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BIEN-ÊTRE

Animaux de compagnie: des amis très précieux pour les seniors

• Pour bien vieillir, il faut être bien accompagné et ne pas sombrer dans la sédentarité. Que ce soit à domicile ou en maison de retraite, la présence d’animaux domestiques auprès des seniors a de nombreux bienfaits sur leur vie sociale et sur leur santé.

Avec le vieillissement de la population, on compte de plus en plus de seniors. Une partie d’entre eux souffre d’isolement et de solitude. Histoires de familles, éloignement géographique ou encore manque de temps privent en effet de nombreuses personnes de compagnie au quotidien. Pour pallier ce phénomène, adopter un animal domestique est une solution régulièrement envisagée. Si l’on reconnaît déjà les bienfaits des chiens et des chats sur notre santé, cela est d’autant plus vrai lorsqu’il s’agit de nos aînés, qui trouvent chez ces boules de poils du réconfort et une présence inestimable.

Rompre la solitude

La solitude et l’isolement sont le sort réservé à de nombreuses personnes âgées qui, faute de vie sociale, n’ont plus d’interactions quotidiennes avec les autres. Lorsque cette situation perdure, cela peut engendrer non seulement des états dépressifs mais aussi une diminution physique. La compagnie d’un animal, si elle n’est pas un remède miracle, peut néanmoins agir sur de nombreux

SPORT

plans. Avoir un chien ou un chat, voire n’importe quelle bête à plumes ou à poils, permet d’être accompagné au quotidien et de vieillir dans un environnement davantage sécurisant. Par sa fidélité, son affection et son attachement, l’animal apporte une certaine bienveillance et permet de créer de nouveaux liens avec d’autres propriétaires ou avec le voisinage. Pour les retraités qui n’ont plus de vie professionnelle et qui ne s’occupent que très rarement de leurs petits-enfants, se consacrer à un animal permet aussi de rester actif et de se sentir responsable. Cela contribue non seulement à alimenter l’estime de soi car on se sent utile, mais aussi à prendre soin de sa santé en augmentant l’activité physique et en travaillant sa mobilité. En effet, s’occuper de son animal permet de limiter la sédentarité et la perte d’autonomie, mais aussi de bouger davantage et plus souvent. Les bénéfices santé sont alors nombreux: diminution des risques des

Du golf pour garder l’équilibre

Faire du golf permet d’améliorer son équilibre corporel. En effet, cette discipline mobilise à la fois les membres inférieurs, les membres supérieurs et les muscles du dos, et ce sur de longues périodes et en douceur. Cela se traduit par une amélioration ou une conservation de la force musculaire des membres inférieurs, dos-tronc, et des membres supérieurs, ainsi qu’une amélioration ou une conservation de la souplesse du dos et des épaules. Des atouts qui font de ce sport une pratique particulièrement sollicitée par les seniors. Avec l’âge, les os, les ligaments ou encore les tendons sont fragilisés et les risques de chutes sont omniprésents. Travailler son équilibre permet de réduire cette menace. Le golf est donc un bon compromis pour ceux qui veulent améliorer leur stabilité sans trop solliciter leurs articulations.

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maladies cardiovasculaires, renforcement des défenses immunitaires, limitation du surpoids, sans oublier un moral au top!

Des animaux en maison de retraite?

S’il est facile d’adopter un chat, un chien ou un oiseau lorsqu’on peut encore habiter dans sa demeure, la situation se corse lorsqu’on est obligé d’emménager dans un établissement d’hébergement pour personnes âgées dépendantes. En effet, rares sont les structures à autoriser la présence d’un animal dans leurs lieux, sauf, dans quelques cas, lorsque le résident est capable de s’occuper de son compagnon en toute indépendance. Néanmoins, les EMS sont de plus en plus nombreux à faire appel à des zoothérapeutes dont le métier consiste à faire des animaux de véritables médiateurs pour améliorer le bien-être physique et psychique de leurs patients. Quelques jours par mois, les personnes âgées

peuvent donc recevoir la visite de Médor ou de Tigrou. Un moment privilégié pour s’évader un peu et échanger… Contrairement à ce que l’on pourrait croire, ce ne sont pas les jeunes familles qui craquent le plus facilement pour un chien ou un chat. C’est aux alentours de 50 ans que l’on adopte le plus souvent un animal de compagnie. La proportion de maîtres diminue ensuite après 80 ans. En effet, beaucoup de personnes âgées

craignent de laisser orphelin leur petit compagnon… Si l’âge est un critère de choix, il faut également prendre en compte son mode de vie. Beaucoup de seniors préféreront un animal calme et peu agité, capable de les accompagner dans tous leurs déplacements du quotidien. Il vaut mieux encore un animal de petite taille afin d’éviter les chutes et les accidents.

