Le conseiller Renaissance

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Le conseiller PROFILS DE FONDS TRIMESTRIELS / GESTION DES PRATIQUES / PERSPECTIVES / OPINION

T4 – 31 DÉCEMBRE 2014

La grande déconnexion Les attentes des investisseurs et la réalité des portefeuilles

Réservé à l’usage des conseillers


CEUX QUI SE CONTENTENT DE DEMI-MESURES NE FONT PAS L’HISTOIRE.

MD 1

TARIFICATION PRIVILÉGIÉE Les clients qui ont des sommes plus importantes à investir méritent un effort supplémentaire. Renaissance offre une gamme d’options à tarification avantageuse pour les placements à revenu fixe et les produits de revenu tout-en-un qui stimulent la croissance des portefeuilles à long terme.

Tarification avantageuse de 58 pb en moyenne1 Communiquez avec nous pour savoir comment en donner plus à vos meilleurs clients.

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Investissements Renaissance est offert par Gestion d’actifs CIBC inc. et est une marque déposée de celle-ci. Pour les fonds Renaissance de catégorie Plus. Le RFG a été annualisé au 31 août 2014 tel qu’indiqué dans le rapport intermédiaire de la direction sur le rendement des fonds de Investissements Renaissance. Le gestionnaire a renoncé à des frais de gestion ou a absorbé des dépenses d’exploitation, ce qui a réduit le RFG. Pour connaître le RFG ajusté, c’est-à-dire ce qu’il aurait été si le gestionnaire n’avait pas renoncé à des frais de gestion ou n’avait pas absorbé des dépenses d’exploitation, consultez les Rapports annuels de la direction sur le rendement du Fonds. La décision de renoncer à des frais de gestion ou d’absorber des dépenses d’exploitation est examinée chaque année et prise à la discrétion du gestionnaire; cette pratique peut se poursuivre indéfiniment ou cesser à tout moment. Les placements dans les fonds communs de placement peuvent faire l’objet de commissions, de commissions de suivi, de frais de gestion et d’autres charges. Veuillez lire le prospectus simplifié de la famille des fonds d’Investissements Renaissance avant d’investir. Les fonds communs de placement ne sont pas garantis, leur valeur varie fréquemment et leur rendement passé n’est pas indicatif de leur rendement futur.


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Dans ce numéro

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Planification fiscale et successorale Utilisation des comptes enregistrés pour mettre à l’abri le revenu fixe à imposition élevée

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Perspectives économiques Les cinq principaux thèmes de 2015

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À l’endos de la serviette Accumulation d’actifs : les secrets des conseillers de haut vol Partie 3

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La grande déconnexion

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Solution clé de placement Montrez aux clients les avantages des prêts à taux variable

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Merci à ceux qui nous ont offert leur soutien Soyez le partisan de votre client

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Lentement, mais sûrement

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Pour un cerveau en pleine forme

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De la directrice gestionnaire de l’équipe des ventes Renaissance

Des relations avec la clientèle fondées sur la confiance Voici le numéro du quatrième trimestre de 2014 du conseiller Renaissance. La plupart d’entre vous me connaissent, mais c’est ma première collaboration à ce magazine à titre de chef de l’équipe des ventes d’Investissements Renaissance. Je me réjouis d’approfondir nos partenariats et de consolider la confiance que vous nous portez en tant que fournisseur de services privilégié. La confiance est un élément clé de toute relation mutuelle, y compris les relations avec la clientèle. Mais comment inspirer confiance lorsque les investisseurs canadiens se méfient des marchés, craignent par-dessus tout de perdre leur capital et investissent de manière trop prudente pour atteindre leurs objectifs à long terme? Les résultats d’un récent sondage commandité par Gestion d’actifs CIBC permettent de conclure qu’il est essentiel de répondre à cette question pour renforcer la satisfaction de la clientèle et les relations qui la sous-tendent. Notre article de fond, intitulé La grande déconnexion : les investisseurs ont des attentes plus élevées à l’égard de leur portefeuille que ce qu’il peut leur offrir, peut vous aider à lever les préoccupations des investisseurs d’aujourd’hui. Il présente les résultats de notre sondage et les recommandations éclairées de MM. Luc de la Durantaye et Grant Shorten. Pour vous préparer avant un entretien avec un client, M. Shorten vous propose un mini-guide en 7 étapes pour informer les clients sur le ratio risque-rendement. Et lorsque les clients seront prêts à prendre davantage de risques, rappelez-vous qu’Investissements Renaissance offre une gamme de solutions pour chaque niveau de risque. Les Portefeuilles optimaux Renaissance sont des solutions complètes qui offrent aux investisseurs la possibilité d’obtenir un revenu, de profiter de l’appréciation du capital et de gérer la volatilité. Ailleurs dans ce numéro : Jamie Golombek propose un moyen d’optimiser l’épargne-retraite enregistrée, Benjamin Tal expose les cinq principaux thèmes économiques de 2015 et Grant Shorten explique comment tirer parti des activités de réseautage. Nous vous remercions de votre collaboration. N’hésitez pas à nous faire part de vos commentaires. .

Shelly McLean Directrice gestionnaire, Ventes nationales Investissements Renaissance


Utilisation des comptes enregistrés pour mettre à l’abri le revenu fixe à imposition élevée PLANIFICATION FISCALE ET SUCCESSORALE

