Le conseiller PROFILS DE FONDS TRIMESTRIELS / GESTION DES PRATIQUES / PERSPECTIVES / OPINION
T4 – 31 DÉCEMBRE 2015
Réflexions sur la génération Y, 2e partie Saisir une occasion en or ÉGALEMENT DANS CE NUMÉRO :
Un nouvel ordre mondial – Organiser votre pratique afin d’assurer sa survie et sa croissance La chute des produits de base peut-elle profiter à vos clients?
Réservé à l’usage des conseillers
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Dans ce numéro
Perspectives économiques 4 Canada : que se passe-t-il avec la croissance? Développez votre pratique 6 Un nouvel ordre mondial : Organiser votre pratique afin d’assurer sa survie et sa croissance
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Planification fiscale et successorale 8 Cinq stratégies pour les REER Perspectives des marchés mondiaux La chute des produits de base peut-elle profiter à vos clients? Réflexions sur la génération Y – 2e partie : Saisir une occasion en or
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Solution clé de placement 13 Répartition de l’actif et accent sur la qualité supérieure C’est une question de cœur
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Merci à ceux qui nous 17 ont offert leur soutien Établir une solide relation personnelle Pour un cerveau en pleine forme 18
De la directrice gestionnaire de l’équipe des ventes Renaissance
Gérer les attentes Nous sommes heureux de vous présenter le numéro d’hiver du Conseiller Renaissance. Entre la période des REER, toujours très intense, les fluctuations incessantes des marchés et l’évolution du secteur financier, le travail des conseillers est exigeant ces derniers temps. Le plus important aujourd’hui, c’est d’être au courant de tout ce qui se passe. Même si l’année 2016 a pris un départ décevant pour le secteur des placements, l’incertitude des marchés n’a rien de nouveau. C’est la manière dont nous communiquons l’information aux clients et dont nous gérons leurs attentes qui peut véritablement influer sur les résultats. Il est crucial d’adopter une communication cohérente pour que nos clients restent calmes et confiants et qu’ils ne perdent pas de vue leurs besoins à long terme. Dans son article intitulé Un nouvel ordre mondial – Organiser votre pratique afin d’assurer sa survie et sa croissance, Grant Shorten explique pourquoi il est temps de saisir les occasions qui découlent de l’évolution des services financiers au Canada. Pour atténuer la pression créée par les fluctuations des marchés, Investissements Renaissance offre une gamme diversifiée de solutions, notamment le Fonds de revenu d’actions américaines Renaissance. Outre le taux de rendement et la croissance, les dividendes permettent de profiter du potentiel de hausse et d’une précieuse protection en cas de baisse. Pour terminer notre dossier en deux volets Réflexions sur la génération Y – Nouer des relations avec la force économique de demain, nous nous sommes penchés sur l’accroissement de votre clientèle de la génération Y. Nous sommes en train de peaufiner nos techniques pour les comprendre, les trouver et leur parler. Également dans ce numéro, Jamie Golombek présente cinq stratégies pour les REER et Benjamin Tal examine les occasions de croissance sur les marchés actuels. Comme toujours, merci pour votre confiance et n’hésitez pas à nous faire part de vos commentaires.
Shelly McLean Directrice gestionnaire, Ventes nationales Investissements Renaissance
Canada : que se passe-t-il avec la croissance? Perspectives économiques
La faiblesse du dollar canadien devrait finir par jouer un rôle de catalyseur, mais, étant donné la composition du panier d’exportations canadiennes, son incidence ne se fera sentir qu’après 2016. L’accroissement des dépenses du gouvernement fédéral est un pas dans la bonne direction, mais cela sera largement contré par le resserrement au palier provincial. Encore une fois, la croissance de l’économie canadienne repose sur les consommateurs. Cependant, malgré les aubaines, les statistiques sur les ventes au détail laissent à désirer, même dans le centre du Canada, région qui devait tirer le plus grand avantage de la faiblesse du prix de l’essence. Par conséquent, la croissance sera encore une fois modeste, affichant un taux de 1,7 % (inférieur aux prévisions consensuelles) en 2016 avant de reprendre un brin de vigueur pour atteindre 2,3 % en 2017. Les dépenses en immobilisations se font attendre Actuellement, les dépenses en immobilisations dans le secteur de l’énergie représentent environ la moitié des niveaux d’avant la correction, et il faut s’attendre à d’autres compressions. L’incidence de cette situation sur le plan macroéconomique devrait être moindre en 2016, mais, si l’on se fie aux coûts tout compris, il est peu probable que les sociétés pétrolières reviennent sur les annulations récemment annoncées, et ce, même si le prix du brut revenait à 50 $ ou 60 $ par baril. En effet, la volatilité des prix du pétrole rend les moyens de production flexibles beaucoup plus intéressants, ce qui, à long terme, défavorise le secteur canadien des sables bitumineux, dont les coûts fixes sont élevés. À l’extérieur du secteur de l’énergie, les dépenses en immobilisations anémiques sont moins une question de conviction que de rentabilité 4
insuffisante. En effet, les sociétés n’investissent généralement pas dans l’accroissement de leurs capacités lorsque la croissance de leur rentabilité est faible, voire négative. Heureusement, la croissance est calculée d’année en année et, même si personne ne s’attend à des résultats exceptionnels, on devrait néanmoins remarquer une augmentation raisonnable par rapport à l’année de référence. Ceci devrait entraîner une hausse modeste des investissements dans les prochaines années. Cependant, les sociétés ne disposent pas de réserves improductives qu’elles pourraient utiliser pour financer de nouvelles dépenses en immobilisations puisque la part des actifs représentée par l’encaisse est demeurée assez stable au cours des dernières années. L’un des problèmes est qu’actuellement, le peu d’investissements des sociétés canadiennes s’effectue à l’étranger. Bien que les dépenses en immobilisations des sociétés canadiennes hors du secteur de l’énergie soient essentiellement demeurées au même niveau depuis 2013, leurs investissements à l’étranger sont à la hausse depuis quelques trimestres. Pourtant, la faiblesse du dollar canadien rend les placements à l’étranger plus coûteux pour ces sociétés, en plus de rendre les investissements au Canada plus attrayants pour les gens de l’extérieur du pays. On pourrait donc s’attendre à ce que le Canada attire davantage d’investisseurs étrangers au cours des prochaines années, surtout parce que son coût de main-d’œuvre est plus intéressant par rapport aux États-Unis. Malheureusement, les grandes décisions concernant les usines et les installations ne se prennent pas tous les jours et compte tenu des délais d’exécution, les investissements ne suivront probablement pas avant 2017. Les investissements hors énergie suivent la rentabilité Secteurs hors énergie – Dépenses en immobilisations et rentabilité (2007-2015) 40 % 30 % 20 % 10 % 0% -10 % Actuellement -20 % -30 % -10 % -5 % 0 % 5 % 10 % Croissance des dépenses en immobilisations
Croissance des bénéfices
Les perspectives de l’économie canadienne pour 2016 n’ont rien d’emballant. Les prévisions les plus optimistes (y compris celles de la Banque du Canada) se fondent en grande partie sur des vœux pieux plutôt que sur l’abondance de signes concrets de vigueur. L’effondrement des dépenses en immobilisations dans le secteur de l’énergie, principale cause de la morosité économique en 2015, n’est pas près de se corriger au cours de la prochaine année, ni même en 2017. À l’extérieur du secteur pétrolier, la reprise de l’investissement sera également retardée par la récente perte de rentabilité des entreprises.
