire sont admissibles au CIPH. L’avant-projet de loi visant l’adoption des règles proposées exige que la fiducie soit créée en vertu d’un testament pour qu’elle puisse être assujettie aux taux progressifs. Lorsque les fonds sont légués en fiducie à une personne admissible au CIPH au moyen d’une mention dans une police d’assurance, un REER, un FERR ou un CELI, la fiducie serait alors assujettie à l’imposition au taux maximal, plutôt qu’aux taux progressifs. Nous avons rédigé une proposition au ministère des Finances et nous espérons que cette question sera réglée en notre faveur dans une nouvelle version du projet de loi. Ensuite, pour les personnes qui ont une déficience mais qui ne sont pas admissibles au CIPH, aucun allègement fiscal ne sera disponible et l’impôt

uniforme au taux maximum s’appliquera. Il a été estimé que plus de 3,8 millions de Canadiens ont une déficience mentale ou physique, mais que moins de 800 000 certificats donnant droit au CIPH ont été émis. Enfin, dans les cas où les bénéficiaires d’une fiducie testamentaire ne sont pas admissibles au CIPH, les règles proposées peuvent mettre le fiduciaire dans une position difficile. Par exemple, de nombreuses fiducies ont pour but principal de permettre au fiduciaire de continuer à contrôler et à gérer l’actif de la personne décédée et de le protéger au profit des bénéficiaires. Si l’impôt uniforme au taux maximum s’applique, le fiduciaire devra choisir entre payer davantage d’impôts au sein de la fiducie ou verser un revenu aux bénéficiaires, qui pourraient être assujettis à un taux d’imposition inférieur, mais ne pas être en mesure de gérer les fonds. De plus, si ces personnes reçoivent un revenu, elles pourraient ne plus être admissibles à diverses prestations d’invalidité provinciales fondées sur le revenu et dont les critères d’admissibilité sont moins stricts que ceux du CIPH. 1

2

Les premières conclusions que Statistique Canada a tirées de l’Enquête Canadienne sur l’incapacité indiquent qu’environ 3,8 millions de Canadiens étaient limités dans leurs activités quotidiennes en raison d’une déficience en 2012. La population visée par l’enquête était composée de Canadiens âgés de 15 ans ou plus au 10 mai 2011 vivant dans un logement privé.

Selon l’édition 2013 des statistiques préliminaires de l’ARC portant sur l’année d’imposition 2011, un montant pour personnes handicapées, qui n’est disponible que lorsqu’un CIPH a été accordé, a été réclamé pour un contribuable ou une personne à charge dans 756 500 déclarations de revenus.

Jamie Golombek est directeur gestionnaire, Planification fiscale et successorale pour le groupe Gestion privée de patrimoine CIBC. Il collabore étroitement avec les conseillers pour les aider à offrir des solutions intégrées de planification financière aux clients à valeur nette élevée. M. Golombek est fréquemment présenté par les médias comme un spécialiste de la fiscalité. Twitter @JamieGolombek www.conseiller.ca/endirect Balado > Aléas du CÉLI

www.investissementsrenaissance.ca/fr/jamie_golombek/

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La Fed commence son décompte pendant que le Canada décolle

PERSPECTIVES ÉCONOMIQUES

États-Unis : Pleins feux sur la Fed Le programme d’assouplissement quantitatif de la Réserve fédérale américaine (la Fed) est presque terminé, et l’attention se porte désormais sur le moment où la Fed commandera une première hausse des taux d’intérêt. La majorité des analystes prévoient que cette hausse sera décrétée au milieu de 2015, mais elle pourrait fort bien être effectuée au premier trimestre. En effet, l’économie américaine est plus robuste que prévu et plusieurs membres de la Fed commencent à craindre l’inflation. Certes, la croissance du PIB américain est désormais supérieure à ce qu’elle était avant la récession, mais elle reste largement inférieure à la tendance à long terme établie quelques dizaines d’années auparavant. La principale question est de savoir dans quelle mesure la croissance pourra accélérer au cours des prochaines années pour rattraper cette moyenne. Se pourrait-il que la réduction appréciable de la capacité lors de la récession ait provoqué une forte baisse de la croissance potentielle de l’économie? Dans ce cas, une remontée de l’inflation serait beaucoup plus proche que beaucoup ne le croient. En effet, si la vitesse limite de l’économie est moins élevée que dans le passé, il faudra une croissance moins forte pour entraîner une accélération de l’inflation. Nous n’en sommes pas encore là, puisque l’écart de production aux États-Unis reste positif. Toutefois, à en juger par le rythme de croissance actuel de l’économie, cet écart sera résorbé avant 2016. Dans le passé, la Fed n’attendait pas au dernier moment et commençait à resserrer sa politique monétaire bien avant que cet écart soit comblé. Mais là encore, quand on constatera ce qui arrive, il sera trop tard. Les taux neutres réels sont en baisse (%) 4,0

%

Canada États-Unis

3,0 2,0 1,0 0 -1,0 -2,0 1981

1985

1989

Source : Marchés mondiaux CIBC

4

1993

1997

2001

2005

2009

2013

Si cette vitesse limite a diminué, le taux d’intérêt neutre (qui établit un équilibre, entre l’épargne et les dépenses en immobilisations, qui se traduit par une stabilisation de l’inflation) est lui aussi plus bas. Cela signifie que la Fed n’aura pas à relever fortement les taux d’intérêt pour obtenir une économie stable. Il existe bien entendu un risque que la Fed relève exagérément les taux d’intérêt, puisqu’il est très difficile de mettre les freins lorsque l’inflation accélère à un taux ne pouvant être observé. La répercussion concrète de cette situation est que la hausse des taux d’intérêt pourrait être trop forte en 2015; le marché obligataire enregistrera alors des rendements décevants; les taux directeurs se stabiliseront en 2016 et les obligations offriront de nouveau des occasions à court terme. Canada : La croissance directement sous nos yeux Le portrait de la croissance canadienne est plus positif qu’on s’y attendait auparavant. À ce stade, nous sommes tous fatigués d’entendre parler de la météo, mais après avoir reculé au premier trimestre, l’économie est en voie de connaître une croissance d’au moins 3 % pendant deux trimestres consécutifs. Ce fait à lui seul devrait contraindre la Banque du Canada à revoir ses prévisions. Toutefois, ce résultat supérieur aux attentes antérieures est principalement attribuable à des sources de demande qui auraient dû fléchir au point où nous en sommes, mais dont la vitalité a été prolongée par des facteurs temporaires. La construction résidentielle et, dans une plus grande mesure, les dépenses de consommation ont stimulé la récente vigueur de l’économie canadienne. Toutefois, comme nous l’avons indiqué dans une récente étude, la croissance de la consommation des ménages n’est pas causée par des facteurs durables, mais plutôt par une nette diminution de l’épargne. Bien que le maintien de cette tendance soit surprenant, il permet de gagner encore plus de temps en attendant l’arrivée des futurs piliers de l’économie canadienne : les exportations et les investissements.