Un récent sondage commandité par Gestion d’actifs CIBC montre qu’en matière de rendement, les attentes et les portefeuilles des investisseurs canadiens ne concordent pas. Près de la moitié des investisseurs mentionnent que leur objectif principal est la croissance, et un tiers estiment avoir besoin d’un rendement annuel d’au moins 6 %. Pourtant, nombre d’investisseurs placent leurs avoirs dans des CPG, des comptes d’épargne et des placements garantis, tous des placements à faible rendement. En fait, plus la volatilité augmente sur le marché boursier, plus les investisseurs tendent à se cantonner dans des placements prudents. Les répondants sont 17 % à déclarer que la volatilité a influé sur leur plan d’investissement et 22 % de plus sont indécis à ce sujet. Parmi les investisseurs qui ont réagi à l’agitation des marchés, 56 % affirment qu’ils vont investir de manière plus prudente pour mieux protéger leur capital. Or, les faibles rendements sur les placements prudents en titres à revenu fixe risquent d’être encore grugés par les taux d’imposition élevés qui frappent les comptes non enregistrés. Les placements en titres à revenu fixe, y compris les fonds obligataires, produisent un revenu d’intérêts imposé à un taux pouvant aller jusqu’à 50 %, selon le taux d’imposition marginal de l’investisseur et la province où il réside. C’est dire qu’un CPG offrant 2 % peut en réalité procurer à l’investisseur un rendement après impôt de 1 % seulement. Pour maximiser leurs rendements à long terme après impôt, les clients peuvent s’intéresser non seulement à la répartition de l’actif, mais aussi au mécanisme qui abrite leurs avoirs – c’est-à-dire au type de compte dans lequel leurs avoirs sont détenus. Le budget fédéral de 2008 prédisait que « l’utilisation croissante des CELI au cours des 20 prochaines années, combinée à celle des régimes enregistrés existants, permettra à plus de 90 % des Canadiens de détenir la totalité de leurs actifs financiers dans des mécanismes d’épargne fiscalement avantageux. » Et les clients auraient tort de ne pas profiter au maximum de ces mécanismes. Pour 2015, le plafond de cotisation au compte d’épargne libre d’impôt (CELI) est de 5 500 $. L’investisseur qui avait au moins 18 ans en 2009 et n’a jamais cotisé à un CELI dispose d’un plafond de cotisation de 36 500 $.

La plupart des Canadiens savent que le revenu de placement gagné dans un CELI sera complètement exonéré d’impôts, ce qui leur permet de profiter le plus possible des rendements de leur portefeuille. Ce que les investisseurs ignorent souvent, c’est que le même avantage peut être obtenu au moyen d’un placement dans un régime enregistré d’épargne-retraite (REER) si le taux d’imposition marginal de l’investisseur est le même l’année de la cotisation et l’année du retrait. Cette caractéristique des REER a été démontrée dans un article paru dans le numéro précédent et intitulé L’aveuglant remboursement. De plus, pour l’investisseur dont le taux d’imposition marginal baissera après son départ à la retraite, il est possible que le rendement d’un REER après impôt soit encore supérieur. Pour 2015, le plafond de cotisation à un REER est de 24 930 $, moins tout facteur d’équivalence; pour cotiser à hauteur de ce maximum, il faut avoir gagné au moins 138 500 $ en 2014. Assurez-vous donc qu’en 2015 les clients profiteront au maximum de leurs cotisations à un régime enregistré. *Les résultats indiqués dans le présent document sont tirés d’un sondage effectué par Léger sur le Web du 21 au 25 novembre 2014 auprès d’un échantillon représentatif de 1 505 Canadiens francophones ou anglophones âgés de 18 ans ou plus, qui ont un portefeuille de placements en vue de la retraite. À l’aide de données de Statistique Canada, les résultats ont été pondérés selon le sexe, l’âge, la région, la langue parlée à la maison, le niveau d’étude et la présence ou non d’enfants dans le ménage, ce qui garantit la représentativité de l’échantillon par rapport à l’ensemble de la population étudiée.

Jamie Golombek est directeur gestionnaire, Planification fiscale et successorale pour le groupe Gestion privée de patrimoine CIBC. Il collabore étroitement avec les conseillers pour les aider à offrir des solutions intégrées de planification financière aux clients à valeur nette élevée. M. Golombek est fréquemment présenté par les médias comme un spécialiste de la fiscalité. Twitter @JamieGolombek

www.investissementsrenaissance.ca/fr/jamie_golombek/

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Les cinq principaux thèmes de 2015

PERSPECTIVES ÉCONOMIQUES

1. L’économie mondiale dépassera les attentes La politique monétaire a été assouplie dans de nombreux pays; les prix du pétrole ont chuté de façon spectaculaire et une multitude d’économies sont stimulées par la faiblesse de leur monnaie. La Banque du Japon a accru son bilan de façon importante, tandis que la Banque centrale européenne a annoncé une série de mesures d’assouplissement et annoncera sans doute une nouvelle hausse de la cible d’expansion de son bilan et de ses achats d’obligations souveraines en janvier. L’incidence de ces mesures se manifestera principalement au cours de la deuxième moitié de 2015. Ajoutons à cela l’effet positif de la baisse des prix du pétrole sur la croissance mondiale et l’affaiblissement notable du yen et de l’euro tout comme celui de plusieurs autres monnaies, et il existe de bonnes raisons d’être un peu plus optimiste à l’égard de 2015. Le marché ne fera pas abstraction de l’ampleur exceptionnelle des mesures de stimulation. Il est très raisonnable de supposer que les marchés boursiers d’Europe et du Japon réagiront de manière positive à ces mesures de stimulation; nous pourrions même constater une modeste pression à la hausse sur les taux des obligations à long terme.

Pourcentage des exportations dans le PIB 30

%

20 15 10 5 0 1990

2000

2012

Source : Banque mondiale, Banque CIBC

%

3. Prendre des positions acheteur sur l’énergie?

98

2. Reprise autosuffisante aux États-Unis

Il est impossible de prévoir l’évolution des prix du pétrole dans les prochains mois. L’offre excédentaire à l’échelle mondiale atteindra son sommet au premier trimestre de 2015, et l’exploitation du pétrole de schiste ne ralentira pas dans les six prochains mois puisque la plupart des acteurs du secteur sont adéquatement financés pour cette période. Par conséquent, tout ajustement notable du marché au comptant ne deviendra bien visible que pendant la seconde moitié de 2015. Par conséquent, est-il raisonnable de présumer que d’ici 12 à 18 mois, les prix du pétrole seront plus élevés? Soulignons que l’éventuelle amélioration des valorisations dans le secteur de l’énergie n’affichera pas une trajectoire linéaire. La plus grande partie de cette amélioration surviendra pendant la première étape d’un redressement des prix.

Il est vrai que le dollar américain a nettement progressé au cours des six derniers mois, mais étant donné que leurs exportations ne représentent que 14 % du PIB (la moitié de la moyenne des pays membres de l’OCDE), les États-Unis, à bien des égards, constituent toujours un territoire isolé d’un point de vue économique.

