DOSSIER DE PRESSE
PROGRAMME Edition 2015 samedi 7 juin
samedi 13 juin
17h Cedric Watson & Bijou Creole (Louisiane)
dimanche 8 juin
FESTIVAL PARFUMS DE MUSIQUE L’Haÿ-les-Roses
L
a treizième édition du festival Parfums de Musiques est un voyage entre les rives de l’Atlantique. Vent du Nord - Acadie, Ontario, Louisiane - le violon mène la danse sur l’écho d’un français lointain. Vent du Sud - Angola, Brésil, Paris - un corps à corps magique et doux unit l’harmonie lusophone aux rythmes africains, jusqu’à la capitale.
P
remier week-end : plaisir de bal ! Les valses de Cedric Watson nous ramènent à l’époque où la France essaimait en sociétés créoles de la Nouvelle Orléans à la Martinique. Le répertoire cajun de la Louisiane, qu’il revisite avec Bijou Creole, est hérité des Français chassés de l’Acadie. La paix signée, les Acadiens reviennent au Canada, où ils empruntent le folk à leurs voisins irlandais, écossais. Le savoureux français de Vishtèn bondit sur les rythmes du tambour “bodhran”. Les sœurs jumelles, fondatrices du groupe, s’accompagnent de la percussion des pieds sur le sol. Comme elles, April Verch, Canadienne anglophone de l’Ontario, éblouit par son jeu de claquettes. Son violon virtuose est un enchantement.
S
econd week-end : invite à la lusophonie ! Bonga chante l’Angola. Sa lutte contre la dictature au Portugal a cessé avec la chute de l’ex-empire, aujourd’hui réparti entre 53 états. Sa voix résonne du CapVert au Mozambique, de l’Europe au Brésil. Le « semba » angolais a voyagé dans la mémoire des esclaves et fait souche au Brésil dans leurs cérémonies. Transformé en « samba » brésilienne, sa tendre frénésie inspire la ronde de Samba de Rosa, installée à Paris. Márcio Faraco y apprivoise la sophistication de la bossa nova. Les secrets qu’il murmure sur son rythme envoutant s’enroulent au soufflet de la « boîte à frisson ».
L
a musique s’enrichit des relations humaines. Du dénuement ou du conflit naissent des harmonies et des chansons, qui sont la mémoire vive des sociétés. Alors, on danse ?
17h Bonga (Angola)
dimanche 14 juin
15h April Verch Band (Canada)
15h Samba de Rosa (Brésil - France)
17h Vishtèn (Acadie)
17h Márcio Faraco (Brésil)
ACTION CULTURELLE Rencontres
E
n amont du festival, l’ADIAM 94 propose des rencontres musicales avec un des artistes de la programmation des Parfums de Musiques dans des lieux situés à proximité de la Roseraie départementale de l’Haÿ-les-Roses.
C
ette année, ce sont les musiciens du trio canadien Vishtèn qui viendront à la rencontre des val-de-marnais pour parler de la culture et de la musique acadienne, mais aussi pour donner à entendre une partie de leur répertoire. Mercredi 3 juin à 17h Bibliothèque Georges Sand L’Haÿ-les-Roses Jeudi 4 juin à 19h Médiathèque Louis Aragon Choisy-le-Roi Vendredi 5 juin à 18h Bibliothèque municipale Villeneuve-le-Roi
François Bensignor 2
Parfums de musiques - 13e édition
3
WEEK END
des 6 et 7 juin 2015
Deux week-ends de concerts à la rencontre des cultures musicales du monde
Samedi 6 juin à 17h
Cedric Watson & Bijou Creole Louisiane
les musiciens noirs font du cajun. Affranchis mais séparés, dans cet État longtemps rétif à l’abolition de l’esclavage, ils lui insufflent leur langage musical aux rythmes africains. « Zydeco » vient du mot « haricot », prononcé « zarico », base de la nourriture des paysans. Chanson emblème du répertoire, « Les haricots sont pas salés » traduit le dénuement des Noirs, qui n’avaient pas même un morceau de lard pour saler la soupe.