Source : Statistique Canada, Banque CIBC
10 % 8% 6% 4% 2% 0% -2 % -4 % -6 % -8 %
Var. 12 mois
Prév.
40 % 30 % 20 % 10 % 0% -10 % -20 %
-30 % 07 09 11 13 15 17P Dépenses en immo. hors énergie (G) Bénéfice d’exploitation hors énergie (D)
Coup de pouce décevant du huard aux exportations La faiblesse du dollar canadien aura également une influence positive sur les exportations, mais comme pour les dépenses en immobilisations, le gros de l’effet ne se fera pas sentir l’année prochaine. Ceci s’explique en partie par les difficultés actuelles des fabricants américains, qui n’augmentent pas le volume de leurs commandes auprès des fournisseurs canadiens intégrés à leur chaîne de production. Le fait que l’industrie canadienne fabrique davantage de produits intermédiaires que de produits finis limite également l’effet du taux de change sur le volume des exportations. Les produits finis profitent davantage de la faiblesse du huard puisqu’ils doivent passer par moins de mains avant d’atteindre les consommateurs à l’étranger; ils peuvent ainsi profiter plus rapidement d’un prix concurrentiel. Les données indiquent que les biens de consommation exportés par le Canada profitent déjà de la faiblesse du dollar canadien. En revanche, les produits intermédiaires liés au cycle industriel américain ou international accusent encore un retard. Relance budgétaire insuffisante? Le gouvernement prendra-t-il le relais? Les perspectives budgétaires avant toute nouvelle initiative présageaient une légère contraction du côté du secteur public en raison du resserrement des budgets provinciaux. Le programme des libéraux renverse cette tendance, mais il ne suffira pas à stimuler l’économie en 2016. Étant donné l’orientation des budgets provinciaux, les mesures de relance seront de loin inférieures à celles mises en œuvre durant la récession qui a suivi la crise financière. Les consommateurs font leur part, mais il y a une limite Même si les consommateurs sont actifs, il est peu probable qu’ils soient une source d’accélération au cours de la prochaine année. L’augmentation des dépenses au troisième trimestre est en partie attribuable au versement de la prestation pour la garde d’enfants aux ménages par Ottawa. Malgré cela, les données indiquent un ralentissement général des ventes pour les détaillants, même si les consommateurs ont actuellement un peu plus de jeu dans leur budget en raison du prix de l’essence. Le ralentissement de la consommation dans les provinces touchées par la baisse du cours du pétrole n’est pas une surprise, mais le consommateur a
aussi fait preuve de retenue partout ailleurs. Cela s’explique en partie par le fait que les consommateurs ne profitent pas de la faiblesse des taux d’intérêt pour emprunter. La contribution du crédit à la croissance des dépenses de consommation est passée sous la barre des 3 %, ce qui représente une fraction de ce que le crédit représentait au cours des cycles précédents. En outre, le marché de l’emploi a été moins résilient que prévu. Il convient de préciser que les statistiques sur la main-d’œuvre pour l’année ont, dans l’ensemble, été supérieures aux attentes compte tenu du contexte économique. Néanmoins, même si le niveau d’emploi à l’extérieur du secteur des ressources s’est maintenu, les salaires affichent un ralentissement – même après l’exclusion des secteurs des mines, du pétrole et du gaz. Un fléchissement des dépenses de consommation réelles s’annonce donc; celles-ci devraient croître de 1,5 % en 2016 et de 1,4 % en 2017, l’augmentation du prix de l’essence et des taux forçant les consommateurs à resserrer les cordons de leur bourse. Prévisions prudentes pour l’économie canadienne Une légère amélioration du côté de l’exportation. Davantage de compressions dans les dépenses en immobilisations dans le secteur du pétrole, et, au plus, une faible croissance dans les autres secteurs. Des politiques budgétaires divergentes au fédéral et au provincial, qui s’annulent presque. Un resserrement des dépenses des ménages. Bref, les perspectives pour l’économie canadienne en 2016 ne sont pas particulièrement encourageantes. Nous pouvons cependant espérer un redressement de l’économie mondiale en 2017.
Benjamin Tal est économiste en chef adjoint à la Banque CIBC. Désigné comme l’un des principaux experts canadiens du marché immobilier par le Fonds monétaire international, il est responsable de l’analyse de l’actualité économique et de ses répercussions sur les marchés nord-américains des titres à revenu fixe, des actions, des changes et des produits de base. www.renaissanceinvestments.ca/en/economy/ www.investissementsrenaissance.ca/fr/
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Un nouvel ordre mondial Organiser votre pratique afin d’assurer sa survie et sa croissance
DÉVELOPPEZ VOTRE PRATIQUE
Le secteur canadien des services financiers est en train de vivre une transformation rapide et permanente. Nous sommes à un momentcharnière, marqué par la convergence de trois forces puissantes qui sont en train de modeler un nouvel ordre mondial pour les conseillers en placement. Ces trois forces sont :
1. La révolution de la transparence des frais
2. L’ascension du conseiller-robot
3. L’invasion des investisseurs fortunés
Examinons chacune d’elles de plus près.
1. La révolution de la transparence des frais La mise en œuvre en trois phases du Modèle de relation client-conseiller (MRCC2) se poursuit. Les deux premières phases sont terminées et la troisième entrera en vigueur en juillet 2016. Cette dernière phase sera marquée par l’adoption du Rapport annuel sur les frais et les autres formes de rémunération et la communication du rendement annuel pondéré en fonction des flux de trésorerie externes. Le MRCC2 a déjà une large incidence sur notre secteur d’activité. La mise en œuvre des nouvelles procédures a donné beaucoup de travail à nos sociétés de courtage et exigé la participation de nombreux services et divisions. Pour la plupart des conseillers en placement et des spécialistes en services financiers, il est clair que le MRCC2 n’a qu’une finalité en termes de relations-clients, à savoir une transparence totale. Vos clients sauront exactement combien ils paient pour leurs placements! La transparence n’est plus une option... c’est une obligation légale. 6
Tandis que ce changement se met en place à l’échelle de notre secteur, une autre force est à l’œuvre. 2. L’ascension du conseiller-robot Un conseiller-robot est une solution en ligne peu coûteuse qui vise à remplacer un conseiller en placements ou un spécialiste en services financiers de plein exercice. Même s’il est en vogue aux États-Unis depuis quelques années, ce phénomène est assez nouveau au Canada. En quelques années d’existence, les conseillers-robots ont réussi à attirer un actif sous gestion estimé à 20 G$ à l’échelle de l’Amérique du Nord. Le processus commence habituellement par un questionnaire, qui conduit directement à l’établissement d’un profil de risque. À l’étape suivante, un portefeuille est créé pour le client à partir d’algorithmes informatisés qui reposent sur les principes de la théorie moderne du portefeuille et de la répartition stratégique de l’actif. Une fois le portefeuille construit, le client a également accès à un rééquilibrage automatique. Tout cela est offert à l’investisseur moyennant des frais très bas (entre 30 et 50 points de base de l’actif). Certains petits frais mensuels fixes peuvent s’ajouter. Ces sociétés mènent des campagnes de marketing énergiques et sont déterminées à changer le visage du secteur des placements. L’ascension du conseiller-robot se poursuit, la Révolution de la transparence est en marche et une troisième force a fait son apparition. 3. L’invasion des investisseurs fortunés Selon Investor Economics, le nombre de ménages millionnaires au Canada devrait pratiquement doubler d’ici cinq à sept ans. D’ici 2022, les segments des investisseurs aisés et fortunés cumuleront pas moins de 82 % des avoirs personnels au Canada. Pour faire valoir vos services auprès de cette clientèle fortunée, vous devrez d’abord explorer sa psychologie. Vous vous rendrez vite compte de deux choses importantes. Premièrement, l’investisseur fortuné s’attend à payer des frais moins élevés que le petit investisseur. Deuxièmement, il est habitué à un traitement VIP et s’attend à recevoir ce niveau de service de la part son conseiller. Qu’est-ce que cela signifie pour vous?
