Focus Compétences

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ÉLARGIR SES HORIZONS

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Grandes écoles pour tous les âges

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Les diplômes suisses

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2 Éditorial

La Suisse, un eldorado pour les jeunes diplômés? Chaque année, une centaine d’alumni d’HEC Paris s’installent en Suisse. Parmi eux, une moitié de jeunes diplômés, souvent issus des filières marketing et bancaires, viennent tenter leur chance en Suisse, souvent dans sa partie romande. Mon premier conseil à ces jeunes diplômés est de tenir compte du nombre important de start up plus de 200 - dans l’écosystème de l’EPFL, qui peuvent fournir des emplois très qualifiés et passionnants à de jeunes diplômés pour un premier emploi ou un stage diplômant. Pour les jeunes actifs avec un à deux ans d’ancienneté, le marché est très tendu. Pour ceux qui cherchent dans les multinationales, la concurrence est rude, la Suisse attirant les meilleurs profils ingénieurs et commerciaux du

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monde entier, avec des profils multilingues. L’Allemand courant est un vrai sésame pour pénétrer le marché Suisse. Le plus sûr moyen d’être efficient durant sa recherche d’emploi reste de s’informer sur les corporations et associations du métier visé, par exemple en consultant le Publicus, cet annuaire annuel qui recense l’ensemble des associations, fondations et lobbies suisses. Une fois trouvée l’Association faîtière de l’entreprise visée, les jeunes diplômés peuvent se renseigner sur les événements organisés par celle-ci, s’y rendre et dialoguer avec les professionnels chefs d’entreprise ou de départements fonctionnels présents. Cette approche par la curiosité, avant même de rechercher un emploi, est intéressante pour se procurer Pantone 130

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FOCUS CARRIÈRES & FORMATIONS Design Smart Media Agency SA

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Country Manager Jeroen Minnee Rédacteur en chef Matthias Mehl Equipe éditoriale Thomas Pfefferlé

cherchés, les logiciels et méthodologies modernes à maîtriser pour faire la différence. Dans tous les cas, c’est de l’intérieur des réseaux que naissent les offres d’emploi, le marché Suisse de l’emploi est caché pour la plupart des postes à responsabilité, les entreprises préférant donner leur chance à des personnes déjà connues de leur réseau. Ce phénomène est plus marqué encore quand on parle de postes à responsabilité, pour une deuxième partie de carrière à partir de 35 ans. Dans ce cas, le salut passe par la découverte patiente du tissu de PME suisses, souvent tournées vers l’export et leaders dans leur marché. Qui, dans le

grand public, a entendu par-

solides. Un dernier conseil, Lord Louise, comme toute en-

ler de SICPA ou LEM chez les jeunes diplômés ? Tout l’enjeu sera de rencontrer l’entreprise convoitée sur des salons ou foires, sur leurs pages linked’in ou Twitter, pour rester à l’affût de leurs besoins. Ce travail de patience amène bien souvent des cadres dirigeants sur une recherche d’emploi dont la durée peut rapidement approcher les 18 mois. Quand nous recrutons pour notre entreprise, nous appliquons les mêmes règles. D’abord privilégier les connaissances pour les postes de management, nous rendre sur les salons des stages des Universités pour nous présenter et poster nos annonces sur Linked’in et Job’Up, qui restent deux plateformes de références pourvoyeuses de candidatures

treprise, cherche des talents en permanence, il ne faut pas hésiter à envoyer une candidature spontanée, en montrant un vrai intérêt pour les enjeux et le métier de l’entreprise, qui seront faciles à déceler dans le blog ou les pages d’actualité de celles-ci. La persévérance paye également : La plupart des candidats éconduits ne retentent pas leur chance, alors que du point de vue de l’employeur un candidat qui retente sa chance six mois plus tard montrera une persévéranc qui pourra faire la différence. Par Jean-Charles Méthiaz, Président des alumni HEC Paris en Suisse, Chief Sales Officer et Fondateur de Lord Louise SA

