Après les devoirs, les jeunes des quartiers pavillonnaires
réinventent tous les jours leur cadre par
leur besoin d’habiter la rue.
Le jardin de la maison est vite trop petit.
Dans la rue, ils peuvent faire comme
les grands ou comme dans les dessins
animés.
D’un âge à l’autre, leurs jeux changent et
se calment. Ils cherchent toujours un peu
plus loin de nouveaux terrains.
En les habitant, ils montrent qu’elles ne
sont pas si moches que ça ces rues.
J’ai suivi les jeunes de Gradignan
Malartic et du Bourg de Canéjan dans
leur monde.