Le conseiller PROFILS DE FONDS TRIMESTRIELS / GESTION DES PRATIQUES / PERSPECTIVES / OPINION
T1 – 31 MARS 2014
Changement de vitesse pour les investisseurs canadiens Cinq principales idées pour dynamiser les portefeuilles des clients ÉGALEMENT DANS CE NUMÉRO :
La transparence des frais et vous La pelouse parfaite
Réservé à l’usage des conseillers
CEUX QUI SE CONTENTENT DE DEMI-MESURES NE FONT PAS L’HISTOIRE.
MD
TARIFICATION PRIVILÉGIÉE Les clients qui ont des sommes plus importantes à investir méritent un effort supplémentaire. Renaissance offre une gamme d’options à tarification avantageuse pour les placements à revenu fixe et les produits de revenu tout-en-un qui stimulent la croissance des portefeuilles à long terme.
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Investissements Renaissance est offert par Gestion d’actifs CIBC inc. et est une marque déposée de celle-ci. Pour les fonds Renaissance de catégorie Plus. D’après le RFG cible, le cas échéant : Investissements Renaissance entend atteindre le RFG indiqué et renoncera à des frais de gestion ou absorbera certaines dépenses pour ce faire, mais peut cesser cette pratique en tout temps. Les placements dans les fonds communs de placement peuvent faire l’objet de commissions, de commissions de suivi, de frais de gestion et d’autres charges. Veuillez lire le prospectus simplifié de la famille des fonds d’Investissements Renaissance avant d’investir. Les fonds communs de placement ne sont pas garantis, leur valeur varie fréquemment et leur rendement passé n’est pas indicatif de leur rendement futur.
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Dans ce numéro
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Planification fiscale et successorale Éviter des erreurs fiscales coûteuses
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Perspectives économiques Le secteur manufacturier canadien – La loi du plus fort
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À l’endos de la serviette La transparence des frais et vous
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Changement de vitesse pour les investisseurs canadiens
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Solution clé de placement Portefeuille optimal de revenu Renaissance
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Merci à ceux qui nous ont offert leur soutien Rester fidèle aux objectifs
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La pelouse parfaite
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Pour un cerveau en pleine forme
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Lettre du chef des ventes nationales
Perception et réalité ne font qu’un Je peux affirmer avec confiance que l’hiver est terminé. Et même si la plupart des gens sont prêts à déclarer avec emphase que ce fut un des hivers les plus rigoureux qu’ils aient connu et que nous avons eu des quantités record de neige, en réalité, la plupart des régions du Canada ont eu un hiver à peu près comme d’habitude. Il y a eu davantage de journées froides si l’on examine les seuils de température, mais dans l’ensemble, ce fut un hiver typiquement canadien. Cela dit, perception et réalité ne font qu’un et si vous estimez qu’il a fait plus froid, alors il a fait plus froid. C’est la même situation que lorsque Jerry Seinfeld consulte George pour savoir comment triompher du détecteur de mensonges (estimant qu’il est un spécialiste en la matière). Le judicieux conseil de George à Jerry : « ce n’est pas un mensonge, si tu y crois fermement ». Cela donne matière à penser. Je peux également affirmer, sans craindre de me tromper, que durant la saison estivale, vos clients et vous serez à un événement social où les gens commenceront à parler d’un excellent conseil boursier qu’ils ont reçu ou à expliquer comment le conseil d’un ami leur a rapporté une somme rondelette. Peut-être le conseil a-t-il bien fonctionné cette fois-ci, mais d’après notre expérience, ce n’est qu’un conseil parmi de nombreux autres, qui, pour la plupart, n’ont pas donné les résultats escomptés (ou, pire, se sont soldés par une perte). La plupart du temps, le bilan de tous les conseils reçus est négatif (si vous n’appliquez pas le conseil de George ci-dessus). La prochaine fois que vous vous trouverez dans cette situation, pourquoi ne pas formuler vos propres conseils de placement, par exemple en expliquant la composition d’un portefeuille bien diversifié? Pourquoi ne pas formuler des conseils qui ne changeront pas en fonction des perspectives à court terme et que vous pourrez répéter l’année prochaine et l’année d’après, et l’année d’après? Pourquoi ne pas leur conseiller des fonds communs de placement et étayer votre propos en mentionnant des gestionnaires connus qui appliquent une stratégie rigoureuse qui produira de bons rendements sur trois, cinq et dix ans? Faites votre recommandation avec assurance et fierté. C’est le thème de ce magazine et j’espère que vous prendrez le temps d’y réfléchir. J’espère que les conseils que vous donnerez autour de la piscine, cet été, non seulement susciteront le respect pour votre travail de conseiller, mais qu’ils vous permettront d’avoir davantage de clients capables d’apprécier ce genre de conseils. Parce que, comme l’hiver que nous venons de vivre, le marché n’est pas « différent cette fois-ci ». Le problème est que les gens croient que si. À Renaissance, nous avons à cœur d’établir des relations d’affaires durables avec vous et de devenir votre partenaire de confiance. N’hésitez pas à me faire part de vos commentaires. Je vous souhaite à tous un magnifique été.
Sincères salutations,
Dave Wahl Chef des ventes nationales Investissements Renaissance 416 943-6959
Éviter des erreurs fiscales coûteuses PLANIFICATION FISCALE ET SUCCESSORALE
Chaque année, l’Agence du revenu du Canada (ARC) dresse une liste des erreurs courantes trouvées dans les déclarations de revenus des particuliers et qui peuvent être coûteuses pour les contribuables. Par exemple, au cours des dernières années, l’ARC a refusé près d’une demande sur cinq quant aux principaux crédits d’impôt et déductions et récolté ainsi 1 milliard de dollars en impôts additionnels, surtout en comparant les renseignements fiscaux fournis dans les déclarations à ceux d’autres sources. En plus de récolter des impôts additionnels, l’ARC impose des intérêts, actuellement au taux de 5 %, sur tout montant d’impôt en souffrance. En outre, si les déclarations de revenus ne sont pas soumises avant la date limite ou que tous les revenus ne sont pas déclarés à répétition, une pénalité peut aussi être imposée. Voici cinq conseils qui peuvent permettre à vos clients d’éviter les erreurs les plus courantes trouvées dans les déclarations de revenus, ainsi que les impôts additionnels, les intérêts et les pénalités qui s’y rattachent. 1. Assurez-vous de déclarer tous les revenus Les contribuables doivent comparer les renseignements indiqués sur les feuillets fiscaux à ceux fournis sur les relevés de placement ou d’autres pièces justificatives afin de s’assurer que ces renseignements sont exhaustifs et exacts. Il est aussi utile de comparer les feuillets fiscaux que vous recevez pour l’année en cours à ceux des années passées, pour vérifier s’il en manque. Si c’est le cas, le contribuable doit faire le suivi avec l’émetteur en temps opportun. Le contribuable doit estimer dans sa déclaration de revenus tout montant qui n’a pu être obtenu avant la date limite. 2. Déclarez toutes les cotisations REER Toutes les cotisations au REER faites entre le 2 mars 2013 et le 3 mars 2014 doivent être déclarées dans la déclaration de revenus de 2013. Les contribuables qui n’ont pas encore déclaré des cotisations faites à leur REER avant le 2 mars 2013 doivent soumettre séparément le formulaire Annexe 7 – REER – Cotisations inutilisées, transferts et opérations dans le cadre du RAP ou du REEP avant de demander une déduction pour une cotisation effectuée antérieurement. 3. Assurez-vous de l’admissibilité des déductions et des crédits
admissible avant de les inclure dans une déclaration de revenus. Sinon, l’ARC peut refuser d’accorder la déduction. L’ARC fournit des renseignements sur les critères d’admissibilité des déductions et des crédits sur son site Web à l’adresse www.cra-arc.gc.ca. 4. Portez attention aux taux de change Les revenus étrangers, comme les dividendes et les gains en capital sur des actions de sociétés étrangères, doivent être convertis en dollars canadiens à des fins fiscales aux taux appropriés. Par exemple, si les dividendes sont répartis uniformément sur toute l’année, le taux de change moyen doit être utilisé. Pour convertir en dollars canadiens les gains en capital, il convient d’utiliser le taux de change réel au moment de l’achat et de la vente du bien. 5. Agissez en temps opportun Les contribuables doivent toujours soumettre leur déclaration de revenus à temps afin d’éviter de payer une pénalité pour production tardive. Il arrive souvent que l’ARC réclame des pièces justificatives additionnelles après la production d’une déclaration de revenus. Les contribuables doivent répondre à ces demandes dans le délai prescrit (généralement 30 jours). Sinon, l’ARC évaluera la déclaration en fonction des renseignements disponibles.
