Le conseiller
Renaissance
PROFILS DE FONDS TRIMESTRIELS / GESTION DES PRATIQUES / PERSPECTIVES / OPINION
Rapport 2013 sur les infrastructures Une route stable devant soi ÉGALEMENT DANS CE NUMÉRO :
La communication en trois dimensions Prêt pour une randonnée?
T1 – 31 MARS 2013
POUR DÉFENDRE NOTRE EMPIRE, DRESSONS UNE PETITE BARRIÈRE.
LES VRAIS LEADERS ÉLABORENT DES PLANS SOLIDES : DÉCISIONS ACTUELLES À L’ÉGARD DU REVENU. TROUSSE D’OUTILS POUR LES DÉCISIONS RELATIVES AU REVENU
C’est une décision difficile à prendre, mais le moment est venu d’aller de l’avant. Nous avons atteint la croisé des chemins. Se réfugier derrière des actifs plus « sûrs » pour contrer les marchés volatils peut avoir fonctionné jusqu’ici, mais la faiblesse record des rendements s’avère maintenant une menace. Le temps est venu de planifier.
Renaissance est déterminé à en faire encore plus pour vous. Nous disposons d’outils pratiques, de solutions et d’un soutien hors pair qui facilitent la prise immédiate de décisions relatives au revenu. NOUVE$UX outils MIS À JOUR sur les décisions actuelles à l’égard du revenu maintenant disponibles. Visitez decisionderevenu.ca ou téléphonez au 1-888-888-3863
S O LU T I O N S A C T U E L L E S À L’ É GA R D D U R E V E N U Fonds de revenu à court terme Renaissance
Portefeuille optimal de revenu Renaissance
Fonds de revenu élevé Millénium Renaissance
Portefeuille optimal d’avantages sur l’inflation Renaissance (Atténuation de l’inflation)
VIIe siècle av. J.-C., La Chine a entrepris la construction de sa Grande Muraille.
Investissements Renaissance est offerts par et est une marque déposée de Gestion d’actifs CIBC inc. Les placements dans les fonds communs peuvent être assortis de commissions,de commissions de suivi, de frais de gestion et d’autres frais. Veuillez lire le prospectus simplifié de la famille des fonds d’Investissements Renaissance avant d’investir. MD
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Dans ce numéro
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INVESTISSEMENTS RENAISSANCE
Planification fiscale et successorale Américains résidant au Canada : les problèmes fiscaux s’accentuent
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Perspectives économiques Amérique du Nord : ralentissement
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À l’endos de la serviette La communication en trois dimensions
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Rapport 2013 sur les infrastructures
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Solution clé de placement Comment accéder à l’avantage des infrastructures maintenant
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Merci à ceux qui nous ont offert leur soutien La conception du portefeuille est essentielle
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Prêt pour une randonnée?
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Pour un cerveau en pleine forme
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Lettre du chef des ventes nationales
Cultivez l’optimisme du printemps Le printemps est enfin arrivé. À cette période de l’année, l’espoir revient au centre de notre vie privée et de nos aspirations professionnelles. Douceur des températures, gazon bien vert et bleu de l’eau... le monde nous semble meilleur, tout à coup. Le printemps est un cadeau du Ciel et nous en avons bien besoin. L’hiver n’en finit pas de finir (même si les statistiques montrent qu’il suit généralement le même schéma, d’année en année) et nous sommes prêts pour les vacances. L’arrivée du printemps nous incite à faire des projets, à organiser des réunions de famille et d’amis. Peu importe la phase que nous traversons dans notre vie professionnelle ou privée, l’avenir nous semble plus souriant à cette époque de l’année. On se sent bien. Si nous, conseillers, sommes dans un tel état d’esprit, croyez-vous qu’il en soit autrement pour nos clients? Absolument pas. Ils ressentent le même regain d’optimisme. La nature humaine est ainsi faite. Après la période des REER, celle des déclarations de revenus et celle de la planification pour la nouvelle année, c‘est peut-être le bon moment de planifier des événements avec nos clients et de leur parler de tout ce qui n’est pas lié à leurs finances. Vos clients sont à la recherche d’idées de voyage, d’un équipement de baseball pour leurs enfants, d’un collecteur de fonds pour un nouveau planchodrome ou d’un programme d’été pour les aînés? Proposez-leur votre aide. Cultivez leur optimisme en les rassurant sur leurs finances et laissez-les vous faire part de leur enthousiasme et de leurs projets personnels. Vos relations avec vos clients s’en trouveront renforcées et vous en apprendrez bien davantage sur l’aspect humain des personnes avec qui vous travaillez. Assurez-vous de prendre le temps nécessaire pour avoir des conversations personnelles avec tous vos clients, ce printemps. Vous pourriez même en faire autant avec vos équipes. Même si la capacité de convertir les revenus d’intérêts en gains en capital nous est retirée, le printemps et l’espoir qui l’accompagne reviennent chaque année. C’est garanti. Comme toujours, nous avons à cœur d’établir des relations d’affaires durables avec vous et de devenir votre partenaire de confiance. N’hésitez pas à m’appeler pour me faire part de vos commentaires ou de vos idées. Je vous souhaite un joyeux printemps!