« Dans une certaine mesure, le Canada est en bonne position en ce qui a trait à ses marchés d’exportation. La géographie fait en sorte que les États-Unis sont toujours un marché clé pour le Canada, mais les résultats supérieurs des États-Unis comparativement aux autres pays du G7 accentuent cette dépendance. »


0

Part des produits énergétiques sur les exportations totales (%) 30

Ratio entre les sorties d’investissements directs étrangers et les dépenses d’investissement

25

0,20

20

0,16

15

0,12

10

0,08

5

0,04

0

Il y a vingt ans

Il y a dix ans

Juin 2014

Source : Marchés mondiaux CIBC

0,00 10

11

12

13

Source : Marchés mondiaux CIBC

Dans une certaine mesure, le Canada est en bonne position en ce qui a trait à ses marchés d’exportation. La géographie fait en sorte que les États-Unis sont toujours un marché clé pour le Canada, mais les résultats supérieurs des États-Unis comparativement aux autres pays du G7 accentuent cette dépendance. En fait, les exportations destinées au marché des États-Unis progressent déjà à un rythme de près de 17 % sur 12 mois, tandis que celles destinées aux autres pays affichent une croissance tout juste inférieure à 11 %. Cependant, la plus grande partie de la croissance actuelle provient d’un seul secteur. Le Canada dépend de plus en plus des produits énergétiques, qui représentent désormais le quart de ses expéditions vers l’étranger selon leur valeur en dollars, pour soutenir les exportations, les investissements et la croissance économique. Les estimations de l’Association canadienne des producteurs pétroliers donnent à penser que le lustre de l’or noir n’est pas près de s’estomper. Si on effectue un calcul à partir des estimations de production, compte tenu de leur relation relativement stable historiquement avec les exportations destinées aux États-Unis, on peut prévoir que le Canada exportera 230 millions de barils additionnels vers ce pays en 2016 par rapport à 2013. L’enquête de Statistique Canada sur les perspectives des entreprises a permis de prédire avec justesse l’activité réelle, et les réponses plus tôt cette année indiquaient que les chefs d’entreprise ne prévoyaient pas accroître les dépenses d’investissement au pays en 2014. Manifestement, ils étaient plus disposés à dépenser pour acheter des actifs traditionnels ou pour effectuer des acquisitions à l’étranger. Les investissements directs étrangers par des sociétés canadiennes ont enregistré une augmentation record de 9 % en 2013. Le ratio entre les sorties d’investissements directs étrangers et les dépenses d’investissement se situe à près de 20 %, un autre sommet record.

« Les investissements directs étrangers par des sociétés canadiennes ont enregistré une augmentation record de 9 % en 2013. » Toutefois, une proportion croissante de chaque dollar dépensé à titre d’investissement ne sert désormais qu’à remplacer des immobilisations afin de maintenir le niveau de production existant, une tendance qui a pour effet de creuser l’écart entre les investissements et l’augmentation de la capacité de production de l’économie. D’un point de vue pratique, les dépenses d’investissement doivent donc augmenter beaucoup plus rapidement pour répondre à la fois aux besoins de remplacement et servir aux projets d’expansion.

Benjamin Tal est économiste en chef adjoint à la Banque CIBC. Désigné comme l’un des principaux experts canadiens du marché immobilier par le Fonds monétaire international, il est responsable de l’analyse de l’actualité économique et de ses répercussions sur les marchés nord-américains des titres à revenu fixe, des actions, des changes et des produits de base. www.renaissanceinvestments.ca/en/economy/ www.investissementsrenaissance.ca/fr/

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Accumulation d’actifs : les secrets des conseillers de haut vol Partie 2 – Tirer parti des activités clientèle en petit comité

À L’ENDOS DE LA SERVIETTE

Il se passe quelque chose de magique quand on explore l’esprit de ceux qui excellent dans un domaine d’expertise. Nous pouvons systématiquement établir un modèle de leur excellence en découvrant leurs valeurs, leurs croyances, leurs méthodes et leurs approches personnelles. Dans cette série en trois parties, nous découvrirons comment certains des conseillers les plus performants arrivent invariablement à trouver des clients potentiels et à accumuler des actifs à un rythme supérieur à la moyenne. Le plus frappant, c’est que les méthodes des conseillers de haut vol n’ont souvent rien de remarquable ou d’étonnant, ni même de particulièrement créatif. En fait, ce qui distingue les accumulateurs d’actifs les plus efficaces, c’est la « maîtrise des secteurs fondamentaux », qui est supérieure à la moyenne! Ils considèrent leur temps et leurs ressources comme précieux et il est primordial d’éviter de les gaspiller dans des activités de marketing à faible impact. Ils préfèrent se concentrer sur seulement deux ou trois tactiques de prospection à impact élevé. Les conseillers de haut vol savent que le marché a changé. Même s’ils ont probablement utilisé des méthodes conventionnelles au début de leurs activités, ils reconnaissent que pour réussir aujourd’hui il faut recourir au marketing de bouche à oreille, au contact en personne et aux présentations et recommandations personnelles. Les méthodes spécifiques peuvent varier, mais trois arrivent systématiquement en tête :

Le pouvoir des alliances stratégiques

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Profiter des rencontres en petit comité

Tirer parti des occasions de réseautage

Dans la deuxième partie de la série, nous mettrons l’accent sur la façon de

« TIRER PARTI DES ACTIVITÉS CLIENTÈLE EN PETIT COMITÉ » Tirer parti des activités clientèle en petit comité Le temps des séminaires de placement à grande échelle est révolu. Les conseillers de haut vol d’aujourd’hui misent sur l’organisation de petites rencontres avec quelques clients. Ces rencontres thématiques sont conçues pour vous permettre d’établir une relation sociale avec vos clients et leurs invités.