«Vieillir chez soi en toute sérénité»

Grâce à un accompagnement de qualité, les seniors peuvent vieillir chez eux de manière digne et autonome. Home Instead est une entreprise privée pour l’accompagnement bienveillant et personnalisé des seniors, c’est l’alternative aux maisons de retraite et aux établissements médico-sociaux. Nous proposons des accompagnements de 2 à 24 heures avec des accompagnants attitrés qui soulagent les proches aidants.

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Cumulus

Mike Niriama
Vivre avec un chat ou chien permet de limiter les risques de maladies cardiovasculaires mais aussi de se sentir mieux dans sa peau de senior. ISTOCK/ CITY PRESSE

Prenons soin de notre vue!

VISION • Dans une société basée essentiellement sur le visuel, la vue représente notre faculté sensorielle la plus importante. En prenons-nous suffisamment soin? Petit tour d’horizon des bonnes pratiques à avoir avec la professeure Gabriele Thumann, médecin chef du Service d’ophtalmologie aux HUG.

Lausanne Cités: Quand faut-il commencer à consulter?

Gabriele Thumann: Dès 50 ans, il est absolument impératif d’effectuer des

contrôles tous les 2 ans à cause du risque de développer un glaucome qui est une maladie extrêmement grave qui mène à la cécité si elle n’est pas trai-

Et côté audition?

S’il n’y a pas d’âge ni de fréquence recommandés pour un contrôle de l’oreille, il est toujours important de prêter attention aux éventuelles gènes auditives. «Notre entourage joue un rôle primordial, car nous ne remarquons pas toujours que nous commençons à parler plus fort ou à comprendre moins bien ce qu’on nous dit» met en garde Hélène Cao Van, médecin adjointe responsable d’unité au Service ORL et chirurgie cervico-faciale des HUG. Une baisse d’audition non traitée peut provoquer des dommages irréversibles au cerveau car ce dernier a besoin d’être stimulé pour continuer à bien fonctionner, notamment par les entrées sensorielles auditives. De manière générale, la presbyacousie, soit la diminution des capacités auditives en raison de l’âge, survient à partir de 65 ans selon la spécialiste, mais peut se déclarer plus tôt si elle est liée à une forte exposition au bruit. «Dans le cas d’un acouphène, il importe de consulter, car si les bourdonnements peuvent être transitoires, ils peuvent aussi persister et la médication permet d’éviter leur installation dans la durée» précise encore la praticienne.

tée. On ne peut pas en détecter les symptômes soi-même, car c’est une maladie neurodégénérative qui provoque un défaut dans un champ visuel de l’œil qui est compensé par notre cerveau grâce à la vision de l’autre œil.

Est-ce que c’est très grave?

C’est surtout hyper dangereux car le glaucome peut passer longtemps inaperçu. Quand notre cerveau ne reçoit pas une information qu’il aurait dû voir, il va imaginer quelque chose qui pourrait être à cette place. Si un enfant qui traverse la rue se trouve dans ce champ aveugle, vous ne le verrez pas car votre cerveau l’aura remplacé à partir du passage piéton vide qu’il voit autour.

Donc avant 50 ans il n’est pas forcément nécessaire de contrôler sa vue?

C’est difficile de donner des règles, mais en ce moment, la myopie explose à cause de l’utilisation massive des écrans. Et comme l’être humain

est un champion de l’adaptation, je vois régulièrement arriver des gens avec une baisse de vue déjà très importante. Cette baisse progresse tout lentement, on ne s’en rend donc pas forcément compte et c’est seulement en confrontant le patient avec une bonne correction oculaire qu’il réalise la différence.

Quelles en sont les conséquences?

Si vous commencez par exemple à avoir des difficultés à lire, vous serez moins à l’aise avec votre lecture, ce qui va imposer un stress dont vous n’allez pas nécessairement vous rendre compte. Une baisse de la vue peut

mener à des maux de tête, des fatigues, de l’isolation, voire à une dépression. Quel serait votre meilleur conseil? 80% des informations que notre cerveau reçoit proviennent des yeux, 10% de l’oreille et 10% à travers tous les autres sens. Essayez de fermer les yeux au milieu de la journée quand vous vous affairez dans votre cuisine par exemple. Vous verrez que cela devient très vite désagréable. Si j’ai une chose à conseiller, c’est de prendre conscience de l’importance de la faculté visuelle et d’en prendre soin. Propos recueillis par Marie Karatsouba

Office de santé d'aide à domicile (OSAD)

Prestationscouvertesparl'assurancedebase (LAMal)

Mission

Assurerlemaintienetlaqualitédevieàdomicile despersonnesatteintesdansleursantéetleurautonomie

Prestations

Evaluationsetconseils-Soinsinfirmiers-Soinsdebase Informationsurlesaidesfinancières,ledroitdespatients etlesdirectivesanticipées

Moyens

Equipespluridisciplinaires-Adaptationdusoinàlapersonne selonsasituationetsonenvironnement-Respectdel'éthique

Réponsetéléphoniqueencasd'urgence24/24et7/7au0797470505

Autresservices

Aideauménage-Aideauxcourses-Préparationetaideauxrepas Accompagnementdanslesdéplacements(médecin,coiffeur,etc.)