Bien cordialement,
Dave Wahl Chef des ventes nationales Investissements Renaissance 416 943-6959
Américains résidant au Canada : les problèmes fiscaux s’accentuent PLANIFICATION FISCALE ET SUCCESSORALE
Pour les citoyens Américains qui vivent au Canada (on estime leur nombre à 1 million), la détention de parts de fonds communs de placement canadiens peut devenir un casse-tête fiscal. Les États-Unis sont le seul pays à exiger de ses citoyens qu’ils déclarent leurs revenus de source mondiale, peu importe leur pays de résidence et leurs autres nationalités. La plupart des autres pays, et c’est le cas du Canada, fondent leur système d’imposition sur le lieu de résidence. Le problème pour les déclarants américains est que la loi fiscale américaine considère les fonds communs de placement canadiens comme des sociétés de placement étrangères passives (Passive Foreign Investment Companies, PFIC). Par conséquent, ils sont régis par des règles fiscales draconiennes et des exigences de déclaration annuelle compliquées. Par exemple, en vertu des règles relatives aux PFIC, lorsqu’un investisseur cède des parts de fonds communs de placement canadiens ou tire certains types de distributions de ces fonds, il est assujetti, pour sa déclaration de revenus américaine, aux taux qui s’appliquent au revenu gagné et non au taux préférentiel applicable aux gains en capital. De plus, suivant le moment où les distributions sont versées (ou les titres sont cédés), des pénalités d’intérêt peuvent s’appliquer. Les règles relatives aux PFIC sont extrêmement complexes et nécessitent une procédure spéciale de déclaration des revenus, notamment l’utilisation de la formule 8621, intitulée Information Return by a Shareholder of a Passive Foreign Investment Company pour chaque PFIC détenue. La formule compte trois pages et six rubriques. Selon les instructions de la formule, le temps estimé pour se mettre en conformité avec les règles relatives aux PFIC dépasse 31 heures, soit 11 heures pour s’informer sur la loi ou la formule, 15 heures pour la tenue des dossiers et un peu plus de 20 heures pour remplir et envoyer la formule. Et nous parlons d’une seule PFIC. Il ne faut donc pas s’étonner de voir les spécialistes en déclaration de revenus déconseiller à leurs clients américains d’investir dans des fonds communs de placement canadiens étant donné qu’il leur sera difficile de récupérer les frais
qui leur seront facturés pour le temps passé à tenir les dossiers à jour et à remplir les formulaires requis par la législation américaine. Récemment, l’Institut des fonds d’investissement du Canada (IFIC), qui représente une large part du secteur des fonds de placement canadiens, a demandé au gouvernement américain d’exclure les fonds commun de placement canadiens des règles relatives aux PFIC. Il a présenté sa demande à deux comités du Congrès américain : le Financial Services Working Group Committee on Ways & Means et l’International Tax Reform Working Group. Dans sa demande, l’IFIC propose la négociation d’une solution administrative visant à exclure les fonds commun de placement canadiens des règles relatives aux PFIC par un échange de lettres d’entente entre l’Agence de revenu du Canada et l’Internal Revenue Service. Joanne De Laurentiis, présidente-directrice générale de l’IFIC, estime que le traitement aux fins de l’impôt des fonds communs de placement au Canada et aux États-Unis présente suffisamment de similarités pour justifier l’exclusion des fonds communs de placement canadiens des règles relatives aux PFIC. Jamie Golombek est directeur gestionnaire, Planification fiscale et successorale pour le groupe Gestion privée de patrimoine CIBC. Il collabore étroitement avec les conseillers pour les aider à offrir des solutions intégrées de planification financière aux clients à valeur nette élevée. M. Golombek est fréquemment présenté par les médias comme un spécialiste de la fiscalité. Twitter @JamieGolombek www.conseiller.ca/endirect Balado > Le budget fédéral vu par les planificateurs www.investissementsrenaissance.ca/fr/jamie_golombek/
INVESTISSEMENTS RENAISSANCE 3
Amérique du Nord : ralentissement PERSPECTIVES ÉCONOMIQUES
La principale préoccupation des marchés semble être la solidité de la reprise aux États-Unis. Même si la situation n’est pas aussi grave que le laissent croire certaines des données les plus médiatisées, il n’en reste pas moins que les marchés risquent pour un certain temps de devoir modérer leurs attentes concernant la croissance économique aux États-Unis. En effet, tous les indicateurs récents témoignent de façon régulière de cette faiblesse. Le secteur manufacturier a affiché un résultat inférieur aux prévisions, alors que la confiance des consommateurs a été un peu plus faible. Ajoutées à cela les données décevantes sur le marché de l’emploi et le portait dressé par ces informations est conforme à notre prévision que la croissance au deuxième trimestre sera inférieure aux solides résultats du premier trimestre.
Toutefois, il est inquiétant de constater que le commerce extérieur canadien pendant les deux premiers mois de l’année n’a pas profité de la vigueur relative de l’économie américaine au premier trimestre. Au contraire, le déficit commercial s’est creusé. Maintenant qu’elle ralentit, l’économie américaine ne peut qu’avoir un effet négatif sur les échanges commerciaux canadiens.
Il était manifeste que le rythme du premier trimestre ne se maintiendrait pas. La question est donc de savoir jusqu’à quel point le ralentissement actuel de l’activité aux États-Unis est temporaire. Il est en ce moment fort raisonnable de supposer une croissance économique inférieure à 2 % au cours des deux prochains trimestres. Sans être catastrophique, elle serait nettement inférieure à la croissance estimée de 3,4 % enregistrée au premier trimestre.
Du côté des consommateurs canadiens, étant donné le ralentissement du marché de l’emploi, le revenu disponible réel par habitant a diminué au cours des six derniers mois de 2012. Il n’est donc pas surprenant que les ventes au détail au Canada affichent une croissance négative. L’amélioration des ventes d’automobiles en janvier a bien contribué à stimuler l’activité, mais cette hausse pourrait être de courte durée, étant donné que les ventes d’automobiles sont déjà revenues à leurs niveaux d’avant la récession. Il est difficile de déterminer quel élément pourrait changer le cours des choses dans un avenir rapproché. Depuis le début de l’année, la croissance des salaires a été décevante, tout au plus, et un grand nombre d’observateurs s’attendent à voir flancher le marché de l’emploi, en raison principalement des pertes d’emplois dans le secteur public et la construction.
Au Canada, la situation commence à se clarifier. La perte de 54 500 emplois salariés observée au mois de mars n’était qu’une correction de la hausse inexpliquée de 50 700 emplois enregistrée au mois de février. Outre la volatilité d’un mois à l’autre, l’économie canadienne a créé mensuellement une moyenne de seulement 10 000 emplois au cours des six derniers mois.
La croissance anémique du revenu au Canada signifie aussi que le ratio dette/revenu, surveillé attentivement, continuera d’établir de nouveaux sommets records au cours des prochains trimestres. La croissance de la dette des ménages est actuellement plus lente que durant la récession de 2007 et, mis à part la période de quasi-récession de 1995-1996, elle n’a jamais été
Ralentissement de l’emploi au Canada
Stagnation des revenus – Revenu disponible réel des ménages par habitant
Source: Statistique Canada, CIBC.
4 INVESTISSEMENTS RENAISSANCE
Source: Statistique Canada, CIBC.
