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Dossiers
Comme si les difficultés d’approvisionnement ne suffisaient pas...
L’état de guerre qui règne actuellement en Ukraine nous interpellent forcément et ne peuvent nous laisser indifférents tant les imbrications des chaînes de valeurs sont aujourd’hui complexes, pour bien des composants électroniques. Depuis les matières premières (on a parlé du néon, matière indispensable aux fonderies de semiconducteurs, du quartz pour les oscillateurs, fortement dépendantes de production russe ou chinoise), jusqu’aux ateliers de sous-traitance dans les pays de l’est limitrophes de l’Ukraine, ce sera sans conteste une nouvelle étape dans les réflexions à mener en termes de souveraineté, et d’indépendance économique pour notre pays.
Nous avons pu voir ces dernières semaines, ici et là dans la presse, des rumeurs de détente du marché des composants. D’où viennent ces informations, sur quoi sont-elles fondées ?
Opportunités marketing ou commerciales pour les uns, tentative de minimiser les problèmes pour les autres, histoire d’occuper la scène médiatique, et de faire patienter tout le monde, probablement.
Du point de vue du SNESE, et au regard des tendances mis à notre disposition par les distributeurs ou les spécialistes, quels qu’ils soient, les prévisions restent largement au rouge, tant pour les prix que pour les délais, il convient donc de rester très prudent. Ce que nous constatons du côté des sous-traitants, correspond également à ce que nos clients qui sont en liaison directe avec les fabricants nous indiquent : peu d’améliorations des approvisionnements depuis 3 mois et dans de nombreux cas, les confirmations de commandes qu’ils ont reçues ne couvrent souvent que 60 % de leur besoin 2022. fiques, et le résultat de la remise en route de sites « back end « d’Asie du Sud Est qui ont petit à petit repris leurs activités après les fortes perturbations dues au COVID19 durant le 2e semestre 2021. On ne reviendrait donc qu’à la situation de début 2021, à condition de bénéficier aussi d’améliorations indispensables côté transport. Or la flambée de Covid du coté de Hong-Kong perturbe à nouveau toute la chaîne maritime asiatique.
Des améliorations très ciblées et profitant seulement à quelques-uns.
Peut-être est-ce aussi déjà un premier résultat des alliances scellées ces derniers mois entre les fabricants de semiconducteurs, les fondeurs et certaines filières très puissantes comme l’automobile, qui se sont mobilisées face à la déferlante du PC et de la 5G. Les constructeurs automobiles, en retard de plus de 10 millions de véhicules dans leurs plans (l’électronique a bon dos pour en être incriminée en totalité), finiront donc par recevoir les microprocesseurs dont ils ont besoin, les autres composants étant en stock. Ce répit potentiel d’ici fin d’année, ne devrait pourtant être que de courte durée, tant les capacités de production restent insuffisantes à servir l’ensemble du marché. Le cabinet IHS Markit, dans son analyse du marché automobile, fait état d’un retour à une tension sérieuse, particulièrement sur les semiconducteurs analogiques, d’ici fin 2023 début 2024.
Ce point est capital, car les investissements en matière de semiconducteurs sont à notre connaissance concentrés sur les microprocesseurs de futures générations (7, 5 ,2 nm) ce qui ne résout en rien les problèmes que nous connaissons actuellement dans l’industrie dont les besoins sont plutôt de type IC analogiques (180-90nm). Poussés par les mêmes raisonnements financiers véhiculés par les cabinets de consultants, les industriels du semiconducteur ont tendance à se désintéresser de cette typologie de composants en en sous-traitant la fabrication, laissant à d’autres le soin de produire ces composants qui sont pourtant le cœur de nombreuses applications essentielles à notre économie. Ce même type d’erreur a déjà été commis plusieurs fois dans le passé et se trouve à l’origine des pénuries cycliques que nous connaissons tous. Si nous n’y prenons pas garde nous serons une fois de plus dépendant de l’Asie du Sud Est. Ce que nous souhaitons évidemment, c’est d’être assuré que tous les investissements annoncés en vue d’augmenter les capacités de production en Europe soient majoritairement dédiés à des consommations européennes. La feuille de route de l’European Chips Acts, vise bien, sur le moyen terme, le renforcement de l’activité industrielle de l’UE tout en s’attaquant à la sécurisation de l’approvisionnement de l’écosystème des semiconducteurs, induisant le rééquilibrage des partenariats avec des États tiers, comme les États-Unis, le Japon ou même Taiwan, même s’il n’est pas nommé. Parmi les textes présentés, il y a même une recommandation qui prévoit qu’en cas de pénuries significatives de semiconducteurs ou de composants essentiels, la Commission puisse déployer une palette d’outils allant de la surveillance renforcée du marché jusqu’aux achats communs. Il est aussi question pour les usines de prioriser certains contrats par rapport à d’autres, c’està-dire servir les clients européens en priorité. En d’autres termes, il s’agit d’avoir la possibilité de contrôler les exportations.
peut être très mal perçu par nos partenaires commerciaux. Mais la Commission pourrait profiter du projet en cours de discussion d’un instrument pour le marché unique visant à renforcer la coordination entre Etats pour proposer un mécanisme plus général de contrôle de la production et/ ou des exportations. L’ensemble du dispositif ne devrait entrer en vigueur qu’une fois le règlement adopté, c’est-à-dire après avoir été amendé par les États et le Parlement.
Selon le SNESE, et nous ne sommes pas les seuls à le déclamer (cf l’enquête IHS Markit ou les déclarations du ZVEI en Allemagne), il faut mettre en place une réflexion bien plus large des besoins de nos marchés électroniques. Les dizaines de milliards réservés à des puces sous les 10 nM ne répondront en rien aux pénuries actuelles. Nous espérons donc plus de visibilité sur l’ensemble des composants qui posent aujourd’hui questions : les semiconducteurs analogiques, les passifs, les PCBs, …
Les intentions sont bien là, avec une nouvelle réflexion stratégique Européenne moyen terme, et c’est extrêmement louable, mais on comprend aussi que le chemin législatif et règlementaire sera bien compliqué au risque de ne jamais aboutir. Il ne faudrait pas non plus qu’elle concentre, une fois de plus toutes les ressources vers quelques secteurs élitistes dont nos industries n’y trouveront aucun bénéfice dans les prochains mois.
De la même façon, nous espérons bien une mobilisation générale pour s’assurer que la répartition des composants nécessaires à l’ensemble de la filière se fasse au profit de considérations stratégiques d’intérêt national ou de marchés souverains, et non comme on peut le craindre, dans une anarchie déjà vécue dans le passé de la distribution au plus offrant, à n’importe quelle condition.
La survie de nos adhérents est actuellement engagée par la double peine des pertes de chiffre d’affaires pour impossibilité de produire par manque de quelques références, cumulée au financement des stocks incontournables et subis. Pour cela le SNESE œuvre très énergiquement pour faire aboutir à la création de dispositifs d’aides qui puissent correspondre à toutes les catégories de nos adhérents TPE, PME et ETI. Voir les nouveaux prêts BPI sans garantie Industrie PME et Croissance Industrie qui ont été réactualisés.
Nous vous donnons aussi rendez-vous au prochain salon Global Industrie pour partager toute l’information possible sur l’évolution des approvisionnements des composants dont personne ne parle, notamment les passifs. Avec une cinquantaine d’exposants adhérents, qui veulent résolument signifier leur foi en une reprise industrielle bien présente, le SNESE sera une fois de plus au centre du Village des Industries Electroniques démontrant la vitalité de notre filière, incontournable pour notre monde de demain, quelles que soient les embûches, qu’il souhaite passagères.
STAND 5M20
SNESE Eric BURNOTTE, Président Jean-François MAIRE, délégué général +33 (0)7 49 66 52 80 info@snese.com www.snese.com
Diversité face composants - diversité face soudure
Une inspection des PCBs à double face . THT Line · 3D
PROTAVIC INTERNATIONAL, chimiste réactif
Par Dominique LEMIERE, reporter.
Tout a commencé en 1932, lorsque Frédéric Moor crée Protex International, à Paris. C’est à l’époque une entreprise dédiée à la fabrication de produits auxiliaires pour l’industrie textile. En 1952, Fréderic Moor décède : son fils Robert, 20 ans prend la relève et il poursuivait ses études à Centrale Paris dont il a été diplômé. Lui qui voulait bâtir des ponts, il fera de la chimie ! Il se révèle doué, et doté d’un tropisme pour l’international qui se traduira par un développement rapide de Protex hors frontières, d’abord aux PaysBas, puis en Allemagne, en Italie, à Hong-Kong, aux Etats-Unis, au Maroc, en Corée du Sud. Avec audace, le jeune entrepreneur mène sa barque en faisant des acquisitions ciblées, parfois en créant des filiales.
Robert Moor tient à le souligner : Protex fait le choix de conserver ses trois sites industriels en France : à Château-Renault en Indre-et-Loire, à Noyant dans le Maine-et- Loire et à Saint-Avold en Moselle. « Nous n’avons jamais délocalisé ». En revanche, le réseau d’usines à l’international complète l’outil de production du groupe, tout en répondant à un besoin local et à des opportunités de marché.
Une stratégie de croissance organique et externe
« Au départ, l’idée était que PROTEX ait dans ses compétences une branche électronique pour commercialiser des produits à haute valeur ajoutée », relate le directeur des ventes, Simon Malandain. « A partir de marchés historiques comme le textile, l’évolution s’est progressivement faite vers des additifs pour la peinture, des procédés papetiers, pour beaucoup d’autres applications industrielles. Ces spécialités chimiques destinées à être valorisées, ont à leur tour abouti à la mise en place d’une branche dédiée aux formulations de pro-
Robert MOOR, PDG de PROTEX. Les industriels exigent plus : aux adhésifs désormais d’assurer des fonctions naguère dévolues aux radiateurs, hydrogels et soudures. Le domaine le plus demandeur est sans conteste l’électronique. La première fonction recherchée est l’évacuation de la chaleur produite par les composants électroniques. Elle est obtenue en chargeant les matrices de polymères conducteurs de chaleur, l’alumine par exemple. Et la demande est en forte augmentation, car les composants montent en puissance tout en étant de plus en plus confinés...
duits prêts à l’emploi de colles et résines - puis au marché de l’électronique. C’est ainsi que fut créée Protavic International, filiale à 100% du Groupe Protex International. » « Nous avons toujours voulu faire de la croissance organique et externe », martèle de son côté Robert Moor, PDG de Protex. « C’est une règle absolue. Aujourd’hui, il est plus simple de faire de la croissance externe - bien que cela soit un peu risqué ». Ainsi Protex reste à l’affût d’opérations d’acquisitions en France et à l’étranger, sur des marchés de niche. Protavic a réalisé pas moins de 4 acquisitions ces dernières années, et a encore une dizaine de dossiers à l’étude.
Technologies complémentaires
« Pourquoi faisons-nous ces acquisitions ? » expose Robert Moor. « Parce que les techniques de fabrication en microbiologie sont très près de la production de produits chimiques spéciaux : il faut des réacteurs, il faut des filtres, il faut des pompes. L’électronique est un secteur sur lequel nous déployons beaucoup d’efforts : le Groupe investit 6% de son CA en R&D et cela représente 14% uniquement pour PROTAVIC.
Cette diversification est un atout majeur pour nos clients. C’est une capitalisation du savoirfaire, un partage des ressources internes, une complémentarité des différentes compétences et formes d’expertises, un partage des valeurs environnementales qui sont tout à son avantage. »
Priorité à l’innovation
Depuis sa création, Protavic a toujours fait de l’innovation une priorité et investit 6% de son chiffre d’affaires en recherche et développement, en s’appuyant sur différents laboratoires : ainsi le Centre de Recherche et Développement en France qui détient une expertise dans les résines et colles conductrices et isolantes, les matériaux de remplissage et les encres, résines polymérisables UV. Aux EtatsUnis, ce sont les produits de collage, de revêtement et d’encapsulation thermiquement et électriquement conducteurs ainsi que les résines polymérisables aux UV qui font l’objet de développements poussés, et également les applications LED ; les centres de recherche coréen et chinois sont spécialisés sur les colles époxy chargées à l’argent, les résines d’encapsulation et les colles époxy pour semi-conducteurs et LED. Avec le récent rachat de Dalic, basée à Vitré (Ille-et-Vilaine), spécialisée dans la métallisation électrochimique sélective, Protavic espère accroître son portefeuille clients dans l’aéronautique, la défense, le ferroviaire et le pétrole.
La fertilisation croisée est mise en œuvre entre les différents laboratoires
La société travaille également en collaboration avec des centres de recherche externes, des universités, des laboratoires et sociétés industrielles, sous forme de contrats multilatéraux.
Ainsi, c’est en collaboration avec le CEA que Protavic a pu lancer de nouveaux produits à base de nanofils d’argent à la suite d’un transfert réussi ; plus récemment, un nouveau transfert de technologie a été réalisé avec l’institut de technologie de Karlsruhe avec pour objectif de développer une colle conductrice pour les composants microélectroniques et les modules solaires.
« Par ces collaborations, souligne Simon Malandain, nous améliorons constamment nos formules afin de répondre aux exigences de nos clients. C’est le cas de notre adhésif électro conducteur à deux composants, chargé d’argent, ACE 10600 A&B, qui a été spécialement conçu pour le collage de conducteurs dans la fabrication de composants et pour le transfert de composants plats sur des couches épaisses ou minces en micro-électronique. Les principaux avantages sont l’absence de CMR, une bonne résistance aux températures 250°C - 300°C afin de résister au processus de soudure ainsi qu’une bonne conductivité électrique de l’argent pur.»
Excellence de la recherche en France
Pourquoi se développer en France ? Robert Moor est catégorique : « Parce que la recherche se fait majoritairement en
Simon MALANDAIN, directeur des ventes.
France, la R&D, et notamment celle portant sur les composants électroniques, les cartes. Si la production est généralement faite à l’étranger, le développement est français.
Cet environnement de R&D européen est fondamental car il permet d’acquérir des technologies dans les grands centres de recherche et de les rendre industrialisables : cet écosystème permet à Protavic d’aller chercher des technos à l’extérieur et de les déployer pour les besoins de l’industrie ». PROTAVIC a pu ainsi développer une expertise sur des segments de niche des colles électro-conductrices et colles isolantes, des résines glob-top, dam et fill, colles de terminaison pour composants passifs, encres électro-conductrices. Ces chimies sont destinées majoritairement aux cartes à puce, RFID, condensateurs, composants passifs, semi-conducteurs, composants actifs, circuits imprimés et LED.
Evolutions technologiques : quels sont les besoins ?
