MK • Dans le cadre de son cycle annuel de conférences, L’université des seniors (UNI3) propose une rencontre intitulée Le cannabis, du THC au CBD, entre projets-pilotes et pharmacies, quels usages? Menée par Barbara Broers, professeure associée à la faculté de médecine d e l’UNIGE et médecin consultante à l’unité Dépendances des HUG, cette présentation fera le point sur les usages possibles du cannabis, en particulier thérapeutiques. La spécialiste parlera aussi des résultats des évaluations des différents modèles de régulation en Suisse et ailleurs. Divers projets de recherche sur la consommation et distribution du cannabis à usage non-médical et leurs effets sur la santé seront abordés. A 14h30 le 29 octobre au Théâtre de l’Espérance, rue de la Chap elle 8. Inscriptions et infos: www.unige.ch/uni3 et uni3@unige.ch
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MAISONS DE RETRAITE • Sorties, musées, balades, danse, débats, virées à vélo… L’association genevoise des établissements médicosociaux offre aux aînés vivant dans ses EMS un large panel d’activités.
Marie Karatsouba
L’Association genevoise des établissements médico-sociaux (AGEMS) développe depuis sa fondation en 2015 une démarche dynamique pour stimuler l’activité et le confort de vie des aînés accueillis au sein de ses structures. «L’objectif commun à tous nos établissements est de s’ouvrir au maximum sur la société afin de prévenir l’isolement de nos résidents», explique Jean-Marc Guinchard, secrétaire général de l’AGEMS. Un riche panel de sorties culturelles dans les musées, théâtres, cinémas, ainsi que des excursions, des balades et même des virées à vélo permet aux résidents de rester intégrés à la vie de la cité.
Toujours dans cette optique consistant à favoriser le lien avec l’extérieur, des ateliers autour des votations et des revues de presse sont proposés par tous les établissements. «Ces débats autour de l’actualité ont beaucoup de succès. On égrène les titres de presse, de radio, de télévision tout en échangeant les différents points de vue. Ça crée du lien entre les résidents et leur permet de rester connectés au monde
qui les entoure», précise Jean-Marc Guinchard. Chaque EMS du réseau dispose de son propre pôle d’animation socioculturelle composé de travailleurs sociaux et d’assistants socio-éducatifs selon la taille et les besoins particuliers de l’établissement. «Nous avons la chance, par exemple, de disposer de trois vélos, d’un triporteur pour asseoir deux personnes, d’un vélo tandem et d’un vélo pour fauteuil roulant. Dès qu’il fait beau, nous emmenons les résidents faire des balades en campagne», détaille Barbara Peruzzo Camin, responsable animation à l’EMS Résidence Les Châtaigniers situé à Veyrier. De plus, un banc actif novateur installé dans le jardin et accessible à tout public permet d’entretenir sa mobilité au quotidien en proposant une large variété d’exercices. Ce lieu de vie propose quotidiennement un panel d’activités physiques ou récréatives telles que danse, chant, peinture, couture, tricot, pétanque,
flipper, qi gong ou encore des animations avec les enfants des établissements scolaires partenaires. «Certains jours ça grouille d’enfants chez nous, ils viennent faire des gâteaux, des jeux de société ou de la gym avec nos aînés», se réjouit la cheffe de service. En outre, des programmes d’animation diversifiés, élaborés par un processus participatif visent à satisfaire au mieux les demandes des pensionnaires avec des activités et des projets personnalisés favorisant la poursuite d’un rôle social et identitaire jusqu’au bout. Pour répondre aux besoins spécifiques, notamment des résidents qui connaissent des troubles cognitifs et rencontrent des difficultés à prendre part aux activités socioculturelles proposées, les services animation font appel à des intervenants spécialisés qui proposent des prestations d’artthérapie, de musicothérapie, de zoothérapie et même des visites humoristiques assurées par des clowns. Infos: www.agems.ch
Collectez despoints Cumulus
A l’EMS Résidence Les Châtaigniers à Veyrier, les résidents peuvent entretenir leur mobilité en plein air. DR
Des solutions pour soulager l’arthrose de l’épaule
DOULEURS
• Depuis maintenant plusieurs mois, une douleur aiguë vous traverse l’épaule dès que vous levez le bras? On vous livre les astuces de professionnels pour apaiser vos symptômes.