W-care24-Av.deGrammont2-1007Lausannne Tél.0218013662-0797470505

pour soulager l’arthrose de l’épaule

SANTÉ • Depuis maintenant plusieurs mois, une douleur aiguë vous traverse l’épaule dès que vous levez le bras? On vous livre les astuces de professionnels pour apaiser vos symptômes. Avec l’âge, il est fréquent de souffrir d’arthrose. Cette pathologie qui peut devenir très handicapante au quotidien n’est pourtant pas une fatalité. De l’alimentation à l’exercice physique, en passant par les traitements médicaux, il existe plusieurs méthodes pour soulager vos douleurs.

Une bonne hygiène de vie

On le sait bien, l’alimentation et l’activité physique sont essentielles pour rester en forme, et les douleurs articulaires ne font pas exception! Pour soulager votre arthrose, misez sur des bons lipides riches en oméga-3, comme les oléagineux (noix, noisettes, amandes), les graines de lin, l’huile d’olive et les poissons gras (sardine, hareng, thon, etc.). En parallèle, pratiquez des sports doux et lents comme le taïchi ou le qi gong qui aident à préserver la mobilité

de l’épaule via des mouvements de rotation sans causer de chocs ou de traumatismes. Vous pouvez également effectuer des petits exercices à la maison, tels que des haussements d’épaule et des petits cercles dans le vide, penché vers l’avant.

Enfin, n’hésitez pas à masser la zone douloureuse avec une pommade à base d’arnica, un mélange d’huiles essentielles apaisantes et anti-inflammatoires telles que la gaulthérie, le romarin et l’eucalyptus citronné.

Des solutions médicales Si malgré ces bons réflexes, votre épaule continue de vous faire souffrir au point de vous handicaper, il sera alors nécessaire de consulter un professionnel de santé. Votre médecin pourra alors vous prescrire des antalgiques, des séances d’ultrasons chez le physiothérapeute ou envisager la pose d’une prothèse pour remplacer l’articulation

Lauren Ricard
Une alimentation et une activité physique adaptées aident à apaiser les douleurs. DR
Un examen effectué tous les deux ans, passé la cinquantaine, permet d’éviter de développer un glaucome. DR

Quelle intimité pour les seniors en EMS?

SEXUALITÉ • Aujourd’hui, des établissements

spécialisés dans l’hébergement des seniors garantissent la dispense de soins quotidiens aux personnes partiellement ou totalement dépendantes, ainsi que le respect de leur intégrité. Néanmoins, lorsque le corps vieillissant manifeste un désir intime, il n’est pas rare de voir le corps social se murer dans la gêne et le silence.

Même pour le personnel soignant, formé à accompagner les patients dans tous leurs besoins quotidiens, faire face à la question du désir est loin d’être une banalité. Pourquoi est-il aussi délicat d’envisager la vie affective et sexuelle de personnes âgées que nous chérissons par ailleurs? Les peaux plissées, les silhouettes frêles, les postures ratatinées et les maladies sont-elles incompatibles avec les notions de désir et de plaisir? Tour d’horizon. Le poids du tabou Pourquoi la société contemporaine véhicule-t-elle l’idée que les personnes âgées sont asexuées, qu’elles ne ressentent pas de désir ou ne sont pas désirables? Les représentations médiatiques, publicitaires et culturelles nous invitent à rester jeunes, beaux, souriants et performants en toutes circonstances, et tout au long de notre vie. Ce «culte du corps», dans lequel nous vivons au quotidien, est en grande partie responsable du déni de l’intimité chez nos aînés. Là est certainement le paradoxe le plus flagrant de notre époque. Dans une société hypersexualisée, qui pratique l’injonction permanente à la jouissance, le sexappeal semble limité dans le temps. Après 60 ans, plus personne ne vous invitera à «développer votre curiosité», à «tout savoir sur le sexe opposé» ou à «réaliser vos fantasmes». Pourtant, le plaisir charnel n’est pas le privilège de la jeunesse! L’ensemble des interdits et des non-dits qui entourent la vie sexuelle des seniors s’impose comme une négation totale

de la sexualité comme source de bienêtre physique et psychique à tous les âges de la vie. Alors qu’une intimité comblée semble profitable à des personnes souvent fragiles et diminuées, il n’est pas rare d’observer chez certains individus des attitudes intolérantes à l’égard de l’expression du désir sexuel de leurs aînés. Ces réactions, sans aucun fondement éthique, sont par ailleurs en contradiction avec la réalité, puisqu’une enquête révèle que 86% des hommes et 64% des femmes âgés de 50 à 69 ans ont eu une relation charnelle datant de moins d’un mois.