Incidence sur les conseillers Cette convergence de forces aura, en définitive, trois conséquences principales sur le conseiller de plein exercice : Pressions baissières sur les honoraires Vous devrez de plus en plus démontrer votre valeur ajoutée La demande d’un niveau exceptionnel de service à la clientèle augmentera C’est le bon moment pour prendre du recul et réévaluer la structure et la composition de votre modèle d’affaire. Il est temps de passer à l’action, d’adapter vos activités et de prendre les mesures concrètes qui assureront la survie et l’essor de votre entreprise dans le nouvel ordre mondial.
Sept stratégies pour le conseiller du nouvel ordre mondial Stratégie 1 – Maîtriser tout l’éventail de la valeur! La notion de valeur est insaisissable et changeante. Elle varie d’un client à l’autre. Dans le nouvel ordre mondial, vous devrez respecter avec constance les critères de valeur de vos clients, non les vôtres. Déterminez avec précision l’éventail de services qui sont importants pour vos clients et offrez-leur ces services de manière personnalisée.
appartiendra au conseiller qui saura s’imposer comme la personne-ressource pour tous les besoins de ses clients. Il ne s’agit pas de devenir un expert en fiscalité, assurance, affaires juridiques, etc. Il s’agit de vous montrer intéressé et motivé auprès de vos clients, et d’avoir avec eux des conversations significatives sur ces questions. Stratégie 5 – Intégrer quelques placements à faible coût dans les portefeuilles de vos clients Le simple fait d’intégrer un ou deux fonds indiciels ou FNB à faible coût dans le portefeuille de vos clients aura immédiatement un triple effet gagnant : 1. Vous réfutez la « grande accusation » des clients qui croient que vous choisissez uniquement des placements à frais élevés pour leur portefeuille. 2. Vous diminuez efficacement le coût global assumé par votre client. 3. Vous faites valoir votre objectivité dans l’élaboration du portefeuille. Stratégie 6 – Se préparer à répondre aux questions difficiles sur les frais Lorsque vos clients commenceront à recevoir le Rapport annuel sur les frais et les autres formes de rémunération, il est probable que vous devrez répondre à des questions sur les frais. Prenez le temps de réfléchir à des réponses, de les rédiger et de vous pratiquer.
Stratégie 2 – Établir une liste complète de vos services
Exemples de questions à propos des frais :
Et si quelqu’un demande à vos clients « Qu’est-ce que ton conseiller t’apporte? ».
• Pourquoi dois-je payer continuellement des commissions de suivi? • Qu’est-ce que j’obtiens exactement en contrepartie de ces frais? • Pourquoi dois-je payer des frais alors que mon portefeuille produit un rendement médiocre? Communiquez avec votre représentant Renaissance pour obtenir des exemples de réponses à ces questions!
Il faut reconnaître que la plupart d’entre eux n’ont aucune idée de ce que vous faites pour eux. Dorénavant, vous devrez les aider à répondre facilement à cette question. Dressez la liste complète de tous les services et avantages cachés qui sont inclus dans les frais facturés à vos clients. Ensuite, commencez à présenter stratégiquement cette liste à vos clients lors de vos rencontres et des revues de portefeuille. Communiquez avec votre représentant Renaissance pour obtenir un modèle de liste!
Stratégie 7 – Adhérer au nouvel ordre mondial! Le secteur canadien des services financiers connaît une période de grande transformation. La réussite appartiendra aux conseillers qui choisiront de saisir cette occasion et seront prêts à s’adapter à ces changements inévitables.
Stratégie 3 – Prendre de l’expansion! Profiter de la force d’un réseau Dans ce contexte de compressions des frais et d’attentes plus élevées, vos clients rechercheront plus de substance, des compétences diversifiées et spécialisées. Commencez par nouer des alliances stratégiques avec d’autres professionnels (comptables, avocats, directeurs de compte, agents immobiliers et entrepreneurs en construction). Cultivez des relations qui mèneront à des recommandations croisées, avantageuses pour les deux parties. Mettez en vedette votre équipe virtuelle élargie dans vos brochures, vos bulletins, vos courriels ainsi que sur votre site Web. Stratégie 4 – Se concentrer sur le segment des investisseurs à valeur nette élevée Les investisseurs fortunés continuent de dominer le paysage financier et leurs finances sont complexes. Dans le nouvel ordre mondial, la réussite
Grant Shorten est directeur, Analyses stratégiques à Investissements Renaissance. Il donne une foule de conseils et de stratégies qui seront efficaces auprès de vos clients et qui auront une incidence immédiate sur vos activités. Visionnez les vidéos de chacune des 7 stratégies de Grant à investissementsrenaissance.ca
www.investissementsrenaissance.ca/fr/
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Cinq stratégies pour les REER Planification fiscale et successorale
oici cinq stratégies à communiquer à vos V clients, qui les aideront à tirer le meilleur parti de leur REER.
des fonds, le montant total dont ils peuvent disposer est alors de 40 000 $. Pour éviter leur inclusion dans le revenu, il faut rembourser les retraits effectués en vertu du REEP sur une période de 10 ans commençant 5 ans après le premier retrait ou 2 ans après la fin des études, selon la première éventualité. 4. Cotiser à un REER de conjoint.