Jamie Golombek est directeur gestionnaire, Planification fiscale et successorale pour le groupe Gestion privée de patrimoine CIBC. Il collabore étroitement avec les conseillers pour les aider à offrir des solutions intégrées de planification financière aux clients à valeur nette élevée. M. Golombek est fréquemment présenté par les médias comme un spécialiste de la fiscalité. Twitter @JamieGolombek www.conseiller.ca/endirect Balado > N'ayez pas peur de la fiscalité www.investissementsrenaissance.ca/fr/jamie_golombek/
Il est important de vérifier si une dépense est déductible ou si un crédit est Investissements Renaissance 3
Le secteur manufacturier canadien – La loi du plus fort Par Benjamin Tal et Nick Exarhos
PERSPECTIVES ÉCONOMIQUES
Devant la baisse de la production et des livraisons manufacturières et la surévaluation de la monnaie, nombreux sont ceux qui s’interrogent sur l’avenir du secteur manufacturier au Canada. Toutefois, les faits tendent à démontrer que le secteur manufacturier est en train de renaître de ses cendres, et qu’il en sortira plus fort, allégé et plus productif. Dans le présent article, nous nous pencherons sur les faits à notre disposition et passerons en revue les secteurs susceptibles de se distinguer au cours des prochaines années.
Même si elle s’accompagne de la disparition du coussin constitué au cours de la phase précédente, la stabilisation – voire la dépréciation – du dollar canadien pourrait laisser les données fondamentales déterminer l’évolution du secteur manufacturier canadien au cours de la prochaine phase du cycle. Tout dépendra de la position concurrentielle du Canada. Graphique 1 – Part du secteur manufacturier dans le PIB 3%
1,8
Quelques (longues) années difficiles
2%
1,6
Six ans après la récession, le secteur manufacturier canadien se situe toujours 10 % en dessous de son niveau d’avant la débâcle économique. Depuis son creux du milieu de 2009, la production industrielle n’a augmenté que de 10 %, soit une progression inférieure de moitié à celle des États-Unis, ce qui montre que le secteur manufacturier canadien n’est pas aussi capable que par le passé de profiter des vents favorables en provenance du sud.
1%
1,4
0%
1,2
-1 %
1,0
Ce décalage est essentiellement dû à la baisse des capacités de production du Canada. Au cours des 10 dernières années, la part du secteur manufacturier dans le PIB est passée de 16 % à 12 %. Le nombre d’entreprises manufacturières a par ailleurs diminué de 20 %, alors que le nombre d’entreprises dans le reste de l’économie a augmenté de 10 %. Le déséquilibre régional des exportations canadiennes à destination des États-Unis a également constitué un obstacle. Pendant la récession et au début de la reprise, plus de 70 % des exportations manufacturières canadiennes étaient destinées aux États américains les moins performants. Perspectives La désindustrialisation est un phénomène qui touche la plupart des pays développés. Dans les années 1970, le secteur manufacturier représentait 16 % de l’économie aux États-Unis; aujourd’hui, sa part est retombée à 13 %. Le plus gros de la baisse s’est toutefois produit dans les années 1970 et 1980, et la part du secteur manufacturier est restée relativement stable au cours des 20 dernières années. En revanche, la part du secteur manufacturier dans le PIB du Canada a spectaculairement augmenté dans les années 1990, sous l’effet de l’effondrement du dollar canadien. La corrélation entre les résultats du secteur manufacturier du Canada relativement à celui des États-Unis et la valeur du huard est indéniable (graphique 1). Le changement s’est produit au Canada au moment où le huard a commencé à reprendre de la valeur, au tournant du millénaire. Le secteur manufacturier canadien a chuté par rapport aux niveaux relativement élevés des 20 années précédentes, et la faiblesse du taux de change a prévenu, et même contrebalancé, les effets de la désindustrialisation. 4 Investissements Renaissance
-2 % -3 %
Part du PIB revenant au secteur manufacturier, CA moins US $ CA / $ US (D) 70 74 78 82 86 90 94 98 02 06
0,8 10
0,6
Source : Comptes nationaux des Nations-Unies, Statistique Canada, Banque CIBC
Les forces concurrentielles À première vue, les charges de rémunération du secteur manufacturier canadien semblent relativement avantageuses, puisque les taux de salaire sont en moyenne inférieurs à ceux de la plupart des pays concurrents : la rémunération horaire moyenne dans le secteur manufacturier canadien s’élevait ainsi à 37 $ US en 2012, soit 1 $ US seulement de plus qu’aux États-Unis. Qui plus est, le régime fiscal canadien est moins pénalisant pour les entreprises que celui des autres pays du G7. Son taux d’imposition national est le plus bas (15 %) à égalité avec celui de l’Allemagne; le Canada affiche en outre le taux d’imposition effectif moyen le plus bas pour les entreprises (24 %), selon PricewaterhouseCoopers. P Ces taux sont particulièrement avantageux par rapport à ceux des États-Unis, où le taux d’imposition fédéral s’établit à 35 % et monte jusqu’à 46 % tout compris pour la moyenne des entreprises. Toutefois, lorsque l’on convertit les charges de rémunération horaire en coûts unitaires de la main-d’œuvre, la tendance est plus alarmante. L’augmentation des coûts unitaires de la main-d’œuvre signifie que la rémunération horaire dans le secteur manufacturier canadien a davantage augmenté que la productivité, tandis que rémunération et productivité ont augmenté à un taux plus stable aux États-Unis. La productivité a en effet souffert au Canada dans les années 2000, puisqu’elle n’a augmenté que de 7 %, tandis qu’elle progressait de 25 % dans le secteur manufacturier américain. La récession et la surévaluation du dollar aux États-Unis ont toutefois eu l’effet d’un électrochoc sur de nombreux fabricants canadiens. Tandis que les États-Unis enregistrent des gains de productivité manufacturière qui accusent toujours un retard, la production par travailleur au Canada a
progressé de plus de 9 % depuis 2009. Cela tend à montrer que le secteur manufacturier canadien, malgré sa décroissance, est en meilleure forme et utilise mieux que jamais les travailleurs qu’il lui reste. Repérer les occasions Nous avons ventilé le secteur manufacturier par caractéristiques afin de faire ressortir les sous-secteurs qui se sont les mieux adaptés à la conjoncture macroéconomique. Nous avons utilisé les indicateurs prospectifs suivants : a) croissance de la productivité depuis 2009; b) sensibilité du secteur à l’évolution des exportations nettes du Canada (coefficient d’exportations nettes); c) part des importations sur le marché canadien (pénétration des importations); d) part des produits canadiens dans les importations américaines (pénétration des exportations); e) contraintes de capacité; et f) part de la main-d’œuvre dans le total des coûts de production. Le classement est présenté dans le graphique 2. Graphique 2 – Classement des secteurs selon les perspectives