Examinons de plus près quelques aspects importants de ces activités :

Établissez clairement votre objectif à l’avance : Ne cédez pas à la tentation d’organiser ces activités simplement pour créer l’illusion que « vous êtes occupés ». Réfléchissez à votre objectif en visualisant clairement votre rôle, du début à la fin. Prévoyez une amorce de conversation constructive avec chaque invité, tout en visant une atmosphère conviviale. Lors d’une activité clientèle en petit comité, évitez de vous lancer dans un énergique argumentaire de vente ou un cours obligatoire en finance. Parlez brièvement de votre travail, seulement si on vous le demande, puis offrez de fixer un rendez-vous pour poursuivre la discussion. L’objectif principal de cette activité est d’établir un lien émotionnel avec vos invités, qui sera le point de départ d’une relation. Adaptez l’activité à vos invités : Il existe un nombre incalculable de formules ou de thèmes possibles pour vos activités clientèle en petit comité. Votre imagination est votre meilleur allié. Le facteur le plus important lorsque vous réfléchissez à vos thèmes est d’inviter les bonnes personnes aux activités qui leur conviennent. Prenez des notes pendant l’année lorsque vous rencontrez vos clients ou que vous discutez avec eux au téléphone. Posez des questions à propos de leurs passe-temps, leurs goûts et préférences, et consignez dans un dossier l’information sur leurs loisirs préférés.


Par exemple… Si vous savez que plusieurs clients apprécient les œuvres d’art classiques, vous pourriez les convier (avec leurs invités) à un souper et une visite privée d’une exposition à la galerie d’art de votre quartier. D’autres clients pourraient certainement apprécier une dégustation vins-mets dans un vignoble de la région. Les amateurs de voitures seraient ravis d’assister à une démonstration de « voitures classiques » animée par un chef avec un cocktail dînatoire. Les possibilités sont infinies!

Planifiez méticuleusement votre activité : Profitez de la planification de votre activité pour passer un bon moment avec votre équipe. Trop souvent, ces activités sont organisées à la va-vite, sans égard aux petits détails, qui ont pourtant une importance capitale. Au bout du compte, ce sont les détails qui détermineront le succès de votre activité. Attardez-vous aux éléments suivants : • La liste d’invités de vos clients (selon votre thème) • Les « amis » que vous souhaitez que vos clients invitent

de 6 à 9 activités par année. C’est en forgeant qu’on devient forgeron et l’organisation de ce type d’activités ne fait pas exception. La perfection naît de la pratique... la fréquence permet d’améliorer l’efficacité globale de votre activité. Vous pouvez choisir de vous spécialiser dans l’organisation d’un seul type d’activité, que vous répéterez entre 9 et 12 fois au cours d’une année. En adoptant cette approche, vous atteindrez un niveau inégalé de maîtrise dans la planification de vos activités clientèle, car votre équipe ne cessera d’améliorer le processus et d’en récolter les fruits.

« C’est en forgeant qu’on devient forgeron et l’organisation de ce type d’activités ne fait pas exception. La perfection naît de la pratique... la fréquence permet d’améliorer l’efficacité globale de votre activité. »

La série Les secrets de la collecte d’actifs des conseillers de haut vol continue dans les prochains numéros du Conseiller Renaissance. Les articles de Grant Shorten porteront sur les sujets suivants : PARTIE 3 – TIRER PARTI DES OCCASIONS DE RÉSEAUTAGE

• La date et l’heure de votre activité • Le cadre, la musique et l’ambiance du lieu choisi • Le programme de votre activité (en indiquant les heures) – du début à la fin • Le résultat précis que vous souhaitez obtenir pour chaque client et invité • Votre stratégie pour favoriser les échanges • Les rôles et responsabilités des membres de votre équipe à l’activité Assurez un suivi constant, le plus tôt possible : Les conseillers de haut vol savent qu’un suivi en temps opportun est crucial pour récolter les fruits d’une activité clientèle en petit comité. Appelez personnellement vos invités dans les 24 à 36 heures suivant l’activité pour les remercier de s’être joint à vous. Reprenez une conversation sur un sujet particulier là où vous l’aviez laissée et rappelez-leur simplement ce que vous faites dans la vie. Par exemple, vous pouvez raconter une anecdote à propos d’un client qui vous a contacté au sujet d’un problème, que vous avez pu rapidement résoudre, en toute simplicité. Pendant l’activité, vous avez peut-être échangé suffisamment avec les autres invités pour leur offrir naturellement une revue gratuite de leur portefeuille ou un autre service similaire. Peu importe la manière, assurez-vous de faire évoluer votre relation. Répétez l’expérience : Les conseillers qui accumulent invariablement des actifs par l’entremise d’activités clientèle en petit comité réussissent en renouvelant l’expérience plusieurs fois au cours de l’année. La plupart d’entre eux seraient d’accord pour dire qu’une fréquence mensuelle est idéale, mais certainement pas moins

Grant Shorten est directeur, Analyses stratégiques à Investissements Renaissance. Il donne une foule de conseils et de stratégies qui seront efficaces auprès de vos clients et qui auront une incidence immédiate sur vos activités. www.conseiller.ca/endirect Balado > 3 questions qui brûlent les lèvres de vos clients Vidéo > La transparence des frais et vous : Justifiez vos commissions de suivi www.investissementsrenaissance.ca/fr/

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Ce trimestre, nous avons demandé à nos conseillers financiers partenaires de nous parler de la façon dont le Portefeuille optimal de revenu Renaissance a répondu aux besoins véritables des clients durant une période prolongée de faibles taux ainsi qu’après deux importantes baisses des marchés depuis 2007. Cyrilla Saunders Vice-présidente et conseillère en placement, CIBC Wood Gundy