« certains placements cotés BB offrant encore une emprise sur le cycle d’affaires ainsi qu’une diminution relative de la duration... »

-4,5 %

96 94 92 90 Janv. 2014

Mars 2014

Mai 2014

Juil. 2014

Sept. 2014

Nov. 2014

Source : Eurostat, Bloomberg, Banque CIBC

0 4

États-Unis Moyenne de l’OCDE

25

1980

Le taux de change effectif a chuté 100

L’activité est vigoureuse au sein de l’économie nationale, notamment grâce à la croissance importante du taux de création d’emplois. En 2015, l’accroissement du crédit servira probablement de pierre d’assise à la prochaine étape de la reprise. Puisque les taux de défaillance dans le secteur bancaire sont redescendus à leur niveau d’avant la récession et qu’il existe encore une demande de crédit refoulée substantielle, il faut s’attendre à une accélération du rythme de croissance du crédit aux États-Unis.


De plus, la déconfiture pétrolière mettra le secteur de l’énergie sous pression. Mais c’est également l’occasion d’accéder à des actifs qui demeurent plus ou moins indifférents à la chute du pétrole et dont l’avenir est plus brillant grâce à la baisse des prix de l’énergie. Les investisseurs devraient s’intéresser à certains placements cotés BB offrant encore une emprise sur le cycle d’affaires ainsi qu’une diminution relative de la duration, car c’est le début de la prochaine étape de la reprise économique et celle-ci entraînera un resserrement des politiques monétaires. Kg d'équivalent pétrole par habitant (2012) 8 000

kg

7 000 6 000 5 000 4 000 3 000

La baisse des prix de l’énergie (en premier lieu du gaz naturel) contribuera aussi à cette tendance. 5. Relèvement des taux d’intérêt, mais pas tous au même rythme Actuellement, il semble que la Réserve fédérale américaine prévoie commencer à relever les taux d’intérêt en juin 2015. Il peut se produire beaucoup de changements d’ici là, mais c’est ce qui est prévu pour l’instant. Soulignons que la Réserve fédérale est exposée au risque de relever les taux d’intérêt trop tôt (ou de façon exagérée) ou trop tard (ou de façon insuffisante). Sur le plan de la gestion du risque, la meilleure approche pourrait consister à augmenter rapidement le taux des fonds fédéraux jusqu’à environ 1 % avant de prendre une pause. À ce stade-ci, le marché prévoit un rythme de hausse des taux d’intérêt encore plus faible. Par conséquent, il est possible qu’on enregistre une progression des taux de rendement des obligations à moyen terme (disons pour les échéances de 2 à 5 ans) pendant le premier trimestre de l’année. En ce qui concerne la Banque du Canada, le déclin des prix du pétrole a rendu inutile toute hausse prochaine des taux d’intérêt. En fait, l'institution a réduit le taux à un jour à 0,75 % en janvier, facteur évidemment négatif pour le dollar canadien.

2 000 1 000 0 CAN

USA

RUS

FRA

DEU

JPN

GBR

ITA

« En ce qui concerne la Banque du Canada, le déclin des prix du pétrole a rendu inutile toute hausse prochaine des taux d’intérêt.»

Source : Banque mondiale, Banque CIBC

4. Changement de la donne au Canada Même si les prix du pétrole augmentent un peu par rapport à leur niveau actuel, leur déclin spectaculaire transforme la conjoncture économique au Canada. L’effet net de la baisse des prix du pétrole jusqu’à présent réduira probablement de 0,3 % à 0,5 % la croissance du PIB en 2015. L’Ouest – surtout l’Alberta – sera la principale victime; nous prévoyons que cette région subira un ralentissement économique notable, voire une correction du marché de l’habitation. En revanche, l’Ontario et le Québec bénéficieront en fait de la diminution des prix du pétrole. À la marge, ce changement de conjoncture améliorera aussi les perspectives du secteur manufacturier au Canada. La combinaison d’une économie américaine vigoureuse, du recul du dollar canadien et d’une importante amélioration de la productivité entraîne déjà une croissance de l’activité manufacturière canadienne.

Benjamin Tal est économiste en chef adjoint à la Banque CIBC. Désigné comme l’un des principaux experts canadiens du marché immobilier par le Fonds monétaire international, il est responsable de l’analyse de l’actualité économique et de ses répercussions sur les marchés nord-américains des titres à revenu fixe, des actions, des changes et des produits de base.

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Accumulation d’actifs : les secrets des conseillers de haut vol Partie 3 – L’efficacité du réseautage

À L’ENDOS DE LA SERVIETTE

Cette troisième partie de la série porte sur :

Il se passe quelque chose de magique quand on explore l’esprit de ceux qui excellent dans un domaine d’expertise. Nous pouvons systématiquement établir un modèle de leur excellence en découvrant leurs valeurs, leurs croyances, leurs méthodes et leurs approches personnelles. Dans cette série en trois parties, nous découvrirons comment certains des conseillers les plus performants arrivent invariablement à trouver des clients potentiels et à accumuler des actifs à un rythme supérieur à la moyenne. Le plus frappant, c’est que les méthodes des conseillers de haut vol n’ont souvent rien de remarquable ou d’étonnant, ni même de particulièrement créatif. Ce qui distingue les accumulateurs d’actifs efficaces de la moyenne est la maîtrise de l’essentiel! Ils considèrent leur temps et leurs ressources comme précieux et il est primordial d’éviter de les gaspiller dans des activités de marketing à faible impact. Ils préfèrent se concentrer sur deux ou trois tactiques de prospection à impact élevé. Les conseillers de haut vol savent que le marché a changé. Même s’ils ont probablement utilisé des méthodes conventionnelles au début de leurs activités, ils reconnaissent que pour réussir aujourd’hui il faut recourir au marketing de bouche à oreille, au contact en personne et aux présentations et recommandations personnelles. Les méthodes spécifiques de chacun peuvent varier, mais trois arrivent toujours en tête :

« L’EFFICACITÉ DU RÉSEAUTAGE » L’efficacité du réseautage Les réseaux personnels sont l’essence même de la vente. C’est probablement le mode de marketing le plus basique qui soit; et pourtant, c’est l’une des façons les plus sûres d’entrer en contact avec des clients potentiels et de nouer des relations à long terme. Ce qui pose problème à certains conseillers et les pousse si souvent à abandonner les activités de réseautage, c’est la nécessité de tirer profit de la dynamique issue du réseautage. Le conseiller de haut vol, lui, sait que chaque composante de son activité de réseautage exige une exécution précise.