1. Ne pas investir dans un REER Pour nombre de Canadiens qui s’efforcent d’épargner pour la retraite, un compte d’épargne libre d’impôt (CELI) peut s’avérer la meilleure solution. Le montant qu’il est possible d’y verser dépend des droits de cotisation accumulés. Les Canadiens qui avaient au moins 18 ans en 2009 et qui n’ont pas encore de CELI en 2016 peuvent immédiatement verser 46 500 $ dans un CELI. Notre rapport intitulé REER, CELI ou prêt hypothécaire décrit plusieurs facteurs à prendre en compte pour choisir entre une cotisation à un REER ou à un CELI et le remboursement d’un emprunt hypothécaire, si l’on dispose d’une somme limitée. 2. Utiliser un REER pour acheter une première propriété Le Régime d’accession à la propriété (RAP) permet à un particulier et à son conjoint de retirer jusqu’à 25 000 $ de leurs REER respectifs, pour un total de 50 000 $, afin d’acheter ou de construire une première habitation. En général, un ménage sera admissible au RAP si aucun des deux conjoints n’a été propriétaire d’une habitation au cours des cinq années précédentes et ne l’a pas utilisée comme résidence principale. Il faut rembourser les montants retirés en vertu du RAP sur une période maximale de 15 ans pour éviter qu’ils ne soient inclus dans le revenu. 3. Puiser dans un REER pour retourner aux études Le Régime d’encouragement à l’éducation permanente (REEP) permet à un particulier de retirer jusqu’à 10 000 $ par année, jusqu’à concurrence de 20 000 $, pour payer ses études à temps plein ou celles de son conjoint dans un établissement d’enseignement reconnu. Si les deux conjoints retirent 8
Cette stratégie peut aider les clients à fractionner le revenu, car l’impôt sur les sommes retirées est généralement prélevé sur le revenu du conjoint bénéficiaire et non sur celui du cotisant. Si le revenu du bénéficiaire se situe dans une fourchette d’imposition inférieure à celle du cotisant au moment du retrait, il est possible de réaliser une économie d’impôt. 5. Nommer un bénéficiaire. La désignation d’un conjoint, d’un enfant ou d’un petit-enfant comme bénéficiaire d’un REER peut permettre de reporter l’impôt qui serait exigible sur le REER au moment du décès. Dans le cas d’une désignation valide de bénéficiaire, les actifs détenus dans un REER ne sont pas réputés comme faisant partie de la succession, ce qui permet, le cas échéant, d’éviter l’impôt provincial relatif à l’administration d’une succession.
Jamie Golombek est directeur gestionnaire, Planification fiscale et successorale pour le groupe Gestion privée de patrimoine CIBC. Il collabore étroitement avec les conseillers pour les aider à offrir des solutions intégrées de planification financière aux clients à valeur nette élevée. M. Golombek est fréquemment présenté par les médias comme un spécialiste de la fiscalité. Twitter @JamieGolombek
www.investissementsrenaissance.ca/fr/jamie_golombek/
La chute des produits de base peut-elle profiter à vos clients? Perspectives des marchés mondiaux
Le ralentissement du super cycle des produits de base continue de créer la confusion sur les marchés mondiaux. Dans les secteurs des ressources (énergie, matériaux, minéraux, etc.) les titres sont sous-évalués, les résultats d’entreprises ayant baissé. Dans les autres secteurs, les titres sont surévalués, notamment du côté de la consommation, et les résultats d’entreprises plafonnent. Comme les prix des produits de base continuent de baisser, il est difficile de prédire un prix plancher, mais il est probable que ces conditions extrêmes de marché finiront par déclencher une réaction des investisseurs. Cela pourrait marquer le début d’une période de forte remontée pour les secteurs malmenés. Pour l’instant, il est trop tôt pour investir à contre-courant, car les prix des produits de base pourraient encore baisser, selon nous*. C’est pourquoi nous accordons une pondération neutre aux actions canadiennes. La morosité pourrait persister en 2016, ce qui obligerait la Banque du Canada à réduire encore les taux d’intérêt et à envisager des mesures de politique monétaire non conventionnelles (p. ex. un taux directeur négatif et un assouplissement quantitatif). La Banque a déjà commencé à se préparer à cette éventualité. Les actions des pays émergents subissent des vents contraires, comme le ralentissement de l’économie chinoise, la faiblesse des prix des produits de base et l’attente d’un relèvement des taux d’intérêt aux É.-U. La contreperformance qui en résulte donne lieu à des valorisations très intéressantes. Selon nos prévisions de rendements à long terme, les marchés émergents constituent une des catégories d’actif les plus intéressantes. La dépréciation des monnaies améliore la compétitivité des entreprises des pays émergents; leurs bénéfices devraient donc s’améliorer. De plus, les taux d’intérêt réels ont diminué dans ces pays, alors qu’ils commencent à augmenter dans les pays développés. Comparativement aux autres régions, les pays émergents ont connu une nette amélioration de leurs conditions monétaires. Il faut que les perspectives de croissance se stabilisent, surtout en Chine, pour que le rendement relatif des actions des pays émergents s’améliore. Toutefois, nous pensons que les investisseurs patients qui respectent des critères de valorisation rigoureux seront récompensés à moyen et long terme.
« S elon nous, le marché américain offre les
perspectives les moins prometteuses pour la prochaine année et reste le marché le moins intéressant. »
Les marchés boursiers américains sont confrontés à des circonstances bien différentes de celles des marchés émergents. Les actions américaines sont parmi les plus surévaluées. De plus, les entreprises américaines sont confrontées à l’appréciation du billet vert et l’éventualité d’un relèvement des taux par la Réserve fédérale, ce qui fera augmenter leurs coûts de financement. Selon nous, le marché américain offre les perspectives les moins prometteuses pour la prochaine année et reste le marché le moins intéressant. Les autres pays développés se situent quelque part entre les États-Unis et les pays émergents. Leurs marchés boursiers ne sont ni sous-évalués, ni surévalués, mais ils continuent de profiter de politiques monétaires très favorables. De plus, ils profitent d’une légère amélioration de la croissance des bénéfices. C’est pourquoi nous les favorisons sur le plan régional. * Au 15 janvier 2016.
Luc de la Durantaye est le chef de l’équipe Répartition de l’actif et gestion des devises à Gestion d’actifs CIBC. Il est responsable de la répartition stratégique et tactique de l’actif, de la gestion des devises, des stratégies de rendements absolus et de la gestion indicielle. Lisez le rapport Perspectives au complet sur investissements renaissance.ca
www.investissementsrenaissance.ca/fr/
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génération Y
Réflexions sur la
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SAISIR UNE OCCASION EN OR
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Pour vous aider à mieux comprendre et exploiter son potentiel, nous vous présentons un dossier en deux volets sur les façons de mobiliser les personnes de cette génération, qu’il s’agisse de clients ou de collègues.
2 e partie – Saisir une occasion en or
• La génération Y est susceptible de bien réagir aux messages sur la stratégie financière qui leur parviennent par les médias sociaux, par courriel ou par texto plutôt que par téléphone ou une rencontre dans vos bureaux.5 MacDonald recommande d’être présent sur les médias sociaux et d’adopter un ton différent de celui que vous utilisez avec les baby boomers. « Les médiaux sociaux peuvent être utilisés pour informer les investisseurs et les aider à prendre des décisions plus éclairées. »
La génération Y compte neuf millions de personnes au Canada1 et représente une occasion en or pour vous.