T4 2012
T3 2012
T2 2012
T1 2012
26 400 T1 2011
0,00 Mars 2013
26 800
Janv. 2013
0,40
Nov. 2012
27 200
Sept. 2012
0,80
Juill. 2012
27 600
Mai 2012
1,20
Mars 2012
28 000
Janv. 2012
1,60
($)
T4 2011
28 400
T3 2011
Variation sur 12 mois (%)
T2 2011
2,00
aussi faible depuis 30 ans en dehors des périodes de récession. Autrement dit, à moins qu’un choc majeur ne vienne ébranler le système, il n’est pas réaliste de croire que la croissance de la dette des ménages ralentira pour suivre la faible croissance du revenu. En ce moment, la hausse du ratio dette/revenu n’est pas imputable à la dette, mais au revenu. Qu’est-ce que cela signifie pour le marché? Malgré la forte sous-performance de l’indice S&P/TSX par rapport à l’indice S&P 500, bon nombre d’actions canadiennes ont affiché une belle tenue. Sur les 10 principaux secteurs du TSX, un secteur a inscrit un rendement comparable à celui de l’indice S&P 500 et trois autres l’ont joliment dépassé, à savoir la santé, les technologies de l’information et l’industrie. Le retard du TSX est attribuable aux secteurs qui, malheureusement, comptent parmi les poids lourds de l’indice. Pourquoi le TSX est-il à la traîne? – Appréciation depuis le début de l’année 15
%
TSX S&P 500
10 5 0 -5 -10 -15 Total
Énergie
Finance
Matériaux
Source: CIBC
Sans surprise, les ressources font partie du problème, dans un contexte où la croissance de l’économie mondiale tarde à prendre de la vitesse. Les services publics ont cédé un peu de terrain, mais ce sont les matériaux qui ont le plus souffert, en raison du piètre rendement d’exploitation du segment minier et des prix décevants des produits de base. Le secteur américain des matériaux a également accusé un retard par rapport à l’indice S&P 500, mais il est toujours en territoire positif. Les titres énergétiques canadiens, qui sont en avance sur l’année, ont été distancés par leurs homologues américains, en raison de l’inquiétude entourant la capacité des pipelines et de la concurrence de la production américaine, qui est en hausse.
L’autre divergence importante a été observée dans le secteur de la finance. Les titres bancaires américains profitent d’une reprise de l’habitation et de la consommation, ainsi que du sentiment que l’héritage de la crise financière est en train de s’estomper. De son côté, le secteur financier canadien commence à être intéressant du fait des dividendes versés, mais les investisseurs considèrent que la période faste de la demande intérieure de crédit est révolue et qu’il est voué à un ralentissement de la croissance des bénéfices. Qu’est-ce qui pourrait inverser la vapeur? La croissance mondiale. La surpondération de l’énergie et des matériaux industriels avantagerait le TSX si, comme nous le prévoyons, 2014 est marquée par une amélioration de la croissance aux États-Unis et en Asie et, au moins, par la fin de la récession en Europe. Pour ce qui est des prix des produits de base, les sociétés aurifères pourraient ne pas enregistrer une poussée similaire et devront prouver aux investisseurs qu’elles peuvent faire mieux en ce qui a trait à la maîtrise des coûts et à la réalisation des objectifs de production. Pour l’instant, étant donné la faiblesse des taux d’intérêt, les titres du TSX pourraient surpasser les titres à revenu fixe. L’actualité économique de 2013 étant toujours assez calme, les investisseurs compteront davantage sur les dividendes que sur les gains en capital à court terme. Mais vers la fin de l’année, lorsque les yeux seront tournés vers l’amélioration des perspectives de croissance mondiale en 2014, la situation pourrait s’inverser et le marché de Toronto pourrait enregistrer une amélioration plus rapide que New York et prendre la tête. Benjamin Tal est économiste en chef adjoint à la Banque CIBC. Désigné comme l’un des principaux experts canadiens du marché immobilier par le Fonds monétaire international, il est responsable de l’analyse de l’actualité économique et de ses répercussions sur les marchés nord-américains des titres à revenu fixe, des actions, des changes et des produits de base. www.conseiller.ca/endirect Balado > Une année de transition pour le Canada www.investissementsrenaissance.ca/fr/
INVESTISSEMENTS RENAISSANCE 5
La communication en trois dimensions À L’ENDOS DE LA SERVIETTE
La communication avec les clients actuels et éventuels est la clé du succès des activités de services-conseils. Mais nous nous limitons parfois aux modes de communication que nous préférons si bien que nous risquons de passer à côté d’occasions très prometteuses. Réfléchissez-y un instant… Notre expérience du monde passe par nos cinq sens. Tout ce que nous savons, apprenons et ressentons est le résultat de l’information transmise par un ou plusieurs de nos sens. Pour voir, entendre, ressentir, sentir ou goûter, nous utilisons les canaux sensoriels suivants : Visuel (vue), Auditif (ouïe), Kinesthésique (toucher)… et dans une moindre mesure… Olfactif (odorat), Gustatif (goût).
O G
V
Canaux sensoriels
L’odorat et le goût peuvent contribuer considérablement à notre expérience dans certaines circonstances, mais ce sont surtout les trois premiers canaux, appelés par leur acronyme VAK, qui dominent et influent sur notre expérience de la vie. Aussi appelés « systèmes de représentation », les canaux VAK(OG) sont les mécanismes qui transmettent l’information du monde extérieur à notre cerveau. En fait, les êtres humains tentent tout simplement de décoder 6 INVESTISSEMENTS RENAISSANCE
Comment notre compréhension de ce concept de base peut-elle nous aider à communiquer avec les investisseurs? La réalité est que nous sommes tous différents et que nous assimilons et traitons l’information de manière différente. Certaines personnes sont des apprenants « visuels », alors que d’autres sont « auditifs » ou encore apprennent en « agissant » ou de façon « kinesthésique ». Sans étude scientifique contrôlée, il est difficile de démontrer la répartition de la population entre les trois styles d’apprentissage. Mais le simple fait de savoir qu’ils existent peut nous être très utile. Sur le plan fonctionnel, l’apprenant visuel réagit mieux lorsqu’on lui présente des images, des tableaux, des graphiques et d’autres éléments visuels. En revanche, l’apprenant auditif aura moins besoin de graphiques, mais sera captivé par une description verbale ou une explication. L’apprenant kinesthésique pour sa part cherchera à comprendre un concept par le ressenti physique ou émotionnel.
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l’information qu’ils perçoivent en interprétant rapidement les données et en attribuant une signification personnelle à chaque expérience. Naturellement, la signification que nous donnons à un événement dépend largement de nos valeurs et de nos croyances, mais elle est aussi fortement influencée par les expériences semblables que nous avons eues dans le passé.