Examinons de plus près chacune de ces composantes.

La première impression L’effet initial qu’on produit lors d’une activité de réseautage est capital. Les recherches laissent entendre qu’il suffit d’un dixième de seconde pour laisser une première impression durable à quelqu’un. Et une fois cette impression formée, il est pratiquement impossible de la défaire! Voilà pourquoi il est essentiel de se démarquer en se montrant sûr de soi, chaleureux, professionnel et digne de confiance. Les experts en réseautage connaissent l’importance de se préparer en vue d’événements, puis d’exhiber tous les éléments nécessaires pour laisser une première impression durable. Étant donné la fraction de seconde dont nous disposons, ces éléments seront d’abord essentiellement visuels : • Posture confiante et langage corporel expressif • Tenue appropriée • Sourire cordial et expression engageante

La puissance des alliances stratégiques

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Tirer parti des activités clientèle en petit comité

L’efficacité du réseautage

• Poignée de main parfaite (fermeté équivalente, paume vers le haut, contact visuel) Une fois que vous avez laissé une première impression positive, vous pouvez passer à l’élément suivant.


Établissement instantané d’un rapport La capacité de nouer instantanément un rapport avec des inconnus est un don rarement spontané. Heureusement, c’est un art qui s’acquiert assez facilement. Un rapport s’établit parfois naturellement lorsque deux personnes se découvrent des affinités mutuelles. Mais les experts en réseautage sont capables d’aiguiser ce phénomène au moyen des techniques suivantes :

1. Découvrir et mettre en valeur des intérêts communs Nul besoin d’avoir fait un doctorat pour savoir qu’on peut fonder une relation sur des intérêts partagés. Mais on oublie trop souvent l’importance de se montrer proactif dans ce processus. Pour créer un lien plus étroit avec votre interlocuteur, recherchez par votre conversation les intérêts que vous avez en commun avec lui et misez dessus. Les intérêts communs peuvent porter sur n’importe quoi – le cinéma et les loisirs, ou la santé et la forme physique, voire quelque chose de plus ésotérique.

2. S’identifier à son interlocuteur et partager ses idées Vous pouvez resserrer le rapport noué avec votre interlocuteur en vous identifiant ouvertement à lui et en montrant que vous êtes d’accord avec lui. Il ne s’agit pas d’approuver aveuglément tout ce qu’il dit! Si ses propos sont contraires à vos valeurs, vous mineriez rapidement votre propre estime. Utilisez plutôt abondamment des expressions comme « je suis entièrement d’accord » lorsque vous découvrez des idées, des notions ou des tendances philosophiques qui correspondent clairement aux vôtres.

3. Adapter son style de communication Il va sans dire que nous sommes naturellement attirés par des personnes qui nous ressemblent. La familiarité s’installe rapidement. Les maîtres réseauteurs prennent le contrôle de ce phénomène et utilisent la puissance de la réverbération, de l’appariement, du rythme et de l’influence. Utilisées convenablement, ces techniques permettent d’établir rapidement des rapports. Le concept est le suivant : Adoptez une posture et une gestuelle semblables à celles de votre interlocuteur. Soyez subtil dans votre approche : votre interlocuteur ne doit pas penser que vous le copiez ou le ridiculisez. Haussez ou baissez le ton pour l’ajuster à celui de votre interlocuteur. Vous pouvez même ajuster votre débit pour l’adapter au sein et réutiliser certains de ses mots clés plus loin dans l’entretien. Harmonisez votre état d’esprit général au sien et amenez-le graduellement à une plus grande réceptivité. Ces techniques sont tellement puissantes qu’on leur reproche de verser dans la manipulation. Pourtant, nous faisons tous appel à un large éventail d’options et de possibilités lors de nos communications, et c’est souvent notre propre état d’esprit ou notre environnement du moment qui déterminent notre style.

Par exemple : Notre communication avec un ami lors d’un barbecue est fort différente de celle que nous avons avec notre supérieur au travail ou avec un inconnu lors d’une réception... Et pourtant, nos différents « styles » nous paraissent tous parfaitement légitimes. Adopter la vision du monde d’une autre personne est souvent le compliment le plus flatteur qu’on puisse lui faire. En vous adaptant à votre interlocuteur, vous l’aiderez à relaxer et à se sentir à l’aise, et vous transmettrez plus efficacement votre message. Modifier la chimie cérébrale Chaque fois que nous parlons à une autre personne, nous modifions sa chimie cérébrale par les mots mêmes que nous choisissons. La puissance des mots est remarquable : ils créent instantanément des images dans l’esprit du destinataire et modifient son état émotif. Les activités de réseautage sont l’occasion de moduler et d’orienter le discours pour atteindre un résultat précis. Les experts en réseautage développent une habileté « naturelle » à choisir leurs mots avec soin, à en éradiquer la négativité et à tenir un discours édifiant, inspirant et stimulant. Lorsqu’une personne reste avec un sentiment positif à la fin d’une conversation, elle en conserve une impression durable et se montre disposée à poursuivre la relation. Poursuivre la relation et faire un suivi La dernière étape du réseautage consiste à faire progresser la relation. Si la conversation le justifie, demandez une carte professionnelle ou des coordonnées en vue de faire un suivi après l’événement. Faites ce premier suivi dans les 24 à 48 heures après l’activité de réseautage : de cette façon, le contact est maintenu. Ce suivi peut être bref – courriel, appel téléphonique ou note manuscrite exprimant de la gratitude – mais doit contenir une incitation à l’action. Invitez votre interlocuteur à un autre événement ou à prendre un café avec vous, ou posez-lui des questions appelant une réponse. Parfois, le simple fait d’amener quelqu’un à réagir une fois peut déclencher la mise en place d’un nouvel ensemble de comportements. Définissez de manière limpide votre marché cible, puis trouvez des moyens créatifs de passer du temps avec les personnes visées. Au fur et à mesure que nous reproduisons les valeurs, les croyances et les approches des meilleurs réseauteurs, nous découvrons qu’ils fonctionnent généralement avec une seule et unique ligne directrice : la recherche des possibilités d’offrir un « deuxième avis ».