Avec l’âge, il est fréquent de souffrir d’arthrose. Cette pathologie qui peut devenir très handicapante au quotidien n’est pourtant pas une fatalité.
De l’alimentation à l’exercice physique, en passant par les traitements médicaux, il existe plusieurs méthodes pour soulager vos douleurs.
Une bonne hygiène de vie
On le sait bien, l’alimentation et l’activité physique sont essentielles pour rester en forme, et les douleurs articulaires ne font pas exception! Pour soulager votre arthrose, misez sur des bons lipides riches en oméga-3, comme les oléagineux (noix, noisettes, amandes), les graines de lin, l’huile d’olive et les poissons gras (sardine, hareng, thon, etc.). En parallèle, pratiquez
Une alimentation et une activité physique adaptées aident à apaiser les douleurs. DR
des sports doux et lents comme le taï-chi ou le qi gong qui aident à préserver la mobilité de l’épaule via des mouvements de rotation sans causer de chocs ou de traumatismes. Vous pouvez également effectuer des petits exercices à la maison, tels que des haussements d’épaule et des petits cercles dans le vide, penché vers l’avant. Enfin, n’hésitez pas à masser la zone douloureuse avec une pommade à base d’arnica, un mélange d’huiles essentielles apaisantes et anti-inflammatoires telles que la gaulthérie, le romarin et l’eucalyptus citronné.
Des solutions médicales
Si malgré ces bons réflexes, votre épaule continue de vous faire souffrir au point de vous handicaper, il sera alors nécessaire de consulter un professionnel de santé. Votre médecin pourra vous prescrire des antalgiques, des séances d’ultrasons chez le physiothérapeute ou envisager la pose d’une prothèse pour remplacer l’articulation lésée. LR
SANTÉ • Le service d’ophtalmologie des Hôpitaux universitaires de Genève rappelle l’importance de contrôler sa vue régulièrement après 50 ans.
Propos recueillis par Marie Karatsouba
Dans une société basée essentiellement sur le visuel, la vue représente notre faculté sensorielle la plus importante. En prenons-nous suffisamment soin? Petit tour d’horizon des bonnes pratiques à avoir avec la professeure Gabriele Thumann, médecin chef du service d’ophtalmologie aux HUG.
GHI: Pour quelqu’un qui n’a pas de malformation ou de pathologies pré-existantes, quand faut-il commencer à consulter? Gabriele Thumann: Dès 50 ans, il est absolument impératif d’effectuer des contrôles tous les 2 ans à cause du risque de développer un glaucome, une maladie extrêmement grave qui mène à la cécité si elle n’est pas traitée. On ne peut pas en détecter les symptômes soi-même, car c’est une pathologie neurodégénérative qui provoque un défaut dans un champ visuel de l’œil qui est compensé par notre cerveau grâce à la vision de l’autre œil.
– Quelles sont les conséquences? Elles peuvent être dramatiques car le glaucome peut passer longtemps inaperçu. Quand notre cerveau ne reçoit pas une information qu’il aurait dû voir, il va imaginer quelque chose qui pourrait être à cette place. Par exemple, si un enfant qui traverse la rue se trouve dans ce champ aveugle, vous ne le verrez pas car votre cerveau l’aura remplacé à partir du passage piéton vide qu’il voit autour.
La professeure Gabriele Thumann préconise un examen tous les 2 ans, passé la cinquantaine, afin d’éviter de développer un glaucome. DR
– Donc avant 50 ans il n’est pas nécessaire de contrôler sa vue? Il est difficile de donner des règles, mais aujourd’hui la myopie explose à cause de l’utilisation massive des écrans. Et comme l’être humain est un champion de l’adaptation, il tarde à consulter un spécialiste. Celle-ci progresse lentement, on ne s’en rend donc pas forcément compte et c’est seulement en confrontant le patient à une bonne correction oculaire qu’il réalise la différence.
