La façade Est du château, construit sur un plan carré. Les tours d’angle sont coiffées d’une toiture évoquant chacune une des quatre saisons, ici l’été en motifs jaune et bleu sur fond vert
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p.44 Dans l’entrée monumentale, une céramique de Michel Gouéry, 2009 (Anne de Villepoix), semble montrer le chemin des étages. À gauche, une œuvre Untitled de Richard Nonas, 1982 (Anne de Villepoix), est accrochée au-dessus d’un banc en fonte et chêne de Folke Bensow, 1923. À droite, une urne de la Kramer Brother Foundry, 1920
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p.246 Sous le plafond à la française du grand salon équipé d’une cheminée ouvragée en gypse, deux canapés tapissés de Pierre Yovanovitch (Ateliers Charles Jouffre) se répondent par-dessus la table “Mesa” en acajou blond de Terence Harold RobsjohnGibbings (1949). En léger retrait, sur le tapis en chanvre du Népal (Holland & Sherry), paire de fauteuils suédois d’Otto Schulz (vers 1940).
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D’une évidence l’autre : pour dessiner de beaux objets, il faut les aimer. L’histoire des arts décoratifs, du décor intérieur et du design en France en apporte des preuves irréfutables, nourrie de références stylistiques et artistiques, mais aussi dans ses chemins de traverse, cette marge de liberté que chaque véritable créateur sait cultiver et faire sienne. On appelle cela l’histoire du goût. L’amour de l’objet n’est pas donné à tout le monde, et on peut toujours s’émerveiller de ceux qui, par leur curiosité, non seulement se passionnent pour les objets, mais font partager cet enthousiasme et les font aimer à leur tour. Pierre Yovanovitch compte parmi ces passeurs d’une nouvelle génération : avec lui, on a appris à découvrir et à aimer de nouveau les Américains longtemps négligés, les Sud-américains franchement oubliés et cette séduction scandinave qui forme l’une de ses signatures les plus sûres, de la grâce suédoise et gustavienne aux expérimentations des Finlandais les plus magiques, Paavo Tynell en tête. Avec lui, on regarde aussi avec envie les formes solides et terriennes de la Haute Époque. Synthèse personnelle. Entrer et faire l’expérience d’un intérieur conçu par Pierre Yovanovitch impose, comme immédiatement, des intuitions puissantes, le sentiment de choses devenues rares : la générosité et l’Humanisme. La générosité n’y est pas celle de l’accumulation, elle est celle des objets bien choisis, car justement aimés, celle de l’espace redonné pleinement à vivre. Le vrai luxe est celui du nombre d’objets et de meubles réduit à la plus simple expression d’une fonction, un banc pour se poser, un fauteuil pour rêver, des ponctuations précises dans un volume, mues par une vraie nécessité : ici l’inutile et le superficiel n’ont pas force de loi. L’Humanisme est celui d’un espace où se sentir libre, de se mouvoir, jamais entravé, de s’arrêter, aux aguets de sensations fugitives, celui de la lumière retrouvée, de murs humblement laissés offerts à la présence d’œuvres, là encore évidentes : rappeler la force de l’humain, peinture figurative, et la plénitude plus spirituelle, œuvres abstraites, chacune redonnant la sensation d’être présent au monde. Dans une époque si chaotique, c’est sans doute là la raison première du succès de Pierre Yovanovitch : goûter aux choses simples, en pleine liberté, et en complicité avec des objets et des œuvres qui, strictement choisis, non sans se départir d’humour d’ailleurs, donnent un sens certain à la vie. Aujourd’hui en dessinant et créant mobilier, luminaire, objets, cès de Pierre Yovanovitch : goûter aux choses simples, en pleine liberté, et en complicité avec des objets et des œuvres qui, strictement choisis, non sans se départir d’humour d’ailleurs, donnent un sens certain à la vie. Aujourd’hui en dessinant et créant mobilier, luminaire, objets, en complicité avec des objets et des œuvres qui, strictement choisis, non sans se départir d’humour d’ailleurs.