Grant Shorten est directeur, Analyses stratégiques à Investissements Renaissance. Il donne une foule de conseils et de stratégies qui seront efficaces auprès de vos clients et qui auront une incidence immédiate sur vos activités.

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LA GRANDE DÉCONNEXION Les investisseurs ont des attentes plus élevées à l’égard de leur portefeuille que ce qu’il peut leur offrir

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Les portefeuilles sont-ils positionnés pour produire la croissance que les investisseurs attendent d’eux? D’après un sondage effectué pour le compte de Gestion d’actifs CIBC, 46 % des investisseurs canadiens déclarent que leur principal objectif de placement est la croissance : ils n’ont pas besoin de leur argent dans l’immédiat et investissent à long terme. Ils s’attendent à une croissance importante, d’ailleurs : 36 % d’entre eux estiment qu’il leur faut un rendement annuel de 6 % ou plus. Mais voici où le bât blesse : 42 % des mêmes investisseurs détiennent principalement des CPG, des comptes d’épargne ou d’autres placements garantis et prévoient conserver ces placements. Et 40 % d’entre eux qui investissent dans des placements garantis à faible taux précisent qu’ils ont besoin d’un rendement annuel de 4 % ou plus pour répondre à leurs objectifs de placement. En réalité, il faudrait que les taux d’intérêt s’élèvent énormément par rapport aux niveaux actuels pour que ces investisseurs obtiennent le rendement souhaité. Voici ce qu’a déclaré Luc de la Durantaye, directeur gestionnaire, Répartition de l’actif et gestion des devises à Gestion d’actifs CIBC : « La Banque du Canada restera prudente en maintenant les taux d’intérêt au plus bas possible à cause du ralentissement de la croissance et du recul de l’inflation. » La Banque du Canada a réduit son taux à un jour à 0,75 % en janvier, le premier changement de taux depuis septembre 2010. Ce n’est pas demain la veille qu’il montera jusqu’à 6 %. Pour obtenir les résultats escomptés, les investisseurs doivent accroître le risque de leur portefeuille. Qu’est-ce qui les empêche donc de se tourner vers des placements plus conformes à leurs objectifs à long terme? Les craintes et l’incompréhension Le sondage mené par Gestion d’actifs CIBC a révélé que 67 % des personnes interrogées qui évitent les placements à rendement élevé le font par crainte de subir des pertes en capital. Les autres, en particulier les jeunes investisseurs, ne connaissent tout simplement pas d’autres options que les placements garantis : c’est le cas de 27 % des investisseurs de 25 à 34 ans. Et un petit nombre d’investisseurs estiment que les placements non garantis sont trop compliqués ou trop coûteux. Comme l’affirme Grant Shorten, directeur, Analyses stratégiques à Investissements Renaissance : « En tant que spécialistes des placements, notre priorité doit être de détecter les émotions qui s’emparent des investisseurs, de reconnaître leur légitimité et de nous ajuster en conséquence. Nos clients de confiance ont besoin que l’on reconnaisse ouvertement leurs émotions et qu’on leur dise que leur réaction, quelle qu’elle soit, est complètement logique et justifiée. » Les craintes des investisseurs sont alimentées par les pertes déjà essuyées.

M. Shorten suggère que « les conseillers pourraient utiliser l’effondrement de 2008 comme base pour instruire nos clients et restaurer leur confiance dans le système financier. C’est normal que les investisseurs aient besoin d’être rassurés avant de se voir offrir des placements plus à même de leur permettre d’atteindre leurs objectifs à long terme. » « Si nous étudions la crise de 2008 ou la bulle des entreprises point-com de 2000, ou encore l’effondrement boursier de 1987, ou la crise du pétrole, ou même la débâcle de 1929... Les marchés boursiers finissent toujours par se relever, souvent pour atteindre des sommets encore jamais vus : il y a là de véritables occasions de créer de la richesse. » M. Shorten invite les conseillers à démontrer à leurs clients combien de mois il a fallu aux marchés pour se redresser par le passé : « C’est un exercice rassurant et révélateur pour nombre d’investisseurs inquiets. » Les marchés boursiers se relèvent toujours 70 000 $

Effondrement de Lehman Brothers

11 septembre Baisse : -11,5 % 1 an plus tard : -3,2 %

Baisse : -25,8 % 1 an plus tard : 22,3 %

60 000 $ 50 000 $ Grippe asiatique Baisse : -11,7 % 1 an plus tard : 29,2 %

40 000 $ 30 000 $

Décote des États-Unis 20 000 $

Baisse : -8,9 % 1 an plus tard : 4,9 %

10 000 $ ‘92

‘94

‘96

Indice composé S&P/TSX

‘98

‘00

‘02

Indice S&P 500

‘04

‘06

‘08

‘10

‘12

Indice MSCI mondial

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L’incertitude est la nouvelle certitude

7 ÉTAPES POUR INSTRUIRE LES CLIENTS SUR LE RISQUE ET LE RENDEMENT Grant Shorten

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PASSEZ en revue le plan financier complet de votre client pour lui rappeler ses objectifs de retraite.

RAPPELEZ à votre client la répartition actuelle de son actif et la liste de ses placements.

RAPPELEZ-LUI aussi l’objectif de placement qu’il a lui-même formulé – par exemple, obtenir une croissance de 6 à 8 % par an.

4

MONTREZ-LUI un graphique des taux de rendement historiques à long terme par catégorie d’actif, et positionnez ses propres placements sur ce graphique. (Consultez le Portrait global sur notre site Web.)

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SOULIGNEZ l’écart flagrant qui existe entre les attentes de votre client et la probabilité d’obtenir la croissance désirée au moyen de la répartition actuelle de son portefeuille et sa composition.

