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Consommation - L’autre diamant noir Cinderella Garbage transforme les déchets pétrifiés de Pyrogenesis en petits joyaux 30 septembre 2013 | Émilie Folie-Boivin | Consommation
Photo: Pedro Ruiz - Le Devoir Kimberlee Clarke et Gabrielle Thérien
Conçu à partir de déchets, ce « diamant brut » que taillent à la main les créatrices de Cinderella Garbage préserve, à sa façon, un morceau...
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(Photo : gilet « Like a hug »)
S’habiller chez H&M, c’est dépassé. À présent, on cherche des alternatives aux vêtements et accessoires de mode produits à la chaîne et sans âme.
1re idée : Les vêtements « recyclés » 1 sur 3
De nombreux créateurs québécois se sont spécialisés dans le Upcycling. Qu’est-ce que c’est? Il s’agit tout simplement d’utiliser des objets brisés, obsolètes ou usagés et de leur donner une nouvelle vie, encore plus noble que la première. Par exemple, la boutique Il était deux fois a déjà réutilisé 2 000 vieilles disquettes d’ordinateur pour en faire des couvertures de carnets de note. Un de leur fournisseur-créateur sauve des poubelles une dizaine de chambres à air de roues de vélos à chaque sac créé. De cette façon, tout peut revivre : des vieilles bouteilles de verre aux affiches publicitaires en passant par les ceintures de sécurité de voitures et les vinyles. Les créatrices de Cinderella Garbage vont encore plus loin : elles utilisent la matière obtenue après combustion des déchets. Cette sorte de lave noire est refroidie, puis taillée en diamant pour ensuite servir de « pierre précieuse » aux bijoux de la marque. Jean-René Dufort suit le processus de transformation du sac de déchets jusqu’à la bague de fiançailles :
2e idée : Les vêtements-nutriments 2 sur 3
La créatrice britannique Emily Crane quant à elle mélange cuisine et couture. Avec de l’eau, de la gélatine et des agents de structure, elle parvient à donner naissance à des robes de princesse, là où vous n’auriez réussi qu’à faire un pâté ignoble. Les robes mangeables méritent d’être mentionnées. Fabriquées en tomates, en choux ou en aubergines, elles doivent cependant faire face à des rivales de taille : les robes en chocolat!
3e idée : Les vêtements connectés Après la robe Twitter, qui affiche des tweets, l’entreprise CuteCircuit se lance dans les tee-shirts connectés et les robes de lumière. Le gilet « Like a hug » prévu pour se gonfler à chaque mention « j’aime » sur votre page Facebook n’est pour sa part toujours pas commercialisé. Dans le même genre, on trouve aussi une robe qui s’ouvre toute seule (pratique) et des vêtements qui changent de couleur selon le temps (l’histoire ne dit pas si le haut et le bas restent assortis). Les chaussettes ne sont pas en reste! Voici enfin la première machine qui permet d’assortir les paires à la sortie de la machine à laver. Un bémol cependant : rien n’est prévu pour retrouver les fugueuses.
Bonus : Les vêtements inclassables (pas sûr qu’ils aient de l’avenir)
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Publié le 16 décembre 2013 à 17h07 | Mis à jour le 16 décembre 2013 à 17h07
Offrir autrement et éthiquement
Christian Merciari Pour Kimberlee Clarke et Gabrielle Thérien, jeunes co-fondatrices de Cinderella Garbage, il est possible de proposer des produits faits de façon éthique et dans le respect de l'environnement... il suffit de le vouloir ! © La Presse, ltée. Tous droits réservés.
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Bloque : emiliealachance.com
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Blogue : Ton Petit Look - TPL
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Crédit photo : janeandrye.com
Mélodie Lamoureux
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25 avril, 2014 - 13:01 J’aime
L'Estival en 4 bijoutières montréalaises parfaites! Enfilez vos plus beaux habits, L’Estival arrive à grands pas et les artisans qui y seront sont de plus en plus impatients de vous rencontrer! Pour en connaître davantage sur eux, nous continuons de faire les présentations avec une série d’articles que vous retrouverez ici, ici et ici! Aujourd’hui, les bijoux sont à l’honneur avec ces 4 compagnies montréalaises qui abordent l’art de la création sous différentes techniques.