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p.61 Sous le plafond à la française du grand salon équipé d’une cheminée ouvragée en gypse, deux canapés tapissés de Pierre Yovanovitch (Ateliers Charles Jouffre) se répondent par-dessus la table “Mesa” en acajou blond de Terence Harold Robsjohn-Gibbings (1949). En léger retrait, sur le tapis en chanvre du Népal (Holland & Sherry), paire de fauteuils suédois d’Otto Schulz (vers 1940).
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p.246 Sous le plafond à la française du grand salon équipé d’une cheminée ouvragée en gypse, deux canapés tapissés de Pierre Yovanovitch (Ateliers Charles Jouffre) se répondent par-dessus la table “Mesa” en acajou blond de Terence Harold RobsjohnGibbings (1949). En léger retrait, sur le tapis en chanvre du Népal (Holland & Sherry), paire de fauteuils suédois d’Otto Schulz (vers 1940).
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Dans la chambre, l’aspect brut du lit, réalisé sur mesure, est adouci par un jeu de coussins, dont deux en lin imprimé à la main (Peter Fasano). Devant la cheminée, un banc suédois d’Axel Einar Hjorth, 1929, et à côté, une lampe en rotin et bronze de Gabriella Crespi, 1960. Tapis (Les Ateliers Pinton).
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La salle de bain installée dans une ancienne chambre, est conçue comme un salon confortable où trône Robinetterie Tara La salle de bain installée dans une ancienne chambre.
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p.246 Sous le plafond à la française du grand salon équipé d’une cheminée ouvragée en gypse, deux canapés tapissés de Pierre Yovanovitch (Ateliers Charles Jouffre) se répondent par-dessus la table “Mesa” en acajou blond de Terence Harold RobsjohnGibbings (1949). En léger retrait, sur le tapis en chanvre du Népal (Holland & Sherry), paire de fauteuils suédois d’Otto Schulz (vers 1940).
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Dans la chambre, l’aspect brut du lit, réalisé sur mesure, est adouci par un jeu de coussins, dont deux en lin imprimé à la main (Peter Fasano). Devant la cheminée, un banc suédois d’Axel Einar Hjorth, 1929, et à côté, une lampe en rotin et bronze de Gabriella Crespi, 1960. Tapis (Les Ateliers Pinton).
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Dans la chambre, l’aspect brut du lit, réalisé sur mesure, est adouci par un jeu de coussins, dont deux en lin imprimé à la main (Peter Fasano). Devant la cheminée, un banc suédois d’Axel Einar Hjorth, 1929, et à côté, une lampe en rotin et bronze de Gabriella Crespi, 1960. Tapis (Les Ateliers Pinton).
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Dans la chambre, l’aspect brut du lit, réalisé sur mesure, est adouci par un jeu de coussins, dont deux en lin imprimé à la main (Peter Fasano). Devant la cheminée, un banc suédois d’Axel Einar Hjorth, 1929, et à côté, une lampe en rotin et bronze de Gabriella Crespi, 1960. Tapis (Les Ateliers Pinton).
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p.246 Sous le plafond à la française du grand salon équipé d’une cheminée ouvragée en gypse, deux canapés tapissés de Pierre Yovanovitch (Ateliers Charles Jouffre) se répondent par-dessus la table “Mesa” en acajou blond de Terence Harold RobsjohnGibbings (1949). En léger retrait, sur le tapis en chanvre du Népal (Holland & Sherry), paire de fauteuils suédois d’Otto Schulz (vers 1940).
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Dans la chambre, l’aspect brut du lit, réalisé sur mesure, est adouci par un jeu de coussins, dont deux en lin imprimé à la main (Peter Fasano). Devant la cheminée, un banc suédois d’Axel Einar Hjorth, 1929, et à côté, une lampe en rotin et bronze de Gabriella Crespi, 1960. Tapis (Les Ateliers Pinton).
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