Matt Tolley Conseiller financier Edward Jones Kathy Robertson Conseillère en placement associée, CIBC Wood Gundy

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PORTEFEUILLE

OBLIGATIONS CANADIENNES OBLIGATIONS MONDIALES OBLIGATIONS À RENDEMENT ÉLEVÉ OBLIGATIONS À RENDEMENT RÉEL PRÊTS À TAUX VARIABLE ACTIONS CANADIENNES À DIVIDENDES ACTIONS MONDIALES D'INFRASTRUCTURE

OPTIMAL

DE REVENU RENAISSANCE

Lorsque la crise financière a frappé en 2008, de nombreux investisseurs ont été pris par surprise. Peu d’investisseurs, expérimentés ou novices, avaient positionné leurs portefeuilles en vue des perturbations qui ont suivi. La situation est très différente en 2014, mais il reste des similitudes. La plus importante – le paysage économique change bien évidemment. Dans une période d’incertitude, des besoins de placement particuliers se manifestent : protection en cas de baisse sur des marchés volatils, potentiel de croissance stable et capacité de dégager régulièrement des revenus malgré la conjoncture du marché. Pour répondre à ces besoins, un portefeuille doit normalement être constitué d’une répartition spécifique et stratégique d’actifs sous-jacents.

PREMIER VÉRITABLE BESOIN : PROTECTION EN CAS DE BAISSE VÉRITABLE RÉSULTAT : Un produit moins risqué avec 70 % moins de volatilité après deux importantes baisses des marchés 1

Les banques centrales et les gouvernements sont entrés en scène et ont soutenu les marchés financiers au début de la crise du crédit. Les mesures qu’ils ont prises ont été importantes, mais pour la Réserve fédérale américaine (la Fed), cela a probablement assez duré et un retour à la « normale » est maintenant souhaitable. Ce qui se traduira sans doute par une volatilité encore plus grande des marchés financiers. « La protection en cas de baisse et la stabilité des portefeuilles sont devenues encore plus importantes qu’auparavant, affirme Patrick O’Toole, vice-président, Titres mondiaux à revenu fixe, Gestion d’actifs CIBC et cogestionnaire du Portefeuille optimal de revenu Renaissance. L’importance de la diversification ne peut être exagérée sur des marchés volatils. » « L’année 2011 est un excellent exemple de la performance du Portefeuille optimal de revenu Renaissance dans un marché en recul. L’indice TSX a baissé d’environ 9 % cette année-là, tandis que le portefeuille a inscrit un rendement de 5 %, a déclaré Matt Tolley, conseiller financier chez Edward Jones à Osoyoos, en Colombie-Britannique. Une telle performance est très rassurante pour les clients et elle leur rappelle pourquoi ils détiennent ce produit. »

Mme Robertson souligne à quel point il est facile d’être optimiste lorsque l’ensemble d’un portefeuille affiche un bon rendement. Elle et Mme Saunders estiment que la véritable mesure de leur réussite est le niveau de confort des clients lorsque les marchés financiers reculent. « Le Portefeuille optimal de revenu Renaissance a été créé à la fin de 2007, un moment idéal pour être soumis à une véritable volatilité. Le fait que nous ayons été capables d’aborder le rendement négatif de 2008 (-12,3 %), qui a pratiquement été tout récupéré en 2009 grâce au rendement positif de 13,4 %, a procuré une joie immense à nos clients et à notre équipe. Nous sommes reconnaissants de pouvoir mettre la course aux profits de côté tout en continuant de respecter l’intérêt supérieur de nos clients. » Le portefeuille procure une protection en cas de baisse grâce à une vaste diversification au sein des catégories d’actif. Dans la composante à revenu fixe, la diversification provient de placements en obligations de premier ordre, en obligations à rendement réel, en obligations à rendement élevé, en obligations mondiales et en prêts à taux variable. Du côté des actions, la diversification est obtenue par les actions à dividendes et les actions de sociétés d’infrastructure. Protection en cas de baisse 1 (Valeur marchande en $’000) 15 14 13

Crise financière mondiale 12 11 10 9 8 7

Baisse de 2011

6

14 ao ût -2 0

ao ût -2 0

13

12 ao ût -2 0

11 ao ût -2 0

10 ao ût -2 0

09 ao ût -2 0

07 ao ût -2 00 8

5 no v20

Lorsque les marchés déclinent, les conseillères de CIBC Wood Gundy, Cyrilla Saunders et Kathy Robertson de Charlottetown, à l’Île-du-Prince-Édouard, essaient d’éviter de vendre des placements en actions malmenés par l’activité défavorable des marchés. Elles se fient à des solutions comme le Portefeuille optimal de revenu Renaissance pour compléter leurs portefeuilles et assumer le rôle de valeur sûre, qui procure des flux de trésorerie constants et des valorisations de portefeuille durables.

Portefeuille optimal de revenu Renaissance Rendement total de l’indice composé S&P/TSX

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DEUXIÈME VÉRITABLE BESOIN : CROISSANCE STABLE VÉRITABLE RÉSULTAT : Rendement annualisé de 8 % sur cinq ans 2

« Après d’importantes corrections du marché et un accroissement du risque géopolitique, les investisseurs recherchent toujours la croissance, mais ils la souhaitent stable », a affirmé M. O’Toole, soulignant combien l’attitude des investisseurs a évolué au cours des dernières années. M. Tolley est d’accord, et il indique aussi que les clients oublient parfois le risque, surtout lorsque les marchés boursiers sont solides comme au cours des 12 derniers mois. Il discute souvent avec ses clients et se voit comme un tampon entre ses clients et leurs portefeuilles. « J’essaie de rappeler à mes clients que s’ils profitent de l’ensemble des rendements d’un marché fortement haussier, ils s’exposent souvent à une grande partie de la baisse du marché au moment d’une correction. La plupart des clients ne peuvent tolérer davantage qu’une volatilité modérée de leur portefeuille, » ajoute-t-il.