Pour Simon Malandain, les colles se fonctionnalisent : « Il faut désormais leur ajouter la conductivité, de la transparence, ou de l’absorption. Car les colles doivent se polymériser vite et bien sur tous les supports ; c’est maintenant acquis. Mais les industriels exigent plus : aux adhésifs désormais d’assurer des fonctions naguère dévolues aux radiateurs, hydrogels et soudures. Le domaine le plus demandeur est sans conteste l’électronique. La première fonction recherchée est l’évacuation de la chaleur produite par les com-
posants électroniques. Elle est obtenue en chargeant les matrices de polymères conducteurs de chaleur, l’alumine par exemple. Et la demande est en forte augmentation, car les composants montent en puissance tout en étant de plus en plus confinés » « Sur la carte électronique, le besoin d’évolutions technologiques est essentiel » estime Simon Malandain. « L’industrie emploie de plus en plus de convertisseurs de puissance, de modules de puissance, en conséquence il y a une nécessité de contrôles des températures pour ce type de composants : il faut introduire de nouveaux produits. C’est là-dessus que nous travaillons pour développer de nouveaux matériaux d’encapsulation à haute tenue en température. Aujourd’hui le tout-venant des produits sont issus de chimies qui s’appellent époxy, silicone, mais aujourd’hui nous travaillons sur des technologies hybrides qui assemblent plusieurs chimies pour dépasser les températures maximales qui atteindront dans un futur proche les 250°. Ce ne seront pas pour autant des époxys boostés, mais des produits adaptés, avec des propriétés meilleures, afin de réduire au maximum les contraintes mécaniques en cas de variations de température importantes. Ces résultats sont obtenus grâce à des années de recherche et d’expérimentation qui sont la marque de l’excellence des chimistes de nos équipes de R&D.
Entreprise française à taille humaine
Pour Robert Moor : « les récents développements de la société s’inscrivent dans la stratégie de Protavic International qui vise à se positionner comme un fournisseur global dans le métier de la chimie dédiée à l’électronique. La constante augmentation du marché mondial des produits électroniques justifie les investissements réalisés pour répondre à la demande. » C’est bien là que PROTAVIC compte marquer sa différence, et répondre aux cahiers de charges les plus exigeants de l’industrie électronique. Mais tout en restant une alternative française face à un marché dominé par des groupes étrangers, et en proposant une large gamme de produits techniques et la réactivité et la flexibilité d’une entreprise à taille humaine.
PROTEX INTERNATIONAL Robert MOOR +33 (0)1 41 34 14 00 rmoor@protex-international.com www.protex-international.com
EUROPLACER contributeur actif à
l’IPC CFX, nouveau standard incontournable pour la «smart industry» dans l’électronique
Europlacer a été le premier en 2021 à obtenir la certification IPC* Connected Factory Exchange (CFX). La norme IPC CFX standardise et améliore la communication des données dans la ligne de production de cartes électroniques. En adoptant la norme, tous les acteurs de l’électronique, toutes tailles et secteurs confondus, y trouvent des bénéfices concrets dans le suivi de leur production et leur gestion de stocks. Europlacer, actif au sein de l’IPC dès 2018 dans la conception de la norme avec la participation active de LACROIX, a pris depuis le leadership de la mise en œuvre concrète dans les équipements CMS. Europlacer se positionne en précurseur de l’adoption large de ce nouveau standard, étape décisive et concrète vers l’Industrie 4.0 et la « smart factory » dans les usines de production électronique.
La genèse de la norme IPC CFX.
L’IPC est une association américaine reconnue mondialement qui a la charge de concevoir et publier des normes dans le secteur de l’industrie électronique. Accrédité par l’American National Standards Industry (ANSI), l’IPC a mis au point près de 300 normes largement utilisées à ce jour. Au sein de l’IPC, Europlacer est devenu membre de la « A-Team » qui a contribué à la conception puis aux améliorations du standard IPC CFX, travail qui se perpétue encore aujourd’hui avec de nouvelles évolutions. Un travail collaboratif entre Europlacer et l’activité Electronics de LACROIX a permis de s’assurer de la pleine pertinence des choix techniques effectués pour des environnements de production de volume. Constituée en 2018, une cinquantaine de réunions ont été organisées depuis la création de cette équipe. La « A-Team » est composée de représentants issus de fabricants de machines comme Cette norme IPC CFX
offre ainsi l’accès à une interconnexion simplifiée entre équipements pouvant provenir de différents fournisseurs au sein d’une même ligne de production. En développant l’interopérabilité, le suivi de production en est aussi facilité, permettant d’améliorer la qualité et d’optimiser les coûts. Tout ceci permet aussi de créer un écosystème standardisé et un interfaçage pratique et rapide avec les logiciels MES/ERP compatibles...
Europlacer mais aussi d’éditeurs de logiciels de gestion des opérations et données de production (MES) comme Aegis. Une vingtaine de membres collaborent ainsi main dans la main, sous l’égide de l’IPC. Les missions de la « A-team » consistent avant tout à définir les priorités, rédiger les spécifications techniques et coder toutes les nouvelles fonctionnalités de la norme au fil des trois versions déjà sorties. Des échanges réguliers entre tous les membres ont pour objectif de faire évoluer cette norme intelligemment afin qu’elle corresponde ainsi le plus possible aux besoins des utilisateurs. Le projet est géré en open-source, ce qui signifie que tous les contributeurs sincèrement engagés au service de l’industrie électronique peuvent devenir membres de la « A-Team ».
Alexis FOUQUET - Europlacer.
« Europlacer a toujours été en avance sur son temps en ce qui concerne le partage des données. Il était donc naturel de nous inscrire dans cette démarche de standardisation des échanges. Écrire un standard, c’est penser large au bénéfice des utilisateurs, répondre à la demande actuelle mais aussi anticiper les besoins de l’industrie du futur. Europlacer se nourrit également de cette expérience pour améliorer ses produits et leur intégration dans l’industrie 4.0. » Alexis Fouquet, Ingénieur Logiciel R&D Europlacer
Les avantages de ce protocole universel pour les acteurs de l’électronique
Tel un web service, la norme ouvre la mise en œuvre des différentes machines de ligne CMS en « plug & play ». Les données des machines sont échangeables entre elles dans un langage universel basé sur un protocole AMQP (Advanced Message Queuing Protocol). Les informations textuelles sont transmises de leur côté dans un langage commun baptisé JSON (JavaScript Objet Notation), que toutes les machines et les logiciels sont capables de traiter.
Cette norme IPC CFX offre ainsi l’accès à une interconnexion simplifiée entre équipements pouvant provenir de différents fournisseurs au sein d’une même ligne de production. En développant l’interopérabilité, le suivi de production en est aussi facilité, permettant d’améliorer la qualité et d’optimiser les coûts. Tout ceci permet aussi de créer un écosystème standardisé et un interfaçage pratique et rapide avec les logiciels MES/ERP compatibles.
Sortie en mai 2021 par Europlacer, l’ii-Tab et plus précisément l’application de surveillance de production en temps réel « RTM », permet de bénéficier des avantages de l’IPC CFX tout en améliorant votre expérience utilisateur, grâce à une visualisation des données facilitant la prise de décision en production.
La gestion des stocks de composants est un autre bénéfice important de la norme. En effet, en travaillant dans un environnement entièrement interconnecté, une meilleure traçabilité des composants est assurée. De même, la possibilité d’avoir une visibilité centralisée de l’état des stocks en temps réel améliore leur gestion, et aussi celle des flux de production.
Michael FORD - AEGIS.
« La norme IPC CFX est la référence de l’industrie 4.0 dans le domaine électronique. Elle permet d’avoir accès à des tableaux de bord et d’assurer une gestion en temps réel de la production. Elle a aussi l’avantage de faciliter la gestion des stocks de matériaux et d’en fournir une traçabilité complète. Elle peut aussi améliorer la planification en la rendant plus adaptative et paramétrer des processus automatisés. En somme, cette norme permet d’apporter encore plus d’agilité dans les usines, sans avoir à investir dans des intergiciels aux intégrations souvent complexes et chronophages dans les systèmes en place. » Michael Ford, Aegis, membre actif de l’ATeam de l’IPC CFX.
LACROIX a déjà adopté la norme IPC CFX
Avant l’implémentation de la norme IPC CFX chez LACROIX, un temps précieux pouvant durer plusieurs mois parfois, était consacré uniquement à l’intégration de nouvelles machines dans un environnement de production afin de rendre leurs langages compatibles. L’activité Electronics de LACROIX a accepté d’être le partenaire d’Europlacer pour tester la norme IPC CFX sur des chaines de production grandeur nature. Après avoir constaté une mise en interconnexion de ses machines six fois plus rapide qu’auparavant, l’industriel est totalement convaincu par son efficacité et les gains de productivité obtenus. Il a d’ailleurs prévu de déployer la norme CFX sur l’ensemble de ses sites de production ainsi que de l’exiger sur toutes ses futures machines.
Colas PEYRELIER - LACROIX.
« Notre intérêt est double : ce protocole nous permet non seulement de planifier, lancer et modifier des productions dans les ateliers depuis des logiciels de pilotage de la production (MES) ou des logiciels de gestion (ERP), mais aussi de vérifier l’état de notre production en temps réel.» Colas Peyrelier, Responsable informatique industriel de l’activité Electronics de LACROIX.
François ERCEAU - Europlacer.
« Grâce à LACROIX, nous avons pu expérimenter la norme IPC-CFX sur de la production en grandeur réelle et nous confronter à un panel plus large de situations. Bénéficier de l’expérience d’un industriel leader dans son domaine et de sa puissance est une chance. » François Erceau, Directeur Stratégie et Marketing du Groupe Europlacer.
https://www.lacroix-electronics.fr/ smart-stories/smart-industry-fr/protocole-ipc-cfx-le-nouveau-langage-quiaccelere-la-digitalisation-de-lindustrieelectronique/
La certification IPC CFX, une garantie pour les industriels
https://certification.connectedfactoryexchange.com/certification-directory
L’investissement dans les équipements certifiés IPC CFX garantit aux industriels de l’électronique la pérennité de leur investissement grâce au protocole universel qui assure la compatibilité avec tous les autres modèles certifiés eux aussi de machines ou bien de logiciels MES. L’écosystème ainsi créé est totalement « connecté » ce qui accélère la transformation digitale de la production, rendant la ligne « intelligente », améliorant la performance industrielle et augmentant la capacité des opérateurs.
Beaucoup d’industriels et sous-traitants de l’électronique rejoignent ainsi le club des « supporters » afin de spécifier et/ ou recommander l’utilisation de la norme. LACROIX en fait bien sûr partie mais aussi beaucoup d’autres industriels et soustraitants souhaitant être les premiers à en tirer tous les bénéfices.
https://www.ipc.org/cfx-supporters
De nombreux fabricant d’équipements rejoignent aussi constamment l’IPC CFX en y ajoutant de nouvelles machines. Le lien ci-dessous en fournit une liste actualisée en permanence, parmi lesquels les leaders en AOI/SPI comme Mirtec et bien d’autres. À ce jour toutes les machines Europlacer de placement de composants ii-A1, ii-A2, ii-A3, ii-A4 mais aussi iineo+1 et iineo+2 sont certifiées IPC CFX. Pour l’avenir Europlacer a décidé de ne lancer sur le marché que des équipements certifiés IPC CFX aussi bien pour les machines de pose que celles de sérigraphie.
EUROPLACER Kasia TALEC +33 (0)2 51 31 03 03 kasia.talec@europlacer.fr www.europlacer.com
Avec son intégration au holding DENTRESSANGLE, SYNOV convoite le statut d’acteur français de référence sur le marché des cartes électroniques
Par Dominique LEMIERE, reporter.
C’est leur plus récente acquisition mais tout indique qu’elle ne sera pas la dernière. C’est désormais officiel, Laundren, le fabricant de produits électroniques complexes vient de passer dans le giron du groupe SYNOV. Avec ce rachat, Synov totalise désormais près de 100 millions d’euros de chiffre d’affaires, 730 collaborateurs dont 54 ingénieurs en Recherche & Développement - et dispose de 7 sites industriels en France et un en Tunisie.
BOULIMIE.
Depuis qu’en novembre 2017, le holding familial d’investissement Norbert Dentressangle a annoncé la finalisation de la prise de contrôle du groupe Synov, basé à Saint-Germain Laprade, en Haute-Loire, et de facto son actionnaire majoritaire, l’appétit de l’investisseur pour le secteur électronique est devenu une véritable boulimie.
L’arrivée en 2017 de Norbert Dentressangle marque le début d’une croissance menée avec la rapidité d’une conquête. Historiquement, le groupe SYNOV (qui existait alors sous un autre nom) comprenait quatre sociétés : les Constructions Electriques RV, au Puy-en-Velay (HauteLoire) dédiée à la fabrication de cartes électronique ; le belfortain A2E, le fabricant et fournisseur de solutions de câblage JF Industries Electriques, et Tunelec, unité tunisienne spécialisée dans le câblage et l’assemblage électronique.
Faire de SYNOV une ETI
Entre le PDG de SYNOV, Nordine Mazari, et Norbert Dentressangle, le courant passe : Nordine Mazari ambitionne de faire de SYNOV une véritable ETI, et de compter parmi les leaders de la fabrication électronique. Norbert Dentressangle outre ses capitaux, dispose d’une expérience qui rencontre les aspirations de Nordine Mazari : « J’étais conscient qu’il fallait que le groupe SYNOV se développe. J’ai eu l’opportunité de choisirentre de purs financiers prêts à rentrer dans le capital - et un véritable industriel. Mon choix a été naturellement de donner l’avantage à un industriel. Norbert
Nous anticipons d’investir encore davantage dans des sociétés sur notre territoire, et de prendre des parts de marché dans le monde entier, à travers le savoir-faire français ...
«L’ÉTAT DE L’ART ET LA MAÎTRISE DES PROCÉDÉS» Pb Pb
www.iftec.fr
Nordine MAZARI
Dentressangle est un capitaine d’industrie qui a fait ses preuves, qui a une belle réussite à son actif, et nous réalisons avec lui une stratégie de croissance organique externe rapide et solide. » De fait, à partir de 2019, Les prises de contrôle du groupe SYNOV se sont multipliées. Pas moins de trois sociétés tombent dans l’escarcelle du groupe au cours de l’année 2019.
La première sera ARTHESE. La société d’Epones (Yvelines) spécialisée en électronique de puissance conçoit et développe des systèmes électroniques embarqués pour les afficheurs IHM (interfaces homme/machine).
Puis OEM Industry, basée à la Chapelle de Guinchay (Saôneet-Loire). OEM est dévolue à l’électronique de puissance analogique et numérique avec la conception de cartes de commandes moteurs, alimentations à découpage, chargeurs batteries et BMS
Enfin, SECTRONIC, à SainteMaure-de-Touraine (Indreet-Loire) qui conçoit et réalise des systèmes embarqués pour le ferroviaire et des équipements pour le contrôle d’accès aux sites sensibles.
Valoriser le savoir-faire français
« Avec l’élargissement de SYNOV, nous avons signé en quatre ans notre quatrième croissance économique, et parallèlement développé une croissance organique significative. Nous anticipons d’investir encore davantage dans des sociétés sur notre territoire, et de prendre des parts de marché dans le monde entier, à travers le savoir-faire français » fait savoir Nordine Mazari.