-0,4
La fabrication de machinerie affiche le coefficient d’exportations nettes le plus élevé de l’ensemble des sous-secteurs manufacturiers et, dans la mesure où le marché actuel dépend en majorité des importations, ce secteur est le mieux placé pour profiter de la dépréciation du huard et de la hausse corollaire des prix des produits importés concurrents. Les contraintes de capacité, dans ce cas également, pourraient conduire à un accroissement des dépenses d’investissements dans un avenir proche. Prêt pour l’avenir
BOIS MÉTAUX DE BASE MACHINERIE AÉROSPATIALE ORDINATEURS ET ÉLECTRONIQUE DIVERS PLASTIQUES ET CAOUTCHOUC PAPIER FABRICATION PRODUITS MÉTALLIQUES ÉQUIPEMENT ÉLECTRIQUE MEUBLES TRANSPORT IMPRESSION VÊTEMENTS ALIMENTS PRODUITS CHIMIQUES MINÉRAUX NON MÉTALLIQUES BOISSONS ET TABAC PÊTROLE ET CHARBON
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fait que plus de la moitié du marché canadien se fournit auprès de sources étrangères; une dépréciation de la monnaie devrait donc profiter aux fournisseurs canadiens à la marge. Le secteur est en outre bien placé pour profiter du raffermissement de l’économie américaine, puisqu’il représente plus de 25 % du total des importations des États-Unis. Toutefois, à seulement 2 % en deçà de sa moyenne à long terme, sa croissance risque de se heurter aux contraintes de capacité, ce qui laisse également entrevoir une accélération des dépenses d’investissements au cours des prochaines années.
Force est de constater que le secteur manufacturier nord-américain, devenu depuis la récession plus productif et plus efficace, est aujourd’hui mieux placé pour mettre fin à l’hémorragie des dernières années. Les entreprises manufacturières américaines peuvent miser sur l’amélioration de leur position concurrentielle et de leur image de marque pour continuer à progresser auprès des consommateurs des marchés émergents. De nombreux secteurs canadiens sont aujourd’hui mieux placés pour profiter de la dépréciation du dollar canadien afin de regagner des parts de marché aux États-Unis et de saisir les occasions d’intégration aux chaînes d’approvisionnement mondiales.
-0,2
0,0
0,2
0,4
0,6
0,8
Indice 1,0
Note : Exprimé en part du secteur le mieux coté. Source : Statistique Canada, Banque CIBC
En tête de liste, les produits du bois ont enregistré une forte croissance de leur productivité et le coefficient des exportations nettes est supérieur à la moyenne. Si le taux de pénétration des importations est relativement faible, le secteur est en tête en ce qui a trait à la pénétration des exportations sur les marchés américains, à près de 50 %. Le secteur affiche en revanche un taux d’utilisation des capacités de production relativement élevé; on peut donc s’attendre à ce que les entreprises investissent à un rythme soutenu si les choses s’améliorent. Le secteur des métaux de base est celui dont la productivité a le plus augmenté depuis 2009; il est bien placé pour profiter de la dépréciation du dollar grâce au bon niveau de son coefficient d’exportations nettes. Il bénéficie en outre du
Benjamin Tal est économiste en chef adjoint à la Banque CIBC. Désigné comme l’un des principaux experts canadiens du marché immobilier par le Fonds monétaire international, il est responsable de l’analyse de l’actualité économique et de ses répercussions sur les marchés nord-américains des titres à revenu fixe, des actions, des changes et des produits de base. www.conseiller.ca/endirect Balado > Bon augure pour les actions canadiennes en 2014 www.renaissanceinvestments.ca/en/economy/ www.investissementsrenaissance.ca/fr/
Investissements Renaissance 5
La transparence des frais et vous Justifiez vos commissions de suivi
À L’ENDOS DE LA SERVIETTE
À la demande générale, nous reproduisons ici l’article de Grant tiré de la tournée « Conseiller Renaissance – En direct! » de 2013. Les investisseurs fortunés nous disent que la « transparence des frais » est l’un des facteurs les plus importants de leur fidélité envers un professionnel des placements. Pourtant, de nombreux conseillers préfèrent encore éviter à tout prix une discussion sur les frais. Jusqu’à récemment, les conseillers pouvaient ou non, à leur gré, faire preuve d’une transparence complète en matière de frais. Il semblerait toutefois que les organismes de réglementation canadiens s’apprêtent à changer les règles en légiférant sur une facturation distincte des frais de placement pour les rendre plus transparents. Puisque les commissions de suivi applicables aux fonds communs de placement font partie de la rémunération de la plupart des conseillers, de plus en plus de clients soulèveront sans doute des objections lorsque ces frais seront bien visibles. Confrontés à ces clients, vous avez essentiellement deux choix : 1. Réduire vos frais 2. Sensibiliser davantage vos clients à votre valeur Les conseillers chevronnés s’entendent souvent pour dire que la réduction des frais présente des dangers. Une réduction impulsive peut inciter les clients à rechercher des aubaines avant l’établissement de la relation et miner rapidement votre « valeur » à leurs yeux. Par ailleurs, une réduction pourrait même ne pas être possible, puisque les commissions de suivi sont généralement établies par les sociétés de fonds communs de placement. Étant donné ce qui précède, une stratégie plus ingénieuse consisterait à faire en sorte que les clients perçoivent davantage votre valeur afin qu’ils considèrent vos frais comme étant tout à fait justes et justifiés. Pour la plupart des investisseurs, « le coût devient un problème seulement quand aucune valeur n’est perçue ». Il incombe donc au conseiller de faire part de cette valeur de façon claire et précise. 1. Expliquez pourquoi des frais sont imputés 2. Expliquez ce qu’ils obtiennent en payant ces frais 3. Expliquez les avantages des frais selon un pourcentage sur les actifs
6 Investissements Renaissance
Vous trouverez ci-après trois questions que posent habituellement les clients sur les frais de services consultatifs. Veuillez noter que les réponses sont axées sur le ratio des frais de gestion et/ou les commissions de suivi applicables aux fonds communs de placement (aucuns frais d’acquisition), mais qu’elles peuvent être adaptées pour d’autres structures de frais.