– Quels sont les effets? Si vous commencez par exemple à avoir des difficultés
Et côté audition?
MK • S’il n’y a pas d’âge ni de fréquence recommandés pour un contrôle de l’oreille, il est toujours important de prêter attention aux éventuelles gênes auditives. «Notre entourage joue un rôle primordial, car nous ne nous remarquons pas toujours que nous commençons à parler plus fort ou à comprendre moins bien ce qu’on nous dit», met en garde Hélène Cao Van, médecin adjointe responsable médicale du laboratoire d’audiologie au Service ORL et chirurgie cervicofaciale des HUG.
à lire, vous serez moins à l’aise avec votre lecture, ce qui va imposer un stress dont vous n’allez pas nécessairement vous rendre compte. Une baisse de la vue peut mener à des maux de tête, des fatigues, de l’isolement, voire à une dépression alors qu’il aurait suffi d’identifier le problème auparavant. Avec un examen objectif et une bonne correction, on peut obtenir des améliorations et des soulagements inimaginables.
– A quoi faut-il également être attentif? Ne pas garder les mêmes lunettes pendant dix, ce que certaines personnes âgées ont parfois tendance à faire. A l’extérieur et en cas de difficultés de mobilité, renoncer aux lunettes progressives. Leur partie inférieure étant conçue pour la vision de près, en baissant la tête, la vision devient floue. Bon nombre de chutes sont dues à cela.
Une baisse d’audition non traitée peut avoir des conséquences négatives sur le cerveau car ce dernier a besoin d’être stimulé pour continuer à bien fonctionner, notamment par les entrées sensorielles auditives.
De manière générale, la presbyacousie, soit la diminution des capacités auditives en raison de l’âge, survient à partir de 60 ans selon la spécialiste (30% de la population), mais peut se déclarer plus tôt selon l’environnement (exemple: exposition au bruit) et/ou selon les prédispositions génétiques.
«Dans le cas d’un acouphène, il importe de consulter, car si les bourdonnements peuvent être transitoires, ils peuvent aussi persister et la médication pourrait éviter leur installation dans la durée», précise encore la praticienne.
– Quel serait votre meilleur conseil? 80% des informations que notre cerveau reçoit proviennent des yeux, 10% de l’oreille et 10% de tous les autres sens. Essayez de fermer les yeux au milieu de la journée quand vous vous affairez dans votre cuisine par exemple. Vous verrez que cela devient très vite désagréable. Si j’ai une chose à conseiller, c’est d’avoir conscience de l’importance de la faculté visuelle et d’en prendre soin.
Animaux de compagnie: des amis très précieux
BIEN-ÊTRE • Pour bien vieillir, il faut être bien accompagné et ne pas sombrer dans la sédentarité. Que ce soit à domicile ou en maison de retraite, la présence d’animaux domestiques auprès des seniors a de nombreux bienfaits sur leur vie sociale et sur leur santé.
De nombreux seniors souffrent d’isolement et de solitude. Histoires de familles, éloignement géographique ou encore manque de temps privent en effet de nombreuses personnes de compagnie au quotidien. Pour pallier ce phénomène, adopter un animal domestique est une solution régulièrement envisagée. Si l’on reconnaît déjà les bienfaits des chiens et des chats sur notre santé, cela est d’autant plus vrai lorsqu’il s’agit de nos aînés, qui trouvent chez ces boules de poils du réconfort et une présence inestimable.
Rompre la solitude
La solitude et l’isolement sont le sort réservé à de nombreuses personnes âgées. Or, l’absence prolongée d’interactions quotidiennes peut engendrer non seulement des états dépressifs mais aussi des désordres physiques. La compagnie d’un animal, si elle n’est pas un remède miracle, peut
néanmoins agir sur de nombreux plans. Avoir un chien ou un chat, voire n’importe quelle bête à plumes ou à poils, permet de vieillir dans un environnement davantage sécurisant. Par sa fidélité, son affection et son attachement, l’animal apporte une certaine bienveillance et permet de créer de nouveaux liens avec d’autres propriétaires ou avec le voisinage. Pour les retraités qui n’ont plus de vie professionnelle et qui ne s’occupent que très rarement de leurs petitsenfants, se consacrer à un animal permet aussi de rester actif et de se sentir responsable. Cela contribue non seulement à alimenter l’estime de soi car on se sent utile, mais aussi à prendre soin de sa santé en augmentant l’activité physique et en travaillant sa mobilité.