CENTRE DE RESSOURCES ET DE FORMATION SUR LES PROCEDES DE FABRICATION DES CARTES ÉLECTRONIQUES :
Conception, Circuits imprimés, Brasage des composants, Câblage filaire, Certifications IPC
IFTEC est certifié Qualiopi depuis mars 2021
Z FORMATION CONTINUE
Z CERTIFICATIONS IPC
Z TRAVAUX D’EXPERTISE
Z VENTE STANDARDS IPC
NOUVEAUX STAGES :
N°14 INITIATION AU BRASAGE AU FER N°16 ATELIER PRATIQUE DE BRASAGE AU FER ET RÉPARATION DES CARTES ÉLECTRONIQUES N°28 INITIATION CÂBLAGE FILAIRE N°51 ANALYSES EXTERNES/INTERNES DES CARTES ÉLECTRONIQUES NUES ET BRASÉES
N°52 MISE EN ŒUVRE DU PRESS FIT (des DFM au montage et contrôle)
N° 54 AUDIT TECHNIQUE DES PROCÉDÉS DE BRASAGE
(Refusion et vague)
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SYNOV Nordine MAZARI +33 (0)4 71 03 24 56 nordine.mazari@synov-groupe.com www.synov-groupe.com
GLOBAL INDUSTRIE 2022 : A l’heure de la réindustrialisation responsable
GLOBAL INDUSTRIE, seul événement en France à couvrir l’industrie dans son ensemble (écosystème, chaîne de valeur et marchés utilisateurs), concentre tous ses moyens pour les mettre au service de la vague de réindustrialisation qui redessine actuellement le visage de la filière en France. Le salon fera donc de la réindustrialisation responsable la thématique centrale de son édition 2022.
Aquelques jours de l’élection présidentielle, la classe politique française dans son ensemble se rejoint sur un point : la réindustrialisation. Non seulement la pandémie de Covid-19 a mis en évidence l’urgence à restaurer la souveraineté économique nationale, mais elle a dopé la tendance de fond à la relocalisation d’une partie de l’outil productif entamé depuis plusieurs années. Les 35 milliards d’euros d’aides financières du plan France Relance consacrés à l’industrie ne sont pas étrangers à ce rebond des investissements qui ont retrouvé en 2021 leur niveau d’avant-pandémie.
Mieux encore, à l’inverse de la désindustrialisation qui frappe la France depuis une quarantaine d’années (2 millions d’emplois industriels ont été perdus entre 1980 et 2010), il y a eu en 2021 deux fois plus d’ouvertures de sites (53) que de fermetures (24, soit -43 % sur les 9 premiers mois de l’année vs 2019), sans compter l’extension de capacité d’une trentaine de sites existants. Tous les secteurs sont concernés, toutes les régions aussi*. Une tendance se dessine : beaucoup de ces nouvelles installations industrielles privilégient l’environnement, les circuits courts, le recyclage ou encore l’économie circulaire. En France, l’heure est donc à la réindustrialisation responsable. « GLOBAL INDUSTRIE se fait un devoir d’accompagner cette évolution majeure de la filière et met tous ses moyens et son énergie pour soutenir la dynamique qui concourt à la relance économique industrielle française. » Sébastien Gillet, Directeur du salon
Aussi, du 17 au 20 mai 2022, GLOBAL INDUSTRIE Paris se place sous le signe de la réindustrialisation compétitive et responsable, thématique de cette nouvelle édition déclinée sous tous ses aspects : technologique (digitalisation - notamment dans les Villages Intelligence Artificielle et Cybersécurité, automatisation...), écologique (transition écologique, transition énergétique...), territoriale (relocalisation, success stories....), politique (stratégies de réindustrialisation....), managériale (réorganisation de l’entreprise et des modes de travail...), et humaines (formation, emploi...).
Julie VOYET directrice du salon et animatrice de la conférence de presse à Paris le 30 mars 2022 Si les plus grands chefs de cuisine ont les Bocuse d’Or, les meilleurs professionnels de l’industrie ont désormais les Golden Tech, compétition lors de laquelle, les candidats devront faire preuve de leurs connaissances techniques, dextérité et savoir-faire autour d’un sujet donné...
UNIVERS ÉLECTRONIQUE HALL 5
VENEZ RENCONTRER VOS EXPERTS AU SALON GLOBAL INDUSTRIE PARIS DU 17 AU 20 MAI 2022
A2E ACCELONIX 5K20 5K6
ACCENTRICS
5Q35 ACEA 5M32 ADDIS COMPOSANTS ELECTRONIQUES 5N36 ADEX ELECTRONIQUE 5M8 ALLIANSYS 5N12 ALTRICS 5K8 AQLE 5N16 ASTER TECHNOLOGIES 5L32 BOSCH 5M40 CANON BRETAGNE 5P19 CAPA ELECTRONIC 5M39 CATS POWER DESIGN 5N7 CEPELEC 5N28 CIF 5K40 CORDON CMS 5N24 CREATIVE EURECOM 5M31 DAVUM TMC 5M6 DEL LA DISTRIBUTION ELECTRONIQUE 5N15 EDA EXPERT 5P31 EOLANE 5L28 ERSA 5P8 ESTELEC INDUSTRIE 5P32 EURO PROCESS 5P24 EUROCOMPOSANT 5P35 FILIERE ELECTRONIQUE SNESE/SPDEI/ACSIEL/FIEEC 5M20 FIRST INDUSTRIES 5P27 G4 SOURCING 5M16 GERAL GROUPE ZEKAT IBL ELECTRONICS TUNISIA IFTEC IPC CONCOURS DE BRASAGE JFIE LAUDREN Les Cahiers de L’Industrie Electronique et Numérique METRONELEC MICRONIQUE OC2I OEM INDUSTRY PHOENIX CONTACT PIGE ELECTRONIQUE POLYGONE CAO PROTO-ELECTRONICS RHEA ELECTRONIQUE SAFE PCB SECTRONIC SEICO SEICA SNESE SOUDOTIQUE SYNOV SYSTECH VILLELEC W-TECH WURTH ELEKTRONIK 5M27 5L20 5Q35 5Q31 5Q19 5K20 5K20
5M12 5P6 5L8 5P11 5K20 5K36 5N31 5N20 5K8 5M33 5L40 5K20 5M19 5P8 5M20 5P28 5K20 5N8 5N12 5P6 5N5
Les 5 temps forts de 2022
Si la rencontre des exposants reste l’objectif principal de tout visiteur d’un salon, Global Industrie propose des animations de qualité, à forte valeur ajoutée. A commencer par le concours international
de brasage manuel organisé par l’IPC
et parrainé par les Cahiers de l’Industrie Electronique et Numérique. Chaque jour des opératrices et des opérateurs, sous les yeux d’un public toujours nombreux, doivent relever le défi d’assembler une carte électronique en 60 minutes suivant la norme IPC-A610 classe 3.
En 2021 à Lyon, le premier trophée par équipe a été remporté par Thales DMS Etrelles. Remis en jeu en 2022, il sera de nouveau parrainé par les Cahiers. Premier grand rendez-vous industriel en France, GLOBAL INDUSTRIE accueillera en 2022 un concours 100 % inédit, valorisant l’excellence de 12 métiers de l’industrie (soudeur, fraiseur, data manager automation, roboticien…). Si les plus grands chefs de cuisine ont les Bocuse d’Or, les meilleurs professionnels de l’industrie ont désormais les Golden Tech, compétition lors de laquelle, les candidats devront faire preuve de leurs connaissances techniques, dextérité et savoir-faire autour d’un sujet donné.
Amélioration des performances, optimisation de l’outil de production, développement des valeurs RSE... Depuis 2018, les GLOBAL INDUSTRIE Awards distinguent les innovations présentées par les exposants du salon. Cette année encore, le jury composé de journalistes et d’industriels fera preuve de rigueur et de pertinence pour débusquer les produits ou services présentant une réelle avancée technique et/ou technologique. Les Awards avec leurs 6 catégories : •Technologie de production •Technologie périphérique •Transition numérique •Écoresponsabilité •Partenariat exemplaire •Jeune pousse
Cette année, nous avons choisi, pour la première fois, de dévoiler les lauréats dès le 21 avril 2022 en amont du salon pour leur apporter une meilleure visibilité Plus que jamais dans cette période d’euphorie industrielle, pour répondre aux enjeux de croissance des entreprises, GLOBAL INDUSTRIE s’emploiera à valoriser le vivier d’emplois que représente l’industrie française, malheureusement encore trop largement méconnu. Via GI Avenir, service entièrement dédié à l’emploi, la formation et l’attractivité des métiers dans l’industrie, GLOBAL INDUSTRIE se donne pour mission de valoriser les savoir-faire métiers, refléter la richesse des carrières, promouvoir les métiers du futur et mettre en avant les postes disponibles. RH, demandeurs d’emploi et jeunes diplômés se verront proposer plusieurs dispositifs complémentaires :
- Job dating : réunir sur un stand physique une trentaine d’entreprises exposantes ou visiteurs durant 3 jours. Une plateforme de recrutement permettra de déposer offres d’emploi et CV - Parcours de visite - Visites guidées - Démos métiers
Masterclasses, keynotes, tables rondes.... Un riche programme de conférences dispatchées dans deux salles dédiées réunira experts, industriels et politiques afin d’aborder les grands sujets qui occupent le monde industriel : réindustrialisation, solutions environnementales, IA, cybersécurité…
GLOBAL INDUSTRIE 2022 EN BREF Présentation et chiffres clés :
Avec 2300 exposants couvrant l’ensemble de l’écosystème industriel et 40 000 visiteurs attendus en 2022; Sur 100 000 m² d’exposition 1 500 machines en fonctionnement, soit la plus grande usine de France Seulement 16% de visiteurs communs entre les éditions parisiennes et lyonnaises.
* Source : L’Usine Nouvelle https://www.usinenouvelle.com/editorial/exclusif-bilan-industriel2021-la-france-cree-anouveau-des-usines. N1165217
Liste des exposants du Village inscrits auprès de D’Com Conseil
A2E 5K20 ACCELONIX 5K6 ACEA 5M32 ACCENTRICS 5Q35 ADDIS COMPOSANTS ELECTRONIQUES 5N36 ADEX ELECTRONIQUE 5M8 ALLIANSYS 5N12 ALTRICS 5K8 AQLE 5N16
ASTER TECHNOLOGIES 5L32
BOSCH MONDEVILLE 5M40 CANON BRETAGNE 5P19 CAPA BMJ ELECTRONICS 5M39 CATS POWER DESIGN 5N7 CEPELEC 5N28 CIF-CIRCUIT IMPRIMÉ FRANÇAIS 5K40 CORDON GROUP 5N24 CREATIVE EURECOM 5M31 DAVUM-TMC 5M6 DEL - LA DISTRIBUTION ELECTRONIQUE 5N15 EDA EXPERT 5P31 EOLANE 5L28 ESTELEC INDUSTRIE 5P32 EUROCOMPOSANT 5P35 EURO-PROCESS 5P24 FILIERE ELECTRONIQUE SNESE/SPDEI/ACSIEL/ FIEEC 5M20 FIRST INDUSTRIES 5P27 G4 SOURCING 5M16 GERAL 5M27 GROUPE ZEKAT 5L20 IBL ELECTRONICS 5Q35 IFTEC 5Q31 IPC CONCOURS DE BRASAGE 5Q19 IFIE 5K20 KURTZ ERSA 5Q7 LES CAHIERS DE L’INDUSTRIE ELECTRONIQUE ET NUMERIQUE 5M12 LAUDREN ELECTRONIQUE 5K20 METRONELEC 5Q5 MICRONIQUE 5L8 OC2I 5P11 PHOENIX CONTACT 5K36 PIGE ELECTRONIQUE 5N31 POLYGONE CAO 5N20 PROTO ELECTRONICS.COM 5K8 RHEA ELECTRONIQUE 5M33 SAFE-PCB FRANCE 5L40 SECTRONIC 5K20 SEICA FRANCE ERSA 5Q7 SEICO 5M19 SOUDOTIQUE 5P28 SYNOV 5K20 SYSTECH 5N8 VILLELEC 5N12 W-TECH 5Q5 WURTH ELEKTRONIK 5N5
STAND N°5K20
Contact : Manuel DA SILVA +33 3 84 58 55 10 manuel.da-silva@a2e.fr www.a2e.fr
STAND N°5K6
Contact : Julien KATZ +33 2 32 35 64 80 julien.katz@accelonix.fr www.accelonix.fr
Accelonix est une société indépendante fournissant des solutions équipements pour l’assemblage et le test des cartes électroniques et micro-électronique. Aussi, Accelonix a développé depuis 10 ans sa propre plateforme logicielle pour le monde de la fabrication de cartes électroniques. En constante évolution, elle est constituée des modules de création de programmes pour le test et l’inspection, la pose de composants, la documentation et la couverture de test. Facile à prendre en main, cette suite logicielle polyvalente est particulièrement efficace grâce à son haut niveau de performance et de compatibilité
STAND N°5Q35
Contact : Mohamed KARAA +33 6 33 11 89 80 m.karaa@accentrics.fr www.accentrics.fr Filiale de IBL Electronics
STAND N°5M32
Contact : Thierry MOHR +33 3 88 09 86 05 t.mohr@acea-ems.com www.acea-ems.com PME à taille humaine ACEA propose des solutions globales dans le domaine électronique depuis plus de 30 ans. La réactivité et la flexibilité représentent nos principaux points forts tout en proposant des prix compétitifs à nos clients qui sont le centre d’attention de l’entreprise. N’hésitez pas à nous soumettre vos idées et vos projets, nous serons à votre écoute avec la volonté de les réussir. ACEA évolue dans un contexte international : sourcing de composants dans le monde entier, clientèle Worldwide (USA, EMEA,APAC). Nous proposons à nos clients une solution globale de la conception à l’intégration ainsi que l’assemblage du produit final.
STAND N°5N36
Contact : Catherine FRIBOULET +33 1 56 31 43 10 catherine.friboulet@addis.fr www.addis.fr
STAND N°5N12
Contact : Jean Luc PAUMIER +33 2 31 81 80 00 jl.paumier@alliansys.fr www.alliansys.fr
STAND N°5K8
Contact : Patrick GUERINEL +33 3 88 48 04 22 guerinel@altrics.com www.altrics.com
STAND N°5N16
Contact : Damien ASSELIN +33 3 44 19 29 39 d.asselin@aqle.fr www.aqle.fr AQLE 2030, est bien plus qu’un défi d’entreprise… Dans un monde en pleine mutation, où les relations humaines prennent toujours plus d’importance, notre vision d’avenir du projet AQLE 2030 s’appuie sur l’agilité pour aller vite, l’intelligence collective pour décloisonner les expertises, la formation et la responsabilisation des hommes pour repousser les limites. Notre ambition ? Proposer un savoir-faire industriel unifié et confirmer notre position de « haute couture de l’électronique » qui depuis tant d’années a inscrit AQLE comme leader de son marché. Pour cela, nous cultivons de nouvelles synergies entre fournisseurs et fédérons une chaine logistique complète dans des secteurs technologiques à forte valeur ajoutée, tels que l’aéronautique, le ferroviaire, la défense ou l’énergie. Ensemble, connectons les meilleurs talents et le meilleur de la technologie !
