[PTR] Résultats groupes de travail (2018)

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Groupes de travail PTR


Les Groupes de travail 84 inscrits G1 : Comment rapprocher éducation formelle et éducation informelle ? Animateur : Thomas RICAUD, Fermat Science

G2 : Comment inciter les jeunes chercheur-e-s à s’impliquer dans la CSTI et renouveler l’image des chercheur-e-s ? Animateurs : Hélène PIERRE et Clément VARENNE, Université Fédérale Toulouse Midi-Pyrénées

G3 : Comment initier une dynamique autour du tourisme scientifique, technique et industriel régional ? Animateur : John BANDELIER, Kimiyo

G4 : Comment s’emparer des médias/nouveaux médias pour lutter contre les fake news et contre-vérités ?

Animateurs : Muriel GUEDJ Université de Montpellier et Gwenaël KAMINSKI, Université Fédérale Toulouse Midi-Pyrénées

G5 : Comment faire en sorte que la CSTI couvre tout le territoire, et plus particulièrement les zones rurales et quartiers prioritaires ? Animatrices : Cathy DESPLAS, Délires d’encre, et Annabel FOUCAULT, Carrefour des Sciences et des Arts

G6 : Où trouver de nouvelles sources de financement ? Animateur : Bruno MONFLIER, A Ciel Ouvert


Calendrier prévisionnel Mars / avril 2018 mai 2018

Fin janvier Comité d'orientation du PTR : validation des groupes et des attentes Organisation de réunion de travail des groupes en visio ou conférences téléphoniques Proposition des groupes de travail

18 mai 2018

Présentation des propositions au PTR

Janvier 2018


Groupe de travail N°1 Comment rapprocher éducation formelle et éducation informelle ? animé par Thomas Ricaud (Fermat Science)


G1 : Comment rapprocher éducation formelle et éducation informelle ?

Définition L'éducation formelle : Scolaire ou universitaire, elle est donnée dans des institutions d'enseignement par des enseignants permanents dans le cadre de programmes d'études. L’éducation formelle se réfère au système éducatif hiérarchiquement structuré. L'enseignement est chronologiquement gradué, à temps complet et composé d’une variété de programmes et d’institutions de formation technique et professionnelle. L'éducation non formelle : L'éducation est organisée, pour un public repéré avec des objectifs pédagogiques identifiables pour un public normalement volontaire. L’éducation non formelle peut avoir lieu aussi bien à l'intérieur qu'à l'extérieur des établissements d'enseignement et s'adresser à des personnes de tous âges. Les programmes d'éducation non formelle ne se conforment pas nécessairement au système scolaire. Ils peuvent être de durées diverses et être ou ne pas être sanctionnés par un certificat des acquis de l'apprentissage. L'éducation informelle : C'est une éducation diffuse par lequel chaque individu acquiert des attitudes, valeurs, compétences et connaissances à partir de l’expérience quotidienne et au hasard des influences et ressources éducatives de son environnement. Cet apprentissage n’est pas assujetti à une programmation stricte et se déroule hors institutions et structures organisées. Les publics et les savoirs ne sont pas posés a priori mais peuvent être identifiés le plus souvent a posteriori notamment par la validation des acquis.


G1 : Comment rapprocher éducation formelle et éducation informelle ?

Constat général De nombreuses actions rapprochant ces deux éducations existent déjà (menées par des enseignants, des structures associatives ou autres...) mais sont non visibles et disparates. C’est surtout une histoire de personnes. Problème de communication entre les acteurs utilisant ces deux approches d’éducation. Manque de référentiel commun.


G1 : Comment rapprocher éducation formelle et éducation informelle ? Comment rendre ces approches d’éducations cohérentes et complémentaires Problématique actuelle N°1 :

Problématique

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Comment rendre les approches d’éducations cohérentes et complémentaires ? Bonnes pratiques existantes (en région, hors région, à l’étranger) Par des projets scolaires : -

Exposcience – en région par le CIRASTI Occitanie MATh.en.JEANS Regard de Géomètre par Les Maths en Scène / L’IRES de Toulouse / Fermat Science Défis Solaires par Planète Science Concours C Génial Sciences pour tou.te.s par l’Exploradôme Actions Arts et Sciences dans des établissements scolaires par les Chemins Buissonniers BatiTMaths (Fermat Science / Collège Beaumont de Lomagne)

Par des réflexions et de la conception d’outils :

- La Main à la pâte - La Maison pour la Science - Projets ERASMUS+ : en 2017-2018 : MathSpaces et Infomath


G1 : Comment rapprocher éducation formelle et éducation informelle ?

Comment rendre ces approches d’éducations cohérentes et complément

Problématique

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Recommandations et idées d’actions : Recommandations Faire une veille des études et réflexions sur les différentes formes d’éducations

Investir les enseignants à ce rapprochement

Idées d’actions à mener - Création d’un groupe sur EchoSciences Sud : cela doit impliquer tous les partenaires potentiels. L’idée est de mener une synthèse et des guides de bonnes pratiques pour mixer les types d’éducation - Proposition d’un questionnaire en collaboration avec le rectorat pour faire un tour des pratiques sur l’ensemble du territoire mais aussi pour recenser les freins

Développer la co-construction de projets éducation - Création d’un appel à projet mixte impliquant obligatoirement un/des formelle et non formelle enseignants et une/structures non-formelles Développer des actions sur des thématiques - FakeNews, égalité homme femme, le handicap… d’actualité ou sensibles qui répondent aux besoins des enseignants


G1 : Comment rapprocher éducation formelle et éducation informelle ? De nombreuses actions existent déjà mais peu visibles Problématique actuelle N°2 :

Problématique

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De nombreuses actions rapprochant ces deux éducations existent déjà (menées par des enseignants, des structures associatives ou autres...) mais sont non visibles et disparates.