TROISIÈME VÉRITABLE BESOIN : REVENU RÉGULIER VÉRITABLE RÉSULTAT : Distribution annuelle moyenne de 4 % sur sept ans

3

« La qualité et le choix des solutions à revenu fixe incluses dans le Portefeuille optimal de revenu Renaissance ne sont pas souvent disponibles sur le marché de détail », souligne Mme Robertson. Les clients qui ont besoin d’un revenu régulier se fient souvent à un portefeuille de titres à revenu fixe. Mais les produits comme les obligations des marchés émergents, les obligations mondiales, les obligations à rendement élevé et les prêts à taux variable, qui peuvent contribuer à atténuer les risques des placements dans des titres à revenu fixe, ne sont pas largement accessibles pour les investisseurs particuliers. Le portefeuille rend cette diversification possible. Univers des titres à revenu fixe

Titres à revenu fixe spécialisés

« J’essaie de rappeler à mes clients que s’ils profitent de l’ensemble des rendements d’un marché fortement haussier, ils s’exposent souvent à une grande partie de la baisse du marché au moment d’une correction. »

Obligations à rendement élevé

Prêts à taux variable

Obligations gouvernementales

Matt Tolley, conseiller financier, Edward Jones M. Tolley a recours au Portefeuille optimal de revenu Renaissance pour ses clients qui souhaitent des rendements constants et une volatilité moindre. Selon lui, ce produit constitue « une solution tout-en-un et une assise solide pour la création d’un portefeuille de placement ».

Obligations des marchés émergents

Obligations mondiales

Obligations de sociétés de bonne qualité

Obligations provinciales

Titres à revenu fixe traditionnels

Le portefeuille est structuré de manière à procurer une croissance stable dans des conjonctures de marché diverses. Des actifs comme les obligations à rendement réel et les actions de sociétés d’infrastructure servent de protection en cas de hausse de l’inflation. Les prêts à taux variable constituent la couche de protection contre les hausses de taux d’intérêt. Les titres à revenu fixe diversifiés et les actions de bonne qualité versant un dividende contribuent aussi au rendement du portefeuille.

« Il est évident que le Portefeuille optimal de revenu Renaissance, grâce à ses distributions mensuelles régulières d’environ 4 % (ce qui permet une croissance du capital) ou les distributions avantageuses sur le plan fiscal des catégories T6 et T8, convient au client qui recherche un revenu ou en a besoin. Ces flux de trésorerie opportuns et efficaces sur le plan fiscal constituent une excellente solution pour nos équipes », a déclaré Mme Robertson.

Croissance stable 2

Revenu régulier 3 5%

16 % 14 %

4%

12 % 3%

10 %

8%

2%

6% 1%

4% 2%

10

Portefeuille optimal de revenu Renaissance Rendement des distributions – Parts de catégorie A

14 se pt -2 0

12

11

10

09

13 se pt -2 0

Catégorie†

se pt -2 0

Portefeuille optimal de revenu Renaissance

se pt -2 0

Depuis la création

se pt -2 0

5 ans

se pt -2 0

07

3 ans

se pt -2 0

2 ans

no v20

1 an

08

0%

0%


« La qualité et le choix des solutions à revenu fixe incluses dans le Portefeuille optimal de revenu Renaissance ne sont pas souvent disponibles sur le marché de détail. »

portefeuille signifie que le capital est toujours disponible pour que le client puisse profiter des avantages qu’offrent des occasions futures. Le Portefeuille optimal de revenu Renaissance procure ces avantages dans une seule solution simple.

Kathy Robertson, conseillère en placement associée, CIBC Wood Gundy Mis à part pour les clients qui ont besoin d’un flux de revenu constant, un revenu régulier comporte un autre avantage. M. Tolley a remarqué que si le cours d’un actif varie légèrement ou même s’il baisse, certains clients arrivent difficilement à conserver le placement. C’est aussi vrai pour les placements qui sont des « trésors cachés » largement sous-évalués. Selon lui, un portefeuille assorti d’un flux de revenu régulier constitue un excellent moyen d’aider les clients à conserver leurs placements. En fait, les investisseurs sont payés pour attendre, ce qui les aide à rester disciplinés lorsque les marchés sont volatils. « D’une certaine manière, c’est un peu comme offrir un immeuble à la location en attendant qu’il prenne de la valeur. Le revenu régulier que les placements dégagent les rend avantageux, et il est ainsi plus facile sur le plan psychologique de conserver les placements et d’éviter de les vendre trop tôt. » Les défis qui s’annoncent pour les investisseurs peuvent se transformer en avantages si on garde à l’esprit certaines stratégies simples. Les portefeuilles assortis d’un flux de revenu régulier permettent aux investisseurs de conserver leurs placements dans des marchés volatils. La croissance stable et les rendements réguliers du portefeuille pendant des perturbations du marché sont rassurants. La protection en cas de baisse qui préserve la valeur du

Z

Apprenez-en davantage sur toutes les catégories du Portefeuille optimal de revenu Renaissance en vous rendant à l’adresse veritablesresultats.ca

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En comparaison à l’indice composé de rendement total S&P/TSX. La volatilité est mesurée par l’écart-type des rendements quotidiens au cours des périodes du 18 juin 2008 au 9 mars 2009 (fonds : 12,50, indice : 56,01) et du 5 avril 2011 au 3 octobre 2011 (fonds : 6,10, indice : 23,11).

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Rendement pour la période de cinq ans terminée le 31 août 2014. La date de création du fonds est le 13 novembre 2007. †Catégorie revenu fixe canadien équilibré Morningstar. Chaque taux de rendement indiqué est un taux de rendement total composé annuel historique pour les parts de catégorie A tient compte des fluctuations de la valeur des parts et du réinvestissement de toutes les distributions mais qui ne tient pas compte des commissions d’achat et de rachat, des frais de placement ni des frais optionnels ou de l’impôt sur le revenu payable par un porteur qui auraient eu pour effet de réduire le rendement.