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4 Métiers du vin

Métiers de la vigne et du vin: la Suisse romande à la pointe de la formation Pour se former dans les secteurs de l’œnologie et de la viticulture, la Suisse romande propose trois filières d’études, regroupées dans le centre de compétences national des métiers de la vigne et du vin situé dans les hauts de Nyon. Formations autant pratiques que théoriques, elles représentent une belle opportunité pour se lancer dans la gestion d’une exploitation vitivinicole en Suisse, mais aussi pour décrocher un poste à l’étranger. TEXTE THOMAS PFEFFERLÉ

En Suisse, les métiers du vin s’avèrent très spécialisés et le niveau d’études des professionnels est particulièrement élevé. Contrairement à d’autres pays, comme les Etats-Unis par exemple, les vignerons, cavistes et

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autres gérants de petits domaines vitivinicoles suisses ont pour la plupart suivi un parcours comprenant un CFC et une formation à l’école supérieure (ES) de technicien vitivinicole. Présent également en Suisse alémanique, ce cursus permet d’acquérir les connaissances et compétences nécessaires à la gestion de domaines de type familial. Les œnologues sont quant à eux tous au bénéfice d’une maturité professionnelle ou gymnasiale et ont poursuivi leurs études à la Haute école spécialisée, filière viticulture et œnologie. Ces études, qui s’échelonnent sur trois ans de niveau Bachelor avant de poursuivre éventuellement par un an et demi de niveau Master (facultatif), attirent chaque année une trentaine d’étudiants, dont

environ 30% qui viennent notamment de France, d’autres pays européens ou encore d’Amérique du Sud, des Etats Unis ou d’Asie. Si la formation proposée en Suisse romande rayonne à ce point à l’étranger, c’est parce qu’elle offre un cursus complet et professionnalisant car très orienté vers la pratique. Cela permet de travailler directement après l’obtention du diplôme, en Suisse et dans le monde. Avec une cave didactique, des laboratoires équipés de technologies de pointe, ainsi qu’un vignoble à disposition, les étudiants qui fréquentent ce centre de formation ont la possibilité d’acquérir rapidement une expérience théorique et pratique complète: étude des cépages, travail à la vigne et en cave, ainsi que tout un volet sur l’économie et la gestion

d’entreprise leur permettent, à la fin de leurs études, de vendre leur propre production afin de financer les voyages d’études organisés avec d’autres établissements situés à l’étranger. Car durant la formation, les étudiants prennent part à des échanges soutenus avec différentes écoles et universités établies à l’étranger. Ce qui s’avère excellent pour stimuler et entretenir la dimension internationale de l’établissement et faire profiter ses étudiants d’une expérience provenant de larges horizons. Il n’est d’ailleurs pas rare que, une fois leurs études terminées, certains diplômés partent travailler à l’étranger, notamment en Australie, Nouvelle-Zélande, aux Etats Unis ou encore en Afrique du Sud.


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Se former en musique 5

Musique: des formations suisses à la pointe En Suisse, les hautes écoles de musique proposent un vaste programme de cours professionnalisant. De quoi permettent aux passionnés de musique de faire carrière dans ce domaine artistique. TEXTE THOMAS PFEFFERLÉ

La musique, plutôt vue comme un simple loisir, n’est pas souvent considérée comme un secteur professionnel. Pourtant, par l’intermédiaire des différentes hautes écoles qui existent en Suisse, il est possible de faire carrière dans ce domaine artistique. S’il faut évidemment une part importante de talent ainsi qu’un peu de chance pour réussir une carrière d’artiste, il convient également de considérer les autres métiers qui constituent la sphère musicale. Le panel de formations proposé par les HES de musique s’avère très étoffé. En fonction de la situation géographique des écoles, les étudiants pourront se spécialiser dans différents domaines et styles, tels que musique