Bonnes pratiques existantes (en région, hors région, à l’étranger) - Des actions sont visibles en ligne : sur les réseaux sociaux, sites EchoSciences… -Des manifestations nationales existent pour communiquer sur ces actions : Fête de la Science, Semaine des Mathématiques…


G1 : Comment rapprocher éducation formelle et éducation informelle ? De nombreuses actions existent déjà mais peu visibles

Problématique

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Recommandations et idées d’actions : Recommandations Développer la communication des actions regroupant éducation formelle / non formelle lors des manifestations d’envergure Lister / regrouper les actions existantes et les mettre en valeur (en particulier les disciplines peu développées dans l'éducation non formelle - SHS notamment )

Idées d’actions à mener - Focus pendant la Fête de la Science

- Croisement des réponses entre le questionnaire des pratiques enseignants et l’enquête menée dans le cadre du PTR auprès des acteurs de CST - Création d’une plateforme légitime et évolutive permettant de voir les actions, de contacter les participants, d’obtenir de l’aide pour mener une action, de mettre en valeur les thématiques et les types de publics associés


G1 : Comment rapprocher éducation formelle et éducation informelle ? Problème de communication entre ces deux mondes Problématique actuelle N°3 :

Problématique

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Problème de communication entre ces deux mondes. Bonnes pratiques existantes (en région, hors région, à l’étranger) - Formations existantes (par exemple celles de Virginie Bordes Université Jean Jaurès – ou le séminaire Science et Société du Pôle de Ressources pour l’Education Artistique et Culturelle ) - Utilisation possible de plateformes en ligne telles que MakerScience (dépôt de projets et possibilités d’échanges entre différents acteurs)


G1 : Comment rapprocher éducation formelle et éducation informelle ? Problème de communication entre ces deux mondes

Problématique

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Recommandations et idées d’actions : Recommandations Idées d’actions à mener Développer des outils à destination des enseignants - Elaboration d’un référentiel de compétence des actions, de compétence et des formateurs d’enseignants du métier de l’animation (pour une meilleure compréhension du bien fondée d’une co-construction de projet entre les acteurs) - Réalisation de portraits vidéos d’acteurs pour se mieux se connaitre - Mise en place de visioconférences entre enseignants / acteurs de CSTI Développer des formations

- Formation 'hybride' (médiateur / enseignant) - Formation à destination des médiateurs pour favoriser la co-construction de projet - Inclusion dans la formation des enseignants d’une thématique d’éducation non-formelle avec présentation d’outils et des acteurs


Groupe de travail N°2 Comment inciter les jeunes chercheur.e.s à s’impliquer dans la CSTI et renouveler l’image des chercheur.e.s ? animé par Hélène Pierre & Clément Varenne (Université Fédérale Toulouse Midi-Pyrénées)


G2 : Comment inciter les jeunes chercheur.e.s à s’impliquer dans la CSTI et renouveler l’image des chercheur.e.s ? Constat général :

« La diffusion de la CSTI est une mission des établissements de recherche et d’enseignement supérieur, inscrite dans le code de la recherche et de l’enseignement supérieur, par la loi du 22 juillet 2013. Les directions de la communication des établissements de recherche sont, depuis une dizaine d’années, très actives dans le domaine de la CSTI. Les Universités sont en passe de rattraper leur retard sur les organismes : toutes les COMUE se dotent de services ou de directions de la communication et de la culture scientifique. Toutefois, les uns et les autres se trouvent confrontés à la question de l’implication de leurs scientifiques dans les actions de CSTI. Ce sont souvent les mêmes chercheurs qui sont sollicités parce qu’ils sont convaincus de l’importance de la relation science société. L’objectif est d’enclencher une dynamique collective qui conduise tous les chercheurs à s’emparer de la culture scientifique. Parmi les chercheurs, les doctorants sont particulièrement concernés. D’abord parce que la vulgarisation de leurs travaux est un excellent exercice de communication qui n’est plus à prouver. Ensuite, parce que les doctorants «passent » très bien auprès d’un public jeune proche de leur âge. Et enfin, parce que le nombre important de doctorants peut permettre d’accroître considérablement le nombre d’actions menées et de publics touchés. » (La stratégie nationale de culture scientifique, technique et industrielle, Février 2017) En s’impliquant dans des actions des CSTI, les jeunes chercheurs peuvent contribuer à rajeunir l’image du chercheur et participer ainsi à chasser cette image désuète du chercheur perçu comme inaccessible, solitaire, peu compétent pour communiquer et partager ses connaissances avec le grand public. Mais il subsiste aujourd’hui 2 éléments défavorables à l’implication des jeunes chercheurs dans la CSTI :  Problématique n°1 : L’implication actuelle des jeunes chercheurs est assez forte et dynamique mais manque de visibilité.  Problématique n°2 : Bien qu’elle soit forte et dynamique sur notre territoire (ressource bien présente), l’implication des jeunes chercheur.e.s n’est pas assez étendue et diversifiée (souvent les mêmes labos impliqués)