STAND N°5L32
Contact : Philippe MASSOLO +33 2 99 83 01 01 philippe.massolo@aster-technologies.com www.aster-technologies.com
ASTER Technologies, éditeur de logiciels à base de jumeaux numériques destinés à l’industrie de la conception, de la fabrication et du test. Nos solutions ont pour objectif de permettre la conception et la fabrication de produits sans défauts. Notre technologie permet de chiffrer très précisément le pourcentage de défaut qui peuvent être capturés par une stratégie de test. Cela permet de définir la meilleure stratégie au meilleur coût tout en identifiant les risques résiduels. Le Digital Twin au service de la conception, de l’industrialisation et de la fabrication des cartes et systèmes électroniques. Simuler c’est intervenir en amont avant de constater les défauts en production, ou pire chez son client. Faites confiance à notre plateforme logicielle pour construire le jumeau numérique de votre ligne de production afin de vérifier, assembler et tester votre conception de système électronique.
STAND N°5M40
Contact : Vincent GUIGNARD +33 6 12 17 01 54 vincent.guignard@fr.bosch.com www.bosch-mondeville.fr « Bosch Mondeville est un acteur incontournable de la sous-traitance électronique en France. Grâce à un outil de production digitalisé avec succès et
au savoir-faire du groupe Bosch, nous accompagnons nos clients de la petite à la très grande série sur les secteurs de l’automobile, de l’industrie, de la santé, de l’aérospatial mais aussi de l’électronique haut de gamme.
Quatre sites de production EMS composent notre réseau de fabrication : Bosch Celaya, Bosch Bangalore, Bosch Cluj et Bosch Mondeville. Bosch Mondeville est le siège de cette nouvelle entité Bosch et assure les activités de design, de fabrication et de services supports de notre offre en local for local. »
STAND N°5P19
Contact : Eric TREPOS +33 2 99 23 51 11 eric.trepos@cb.canon.fr www.canon-bretagne.fr
STAND N°5M39
Contact : Pascal PENNEAU +33 2 40 32 67 23 @ capaelec@capaelec.com www.capaelec.com www.bmjelec.com
STAND N°5N7
Contact : Christophe PARMENTIER +33 4 50 27 20 30 christophe.parmentier@catspowerdesign.fr www.catspowerdesign.fr
CATS POWER DESIGN est un ODM : les ingénieurs (HW/SW/CEM/Sécurité) de notre bureau d’études travaillent en parfaite symbiose avec notre équipe d’industrialisation et fabrication pour réaliser de A à Z vos produits électroniques. CATS POWER DESIGN a débuté ses activités dans l’électronique de puissance en 1996, puis l’entreprise a grandi dans les alimentations et les drivers moteurs. Aujourd’hui, notre offre technologique tient en trois lettres : « CCC », pour Conversion d’énergie, Commande moteur et Connectivité multi-environnement.
Pour CATS POWER DESIGN, l’année 2022 a débuté de la meilleure des façons malgré un contexte sanitaire complexe et la crise des composants. En effet, CATS POWER DESIGN devrait atteindre un chiffre d’affaires supérieur à 20M€ et afficher une croissance de +15% cette année. De plus, notre bureau d’étude a également engagé de nombreux nouveaux projets sur ce début d’exercice pour nos fidèles clients et de nouveaux prospects. De nombreuses nouveautés vont jalonner 2022 comme de multiples recrutements (R&D, ADV, Commerce, Marketing) et certaines informations encore confidentielles à l’heure actuelle. On ne manquera pas de communiquer d’ici la fin de l’année sur celle-ci.
STAND N°5N28
Contact : Nathalie SORIANO +33 4 76 49 70 13 nathalie.soriano@cepelec.com www.cepelec.com
STAND N°5K40
Contact : Philippe ALBRIEUX +33 1 39 66 96 83 dir@cif.fr www.cif.fr
CIF c’est avant tout une réponse complète pour vos projets de réalisation de cartes électroniques. Du prototype à la moyenne et grande série, notre gamme de machines, produits et services répondra à vos besoins. Nous vous accompagnons de A à Z dans votre projet avec les services associés - ingénierie, installation, prise en main, maintenance. Location de matériels et aide au financement sont au programme. Rencontrons-nous.
STAND N°5N24
Contact : Pascal GRAEHLING +33 6 09 85 83 37 Pascal.Graehling@cordongroup.com www.cordongroup.com
Ensemble, œuvrons pour une électronique durable. Fondé en 1989 à Dinan et présent dans 7 pays avec 26 centres, Cordon Group est un acteur européen de référence des secteurs de la conception, fabrication (EMS), réparation et rénovation ainsi que du recyclage. Cordon Group intervient sur l’ensemble du cycle de vie des produits électroniques. Expert reconnu et choisi par les acteurs majeurs du secteur de l’électronique (fabricants, opérateurs de service, distributeurs, assureurs), Cordon Group répond aux enjeux globaux de la transformation du secteur en mettant son expertise au service de ses clients, et œuvre pour la durabilité de leurs produits électroniques. Avec notre usine située dans l’est de la France, nous concevons et fabriquons vos produits électroniques pour les secteurs Télécom, Médical, IoT, Industrie et Automobile. Notre expertise industrielle et nos processus innovants garantissent une fiabilité optimale et le meilleur délai de mise sur le marché ! Nous développons aussi des solutions agiles pour le déploiement de votre logistique e-commerce, votre logistique SAV & Supply chain pour vos produits comme pour les pièces détachées.
Nous prolongeons la durée de vie de vos produits électroniques avec des services responsables, et désormais essentiels, dans un monde en pleine transition écologique : nous réparons et rénovons dans nos centres industriels, en boutique ou encore au domicile du client. Enfin, nous assurons la valorisation et le recyclage des DEEE issus de matériels usagés, obsolètes ou invendus (tri et dépollution, démantèlement, broyage). Les 2 800 collaborateurs contribuent chaque jour à faire de Cordon Group un acteur incontournable de l’économie circulaire !
STAND N°5M31
Contact : Michel HOUDOU +33 2 41 73 18 18 contact@creative.fr www.creative-crossway.fr
« From Idea To Production » Creative Eurecom vous offre une prestation globale, du laboratoire de R&D à la production en série. Électronique, mécanique et conception de logiciels… Nos ingénieurs et experts vous accompagnent dans le développement et la fabrication de vos produits et systèmes innovants. Nous proposons une prestation globale, avec des services adaptés à chaque étape de la réalisation d’un projet. Certifications ISO 9001 & ISO 13485. •Faisabilité Prise en main de votre projet pour l’amener à maturité en concertation avec vous Les compromis techniques, fonctionnels, budgétaires et planning sont établis d’un commun accord. Nous partageons avec vous notre expérience, afin de sécuriser votre projet et d’en assurer la performance optimale. •Développement Les équipes électronique, logiciel et mécanique travaillent de concert pour trouver les solutions les plus performantes et rationnelles pour réaliser vos fonctions. L’ergonomie du produit, son style, la lisibilité et la réactivité des écrans, la consommation, la durée de vie… sont autant de paramètres pris en compte par les métiers. •Production en série Chez Creative, l’outil de production n’est jamais loin et nos concepteurs pensent industrialisation dès le premier clic de souris. Choix des technologies, matériaux et méthodes adaptés aux volumes et aux prix objectifs.
STAND N°5M6
Contact : Christophe RATIEUVILLE +33 6 70 98 01 26 cratieuville@davumtmc.com www.davumtmc.com
STAND N°5N15
Contact : François KUREK +33 1 30 79 17 50 f-kurek@del.fr www.del.fr
STAND N°5P31
Contact : Victor TRUONG +33 1 58 07 00 79 victor.truong@eda-expert.com www.eda-expert.com
STAND N°5L28
Contact : Georges KERDO +33 7 76 35 16 61 georges.kerdo@eolane.com www.eolane.com A propos d’éolane – www.eolane.com Leader français dans la conception, l’industrialisation, la fabrication et les services après-vente de produits électroniques, éolane développe son activité et son expertise dans 8 marchés : la défense, l’industrie, les télécoms, le ferroviaire, l’automobile, la santé, l’énergie et l’aéronautique. Ses 700 clients regroupent des grands noms de l’industrie française et internationale, mais également de nombreuses ETI régionales et des start ups. La présence d’éolane sur 3 continents lui permet d’allier proximité, expertise et compétitivité. En 2020, le groupe se dote d’un laboratoire CEM indépendant connecté à tous ses sites de production et devient le seul EMS français capable de qualifier et d’améliorer efficacement les performances CEM et radio des développements. Fort de ses 2400 salariés, donc 120 ingénieurs R&D, éolane a réalisé, en 2021, un chiffre d’affaires de 290 millions d’euros. éolane (Financière de l’Ombrée SAS au capital de 11 336 464 €), immatriculée au RCS d’Angers sous le numéro 413 101 957, dont le siège social est 8 Boulevard Charles Détriché, 49000 ANGERS
STAND N°5P32
Contact : Eddy BROXER +33 3 88 82 61 00 eddy.broxer@estelec-industrie.com www.estelec-industrie.com
STAND N°5P35
Contact : Maxime CABRIDENC +33 1 30 64 26 00 mcabridenc@eurocomposant.fr www.eurocomposant.fr
Depuis plus de 30 ans, Eurocomposant, distributeur indépendant de composants électroniques à forte valeur ajouté, vous propose les dernières technologies présentes sur le marché.
Son offre s’articule autour de 6 Business Units : •Semi-conducteurs & Capteurs • Connectivité M2M • Systèmes embarqués • Solutions d’affichage • Eclairage à LED
Depuis Janvier 2021, BM Energie a intégré le groupe Eurocomposant et devient ainsi la Business Unit « Batteries & Alimentations » Eurocomposant dispose de deux sites web marchand (eurocomposant.fr & bmenergie.com) qui vous permettent d’effectuer vos achats en ligne, obtenir le suivi de vos commandes et de découvrir un ensemble de produits innovants et compétitifs. En complément de ces sites web, vous bénéficiez toujours du service EUROCOMPOSANT : une solution unique, que nos ingénieurs hautement qualifiés auront soigneusement adaptée à vos besoins les plus spécifiques. Son siège social basé dans la ville de Voisins-le-Bretonneux (78) à proximité de Paris et ses nombreux centres logistiques présents dans le monde nous permettent de concevoir vos prototypes dans les meilleurs délais. Tous les produits distribués proviennent de fabricants avec lesquels EUROCOMPOSANT a un agrément officiel.
STAND N°5P24
Contact : Nicolas CHUPIN +33 2 96 48 05 58 n.chupin@euro-process.fr www.euro-process.fr
Le cœur de métier d’EURO-PROCESS est l’industrialisation et l’assemblage de cartes électroniques jusqu’à leur intégration dans leur environnement mécanique. Fondée en 1988, ses 2 sites de production sont certifiés ISO9001. Le siège est basé à Lannion, dans les Côtes-d’Armor et regroupe plus de 50 collaborateurs : ingénieurs, techniciens, opérateurs qualifiés et formés aux enjeux de notre métier. Notre équipe à taille humaine accompagne ses clients à partir du cahier des charges jusqu’à la logistique du produit fini. Expertises : - Etude cahier des charges - co-conception * - Prototypage - industrialisation - Sourcing, achats et approvisionnements de la matière première ; composants - pièces mécatroniques - Assemblage CMS + traditionnel (IPC class III) - développement de bancs de TEST fonctionnels - intégration dans coffret, produit fini – logistique jusqu’au client final.
* via différents partenaires bureaux d’études qualifiés par application suivant les technologies du projet (exemples : RF ; BMS ; POWER ; CAPTEURS MEMS; IHM ; AUDIO) EURO-PROCESS se veut être votre partenaire industriel du Made In France pour vos projets électroniques avec ses 2 sites de fabrication : LANNION et BREST.
STAND N°5P27
Contact : Claude COLOYAN +33 4 90 43 56 56 claude.coloyan@first-industries.fr www.first-industries.fr
Depuis 30 ans FIRST INDUSTRIES a su s’imposer comme le partenaire incontournable de vos approvisionnements en composants électroniques. Elle accompagne ses clients dans les domaines de la télécommunication, de la défense, du ferroviaire, du médical, de l’aéronautique, du transport et bien d’autres secteurs. FIRST INDUSTRIES c’est avant tout : Plus de 2000 m² de zone logistique sur le site de Tarascon pour prévenir les urgences de ses clients • Un stock permanent de plus de 40 000 références immédiatement disponible • Un contrôle systématique des composants effectué par les plus grands laboratoires de tests au monde. • Un laboratoire de tests intégré et équipé d’instruments performants • Plus de 500 fournisseurs CERTTIFIES et VALIDES dans le monde • Un programme d’évaluation de nos fournisseurs (prix, qualité, respect des délais…) • Une parfaite connaissance globale du marché Tous ces éléments nous permettent aujourd’hui de vous proposer un service et une livraison rapide, sécurisée à des prix adaptés. Depuis plusieurs années FIRST INDUSTRIES a complété son activité historique de distributeur indépendant par une activité de distributeur franchisé en représentant sur le marché français des marques internationales de fabricants de composants électroniques. FIRST INDUSTRIES est positionnée principalement sur des marques de capteurs destinés à des marchés porteurs comme l’analyse de l’air, le médical, l’agriculture, l’industrie, les sciences de la vie … Les marques principales distribuées par FIRST INDUSTRIES sont : • GSS : capteurs de CO2 et de méthane • WINSEN : capteurs Température/ Humidité/Pression/Débit/CO2/Méthane/ CO/COV/PM/… • TE SENSORS : capteurs de Température/ Humidité/Pression MEMS (ex-SMI) • MERIT : capteurs de pression MEMS • INTROTEK : capteurs à ultrasons pour détection de bulles d’air, mesure de débit, détection de niveau, détection d’occlusion • GREENTEG : capteurs de flux thermique, de radiation et de rayonnements laser • SENSOLUTE : capteurs de vibration et d’inclinaison • IQRF : solutions de communication radio-fréquence à faible consommation et longue portée. • REFOND : solutions LEDs
STAND N°5M16
Contact : Grégory LACROIX +33 4 99 78 41 15 gregory.lacroix@g4sourcing.com www.g4sourcing.com
G4 Sourcing est un leader français de la distribution indépendante de composants électroniques. Nous disposons d’un large stock des plus grandes marques telles que AD, TI, NXP, Microchip, STMicro etc. Nous accompagnons plus de 300 clients dans leurs approvisionnements mais aussi dans la gestion de leurs excédents de stock à travers des programmes de déstockage et de consignation. Venez à notre rencontre pour échanger sur notre stand 5M16.
STAND N°5M27
Contact : Cédric KOLASSA +33 4 79 81 49 01 ckolassa@geral.com www.geral.com
STAND N°5L20
Contact : Sébastien BOUTREUX sebastien.boutreux@zekatronic.com www.groupezekat.com +33 2 41 52 48 48
Créé en 2005, Groupe ZeKat est un groupe industriel français spécialisé dans les solutions High Tech. Aujourd’hui composé de 12 fleurons industriels technologiques, le groupe évolue sur un large spectre d’activités englobant la mécatronique,
l’électronique, le numérique, l’intelligence embarquée ainsi que l’optique, la robotique et la cobotique .