Vous est-il déjà arrivé à la fin d’une rencontre avec un client actuel ou éventuel de vous demander ce qui n’avait pas marché? Peut-être avez-vous eu l’impression d’avoir réussi à livrer un message percutant, mais échoué à vous faire bien comprendre de votre interlocuteur. Peut-être même avez-vous eu l’impression de parler une langue étrangère. C’était peut-être le cas, du moins pour votre interlocuteur dont le mode d’apprentissage est différent. Imaginez ce qui se passe lorsque nous présentons une recommandation uniquement sous forme verbale (auditive) à un client visuel. Même si nous prenons soin d’utiliser des anecdotes descriptives et de choisir des mots poétiques, le client visuel tentera désespérément de se former des « images » à partir de ce que nous disons. Je ne sous-entends pas que les discussions avec les clients sont vouées à l’échec si les styles d’apprentissage sont différents, mais je crois que nous pouvons prendre des mesures importantes pour créer et livrer des messages de la manière la plus imaginative possible.
Connaître le système de représentation privilégié du client à l’avance serait très utile et permettrait d’adapter nos messages en conséquence. Dans la pratique, toutefois, nous avons rarement l’occasion de dresser le profil de nos clients à l’avance. Quelle est la solution?
Autrement dit, vos descriptions verbales doivent pouvoir être utilisées seules, avec ou sans les éléments visuels. N’oubliez pas que le client auditif sera également attentif au volume, au timbre et au ton de votre voix; votre débit sera donc crucial.
Apprendre à communiquer en trois dimensions
Songez enfin à ajouter un élément kinesthésique à votre message, comme une démonstration interactive sur votre ordinateur, des documents à remettre au client ou une question à poser au client sur ce qu’il pense de l’idée que vous venez de lui soumettre.
En suivant le processus étape par étape décrit ci-dessous, vous serez en mesure de créer des messages qui susciteront l’intérêt de TOUS vos interlocuteurs, quel que soit le style d’apprentissage qu’ils privilégient. Première étape : Déterminez votre style d’apprentissage dominant
En résumé
Il est possible qu’à ce stade-ci vous connaissiez déjà votre principal style d’apprentissage. Si ce n’est pas le cas, demandez-vous si vous apprenez mieux de manière visuelle, auditive ou kinesthésique. Pensez à la façon dont vous appreniez à l’école, dont vous préférez vous divertir ou retenez le mieux l’information. Il se peut qu’un canal sensoriel domine tous les autres ou que vous trouviez un certain équilibre entre plusieurs canaux. Quoi qu’il en soit, tenez compte de votre découverte.
En comprenant et en respectant nos différents styles d’apprentissage, nous pouvons voir notre modèle de communication avec un œil neuf. Et en modifiant tout simplement notre stratégie de communication, nous pouvons commencer à créer une expérience plus riche et plus stimulante pour nos clients actuels et éventuels.
Deuxième étape : Déterminez de quelle façon votre préférence peut nuire à votre efficacité Maintenant que vous connaissez votre système de représentation privilégié, demandez-vous comment cette préférence peut influer sur la façon dont vous communiquez avec vos clients actuels et éventuels. Si vous êtes plutôt auditif, avez-vous tendance à parler beaucoup lors de vos rencontres, mais à présenter peu d’éléments visuels? Si, en revanche, vous êtes visuel, essayez-vous de communiquer vos idées au moyen de feuilles de calcul et de tableaux et en donnant peu d’explications? Ou peut-être préférez-vous raconter des histoires émouvantes ou faire des démonstrations pratiques pour communiquer vos idées de façon kinesthésique, tout en négligeant d’autres moyens importants. Quel que soit votre style, nous savons maintenant qu’un pourcentage de vos clients n’est pas en mesure de comprendre, de retenir ou de se rappeler l’information de la manière la plus optimale… pour eux. Troisième étape : Élaborez et livrez tous vos messages en trois dimensions! (VAK) Vous avez une chance inestimable de créer des messages riches en trois dimensions auxquels vos clients pourront s’adapter en fonction de la dimension qui leur convient le mieux. Voici une façon simple de considérer ce processus… Votre objectif ultime est d’utiliser tous les canaux VAK afin de montrer, de dire et de faire participer. Au moment de choisir le contenu des messages destinés aux investisseurs, déterminez et intégrez d’abord divers moyens visuels, graphiques, images, diagrammes et tableaux qui retiendront l’attention. Chaque élément choisi doit raconter une histoire fascinante et convaincante sans nécessiter beaucoup d’explications. Rédigez ensuite le texte qui expliquera, décrira et développera les éléments visuels. La clé est de décrire les graphiques d’une manière efficace, comme si vous n’aviez pas l’intention de les montrer pendant la rencontre.
VISUEL
AUDITIF
KINESTHÉSIQUE
Diapositives
Descriptions verbales
Objets
Tableaux
Explications
Démonstration
Graphiques
Histoires
Formation pratique
Feuilles de calcul
Métaphores
Séance interactive
Images
Leçons de vie
Jeu de rôles
Dessins
CD audio
Construction
Vidéos
MP3
Axé sur les émotions
Communiquez avec votre représentant Renaissance pour accéder aux outils VAK sur les « décisions actuelles à l’égard du revenu » et d’autres sujets
Grant Shorten est directeur, Analyses stratégiques à Investissements Renaissance. Il donne une foule de conseils et de stratégies qui seront efficaces auprès de vos clients et qui auront une incidence immédiate sur vos activités. www.conseiller.ca/endirect Balado > Une inspection multipoint pour votre pratique de conseiller www.investissementsrenaissance.ca/fr/
INVESTISSEMENTS RENAISSANCE 7
RAPPORT 2013 SUR LES
INFRASTRUCTURES
Revenu continu, bonne diversification, croissance stable et avantage dans un contexte inflationniste. Les infrastructures mondiales conviennent tout particulièrement aux investisseurs à long terme d’aujourd’hui.
8 INVESTISSEMENTS RENAISSANCE
MONDIALES Découvrez pourquoi l’occasion offerte actuellement par les infrastructures s’applique aussi bien aux tours de télécommunication nécessaires pour satisfaire notre appétit insatiable pour les communications mobiles qu’aux services publics essentiels.
Malgré les hauts et les bas des marchés et des économies, les investisseurs jouiront d’un avantage en ajoutant une composante d’infrastructures mondiales à leur portefeuille. Les infrastructures, qui représentent environ 6 % du Régime de pensions du Canada, sont une catégorie d’actif qui a une faible corrélation avec l’indice de référence canadien S&P/TSX 500 et d’autres éléments de base des portefeuilles des Canadiens. Pour connaître les facteurs qui favoriseront la croissance de cette catégorie d’actif unique en 2013 et dans les années à venir, nous nous sommes entretenus avec Nick Langley, directeur et gestionnaire principal de portefeuille à RARE Infrastructure. RARE, dont le siège social est situé à Sydney en Australie, est une société mondiale axée uniquement sur les infrastructures cotées en bourse, qui figure parmi les plus prospères au monde.