On peut imaginer qu’il est difficile d’aborder cette question dans un établissement où l’intimité corporelle des patients est tributaire d’une aide médicalisée. Si cette pulsion de vie qu’est le désir de l’autre peut être compliquée à gérer pour le personnel médical, c’est, entre autres, parce que certains résidents sont atteints de syndrome démentiel, qui se manifeste par différents troubles du comportement. Les désordres cognitifs peuvent créer des comportements sexuels inappropriés qui nécessitent d’être canalisés par le personnel soignant, chargé de veiller à la quiétude de la vie en communauté. Il n’est donc pas toujours facile de distinguer la désinhibition liée à la démence, de ce qui est de l’ordre de la sexualité d’un senior autonome et lucide. Et parce que les soins que l’on prodigue au corps de l’autre nous ramènent irrémédiablement à notre propre rap-

port au corps, le désir de vivre de manière sensuelle apparaît parfois dérangeant dans un univers qui côtoie la maladie et la mort. Le personnel soignant (médecins, infirmières, aidessoignants) et les accompagnants (famille, proches) peuvent facilement se sentir embarrassés, voire débordés, lorsqu’ils sont confrontés à la question du désir des seniors. «Il y a trente ans, on n’en parlait pas du tout, ça n’existait pas, aujourd’hui on commence à chercher des solutions…» confie Corinne, ergothérapeute en gériatrie. Pour respecter et préserver l’intimité des couples de résidents, certains établissements travaillent à mettre en place des chambres doubles. Les personnes dépendantes peuvent également manifester le souhait d’avoir accès à une intimité. Des assistants sexuels peuvent alors être rémunérés par la structure, ou par une association spécialisée dans ce type d’interventions.

Le saviez-vous?

L’OMS admet la notion de «santé sexuelle» comme étant «un état de bien-être physique, mental et social dans le domaine de la sexualité. Elle requiert une approche positive et respectueuse de la sexualité et des relations sexuelles, ainsi que la possibilité d’avoir des expériences sexuelles qui soient sources de plaisir et sans risque, libres de toute coercition, discrimination ou violence.»

Entretenir

sa masse musculaire après 60 ans

SANTÉ • Avec l’âge, on a tendance à se ramollir. Mais pas de panique, grâce à quelques exercices, il est facile d’entretenir sa masse musculaire après 60 ans!

En vieillissant, le corps perd une partie de sa masse musculaire (- 15 % tous les dix ans à partir de 50 ans en moyenne). Pourtant, ce phénomène n’est pas une fatalité. En effet, il suffit de conserver une activité physique pour ne pas subir cette fonte musculaire. Et certains exercices sont particulièrement bénéfiques. La posture de la chaise est, par exemple, idéale pour renforcer vos quadriceps: dos contre un mur, écartez vos jambes au niveau de vos épaules et descendez lentement comme si vous vouliez vous asseoir. Une fois vos genoux placés en angle droit, maintenez la position pendant vingt secondes, puis remontez. Répétez l’exercice trois à cinq fois.

Pour raffermir vos muscles du tronc, des bras et des cuisses, optez pour la planche. Allongez-vous par terre sur le ventre et remontez doucement en prenant appui sur vos avant-bras et la pointe de vos pieds. Si c’est trop dur, vous pouvez vous aider de vos genoux. Essayez de rester dans cette position pendant vingt secondes, puis relâchez et recommencez quatre fois. Enfin, consolidez vos muscles fessiers et soulagez vos hanches et lombaires grâce à la posture du pont. Couchez-vous sur le dos, un coussin installé sous vos fesses. Allongez vos bras le long de votre corps et soulevez votre bassin pendant cinq secondes. Renouvelez l’opération trois fois. Simples à réaliser, ces différents exercices entretiennent efficacement vos muscles, à condition de les effectuer trois à quatre fois par semaine, tout au long de l’année.

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Sarah Barbier
La position de la planche est particulièrement efficace pour raffermir les muscles du tronc, des bras et des cuisses. DR
Envisager l’intimité des seniors revient à mener une réflexion éthique et sociale sur les désirs d’un corps affaibli. DR

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