Groupe ZeKat maitrise l’ensemble du cycle de développement, de la spécification en fonction du besoin à la production en passant par la conception. Le groupe s’appuie sur l’expertise propre à chacune de ses sociétés et sur leur coopération interne pour enrichir ses compétences et répondre plus largement aux cahiers des charges et exigences pointues de ses clients, aussi bien en France qu’à l’international. Le pôle manufacturing Groupe ZeKat est spécialisé dans la production de cartes électroniques et l’intégration de câblages et de systèmes mécatroniques complexes, de faisceaux industriels et militaires. Il réalise notamment des systèmes numériques de communication pour la TNT intégrés dans des shelters pour l’international. Le pôle manufacturing accompagne également ses clients dans l’intégration des éléments constitutifs de leur système (baies, gestion de puissance, systèmes de refroidissement, gestion intelligente de l’énergie, émetteur radios, onduleur, etc.).
STAND N°5Q35
Contact : Faten SAHLI +33 2 16 72 51 00 11 faten.sahli@ibl-tunisie.com www.ibl-tunisie.com IBL Electronics is an off-shore company, operating in the field of electronic manufacturing service since 1994. • Fields of expertise: Electronic board production, Electro-mechanic assembly, Winding, Wire harnesses. •Sector of activities: Automotive, Industrial, Aeronautic,Railway, Medical, Defense & security • IBL Electronics is certified ISO 90012015, IATF 16949-2016 and UL. (ISO 14001-V2015 : Environmental management system certification pending) • Our company offers the complete electronic assembly from one source - from the purchasing, the assembly of the PCB, to automation solutions, testing and full device assembly. Our totally automated production lines are able to place a large range of components as the 01005 chips, fine-pitchs, flip chip, BGA and board to board. Our departments of R&D and Methods support the production by defining all processes in a very precise way. Our latest 3D control equipment as well as the monitoring of our process by the SPC methods constantly gives added value to the final quality of our products.
Centre de ressources et de formation sur les procédés de fabrication des cartes électroniques STAND N°5Q31
Contact : Jonathan ALBRIEUX +33 1 45 47 02 00 jonathan.albrieux@iftec.fr www.iftec.fr
IPC - ASSOCIATION CONNECTING ELECTRONICS INDUSTRIES STAND N°5Q19
Contact : Philippe LEONARD +33 7 62 12 35 05 philippeleonard@ipc.org www.ipc.org
STAND N°5K20
Contact : Stéphane MAILLARD +33 4 71 03 52 44 smaillard@cerv.com www.jf-industries.com
STAND N°5Q7
Contact : Rémy LUTZ +33 3 88 09 14 86 remy.lutz@kurtzersa.com www.kurtzersa.de
STAND N°5K20
Contact : Gildas PAIN +33 2 97 76 15 15 gpain@laudren.fr www.laudren-electronique.fr
STAND N°5M12
Contact : Franck RANNOU +33 2 98 50 18 53 frannou@dcomconseil.com www.dcomconseil.com
D’COM CONSEIL est l’éditeur des Cahiers de l’Industrie Electronique & Numérique. Créée en 1986 à la demande du SNESE (Syndicat National des Entreprises de Sous-traitance Electronique), pour assurer un lien entre les entreprises adhérentes et leur marché, la revue a contribué à la reconnaissance de l’activité de soustraitance comme un acteur significatif de la filière électronique. Revue aujourd’hui indépendante, Les Cahiers s’adressent aux décideurs de l’industrie électronique qui conçoivent, industrialisent, fabriquent, intègrent, assurent la maintenance de produits, cartes ou systèmes électroniques (ODM, OEM, EMS) et leurs clients. Les Cahiers s’adressent également à leurs fournisseurs (fournisseurs de composants, d’équipements, consommables et services), et aux institutions (écoles, organismes de formation professionnelle, ministères, laboratoires, conseils, etc.).
Ils paraissent 4 fois par an, avec un tirage de 4 000 / 5 000 exemplaires (selon actualité et évènements) et sont diffusés nominativement à près de 3 000 abonnés. Pendant le salon, à l’attention des exposants qui ont peu de temps à consacrer à leur propre information, les Cahiers des rencontres experts chaque matin, de 9 :30 à 10 heures. Au programme : Cybersécurité et dématérialisation des factures, HARDWARE France l’association qui invite les start up à industrialiser et fabriquer en france., etc.
Chaque exposant du Village Electronique recevra une invitation personnelle quotidienne. Le concours international de brasage manuel organisé par l’IPC et parrainé par les Cahiers de l’Industrie Electronique et Numérique. Chaque jour des opératrices et des opérateurs, sous les yeux d’un public toujours nombreux, doivent relever le défi d’assembler une carte électronique en 60 minutes suivant la norme IPC-A610 classe 3. En 2021 à Lyon, le premier trophée par équipe a été remporté par Thales DMS Etrelles. Remis en jeu en 2022, il sera de nouveau parrainé par les Cahiers.
STAND N°5Q5
Contact : Cécile MARGARIA +33 1 30 15 20 00 cecile.margaria@metronelec.com www.metronelec.com
STAND N°5L8
Contact : Rosa DIAS +33 1 60 88 45 08 contact@micronique.fr www.micronique.fr
Existant depuis 1975, Micronique est un EMS français spécialisé dans la fabrication et l’intégration de cartes électroniques, du prototype à la série. Situé en Ile de France sur une surface de 2500 m², certifiée ISO 9001 et EN9100, Micronique est présent sur les secteurs Industriel, Médical et Aéronautique. Notre présence à Global Industrie est l’opportunité de présenter notre projet « REVOLUTION – INDUSTRIE DU FUTUR » Ce projet doté de 4.000.000 € de budget a pour objectif de doubler notre taille et d’atteindre les 10 M€ de CA à horizon 2024. Grâce au soutien de France Relance, Micronique va mettre en place de nouveaux équipements et assurer sa transition numérique (ERP-MES-GED), passerelle vers l’Industrie 4.0, pérennisant ainsi son avenir. Le respect, la transparence, la rigueur et l’engagement auprès de nos clients sont les bases de notre réussite. Nos 25 collaborateurs qualifiés et certifiés IPC-A-610 sont porteurs de ces valeurs.
STAND N°5K20
Contact : Jean-Paul LEFEBVRE +33 3 85 36 77 07 jp.lefebvre@oem-industry.fr www.oem-industry.com
STAND N°5P11
Contact : Sophie MOURER +33 3 88 18 37 73 smourer@oc2i.fr www.excalibur-erp.fr
« Solution globale de gestion de l’entreprise industrielle, le progiciel Excalibur ERP répond aux besoins métiers des activités de typologie assemblage à haute exigence de traçabilité. En choisissant notre solution, vous optez pour un véritable accompagnement vers la performance de gestion et l’excellence de votre activité industrielle. »
STAND N°5K36
Contact : Delphine LEGENDRE +33 1 60 17 98 98 marketing@phoenixcontact.fr www.phoenixcontact.fr
STAND N°5N31
Contact : Pierre BARNAUD +33 4 75 83 05 15 pierre.barnaud@pige-electronique.com www.pige-electronique.com
PIGE ELECTRONIQUE est une entreprise spécialisée dans la conception, fabrication et test de cartes électroniques avec plus de 35 ans d’expérience. Au-delà de la sous-traitance, la démarche de l’entreprise Pige Électronique s’engage dans l’accompagnement de tout le processus des projets en électronique. De l’analyse du besoin à la production, un suivi attentif dans tout le cycle de vie du produit. Un cœur de métier qui se structure autour de l’industrialisation de projets, en passant par la conception, l’assemblage de cartes électroniques, le câblage, l’intégration de cartes et l’ingénierie de test. Une structure industrielle adaptée ainsi qu’une écoute et un savoir-faire qui permet de répondre aux exigences des clients avec flexibilité et réactivité.
Elle s’est forgée une solide expérience dans la réalisation de systèmes électroniques dans les domaines les plus exigeants. Cela leur permet aujourd’hui d’accompagner dès la conception des produits afin de rechercher en permanence les solutions industrielles les plus adaptées Avec le renouvellement de certification ISO 9001 et 13485 et la certification UL, Pige Électronique peut accompagner ses clients dans leurs nouveaux projets dans divers domaines : – médical – militaire – nouvelles technologies: drone aérien, filaire ou sous-marin – industrie, instrumentation – transport
En petites et moyennes séries, PIGE ELECTRONIQUE met en œuvre des process d’achat et de production optimisés pour garantir une production de qualité, fiable et aux meilleurs coûts en France ou depuis les ateliers de son partenaire basé en Tunisie.
En résumé : 1. Conception par le bureau d’étude : conception de système et de produit, gestion de projet, définition des spécifications techniques, industrialisation, définition de stratégie de test, développement d’application embarqué 2. Ingénierie de test : conception des outillages ou interface de test, développement de programme de test, réalisation de banc de test fonctionnel 3. Achats : analyse des besoins du marché, construction d’un panel fournisseur, analyse des coûts, évaluation des fournisseurs 4. Production : Fabrication de cartes électroniques pour l’industrie, le médical, le militaire 5. Services : ré-industrialisation, gestion fin de vie des produits, SAV, formation et support technique client dans le domaine du test in-situ
STAND N°5N20
Contact : Philippe FUMANERI +33 2 32 77 33 85 philippe.fumaneri@polygone-cao.fr www.polygone-cao.fr
STAND N°5K8
Contact : Angélique CASASSAS +33 9 70 70 06 08 casassas@proto-electronics.com www.proto-electronics.com
Proto-Electronics, PME basée à Rosheim (Bas-Rhin),est spécialisée dans la fabrication rapide de prototypes de cartes électroniques.
La plateforme numérique www.protoelectronics.com, accessible gratuitement et 24h/24, permet aux ingénieurs électroniciens de chiffrer leur projet directement en ligne et de façon automatique.
Un devis est obtenu en moins de 10 minutes avec une livraison proposée à partir de 5 jours ouvrés. Offrant un large choix de caractéristiques pour le PCB, et avec une disponibilité de composants vérifiée automatiquement, le meilleur prix est garanti. Sorti lauréat de l’appel à projets France Relance pour le soutien à l’investissement dans les secteurs stratégiques en novembre 2020, Proto-Electronics a bénéficié d’une enveloppe de 320 000 euros permettant ainsi de financer son plan d’investissement de 1,3 million d’euros sur trois ans.
Ainsi, un système d’inspection par rayons X, une nouvelle sérigraphieuse , une ligne CMS et sa transitique sont venus enrichir le parc machine dans les nouveaux locaux acquis en 2020. Ce soutien permet à Proto-Electronics d’augmenter sa capacité de production.
Le service client de 10 collaborateurs multilingues est réactif et permet un suivi personnalisé en vous accompagnant tout au long de vos projets. Une 5e version de la plateforme avec de nouvelles fonctionnalités est prévue pour milieu de l’année 2022.
STAND N°5M33
Contact : Thierry CAPON +33 3 20 17 69 69 tcapon@rhea-electronique.fr www.rhea-electronique.fr
Certifiée ISO9001, localisée depuis plus de 30 ans dans la région lilloise, RHEA est une entreprise d’étude et de production d’équipements électroniques. Outre son expertise des télécommandes, des équipements en environnement industriel ou agricole et des bancs de test, RHEA propose ses services de développement, de production de cartes et d’intégration à des entreprises très diversifiées issues du ferroviaire, du médical, de l’industrie manufacturière. L’équipe est constituée de 27 collaborateurs (dont 6 en bureau d’études et 16 en achats/production).
Les investissements de 2021 (construction d’un bâtiment, investissement d’une ligne cms et changement de l’ERP) accompagnent la croissance de RHEA. RHEA sert actuellement une centaine de clients et mène une politique de diversification commerciale et de démarche d’innovation. RHEA est engagée dans les pôles de compétitivité ITRANS (Mobilité) et CLUBSTER NSL (Santé) et collabore avec des starts up incubées. Notre présence au salon Global Industrie 2022 marque une volonté de donner plus de visibilité à notre offre globale en soustraitance. RHEA adhère totalement aux valeurs du Groupe industriel familial HIOLLE INDUSTRIES (Présence en France et à l’export, industrie éco-responsable, axée sur les Technologies du futur)
STAND N°5L40
Contact : Vincent CHARRAT +33 9 86 61 47 09 vincent@safe-pcb.com www.safe-pcb.com Safe-PCB est un des acteurs leader en France sur le marché des circuits imprimés – FR4 RIGID, FLEX, RIGID-FLEX.
Son succès repose sur trois piliers : • Safe-PCB China - Site de production ultra-moderne inauguré en 2020 sur la plus grande zone de production de PCB • Safe-PCB Group et ses filiales - Support technico-commercial local à proximité des clients de chaque pays • Safe-PCB.com - Site web puissant pour simplifier et sécuriser le traitement des dossiers techniques et des commandes
Fin 2021, les chiffres clés de l’entité SafePCB sont les suivants : 220 salariés / 21,8 M€ (+75%) / 43.600 dossiers de fabrication (+35%) / 1540 clients actifs La montée en gamme des circuits se poursuit avec environ 3.000.000 € investi en 2020 et 2021 : • 2 lignes de métallisation neuves. Augmentation des volumes. • Centre de perçage laser automatisé dédié trous borgnes • Ligne de résinage. Trous enterrés pour multicouches complexes. • 2 lignes Laser direct imaging (LDI – cuivre). Pistes <=50 µm, BGA au pas de 0.4 mm. • 1 ligne Laser direct imaging (LDI- vernis). Ponts de vernis < 100µm La politique d’audit externe et de certification se poursuit : ISO9001, EN9100, ISO13485, IATF16949, ISO140001, EN45545-2 valide fin 2021 En 2022, la filiale Allemande « Safe-PCB Germany » devrait voir le jour. Le site web est en cours de traduction. Safe sera alors opérationnel en France, Chine, Espagne, Italie, Portugal, UK, Canada, Hollande, Tunisie et Allemagne en direct.
STAND N°5K20
Contact : Cédric DESRIER +33 6 27 77 45 70 cedric.desrier@sectronic.fr www.sectronic.fr
STAND N°5Q7
Contact : Stéphane DUPOUX +33 1 39 30 66 70 dupoux@seica.fr www.seica.fr
STAND N°5M19
Contact : Jean-Marie LE RAY +33 2 40 57 84 59 contact@seico.fr www.seico.fr
Des solutions à la carte
Vous avez une idée et cherchez un partenaire industriel pour vous épauler… Vous êtes fabless et avez besoin d’outils de fabrication… Votre supply chain réclame des besoins en sous traitance… Vous aimez l’industrie et cherchez un job... SEICO vous accompagne dans vos projets et vous donne les moyens de réussir vos challenges ! SEICO intervient en tant que spécialiste de la conception et de la fabrication pour les métiers de l’électronique, du câblage filaire, de l’intégration de produits et de l’outillage de test. Reconnu depuis plus de 40ans, nous continuons d’investir et de recruter pour nous adapter à vos projets et besoins technologiques. En 2022, SEICO pousse ses murs et s’agrandit pour accompagner sa croissance. Venez nous rendre visite, nos portes seront ouvertes et notre équipe à l’écoute pour évoquer, projeter et réaliser vos futurs produits. Contactez-nous sur www.seico.fr et suivez-nous sur les réseaux sociaux #seico.