3

Rendement des distributions des parts de catégorie A du fonds pour la période du 13 novembre 2007 (création) au 30 septembre 2014. Le rendement des distributions pour une période est calculé en divisant les distributions effectuées au cours des 12 mois précédant cette période par la valeur marchande dans cette période. Le fonds vise une distribution mensuelle. Il est prévu que le taux de la distribution mensuelle sera de 1/12 d’approximativement 4 % par année pour les parts de catégorie A. Les distributions des autres catégories peut varier. Nous pouvons rajuster les taux de distribution mensuelle à notre gré. Le versement des distributions n’est pas garanti et peut fluctuer. Si le montant annuel distribué est supérieur au revenu net et aux gains en capital réalisés nets du portefeuille, l’excédent représentera un remboursement de capital. Le rendement total des parts de catégorie A est de 4,0 %, en assumant que les distributions ne sont pas réinvesties.

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Écoutez de courtes balados de ces experts du Portefeuille optimal de revenu Renaissance. www.conseiller.ca/endirect

A

Patrick Bradley, Brandywine Global

Balado > Investir dans le trou d’une aiguille

Nick Langley, RARE Infrastructure

Balado > Surveillez les infrastructures et services publics

Stephen Carlin, Gestion d’actifs CIBC

Balado > Les services financiers, des refuges contre la volatilité

Nicholas Leach, Gestion d’actifs CIBC

Balado > L'importance de la durée dans les obligations à haut rendement

Présenté par Investissements Renaissance

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L’avantage des obligations mondiales

SOLUTION CLÉ DE PLACEMENT : FONDS D’OBLIGATIONS MONDIALES RENAISSANCE

Les pays offrant les meilleurs rendements diffèrent chaque année

Investissez avec les spécialistes de cette catégorie d’actif : Brandywine Global Investment Management • Approche individuelle : Fonds d’obligations mondiales Renaissance • Approche diversifiée : Portefeuille optimal de revenu Renaissance (pondération de 10 %)

2010

Pologne Canada Japon Australie Australie Royaume-Uni Irlande Irlande Australie

2005

Canada

Suisse Australie Pologne 2000

0%

1995

10 %

Royaume-Uni France Japon États-Unis États-Unis

Suède Japon

20 %

Italie

Danemark

30 %

Japon

Australie

40 %

Belgique

France Japon

Rendement total

1990

Les obligations mondiales procurent une exposition aux politiques monétaires, aux profils de taux d’intérêt, aux taux d’inflation et aux cycles économiques de marchés situés ailleurs qu’en Amérique du Nord. Une répartition d’obligations diversifiées à l’échelle mondiale permet de profiter des facteurs favorables de certains pays, qui peuvent compenser les effets à la baisse d’autres pays.

50 %

1985

L’accès à un large éventail de marchés abaisse le risque

Royaume-Uni

60 %

Le resserrement des politiques monétaires par les banques centrales mondiales exercera une pression à la hausse sur les taux d’intérêt et à la baisse sur les prix des obligations. En raison des différents cycles économiques et monétaires à l’échelle mondiale, les taux d’intérêt ne suivent pas tous la même courbe et les prix offerts sur les divers marchés obligataires ne sont pas tous touchés en même temps. Les investisseurs qui diversifient leur composante à revenu fixe dans des titres mondiaux peuvent profiter de ces écarts de prix.

Royaume-Uni Australie

La diversification des obligations permet de contrer la hausse des taux

Source : Bloomberg. Rendements en dollars américains représentés par le Citigroup WGBI.

Les quatre piliers des rendements supérieurs ajustés au risque Investir dans les obligations offrant le meilleur O rendement réel

Gérer activement le risque de change pour protéger le capital et accroître les rendements

Effectuer patiemment une rotation entre les pays

Contrôler le risque en achetant des titres sousévalués

1 2 3 4 12


Intéressez-vous à la vie de vos clients

MERCI À CEUX QUI NOUS ONT OFFERT LEUR SOUTIEN

Sans le soutien de conseillers comme vous, Investissements Renaissance n’aurait pas le privilège d’aider tant de Canadiens à atteindre leurs objectifs financiers. Nous vous présentons un des spécialistes exceptionnels avec qui nous sommes très fiers de travailler. Qu’aimez-vous de votre secteur? J’adore établir des relations avec les différents types de personnes, surtout celles que je ne rencontrerais pas nécessairement si je n’étais pas conseiller financier. Quelle est votre méthode personnelle pour établir de solides relations avec la clientèle? Je m’intéresse à leur vie. Tous les conseillers ne sont pas réellement intéressés à ces aspects de la vie de leurs clients – ils remplissent le formulaire de renseignements sur le client, mais ça s’arrête là. J’aime approfondir les intérêts et les passions de mes clients. Quelles sont les principales préoccupations des clients et comment y répondez-vous? La plus grande préoccupation est le coût associé aux placements et la rémunération des conseillers. Pour faciliter les conversations, j’aborde le sujet moi-même. Je suis fier que ma société ait pris les devants et qu’elle divulgue les frais clairement sur les relevés et les confirmations, même avant que les normes du secteur nous imposent de le faire. Cette transparence est essentielle à l’établissement de relations à long terme avec les clients. Sur quels secteurs ou thèmes de la planification financière ou des placements entendez-vous vous concentrer davantage à l’avenir? De nombreux conseillers se concentrent sur la planification successorale et le transfert de patrimoine entre les générations. J’ai adopté une stratégie différente en abordant des clients plus jeunes, qui forment un groupe généralement sous-exploité. Ces relations peuvent servir d’assises à vos

activités pour de nombreuses années. De plus, l’établissement d’un plan financier à un jeune âge peut être extrêmement avantageux, car le temps joue en votre faveur. Quel serait votre meilleur conseil pour acquérir de nouveaux clients? Assurer un suivi en temps opportun, que vous ayez rencontré quelqu’un à un événement, que vous ayez bavardé avec une personne sur le trottoir ou que vous ayez à communiquer avec un client potentiel qu’un client vous a référé. Appelez, envoyez un courriel ou rédigez une note à la main. Plusieurs conseillers laissent tomber le suivi, mais c’est vraiment important. Quels sont vos passe-temps préférés? Ma femme et moi aimons le curling et le soccer. J’ai essayé le surf quand j’étais à Hawaï et j’ai été surpris de la force que ça exige. Le soccer et le curling sont de bons exercices, mais faire du surf est un défi. Quel est l’objet dont vous ne pouvez pas vous passer? Il ne s’agit pas d’un « objet », mais je ne serais rien sans mon assistante, Allison. Elle s’occupe du fonctionnement du bureau et s’assure que tout est fait. Sans elle, je ne pourrais ni garder mes clients ni accroître ma clientèle.