gnoles, africaines, françaises qui, en se mélangeant, ont forgé la culture originale de la Louisiane. Teinté de blues et de rhythm’n’blues, le style créole trouve une nouvelle jeunesse avec Cedric Watson, impétueux interprète du « downbeat », le jeu sur le premier temps. A écouter Le Troubadour Creole (2013) Site Web www.cedricwatson.com
La musique créole plonge ses racines plus loin, englobant l’ensemble des répertoires. Elle intègre les influences amérindiennes, espa-
L
a trentaine énergique, Cedric Watson fait valser les clichés passéistes sur la Louisiane. Chanteur charmeur ou attiseur d’ambiance, il passe avec aisance du violon à l’accordéon. On tape du pied, on attrape ses mots. Son sourire danse la magie du style créole. À Lafayette depuis 2004, Cedric Watson baigne dans le monde des musiques francophones. Ce goût lui vient de sa famille créole, partie au Texas chercher une vie meilleure. En Louisiane, il recueille les trésors du répertoire auprès des grandes lignées de musiciens : Ardoin, Broussard, Doucet, Fontenot... Adoubé par les anciens, il reprend le flambeau, parcourant toutes
4
Parfums de musiques - 13e édition
les terres de musique créole. Les trois grandes composantes de la musique francophone de Louisiane sont le cajun, le zydeco et la musique créole. Le mot « cajun » est une déformation anglophone de « Cadien », nom donné aux réfugiés Acadiens déportés de la colonie du Nord cédée à l’Angleterre. La petite communauté de colons blancs accueillie en Louisiane fait vivre un répertoire traditionnel, notamment du Poitou. Dans la chaleur humide des bayous sa musique évolue au rythme du « la-la », qui fait danser ces dames et messieurs aux bals « faisdodo », une fois les enfants endormis. Le zydeco est l’interprétation que
Artistes Cedric Watson
chant, accordéon, violon
Desiree Champagne
washboard, chant
Kyle Gambino saxophone
Aaron Boudreaux
batterie
Tyler Saunier basse
5
WEEK END
des 6 et 7 juin 2015
Deux week-ends de concerts à la rencontre des cultures musicales du monde
Dimanche 7 juin à 15h Après un an passé au fameux Berklee College of Music de Boston (USA), April se met à écumer, en professionnelle, les festivals celtiques, bluegrass ou folk. Son trio actuel privilégie un répertoire de pièces traditionnelles de collectage. Mais il maîtrise aussi le style des Appalaches et s’avère convaincant sur des morceaux de country & western.
APRIL VERCH BAND Canada
S
on air ingénu d’enfant prodige cache l’aisance d’une artiste aguerrie. April Verch, a l’archet volubile et la voix suave. Et lorsque ses souliers virevoltent en claquettes sur la cadence « old time », vous prend l’exaltation du tourbillon. La Rivière des Outaouais - Ottawa River pour les anglophones - sert de frontière entre les états du Québec et de l’Ontario. Elle irrigue une vallée fertile, ancien territoire des Algonquins, où s’établirent des communautés françaises, irlandaises, écossaises. De ces cultures sont issus un dialecte particulier et une tradition musicale vivace. Ralph Verch, chanteur anglophone et guitariste amateur,
6
Parfums de musiques - 13e édition
horizons. Parfums de Musiques est l’une des rares scènes françaises où il présentera son dixième album, The Newpart. A écouter The Newpart (2015) Site Web www.aprilverch.com
En 2010, l’invitation à jouer pour la cérémonie d’ouverture des Jeux Olympiques d’Hiver de Vancouver est une consécration. Après la Chine, l’Australie, les Émirats Arabes Unis ou l’Europe du Nord, le April Verch Band explore de nouveaux
transmet à ses enfants l’amour de cette musique. À trois ans, la petite April s’initie au « step dance » dans les pas de sa sœur. À six ans, elle attrape le violon. Papa à la guitare sait enchaîner les « reels », les gigues et les valses pour faire tourner la fête. April est entourée des meilleurs musiciens, grands connaisseurs bien qu’amateurs, qui lui montrent les subtilités du jeu et des cadences. À treize ans, elle enregistre son premier album. À la fin de ses études secondaires, un second est sorti et elle a remporté le Championnat canadien de violon old time.
Artistes April Verch
chant, violon, step dance
Cody Walters contrebasse, banjo
Hayes Griffin
guitare, mandoline
7
WEEK END
des 6 et 7 juin 2015
Dimanche 7 juin à 17h Chez leurs parents, dans la petite communauté francophone de Mont-Carmel, défilent les chanteurs et musiciens de l’île, principalement d’origine irlandaise ou écossaise. Toutes petites, elles dansent la gigue et apprennent le jeu de claquettes assis appelé « podorythmie ». Leur père, professeur de musique, les encourage à devenir multiinstrumentistes.