Problématique

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G2 : Comment inciter les jeunes chercheur.e.s à s’impliquer dans la CSTI et renouveler l’image des chercheur.e.s ? Problématique actuelle N°1 : L’implication actuelle des jeunes chercheurs est assez forte et dynamique mais manque de visibilité. Comment rendre ces actions et cette implication plus visibles et reconnues ? Comment mieux capitaliser sur ce qui est déjà fait ? Bonnes pratiques existantes (en région, hors région, à l’étranger) - blog des chargés de médiation de l’INRIA Pixee (https://pixees.fr/) - compte twitter EnDirectDuLabo :chaque mois/semaine un chercheur peut raconter son expérience de vulgarisation - ThesisDay@SystemX - émissions radio telles que 20mg de sciences (Radio Campus)…. - pour la Semaine du cerveau, partenariat avec la Fédération pour la Recherche sur le Cerveau regroupant associations et fondations qui sont des relais forts pour la communication


G2 : Comment inciter les jeunes chercheur.e.s à s’impliquer dans la CSTI et renouveler l’image des chercheur.e.s ?

Problématique

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Recommandations et idées d’actions : Recommandations Mieux communiquer

Idées d’actions à mener - Donner des moyens aux services communication des établissements (ressources humaines insuffisantes) - Rendre la communication accessible au grand public : éviter la surabondance des sigles et acronymes - Mieux communiquer en interne sur l’intérêt/les bénéfices des actions de CSTI (actions de CSTI inscrites dans les demandes de financement (ANR notamment)…)

Utiliser les nouveaux modes de communication pour dépoussiérer l’image du chercheur

- Faire témoigner/Donner la parole aux chercheurs engagés dans la CSTI : interviews radios et vidéos, portraits de chercheurs dans lieux insolites grand public (via la communication Région ou métropole), rencontres, « parrainages, mentorat ». - Développer les partenariats avec des relais communication forts : médias (radios, presse, réseaux sociaux notamment), sociétés savantes. - Miser sur l’image/la vidéo : concours ? - Création de comptes réseaux sociaux collectifs dédié aux chercheursvulgarisateurs (type compte twitter comme Endirectdulabo chaque mois/semaine un chercheur peut raconter son expérience de vulgarisation)


G2 : Comment inciter les jeunes chercheur.e.s à s’impliquer dans la CSTI et renouveler l’image des chercheur.e.s ?

Problématique

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Recommandations et idées d’actions : Recommandations Œuvrer à la reconnaissance institutionnelle des actions de médiation existantes = Faire prendre conscience aux institutions de l’importance de la CSTI

Idées d’actions à mener - Plus d’implication des acteurs locaux pour communiquer sur ce qui se fait déjà (Région, métropole) comme l’ont fait la CPU et le CNRS avec succès au niveau national pour Ma thèse en 180 secondes. Obliger tous les partenaires financiers institutionnels (collectivités territoriales notamment) à s’engager pour une communication forte et coordonnée - Courrier de remerciement du président/directeur de l’établissement pour chaque chercheur participant à des actions de CSTI (avec directeur du labo en copie. Cas de l’Inserm). Ces actions doivent pouvoir être valorisées par les jeunes chercheurs dans un CV ou lors d’une préparation de concours. - Sensibiliser les directeurs de labos, d’équipes, des écoles doctorales sur les bénéfices des actions de CSTI pour les jeunes chercheurs

Formalisation / validation des compétences - Intégrer la participation des jeunes chercheurs à des actions de CSTI dans un de médiation scientifique des (jeunes) complément au diplôme de docteur chercheurs qui en font déjà - Lancer un prix annuel de la meilleure action de médiation scientifique (équipes de recherche) (par les regroupements universitaires, avec le soutien de la région)


G2 : Comment inciter les jeunes chercheur.e.s à s’impliquer dans la CSTI et renouveler l’image des chercheur.e.s ?

Problématique

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Recommandations et idées d’actions : Recommandations Idées d’actions à mener Valoriser les actions de médiation existantes - - Informer les chercheurs des actions existantes dans lesquelles ils peuvent Capitaliser s’impliquer : ils n’ont pas toujours connaissance de toutes les opportunités qui leur sont offertes (MT180, NEC, Fête de la science, cafés-conférences…) : Réaliser une cartographie des actions et des formats en précisant leurs atouts, le temps de préparation nécessaire, les modalités d’accompagnement, les partenariats avec les acteurs de CSTI,… « boite à outils » Mettre particulièrement en avant les opérations ayant déjà une bonne visibilité nationale et européenne (MT180, Fête de la Science, NEC, Semaine du Cerveau…)… Présentation des différents formats lors des congrès scientifiques, journées de nouveaux arrivants, journées des unités etc., communication pour une « boite à outils » - Donner plus la visibilité à l’offre de formation à la médiation déjà existante - Inciter les jeunes chercheurs qui se sont impliqués dans une action de CSTI à poursuivre et renouveler l’expérience sur d’autres actions (avec les scolaires notamment : ces opérations fonctionnent : enseignants et élèves enthousiastes ; chercheurs expriment souvent le souhait de continuer) - Favoriser le financement de ce qui peut itinérer ou être reproduit


G2 : Comment inciter les jeunes chercheur.e.s à s’impliquer dans la CSTI et renouveler l’image des chercheur.e.s ?

Problématique

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Problématique actuelle N°2 : Bien qu’elle soit forte et dynamique sur notre territoire (ressource bien présente), l’implication des jeunes chercheur.e.s n’est pas assez étendue et diversifiée (souvent les mêmes labos impliqués) Quelles mesures peuvent favoriser la participation des jeunes chercheurs ? Comment mieux communiquer sur l’intérêt, l’impact bénéfique d’un engagement dans la CSTI pour un jeune chercheur ?