Matt Tolley Société : Edward Jones, Osoyoos, C.-B. Nombre d’années dans le secteur : 5 ans Membres de l’équipe : 2

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Aliments reconfo ´

CANADIENS

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Analyse de quelques-uns de nos mets préférés. Appétissant, non? La délicate fraîcheur de l’air et les magnifiques couleurs qu’ont prises les feuilles ne signifient qu’une chose : l’automne est arrivé!

}


C’est le moment idéal – et une bien bonne excuse – pour combler notre besoin de confort et isoler nos corps de nouveau. Les aliments réconforts canadiens ont pris forme sous l’influence de constantes vagues d’immigration, ainsi que de nos vastes paysages diversifiés. Ce ne sont pas les mets particuliers qui importent, mais plutôt les ingrédients eux-mêmes, comment ils sont combinés et ce qu’ils signifient pour nous. Certains viennent du froid et se retrouvent dans un plat qui nous réchauffe le cœur.

De la poutine à toutes les sauces Des frites recouvertes de fromage en grains et nappées de sauce. Trois ingrédients simples composent une poutine, sans doute la quintessence des aliments réconfort canadiens. Il est difficile de savoir exactement où la poutine a pris naissance, mais ce plat est apparu au Québec à la fin des années 1950.¹ Par la suite, de nombreuses variations savoureuses de la poutine classique ont été créées partout au pays – certaines avec des garnitures de luxe comme le porc effiloché, le bacon, le foie gras et le homard. En 2007, la SRC a mené un sondage auprès de son auditoire pour connaître les plus importantes inventions canadiennes de tous les temps, et la poutine s’est classée au dixième rang. Elle a devancé le microscope électronique, le BlackBerry, la transmission radiotéléphonique et la crosse.² Des poutineries ouvrent un peu partout au Canada et le Web regorge de blogues dédiés à la recherche de la poutine parfaite.

Des pommes de terre, encore des pommes de terre La poutine ne serait pas ce qu’elle est sans les frites. Nous devons donc rendre hommage au légume sur lequel tout repose. Pilée, au four, gratinée ou frite, quel que soit votre mode de cuisson préféré, la pomme de terre est un modèle d’aliment réconfort. Par chance, nous n’avons pas à parcourir de grandes distances pour en trouver : l’Île-du-Prince-Édouard est notre carrefour de la pomme de terre! Marquées par leurs conditions de croissance uniques, les pommes de terre de l’Île-du-Prince-Édouard se développent grâce aux étés chauds, aux hivers froids, aux précipitations naturelles et au sol rouge riche en oxyde de fer. Les pommes de terre de l’Île sont rouges, blanches, jaunes ou bleues, donc vous pouvez composer un magnifique bouquet de pommes de terre à votre prochain repas. Les pérogies font partie de nos plats de pommes de terre favoris. La ville de Dauphin, au Manitoba, s’est fait connaître en accueillant le festival national ukrainien du Canada. Chaque été, des milliers d’Ukrainiens de tout le pays, et d’ailleurs dans le monde, envahissent la ville et célèbrent leur musique, leurs traditions et la perfection des pérogies aux pommes de terre. En plus de leur potentiel culinaire, les pommes de terre sont remplies d’éléments nutritifs. Une pomme de terre de taille moyenne contient jusqu’à 45 % de l’apport quotidien recommandé de vitamine C, et encore plus de potassium qu’une portion de banane ou de brocoli.³

Nous Y le bœuf de l’Alberta La viande et les pommes de terre sont des éléments fondamentaux des plats réconfort, surtout quand on les cuit dans une mijoteuse. Vers l’ouest, le Canada est formé d’hectares de grands pâturages et de terres agricoles fertiles – le royaume du bétail. La production bovine est le secteur agricole le plus important en Alberta; elle représente 44 % de la production totale du pays. L’industrie du bœuf en Alberta est très dynamique et les Canadiens la stimulent – 65 % du bœuf de l’Alberta est consommé au pays.4 Cette industrie est parfaitement intégrée au style de vie de l’ouest et est célébrée chaque année dans le cadre du Stampede de Calgary; l’exposition sur le parcours du bétail met l’accent sur des normes de production alimentaire sûre, des pratiques durables sur le plan de l’environnement et le bien-être des animaux.5 Faites ressortir toute la saveur du bœuf de l’Alberta cet automne dans vos plats mijotés, chilis et ragoûts. Et que dire de l’odeur du bœuf braisé du dimanche? Sublime. La mijoteuse dégage un mélange bigarré d’odeurs qui flottent dans la maison pendant que toutes les délicieuses saveurs se combinent en cuisant à la perfection. Les Canadiens savent aussi que même si la saison du barbecue est techniquement terminée, nous n’attendrons pas la fin de l’hiver avant de faire griller nos steaks. Il n’y a qu’à pelleter un chemin jusqu’au barbecue et à en profiter à l’année.

Un tour à la cabane à sucre En regardant notre cher drapeau national, on a chaque fois envie de se sucrer le bec. Les racines de l’érable sont profondément ancrées dans l’histoire du Canada; l’emblème de la feuille d’érable est devenu synonyme de notre identité canadienne, tout comme le sirop d’érable. À l’origine, le sirop d’érable était ramassé par les autochtones, mais il a rapidement capté l’attention des colons européens, surtout au Québec. L’industrie du sirop d’érable de la province est le plus gros producteur au monde et ses bénéfices stimulent l’économie.6 La cabane à sucre fait partie 15


intégrante de la culture québécoise et est devenue une tradition au début de chaque printemps. La visite d’une cabane à sucre au Québec est tout un événement – vous y danserez au son de la musique et, évidemment, vous pourrez verser du sirop d’érable sur tout ce que vous mangerez, directement d’une carafe placée au centre de la table.