Une voie mondiale pour les investisseurs prudents À cause de leur aversion pour le risque, bon nombre de Canadiens hésitent à investir à l’extérieur du pays. Les infrastructures leur offrent donc une excellente occasion d’investir à l’échelle mondiale dans une catégorie d’actif moins volatile, selon M. Langley. « Elles procurent une meilleure protection du capital lorsque les marchés sont en baisse et une part raisonnable des gains lorsque les marchés sont en hausse. » Étant donné les distributions de revenu prévisibles et la protection naturelle contre l’inflation qu’offrent les sociétés d’infrastructures, RARE vise à obtenir des rendements stables à long terme. « Les rendements dans l’ensemble sont intéressants par rapport aux indices boursiers mondiaux et aux actifs comparables », ajoute-t-il.
LES 3 PRINCIPALES RÉGIONS FAVORABLES
LES 3 PRINCIPAUX SECTEURS FAVORABLES
À LA CROISSANCE DES INFRASTRUCTURES SELON RARE
À LA CROISSANCE DES INFRASTRUCTURES SELON RARE
Amérique du Nord Cette région peut passer rapidement de la récession à la croissance grâce à l’aide soutenue de la Réserve fédérale américaine.
Secteur ferroviaire aux États-Unis Secteur exposé et sensible à la croissance du PIB aux États-Unis, car les sociétés ferroviaires acheminent les marchandises dans tous les secteurs d’activité du pays.
Asie (sauf la Chine et le Japon) Étant donné la forte croissance de la population et du revenu ainsi que la stabilité des gouvernements, cette région recueille les liquidités générées dans les marchés développés. Amérique centrale et Amérique du Sud Même commentaire que pour l’Asie, sauf que le processus est plus long dans cette région, car certains pays, comme le Brésil, manipulent la réglementation afin d’accaparer une plus grande part de la richesse.
Tours de télécommunication aux États-Unis Secteur exposé indirectement à la croissance des abonnements aux téléphones intelligents et des téléchargements de données sans fil. Installations portuaires à l’échelle mondiale Secteur en voie de profiter de l’intensification du commerce mondial et intrarégional, en particulier les ports desservant les marchés émergents.
INVESTISSEMENTS RENAISSANCE 9
Tours de télécommunication aux États-Unis – infrastructure technologique Selon M. Langley, les tours de télécommunication aux États-Unis, que l’on n’associe pas généralement au secteur des infrastructures, présentent plusieurs caractéristiques qui rendent leur espace particulièrement intéressant en ce moment. « Les consommateurs ont indiqué que les téléphones intelligents et les tablettes électroniques seront leurs appareils de choix dans l’avenir. La fonctionnalité accrue de ces appareils nécessite une couverture sans fil et une largeur de bande plus importantes. Les entreprises américaines de télécommunications sans fil doivent maintenant améliorer leurs réseaux, ce qui nécessite l’installation de nouveaux équipements sur les sites des exploitants de tours. Elles sont en train de déployer des réseaux de quatrième génération (4G), aussi appelée Long-Term Evolution, ce qui se traduit par une hausse des revenus pour les exploitants de tours qui font payer les fournisseurs de services sans fil en fonction de la taille et du poids de l’équipement qu’ils fixent sur la tour. »
« L’ensemble du marché n’a pas encore découvert les occasions offertes par les tours en ce qui a trait à la technologie. » Nick Langley, directeur et gestionnaire principal de portefeuille, RARE Infrastructure
« Les possibilités d’ériger de nouvelles tours sont très limitées, de sorte que les sites actuels sont recherchés et leurs exploitants jouissent presque d’un monopole. Le déploiement des réseaux 4G prendra un certain temps et RARE y voit un avantage puisque l’ensemble du marché n’a pas encore découvert les occasions offertes par les tours en ce qui a trait à la technologie. De plus, un certain nombre d’exploitants de tours sont aussi en train de se convertir en fiducies de placement immobilier afin de pouvoir éliminer l’impôt des sociétés et accroître leurs rendements en dividendes puisqu’ils seront alors tenus de distribuer 90 % de leur revenu imposable aux investisseurs. » Une protection naturelle contre l’inflation Les infrastructures constituent un placement pratique en périodes de hausse des prix, puisque les tarifs des services publics, les péages ou les coûts des projets augmentent avec l’inflation. Selon M. Langley, la plupart des placements du portefeuille de RARE sont directement ou indirectement liés à l’inflation. « Au Royaume-Uni, en Australie et en Amérique du Sud (qui représentent 21 % du portefeuille actuellement), les tarifs des services publics sont rajustés en fonction de l’inflation chaque année et, de plus, leurs actifs font l’objet d’un rajustement pour que leurs rendements soient protégés contre une hausse de l’inflation. Bon nombre d’exploitants d’autoroutes à péage détenus par RARE (10 %) voient les péages rajustés chaque trimestre ou une fois l’an pour tenir compte de l’inflation. Prenons l’exemple de Transurban, un constructeur international d’autoroutes à péage. 10 INVESTISSEMENTS RENAISSANCE
Son principal actif en Australie est rajusté chaque trimestre en fonction du taux le plus élevé entre le taux d’inflation et 1 % (ce qui signifie une majoration des tarifs d’au moins 4 % par année). « En Amérique du Nord (20 % du portefeuille), les services publics sont liés indirectement à l’inflation, puisque les organismes de réglementation publics déterminent le rendement nominal cible des capitaux propres (investis dans les actifs). Par conséquent, lorsque l’inflation augmente, le rendement cible des capitaux propres augmente aussi. Nous disons qu’ils sont liés indirectement parce que le rajustement accordé par l’organisme de réglementation se fait de façon ponctuelle et qu’il peut prendre un an ou même plus, de sorte que l’entreprise offre une protection décalée contre l’inflation. « Les rendements de plus de la moitié des placements en portefeuille sont donc plus ou moins liés à l’inflation au fil du temps. Parmi les autres sociétés en portefeuille, 23 % (aéroports, communication par satellite et certaines sociétés ferroviaires) voient une partie de leurs actifs rajustés en fonction de l’inflation chaque année et pour le restant, soit 19 % (surtout les ports ainsi que les sociétés ferroviaires et les tours de télécommunication aux ÉtatsUnis), les tarifs sont négociés et rajustés en fonction soit de l’inflation, soit d’un rendement cible nominal, avec le temps. » Protection contre la hausse des taux d’intérêt Selon M. Langley, RARE considère l’exposition aux taux d’intérêt en termes de taux réels majorés de l’inflation. « Les services publics représentent généralement la partie du portefeuille qui est protégée contre les taux réels. Cette protection s’explique par le fait que leurs rendements cibles sont rajustés régulièrement (entre quatre et huit fois par année au Royaume-Uni, en Australie et au Brésil) ou de manière ponctuelle (États-Unis). « Le portefeuille est exposé à l’effet que les taux réels ont sur un certain nombre de titres de sociétés d’infrastructures (autoroutes à péage, aéroports, ports, sociétés ferroviaires et autres sociétés sensibles au PIB) qui ne disposent pas de mécanismes de compensation des taux d’intérêt dans leurs accords de concession. Si les taux réels augmentent par suite de la reprise de l’économie mondiale, ces entreprises peuvent profiter de leur sensibilité à la croissance du PIB. Soulignons que bon nombre de ces entreprises offrent une protection contre l’inflation.