Bonnes pratiques existantes (en région, hors région, à l’étranger)  L’image/la vidéo Concours image #MoiChercheur SapienSapiens Expo These’s art : les doctorants et leur thèse en photos (Université Claude Bernard Lyon 1 ) Cinémathèse (en Bretagne) : un petit film monté sur un sujet de thèse Game Jam. Ma thèse en jeu vidéo Chaine Youtube de Manon Brill AtomeLumièreMatière, site dédié à la physique quantique développé par un Julien Bobroff, physicien de l’Université Paris-Sud, dans le cadre du Labex Palm du Campus Paris-Saclay Chaine Youtube CNRS Zeste de sciences. Festival du film pas trop scientifique (L’ADocs, l’association des doctorants et docteurs de l’Université de La Rochelle)


G2 : Comment inciter les jeunes chercheur.e.s à s’impliquer dans la CSTI et renouveler l’image des chercheur.e.s ? Bonnes pratiques existantes (en région, hors région, à l’étranger)

Problématique

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L’humour Bright Club / Science Comedy Show à Toulouse Ma thèse en 180 secondes Concours image #MoiChercheur SapienSapiens Chaine Youtube de Manon Brill

Les radios Ma thèse en 18 min par Radio Campus « Qu’est-ce que t’as dans la thèse » : émission radio. (cf. Collège doctoral ComueLR)

Collaboration chercheurs/artistes Les Découvrades

L’interdisciplinarité au profit des SHS Archéo Saint-Dizier. Équipes de recherche archéo (de la DRAC) ont fait appel aux mathématiques, à la physique au service de l’archéologie.

Réseaux sociaux Compte twitter Endirectdulabo

Plateformes de mises en relation avec chercheurs plateforme OSCAHR (Osons les Sciences dans la Culture, les Arts et l’Histoire) par le Jardin des Sciences La Boutiques des sciences Interface scolaires/jeunes chercheurs (UFTMiP – Rectorat)

Innover et créer de nouveaux formats de médiations Depuis 2 ans : Forum des Nouvelles Initiatives en Médiation des sciences de Bordeaux porté par le CNRS, le CPU et l’université de Bordeaux


G2 : Comment inciter les jeunes chercheur.e.s à s’impliquer dans la CSTI et renouveler l’image des chercheur.e.s ? Recommandations et idées d’actions :

Problématique

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Recommandations Identifier les freins et les obstacles rencontrés par les chercheurs de la région

Œuvrer à la reconnaissance institutionnelle

Idées d’actions à mener - Réaliser une enquête (tous les 3 ans) afin de mieux connaître l’intérêt, l’implication, les pratiques et les attentes des scientifiques dans le domaine de la diffusion des savoirs, déterminer quels sont les freins à l’engagement du chercheur dans la médiation vers le grand public (cette enquête serait réalisée par les regroupements universitaires, avec le soutien de la région) - Communiquer sur les résultats et sur les bonnes pratiques en interne et en externe - Sensibiliser les directeurs de laboratoires, d’équipes de recherche, des écoles doctorales, de thèse Sensibiliser les écoles doctorales à ce que la participation à une action de CSTI devienne un prérequis pour la soutenance de thèse (au même titre que la publication ou brevet) - Lancer un prix annuel de la meilleure action de médiation scientifique (équipes de recherche) (cette action serait réalisée par les regroupements universitaires, avec le soutien de la région) - Intégrer systématiquement dans les appels à projets recherche un bonus financier si une action de diffusion est mise en place ou assortir tout financement de projet de recherche de l’obligation d’en affecter une fraction (par ex 10%) au financement d’actions de médiation (pratique qui existe aux Etats-Unis).


G2 : Comment inciter les jeunes chercheur.e.s à s’impliquer dans la CSTI et renouveler l’image des chercheur.e.s ?

Problématique

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Recommandations et idées d’actions : Recommandations Convaincre les jeunes chercheurs des bénéfices à mener des actions de médiation scientifique

Idées d’actions à mener - Convaincre les jeunes chercheurs de considérer la CSTI comme partie intégrante du travail de recherche - Communiquer sur l’impact bénéfique de la CSTI en termes de compétences professionnelles pour la poursuite de leur carrière (valorisation des actions dans un CV ou une préparation au concours) - Faire témoigner/Donner la parole aux chercheurs engagés dans la CSTI : témoignages : itw, vidéos, rencontres, « parrainages, mentorat », organiser un colloque interdisciplinaire avec chercheurs impliqués dans la CSTI

Développer de nouveaux formats de médiation à destination du public différents de ceux habituellement pratiqués par les chercheurs (conférences notamment)

- Utiliser les nouveaux modes de communication : réseaux sociaux, images-vidéos : concours d’images, de vidéos. Attention : formations obligatoires - Proposer des appels à projets sur des formats nouveaux, innovants - Créer des collaborations entre doctorants et youtubeurs. - Mettre en avant les formats permettant l’interdisciplinarité - Proposer des actions de médiation adaptées aux publics en demande (scolaires, entreprises…)


G2 : Comment inciter les jeunes chercheur.e.s à s’impliquer dans la CSTI et renouveler l’image des chercheur.e.s ?