Et au cœur de la culture canadienne, il y a le café et les beignes. Nous savons qu’une tasse de café frais accompagnée d’un beigne glacé à l’érable forme une combinaison gagnante. C’est probablement ce qui explique, ainsi que l’accès sans fil gratuit, pourquoi 57 % des cafés préparés que nous buvons sont achetés dans un établissement où l’on vend des beignes ou des bagels.10 Les Canadiens mangent plus de beignes par habitant et possèdent plus de points de vente de beignes que tout autre pays.11

Le sirop d’érable comporte certains avantages inattendus pour la santé et contient 54 antioxydants différents.7 Cela le distingue considérablement de ses concurrents, et on le classe avec les bananes, le brocoli cru et les pommes gala en matière de pouvoir antioxydant.8 Il ne faut donc pas vous sentir trop coupable d’en mettre sur vos crêpes!

Et il ne faut pas oublier la patinoire. Que vous apportiez votre café ou que vous l’achetiez dans la machine distributrice de l’aréna, tout ça fait partie du plaisir d’aller voir une partie. La chaleur et le réconfort que l’on ressent quand on tient un café dans ses mains en ont fait un accessoire typiquement canadien. Et on n’a pas deux mains pour rien. L’autre sert à tenir un beigne, évidemment.

Un beigne et un café! Les Anglais ont leur thé; nous avons notre café. Vous n’êtes pas la seule personne à être incapable de fonctionner avant d’avoir eu votre dose quotidienne. Presque aussi populaire que l’eau, le café est la boisson favorite des adultes au Canada, le buveur de café moyen en consommant 2,6 tasses chaque jour.9

Aliments réconfort canadiens : Amorces de conversation lors d’un cocktail 1

Les pommes de terre conservent bien la chaleur (pensez à la patate chaude!); alors la prochaine fois que vous avez besoin d’une compresse chaude, faites bouillir une pomme de terre ou deux, enveloppez-les d’un linge propre et appliquez le tout sur vos muscles endoloris.

2

L’industrie bovine de l’Alberta a apporté 12,7 milliards de dollars à l’économie canadienne en 2012.

3

L’idée de tremper un beigne dans du café est tirée d’un film de 1934 mettant en vedette Clark Gable, New York-Miami.12

4

Le Japon compte sur le Canada pour obtenir 99 % de son sucre d’érable et de son sirop d’érable.13

5

En 1675, le roi d’Angleterre a interdit les cafés, prétendant qu’il s’agissait d’endroits où les gens se rencontraient pour conspirer contre lui.

Sources : ¹ http://fr.wikipedia.org/wiki/Poutine_(plat) ² http://www.nytimes.com/2007/05/23/dining/23pout.html?_r=2& ³ http://www.peipotato.org/why-pei-potatoes/nutrition-facts 4 http://www.albertabeef.org/page/about-industry 5 http://ag.calgarystampede.com/upload/press_release/710/01/news-release---calgary-stampede-beef-cattle-highlights.pdf 6 http://www.siropderable.ca 7 http://www.purecanadamaple.com/benefits-of-maple-syrup/antioxidants-in-maple-syrup 8 http://www.purecanadamaple.com/benefits-of-maple-syrup/antioxidants-in-maple-syrup 9 http://www.cbc.ca/archives/categories/lifestyle/food/my-canada-includes-tour 10 http://www.coffeeassoc.com/coffeeincanada.htm 11 http://fr.wikipedia.org/wiki/Tim_Hortons 12 http://fb-troublemakers.com/12-interesting-facts-about-doughnuts-17307/ 13 http://www.ats-sea.agr.gc.ca/asi/6164-eng.htm

16


Pour un cerveau en pleine forme Lettres mélangées – Remettez les lettres ci-dessous dans le bon ordre pour former des mots se trouvant dans l’article aux pages 8 à 11.

1. aebrlsivét

Sudoku – Remplissez le casse-tête sudoku afin que chaque rangée, colonne et boîte de 3 cases par 3 cases contienne les chiffres de 1 à 9 une seule fois.

2

1 4

2. ilétlotaiv 3. féintga

5

9

4. uipureésr

3

2

5. eabstl

6

5

8

4

6

5

7

7

8

6. giueiqopétol

8

2

6

5

5

1

7. ugréirel 8. notrsuppo 9. liuqtaé

9 6

3 3

7 6

10. tcrtopnioe

4 3 Source : 4puz.com

Encerclez les différences – Pouvez-vous trouver les cinq différences entre les images ci-dessous?

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Investissements Renaissance est offert par Gestion d’actifs CIBC inc. et est une marque déposée de celle-ci. Pour les fonds Renaissance de catégorie Plus. D’après le RFG cible, le cas échéant : Investissements Renaissance entend atteindre le RFG indiqué et renoncera à des frais de gestion ou absorbera certaines dépenses pour ce faire, mais peut cesser cette pratique en tout temps. Les placements dans les fonds communs de placement peuvent faire l’objet de commissions, de commissions de suivi, de frais de gestion et d’autres charges. Veuillez lire le prospectus simplifié de la famille des fonds d’Investissements Renaissance avant d’investir. Les fonds communs de placement ne sont pas garantis, leur valeur varie fréquemment et leur rendement passé n’est pas indicatif de leur rendement futur.

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À L’USAGE EXCLUSIF DES CONSEILLERS Investissements Renaissance et les portefeuilles Axiom sont offerts par Gestion d’actifs CIBC inc. Le présent document a été préparé à l’intention des spécialistes en placements uniquement et ne doit pas être diffusé au grand public. Il est fourni à titre indicatif seulement et ne vise pas à donner des conseils de placement ni des conseils juridiques ou fiscaux. Ce document ne peut être reproduit ou distribué, en totalité ou en partie, sans le consentement formel écrit d’Investissements Renaissance. MD Axiom, Portefeuilles Axiom et Investissements Renaissance sont des marques déposées de Gestion d’actifs CIBC inc. Imprimé au Canada sur du papier post consommation 25 % recyclé


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