Ensuite, trouvez-les
Non seulement les chiffres sont étourdissants (Investor Economics évalue à 895 milliards de dollars les avoirs qui passeront des mains des baby boomers à celles de leurs enfants entre 2012 et 20222 ), mais quand on voit comment la génération Y gère ses finances, il est clair qu’elle a besoin de l’aide de professionnels. D’après Environics Research Group, société spécialisée dans la recherche et les services-conseils : • 39 % des membres de la génération Y (« post-boomers ») gèrent leurs finances eux-mêmes. • 29 % d’entre eux utilisent les services d’une banque/caisse populaire. • 27 % d’entre eux ont recours à un conseiller indépendant. • 5 % d’entre eux ont recours à une société de courtage à escompte. « Un grand nombre des actifs qui changeront de mains sont à la portée de n’importe quel conseiller, affirme David MacDonald, MBA, CMRP, viceprésident de groupe, Services financiers à Environics. Les post-boomers sont habitués à faire affaire avec des banques, mais s’ils sont déçus par le service à la clientèle, ils iront ailleurs chercher la réponse à leurs questions. » Donc, quand la nouvelle génération reprendra l’entreprise familiale ou héritera du patrimoine, choisira-t-elle de faire affaire avec vous? Pour attirer les clients de demain, présentez-vous dès aujourd’hui comme un conseiller pertinent, à l’aise avec la technologie. Tout d’abord, les comprendre Si votre clientèle est surtout composée de baby boomers, vos relations avec la génération Y pourraient être difficiles si vous n’adaptez pas votre façon de faire à leurs préférences. Voici ce qu’il faut savoir sur la situation financière et culturelle de la génération Y : • De nombreux post-boomers sont confrontés à un endettement sans précédent. Et malgré l’accès à l’information, ils n’ont pas l’impression d’en savoir plus que les autres et leur aversion pour le risque peut être élevée quand il s’agit de leur argent.3 • Ils sont avides de conseils et ne veulent pas se lancer tout seuls, mais ils s’attendent à ce que leur relation avec leur conseiller soit fondée sur une confiance mutuelle, le respect et un dialogue franc.4 « Les solutions toutes faites et le conseiller-robot ne leur conviennent pas, » explique MacDonald. L’utilisation d’un algorithme informatique ne les dérangera pas au début du processus, mais ils s’attendent à ce que vous adaptiez la solution à leurs besoins précis.
Les clients potentiels de la génération Y peuvent donner l’impression d’une nébuleuse, cachée derrière un écran numérique. Commencez par tisser des liens avec les enfants de vos clients baby boomers. Ainsi, quand les baby boomers transféreront leur patrimoine à leurs enfants de la génération Y, vous serez bien placé pour gérer leurs avoirs. Un partenariat avec des membres de la génération Y serait également bénéfique. « Les échanges proactifs avec les jeunes professionnels du secteur financier sont une autre façon d’attirer des clients de la génération Y, affirme Eric Roberge, 34 ans, CFP et fondateur de BeyondYourHammock. com, un site Web consacré aux stratégies financières, qui aide les jeunes professionnels à réaliser leurs projets de vie. Si un conseiller d’âge mûr faisait appel à moi, je n’hésiterais pas à organiser une rencontre pour écouter ce qu’il ou elle a à dire. »6 Trouvez des clients de la génération Y en faisant appel à des conseillers de cette génération. Selon Edwin L. Weinstein, PhD, du Brondesbury Group, les conseillers ont généralement des clients du même groupe d’âge, plus ou moins 10 ans.7 Enfin, soyez présent en ligne. La génération Y utilise plusieurs moyens de communication : textos, blogues, Facebook et Twitter. Familiarisez-vous avec divers supports de communication ou embauchez quelqu’un qui le fera pour vous.8 Maintenant, commencez à échanger Après la prise de contact, comment tisser des liens? Tout repose sur les sujets abordés et sur la manière dont vous en parlez. Sujets à aborder Établir un budget – Parlez-leur de ce qui est important pour eux et proposez des solutions adaptées à leurs besoins financiers. Selon MacDonald, les post-boomers savent qu’ils sont responsables de leurs finances, mais ils ont besoin d’aide pour définir leurs objectifs et établir un plan. Ils hésitent entre plusieurs options, par exemple être locataire ou propriétaire? Rembourser leurs dettes ou investir? REER ou CELI?9 Comme la retraite est un objectif assez lointain pour les post-boomers, concentrez-vous sur des projets pour lesquels ils souhaitent épargner, comme un voyage ou l’achat d’une maison. Investir – De nombreux post-boomers ont une forte aversion pour le risque et ne se sont pas encore lancés sur les marchés boursiers.10 MacDonald estime toutefois que, du fait de son adaptabilité, cette génération finira par tolérer les cycles de marchés.11 11
Les employés de la génération Y Saviez-vous que 16 % des meilleurs conseillers indépendants du Canada appartiennent à la génération Y?15 Et ce pourcentage continue d’augmenter. Si vous ne travaillez pas déjà avec eux, il est certain que ce sera bientôt le cas. Pour attirer et fidéliser ce groupe, le Centre de Management Canadien, société spécialisée dans le perfectionnement professionnel, a créé trois solutions pour aider les employeurs à exploiter le plein potentiel des post-boomers. 1. Mobiliser : Intégrez les valeurs de la génération Y, par exemple en créant un forum qui permettra aux employés de faire part de leurs commentaires ou en adoptant des stratégies qui favorisent la collaboration.16 2. Préparer : Aidez les post-boomers à acquérir des compétences qui les prépareront à leurs futurs rôles. Créez des occasions de mentorat et offrez régulièrement de la rétroaction.17 3. Incidence : À mesure que les post-boomers grimpent les échelons, il peut arriver qu’ils dirigent des collègues plus expérimentés. Offrez à tous les employés la formation nécessaire pour comprendre la dynamique des gens avec qui ils travaillent.18 Service à la clientèle Comme les conseillers de la génération Y joueront un rôle de plus en plus important auprès de vos clients de la génération du baby boom, votre mission sera de gérer la relève. « Le taux de satisfaction des clients à l’égard de leur conseiller est très élevé jusqu’à l’âge de 72 ans. C’est l’âge où le conseiller prend sa retraite et où quelqu’un d’autre reprend le dossier du client, explique MacDonald. Pour maintenir le taux de satisfaction, il faut éviter que le remplacement soit trop brutal. Le conseiller qui part à la retraite doit gérer la transition. » Pour faciliter les relations entre les clients de longue date et les nouveaux conseillers, vous pouvez communiquer les stratégies suivantes à vos employés de la génération Y pour les aider à mieux servir les clients âgés. 1. Prenez le temps d’expliquer les choses. La génération du baby boom préfère une explication détaillée à des résultats rapides. La résolution est importante, mais il n’est pas impératif qu’elle soit instantanée.19
Vous devez donc être prêt à expliquer l’importance des placements boursiers. Vous devez également pouvoir montrer comment, dans le passé, les actions ont toujours récupéré leurs pertes après une période baissière et qu’elles produisent des rendements positifs à long terme.12 S’informer – Selon un nouveau sondage mené par la Banque CIBC auprès de Canadiens âgés de 18 à 34 ans, près de 70 % des post-boomers investissent leur argent, mais la majorité d’entre eux, qu’ils investissent ou non sur les marchés, n’ont aucune idée de la façon d’investir et admettent qu’ils manquent de savoir financier et ne sont pas tout à fait à l’aise en matière de placement. Le tiers des post-boomers (33 %) disent ne pas s’être encore lancés sur le marché parce qu’ils n’ont pas assez de savoir financier et que les placements les intimident. Comme autres principales raisons, ils mentionnent qu’il ne leur reste pas assez d’argent à la fin du mois et qu’ils ont d’autres priorités financières, comme rembourser une dette ou épargner pour acheter une maison. MacDonald recommande d’organiser des séminaires spécialement pour les post-boomers, où ils pourront s’informer à partir des questions posées par les autres participants et des réponses données à ces questions. « Si vous les sensibilisez sans employer des techniques de vente agressives, vous pourrez attirer ces clients potentiels. » Quel moyen de communication? Proposer une rencontre ou un entretien téléphonique? Pour communiquer avec la génération Y, choisissez les meilleurs canaux de communication pour différentes situations. Déterminez les sujets qui doivent être discutés en personne ou par téléphone et l’information qui peut être diffusée en ligne. Les post-boomers souhaitent une rencontre en personne lorsqu’ils doivent prendre une décision importante, mais ils préfèrent les sources numériques pour la collecte d’information.13 La présentation de l’information est également une question épineuse. Par exemple, votre document de 50 pages, qui comporte de nombreux tableaux, graphiques et chiffres risque de ne pas convenir aux clients de la génération Y. Ils recherchent plutôt un résumé accompagné d’une image infographique. Décrivez une image au lieu de donner une longue explication.14 Développez dès aujourd’hui la clientèle de demain En commençant dès maintenant, vous pouvez devenir, aux yeux des clients de la génération Y, le guide de confiance pour la gestion de leurs finances. Pour cela, vous devez vous adapter aux besoins et contraintes qui se présentent à chaque étape de leur vie, tout en les aidant à préparer leur avenir. Et c’est véritablement cela, être un conseiller.
