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Synthèse

L’architecture à Djerba a été longtemps une action communautaire, et l’architecture de la « Hara sghira » en est un parfait exemple. C’est ce qui constitue l’aura du quartier. En se promenant dans le quartier, une âme se révèle à travers ses habitants qui ont su parvenir à transformer certains espaces en lieux communs. Ils investissent les rues de la manière la plus prosaïque : - Les hommes (des commerçants essentiellement) ont conquis la placette, les ruelles, et ont en fait des espaces de rencontre, d’attente… ; - Les enfants ont fait des rues leurs terrains de jeux ; - Les femmes ont réussi à se familiariser avec l’espace urbain en s’appropriant les coins de rues pour en faire leurs territoires de commérage.  Prolonger cet acte communautaire pour mette en valeur cette aura et continuer l’élaboration de son champs d’esthétique.

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