Problématique

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Recommandations et idées d’actions : Recommandations Ouvrir les actions de médiation à toutes les sciences dans la CSTI Développer/adapter les formations et actions d’accompagnement en médiation

Idées d’actions à mener - Veiller à la bonne représentativité des domaines/disciplines scientifiques - Développer des actions et formats adaptées aux disciplines de HSHS - Inciter les chercheurs en HSHS à faire appel aux sciences (qui ont déjà toute leur place en CSTI) au service de leur projet. Ex : projet archéologie à Saint Dizier : https://padlet.com/alexbenvenuti_pro/archeologie - Veiller à adapter les formations aux jeunes chercheurs : ils ont moins de recul sur leurs projets de que des chercheurs « séniors » plus aguerris - Former les chercheurs face aux nécessités des nouveaux modes de communication (apprendre à vulgariser par l’image, l’utilisation des réseaux sociaux, itws radios, écriture…) - Rattacher les formations théoriques aux événements pour lesquelles les chercheurs se préparent ou peuvent participer (ex : MT180, NEC, partenariat Radio Campus…) - Mettre en place un programme de mentorat entre un scientifique faisant de la médiation (dont les compétences sont reconnues) et un jeune chercheur souhaitant en faire. Organiser des moments de rencontres conviviaux entre jeunes chercheurs et mentors. - Créer une boite à outils web pour les chercheurs souhaitant s’impliquer : formations, supports, exemples vidéos… - Informer les chercheurs des actions existantes dans lesquelles ils peuvent s’impliquer : ils n’ont pas toujours connaissance de toutes les opportunités qui leur sont offertes : cartographie des actions et « boite à outils »


G2 : Comment inciter les jeunes chercheur.e.s à s’impliquer dans la CSTI et renouveler l’image des chercheur.e.s ?

Problématique

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Recommandations et idées d’actions : Recommandations Mettre en relation

Idées d’actions à mener - Les structures sollicitant l’intervention d’un chercheur et les chercheurs Développer l’idée de l’« interface scolaires-jeunes chercheurs »* (UFTMiP-Rectorat) et aller plus loin. Conception d’une plateforme web unique et globale : o Un système d’entrée thématique o Un système d’entrée de localisation des chercheurs : fiches chercheurs comprenant sa présentation, ses thématiques o Un système de recherche par format de médiation * formulaire en ligne mis en place pour permettre d'établir un lien ou une rencontre entre jeunes chercheurs et scolaires, en appui de leurs projets pédagogiques et de culture scientifique et technique - https://disciplines.ac-toulouse.fr/daac/interface-de-liaisonscolaires-jeunes-chercheurs - Encourager les projets Art et Sciences - Organiser des rencontres entre chercheurs, artistes (y compris étudiants en numérique, architecture), associations CSTI plusieurs fois par an (avec aide de la Région)


Groupe de travail N°3 Comment initier une dynamique autour du tourisme scientifique, technique et industriel régional ? animé par John Bandelier (Kimiyo)


G3 : Comment initier une dynamique autour du tourisme scientifique, technique et industriel régional ?

Schéma Régional de Développement du tourisme et des loisirs de la Région Occitanie - Montée en gamme

- Innovation

- Diversification


G3 : Comment initier une dynamique autour du tourisme scientifique, technique et industriel régional ? Axe 1 : Montée en gamme Public cible : Musées scientifiques de petite taille Recommandations Définition du tourisme scientifique

Idées d’actions à mener Définir le périmètre d’action du groupe de travail

Recenser les structures

Utilisation des données de l’enquête

Valoriser la partie scientifique des musées

Proposer des formations actions Réalisation d’un guide des bonnes pratiques

Accéder aux labels régionaux, nationaux

Mise en place de formations (anglais et visibilité sur le web)


G3 : Comment initier une dynamique autour du tourisme scientifique, technique et industriel régional ? Axe 2 : Innovation Public cible : Établissements, guides, moniteurs d'activités de pleine nature Recommandations Utiliser les activités pour parler de sciences

Idées d’actions à mener Formation des guides et moniteurs

Sensibiliser le public sportif

Édition de documents

Mise en place de visites mixtes

Créer des binômes médiation scientifique/ activités sportives


G3 : Comment initier une dynamique autour du tourisme scientifique, technique et industriel régional ? Axe 3 : Diversification Public cible : Hébergement de vacances et Office de tourisme Recommandations Recenser des proposition d’animations

Idées d’actions à mener Création du centre de ressources

Faire connaître ces animations

- Être présent sur les salons du tourisme de la région - Participer au réseau tourisme des départements et de la région

Proposer une offre aux professionnels

Réalisation de fiche type pour animation touristique


Groupe de travail N°4 Comment s’emparer des médias/nouveaux médias pour lutter contre les fake news et contre-vérités ? animé par Muriel GUEDJ (Université de Montpellier) & Gwenaël KAMINSKI (Université Fédérale Toulouse Midi-Pyrénées) Arnaud De Maria, Sarah Debaud, Clement Debeir, Pauline Dumont, Fred Feu, Armelle Vialar, Neset Mandi, Delphine Moreau, Geoffrey Undereiner, + Aide de deux doctorants : Kevin De Checchi, Gabriel Pallares


G4 : Comment s’emparer des médias/nouveaux médias pour lutter contre les fake news et contre-vérités ? actuelle marquée par l’afflux d’informations Constat généralPériode : niveau quantitatif - quantité et diversité des informations / des sources, - vitesse de circulation et diffusion des informations ++

1. un accès à l’information immédiat pour « tous » (inégalités sur les territoires)

au moins 2 consequences

niveau qualitatif - information médiatisée ou non

2. diffuser toutes les informations -Possibilité d’informations défaillantes, instrumentalisées, fabriquées à des fins commerciales, politiques, idéologiques à l’origine de confusions voire d’endoctrinement…


G4 : Comment s’emparer des médias/nouveaux médias pour lutter contre les fake news et contre-vérités ?