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EXPLIQUEZ que la faiblesse actuelle des taux n’avait encore jamais été vue auparavant et qu’il est peu probable que le contexte change beaucoup dans les prochaines années.

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CONCLUEZ votre entretien en déclarant tout net à votre client qu’il doit se résoudre à abaisser considérablement ses attentes... ou à admettre l’idée d’intégrer à son portefeuille un compartiment bien plus important d’actions bien diversifiées, choisies avec soin et procurant un rendement élevé.

Pour certains clients, la récente volatilité a des airs de déjà-vu. Parmi les investisseurs qui ont réagi à la volatilité boursière, la plupart (56 %) disent qu’ils vont investir de manière plus prudente. Mais comme l’explique M. de la Durantaye, « la situation actuelle est très différente de celle de 2008, lorsque l’endettement excessif a provoqué la crise du système financier que l’on sait. L’endettement a été considérablement réduit depuis. »

« La situation actuelle est très différente de celle de 2008, lorsque l’endettement excessif a provoqué la crise du système financier que l’on sait. » « La volatilité des marchés des derniers mois est un phénomène plutôt normal, mais elle peut paraître inhabituelle parce que les marchés des capitaux ont été exceptionnellement stables durant la dernière année », ajoute-t-il. Pour M. de la Durantaye, la correction boursière donne l’occasion d’acheter des actions. « Selon le marché ou le secteur mondial en cause, la correction a ramené les actions sous leur juste valeur et créé des occasions d’achat plus intéressantes », conclut-il. Le moment est venu de prendre plus de risques Malgré l’état actuel du marché, pour M. de la Durantaye les actions sont la catégorie d’actif la mieux positionnée pour procurer de solides rendements. « Étant donné les rendements plus modestes des actions et le potentiel limité de hausse des taux obligataires, les actions devraient continuer de surpasser les obligations, mais l’écart sera moindre qu’au cours des 12 derniers mois. Nos portefeuilles continuent de surpondérer les actions avec prudence et nous prévoyons que les mesures des banques centrales favoriseront l’expansion économique et produiront une croissance durable des bénéfices. »

« Nos portefeuilles continuent de surpondérer les actions avec prudence et nous prévoyons que les mesures des banques centrales favoriseront l’expansion économique et produiront une croissance durable des bénéfices. » En conclusion, comment convaincre vos clients d’investir? Voici le conseil de Grant Shorten : « Évitez à tout prix de tomber dans le discours scientifique et logique du monde des placements boursiers, de la répartition de l’actif et des principes de prudence et de diversification. Exposez plutôt votre manière de travailler avec vos clients pour leur redonner espoir et confiance, compte tenu des formidables occasions qui s’annoncent. » Il n’est pas nécessaire d’amener vos clients à transférer tous leurs actifs dès maintenant. Ils peuvent commencer doucement. M. Shorten précise : « Suggérez à votre client de diviser ses actifs à investir en deux parts, comme 75 % de “placements sérieux” et 25 % de “placements de l’espoir.” Pendant plusieurs mois par la suite, conservez les “placements sérieux” dans des instruments garantis et prudents, et constituez un portefeuille de “placements de l’espoir” constitué d’actions bien diversifiées. »


Sondage de 2015 auprès des investisseurs de Gestion d’actifs CIBC – Autres conclusions • Parmi ceux qui investiront principalement dans des actions, les deux tiers (69 %) prévoient choisir des actions canadiennes.

69 %

• C’était pratiquement le même nombre en 2014 (68 %).

Au Canada, les jeunes se trompent sur ce qu’il faudra pour qu’ils atteignent leurs objectifs de placement • Les Canadiens de 18 à 24 ans sont plus portés à déclarer qu’ils auront besoin d’un rendement annuel de 2 % à 4 % pour atteindre leurs objectifs de placement (27 %, contre 14 % pour la moyenne nationale).

Les investisseurs préfèrent toujours les placements canadiens

Les femmes sont plus prudentes que les hommes dans leurs placements

• La volatilité récente a modifié les plans des jeunes Canadiens en matière de placement pour les mois à venir (28 %, contre 17 % pour la moyenne nationale).

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Communiquez avec votre représentant Renaissance pour obtenir l’infographie du Sondage auprès des investisseurs de GAC. Ses illustrations appuieront à merveille vos entretiens avec vos clients.

• La majorité des femmes (52 %) parmi les répondants investissent dans des CPG, comparativement à 32 % des hommes. • La volatilité boursière a influencé les investisseuses : 65 % des femmes déclarent que la récente volatilité des marchés les incitera à faire preuve de plus de prudence.

Les résultats indiqués aux présentes sont tirés d’un sondage effectué par Léger sur le Web du 21 au 25 novembre 2014 auprès d’un échantillon représentatif de 1 505 Canadiens francophones ou anglophones âgés de 18 ans ou plus qui détiennent un portefeuille de placements en vue de la retraite. À l’aide de données de Statistique Canada, les résultats ont été pondérés selon le sexe, l’âge, la région, la langue parlée à la maison, le niveau d’études et la présence ou non d’enfants dans le ménage, ce qui garantit la représentativité de l’échantillon par rapport à l’ensemble de la population étudiée.

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Écoutez de courts balados de ces experts de Gestion d'actifs CIBC. www.conseiller.ca/endirect

A

Luc de la Durantaye, Gestion d’actifs CIBC

Balado > Trois bonnes raisons de réduire vos placements américains

Craig Jerusalim, Gestion d’actifs CIBC

Balado > En 2015, éloignez-vous des matières premières

Patrick O’Toole, Gestion d’actifs CIBC

Balado > Belle année en vue pour les obligations nord-américaines

Scott Vali, Gestion d’actifs CIBC

Balado > Il n'y a pas que le pétrole dans les matières premières

Présenté par Investissements Renaissance

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Montrez aux clients les avantages des prêts à taux variable

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Soyez le partisan de votre client