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Fabriquées à partir de déchets modifiés, les créations de Cinderella Garbage font un pied de nez à la surconsommation en offrant des bijoux différents et écoresponsables. En faisant la promotion d’une gestion durable des déchets, ils offrent un look à la fois féminin et badass! Sorties tout droit de leur conte de fée écolo, les deux créatrices seront à L’Estival et elles espèrent bien y rencontrer la foule culturelle de Montréal!
Leur site internet. Leur Facebook.
crédit photo: cinderellagarbage.com
Ton petit bijou Guidée par la passion et l’amour de la féminité, l'entreprise québécoise Ton Petit Bijou crée depuis l'automne 2013, des pièces sophistiquées, qui accompagnent avec beauté le quotidien des femmes modernes. Légères et minimalistes, ses créations se divisent en deux boutiques distinctes : 2 sur 5
«THE EVENT» pour exposer ses créations dans le vrai monde et pour faire le party!
La boutique vintage. La boutique de création. Son Facebook.
crédit photo: tonpetitbijou.com
Bijoux Mohawki [moaki] n.f - 2013 ; Objet. Petit mohawk. Petite crête punckette formée de fourrure recyclée utilisée afin d’orner bijoux et accessoires. La créatrice québécoise Hélène Gallant-Roberge conçoit des bijoux en argent massif s’inspirant de la nature et de l’art urbain tout en utilisant des matériaux nobles et des matières recyclées comme la fourrure. Avec son petit côté «edgy», la marque réussit à créer un équilibre parfait entre le beau et le chic. L’Estival sera une façon pour la bijoutière de rencontrer la
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Son site web. Sa page Facebook.
crédit photo: mohawki.com
Jane and Rye Reconnue pour sa façon audacieuse d’aborder le «body jewellery» en proposant des ensembles sexys et différents, la compagnie Jane and Rye a vu le jour en 2012, alors que les talentueuses Sammy Jane Hughes et Erika Drolet, alias "Jane" et "Rye" s’associaient. Pour elles, L’Estival est une belle façon d’offrir un melting pot de la culture montréalaise, «que sa se porte, se mange, ou s'écoute»!
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Leur site web. Leur Facebook.
crédit photo: janeandrye.com
L'Estival aura lieu le 10 mai prochain à la SAT, pour acheter vos billets, c'est ici et pour suivre l'événement sur Facebook c'est ici!
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Canada
Cinderella Garbarge obtient un contrat à New York Le 22 octobre 2014 à 14h46 | Argent Mise à jour le 22 octobre 2014 à 14h49
Crédit photo :Courtoisie
La jeune entreprise montréalaise de bijoux confectionnés à partir de déchets compressés et pétrifiés, Cinderella Garbage, vient de séduire la communauté d’art de New York. Cinderella Garbage a en effet obtenu une commande de 150 bijoux haut de gamme du Costume Institute, une institution supervisée par le Metropolitan Museum of Art (MET). «Séduit par l’aspect unique de chaque pièce fait main, chacune étant numérotée telle une oeuvre d’art, l’équipe d’acheteurs du Costume Institute est tombée sous le charme de ces petits trésors uniques», affirme Cinderella Garbage. Les pièces de la collection Coeur-à-l’envers ont été choisies pour accompagner l’exposition Death Becomes Her: A Century of Mourning Attire qui est présenté jusqu’en février 2015. Cinderella Garbage s’approvisionne exclusivement auprès d’une autre entreprise montréalaise, PyroGenessis Canada, spécialisée dans la récupération de l’énergie des déchets à l’aide de torches au plasma. La partie inorganique des déchets est transformée en vitrifiât noir et opaque, à partir duquel sont créés et taillés les « diamants » noirs de Cinderella Garbage.
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