2. Utilisez un langage clair. N’employez pas d’acronymes ni des mots d’argot. Il est important de bien se faire comprendre des clients sur une question aussi importante que leurs finances.20 3. Appuyez-vous sur ce que vous connaissez. Parmi vos proches, il y a sûrement des baby boomers. Utilisez ce que vous savez d’eux pour offrir à cette génération le service qu’elle recherche.21
http://strategyonline.ca/2013/08/21/millennials-by-the-numbers/ http://www.investissementsrenaissance.ca/fr/practicemanagement/pdf/Q313-BackOfNapkin-Fr.pdf 3, 4, 9, 11, 15 Environics Research Group, Millennials as Investors, 1er octobre 2015. 5 http://financialadvisoriq.com/c/967154/96144 6 http://www.icpas.org/hc-insight.aspx?id=2546 7 Dr. Edwin Weinstein, Brondesbury Group, Financial Life Stages of Older Canadians, 2015 IFIC Leadership Conference, 1er octobre 2015. 8 http://www.investmentnews.com/article/20140223/REG/302239990/meet-the-millennials-five-ways-toattract-the-next-generation-of-clients 10, 12 http://progressivefinancialadvisor.com/index.php/Practice-Management/keep-millennials-in-sight-as-prospects 13,14 http://www.thinkadvisor.com/2014/10/29/how-to-attract-and-keep-the-next-generation-of-cli?page=2 16, 17, 18 http://betakit.com/organizations-are-not-prepared-for-new-generation-of-leaders/ 19, 20, 21 http://www.impactlearning.com/when-your-employees-are-millennials-and-your-customers-are-boomers/ 1 2
Répartition de l’actif et accent sur la qualité supérieure Les titres sous-évalués comptent dans le marché actuel
SOLUTION CLÉ DE PLACEMENT : FONDS DE REVENU D’ACTIONS AMÉRICAINES RENAISSANCE
Le Fonds de revenu d’actions américaines Renaissance peut investir environ 20 % de son actif dans des obligations convertibles, qui peuvent aider à atténuer le risque de baisse du marché boursier en général (et aider à générer un revenu). De plus, pour accroître le rendement, l’équipe valeur du sous-conseiller American Century recherche activement des titres de qualité supérieure sous-évalués. Les avantages de cette stratégie ont pu être observés au cours des six derniers mois. Les placements en titres convertibles et en actions de grande qualité sous-évaluées ont permis le récent rendement supérieur
(période de 6 mois terminée le 14 janvier 2016)
11 500 $ Fonds de revenu d’actions américaines Renaissance
Catégorie des actions américaines
Croissance de 10 000 $
11 000 $
10 500 $
10 000 $
9 500 $
9 000 $ 14/7/15
14/8/15
14/9/15
14/10/15
14/11/15
14/12/15
14/1/16
6 mois
1 an
2 ans
Depuis la création (sept. 2013)
Fonds de revenu d’actions américaines Renaissance
12,59 %
18,19 %
19,58 %
20,18 %
Moyenne de la catégorie d’actions américaines
5,90 %
13,60 %
15,96 %
s.o.
Source : Morningstar Direct. Rendements standard pour les périodes terminées le 31 décembre 2015. Les fonds communs de placement ne sont pas garantis, leur valeur fluctue souvent et le rendement passé peut ne pas se reproduire. Les placements dans des fonds communs de placement peuvent être assortis de commissions, de commissions de suivi, de frais de gestion et d’autres frais. Veuillez lire le prospectus simplifié avant d’investir. Pour obtenir un exemplaire du prospectus simplifié de la famille des fonds Investissements Renaissance, composez le 1 888 888-3863. Vous pouvez également vous procurer un exemplaire auprès de votre conseiller. Les renseignements présentés sont exacts au moment de la première impression et peuvent changer sans préavis. Les frais de gestion liés aux parts de catégorie A, de catégorie F et de catégorie Plus sont indiqués dans le prospectus simplifié. Le présent document est fourni à titre d’information seulement et ne comporte pas de conseils de placement, juridiques ou fiscaux. Le document et son contenu ne peuvent être reproduits ni diffusés sans le consentement écrit d’Investissements Renaissance. MD Investissements Renaissance est une marque déposée de Gestion d’actifs CIBC et est offert par cette société.
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C’est une question de
cœur Nous savons qu’une alimentation saine, l’exercice physique et la réduction du stress contribuent à la santé du cœur. Mais des études récentes, de nouveaux médicaments et des gadgets électroniques peuvent nous aider à faire durer notre palpitant le plus longtemps possible.
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La nutrition réinventée La prochaine fois que vous ferez l’épicerie, ignorez le rayon des aliments prêts-à-servir. Selon la Fondation des maladies du cœur et de l’AVC (la Fondation), ce sont les aliments transformés et non les gras saturés qui pourraient être la cause des maladies du cœur. Les experts nous ont toujours mis en garde contre les gras saturés présents dans la viande rouge, les produits laitiers et certaines huiles alimentaires, censés augmenter le risque de maladies cardiovasculaires. Mais récemment, la Fondation a fait savoir que, au lieu de nous focaliser sur les gras saturés, nous devrions consommer des fruits et légumes frais, des grains entiers et des viandes et produits qui n’ont pas été transformés.2 Il ne fait aucun doute que les aliments frits et transformés sont mauvais pour la santé à long terme. D’après une étude menée par Russell de Souza, professeur adjoint à l’école de médecine de Michael G. DeGroote, à Hamilton (Ontario), les gras saturés ne sont pas liés à une hausse du risque d’AVC, de diabète de type 2, de maladie du cœur ou de mortalité.3 Publiée dans le British Medical Journal, cette étude établit, en revanche, un lien clair entre les gras trans (souvent présents dans les aliments transformés ou frits) et les problèmes de santé du cœur.3 Il n’est pas surprenant que notre consommation d’aliments transformés suscite autant d’inquiétude, étant donné qu’entre 1938 et 2011, dans les dépenses des ménages canadiens, la part consacrée aux aliments naturels, entiers ou très peu transformés est passée de 34,3 % à 25,6 %, tandis que la part des produits transformés est passée de 28,7 % à 61,7 %.4
Voici un survol des applications et gadgets qui vous aideront à conserver un cœur en bonne santé. Applications qui aident à modifier un comportement Une des applications les plus populaires de la Fondation est une évaluation gratuite du risque de maladie du cœur et d’AVC. Pour créer votre profil de risque, vous devez répondre à 30 questions ou plus. « Mieux encore, explique le docteur Zbib, elle établit un plan d’action sur la base de votre comportement. » Pourquoi est-ce important? « Un traitement de substitution de la nicotine ne sera pas efficace pour un fumeur qui ne souhaite pas arrêter de fumer, parce qu’il ne suivra pas le traitement. Mais la personne qui veut arrêter de fumer le suivra. Cet outil est personnalisé; il fournit de l’information en fonction de la situation de la personne. »
Applications qui aident à améliorer l’hygiène de vie La Fondation a créé une autre application gratuite qui vous propose un nouveau défi à relever chaque jour pendant 30 jours. Le défi est fondé sur une série de questions et vous aide à cibler les changements les plus bénéfiques à apporter à votre mode de vie. « Par exemple, si vous manquez d’exercice, explique le docteur Zbib, votre défi pour la journée pourrait être de ne pas prendre l’ascenseur. Vous devrez prendre l’escalier toute la journée. À la fin de la journée, vous indiquez à l’application que le défi est réussi et elle enregistrera les progrès réalisés. Les gens aiment beaucoup cette application, elle est très populaire. Elle a été téléchargée 130 000 fois depuis octobre 2015 ». Mis à part celles de la Fondation, d’autres applications innovantes peuvent vous aider à faire un suivi de votre condition physique. Elles peuvent être payantes, alors informez-vous avant de vous engager.