MERCI À CEUX QUI NOUS ONT OFFERT LEUR SOUTIEN

Sans le soutien de conseillers comme vous, Investissements Renaissance n’aurait pas le privilège d’aider tant de Canadiens à atteindre leurs objectifs financiers. Nous vous présentons un des spécialistes exceptionnels avec qui nous sommes très fiers de travailler. Qu’aimez-vous de votre secteur? Les clients cherchent à obtenir des conseils de professionnels en qui ils ont confiance et qui prennent leur parti. Kathy Robertson, associée aux placements, et moi sommes heureuses d’être les spécialistes appelées à seconder leur équipe. Quelle est votre méthode personnelle pour établir de solides relations avec la clientèle? Nous menons des entretiens en personne au cours desquels nous écoutons avec attention nos clients et leur prodiguons de bons conseils sur tous les aspects de leurs finances. Nous élaborons un plan, puis, ce qui est plus important encore, nous le mettons à exécution! Nous le réexaminons chaque année en concertation. Quelles sont les principales préoccupations des clients et comment y répondez-vous? Les clients s’inquiètent d’avoir assez d’argent. Pour être bien sûres de répondre à leurs interrogations, nous élaborons des plans financiers, nous les réexaminons chaque année et nous les révisons lorsque c’est nécessaire. De cette façon, nous restons au courant des changements qui surviennent dans la vie de nos clients. Les clients s’inquiètent aussi de traverser la prochaine baisse du marché sans y laisser leur chemise. Les portefeuilles de nos clients sont divisés en fonction de leur destination première. La partie sur laquelle ils devront effectuer des ponctions périodiques touche à peine aux actions et se trouve donc très peu exposée aux fluctuations de valeur sur le marché. Le reste de leurs placements comprend des actions, mais les fluctuations n’affecteront pas leur mode de vie au quotidien. Cela dit, nous récoltons la croissance quand elle se présente. Ces dernières années, nous avons beaucoup récolté et nous avons repositionné les profits de façon à nous protéger en cas de période plus difficile.

Sur quels secteurs ou thèmes de la planification financière ou des placements entendez-vous vous concentrer davantage à l’avenir? Notre entreprise est axée sur les clients; or, à mesure que ceux-ci prennent de l’âge, leurs besoins évoluent. Ce que nos clients attendent de nous, c’est vraisemblablement que nous les aidions à se défaire de leur propre entreprise et à transmettre leur richesse à la génération suivante. Notre équipe compte des conseillers financiers possédant sept titres professionnels : nous sommes bien outillés pour répondre à la demande des clients. Quel serait votre meilleur conseil pour acquérir de nouveaux clients? Assurez un excellent service à vos clients actuels et collaborez en toute bonne foi avec leurs comptables et leurs avocats. Un client satisfait amène de lui-même de nouveaux clients en vous recommandant autour de lui. Quels sont vos passe-temps préférés? Je raffole du yoga! Kathy préfère le golf et le hockey. Quel est l’objet dont vous ne pouvez pas vous passer? Mon BlackBerry. C’est la bouée de sauvetage qui me rattache au bureau. Kathy dépend davantage de sa montre, qui lui permet de respecter ses échéances et la maintient en alerte.

Cyrilla Saunders Société : Saunders Wealth Advisory Group de CIBC Wood Gundy Emplacement : Charlottetown, Î.-P.-É. Nombre d’années dans le secteur : 18 Nombre de personnes dans l’équipe : 3

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Vous vous entraînez en vue de courir un marathon, un demi-marathon ou une autre épreuve de fond? Partez du bon pied!

LENTEMENT, MAIS SÛREMENT ET AUTRES RÉFLEXIONS SUR LA COURSE DE FOND

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Au début de chaque nouvelle année, nous avons le réflexe de prendre de bonnes résolutions.

Qui veut aller loin ménage sa monture Préparer votre corps à franchir en courant les 42,2 km d’un marathon « prend un certain degré de maturité, c’est un état d’esprit », déclare Smith. Ce dernier, qui entraîne des coureurs de tous les niveaux depuis plus de 20 ans, a lui-même fait de la compétition pendant près de 30 ans. L’épreuve du marathon attire habituellement des coureurs déjà aguerris qui cherchent à se dépasser. L’entraînement commence généralement de 16 à 18 semaines avant l’épreuve, ce qui laisse le temps aux coureurs de « conditionner leur corps au moyen d’un entraînement intelligent et efficace », affirme-t-il. Car c’est là la clé du succès : s’entraîner intelligemment.

Apprendre à marcher avant de courir Ce n’est pas très fréquent, mais il arrive qu’une personne sans aucune expérience de la course vienne demander à Smith ses services dans l’espoir de courir un marathon. « D’habitude, dans ces cas-là, nous recommandons l’adhésion à une clinique du coureur spécialisée. Ces cliniques permettent de relever les défis associés à la course au sein d’un groupe de même niveau. » Les cliniques du coureur sont adaptées à des athlètes de tous les niveaux, et pas seulement aux marathoniens. D’après Smith, le bon moment pour s’adresser à un entraîneur, c’est « après que vous aurez couru une distance correspondant à la moitié de votre objectif. » Et soyons clairs : courir un demi-marathon ne veut pas dire s’entraîner à moitié. Le sportif qui s’engage à toutes jambes dans un marathon sans entraînement suffisant s’expose à bien d’autres avanies que le seul risque de se blesser

Cette décision ferme de faire ou de ne pas faire une chose ou une autre dans le but de nous améliorer à long terme – et les objectifs de santé et de remise en forme figurent souvent en tête de liste. Nous nous entretenons ici de l’importance de l’entraînement à long terme avec Kevin Smith, président de Marathon Dynamics, entreprise torontoise qui propose aux coureurs des services d’encadrement. Après tout, l’entraînement lui-même est un marathon et pas un sprint.

physiquement. Il s’expose aussi à un échec cuisant sur le plan émotionnel. Smith raconte qu’il a vu des athlètes se décourager et aller jusqu’à cesser complètement de courir. « Le corps et l’esprit ont leurs limites. »