« Les sociétés détenues dans le portefeuille de RARE n’ont pas réduit leurs dividendes depuis qu’elles y figurent. » Nick Langley, directeur et gestionnaire principal de portefeuille, RARE Infrastructure
« Par conséquent, si l’augmentation des taux d’intérêt résulte d’une hausse de l’inflation, le portefeuille sera en grande partie protégé. Si la hausse fait suite à des variations des taux réels, environ la moitié du portefeuille profitera de la croissance du PIB mondial. »
Revenu stable Selon M. Langley, le portefeuille de RARE produit habituellement un rendement de 3 % à 6 % tout au long du cycle économique. « Au début du cycle, lorsque l’économie sort de la récession (comme c’est le cas actuellement), le rendement en dividendes est habituellement à son plus bas, parce que le portefeuille privilégie les sociétés d’infrastructures dont la composante de croissance du capital est plus élevée par rapport à leur rendement total. Ces sociétés affichent aussi la plus forte croissance des dividendes lorsque les bénéfices se redressent après la récession.
et celles-ci sont évaluées en fonction de la stabilité de leurs dividendes et de leur potentiel de croissance », souligne M. Langley. Les infrastructures sont un complément aux décisions actuelles à l’égard du revenu Dans le contexte actuel des faibles rendements, il serait sage pour les investisseurs qui recherchent un revenu additionnel et une croissance stable d’intégrer une composante étrangère à leur portefeuille s’ils veulent atteindre leurs objectifs de placement.
« Les sociétés détenues dans le portefeuille de RARE n’ont pas réduit leurs dividendes depuis qu’elles y figurent. Le revenu est un élément crucial des rendements à long terme que RARE attend des sociétés d’infrastructures
Vidéo > Infrastructures mondiales : Une route stable devant soi
Meilleure diversification qu’avec les actions mondiales Corrélation avec l’indice composé S&P/TSX
Balado > Misez sur la croissance, et surtout pas sur l’Europe
Un placement mondial moins volatil Écart-type sur 5 ans (au 31 mars 2013) 14
1,0 Fonds d’infrastructure mondial Renaissance MSCI mondial
0,9
13
Fonds d’infrastructure mondial Renaissance Indice MSCI mondial
0,8
Corrélation
0,7 0,6
Une faible corrélation signifie de meilleures propriétés de diversification
0,5
12 11 10
0,4
9
0,3 8 0,2 7
0,1 0
6
Source: Bloomberg, Gestion d'actifs CIBC
Source: Bloomberg, Gestion d'actifs CIBC
Vous trouverez à la page suivante des solutions Renaissance qui donnent à vos clients un accès aux infrastructures mondiales.
Consultez votre exemplaire dans ce numéro
Utilisez la nouvelle affiche Décision actuelle à l'égard du revenu pour briser la glace. Montrez aux clients pourquoi le moment est venu d’examiner des sources de revenu autres que traditionnelles pour obtenir le rendement additionnel dont ils ont besoin.
INVESTISSEMENTS RENAISSANCE 11
Comment accéder à l’avantage des infrastructures maintenant SOLUTION CLÉ DE PLACEMENT
ÉTAPE NO 1 Choisissez de réduire le risque du portefeuille et d’accroître les rendements en ajoutant des infrastructures.
Rendement total sur 3 ans
5,9 % 5,7 % 30 % infrastructures/70 % indice composé S&P/TSX 5,5 % 20 % infrastructures/80 % indice composé S&P/TSX
5,3 %
Plus de rendement
5,1 %
Moins de risque
4,9 %
100 % indice composé S&P/TSX
4,7 % 4,5 % 9,5 %
10,0 %
10,5 %
Source : Morningstar Direct au 31 décembre 2012.
ÉTAPE NO 2 Sélectionnez l’une des deux excellentes solutions suivantes.
Accès diversifié : Portefeuille optimal de revenu Renaissance
11,0 %
Quartile1
12,0 %
12,5 %
13,0 %
Cote Morningstar
1 an
2 ans
3 ans
5 ans
Depuis la création2
★★★★
8,2 %
6,0 %
7,4 %
4,7 %
4,3 %
1
1
1
1
s.o.
4,2 %
3,3 %
1
s.o.
Quartile1 Infrastructures seulement : Fonds d’infrastructure mondial Renaissance
11,5 %
Écart-type sur 3 ans
★★★★★
18,2 % 10,2 % 11,1 % 1
1
1
Rendement au 31 mars 2013. Source : Morningstar Direct.
ÉTAPE N 3 O
Faites confiance aux experts.
Z
• Intérêt unique pour les sociétés d’infrastructure mondiales cotées en bourse (il s’agit d’un spécialiste des infrastructures qui gère des fonds, et non d’un gestionnaire de fonds qui gère des infrastructures) • Plus de 70 années d’expérience collective dans le secteur des infrastructures • Cherche à reproduire le profil risque/rendement des infrastructures non cotées • Rajustement du portefeuille en vue de la prochaine phase du cycle économique grâce à une gestion active
Si vous souhaitez un complément d’information sur comment faire profiter de ces solutions à vos clients, communiquez avec votre représentant d’Investissements Renaissance.