Traduction pour les sciences : 1. relativisme et discrédit du travail du chercheur et des démarches scientifiques à l’œuvre 2. résultats scientifiques réduits à de simples opinions


G4 : Comment s’emparer des médias/nouveaux médias pour lutter contre les fake news et contre-vérités ?

Comment trier, hiérarchiser, s’approprier l’information ? Questions essentielles et urgentes pour les enjeux d’éducation (pour tous) et les enjeux démocratiques (contre l’obscurantisme et le fanatisme) qui en découlent

Les réponses du groupe : L’éducation aux médias, le développement de l’esprit critique (dont les démarches scientifiques comme démarches spécifiques -statut des faits, des expériences etc.-) et une meilleur compréhension du phénomène “Fake”


G4 : Comment s’emparer des médias/nouveaux médias pour lutter contre les fake news et contre-vérités ?

Les réponses du groupe Approche en deux phases :

« Boite à outils »

Court terme : des ateliers et des actions pour sensibiliser aux Fake News, découvrir les biais de raisonnement et exercer son jugement critique.

Dispositif évolutif et collaboratif pour trouver un outil utile à la résolution d’un problème, à l’accompagnement d’un projet, au partage d’expérience etc.

Moyen terme : travaux de recherche à conduire pour établir un état des lieux, comprendre le phénomene Fake, proposer et évaluer des formations.

Accessible à tous via une plateforme collaborative


G4 : Comment s’emparer des médias/nouveaux médias pour lutter contre les fake news et contre-vérités ?

Les réponses du groupe Problématiques actuelles :

1. Comment améliorer la transparence et la confiance en un media ? 2. Développer une éducation aux médias et aux “Fakes” 3. Exercer sa pensée critique 4. Sensibiliser le jeune public le plus tôt possible


G4 : Comment s’emparer des médias/nouveaux médias pour lutter contre les fake news et contre-vérités ?

1. Comment améliorer la transparence et la confiance en un media ?

Problématique 1

BONNES PRATIQUES EXISTANTES - Pratiques d'amélioration de la transparence de l’information Fact-checking - « Désintox » Libération et CheckNews.fr - « Decodex » Le Monde - « détecteur de rumeurs » au Quebec, Hoaxbuster en France - (CrossCheck et RefugeeCheck) - Pratiques d’amélioration de la confiance (a) International Fact-Checking Network (b) Utilisation d’outils numériques adaptés - InVID pour vérifier les images - Recherche inversée d'images sur Tineye ou sur Google Images reverse - Forensically pour vérifier les images retouchées (c) Index de crédibilité - https://climatefeedback.org - https://www.faktisk.no - navigation web contributive, ex : Needle, rbutr (?) (d) Transparence des algorithmes de diffusion : News Feed ranking algorithm

RECOMMANDATIONS ET IDÉES D’ACTIONS :

1.Ateliers - « Les Fake News: qu’est ce que c’est, à quoi et à qui ça sert ? » - « Utiliser les sites de Fact-checking » - « Comprendre les algorithmes de diffusion »

2. Recherche - Efficacté des index de crédibilité - IA et algorithme de checking - Diffusion et croyance des informations (vrais ou fausses)

3. Boite à outils Outils numériques adaptés


G4 : Comment s’emparer des médias/nouveaux médias pour lutter contre les fake news et contre-vérités ? 2. Développer une éducation aux médias et aux “Fakes”

Problématique 2

BONNES PRATIQUES EXISTANTES

- Education aux médias en CM2 par Rose-Marie Farinella - Reseau Canopé et spicee (ex: Conspi Hunter, théorie du complot…)

RECOMMANDATIONS ET IDÉES D’ACTIONS :

1.Ateliers - “Repérer et analyser la structure d’une Fake News” - Image/video/texte

- Univ du Michigan : Fake News, Facts, and Alternative Facts - Univ de NY : Calling bullshit in the age of Big Data - kit pédagogique d’éducation aux médias par éducation.francetv 2. Recherche - Tester l’efficacité des ateliers

3. Boite à outils Création d’un Kit pédagogique


G4 : Comment s’emparer des médias/nouveaux médias pour lutter contre les fake news et contre-vérités ? 3. Exercer sa pensée critique

Problématique 3

BONNES PRATIQUES EXISTANTES

Plusieurs initiatives citoyennes par les associations, journalistes, universitaire… 1. Experimentation - « Oser penser » Univ de Gand - « Au delà du mur » Univ Neuchatel - « bad news » Serious game - Quiz «What the fake » de la RTS 2 Conférences cycle : «l’université part en campagne... contre les idées reçues» de l’Univ de Strasbourg

RECOMMANDATIONS ET IDÉES D’ACTIONS :

1.Ateliers - “Battle de Fake News” - “les moisissures argumentatives et biais cognitifs”

2. Recherche Psychologie des « Fakes »

3 Réseaux d’esprit critique groupe esprit critique de l’IRES / CORTECS / Hygiéne mentale / groupes de zététique 4 Autres initiatives - MOOC : Atelier Médiation Et Critique de Amcsti / Firstdraftnews - « Fred se méfie des fausses infos » - Vrai/Faux sur le «Fils de Neandertal » par Carrefour des Sciences et des Arts dans le Lot - chaine youtube de Cap Science