Q
« Pourquoi dois-je payer continuellement des commissions de suivi à mon conseiller? »
« C’est une bonne question… et il importe que vous compreniez pourquoi ces frais sont imputés. Dans le cas des produits sous gestion (comme les fonds communs de placement), des frais totaux sont imputés aux investisseurs sous forme d’un ratio des frais de gestion (RFG) annuel. Le RFG couvre tous les nombreux frais engagés par le fonds commun de placement pour la gestion des actifs investis dans le produit. Le RFG inclut aussi les frais de sous-conseiller payés au gestionnaire de portefeuille du fonds (et à son équipe) pour la prise des décisions de placement quotidiennes au nom de l’investisseur. Seule une partie du RFG est versée aux conseillers en placement comme nous, sous forme de commissions de suivi, afin de nous assurer une rémunération juste pour notre service continu aux clients qui détiennent des parts du fonds. »
Q
« Qu’est-ce que j’obtiens en payant ces frais? »
« La liste des frais engagés par un fonds commun de placement est longue. Voici quelques exemples seulement des nombreux frais, avantages et services inclus dans vos frais globaux :
* Processus de découverte et contrôle préalable du client * Établissement de la tolérance au risque * Répartition de l’actif
* Recherche sur les placements et sélection des titres * Suivi du portefeuille
* Modifications des placements au besoin
* Frais de sous-conseiller payés au gestionnaire de portefeuille * Rémunération des conseillers
* Relevés de compte et rapports périodiques * Confirmations d’opérations sur titres * Frais d’opération
* Frais de comptabilité * Services de garde * Garde des titres
* Rééquilibrage de portefeuille
* Service à la clientèle fourni par les sociétés de fonds communs de placement
* Études économiques
* Analyses des actions et des titres à revenu fixe * Élaboration de plans financiers personnalisés
* Élaboration de plans successoraux personnalisés * Énoncés de politiques de placement
* Analyses des rendements et réunions connexes
* Accès à des conseils par téléphone, par courriel et en personne * Accès en direct aux comptes et à d’autres ressources * Appels selon le système d’alerte * Autres
Q
« Pourquoi dois-je payer des frais quand mon portefeuille produit des rendements décevants? »
« Les conseillers en placement et les gestionnaires de portefeuille sont rémunérés pour gérer des fonds durant les bonnes et les mauvaises périodes. Ils ne sont pas payés pour éviter les baisses durant toutes les périodes, ce qui est tout simplement impossible. Les marchés financiers évoluent selon des cycles de reprise et de correction. Pour faire face à ces mouvements sur plusieurs cycles de marché, il faut des compétences particulières. Les frais payés par les investisseurs s’appliquent à la gamme complète des services fournis par un professionnel des placements, non pas seulement aux taux de rendement favorables qui peuvent être obtenus. Ainsi, les fonds communs de placement standards n’augmentent pas le pourcentage des frais lorsque les portefeuilles produisent de très bons rendements..... et ne le réduisent pas non plus lorsque les rendements sont décevants. En revanche, si la valeur du portefeuille diminue, le montant des frais diminue dans la même proportion. Comme vous pouvez le constater, des frais selon un pourcentage fixe, couvrant tous les services, placent le client dans la même position que le conseiller en placement et les gestionnaires de portefeuille qui veillent sur leurs placements. Toutes les parties concernées veulent préserver et faire fructifier les actifs des investisseurs. Nous nous attendons à ce que les gestionnaires que nous choisissons appliquent des méthodes rigoureuses pour protéger la richesse de nos clients selon le style qui leur convient, tout en se positionnant pour participer aux marchés haussiers. Un gestionnaire de portefeuille mérite vraiment les honoraires qu’il touche durant les périodes difficiles lorsque sa philosophie est mise à rude épreuve. Lorsqu’il est question de frais, nous sommes fiers de faire preuve d’une transparence complète afin que nos clients sachent exactement combien ils paient pour la gamme complète de services que nous leur offrons. »
Les changements réglementaires proposés sur la transparence vous offrent une occasion unique de bien mettre en évidence la valeur exceptionnelle que vous apportez à la relation. Durant vos rencontres avec les clients, soulignez vos réussites, rappelez-leur les nombreux services que vous leur fournissez, puis, en toute confiance, attendez-vous à une rémunération juste pour un travail bien fait.
Remarque : Le conseiller peut personnaliser la liste en incluant seulement les éléments qui s’appliquent à son modèle d’affaires, à sa sélection des placements et à sa structure de frais. Finalement, l’avantage le plus important que nous apportons à la relation est notre capacité de gérer les états émotionnels. Nous sommes fermement convaincus que la nature humaine est le pire ennemi de la réussite en placement. Notre mission principale consiste souvent à convaincre nos clients de rester investis quand ils sont tentés de fuir et à apporter, à l’occasion, des changements importants à la répartition de l’actif. Il est difficile de déterminer combien d’argent nous faisons économiser aux clients lorsque nous les conseillons pour qu’ils évitent les erreurs les plus courantes et tirent parti d’occasions clés qui se présentent. Nos frais sont justifiés parce que nous aidons nos clients à faire preuve de rigueur dans un marché trop souvent influencé par les émotions. »
Grant Shorten est directeur, Analyses stratégiques à Investissements Renaissance. Il donne une foule de conseils et de stratégies qui seront efficaces auprès de vos clients et qui auront une incidence immédiate sur vos activités. www.conseiller.ca/endirect Balado > Devenez un conseiller de famille www.investissementsrenaissance.ca/fr/
Investissements Renaissance 7
CHANGEMENT de vitesse pour les investisseurs canadiens Un sondage récent a révélé une divergence inquiétante entre ce que les investisseurs canadiens attendent de leur portefeuille et ce que leur portefeuille peut réellement générer.
8 Investissements Renaissance
Bien que 44 % des Canadiens affirment que la « croissance » est leur principal objectif de placement, la majorité investit surtout dans des obligations gouvernementales et des CPG, dont le rendement est peu élevé.1 Quand on leur demande s’ils envisageraient de remplacer certains de leurs placements pour obtenir des rendements supérieurs, 48 % répondent « Non », même dans un contexte où les taux sont bas. Mais un problème encore plus grave pourrait s’annoncer. En effet, près de 60 % des investisseurs canadiens ne savent pas que la hausse des taux d’intérêt peut entraîner une perte de valeur pour certains placements. Pour les babyboomers, qui sont les investisseurs les plus près de la retraite, ce pourcentage s’élève à 65 %. Et qu’en est-il de l’intérêt des Canadiens pour la diversification hors des frontières qui permet de profiter du potentiel des placements mondiaux? En fait, parmi les investisseurs canadiens qui sont prêts à investir dans des actions, 68 % disent qu’ils achèteront surtout des actions canadiennes, qui représentent pourtant seulement 3 % du marché mondial. Les résultats montrent certaines lacunes dans les idées de placement actuelles, mais révèlent aussi certaines occasions de mieux adapter les clients à la nouvelle réalité de placement. Voici cinq conseils qui peuvent être utiles lorsque vous discutez avec vos clients ou que vous leur proposez des solutions qui les aideront à obtenir le revenu, la stabilité et la croissance dont ils ont besoin dans le contexte de placement actuel.