1 Source : Morningstar, pour la période mentionnée se terminant le 31 mars 2013 pour les parts de catégorie A des Fonds. © 2013 Morningstar Research Inc. Tous droits réservés. Les renseignements contenus dans les présentes 1) sont la propriété de Morningstar et/ou de ses fournisseurs de contenu, 2) ne peuvent être ni copiés ni diffusés et 3) leur exactitude, leur exhaustivité et leur fiabilité ne peuvent être garanties. Morningstar et ses fournisseurs de contenu ne peuvent être tenus responsables de toute perte ou de tout préjudice résultant de l’utilisation de ces renseignements. Les rendements passés ne sont pas garants des rendements futurs. Les rangs quartiles sont déterminés par Morningstar Research Inc., une société de recherche indépendante. Les rangs quartiles permettent de comparer le rendement d’un fonds à ceux d’autres fonds, dans une catégorie donnée; ils sont susceptibles de varier chaque mois. 2 Portefeuille optimal de revenu Renaissance créé le 13 novembre 2007. Fonds d’infrastructure mondial Renaissance créé le 20 octobre 2010.
Les placements dans les fonds communs de placement peuvent faire l’objet de commissions, de commissions de suivi, de frais de gestion et d’autres charges. Veuillez lire le prospectus simplifié de la famille des fonds d’Investissements Renaissance avant d’investir. Les fonds communs de placement ne sont pas garantis, leur valeur varie fréquemment et leur rendement passé n’est pas indicatif de leur rendement futur.
12 INVESTISSEMENTS RENAISSANCE
La conception du portefeuille est essentielle MERCI À CEUX QUI NOUS ONT OFFERT LEUR SOUTIEN
Sans le soutien de conseillers comme vous, Investissements Renaissance n’aurait pas le privilège d’aider tant de Canadiens à atteindre leurs objectifs financiers. Nous vous présentons un des spécialistes exceptionnels avec qui nous sommes très fiers de travailler. Ce que j’aime de notre secteur Le secteur des placements de la clientèle privée me fascine toujours même après toutes ces années, et ce, pour deux raisons. Mon travail me permet d’apporter un soutien à des gens intéressants qui ont des objectifs de vie différents. La situation de chaque client est différente et comporte des défis et des possibilités qui doivent faire l’objet de recherches et ensuite être présentés de façon claire au client. De plus, le contexte de placement évolue sans cesse. Certaines solutions autrefois jugées prudentes ne sont plus de mise aujourd’hui, et il y a toujours de nouveaux produits et services à découvrir. On ne s’ennuie jamais! Que faites-vous pour aider les clients en cette période de faibles rendements? Les faibles rendements sont certainement un problème en ce moment. Les portefeuilles d’obligations à échéances échelonnées et les portefeuilles d’obligations d’État, qui étaient les solutions traditionnelles, ne conviennent plus à de nombreux clients. Dans pareille situation, trois possibilités s’offrent aux clients. Augmenter le capital en épargnant davantage ou travailler plus longtemps. Ou encore, accroître les actifs « risqués » dans le portefeuille de placements. Le revenu de dividendes provenant des actions peut être plus élevé que les rendements des obligations. Ce n’était pas le cas dans le passé, mais un portefeuille d’actions bien conçu peut produire actuellement un niveau de liquidités supérieur à celui d’un portefeuille de titres à revenu fixe. Cependant, le risque doit toujours faire l’objet de discussions et être bien compris. La conception du portefeuille est donc cruciale et la diversification ne consiste pas uniquement à détenir plus de titres, mais à détenir des titres non corrélés et de qualité appropriée. On parle beaucoup de « grande rotation ». Avez-vous l’intention d’accroître la composante d’actions? Ajouter des actions aux portefeuilles des clients présente un risque qu’il faut analyser avec soin et présenter clairement. J’utilise un processus ascendant de conception de portefeuille qui consiste à faire concorder les besoins de liquidités des clients avec le revenu de placement. Compte tenu des faibles rendements des titres à revenu fixe, les portefeuilles des clients accordent
déjà une plus grande place aux actions et j’ai déjà accru la composante d’actions dans mes portefeuilles équilibrés. Pour faire un tel changement, il faut apporter une attention particulière à la sélection des actions afin de maintenir le risque global à un niveau approprié pour les clients. Quel est votre avis sur l’ajout des infrastructures comme catégorie d’actif dans les portefeuilles de vos clients? Étant donné que la composante d’actions a augmenté, les infrastructures sont devenues un placement clé dans les portefeuilles des clients pour deux raisons : le revenu stable et la faible corrélation avec les autres catégories d’actif. Les recherches et la sélection des titres sont toutes aussi cruciales pour cette catégorie d’actif que pour les autres. Examiner les rendements boursiers et les données sur la corrélation n’est indiqué que s’ils peuvent être reproduits. Il est important de trouver un fonds où les placements en infrastructures sont des actifs forts ainsi que des titres négociables afin de construire un portefeuille vraiment diversifié à faible risque. Meilleur conseil pour acquérir de nouveaux clients Travaillez avec les centres d’influence à chaque occasion, à commencer par vos clients. Passe-temps préférés La voile et la musique Un objet dont je ne peux pas me passer Mon téléphone cellulaire – comment faisions-nous pour survivre avant?
Ann E. Martin, CFA Société : Conseils de placement privés, Gestion de patrimoine TD Nombre d’années dans le secteur : 26 Nombre de personnes dans l’équipe : 2
INVESTISSEMENTS RENAISSANCE 13
Que ce soit sur les routes de campagne ou les pistes cyclables de la ville, le cyclisme au Canada montre partout des signes de popularitÊ grandissante. Il n’y a aucune raison de ne pas prendre part au plaisir de rouler ce printemps.