Applications pour un cœur en santé Dans notre société de plus en plus axée sur la technologie, la multitude d’applications santé a de quoi laisser pantois. Comment trouver celles qui vous conviennent? « Quand vous recherchez une application, vérifiez d’abord qu’elle provient d’une source crédible, explique le docteur Ahmad M. Zbib, CPHIMS-CA, directeur, Santé numérique et innovation à la Fondation. Ensuite, assurezvous qu’elle est fondée sur une théorie et sur des techniques éprouvées. Troisièmement, elle doit être facile d’emploi, sinon vous ne l’utiliserez pas. Ensuite, vérifiez la connectivité entre l’application et votre téléphone, Fitbit ou autre technologie vestimentaire. Pour finir, interrogez votre entourage. Qui l’utilise? Qu’est-ce qu’ils en pensent? ».
Applications de gestion de la tension artérielle Ces applications pour téléphones intelligents font un suivi de votre tension artérielle et créent des graphiques pour vous aider à mieux maîtriser vos problèmes de tension. Certaines vous rappellent automatiquement de relever votre tension ou de prendre un médicament. D’autres incluent de l’information sur l’hypertension. Toutefois, les applications qui utilisent le téléphone pour mesurer la tension risquent de ne pas fournir des résultats fiables, à moins d’être raccordées à un appareil sans fil.5 Assurez-vous que l’application utilisée vous fournit des données exactes. Images fournies par la Fondation des maladies du cœur et de l’AVC. http://www.fmcoeur.on.ca
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Êtes-vous un mordu de gadgets?
De nos jours, les gadgets électroniques pour la santé dépassent largement le podomètre que nous avions l’habitude d’utiliser (dont l’invention est attribuée à Léonard de Vinci). Les appareils numériques sans fil font un suivi de votre activité physique et fournissent l’information par l’intermédiaire de votre application ou de votre ordinateur. Essayez ces gadgets à la pointe de la technologie pour un cœur en bonne santé.
Moniteurs de fréquence cardiaque En temps normal, le cœur humain bat avec régularité et à l’intérieur d’une fourchette sécuritaire. Mais il arrive que le rythme de votre cœur s’écarte de cette fourchette en raison d’une activité physique ou d’une anomalie cardiaque. Les moniteurs de fréquence cardiaque permettent de vérifier votre pouls en toute circonstance. Les professionnels de la santé peuvent même surveiller votre rythme cardiaque à distance, à l’aide d’un appareil sans fil.6
Vêtements intelligents Êtes-vous prêt à troquer votre montre intelligente contre une chemise intelligente? Les vêtements intelligents (textiles dans lesquels sont intégrés des capteurs) peuvent détecter la fréquence cardiaque, le rythme respiratoire et même l’activité musculaire. Même si elle n’en est qu’à ses débuts (les chemises, pantalons de sport et chaussettes intelligents sont apparus sur le marché l’année dernière), cette technologie évolue rapidement. Les spécialistes espèrent pouvoir l’utiliser dans les hôpitaux et les centres de rééducation pour aider les patients qui ont plusieurs problèmes de santé, notamment une maladie du cœur.7
Le pouvoir de la pensée positive La pensée positive a tellement d’influence sur l’hygiène de vie que la Harvard School of Public Health s’est penchée sur 200 études qui examinent l’influence des tendances psychologiques, des comportements à l’égard de la santé et des facteurs de risque de maladie cardiovasculaire. La joie et l’optimisme ont été associés à un risque plus faible de maladie du cœur et d’AVC, les personnes les plus optimistes affichant les meilleurs résultats.8 Vous n’êtes toujours pas convaincu? Une autre étude menée par des chercheurs de la Johns Hopkins University a révélé que des personnes ayant des antécédents familiaux de maladies du cœur et qui faisaient preuve d’optimisme avaient 30 % moins de chances d’avoir une crise cardiaque ou un autre événement cardiovasculaire dans un délai de 5 à 25 ans que des personnes plus pessimistes. Les résultats de l’étude sont également valables pour les personnes ayant des antécédents familiaux et pour lesquels les facteurs de risque de maladie coronarienne étaient les plus élevés.9
Vivez dans la joie et votre cœur vous dira merci.