3. Boite à outils Agrégation de ressources


G4 : Comment s’emparer des médias/nouveaux médias pour lutter contre les fake news et contre-vérités ? 4. Sensibiliser le jeune public le plus tôt possible

Problématique 4

BONNES PRATIQUES EXISTANTES

- Education aux médias en CM2 par Rose-Marie Farinella - Reseau Canopé et spicee (ex: Conspi Hunter, théorie du complot…)

RECOMMANDATIONS ET IDÉES D’ACTIONS :

1.Ateliers - Formations pour un public d’enseignants et de médiateurs

2. Recherche - Tester l’efficacité des pratiques mises en place - Comprendre la variabilité inter-individuelle /inter-jeune dans la réception et la croyance en une information

3. Boite à outils Création d’un Kit pédagogique


Groupe de travail N°5 Comment faire en sorte que la CSTI couvre tout le territoire, et plus particulièrement les zones rurales et quartiers prioritaires ? animé par Annabel Foucault (Carrefour des Science et des Arts) & Cathy Desplas (Délires d’encre)


G5 : Comment faire en sorte que la CSTI couvre tout le territoire, et plus particulièrement les zones rurales et quartiers prioritaires ? Constat général : L’éloignement des zones rurales et de quartiers sensibles de la CSTI est réel : -Manque voire absence de chercheurs -Le transport des publics vers un évènement est compliqué et/ou le déplacement des chercheurs est un frein -Le recrutement des médiateurs peut être problématique -Faire venir les publics aux évènements (trop ponctuels) est compliqué Et pourtant : - L’offre existe à travers de nombreux outils, - Des réseaux sont constitués (médiathèques par exemple) - Des acteurs locaux ont la volonté d’accueillir des actions culturelles CSTI - L’animation de territoire semble primordiale : mettre en relation l’offre et la demande !


G5 : Comment faire en sorte que la CSTI couvre tout le territoire, et plus particulièrement les zones rurales et quartiers prioritaires ? Problématique actuelle N°1 :

Problématique

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Le transport des publics (notamment des scolaires) et la couverture territoriale L’existant : - Certains départements ou collectivités prennent en charge les frais de déplacement vers des événements de CSTI pour les établissements scolaires issus du territoire -Il y a des zones qui ne sont jamais touchées par des actions de CSTI : difficultés des acteurs à s’y rendre.


G5 : Comment faire en sorte que la CSTI couvre tout le territoire, et plus particulièrement les zones rurales et quartiers prioritaires ?

Problématique

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Recommandations et idées d’actions : Recommandations

Idées d’actions à mener

Faciliter les transports des publics pour lutter contre - prise en charge des déplacements de groupes vers les actions de CSTI l ’éloignement Identifier les lieux de « déserts CSTI »

Cartographier les actions de CSTI menées et voir où sont les zones sans CSTI pour les caractériser, et voir si on peut organiser des actions vers ces zones… En réorientant l’offre et en évitant peut-être ainsi les « sur-sollicitations » de certaines zones urbaines !


G5 : Comment faire en sorte que la CSTI couvre tout le territoire, et plus particulièrement les zones rurales et quartiers prioritaires ? Problématique actuelle N°2 :

Problématique

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Difficulté de trouver le public lors d’actions ponctuelles itinérantes.

Existant : - les rendez-vous réguliers fidélisent un public -Les actions en partenariat avec un acteur local ayant déjà un public fidélisé fonctionnent mieux - les festivals ont du public car ils ont des moyens de communication sans comparaison


G5 : Comment faire en sorte que la CSTI couvre tout le territoire, et plus particulièrement les zones rurales et quartiers prioritaires ?

Problématique

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Recommandations et idées d’actions : Recommandations Se rapprocher d’acteurs locaux

Se rapprocher de festivals

Installer une régularité

Idées d’actions à mener - lister ces partenaires potentiels (culturels associatifs, médiathèques, cinémas, collectivités locales, offices de tourisme, fab lab, cafés associatifs…) -les faire se connaître via des forums professionnels - monter des projets multipartenariaux, (attention : sans marcher sur les plates –bandes des acteurs locaux mais bien en partenariat) - approcher des festivals pour voir si des partenariats sont possibles et ainsi croiser des actions de CSTI dans leurs programmations. - donner les moyens de proposer plusieurs fois par an des actions de CSTI - fidéliser les publics par les rendez-vous réguliers


G5 : Comment faire en sorte que la CSTI couvre tout le territoire, et plus particulièrement les zones rurales et quartiers prioritaires ? Problématique actuelle N°3 :

Problématique

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Le manque de chercheurs dans les territoires

Existant : Des soirées ponctuelles et coûteuses en frais de déplacement et d’hébergement Des difficultés à faire venir les chercheurs notamment à cause du temps de déplacement Des chercheurs sur-sollicités dans les zones urbaines. Actions de CSTI plus nombreuses, dans les grandes villes par facilité pour les organisateurs et les chercheurs.


G5 : Comment faire en sorte que la CSTI couvre tout le territoire, et plus particulièrement les zones rurales et quartiers prioritaires ?