L’équipe SEICO sera présente lors du salon GLOBAL INDUSTRIES Paris du 17 au 20 Mai prochain. Venez échanger sur vos besoins et rejoignez-notre équipe au stand 5M19
STAND N°5P28
Contact : Christophe BLANADET +33 1 30 90 64 95 contact@soudotique. www.soudotique.com
STAND N°5K20
Contact : Manuel DA SILVA +33 3 84 58 55 10 manuel.da-silva@a2e.fr www.synov-groupe.com
STAND N°5N8
Contact : Vincent FANON +33 2 37 31 40 00 v.fanon@systech-ste.com www.systech-ste.fr
Systech est un sous-traitant d’ensembles et sous-ensembles électronique basé à Gallardon (à 45 minutes du plateau de Saclay) et spécialisé dans les prototypes, petites et moyennes séries.
Systech est pourvue d’un service Recherche & Développement et d’un bureau d’études en plus de ses moyens de production, ce qui lui permet de développer les projets les plus exigeants et confidentiels in-situ, et de diminuer considérablement les risques d’industrialisation.
Avec un service Qualité garant du maintien des certifications EN9100 et ISO9001 depuis 2017, Systech a pu développer des partenariats solides dans les secteurs de l’aéronautique et du spatial mais aussi dans la défense et de l’automobile de pointe.
Face aux contraintes en matière d’approvisionnement de composants qui ralentissent encore le secteur de l’électronique, Systech continue de développer son réseau étendu de cataloguistes et de brokers et d’être créative dans la recherche d’alternatives pour ces clients. En effet, l’entreprise eurélienne proposait déjà à ses clients de bénéficier d’une veille active et permanente en matière d’équivalences et d’obsolescence de composants avant la crise actuelle, ce service est aujourd’hui devenu indispensable.
Plus que jamais engagée dans sa démarche d’amélioration continue, Systech continue d’embaucher et d’investir pour moderniser et digitaliser ses ateliers afin de gagner en réactivité et atteindre l’excellence opérationnelle. Forte de la confiance de ses clients et de l’engagement de ses équipes, l’entreprise maintient une évolution saine de son chiffre d’affaires dans un secteur péniblement impacté économiquement. En 2021 et malgré les effets rebonds de la crise, Systech réalise 15 millions d’euros de prise de commandes sur 12 mois glissants et continue de développer sa plateforme de cotation en ligne www.monproto.fr.
Vous pouvez suivre les dernières actualités sur www.systech-ste.fr et sur les réseaux sociaux.
L’équipe commerciale de Systech sera heureuse de vous rencontrer au Global Industrie de 2022 à Villepinte !
Pour en savoir plus sur Systech, contactez le service commercial au 02 37 31 40 00
STAND N°5N12
Contact : Patrick FILOUX +33 3 88 58 90 50 patrick.filoux@villelec.com www.villelec.com
STAND N°5Q5
Contact : Olivier WEEGER +33 1 30 15 20 00 oweeger@w-tech.fr www.w-tech.fr
STAND N°5N5
Contact : Romain MEJEAN +33 6 75 28 45 24 romain.mejean@we-online.com www.we-online.com
Würth Elektronik France, filiale du groupe Würth Elektronik, est expert fabricant de composants électroniques, électromécaniques et circuits imprimés. Présent dans tous secteurs d’activité via de multiples applications électroniques, ce groupe Allemand est un des leaders européens avec plus de 8 000 collaborateurs répartis dans plus de 50 pays au travers le monde et un chiffre d’affaires atteignant les 1.09 milliard d’Euros en 2021.
Avec des sites de production en Europe, en Asie, et en Amérique du nord le groupe livre au quotidien un nombre croissants de clients à l’échelle internationale. Le groupe Wurth Elektronik appartient au célèbre groupe familial Würth, spécialiste en outillage et fixation. En tant que Fabricant-logisticien, Wurth Elektronik a fait de son service client une priorité constante et propose outre des produits de qualité, disponibles en stock, sans minimum de commande, des échantillons gratuits, un accompagnement technique par son équipe d’Ingénieur d’Application, des séminaires dispensés gratuitement en ligne ou en présentiel, avec des formats adaptables de manière personnalisés et donnés directement chez le client, un service WE+ installé au siège français à Meyzieu en région RhôneAlpes Auvergne pour créer des projets en connectique sur-mesure. L’objectif final des équipes Wurth elektronik être présent aux côtés de ses clients dès le design, et assurer un service technique et commercial à toutes les étapes de leurs projets pour une satisfaction client maximale.
Le siège français est un centre qualité mondial et logistique européen de WE et abrite les services commerciaux et experts techniques dédiés à chaque département :
Deux départements Composants :
Electroniques : composant CEM, inductances, transformateurs, composants RF, varistances, cristaux Quartz, des oscillateurs, transfert d’énergie sans fil, LED, passif, optoélectronique, modules de puissance, capteurs… Electromécaniques : connecteurs, switches, entretoises…
Circuits imprimés (CBT)
Développeurs, sous-traitants et fabricants peuvent obtenir des circuits imprimés de technologies standards à innovantes, via une seule source. Avec 3 sites de production en Allemagne et ses partenaires en Asie, WE CBT peut couvrir tout le cycle de vie des produits de ses clients, de la conception à la fabrication en série, sans oublier le prototypage en délai court sur www.wedirekt.fr.
Solutions électroniques et électromécaniques sur mesure (ICS)
WE-ICS conçoit et produit des solutions électroniques et électromécaniques de distribution de puissance pour les véhicules dits « OFF highway » dans les domaines de l’agriculture, de la construction ou du transport. De la conception jusqu’à la production série, WE-ICS vous conseille qu’il s’agisse d’un produit standard, spécifique, de simples composants ou de systèmes complets.
HARDWARE FRANCE : L’association qui invite les start-ups à industrialiser et fabriquer en France
Par Louise KOBERSTEIN, reporter.
Les demandes adhésions commencent pour Hardware France : start-ups, PME et PMI de la filière électronique peuvent dès à présent rejoindre l’association qui souhaite à la fois conseiller les jeunes entrepreneurs, fédérer l’écosystème du hardware en France et représenter l’ensemble de ces acteurs.
Al’heure où la France tend à rapatrier une partie de son industrie sur le territoire, l’association Hardware France rêve d’accompagner cette mutation et de propulser les professionnels du secteur sur le devant de la scène. Créée en 2021 par Stéphane Elkon et Guillaume Gourdin, l’association entame en ce début d’année 2022 le recrutement de ses premiers adhérents. « L’objectif, c’est de rassembler les PME, les PMI et les start-ups qui conçoivent et mettent sur le marché des produits hardwares innovants » détaille Stéphane Elkon. Ces acteurs, aujourd’hui peu ou mal fédérés pourraient ainsi au sein de l’association échanger, s’informer, et mutualiser une partie de leurs outils et de leurs expertises. Au total, ce sont plusieurs centaines d’entreprises de toute la France et à des stades d’évolution différents, qui pourraient rejoindre le réseau Hardware France.
Première ambition de l’association : aider les jeunes pousses du Hardware à rencontrer le succès. Les start-ups de cette filière font aujourd’hui face à de
les échanges avec les sous-traitants, s’avèrent parfois être un défi. Ce fut le cas pour Rodolphe Hasselvander, fondateur de Blue Frog Robotics : « Il y a un vrai souci d’industrialisation en France. Quand on n’est pas une grosse boite, c’est extrêmement compliqué de trouver les bons acteurs qui pourront nous aider. En plus, tout coûte cher et rentabiliser ses investissements est long et fastidieux.
nombreux freins, que Stéphane Elkon et Guillaume Gourdin espèrent renverser : « La difficulté qui parait la plus importante à noter reste la vision des investisseurs. Ils sont en France peu habitués à investir dans le hardware, car ce sont des sommes importantes, avec un retour relativement tardif et des technologies souvent complexes. » Se pose alors la question de la fluidité des échanges entre les jeunes entreprises spécialisées et les investisseurs, qui traitent rarement ce type de sujet. Afin de redynamiser les financements, les deux fondateurs d’Hardware France se donnent pour mission d’accompagner les start-ups vers les investisseurs et de bousculer un mode de fonctionnement aujourd’hui défavorable. En parallèle, alors que de plus en plus d’entreprises souhaitent produire en France, les échanges avec les sous-traitants, eux aussi peu habitués à travailler avec des start-ups, s’avèrent parfois être un défi. Ce fut le cas pour Rodolphe Hasselvander, fondateur de Blue Frog Robotics : « Il y a un vrai souci d’industrialisation en France. Quand on n’est pas une grosse boite, c’est extrêmement compliqué de trouver les bons acteurs qui pourront nous aider. En plus, tout coûte cher et rentabiliser ses investissements est long et fastidieux. » L’entreprise, qui a notamment conçu le robot assistant Buddy, a aujourd’hui réussi à se développer via le BtoB, en mettant son produit à disposition de l’éducation ou de l’aide aux personnes âgées par exemple. : « On a mis du temps, on a ramé. Maintenant, on s’en sort » poursuit le fondateur. Avec les investisseurs comme avec les partenaires potentiels, l’association Hardware veut accélérer le processus par lequel est passée l’entreprise Blue Frog Robotics, en garantissant des échanges plus simples pour les jeunes entrepreneurs : « C’est indispensable, car ce sont des métiers très complexes. Il faut savoir gérer la plasturgie, la mécanique, l’électronique, les exigences réglementaires… Il s’agit donc d’huiler les rouages » souligne le cofondateur de l’association. Cette mise en relation passera également par la présentation aux adhérents de potentiels collaborateurs : institutions, laboratoires, pouvoirs publics, et même ministère de l’Industrie devront ainsi être invités par Hardware France.
Etre un point d’orientation
Cependant, les difficultés des jeunes pousses ne s’arrêtent pas à la recherche de partenaires et d’investisseurs : comment industrialiser sa technologie, comment protéger son innovation, comment éviter certains écueils… Autant de sujets que Stéphane Elkon veut aborder avec ces futurs adhérents, au travers de conférences notamment. « L’idée, c’est d’être un point d’orientation, de partager ses expériences, ses savoirs » reprend Stéphane Elkon. Une partie de cet accompagnement sera assurée par les fondateurs de ce réseau eux-mêmes, mais pas seulement : « Pour nous aider, nous aurons des adhérents dits piliers qui seront très actifs dans l’association. De plus, certaines personnes de bonne volonté nous ont déjà contactées pour intervenir auprès de nos adhérents ». Rodolphe Hasselvande confirme : « Les start-up industrielles françaises ont besoin d’un hub qui nous aide à nous développer avec des conseils, des avis de nos pairs. On peut également imaginer la mutualisation des machines : des prêts, ou des achats communs. Évidemment, si à Blue Frog Robotics, nous pouvons faire profiter de notre expertise, ce sera avec plaisir. »
En parallèle, Guillaume Gourdin et Stéphane Elkon construisent actuellement une base de données détaillant l’ensemble des acteurs impliqués de près ou de loin dans l’industrie du hardware en France. Des bureaux d’études, des laboratoires, des fabricants de composants, des sous-traitants électroniques, des assembleurs, des entreprises de logiciels embarqués, d’application mobile, de plasturgie, de mécanique, mais également des structures d’accompagnement telles que de l’aide à l’innovation ou au brevet, des éco-organismes traitant de la fin de vie des produits, des écoles d’ingénieurs, des junior entreprises ou des distributeurs. Hardware France souhaite être le plus exhaustif possible afin de conseiller au mieux ses adhérents. « Nous souhaitons créer le premier annuaire du hardware français» résume Stéphane Elkon. Une fois mises en forme, les informations récoltées sur chaque entreprise seront partagées en ligne directement aux membres de l’association. Ces derniers pourront ainsi facilement découvrir l’écosystème de l’industrie française et s’ils le souhaitent, se rapprocher de celles avec lesquels un partenariat leur semble envisageable. La concentration
L’impulsion des pouvoirs publiques Le gouvernement a choisi lui aussi d’être moteur de changement, en injectant 2,3 milliards d’euros dans l’industrialisation des start-ups. Ce plan, construit dans le cadre de la stratégie France 2030, est prometteur pour Stéphane Elkon : « Ça semble une bonne nouvelle, on ne peut que se réjouir d’avoir été entendu dans notre démarche. » Le fondateur d’Harware France espère, au-delà des fonds alloués, que cette impulsion des pouvoirs publiques va inspirer les investisseurs aujourd’hui frileux à s’engager auprès des start-ups industrielles. Cependant, il reste prudent : « Maintenant, nous attendons que ça soit suivi par d’autres actions, notamment sur le structuration de la filière. Si on dépense de l’argent publique pour la réindustrialisation, il faut y aller à fond et notamment jusqu’aux valeurs ». Ce premier pas, s’il n’est pas suffisamment assumé dans les mois et les années à venir, fait également craindre une fuite des start-ups à l’étranger, dans des pays plus en avance sur l’industrialisation de l’innovation. « Nous avons trop souvent participer à des projets qui bénéficient à d’autres parties du monde car lorsque l’on ne s’est pas investi suffisamment » souligne Stéphane Elkon.
de toutes ces informations au sein d’une seule et même plateforme permettra aux adhérents d’être à la fois plus réactifs et plus efficaces. Aujourd’hui, plus de 900 professionnels ont déjà été recensés et ce chiffre est voué à augmenter au fil des recherches et des rencontres de Hardware France. Sur le site internet de l’association, toute entreprise peut déjà postuler pour intégrer cette base de données et ainsi peut-être, être contactée par l’un des futurs adhérents du réseau. « Il y a un vrai besoin, car beaucoup de professionnels nous disent qu’ils ont envie d’adresser le marché des start-ups, mais ne savent pas comment s’y prendre » indique le cofondateur. De plus, chaque adhérent pourrait avoir la possibilité de commenter ses collaborations avec les entreprises de la base de données, afin que celle-ci deviennent encore plus collaborative.