classique, musique ancienne ou encore jazz. Pour répondre aux exigences du marché, en Suisse comme dans le monde, le Master est le point d’entrée dans la profession. Un cursus d’environ cinq années, voire plus en fonction d’un éventuel deuxième Master effectué, qui permet d’acquérir une importante polyvalence, une qualité essentielle dans le marché du secteur musical actuel. Musicien d’orchestre, enseignant, instrumentiste, chef de chœur voire compositeur ou encore directeur d’orchestre, les débouchés sont multiples. Et les musiciens, après s’être spécialisé dans plusieurs domaines, sont ensuite nombreux à exercer plusieurs activités professionnelles en parallèle. Ainsi, il n’est pas rare qu’un musicien d’orchestre exerce également en tant qu’enseignant. Car aujourd’hui, impératifs économiques obligent, les orchestres engagent surtout des musiciens professionnels sur mandat, en fonction des concerts et autres représentations qui figurent à leur calendrier.

Afin de préparer convenablement les étudiants à ce type de carrière multiple, les hautes écoles échangent beaucoup entre elles et collaborent par ailleurs avec les universités suisses. Cette année, par exemple, un nouveau Master en ethnomusicologie s’est ouvert conjointement entre trois institutions de Genève et de Neuchâtel. Par ailleurs, cette collaboration entre les différents établissements suisses s’étend également sur le plan international. Tant les études de musique que la profession

de musicien se déploient en effet dans un espace très international. A savoir également : deux instituts, l’un dédié à la recherche et l’autre à la pédagogie, existent depuis peu en Suisse romande. Cela permet ainsi de fédérer la recherche entre plusieurs écoles. Un domaine dans lequel les hautes écoles comptent bien s’investir davantage, car actuellement il n’est pas encore possible d’effectuer un doctorat en musique au sein des hautes écoles de musique suisses.

Le Coaching pour développer le potentiel des managers et accroître la performance Pourquoi un coach? Pressés pour obtenir des résultats à court terme, dans un environnement d’incertitude stratégique permanente, de nombreux managers recourent à un coach. Qui sont les coaches? Le coach tire sa légitimité et son autorité de son expertise, il agit à la fois comme miroir, confident et conseiller. C’est une personnalité capable de créer une atmosphère propice au développement individuel, fondée sur la proximité, notamment dans les situations difficiles, sur la réflexivité, sur le dialogue, sur l’empathie et enfin sur la confiance. Pour quels résultats? Choisir l’approche du coaching, c’est s’inscrire dans une logique de progrès personnel, et croire au partenariat dans l’effort, inspiré du rôle des entraîneurs de sportifs de haut niveau. Le coaching permet l’amélioration des performances grâce à l’utilisation optimisée des compétences et crée une nouvelle dynamique de collaboration au sein de l’entreprise.

Jean-François Tagini, Expert en Assessment, Coaching et Teambuilding, www.tagini.ch

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6 Mangament / Ressources humaines

Management et RH: un Master de haut vol Les ressources humaines ainsi que le management constituent des domaines professionnels qui demandent un haut degré de compétence. Conçu pour préparer les professionnels aux enjeux de ces secteurs, un programme de Master spécifique offre une formation solide. TEXTE THOMAS PFEFFERLÉ

volets d’études sur le management, la psychologie, la sociologie, le droit ou encore l’économie. Ainsi, le cursus prépare les étudiants à la maîtrise des nombreux concepts, savoir-faire et outils innovants qui sont au cœur de ces professions, lesquelles reposent essentiellement sur la bonne gestion du capital humain. Les métiers du management et des ressources humaines demandent donc une grande capacité d’ouverture sur les autres, d’altruisme et d’écoute. En même temps, il s’agit de pouvoir inspirer une certaine autorité, une grande motivation mais aussi un fort esprit d’équipe auprès de ses collaborateurs. S’il est essentiel de parvenir à instaurer un cadre dans lequel tous les talents puissent s’exprimer au mieux, il est également fondamental de garder

à l’esprit les impératifs et exigences de l’entreprise, qui doivent évidemment guider les efforts de chacun. On l’aura compris, la tâche s’avère complexe. Dans cette optique, ce programme de Master repose notamment sur la rigueur des méthodes de recherche scientifique sans oublier de cultiver l’esprit critique et la réflexion sur lesdites recherches. Les cours sont donc construits sur la base d’un décloisonnement des professions de ces secteurs. Le cursus permet ainsi de favoriser une approche qui repose sur la richesse et la variété des apports disciplinaires. D’ailleurs, les universités qui proposent cette formation entretiennent d’étroits rapports et échanges entre elles ainsi qu’avec les milieux économiques, diverses associations professionnelles et différentes entreprises.