En effet, s’occuper de son animal permet de limiter la sédentarité et la perte d’autonomie, mais aussi de bouger davantage et plus souvent. Les bénéfices santé
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sont alors nombreux: diminution des risques des maladies cardiovasculaires, renforcement des défenses immunitaires, limitation du surpoids, sans oublier un moral au top!
Animaux en maison de retraite?
S’il est facile d’adopter un chat, un chien ou un oiseau lorsqu’on peut encore habiter dans sa demeure, la situation se corse lorsqu’on est obligé d’emménager dans un établissement d’hébergement pour personnes âgées dépendantes. En effet, rares sont les structures à autoriser la présence d’un animal, sauf, dans quelques cas, lorsque le résident est capable de s’occuper de son compagnon en toute indépendance. Néanmoins, les EMS sont de plus en plus nombreux à faire appel à des zoothérapeutes dont le métier consiste à faire des animaux de véritables médiateurs pour améliorer le bien-être physique et psychique de leurs patients. Quelques jours par mois, les personnes âgées peuvent donc recevoir la visite de Médor ou de Tigrou. Un moment privilégié pour s’évader un peu et échanger…
Contrairement à ce que l’on pourrait croire, ce ne sont pas les jeunes familles qui craquent le plus facilement pour un chien ou un chat. C’est aux alentours de 50 ans que l’on adopte le plus souvent un animal de compagnie. La proportion de maîtres diminue ensuite après 80 ans. En effet, beaucoup de personnes âgées craignent de laisser orphelin leur petit compagnon… Si l’âge est un cri-
tère de choix, il faut également prendre en compte son mode de vie. Beaucoup de seniors préféreront un animal calme et peu agité, capable de les accompagner dans tous leurs déplacements du quotidien. Il vaut mieux encore un animal de petite taille afin d’éviter les chutes et les accidents.
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Vivre avec un chat ou chien permet de limiter les risques de maladies cardiovasculaires mais aussi de se sentir mieux dans sa peau de senior. ISTOCK/ CITY PRESSE
Le shopping en ligne séduit de plus en plus
ADAPTATION • A l’ère numérique, les seniors, loin de rester en retrait, s’adaptent aux nouvelles tendances de consommation.
Marie Karatsouba
Selon une étude menée en mai dernier par le leader zurichois de la vente en ligne Digitec Galaxus, en 2023, près d’un tiers des clients était des seniors en 2023. Les hommes et les femmes de plus de 55 ans montrent un intérêt croissant pour le shopping en ligne, avec des comportements cependant distincts.
Les données montrent que les femmes de cette tranche d’âge commandent davantage d’articles pour bébés, de jouets pour leurs petits-enfants et de nourriture pour animaux. Elles consacrent également une bonne partie de leurs achats à l’aménagement intérieur. Les hommes, quant à eux, préfèrent les produits liés à l’électronique grand public, au jardinage ou encore aux travaux manuels.
En outre, une analyse des tendances d’achat révèle que les personnes de
plus de 55 ans sont désormais les plus gros acheteurs dans la catégorie bricolage et jardin, surpassant même les produits informatiques. Ce changement s’explique en partie par la fin de la pandémie et l’augmentation du nombre de femmes achetant en ligne. Enfin, l’étude révèle que les femmes seniors sont aussi de plus en plus écoresponsables, avec 15% d’achats compensés par des contributions climatiques, contre 12% chez les hommes. Cette sensibilité à l’impact environnemental démontre une prise de conscience croissante parmi cette génération.
L’évolution des comportements d’achat des aînés témoigne d’une volonté d’adaptation au monde numérique, ainsi que de leur engagement vers une consommation plus consciente.