Hop! Et que ça saute! Le corps de chacun fonctionne à sa façon. C’est encore plus évident chez les adeptes de la course de fond. Le principe de base de l’encadrement consiste à poser aux coureurs les questions qui leur permettront de découvrir pourquoi ils n’obtiennent pas nécessairement les résultats escomptés. En plus de mesurer la distance et la vitesse des coureurs, Smith leur propose une approche personnalisée qui s’appuie sur un logiciel maison. Le logiciel calcule et élabore un plan d’entraînement unique qui aboutit à la formulation de recommandations parfaitement adaptées à chacun. Fondées sur les objectifs du coureur et les renseignements recueillis, ces recommandations précisent notamment la fréquence idéale des entraînements, la meilleure façon de les répartir en fonction de l’emploi du temps du coureur, la distance à parcourir et le rythme à adopter. Certains organisent alors eux-mêmes leur entraînement en fonction de ce plan, tandis que d’autres préfèrent être encadrés pour le mettre en application. Les coureurs ont l’occasion de poser des questions pendant tout le processus. Bien des gens pensent que l’entraîneur est là pour les motiver et les pousser à se dépasser; pour Smith, une grande partie de son rôle consiste plutôt à enseigner aux coureurs à se montrer moins exigeants envers eux-mêmes. « Les gens sont parfois trop stricts; ils suivent leur plan d’entraînement avec tellement de rigueur qu’il n’y a plus de place pour les aléas de la vie. » Il lui arrive souvent de les inviter à se détendre et à ralentir le rythme. « Un coureur est parfois son propre ennemi. »

Depuis 1997, la CIBC est le commanditaire principal de la Course à la vie CIBC de la Fondation canadienne du cancer du sein. 15


CINQ FACTEURS À PRENDRE EN COMPTE :

Courir plus intelligemment Le fait d’avoir un entraîneur dans les parages est très instructif, car c’est souvent lui qui attirera votre attention sur les petits détails. Smith précise : « Les entraîneurs voient des choses dont les coureurs eux-mêmes ne sont pas conscients et qui sont source de tension inutile. Certains coureurs serrent les poings ou contractent les muscles du visage, par exemple. » L’entraîneur voit si le coureur est penché lorsqu’il court, s’il se déhanche ou si sa foulée est trop longue. Selon Smith, il est vrai que la forme physique est essentielle pour réduire le risque de blessure, mais ce n’est pas l’atout maître pour réussir un marathon. Il concède : « Certes, c’est important. Mais ce n’est généralement pas ce qui fait défaut au coureur qui ne parvient pas à atteindre son but. » Certains coureurs préfèrent tenir les bras très près du corps tandis que d’autres aiment bien les laisser pendre librement. Ce qui marche pour la personne A ne marchera pas nécessairement pour la personne B. Et c’est pourquoi chacun devrait avoir un encadrement personnalisé et ne pas se laisser obnubiler par sa forme physique. Pour réussir, il faut faire des choix intelligents et rester à l’écoute de son corps.

Cet événement d’un jour mobilise 65 collectivités du Canada afin d’amasser des fonds pour sensibiliser la population et financer la recherche novatrice contre le cancer du sein et les programmes d’éducation et de sensibilisation. Ensemble, nous avons recueilli 25 millions de dollars en 2014.¹ Les athlètes de toutes les catégories sont les bienvenus : vous pouvez marcher, courir ou offrir vos services à titre de bénévole pour contribuer à cette activité de financement et faire avancer les choses. La Course à la vie CIBC est prévue pour le 4 octobre. N’oubliez pas de réserver cette date à votre agenda 2015! ¹http://cibccommunity.com/fr/traitements/cibc-run-for-the-cure/

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CHAUSSURES – Achetez une bonne paire de chaussures de course adaptées à votre voûte plantaire et à votre foulée. Si vous ne savez pas bien lesquelles choisir, rendez-vous dans un magasin spécialisé. Les chaussettes aussi sont importantes! Adoptez des chaussettes sans couture et qui respirent afin de prévenir les ampoules.

RÉCHAUFFEMENT – Prenez le temps de vous réchauffer et de vous étirer afin de stimuler votre circulation et de prévenir les blessures en renforçant vos articulations et vos muscles.

SOMMEIL – Assurez-vous de dormir 7 ou 8 heures au moins les deux nuits précédant la course; évitez toute activité fatigante la veille de l’événement. Vous permettrez ainsi à votre corps de bien récupérer et de fonctionner à sa capacité optimale!

ALIMENTATION – Déjeunez environ deux heures avant la course. Choisissez des aliments simples, énergétiques et faciles à digérer. N’oubliez pas de vous hydrater!

PLAISIR – Le sentiment de fierté que vous ressentirez en franchissant la ligne d’arrivée est sans pareil. Rappelez-vous les raisons qui vous poussent à participer à la course et puisez-y votre motivation. Profitez de la satisfaction qui vous envahira après la course pour fixer votre prochain objectif.


Pour un cerveau en pleine forme Lettres mélangées – Remettez les lettres ci-dessous dans le bon ordre pour former des mots se trouvant dans l’article aux pages 8 à 11.

1. mppincalertnie

Sudoku – Remplissez le casse-tête sudoku afin que chaque rangée, colonne et boîte de 3 cases par 3 cases contienne les chiffres de 1 à 9 une seule fois.

5

4

2

6

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3

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8

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2

8

6

5

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8 4

7

5 7 9

7

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1

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2 7. cricnoetro 8. osmseetd 9. spszae

2

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4 8

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4 1 2

7

3

Source : 4puz.com

Encerclez les différences – Pouvez-vous trouver les cinq différences entre les images ci-dessous?

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Investissements Renaissance est offert par Gestion d’actifs CIBC inc. et est une marque déposée de celle-ci.


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À L’USAGE EXCLUSIF DES CONSEILLERS Investissements Renaissance et les portefeuilles Axiom sont offerts par Gestion d’actifs CIBC inc. Le présent document a été préparé à l’intention des spécialistes en placements uniquement et ne doit pas être diffusé au grand public. Il est fourni à titre indicatif seulement et ne vise pas à donner des conseils de placement ni des conseils juridiques ou fiscaux. Ce document ne peut être reproduit ou distribué, en totalité ou en partie, sans le consentement formel écrit d’Investissements Renaissance. MD Axiom, Portefeuilles Axiom et Investissements Renaissance sont des marques déposées de Gestion d’actifs CIBC inc. Imprimé au Canada sur du papier post consommation 25 % recyclé


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