VISHTÈN Acadie
L
es airs d’Acadie renvoient au temps des pionniers du Nord-Est américain. La musique de Vishtèn offre une nouvelle vie à des paroles déjà chantées il y a cinq siècles. Avec la force des tempêtes, ces chansons établissent un rempart à la fierté d’un peuple qui se sent isolé : une nuance singulière de la francophonie. En 1755, les Anglais, nouveaux « propriétaires » de la colonie établie autour de l’embouchure du fleuve Saint-Laurent, décident la déportation des Français d’Acadie, qui refusent de prêter serment d’allégeance à la couronne. Certains résistent, d’autres, faits prisonniers, sont ballotés d’une rive
8
Parfums de musiques - 13e édition
Deux week-ends de concerts à la rencontre des cultures musicales du monde
sûr du violoneux aguerri en tournée avec des combos rock. Ainsi Vishtèn s’est-il forgé la réputation d’un power trio trad’. A écouter Mosaïk (2012) Site Web www.vishten.net
La blonde Emmanuelle et la brune Pastelle mènent la danse avec Pascal Miousse. Originaire des Îles de la Madeleine, petit archipel à majorité francophone au milieu du Golfe du Saint-Laurent, il a le phrasé
à l’autre de l’Atlantique... Vishtèn représente la 7e génération de descendants de ces Acadiens qui, ayant survécu aux affres du « Grand Dérangement », se sont réinstallés dans les provinces atlantiques du Canada. L’Acadie tient son nom d’un mot de la langue des autochtones Micmac désignant les « terres fertiles ». Quant au terme « vishten », les sœurs jumelles Emmanuelle et Pastelle LeBlanc l’ont entendu dans les chansons traditionnelles de l’Île du Prince Édouard, où elles ont grandi. Il signifie « mélange des cultures », à l’image du répertoire de leur trio, qui revisite la tradition avec une énergie contemporaine.
Artistes Pastelle LeBlanc
chant, piano, accordéon
Pascal Miousse chant, violon, guitare
Emmanuelle LeBlanc
chant, mandoline, bodhrán, podorythmie 9
WEEK END
des 13 et 14 juin 2015
Deux week-ends de concerts à la rencontre des cultures musicales du monde
Samedi 13 juin à 17h à Rotterdam. Les exilés capverdiens qui l’accueillent produiront ses deux premiers albums aux messages politiques. Depuis Paris, où il vit de 1973 à la fin des années 1980, ses chansons accompagnent l’indépendance des colonies portugaises, acquise en 1975.
BONGA Angola
S
a trentaine d’albums et ses 400 chansons font de Bonga le plus célèbre des chanteurs angolais. Sa voix abrasive est associée à l’esprit de résistance qu’il incarnait avant l’indépendance de son pays. De la mélancolie à l’énergie joyeuse, il perpétue le style populaire de Luanda, qui l’a vu naître il y a 72 ans. « Nos ancêtres critiquaient le régime dans les chansons de carnaval. J’ai emprunté cette pratique culturelle, qui permettait d’informer le peuple et de le mobiliser » dit Bonga. À neuf ans, Jose Adelino Barçelo de Carvalho (son vrai nom) s’initie auprès de son père accordéoniste. Il l’accompagne à la « dikanza » long bambou cannelé frotté avec
10
Parfums de musiques - 13e édition
une fine baguette, qui reste son porte-bonheur - au rythme de la « rebita ». Son premier groupe, dont le nom signifie « La misère des quartiers pauvres » interprète les musiques locales comme le « semba » ancêtre de la samba brésilienne. Le chanteur se souvient : « Les colons portugais ne juraient que par le fado et détestaient notre musique. » Remarqué pour ses prouesses à la course, Bonga se retrouve à Lisbonne. Athlète et étudiant au sein du Benfica, club omnisport, il devint recordman junior du 400m. Mais quand en 1966 la police politique du dictateur Salazar démasque l’activisme du jeune Angolais, il s’enfuit
En plus de 40 ans, Bonga a parcouru le monde, de l’Apollo Theatre de Harlem aux scènes de Hong Kong ou Macao. Ses chansons ont enflammé les publics d’Europe, d’Afrique et du Brésil, où il a enregistré aux côtés des stars Carlinhos Brown et Marisa Monte. Observant avec une bienveillante distance le
redressement de l’Angola, Bonga préfère rester vivre au Portugal. Aujourd’hui son chant, dont la profonde humanité a été révélée ici dans son célèbre duo avec Bernard Lavilliers, appelle à la convivialité entre les êtres humains. A écouter Hora Kota (2011) Site Web www.lusafrica.com
Artistes Bonga Kuenda
chant, congas, dikanza
Betinho
guitare
Juneval Cabral basse
Ciro Lopes accordéon
Djipson
batterie 11
WEEK END
des 13 et 14 juin 2015
Deux week-ends de concerts à la rencontre des cultures musicales du monde
Dimanche 14 juin à 15h (tambour à friction d’origine bantoue), etc. Aujourd’hui devenue un genre à part entière, avec ses nombreuses variantes (partidoalto, samba de breque, sambacanção, gafieira, pagode, sambafunk, samba-rock, etc.), la samba essaime sur toute la planète.