5 PRINCIPALES IDÉES POUR DYNAMISER LES PORTEFEUILLES DES CLIENTS Ajouter des positions liées à des prêts à taux variable Étant donné que les taux d’intérêt sont très bas depuis si longtemps, la plupart des experts s’accordent pour dire qu’il n’y a qu’une voie possible pour l’avenir. Les prêts à taux variable peuvent remplacer certains placements traditionnels dans des obligations et offrir aux clients une protection additionnelle contre la hausse des taux d’intérêt. Les intérêts payés sur les prêts à taux variable s’adaptent aux variations du taux du marché sous-jacent (habituellement un taux interbancaire appelé « TIOL »). Lorsque les intérêts augmentent, les intérêts versés aux investisseurs font de même. Par conséquent, ces prêts produisent un rendement supérieur à celui des titres à revenu fixe traditionnels dans un contexte de hausse des taux. Rendement supérieur durant les périodes de hausse des taux Rendements cumulatifs (USD) 20 % 17,52 % 16 %
15,90 % Prêts à taux variable* Obligations traditionnelles**
12 %
10,29 % 7,90 %
8% 4%
3,97 %
4,07 %
0% De déc. 2003 à août 2006 De jan. 1999 à juin 2000 De déc. 1993 à avril 1995 (le taux des fonds fédéraux (le taux des fonds fédéraux (le taux des fonds fédéraux a augmenté de 427 pb) a augmenté de 190 pb) a augmenté de 309 pb) *Indice des prêts leviers Credit Suisse **Indice Barclays US Aggregate Bond : un indice exprimé en dollars US, d’obligations américaines gouvernementales et de sociétés de qualité ainsi que de titres adossés à des hypothèques. Source : Morningstar Direct
Renaissance a fait équipe avec Ares Management afin d’offrir le Fonds de revenu à taux variable Renaissance, qui investit dans des prêts à taux variable et d’autres titres de créance de premier rang à taux variable de sociétés de partout dans le monde. Selon David Wong, directeur général, Recherche en gestion de placements, Gestion d’actifs CIBC, « l’investisseur a l’impression d’investir dans des obligations, mais ne s’inquiète pas du risque de duration et des autres détails surtout s’il a recours aux services d’un gestionnaire expérimenté. Ares est un gestionnaire de prêts très expérimenté. Cette société exerce ses activités pratiquement depuis la mise en place du marché des prêts bancaires. » Comme jusqu’à 20 % de ses placements peuvent être détenus dans des obligations à rendement élevé, le fonds cherche à générer un haut niveau de revenu. « Ce produit convient parfaitement au contexte actuel du marché puisqu’il donne aux clients l’occasion de diversifier leurs placements en titres à revenu fixe sans acquérir de titres d’autres catégories », affirme Steve Geist, président, Gestion d’actifs CIBC.
Investissements Renaissance 9
Investir dans des sociétés américaines de grande qualité
Accéder à des sociétés d’infrastructure mondiales L’ajout de placements dans des sociétés d’infrastructure cotées en bourse constitue l’un des moyens d’accroître la diversification du portefeuille d’un client tout en maintenant un profil à faible risque. Les actions de ces sociétés sont très peu corrélées aux principales catégories d’actif, et elles offrent une protection contre les baisses par rapport aux indices boursiers mondiaux traditionnels. Il s’agit d’une catégorie d’actif qui procure un revenu régulier aux investisseurs et qui peut aussi servir de couverture contre l’inflation et de protection contre les hausses de taux d’intérêt. Nick Langley, gestionnaire de portefeuille principal et directeur des placements, RARE Infrastructure a déclaré que « la hausse des taux d’intérêt est le résultat d’une augmentation de la croissance économique. Les infrastructures comme les ports, les aéroports et les chemins de fer prennent généralement de la valeur lorsqu’une augmentation de la croissance économique est attendue, ce qui compense la hausse des taux d’intérêt. » Le Fonds d’infrastructure mondial Renaissance, qui est géré par RARE, investit dans des sociétés du monde entier qui participent à l’aménagement, à l’entretien et à la gestion d’infrastructures ou qui bénéficient de ces activités. L’ajout d’actions de sociétés d’infrastructure mondiales à un portefeuille peut à la fois diminuer le risque et stimuler les rendements par rapport à des placements détenus exclusivement dans des sociétés de l’indice composé S&P/TSX. « Les actions de sociétés d’infrastructure cotées en bourse sont moins risquées et moins volatiles que les actions mondiales, et leur rendement est essentiellement composé de dividendes et de capital. Par conséquent, un investisseur canadien qui tolère moins le risque, mais qui veut investir à l’extérieur du Canada, obtient une certaine diversification associée à un risque plus faible », déclare Richard Elmslie, directeur des placements, gestionnaire de portefeuille principal, RARE Infrastructure.
Même si les principaux indices, comme le S&P 500, ont atteint des sommets records au cours de la dernière année, il existe encore des occasions de stimuler les rendements avec des sociétés américaines de grande qualité qui versent des dividendes. On considère souvent que le risque lié à ces actions est faible en raison de leur avantage concurrentiel associé à des noms célèbres occupant une large part du marché. Pensons à des marques mondiales comme Johnson & Johnson, les fabricants de Band-Aids et Tylenol, qui est la sixième société de produits de santé consommateur en importance et la huitième plus grande société pharmaceutique. Ou encore, Procter & Gamble, qui vend ses produits dans plus de 180 pays et dont 60 % des ventes proviennent de l’extérieur de l’Amérique du Nord. Ces sociétés constituent certains des plus gros placements du Fonds de revenu d’actions américaines Renaissance. Le sous-conseiller, American Century Investments, se sert d’une approche ascendante pour repérer les sociétés de grande qualité qui sont négligées par le marché ou sous-évaluées, et atténue la volatilité du portefeuille au moyen d’actions à dividende et d’obligations convertibles. La philosophie de placement d’American Century a prouvé son efficacité lors de reculs des marchés, notamment pendant la crise financière mondiale de 2008. Les actions de grande qualité peuvent aussi servir à protéger les portefeuilles des clients quand les taux d’intérêt montent. Comme Phillip Davidson, premier vice-président et chef des placements, Actions de valeur américaines, American Century l’explique, « dans un contexte de hausse des taux d’intérêt, on ne s’attendrait pas à ce que le rendement des actions de faible qualité demeure supérieur à celui des actions de grande qualité, comme il l’a été récemment. La réduction des capitaux disponibles et l’augmentation du coût du capital dans un tel contexte font en sorte qu’il devient de plus en plus difficile pour ces sociétés d’emprunter des fonds sans en subir réellement les conséquences. »
Graphique 1 - Réduire le risque et améliorer le rendement par l’ajout d'infrastructures
Rendement total sur 3 ans
6,5 % 6,0 %
+30 % infrastructures / 70 % indice composé S&P/TSX
5,5 % +20 % infrastructures / 80 % indice composé S&P/TSX
5,0 % 4,5 %
Plus de rendement
4,0 %
Moins de risque
100 % indice composé S&P/TSX
3,5 % 3,0 % 8,0 %
10 Investissements Renaissance
Source: Morningstar Direct au 31 décembre 2013.