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Recommandations

Problématique

Recommandations et idées d’actions :

Inciter les chercheurs à se déplacer S’adresser également aux doctorants

Idées d’actions à mener - projet « Exploreurs » de l’Université - valoriser ces déplacements pour eux……….. - faire connaître le réseau des doctorants aux acteurs CSTI - valoriser ces déplacements pour eux

Financer les frais engendrés par la distance, en plus - frais de déplacement de l’organisation elle-même - frais d’hébergement


Groupe de travail N°6 Où trouver de nouvelles sources de financement ? animé par Bruno Monflier (A Ciel Ouvert)


G6 : Où trouver de nouvelles sources de financement ? Constat général : En ce qui concerne le financement des activités de médiation scientifique, les échanges entre les membres du groupe (4 sur 10) ont mis en lumière : • La diversité des approches et des attentes entre les structures « publiques » (Comue) et les structures « privées » (associations…) • L’importance actuelle des financements publics par rapports à toute autre forme de financement. • Des financements (aides) privés presqu’exclusivement sous forme d’aides ponctuels pour des très petits montants (pas de sponsoring / mécénat) • Une difficulté des acteurs (voire impossibilité pour les structures publiques) à concevoir les recettes propres (vente de prestations, paiement des activités par l’utilisateur…) comme une alternative possible pour financer les activités de médiation (nombreux obstacles identifiés) • Une méconnaissance générale des financements « participatifs »


G6 : Où trouver de nouvelles sources de financement ?

Problématique

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Problématique actuelle N°1 :

L’accès aux financements publics – perçus comme indispensables – est souvent jugé comme difficile à gérer (lourdeur administrative), voire inaccessible pour des raisons financières (fonds européens exigeant une trésorerie importante). Par ailleurs, certaines collectivités sont plus ouvertes que d’autres au financement de la médiation scientifique


G6 : Où trouver de nouvelles sources de financement ?

Problématique

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Recommandations et idées d’actions : Recommandations

Idées d’actions à mener - Réunions d’information / sensibilisation Sensibiliser les collectivités locales à l’intérêt de la - Identification des structures susceptibles de servir de relais dans chaque médiation scientifique commune Faciliter la gestion des subventions pour les porteurs - Confier la tâche à une structure « spécialisée » (sous-traitance) de projet - Mutualiser les projets entre structures Faciliter la gestion de la trésorerie

- Apprendre à gérer avec les banques - Négocier le montant des avances (si possible)

Aide au montage des dossiers

- Formations spécifiques - Réalisation d’un guide à l’usage des porteurs de projet

Simplification des procédures

- Sensibiliser les financeurs


G6 : Où trouver de nouvelles sources de financement ?

Problématique

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Problématique actuelle N°2 :

L’accès aux financements (aides) privés (sponsoring, mécénat) est quasiment impossible pour la plupart des structures investies dans la médiation. Une situation due : • Au manque d’intérêt des entreprises pour les activités de médiation scientifique • Au manque de moyen des acteurs pour contacter et contractualiser avec les entreprises Comment faire pour améliorer cette situation ?


G6 : Où trouver de nouvelles sources de financement ?

Problématique

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Recommandations et idées d’actions : Recommandations Développer l’intérêt des entreprises privée pour la médiation scientifique Définir une politique commune d’approche des entreprises privées et mutualiser les actions

Accompagner les acteurs

Idées d’actions à mener - identifier, dans ou autour de la science, les « valeurs » susceptible de constituer des axes de communication positive pour les entreprises - Travailler sur l’axe « Science et citoyen » - désigner une personne en charge pour plusieurs structures (« Monsieur sponsoring ») - bâtir une offre commune cohérente et assez importante pour être attractive pour les entreprises - Formation - Guide d’aide à la démarche de prospection des entreprises


G6 : Où trouver de nouvelles sources de financement ?

Problématique

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Problématique actuelle N°3 :

La rémunération des acteurs de la médiation, à travers la réalisation de projets (commande publique ou privée) ou le paiement des prestations par l’utilisateur final est quasiment inexistante dans la plupart des structures. La commande publique ou privée ne parait pas accessible pour des raisons de taille et de moyens (« réservé aux grosses structures ») Le paiement par l’utilisateur parait soit impossible (Comue), soit très difficile à mettre en œuvre (là encore réservé aux grosses structures), soit non souhaitable (principe de gratuité)


G6 : Où trouver de nouvelles sources de financement ?

Problématique

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Recommandations et idées d’actions : Recommandations Idées d’actions à mener Professionnaliser les structures de médiation qui - Analyse des modalités de fonctionnement des structures déjà souhaitent être en mesure de proposer des activités professionalisées payantes (projets sur commande ou utilisateur final) - Action de formation à la gestion Mutualiser certaines activités pour être en mesure de répondre à des AO publics ou privés

- Mise en commun de compétences - Mise en place d’emplois partagés (gestion, organisation…)

Investiguer les modes de financement participatifs, encore très mal connus

- Voir les acteurs ayant une expérience en Occitanie (MiiMOSA)

Re-penser le rapport du public à la médiation ?

- Organiser un forum de réflexion sur le sujet ?


G6 : Où trouver de nouvelles sources de financement ?

Problématique 4

Problématique actuelle N°4 :

La plupart des acteurs de la médiation constate que le bénévolat est en forte baisse. La cause en serait que celui-ci a une mauvaise image car il est perçu comme de la main d’œuvre gratuite pour faciliter la vie des associations.

Pour remédier à cette situation, il faudrait faire en sorte que le bénévole trouve un intérêt à s’investir de façon à ce qu’il ressente qu’il perdrait s’il ne participait pas ! La tendance actuelle à rémunérer les bénévoles serait synonyme de « mort du bénévolat (opinion non partagée par tous !)


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