Samba DE ROSA Brésil - France
U
ne rose nouvelle s’épanouit au cœur de la Roseraie. Samba de Rosa - jeu de mot sur une des formes de la samba - rassemble six artistes franco-brésiliennes. Sur une couronne de rythmes chatoyants, leurs harmonies vocales exhalent les parfums entraînants d’une samba universelle. Les racines de la samba se perdent dans les forêts d’Afrique équatoriale. Dès le XVIe siècle, afin de développer les plantations sucrières sur leurs terres du Brésil, les colons portugais déportent des esclaves. Partis de leurs comptoirs des côtes de l’actuel Angola, les bateaux débarquent des cargaisons humaines issues des peuples Kongo. L’atroce
12
Parfums de musiques - 13e édition
Les six artistes qui constituent Samba de Rosa sont follement éprises de ce battement du cœur de l’âme brésilienne. Elles se rencontrent à Paris. Quatre sont brésiliennes : Ana et Camila, deux explosives Cariocas, Emilia venue du Minas Gerais et Marina de São Paolo. Deux sont françaises : Aurélie et Verioca, qui
se produisent aussi en duo. Unies dans l’harmonie des gestes et des voix, elles déclenchent la danse et dessinent toutes les couleurs de la samba. A écouter Pas d’enregistrement à ce jour Além des nuages (2011) du duo Aurélie & Verioca Site Web www.helicomusic.com
dénuement auquel les contraint la condition servile n’aura jamais raison de leur culture profonde. Elle va renaître dans les rythmes et la musique accompagnant le candomblé, religion fusionnant animisme et christianisme. Originaire de Bahia, la « samba de roda » est une danse exécutée pour le plaisir après la cérémonie du candomblé. Des couples de danseurs se succèdent au milieu de la ronde (roda), les musiciens accompagnant les chants, à teneur poétique, sur les mêmes instruments : surdo (grosse caisse), tantan (tambour medium), repique (tambour ténor), pandeiro (tambourins à cymbalettes), cuica
Artistes Verioca
chant, cavaquinho
Camila Costa chant, guitare
Ana Guanabara
chant, tantan
Aurélie Tyszblat chant, pandeiro
Marina Uehara
tamborim, caisse claire, surdo
Emilia Chamone pandeiro, congas
13
WEEK END
des 13 et 14 juin 2015
Dimanche 14 juin à 17h
MáRCIO FARACO Brésil
S
ouffle marin, caresse de bossa nova, l’inspiration de Márcio Faraco rêve de musette et de fado. Passager clandestin ouvert à la beauté du monde, le chanteur brésilien partage l’esprit de ses voyages dans sa musique vagabonde. Márcio Faraco séduit par ses compositions tout en délicatesse. La douceur de sa voix sur ses airs chaloupés, les harmonies légères courant sur sa guitare à la rencontre d’un accordéon font rêver d’un Brésil acclimaté aux rives de la Seine. Sa poésie nous tient. La musique de ses mots nous laisse imaginer la langue brésilienne.
14
Deux week-ends de concerts à la rencontre des cultures musicales du monde
Parfums de musiques - 13e édition
Débarqué sur la Côte d‘Azur en 1991, il s’offre la bohème. La palette de styles absorbés dans sa jeunesse brésilienne entre la frontière sud, Recife, Brasilia et Rio lui sert de passeport. Les villas de Saint-Tropez, où il anime les fêtes des stars, n’ont bientôt plus de secret pour lui. Vite lassés par le rôle de bouffon tropical auquel ils sont assignés, Márcio et son ami percussionniste Julio Gonçalves s’installent à Paris. Durant sept ans, ils jouent sur toutes les scènes de France et de Navarre. Pourtant la route est longue vers la reconnaissance. De ses premiers succès à Brasilia où, étudiant, Márcio volait la guitare de son père pour jouer du rock
progressif, il garde l’insouciance. De l’âpre concurrence à laquelle, la fac abandonnée, il est confronté dans l’arène de Rio, il retient la rigueur de la composition. Mais n’entre pas qui veut dans le cercle fermé du showbiz carioca. C’est à Paris, dix ans plus tard, qu’il se lie d’amitié avec Chico Buarque. Convaincu du talent de Márcio, l’auteur de « O que sera » chante avec lui la chanson titre de son album « Ciranda ».