8,5 %
9,0 %
9,5 % Écart-type sur 3 ans
10,0 %
10,5 %
11,0 %
Offrir aux clients une diversification intégrée
Dégager des revenus d’une solution équilibrée tout-en-un
La répartition de l’actif est au cœur d’un portefeuille de client diversifié, mais la sélection, la surveillance et la gestion des placements et des gestionnaires de placement peut prendre beaucoup de temps. Vous pouvez cependant offrir à vos clients la solution diversifiée prête à l’emploi des Portefeuilles Axiom. Le programme Axiom comprend huit portefeuilles assortis de niveaux de risque différents. Les portefeuilles sont diversifiés par catégorie d’actifs, région, style de placement et capitalisation boursière. Ces solutions sont rééquilibrées automatiquement afin que les portefeuilles des clients respectent en tout temps la composition de l’actif souhaitée. Avec Axiom, vous n’avez pas à vous soucier de la sélection des fonds, de la supervision des gestionnaires de placement, ni du rééquilibrage des portefeuilles des clients : Axiom fait tout cela pour vous, ce qui vous laisse davantage de temps pour entretenir vos relations avec votre clientèle. Les portefeuilles de vos clients seront entre bonnes mains et leur gestion sera assurée par des spécialistes en placement de partout dans le monde, notamment PIMCO, Brandywine Global et INTECH. Grâce aux options de tarification des catégories Sélecte et Élite qui vous permettent de maintenir des coûts peu élevés pour vos clients les plus précieux, ainsi qu’à la catégorie T qui offre d’autres options avantageuses sur le plan fiscal pour les rentrées de fonds mensuelles, Axiom vous procure souplesse et paix d’esprit.
Z
Un grand nombre des investisseurs canadiens ayant répondu au sondage ont déclaré qu’ils n’envisageraient pas de remplacer des placements pour obtenir un rendement plus élevé, probablement parce qu’ils ne sont pas à l’aise à l’idée de passer des titres à revenu fixe aux actions. Cependant, plusieurs d’entre eux pourraient opter pour une solution équilibrée et diversifiée. Les portefeuilles optimaux Renaissance constituent une famille de solutions de base dont la composition varie parmi une gamme d’actifs à revenu fixe (y compris les obligations à rendement élevé et les prêts à taux variable) et d’actions (y compris des actions de sociétés d’infrastructure). Votre client n’a pas besoin d’abandonner les obligations et d’accumuler les actions; il peut cependant accéder au marché grâce au Portefeuille optimal de revenu prudent Renaissance, composé à 80 % de titres à revenu fixe diversifiés et à 20 % d’actions. La composition des autres portefeuilles va de 40 % à 100 % d’actions, le Portefeuille optimal d’actions mondiales Renaissance offrant une gamme équilibrée d’actions mondiales. Pat O’Toole, vice-président, Revenu fixe mondial, Gestion d’actifs CIBC considère que les portefeuilles optimaux Renaissance constituent un bon moyen de générer un rendement additionnel pour les clients. « Plusieurs de ces solutions comportent des actions ainsi que des titres à revenu fixe, ce qui procure des dividendes et des gains en capital », affirme-t-il.
Consultez la solution clé de placement à la page 12 pour en savoir plus sur le Portefeuille optimal de revenu Renaissance.
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Écoutez les courtes balados de nos experts cités dans cet article, y compris : www.conseiller.ca/endirect
A
Patrick O'Toole – Gestion d’actifs CIBC
Balado > Le haut rendement contre les taux d’intérêt
Phillip Davidson – American Century Investments
Balado > Acheter quand les autres boudent
Nick Langley – RARE Infrastructure
Balado > Comment investir dans la pluie
Présenté par Investissements Renaissance 1
Les résultats présentés dans le présent article sont tirés d’un sondage effectué par Léger sur le Web, en décembre 2013, auprès d’un échantillon représentatif de 1 503 Canadiens francophones ou anglophones âgés de 18 ans ou plus, qui ont un portefeuille de placement en vue de la retraite. À l’aide de données de Statistique Canada, les résultats ont été pondérés selon le sexe, l’âge, la région, la langue parlée à la maison, le niveau d’étude et la présence ou non d’enfants dans le ménage, ce qui garantit la représentativité de l’échantillon par rapport à l’ensemble de la population étudiée.
Investissements Renaissance 11
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Grâce à une combinaison de catégories d’actif qui ressemble à celle utilisée par les caisses de retraite, le portefeuille donne aux investisseurs individuels accès à une gamme d’actifs qu’ils ne détiennent habituellement pas, ce qui en fait une solution de placement conçue pour offrir les avantages suivants. Potentiel de croissance stable La composition d’actif optimale assure une expérience de placement stable et constante.
Protection démontrée en périodes de volatilité des marchés La volatilité est moindre grâce à un grand nombre de catégories d’actif et à la diversification – effet démontré sur deux grands marchés baissiers.
Revenu mensuel régulier Le portefeuille verse des distributions mensuelles constantes et procure un rendement positif depuis sa création. Voir Fig. 1
1
2
Fig. 1 – Distribution mensuelle
3
Dollars par part (Gauche)
Taux de rendement* (Droite) 5,0 %
0,045 $ 0,040 $ 0,035 $ 0,030 $ 0,025 $ 0,020 $ 0,015 $ 0,010 $ 0,005 $ 0,000 $
4,0 % 3,0 % 2,0 % 1,0 %
Mars 14
Nov. 13
Juill. 13
Mars 13
Nov. 12
Juill. 12
Mars 12
Nov. 11
Juill. 11
Nov. 10
Mars 11
Juill. 10
Mars 10
Nov. 09
Juill. 09
Mars 09
Nov. 08
Juill. 08
Mars 08
Nov. 07
0,0 %
**Le rendement des distributions mensuelles correspond à la plus récente distribution mensuelle multipliée par 12 et divisée par la valeur marchande actuelle
Rendements au 31 mars 2014
1 an
2 ans
3 ans
5 ans
Depuis sa création1
Portefeuille optimal de revenu Renaissance
7,9
8,0
6,6
9,1
4,8
Catégorie équilibrée des titres à revenu fixe canadiens
6,2
5,9
5,2
7,5
s. o.
© Morningstar Research Inc., 2014. Tous droits réservés. Les renseignements contenus dans les présentes : 1) sont la propriété de Morningstar et/ou de ses fournisseurs de contenu, 2) ne peuvent être ni copiés ni diffusés et 3) peuvent ne pas être exacts, complets ou à jour. Morningstar et ses fournisseurs de contenu ne peuvent être tenus responsables de toute perte ou de tout préjudice résultant de l’utilisation de ces renseignements. Les rendements passés ne sont pas garants des rendements futurs. 1 Date de création : 13 novembre 2007 Les placements dans des fonds communs de placement peuvent être assortis de commissions, de commissions de suivi, de frais de gestion et d’autres frais. Veuillez lire le prospectus simplifié avant d’investir. Les fonds communs de placement ne sont pas garantis, leur valeur fluctue souvent et le rendement passé peut ne pas se reproduire. Les distributions ne sont pas garanties, leur valeur peut fluctuer et elles ne doivent pas être confondues avec le rendement ou le taux de rendement du fonds. Les distributions versées du fait de gains en capital réalisés par un fonds ainsi que le revenu et les dividendes accumulés par un fonds sont imposables au cours de l’année où ils ont été versés.