Représenter la profession
Bien qu’il existe de nombreux succès du hardware français aujourd’hui, ceux-ci sont balayés par la montée en puissance du software selon Stéphane Elkon. « Tant mieux s’il y a beaucoup d’innovation software en France, mais notre pays ne peut pas miser que sur ce secteur. Il faut se diversifier. » Au-delà de fédérer ces acteurs, Hardware France veut assurer un devoir de représentation de la profession et de défense de ses intérêts auprès des pouvoirs publics. L’association compte également sur le retour de l’industrie Made in France pour mettre en avant les métiers qu’elle incarne et renforcer l’attractivité de la filière. « Il s’agit d’avoir une vision stratégique pour le pays, de jouer sur l’image du hardware français. C’est à la fois aider et représenter » résume Stéphane Elkon « Nous voulons être un couteau suisse pour la profession : expliquer ses besoins, ses manques, et la rendre plus compréhensible pour que la France soit plus prospère dans ce secteur. » L’adhésion à l’association coûte 390 euros la première année, puis 500 euros les années suivantes. Une trentaine de jeunes entreprises se sont déjà positionnées en 2021 pour intégrer le réseau Hardware France et plusieurs dizaines supplémentaires sont attendues dans les mois à venir.
Stéphane Elkon et Guillaume Gourdin en quelques lignes :
Stéphane Elkon est expert de la réglementation des produits électroniques et objets connectés. En 2018, il créé le cabinet de conseil FCDRA qui accompagne les industriels de l’électronique sur la mise en conformité de leurs produits et de leurs offres. Précédemment, il a dirigé plusieurs organisations professionnelles dans le domaine de l’électronique et du numérique, tel que l’Alliance Française des Industries du Numérique (AFNUM) jusqu’en 2017. Ce syndicat regroupe, en France, une soixantaine de grands groupes internationaux, équipementiers et fabricants d’équipements « hardware » numériques. Stéphane Elkon est également passé par l’ARCEP, où il était en charge des licences des opérateurs de réseaux mobiles : il a notamment été responsable de l’appel à candidatures pour l’octroi des licences 3G en France.
Après plusieurs années en tant qu’ingénieur mécanique et matériaux en bureau d’études dans l’industrie aéronautique, Guillaume Gourdin a décidé de laisser place à sa créativité et s’est lancé dans l’entreprenariat. Il débute en 2018 en co-développant une startup nommée Le Pavé Parisien, dédiée à la conception d’enceintes audio 100% françaises. Guillaume Gourdin s’est alors confronté aux problématiques de grands groupes tels que Safran tout autant que celles des PMEs innovantes. En 2021, il crée deux nouvelles structures : Prisme Studio, qui accompagner des projets de design et de fabrication locale en proposant des services de modélisation CAO, d’impression 3D, d’usinage, de design électronique et de moulage et Prisme Technologies, un concepteur et fabricant de machines d’usinage numérique Made in France pour les Fablabs, les artisans et les PME. Très engagé pour réunir les industriels francais du Hardware et pour accompagner la réindustrialisation de la France, il crée Hardware France avec Stéphane Elkon en 2021.
HARDWARE FRANCE Stéphane ELKON +33(0) 6 84 97 97 02 contact@hardware-france.fr
Continental Automotive fait évoluer la chaîne d’approvisionnement
Panasonic a modernisé les processus de Continental Automotive dans le cadre de son évolution vers l’industrie 4.0. La solution d’ingénierie augmente l’efficacité et permet de gagner du temps en évitant d’effectuer des recherches. Défi : Dans le cadre du passage à l’industrie 4.0 et d’une transition de la gestion rationalisée à la digitalisation, la mission de Panasonic a consisté à moderniser les processus de l’usine d’électronique automobile de Continental à Ratisbonne, afin de fluidifier les opérations et de gagner en efficacité. Solution : Panasonic a fourni une solution d’ingénierie comprenant l’analyse des processus, la transformation de l’espace de déchargement, l’automatisation de certaines actions physiques et l’installation de Visual Sort Assist. Le projet a permis de réduire à zéro le temps consacré aux recherches.
Continental développe des technologies et des services de pointe pour assurer la mobilité durable et connectée des personnes et des biens, et compte parmi les plus grands fournisseurs de l’industrie automobile mondiale. L’entreprise cherche toujours à améliorer ses processus de production. Son projet de digitalisation de la chaîne d’approvisionnement à l’horizon 2030, nommé « Fast Forward 2030 », prévoit d’allier main-d’œuvre et technologies d’automatisation pour fournir aux clients finaux des processus optimisés. Elle souhaite également accroître la sécurité et améliorer l’environnement de travail des employés. En 2020, Panasonic Business Europe a élaboré une solution d’ingénierie pour l’usine Continental de Ratisbonne, comprenant des technologies haut de gamme et une modernisation des processus. La solution a inclus une analyse des processus, la transformation de l’espace de déchargement, l’optimisation de certaines actions physiques et du matériel technique, ainsi que l’installation de Visual Sort Assist, qui s’intègre directement au système de gestion d’entrepôt SAP. Le projet a été mené dans l’une des deux usines modèles de Continental, dans le cadre de sa vaste transition technologique vers l’industrie 4.0.
Une nouvelle ère pour l’industrie automobile
Depuis de nombreuses décennies, l’industrie automobile détermine l’optimisation de la production et de la gestion de la chaîne d’approvisionnement. Les normes de ce secteur ont bien souvent ouvert la voie aux évolutions mondiales dans d’autres domaines de production. .
Songez, par exemple, à la mise en place de la chaîne de montage d’Henry Ford en 1913 ou au système de production à flux tendu. Les constructeurs automobiles et leurs fournisseurs profitent d’un sérieux avantage concurrentiel en mettant en œuvre des méthodes et des technologies de production
«L’expertise et l’attitude de Panasonic nous ont impressionnés. Nous partageons les mêmes points de vue sur les avantages techniques que les innovations doivent apporter aux entreprises.»
Mara Siewert - Spécialiste des opérations SCM et de la planification des flux de matériaux chez Continental Automotive
et de chaîne d’approvisionnement innovantes et efficaces. Toutefois, l’industrie automobile se transforme actuellement. Les moteurs à combustion laissent place à la mobilité électronique ou à la technologie de la pile à combustible, les véhicules deviennent intégralement connectés et automatisés, et les utilisateurs envisagent de plus en plus souvent de partager une voiture plutôt que d’en posséder une. De même, les sites de production, qui étaient auparavant isolés les uns des autres, font désormais partie d’un réseau numérique d’usines connectées. Ces évolutions posent de nombreux défis, mais préfigurent aussi des avancées prometteuses dans les domaines de l’électrification, de la numérisation et de la conduite autonome.
Une usine modèle de l’industrie 4.0
Le site de Ratisbonne est l’une des deux usines modèles dans lesquelles l’entreprise internationale applique ses stratégies. De nouveaux processus et des technologies novatrices sont mis au point et testés sur le site de Bavière et à Zvolen, en Slovaquie, avant d’être déployés dans toute l’entreprise.
Michael Schwarz, responsable de l’industrie 4.0 et des opérations de gestion de la chaîne d’approvisionnement chez Continental, explique : « Nous nous sommes fixés l’objectif d’améliorer nos processus en mettant en œuvre des solutions pratiques de l’industrie 4.0 dans les usines, en collaboration avec les parties prenantes au niveau local. » Michael Schwarz, qui compte plus de 20 années d’expérience à des postes de direction chez Continental, est membre du « Conseil de l’industrie 4.0 » depuis plus de cinq ans.
Il précise que les discussions sur le thème de l’industrie 4.0 ont commencé à la genèse du projet de recherche « Smart Face », développé conjointement par le renommé Institut Fraunhofer et le gouvernement fédéral d’Allemagne. La vision « Fast Forward 2030 » sous-tend la transformation de la chaîne d’approvisionnement en un réseau autonome. Un grand magazine spécialisé a d’ailleurs décerné à Continental le titre de « Transformateur digital de l’année » dans la catégorie Automobile. D’autres initiatives de digitalisation, comme coPace, ont également été primées. Le Conseil s’attache à définir la stratégie de l’industrie 4.0, à en tirer des projets stratégiques et à s’accorder sur des solutions I 4.0 standards. Rien que sur le site de Ratisbonne, Continental travaille actuellement sur 16 projets de l’industrie 4.0 visant à optimiser la circulation des fournitures et la production, qui sont étroitement liées. « Nous considérons l’industrie 4.0 comme la prochaine étape vers la numérisation et notre but est d’accroître le nombre d’usines capables d’accueillir ces transformations », indique Michael. Continental s’appuie sur des technologies clés telles que la connectivité, l’analyse des données, l’intelligence artificielle et d’autres possibilités à venir pour concevoir des interfaces hommemachine permettant d’optimiser la gestion de la chaîne d’approvisionnement.
Assurer la coordination fluide d’une chaîne d’approvisionnement complexe et globale
La plupart des entreprises occidentales misent essentiellement sur l’utilisation intensive des machines. Cela requiert de pouvoir compter sur la disponibilité des fournitures. Partout dans le monde, les industries ne cessent de revoir leurs besoins à la hausse. Par exemple, la chaîne d’approvisionnement internationale de Continental assure la livraison de 800 colis par jour à l’usine de Ratisbonne, 15 % de plus qu’il y a cinq ans.
L’usine doit aussi livrer ses produits dans 660 sites de divers pays. L’entrepôt de 1 500 m2 avait été conçu de façon optimale, avant le début du projet. Un espace de 800 m2 situé à côté de l’entrepôt avait été prévu pour la réception des marchandises. Les fournitures étaient d’abord déchargées, vérifiées, enregistrées et enfin stockées sur des palettes ou dans des caisses, dans l’entrepôt. Mara Siewert, Spécialiste des opérations SCM et de la planification des flux de matériaux chez Continental Automotive, déclare : « Le projet mené avec Panasonic avait surtout pour but d’améliorer la pré-
paration de l’enregistrement. Les livraisons arrivent souvent sur des palettes mixtes. Il peut y avoir des éléments d’une dizaine de fabricants différents sur une même palette et la livraison d’un même fabricant est répartie sur plusieurs palettes », explique-t-elle. Avant d’enregistrer les éléments dans le système de gestion de l’entrepôt, il est nécessaire de trouver toutes les pièces faisant partie d’une même commande. L’entreprise perdait beaucoup de temps à cause de ce processus. En collaboration avec Panasonic, Continental a cherché à réduire le temps écoulé entre la réception des pièces et leur enregistrement, pour qu’elles puissent partir en production plus rapidement. Une fois les pièces enregistrées, le système ERP signale les articles en rupture de stock. Un état prioritaire s’affiche dans le système de gestion d’entrepôt SAP, même avant l’enregistrement, et l’intralogistique est ajustée en conséquence. Il est essentiel de pouvoir trouver et fournir les pièces manquantes, dont certaines doivent être utilisées le jour même, et de pouvoir en réduire le nombre. Pour Mara Siewert et ses collègues, le temps de recherche des pièces manquantes d’une livraison représente l’un des indicateurs clés de performance et un paramètre important. Continental applique depuis de nombreuses années des principes de gestion rationalisée, qui viennent compléter l’approche Kaizen ou l’initiative Gemba Process Innovation de Panasonic, et les résultats parlent d’eux-mêmes. « Les collègues qui réceptionnent les pièces n’ont plus besoin de rechercher des articles spécifiques et gagnent ainsi beaucoup de temps. L’expertise et l’attitude de Panasonic nous ont impressionnés. Nous partageons les mêmes points de vue sur les avantages techniques que les innovations doivent apporter aux entreprises », affirme Mara. En mai 2020, Panasonic a remporté le contrat au terme d’un appel d’offres international pour le déploiement de la technologie au sein de Continental.
Coopérer pour atteindre les résultats escomptés
C’est au salon professionnel CeMAT 2018 Mara Siewert- Spécialiste des opérations SCM et de la planification des flux de matériaux chez Continental Automotive Michael Schwarz- Head of Industry 4.0 and SCM Operations chez Continental Automotive que l’offre de Panasonic a retenu l’attention des responsables de Continental, qui se sont ensuite rendus au show-room de Wiesbaden. « Les ingénieurs étaient ouverts à la discussion, nous ont posé beaucoup de questions et n’ont pas cherché à vendre une solution à tout prix, mais plutôt à développer une solution personnalisée », assure Mara Siewert. Le projet pilote a été validé en octobre 2019 et l’installation, l’intégration des processus dans l’usine et la connexion au système de contrôle de l’inventaire ont pris 14 semaines. « Panasonic a répondu à nos demandes dans les plus brefs délais. Le logiciel de traitement des images a été adapté à nos spécifications et nous nous félicitons d’atteindre désormais un taux de lecture de 99,6 % », commente Mara. Concrètement, cela signifie que le système traite 300 colis en 20 minutes, soit 15 colis à la minute, quels que soient leur positionnement, la taille et le type de la police de caractères, même si le paquet arrive endommagé.
La solution
Panasonic a livré un système clé en main associant deux technologies : d’une part la reconnaissance d’images, et plus particulièrement la reconnaissance d’objets, et d’autre part le mapping vidéo. L’élément central est un convoyeur de sept mètres de long sur lequel deux opérateurs peuvent placer simultanément des colis ayant été déchargés du camion. Les objets se déplacent sur le convoyeur à la vitesse de 0,8 mètre par seconde. La solution Visual Sort Assist scanne les codes- barres et projette sur le colis le nom du fournisseur et le degré de priorité à accorder à son contenu.
Panasonic a pris en charge la conception, l’ingénierie, l’installation et la mise en service, et a utilisé certains produits tiers. Une analyse complète des processus a précédé ces étapes. Panasonic a envoyé sur le site une équipe de spécialistes (analystes, ingénieurs système et informaticiens) d’Europe et du Japon. Durant six semaines, ils ont étudié la circulation des fournitures, les flux de données et les mouvements physiques des opérateurs.
Au cours du projet, des technologies clés, comme le logiciel de traitement des images, ont été développées plus avant en collaboration avec le client. Le temps de recherche a été réduit de 40 % et la prochaine mise à jour du logiciel de gestion de l’entrepôt permettra de faire passer ce chiffre à 90%.
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Prototypage professionnel à l’université de science appliquée Aschaffenburg
En période de pénurie de composants, la capacité de réparer et prototyper en interne n’a jamais été aussi nécessaire pour les industriels en électronique. Ces deux aspects font parties du cursus universitaire des étudiants en génie électrique et en technologie de l’information. Située à la périphérie de Francfort sur le Main, la TH Aschaffenburg (université des sciences appliquées d’Aschaffenburg) se caractérise par ses programmes d’études axés sur les affaires, principalement interdisciplinaires et innovants. Une coopération étroite avec les entreprises et une recherche axée sur les applications garantissent à plus de 3.300 étudiants une orientation pratique optimale. Au sein du laboratoire de technologie microinformatique, qui fait partie de la faculté des sciences, les étudiants ont maintenant accès à l’Ersa HR 500, un système de retouche professionnel et flexible.
Le professeur ingénieur Francesco P. Volpe, qui exerce dans le cours de génie électrique et informatique, dirige le cours axé sur la pratique « Schéma de circuits imprimés avec EAGLE », qui se déroule au sein du « Microcomputer Technology Laboratory ». L’objectif pour les étudiants participant à cette formation est de produire une carte son USB utilisant des composants CMS et des convertisseurs numériques/ analogiques intégrés dans un boîtier TQFP. Les Thin Quad Flat Package (TQFN) traités sont des boîtiers en plastique très plats, généralement carrés, montés en surface. Ils ont généralement de 32 à 200 broches, avec un pas de 0,4 à 1 mm. Pour pouvoir traiter des composants aussi petits et complexes, l’université d’Aschaffenburg recherchait un système approprié et l’a trouvé chez Ersa.