14 INVESTISSEMENTS RENAISSANCE
Selon Cyclisme Canada, le nombre de cyclistes certifiés au pays augmente d’environ 10 % par année. D’ailleurs, en 2012, le Globe and Mail titrait un article : « Cyclisme : le nouveau golf » (Cycling is the new golf). Perspective d’un cycliste…
De nombreux facteurs augmentent la popularité du cyclisme : les babyboomers en quête d’une activité à plus faible impact que la course, une visibilité accrue du sport dans les médias (l’an dernier, Ryder Hesjedal de la Colombie-Britannique a remporté le Giro d’Italia), une forte augmentation des activités de bienfaisance liées au cyclisme et la pratique du vélo qui devient une option plus viable pour les navetteurs (pistes cyclables, meilleur équipement, prix de l’essence). Vous n’avez pas enfourché un vélo depuis votre tendre enfance? C’est le moment idéal de vous remettre en selle. Vous aurez d’abord besoin d’un vélo, et faire un choix soulèvera plusieurs questions : • Combien cela coûtera-t-il? D’un vélo usagé déniché sur eBay pour moins de 100 $ à un vélo de route de grande qualité pour plus de 2 500 $, vous avez amplement le choix. • Quelle utilisation vais-je faire de mon vélo? Que vous envisagiez de participer à des courses, de sillonner des sentiers ou de rouler pour vous rendre au travail, vous aurez très certainement votre mot à dire dans le choix du vélo qui vous convient. • De quels accessoires ai-je besoin? Casques, gants, lunettes, vêtements, lumières, cyclomètres : les choix d’accessoires branchés pour vélo ne manquent pas. Peu importe les besoins, tout le monde y trouve son compte. Pour déterminer les accessoires qui vous conviennent, adressez-vous au personnel d’une boutique de vélo réputée. Souvenez-vous du moment où vous avez acheté votre voiture de rêve. Vous avez pris le temps de choisir celle qui comblait tous vos besoins. Il en va de même pour un vélo. Idéalement, choisissez un cadre en fonction de la longueur de vos jambes. Et n’oubliez pas de mettre le vélo à l’essai à quelques reprises.
Admirables accessoires Le site Web blessthisstuff.com a publié sa liste des neuf meilleurs accessoires de vélo de 2012. On y trouve notamment : • Un porte-bouteille de vin en cuir qui se fixe au cadre du vélo. • Un amplificateur de son iPhone pour vélo, qui vous permet d’écouter vos listes de lecture lors de vos déplacements. • Une valise-remorque qui permet de transporter vos effets professionnels et vos sacs d’épicerie. • Une lumière sans interrupteur qui détecte vos mouvements et s’allume automatiquement quand il fait suffisamment sombre. www.blessthisstuff.com
Pour obtenir quelques conseils pratiques, nous nous sommes entretenus avec Ed Veal, cycliste de route de catégorie 1 et champion en titre de la Coupe de l’Ontario. Ed est entraîneur et propriétaire de Real Deal Racing (www.realdealracing.ca). Quelle condition physique doit-on avoir pour se mettre au cyclisme? « Aucune condition physique particulière n’est nécessaire. N’attendez pas d’avoir atteint votre forme physique idéale avant de commencer à prendre plaisir à faire du vélo. En fait, plus tôt vous commencerez, plus vite vous atteindrez rapidement la condition physique idéale pour rouler. Transpirer et être un peu à bout de souffle peut être plutôt agréable si ce genre de sensation ne vous fait pas peur. » Quelles sont certaines des choses à faire et à ne pas faire en matière de cyclisme? « Certaines personnes mettent trop l’accent sur l’entraînement. N’oubliez pas de profiter du temps que vous passez dehors et du paysage que vous ne seriez pas en mesure d’admirer si vous étiez en voiture. Déviez de vos trajets habituels et ayez le sens de l’aventure. La pratique du vélo peut être vraiment très agréable, et la vitesse et la mise en forme peuvent parfois faire ombrage à ce plaisir. Encore aujourd’hui, je roule pour m’amuser, que ce soit en sautant une bordure de trottoir, en passant dans une flaque d’eau ou en conduisant en zigzaguant (quand je peux le faire sans danger). » Quels conseils donneriez-vous à quelqu’un qui souhaite participer à des courses? « Je lui conseillerais d’abord de s’habituer à rouler en groupe. Je lui dirais ensuite de demander la collaboration d’un ami en qui elle a confiance pour s’exercer à rouler près de quelqu’un et pour pratiquer l’effet d’aspiration [technique de cyclisme avancée qui consiste à se placer en ligne droite à quelques pouces seulement d’un autre cycliste de manière à réduire le facteur éolien]. Lorsqu’on maîtrise la technique, on peut demander à un troisième et à un quatrième cyclistes de se joindre au groupe. Je lui suggérerais de commencer à sillonner les routes de campagne pour prendre de l’expérience avant de s’aventurer sur l’autoroute. Le cyclisme en groupe exige de nombreuses compétences, qui ne s’acquièrent pas du jour au lendemain. Avant de participer à une activité de ce genre, il faut s’exercer à la prise de virage, à la tenue du vélo et au cyclisme avec d’autres. » Quels sont certains des avantages de faire partie d’un groupe de cyclistes? « Il y en a trop pour tous les nommer. De nos jours, il existe des clubs incroyables qui proposent de nombreuses randonnées et activités tout au long de l’année. Comme le cyclisme est un sport très social, la rencontre d’autres personnes qui ont la même passion que moi constituerait la principale raison pour laquelle je me joindrais à un club. » Quelles activités de cyclisme peuvent plaire à toute la famille? « N’importe quelle série d’épreuves de vélo de montagne conviendrait parfaitement. Il s’agit d’une activité de huit heures durant laquelle vous pouvez établir un campement, rouler autant que vous le voulez et profiter de promenades en plein air sur le site. Voilà qui pourrait s’avérer l’activité de cyclisme par excellence pour toute la famille. » De façon générale, l’âge et la condition physique n’ont aucune importance; le cyclisme est une activité que tous peuvent aimer pratiquer. Vous pourriez même envisager de joindre ou de former un groupe de cyclistes dans votre collectivité. Vous souhaitez prendre la bonne direction? Il existe de nombreuses ressources sur le cyclisme, et en voici quelques-unes qui vous aideront à entreprendre votre parcours dès aujourd’hui : www.canbike.net, www.cyclismecanada.ca et www.tourducanada.com. À vos pédales! INVESTISSEMENTS RENAISSANCE 15
Pour un cerveau en pleine forme Lettres mélangées – Remettez les lettres ci-dessous dans le bon ordre pour former des mots se trouvant dans l’article aux pages 8 à 11.
1. rtsou
Sudoku – Remplissez le casse-tête sudoku afin que chaque rangée, colonne et boîte de 3 cases par 3 cases contienne les chiffres de 1 à 9 une seule fois.
3
2. jarsuéts 3. sritaf
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4. ucimctomnliétaoné 5. nadbe
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6. ncrooittep
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7. veisrsec
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8. séurtel
5
9. énsecrsio 10. téstbaili
9
2 1
7
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4
1
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7 Source : 4puz.com
Encerclez les différences – Pouvez-vous trouver les cinq différences entre les images ci-dessous?
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16 INVESTISSEMENTS RENAISSANCE
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