12 Investissements Renaissance
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Rester fidèle aux objectifs MERCI À CEUX QUI NOUS ONT OFFERT LEUR SOUTIEN
Sans le soutien de conseillers comme vous, Investissements Renaissance n’aurait pas le privilège d’aider tant de Canadiens à atteindre leurs objectifs financiers. Nous vous présentons un des spécialistes exceptionnels avec qui nous sommes très fiers de travailler. Ce que vous aimez de votre secteur : Les difficultés que suppose le fait de faire affaire avec des clients différents, tout en gardant ma pratique simple. Quelle est votre recette personnelle pour établir de solides relations avec vos clients? Il faut être honnête avec les clients, garder les choses simples et agir de manière transparente. On doit aussi toujours offrir un excellent service. Sur quels secteurs ou thèmes de la planification financière ou planification des placements entendez-vous vous concentrer davantage cette année?
Comment abordez-vous l’éventuelle hausse des taux d’intérêt avec vos clients? En recommandant des gestionnaires qui abordent cet enjeu à l’aide d’une duration et de stratégies de crédit appropriées. Meilleurs conseils pour acquérir de nouveaux clients : J’ai découvert que le service que nous offrons à nos clients constitue notre meilleure publicité. Les recommandations de clients qui en découlent sont les plus beaux compliments que l’on peut recevoir. Il est aussi important d’établir un réseau et de rester en contact avec tout client potentiel que l’on a. Il faut continuer de leur proposer de nouvelles solutions, vous ne pouvez pas savoir ce qui captera leur attention. Passe-temps préférés : Je suis entraîneur pour une équipe de hockey mineur et j’aime jouer au golf, faire de la navigation de plaisance et aller à la pêche, entre autres. Un objet dont je ne peux pas me passer : Mon assistante, Andrea. C’est un atout inestimable pour mon équipe. Elle participe à toutes mes décisions d’affaires. Le choix du bon membre pour l’équipe a fait toute la différence dans la croissance de ma pratique.
Nous prévoyons proposer davantage de stratégies d’assurance en plus des services que nous offrons déjà. Quelles sont les principales questions des clients en ce moment et comment y répondez-vous? Lorsque les clients voient que les marchés remontent, ils me demandent toujours d’être plus audacieux en matière de placement et refusent mes recommandations visant à rééquilibrer leur portefeuille pour en maintenir la composition. Les clients sont parfois inquiets à l’idée de manquer des occasions, mais c’est de mon devoir de faire en sorte que leurs placements correspondent à leur profil. En 2008 et en 2009, j’ai proposé un rééquilibrage vers la composante en actions et j’ai rencontré de la résistance là aussi. Nous devons rappeler aux clients quels sont leurs objectifs et quelle est leur tolérance au risque, et il faut respecter ce profil. Les clients ont aussi des préoccupations d’ordre fiscal et veulent savoir comment réduire le fardeau fiscal de leurs héritiers. Nos spécialistes de la planification successorale peuvent les aider au moyen de nombreuses stratégies répondant à leurs besoins.
Bruce Rossy Société : CIBC Wood Gundy Montréal, QC Nombre d’années dans le secteur : 16 Nombre de personnes dans l’équipe : 1
Investissements Renaissance 13
GUIDE SAISONNIER DE LA
PELOUSE PARFAITE La chaleur des jours de printemps invite tant les débutants que les adeptes de la pelouse à sortir pour s’occuper du gazon.
14 Investissements Renaissance
Cultiver une pelouse luxuriante exige une bonne gestion, affirme Pamela Charbonneau, spécialiste en gazon au ministère de l’Agriculture et de l’Alimentation de l’Ontario. Comprendre ce qui se produit sur nos pelouses chaque saison et effectuer les tâches de base sont le moyen le plus simple, le plus abordable et le plus écologique de les aider à faire l’envie de tous.
Hiver L’hiver, il n’y a pas grand-chose à faire, à part regarder la neige tomber. Cela dit, vous devez savoir ce qui se passe sous la neige afin de prendre les mesures qui s’imposent lorsqu’elle fondra. « Cet hiver, de nombreuses régions du Canada, à l’exception de la côte de la Colombie-Britannique, ont eu droit à des records d’enneigement (environ 100 jours), explique Mme Charbonneau, ce qui a des conséquences sur les pelouses. » D’abord, les maladies qui s’attaquent au gazon sous la neige, appelées les moisissures des neiges, ont pu l’endommager (et créer des cercles de gazon mort). Il existe deux types de moisissure des neiges à surveiller : la rose, qui se développe après 30 jours d’enneigement, et la grise, qui se développe après 90 jours d’enneigement. Après la plupart des hivers, c’est le brin d’herbe qui est endommagé; mais lorsque les nouveaux brins d’herbe poussent au printemps, les cercles de gazon mort disparaissent. « Toutefois, cette année, nous avons eu une longue période d’enneigement, précise Pamela Charbonneau. Il est donc possible que la moisissure grise des neiges ait causé des dégâts là où la plante pousse, et que votre gazon ne se rétablisse pas. » Ensuite, le nombre de jours sous la barre des -10 °C a été élevé. Il peut en résulter des endroits sur votre pelouse où le gazon n’a pas résisté au froid. Enfin, des campagnols (que l’on appelle souvent mulots), une espèce de rongeurs, mangent le gazon sous le couvert de la neige. « À la fonte des neiges, vous verrez peut-être des pistes, des traces irrégulières de gazon grignoté. Ces dommages sont superficiels, car les campagnols n’auront mangé que le brin d’herbe. La partie qui pousse sera encore intacte et, à l’arrivée du beau temps, celle-ci prendra la relève », rassure Mme Charbonneau.
possible qu’un déchaumage s’impose. « Lorsqu’on regarde une coupe transversale de terre et de gazon, on voit une couche de tiges et de racines mortes entremêlées, explique Mme Charbonneau, c’est ce qu’on appelle le chaume. » Si cette couche devient trop épaisse, il faut la retirer. Autre tâche printanière : la fertilisation. Cette tâche, elle, doit être faite au bon moment. « Nous recommandons d’attendre la première pousse au milieu ou à la fin de mai, dit Mme Charbonneau. La première chose que les gens font au printemps, c’est fertiliser. D’un point de vue agronomique, ce n’est pas le moment idéal. Selon les chercheurs, quand vient le temps de fertiliser la pelouse, le meilleur mélange de nutriments respecte un rapport de quatre parts d’azote, d’une part de phosphore et de deux parts de potassium. Dans un centre de jardinage, cela correspond à un engrais 20-5-10, soit le seul dont vous aurez besoin pour toute l’année. Contrairement à la croyance populaire, vous n’avez pas besoin de changer d’engrais selon la saison. Bien entendu, lorsque le gazon commence à pousser, vous devrez le tondre. Pour la tonte, le premier conseil consiste à utiliser des lames tranchantes pour optimiser la santé et l’allure de votre pelouse. « Les gens qui entretiennent les terrains de golf y portent une grande attention, et je crois que les propriétaires de pelouse devraient en faire autant », affirme Mme Charbonneau. Le second conseil à retenir est la règle du tiers : ne coupez pas plus du tiers du brin d’herbe. Par exemple, si votre gazon mesure trois pouces, ne coupez pas plus d’un pouce. Autrement, vous causerez du stress à la plante.