Le système HR 500 permet d’accéder au prototypage et à la réparation professionnelle de composants allant de 1 x 1 mm à 50 x 50 mm, ils peuvent être facilement placés et soudés ou dessoudés. Il est également possible de souder en une seule fois des assemblages allant jusqu’à 70 x 70 mm, à la manière d’un four de refusion en ligne. Les composants sont alignés en XY à l’aide de vis à entraînements fins et d’images provenant de la caméra haute résolution de la Visionbox. La dépose des composants se fait de manière automatique et sans force grâce à un moteur pas à pas. La combinaison d’un chauffage supérieur hybride et d’éléments chauffants infrarouges inférieurs assure un chauffage homogène et contrôlé des composants. Selon le professeur Francesco P. Volpe, la facilité d’utilisation du logiciel est un avantage
«il est logique pour de nombreuses entreprises de récupérer leurs composants et de les réutiliser pour compléter leurs lots de production. Les systèmes de réparations professionnels comme ceux d’Ersa sont des éléments constitutifs de ce processus.»
Visionbox du système HR 500 fournit des images de caméra haute résolution
certain pour les étudiants, qui bien souvent découvrent dans ce cours ce type de système. Grâce à des pictogrammes alliés à des explications contextuelles claires, même les utilisateurs inexpérimentés apprennent très rapidement à utiliser le système.
Dans ce laboratoire de microinformatique, des projets avec des partenaires externes et des entreprises sont également réalisés, favorisant ainsi activement le transfert de connaissances et de technologie entre l’université et l’industrie. Des circuits et des ensembles électroniques sont ainsi développés dans ce contexte, et sont utilisés dans divers domaines tels que l’IoT, les bus de données (CAN, I2C, SPI, etc.) et les systèmes embarqués. « Ersa soutient les universités, notamment grâce à des équipements de réparation de haute qualité, afin de familiariser les étudiants avec les processus de fabrication actuels dans la production électronique. » déclare Jörg Nolte, chef de produit chez Ersa, après l’installation du système HR 500. Étant donné que le manque de
Réparation professionnelle des cartes CMS de tailles standards.
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Plus d’informations en ligne :
De la conception à le refusion : les étudiants fabriquent des cartes son USB
puces informatiques affecte l’ensemble de l’industrie, M Nolte observe une demande accrue de systèmes de réparation au niveau mondial : « Il y a essentiellement deux aspects : La première est que les fabricants doivent respecter leurs contrats de livraison et chaque carte manquante peut être un problème. L’autre est que le rejet d’assemblages non fonctionnels fait partie du problème croissant des déchets électroniques auquel nous sommes confrontés. » En conclusion, il est logique pour de nombreuses entreprises de récupérer leurs composants et de les réutiliser pour compléter leurs lots de production. Les systèmes de réparations professionnels comme ceux d’Ersa sont des éléments constitutifs de ce processus.
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Distributeurs indépendants : les oubliés
Par Richard CRÉTIER, directeur de la publication.
En France, 5 960 entreprises (*) pratiquent le métier de commerce interentreprises de gros de composants électroniques et de communications (code NAF 46.52Z) et emploient plus de 27 000 personnes (*). Moins de 1 200 entreprises rendent publique leur chiffre d’affaires, ce qui rend quasiment impossible de définir le chiffre d’affaires global de cette profession qui comprend les distributeurs dits franchisés que l’on retrouve au SPDEI, les vépécistes et donc une kyrielle d’autres distributeurs. Au détour de la lecture d’une étude traitant de l’analyse de la valeur ajoutée de la filière électronique française pour la filière électrique (**), la France compte des distributeurs de rang mondial et des distributeurs spécialisés, ce qui met sur la touche les petits distributeurs. Plus troublant encore, l’implantation géographique de ces distributeurs de rang mondial est limitée à la localisation des seuls adhérents (environ 30) du Syndicat de la Distribution en Electronique Industrielle (SPDEI). A la veille de Global Industrie, le grand salon de l’industrie, qui comprend un univers dédié à l’électronique, remarquable par l’absence des fabricants de composants et les grands distributeurs, la rédaction des Cahiers s’est intéressée aux autres distributeurs, ceux qui ne sont pas de rang mondial.
Près de 80 distributeurs indépendants, en majorité français, sont visibles durablement sur le marché, tant auprès des sous-traitants que de leurs clients. Leur chiffre d’affaires selon leurs déclarations et les données visibles au Greffe des Tribunaux de commerce, s’élève à 400 millions d’euros, contre 700 millions pour les adhérents du SPDEI qui a annoncé lors de sa dernière soirée des Trophées un marché français atteignant 1,3 Md€. Ces 80 indépendants, encore aujourd’hui appelés brokers (c’est vrai nombre d’entre eux l’ont été) représenteraient donc 30% du marché français, occupé également par les vépécistes locaux qui ne pèseraient au mieux que 200 millions ce qui peut surprendre. En effet, à eux seuls RS et Wurth Elektronik France « pèsent » 400 millions d’euros et aucune donnée ne permet de quantifier le poids de plusieurs milliers d’entreprises Transparence, respectabilité, suivi personnalisé et confiance mutuelle sont les maîtresmots qui sont souvent revenus lors de nos entretiens. Si certains nourrissent une certaine rancœur envers les grands distributeurs qui marginalisent les indépendants, ils sont nombreux à considérer qu’il y a de la place pour tout le monde : « l’offre française est assez large, complémentaire entre les distributeurs franchisés et nous. Il y a tout pour répondre aux besoins les plus stratégiques, alors pourquoi contester les brokers ! » déclare James Nicolai le dirigeant de Fantastic Sourcing.
Le monde de la distribution a changé
Il est fréquent d’entendre les consommateurs de composants (OEM, ODM, EMS) regretter qu’il n’y ai plus de vrais distributeurs franchisés en France. Un indépendant déclarant « les stocks sont partis avec eux, ils sont en Allemagne, en Belgique ou aux Pays Bas ». Cette situation a laissé un boulevard aux distributeurs indépendants qui ont vu le regard de leurs clients changer sur leur métier.
Les clés du succès de la distribution indépendante
Le stockage est un point sur lequel ces distributeurs ont fait porter leurs efforts au cours de ces 3 dernières années : « depuis 2018, j’ai eu l’intuition qu’il fallait changer de modèle en passant par la mise en place d’une stratégie de stockage massive » annonce Grégory Lacroix de G4 Sourcing, formé à la dure école de la distribution aux Etats-Unis qui poursuit : « J’ai constaté que les distributeurs franchisés ne remplissaient plus leur rôle en devenant les représentants des fabricants de composants, sans stocks tampons. Depuis 2018 nos
Il est fréquent d’entendre les consommateurs de composants (OEM, ODM, EMS) regretter qu’il n’y ai plus de vrais distributeurs franchisés en France. Un indépendant déclarant « les stocks sont partis avec eux, ils sont en Allemagne, en Belgique ou aux Pays Bas ». Cette situation a laissé un boulevard aux distributeurs indépendants qui ont vu le regard de leurs clients changer sur leur métier...
stocks ont été multipliés par 6 et notre chiffre d’affaires par 12 ». La maîtrise de la logistique a été également un élément déterminant de différenciation : « La crise du covid et la pénurie qui en a découlé a été un véritable défi à relever pour permettre à nos clients de tenir leurs engagements vis-à-vis de leurs clients. En tant que distributeur indépendant » explique Gwennvel Benoist, marketing manager de Sorelec « nous avons su nous démarquer sur les aspects logistiques car nous avons par définition des partenariats forts avec nos fournisseurs nous permettant ainsi de proposer des solutions logistiques exceptionnelles. Notre approche de stock dédié pour nos clients historiques a aussi été un outil primordial. Des services qui ont plus que jamais du sens pour les clients dans ce contexte particulier ». Disponibilité, rigueur et réactivité sont des mots revenus fréquemment dans nos échanges : Nos clients ont constaté à quel point acheter des composants sur tous les continents, parfois non tracés et payés à l’avance demandaient une réactivité, un savoir-faire et une grande rigueur. Notre force réside dans notre réseau de fournisseurs, mais surtout dans notre organisation entièrement dédiée à l’efficacité et la sécurité. Pour cela nous avons constitué un panel fournisseur trié sur le volet et mis en place des procédures de contrôle rigoureuses et une amplitude horaire qui nous permet sur une journée d’acheter à Singapour ou à San Francisco » explique Grégory Lacroix.
Gwennvel BENOIST, SORELEC.
(*) source Répertoire SIRENE et DARES Septembre 2021 NAF 46.52Z : Commerce de gros (commerce interentreprises) de composants et d’équipements électroniques et de télécommunication.
Cette sous-classe comprend :
- Le commerce de gros de tubes et de valves électroniques. - Le commerce de gros de dispositifs à semi-conducteurs. - Le commerce de gros de puces électroniques et de circuits intégrés. - Le commerce de circuits imprimés. - Le commerce de gros de bandes et disquettes vierges pour le son et l’image, de disques magnétiques et optiques vierges (CD,DVD). - Le commerce de gros équipements téléphoniques et de communications.
Cette sous-classe ne comprend pas :
- Le commerce de gros de cassettes audio et vidéo, de CD, de DVD contenant des enregistrements. - Le commerce de gros ordinateurs et d’équipements périphériques. (**) FIEEC, étude réalisée par le Gifam
Les Distributeurs Indépendants en régions
Bretagne
ASCET +
Date de création : 02-mai-12 Contact : Mr Patrick AURIEL - 56000 VANNES p.auriel56@orange.fr - www.ascetplus.com 02-97-67-39-37 CA : Catégorie A
ASERTI ELECTRONIC
Date de création : 18-sept-00 Contact : Mme Florence BERTRAND - 56010 VANNES CEDEX fbertrand@aserti-electronic.fr - www.aserti-electronic.fr 02-97-68-28-29 CA : Catégorie C
ELECTROBREIZH
Date de création : 31-janv-07 Contact : Mr Thierry ROUDAUT - 22960 PLEDRAN th.roudaut@electrobreizh.com - www.electrobreizh.com 02-96-78-69-48 CA : Catégorie A Spécialiste dans la vente à distance de composants électroniques dont de nombreux produits obsolètes. Nos produits sont en grande partie issus de surstocks ou d’invendus en provenance de fabricants, de distributeurs ou de sous-traitants. Grâce aux 37 ans d’expériences de son dirigeant Thierry Roudaut dans l’achat et la revente de composants, aussi bien dans la sous-traitance industrielle que de la distribution, nous pouvons rechercher pour vous tous types de composants même obsolètes, n’hésitez pas à nous interroger.
EOS ELECTRONIC
Date de création : 01-mars-19 Contact : Mr Thomas ALIX - 35540 MINIAC MORVAN eos.alix@eos-electronic.com - www.eos-electronic.com 02-99-88-56-42 CA : Catégorie A Distributeur indépendant avec très grande expérience dans l’électronique. Revendeur de la marque Bosch depuis 2021 (Connecteurs, relais, capteurs …). Eos-Electronic a une forte présence dans les secteurs de l’Automobile et de la Défense. Bâtiment de 300m² dont 200m² de stockage sécurisé.
SORELEC
Date de création : 03-juin-75 Contact : Mr Gwennvel BENOIST - 35510 CESSON SEVIGNE gwennvel.benoist@sorelec.com - www.sorelec.com 06-17-94-16-02 CA : Catégorie C ISO 9001 V2015 AFAQ SORELEC est un distributeur indépendant français de composants électroniques et électromécaniques destinés aux professionnels de l’industrie et de la sous-traitance électronique. C’est une entreprise à taille humaine qui apporte proximité, réactivité et professionnalisme pour répondre aux besoins de nos clients, tant techniques que logistiques. Nous avons ainsi développé depuis de longues années des relations très étroites avec de grands fabricants de renommée mondiale, tels que TDK ou TE CONNECTIVITY. Concernant le service, nous disposons d’une équipe technique qui apporte une expertise et un support quotidien auprès de nos clients pour les accompagner dans leurs projets. Dans notre centre logistique, un grand nombre de références sont stockées en permanence. Pour ces composants, une commande passée avant midi peut être livrée sous 24 heures dans toute la France et sous 72 heures à l’étranger. Depuis plus de 25 ans, SORELEC est certifiée ISO 9001 garantissant l’application de processus stratégiques et opérationnels.
Normandie
L’IMPULSION ELECTRONIQUE
Date de création : 13-janv-15 Contact : Mr Grégory LEVARD - 14202 HEROUVILLE SAINT CLAIR contact@limpulsion.fr - www.limpulsion.fr 02-31-47-53-88 CA : Catégorie B
Pays De La Loire
KELLER ELEKTRONIK
Date de création : 12-avr-17 Contact : Mme Karine EBNER - 44270 MACHECOUL ST MEME karine.ebner@kellerelektronik.fr- www.kellerelektronik.fr 09-66-00-00-79
Nouvelle Aquitaine
C2PST
Date de création : 02-janv-19 Contact : Mr Christian CHARDAIRE - 33600 PESSAC c.chardaire@free.fr www.c2pst.blogspot.com 09-53-84-05-83 CA : Catégorie A
REBOUND ELECTRONICS
Date de création : 01-oct-16 Contact : Mr Erwan DEFRAIN 17000 LA ROCHELLE erwan.defrain@reboundeu.com www.reboundeu.com 05-46-50-81-67 CA : Catégorie C AS9120 Rev B/ISO13485:2016 ANSI/ESD S20.20 -2014 / SC21 Silver Award/ISO 9001 V2015
AZEGO TS EUROPE
Date de création : 01-déc-16 Contact : Mr Marc Olivier LENARDANT - 31000 TOULOUSE Marc.Lenardant@azego.co.uk - www.azego.co.uk 05-34-30-83-99 CA : Catégorie A ISO 9001 V2008 - AS9120A - FSB - ERAI
Signification chiffre d’affaires
Catégorie A : CA inférieur ou égal à 1M€ Catégorie B : CA supérieur à 1M€ et inférieur ou égal à 5M€ Catégorie C : CA supérieur à 5M€
Rennes
Nantes Rouen
Orléans
Midi Pyrénnées/Languedoc Roussillon
ASTON TECHNOLOGIES
Date de création : 01-mars-04 Contact : Mr Philippe COLLIN - 31480 CADOURS philippe.collin@astonic.com- ww.astonic.com 05-62-79-28-82 CA : Catégorie C ISO 9001 V2015 Bureau Veritas/02 juin 2019/ en9120/2016 Bureau Veritas 02 juin 2019 Distributeur indépendant et stockiste, sourcing en composants électroniques actifs ou passifs, obsolètes ou non, pour les secteurs aéronautique, militaire, transport, médical industrie, communication etc. depuis 2004. Aston Technologies dispose de plus de 30 000 références en stock et 1 000 000 de références disponibles J+3. Notre société est certifiée ISO 9001 et EN 9120. Bordeaux