Um Rio - Márcio Faraco accueille naturellement les influences du fado, du forro ou de la chanson française. Ses chansons sont le reflet de sa vie, qu’il compose comme ses chansons. A écouter Cajueiro (2014) Site Web www.marciofaraco.com
Cette entrée magistrale dans le troisième millénaire augure du succès des six albums suivants. Pétri de bossa nova - témoin son duo avec Milton Nascimento sur l’album
Artistes Márcio Faraco
chant, guitare, viola
Lionel Suarez accordéon
Gerson Saeki basse
Julio Gonçalves percussions
Ney Veras
percussions, mandoline 15
...Ny Malagasy Orchestra, Dorsaf Hamdani, Casuarina, Canzionere Grecanico Salentino, Dizu Plaatjies, Stelios Petrakis, Tengir Too, Barbara Furtuna, Carla Pires, Renata Rosa, Söndörgö, Pura Fe, Teofilo Chantre, Enkhjargal, Mor Karbasi, Oneira, Korrontzi, Sílvia Pérez Cruz, Cuarteto Cedrón, Mei Li De Dao, Calypso Rose, Les frères dodo twoubadou, Huong Thanh Trio, Trio Madeira Brasil, Annie Ebrel, Bassekou Kouyate, René Lacaille, Dobet Gnahoré, Nassima, Sur Sudha, Divana, Oquestrada, Dédé St Prix, Musafir, Papiers d’Arménies, Justin Vali, M. Duplessy et les 3 violons du monde, La Compagnie Rassegna, Le Grand Ensemble de la Méditerranée, Super Rail Band de Bamako, Kamel El Harrachi, Sandra Bessis, Hanta, Music Maker Foundation, Christofer Bjurström, N’goni Ba, Dick et Hnatr, Sophia Charai, O’Djila, Beverly « Guitar » Watkins, Melissa Laveaux, Susana Blaszko, Familha Artus, Guo Gan, Manuel Delgado, Bohog and the Rooters, Kolektif Istanbul, Wang Weiping, Gullu Muradova, Madina N’Diaye, Compagnie Montanaro, Kevin Seddiki, Ensemble Soie et Bambou, Sankyoku Ensemble, Bijan Chemirani, Hadja Kouyate, Nguyên Lê, Mieko Miyazaki, Takht El Med & Nadia Khaless…
INformations pratiques LIEU DES CONCERTS
COMBIEN ÇA COÛTE ?
Roseraie du Val-de-Marne Théâtre de verdure Rue Albert Watel 94 240 L’Haÿ-les-Roses www.roseraieduvaldemarne.com
1er week-end : entrée libre sans réservation 2d week-end : 3€ plein tarif / 1,5€ tarif réduit (prix d’une entrée à la Roseraie)
COMMENT VENIR ? En voiture : RN7 ou RN20 ou A86, puis RD 126, direction Centre ville/Roseraie En RER : Ligne B, station « Bourg-la-Reine », puis bus 172 ou 192, arrêt Sous-préfecture Eglise de L’Haÿ-les-Roses En métro : Ligne 7, station « Porte d’Italie », puis bus 186 arrêt Henri Thirard - Léon Jouhaux ou 184 arrêt Sous-préfecture - Eglise de L’Haÿles-Roses. OÙ STATIONNER ?
OÙ MANGER ? Restauration légère sur place et aires de pique-nique dans le parc concomitant L’EQUIPE DE L’ADIAM 94 Didier Sendra (directeur) Sylvie Nicolas (administratrice) David Delpech (responsable des actions) 4 route de Fontainebleau 94400 Vitry-sur-Seine 01 41 73 11 79 www.adiam94.org
Parkings :
L’ensemble des textes du dossier de presse ont été rédigés par François Bensignor
Municipal rue Albert Watel De la sous-préfecture Dispan de Floran
RELATIONS PRESSE David Delpech david.delpech@adiam94.org 01 41 73 11 80
Initiative du Conseil général du Val-de-Marne (Direction des Espaces Verts et du Paysage, et direction de la culture) Mise en oeuvre par l’ADIAM 94 Avec le soutien du Ministère de la Culture et de la Communication (DRAC Ile-de-France)
Crédits photos : Philip Gould, Parker J Pfister, Rita Carmo / Lusafrica, Diana Gandra, Sarah Blum
Ils sont passés par Parfums de Musiques...