Printemps Lorsque la neige fond, si vous voyez que des régions de votre pelouse sont endommagées, semez des graines de gazon. Le moment a peu d’importance, car « si vous semez alors que les conditions ne sont pas bonnes, les graines ne se détérioreront pas; le moment venu, elles commenceront à germer », dit Mme Charbonneau. Le ratissage est également important pour se débarrasser de la glace, de la neige et de tout ce qui s’est entremêlé au sol. Après quelques années, il est Investissements Renaissance 15
Été
DES OUTILS DE JARDINAGE
À mesure que le printemps laisse place à l’été, commencez la saison en fertilisant encore votre pelouse à la fin de juin.
de dernier cri
Pendant cette saison, il devrait y avoir moins d’eau et plus de chaleur, ce qui ralentit la croissance de la plante. « Il n’est pas nécessaire d’ajouter de l’engrais; la croissance ralentit naturellement », dit Mme Charbonneau.
Voici quelques innovations technologiques et écologiques en entretien de pelouse qui vous feront économiser du temps et de l’énergie.
Si la pluie se fait rare, vous pouvez toujours arroser votre pelouse. Mme Charbonneau recommande un pouce ou 2,5 cm d’eau de pluie ou d’arrosage par semaine pendant l’été. Elle précise toutefois qu’il n’est pas essentiel d’arroser la pelouse, car le gazon peut survivre de quatre à six semaines sans eau.
Automne Lorsque la chaleur et la sécheresse prennent fin, le gazon pousse pendant la période optimale de la mi-août à la mi-septembre. Il est alors temps de le fertiliser de nouveau. « C’est aussi le moment idéal pour sursemer, car le temps plus frais et la pluie plus fréquente donnent aux graines l’occasion de germer et de boucher les trous », ajoute Mme Charbonneau. Bien entendu, c’est aussi à cette saison que les arbres laissent tomber leurs feuilles sur votre pelouse. « Selon les études, ditelle, un paillis de feuilles ajoute des nutriments au gazon. » La meilleure chose à faire, c’est de laisser les feuilles tomber et de passer plusieurs fois dessus avec une tondeuse déchiqueteuse. Ainsi, le paillis ne suffoquera pas la pelouse. Sinon, retirez les feuilles au râteau. À l’approche de l’hiver, Mme Charbonneau recommande de ne pas fertiliser après la mi-septembre. En effet, les études montrent que l’impact environnemental l’emporte sur les avantages agronomiques.
Retour à l’essentiel En vous en tenant à l’essentiel, vous aiderez votre pelouse à avoir fière allure et à supplanter les mauvaises herbes. Aujourd’hui, il est important d’adopter de bonnes pratiques de base, car certaines provinces ont banni les pesticides cosmétiques et d’autres sont en train d’évaluer les pratiques liées aux pesticides. « Nous ne pouvons pas retourner aux produits dont nous nous servions par le passé, affirme Mme Charbonneau. Réduire l’utilisation des pesticides nous oblige à nous en tenir à l’essentiel et à nous y prendre d’emblée de la bonne façon. Les pratiques de base ne nous ont jamais laissé tomber. »
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Tondeuses Tondeuses automatiques – Ces tondeuses programmables et alimentées par une batterie tondent votre gazon pendant que vous faites la sieste.1 Des câbles que vous installez au préalable le long des bordures circonscrivent leur action à votre pelouse. Ces tondeuses ont un détecteur de pluie intégré. Elles ne sortent donc pas lorsque le gazon est mouillé. De plus, elles peuvent suivre les pentes et sont munies d’un système d’alarme antivol et ne vous quitteront donc jamais.3 Tondeuses solaires hybrides – Ces tondeuses sont alimentées par une batterie et les rayons du soleil pour vous aider à passer au vert.1 En effet, ces tondeuses se rechargent au moyen de grands panneaux solaires intégrés, en plus d’un socle de chargement. Lorsque le soleil brille, les cellules solaires permettent à la tondeuse d’étendre ses périodes de coupe avant le prochain rechargement. Par conséquent, la pelouse est tondue plus rapidement, la consommation d’énergie est plus faible et la durée de vie de la batterie est prolongée. Tondeuses sur coussin d’air – Une tondeuse de ce type crée un coussin d’air entre le sol et elle, facilitant ainsi son déplacement sur la pelouse.2 Elle suit le contour du terrain et atteint les angles difficiles, ce qui lui permet de couper le gazon sans problème dans des endroits comme des pentes prononcées, les bords de lac et les fosses de sable.4
Sarcloirs Sarcloirs à manche long – Ne restez plus à genoux! Ces sarcloirs à griffes acérées et montés sur un long manche nous permettent d’attraper les mauvaises herbes par la racine tout en restant debout.1 Il suffit de placer les mâchoires au centre du plant de mauvaises herbes et de poser le pied sur la pédale. Les mâchoires attrapent les racines dans le sol. Puis on penche le sarcloir vers soi, ce qui arrache le plant du sol. On serre alors la pince d’éjection pour relâcher le plan où bon nous semble.5 Torches au propane – Ces torches sont compatibles avec toutes les bouteilles de propane et permettent de brûler les mauvaises herbes jusqu’à la racine. Placez l’embout de métal au-dessus du plant et laissez les flammes faire le travail.1 Ces torches tuent les mauvaises herbes en chauffant l’eau dans les cellules des plantes, ce qui désagrège la membrane des cellules. Les plants qui sont passés au feu dépériront après quelques heures. Les torches fonctionnent mieux sur des surfaces dures et ininflammables, telles que des entrées de garage, des trottoirs, des allées et des patios. Il ne faut pas s’en servir sur des éléments secs et inflammables, comme un couvert de paillis ou du gazon en dormance.6 Sources http://www.foxnews.com/leisure/2012/03/28/best-tools-for-lovely-lawn/ 2 http://en.wikipedia.org/wiki/Lawn_mower 3 http://www.latestgadgets.co.uk/home-garden/6123-robomow-rm510 4 http://www.ask.com/question/hover-mower 5 http://gardening.yardener.com/Hand-Tools-Weeding-Lawns 6 http://www.ehow.com/how_2167905_use-flame-weeder.html 1
Pour un cerveau en pleine forme Lettres mélangées – Remettez les lettres ci-dessous dans le bon ordre pour former des mots se trouvant dans l’article aux pages 8 à 11.
Sudoku – Remplissez le casse-tête sudoku afin que chaque rangée, colonne et boîte de 3 cases par 3 cases contienne les chiffres de 1 à 9 une seule fois.
1
1. èlpoebrm
8
7
2. oubesr
6
3. uttaemnigano
4
3
6
1
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3
4
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7
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8
2
3
2
3
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5
3
6
2
3
7
5
1
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2
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3 7
4
8 Source : 4puz.com
Encerclez les différences – Pouvez-vous trouver les cinq différences entre les images ci-dessous?
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Investissements Renaissance 17
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CAP SUR LE REVENU Un portefeuille qui est principalement composé d’actions et de titres à revenu fixe traditionnels est incomplet. Des stratégies complémentaires permettent de produire le revenu, la stabilité et la croissance dont les clients ont besoin dans le contexte actuel :
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02001F(201405)