De plus, selon les conclusions de l’étude, quels que soient leurs antécédents familiaux, les personnes optimistes avaient 13 % moins de chances d’avoir une crise cardiaque ou un événement coronarien que les personnes pessimistes.9
http://www.vancouversun.com/health/health+canada+approves+breakthrough+heart+failure+drug/11430628/story.html http://www.theglobeandmail.com/life/health-and-fitness/health/saturated-fats-no-longer-the-true-enemy-experts-say/article26513320/ 3 http://dailynews.mcmaster.ca/article/trans-fats-but-not-saturated-fats-linked-to-greater-risk-of-death/#sthash.fngtZNXe.dpuf 4 Moubarac JC, Batal M, Bortoletto Marins AP, Claro R, Bertazzi Levy R, et al. Processed and ultra-processed food products: Consumption trends in Canada from 1938 to 2011. Can J Diet Pract Res 2014;75(1):15-21. 5 http://www.health.harvard.edu/heart-health/smartphone-apps-for-blood-pressure-a-clever-choice 6 http://www.everydayhealth.com/heart-health/heart-rate-monitors-for-heart-health.aspx 7 http://www.npr.org/sections/health-shots/2015/04/03/397108232/will-smart-clothing-amp-up-your-workout 8 http://www.mensfitness.com/styleandgrooming/fashion/positive-thinking-has-heart-health-benefits 9 http://www.hopkinsmedicine.org/health/healthy_aging/healthy_mind/the-power-of-positive-thinking 1 2
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Établir une solide relation personnelle MERCI À CEUX QUI NOUS ONT OFFERT LEUR SOUTIEN
Sans le soutien de conseillers comme vous, Investissements Renaissance n’aurait pas le privilège d’aider tant de Canadiens à atteindre leurs objectifs financiers. Nous vous présentons deux spécialistes e xceptionnels avec qui nous sommes très fiers de travailler. Qu’aimez-vous de votre secteur? Nous jouons un rôle essentiel dans la réalisation des objectifs financiers de nos clients. Il est gratifiant de permettre aux clients de se consacrer à ce qui les intéresse pendant que nous nous chargeons des questions financières. Quelle est votre méthode personnelle pour établir de solides relations avec la clientèle? Nous commençons par faire connaissance avec le client. Nous sommes à l’écoute de sa vision des choses et de ses expériences. Nous travaillons avec des personnes qui réfléchissent comme nous et ont le même style et la même philosophie de placement. Cela nous permet de gérer la volatilité des marchés ensemble. Quelles sont les principales préoccupations des clients et comment y répondez-vous? Le plus souvent, les clients veulent savoir comment générer des revenus et suivre le rythme de l’inflation de manière à préserver leur capital. Ils souhaitent également prendre en compte l’allongement de l’espérance de vie. La plupart de nos clients recherchent une source de rendement stable, fiscalement avantageuse et qui suit le rythme de l’inflation. Y a-t-il des secteurs ou thèmes de planification financière ou de placement que vous souhaitez privilégier à l’avenir? Pour nous, il est important de bâtir un plan de gestion du patrimoine qui tient compte des valeurs personnelles. Aujourd’hui, nous consacrons plus de temps à la planification fiscale et successorale pour offrir une transition en douceur et efficace sur le plan fiscal. Comment vous adressez-vous à vos clients de la génération Y? Considérez-vous qu’il soit nécessaire de les aborder différemment des autres clients? Nos clients de la génération Y ont tendance à rechercher de l’information à l’extérieur. Internet offre de l’information en abondance. Nous les aidons à réduire le « bruit » et leur offrons clarté et pertinence.
Quel serait votre meilleur conseil pour attirer de nouveaux clients? Établir une solide relation personnelle. Apprendre à connaître nos clients, découvrir ce qui est important pour eux afin de trouver la meilleure solution de placement pour eux. Notre objectif est d’avoir des clients tellement satisfaits qu’ils nous recommandent à leur famille et à leurs amis. Quels sont vos passe-temps préférés? Dan : Le voyage est une véritable passion. Même avec deux enfants, nous sommes allés à Bali et Hong Kong, et nous préparons un séjour en Europe. Cheryl : Je passe mon temps libre à aider mon mari à gérer deux adolescents dynamiques, deux chats complètement cinglés et un chiot, qui vient de se joindre à la famille. Quel est l’objet dont vous ne pouvez pas vous passer? Dan : Je ne trouve pas d’objet qui me soit indispensable! Cheryl : Ma calculatrice professionnelle 1990 HP, qui, de nos jours, est une antiquité. Je ne peux pas travailler sans elle!
Dan Zapior et Cheryl Rogers Société : Legacy Wealth Management, Conseils de placement privés, Gestion de patrimoine TD Lieu : Ottawa (Ontario) Ancienneté dans l’entreprise : 34 ans collectivement Nbre de personnes au sein de l’équipe : 4
Les recommandations et les opinions exprimées ici sont celles de Cheryl Rogers et Dan Zapior et ne représentent pas nécessairement celles de Gestion de patrimoine TD et ne sont pas spécifiquement approuvés par Gestion de patrimoine TD. Legacy Wealth Management se compose de Cheryl Rogers, vice-présidente, gestionnaire de portefeuille et conseillère en placement; Daniel Zapior, conseiller en placement; Belinda Windover, assistante aux ventes; Andrew Nikolayev, assistant aux ventes. Legacy Wealth Management fait partie de Conseils de placement privés, Gestion de patrimoine TD. Conseils de placement privés, Gestion de patrimoine TD est une division de TD Waterhouse Canada Inc., une filiale de La Banque Toronto-Dominion. TD Waterhouse Canada Inc. - membre du Fonds canadien de protection des épargnants.
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Pour un cerveau en pleine forme Lettres mélangées – Remettez les lettres ci-dessous dans le bon ordre pour former des mots se trouvant dans l’article aux pages 10 à 12.
1. oulcsèlge
2. thirérae
3. gaoééninrt
4. uéqeuminr
5. ivsaeonr
6. yiaeundqm
7. ueprog
8. iémnasires
9. bgolsue
10. aipqreuhgs
Sudoku – Remplissez le casse-tête sudoku afin que chaque rangée, colonne et boîte de 3 cases par 3 cases contienne les chiffres de 1 à 9 une seule fois.
9 2
7 6
8
1
5
8 9
9
2
3
8
6 5
2 4
9
1 2
7
9 4
1 5 2
2 3
1 8
Source : 4puz.com
Encerclez les différences – Pouvez-vous trouver les cinq différences entre les images ci-dessous?
Vérifiez vos réponses à l’adresse www.investissementsrenaissance.ca/magazine/reponses
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De véritables besoins exigent de véritables résultats. À l’usage exclusif des conseillers. © 2016 Morningstar. Tous droits réservés. Les informations contenues dans le présent document : (1) sont exclusives à Morningstar ou aux fournisseurs de son contenu; (2) ne peuvent pas être copiées ou diffusées; (3) ne sont pas garanties exactes, complètes ou à jour. Ni Morningstar, ni les fournisseurs de son contenu ne peuvent être tenus responsables de pertes ou dommages découlant de l’utilisation de ces informations. Les rendements passés ne sont pas garants des résultats futurs. ¹La cote MorningstarTM correspond à la cote globale des parts de catégorie F au 31 décembre 2015 et peut varier d’un mois à l’autre. Morningstar a attribué à la catégorie F du Portefeuille optimal de revenu Renaissance une cote de 5 étoiles sur trois ans (sur 338 fonds évalués) et une cote de 5 étoiles sur cinq ans (sur 253 fonds évalués). Les cotes globales de 5 étoiles sont calculées en comparant les rendements d’un fonds sur 3 et 5 ans à ceux des bons du Trésor à 91 jours et à ceux d’autres titres comparables. La tranche supérieure de 10 % des fonds d’une catégorie obtient cinq étoiles. Pour en savoir plus, consultez le site www.morningstar.ca. 2RFG Annualisé au 31 août 2015. Pour en savoir plus, consultez le rapport annuel de la direction sur le rendement du fonds. ³Source : Morningstar Direct, au 31 décembre 2015. Les rendements corrigés du risque sont mesurés par le ratio de Sharpe du la parts catégorie F sur une période de 5 ans jusqu’au 31 décembre 2015, qui est ensuite comparé au ratio moyen de la catégorie des fonds équilibrés de titres à revenu fixe canadiens.(Fonds : 1,12, ratio moyen de la catégorie : 1,03). Les placements dans les fonds communs de placement peuvent faire l’objet de commissions, de commissions de suivi, de frais de gestion et d’autres charges. Les renseignements présentés sont exacts au moment de la première impression et peuvent changer sans préavis. Veuillez lire l’Aperçu des fonds ou le prospectus simplifié d’Investissements Renaissance avant d’investir. Les fonds communs ne sont pas garantis, leur valeur peut fluctuer souvent et le rendement passé peut ne pas se reproduire. MDInvestissements Renaissance est offert par, et est une marque déposée de Gestion d’actifs CIBC inc. 02001F(201602)