SPORT
La solitude, ce mal profond qui ronge les aînés
SOCIÉTÉ • Annie*, 80 ans passés vit seule dans son appartement situé en plein cœur de Genève. Ancienne secrétaire médicale, elle vit aujourd’hui de sa retraite modeste et peine à joindre les deux bouts. «J’aurais bien voulu pouvoir inviter quelqu’un au restaurant pour profiter d’un moment agréable, mais comment faire quand on n’a plus le pécule?» regrette-t-elle. Et surtout plus de proches… le temps ayant fait son chemin, Annie n’a plus ni famille, ni amis et passe ses journées cloîtrée dans son petit troispièces.
Mais alors, pourquoi ne pas profiter de l’offre abondante et si riche d’activités pour seniors proposée par les différen-
tes institutions en ville? «Je n’ai jamais aimé faire les choses en groupe, cela m’oppresse», rétorque la vieille dame, qui ajoute: «Ce qui me manque le plus, c’est tout simplement un interlocuteur avec qui discuter».
Les personnes âgées souffrant d’isolement
Si Annie bénéficie tout au moins d’un service hebdomadaire de visites à domicile, Jacques*, 87 ans, s’y oppose de pied ferme. «Pourquoi laisser entrer chez moi quelqu’un que je ne connais pas? J’ai une voisine qui me fait mes courses et cela me va bien comme ça!» réplique-t-il. La seule sortie qu’il s’accorde, c’est d’aller boire un thé au bistro en bas de chez lui une fois par mois. Selon l’Observatoire vieillesse de Pro Senectute, quelque 37% des personnes de 85 ans et plus souffrent de solitude en Suisse, soit environ 90’000 seniors. L’enquête montre que les personnes très âgées sont nettement plus touchées par la solitude que les plus jeunes. Chez les 65-74 ans, la proportion est d’environ 24%, tandis qu’elle est légèrement supérieure à 25% chez les 75-84 ans.
«La solitude constitue un risque pour la santé: les personnes âgées se sentant seules ont non seulement une espérance de vie plus courte, mais souffrent aussi plus souvent d’hypertension et de dépression. Elles bougent moins, sont plus stressées et plus souvent atteintes de démence. La solitude renforce aussi les souffrances existantes», précisent encore les spécialistes. MK
*Prénoms d’emprunt
COURS
Immortaliser le décor urbain avec votre smartphone
MK • Le 17 octobre, le cours intitulé Le monde à travers votre objectif: améliorer votre vision en photographie de quartier propose aux seniors de se familiariser avec l’art de la photographie de rue. Animée par le photographe Kerim Knight, la séance mettra l’accent sur la pratique et sera consacrée à la photographie dans le vif du décor urbain afin d’aiguiser les compétences et l’objectif des participants. Cet événement s’inscrit dans le programme Activités seniors près de chez vous proposé par la Ville de Genève.
A 14h30 à l’Espace de quartier Grottes, rue du Grand-Pré 9. Autres dates: 31 octobre et 7 novembre. Inscriptions au 0800 44 77 00.
Du golf pour garder l’équilibre
RED • Faire du golf permet d’améliorer son équilibre corporel. En effet, cette discipline mobilise à la fois les membres inférieurs, les membres supérieurs et les muscles du dos, et ce sur de longues périodes et en douceur. Cela se traduit par une amélioration ou une conservation de la force musculaire des membres inférieurs, dostronc, et des membres supérieurs, ainsi qu’une amélioration ou une conservation de la souplesse du dos et des épaules. Des atouts qui font de ce sport une pratique particulièrement sollicitée par les seniors. Avec l’âge, les os, les ligaments ou encore les tendons sont fragilisés et les risques de chutes sont omniprésents. Travailler son équilibre permet de réduire cette menace. Le golf est donc un bon compromis pour ceux qui veulent améliorer leur stabilité sans trop solliciter leurs articulations.
Technologie BrainHearingTM pilotée par capteurs 4D Technologie Bluetooth® LE Audio
Jusqu’à 20 heures d’autonomie
Les achats sur Internet attirent de plus en plus les aînés. 123RF