Photo : ©Unige

Pour évoluer dans les secteurs professionnels du management et des ressources humaines, il convient de bénéficier d’un solide niveau de formation. Très demandés au sein des entreprises, les responsables de départements RH ainsi que les managers doivent être compétents dans plusieurs domaines et maîtriser différents outils tout en faisant preuve d’un esprit d’initiative

et de leadership. Interdisciplinarité, capacité analytique mais aussi ouverture d’esprit constituent autant de qualités et de savoir-faire avec lesquels il faut pouvoir jongler aisément. Elaboré dans le but de pouvoir faire face aux enjeux à la fois complexes et évolutifs de ces domaines d’activité, le Master of Advanced Studies en Management, Ressources Humaines et Carrières permet de former au mieux les professionnels de demain. Proposé dans différentes universités, ce cursus académique permet de bénéficier d’une formation complète, diversifiée et pratique, axée sur les besoins réels du marché. La formation, qui se veut la plus interdisciplinaire possible, permet de se familiariser et d’acquérir des compétences dans de nombreuses disciplines, puisqu’elle englobe différents

NOS AMBITIONS

• proposer des formations pertinentes pour des professionnels de la gestion des personnes et des projets • développer les compétences stratégiques • favoriser l’interdisciplinarité : l’humain au centre de l’action et des objectifs de la formation • expérimenter des perspectives innovantes avec des méthodes éprouvées

NOS ATOUTS

• un partenariat entre les 4 universités romandes • des experts académiques reconnus et ancrés dans les pratiques • des apprentissages en lien avec les réalités socio-économiques • des recherches qui font avancer la pratique • des cursus et accompagnements personnalisés

NOS SUCCÈS

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24 années d’expérience 230 diplômés 350 professionnels en réseau 5 programmes ciblés 3 modules optionnels à choisir sur un choix de 14 43 enseignants venant de Suisse, de France, du Canada... 92% de satisfaction des étudiants sur la qualité de nos enseignements

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Bienvenue

Programme

Visit us during our next open days nouveaux de formation ont émergé management liés à l’évolution du Chaque programme CAS/DAS/MAS a sa propre spécificité liée aux objectifs WeDe are thebesoins only hospitality school management des institutions de santé. Les professionnels, selon leur de la formation, aux compétences visées et au public Bienvenue Programme andconcerné. 22ndLeApril 18th March niveau de responsabilité danscampuses la hiérarchie acquérir des professionnel peut choisir de suivreauniquement un CAS ou unaux DAS. Il peut with five different four continents. De nouveaux besoins de formation ont émergédoivent liés across à l’évolution du Chaque programme CAS/DAS/MAS sa propre spécificité liée objectifs MrdeGrégoire Pittet concepts et desdes outils pertinentsdepour les missions qui leur sont confiées aussi de s’inscrire tout suite en MAS oupublic s’inscrire dans une management institutions santé. Les professionnels, selon leur de la décider formation, aux compétences visées et au concerné. Le dans leurdeinstitution. logique de continuité d’apprentissage en suivant un en CAS premier unDAS. CASIlou un Discover education global niveau responsabilité dans lathat’s hiérarchie as doivent acquérir as des your future career. professionnel peut choisir de suivre uniquement ou un peut Regional Admissions Counselor DAS, puis en complétant sa formation par un DAS ou un MAS.

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aussi décider de s’inscrire tout de suite en MAS ou s’inscrire dans une gregoire.pittet@laureate.ch Possibilité suivre des modules indépendants logique de de continuité d’apprentissage en suivant en premier un CAS ou un DAS, puis en complétant sa formation par un DAS85 ou un MAS. 021 989 26

environnement toujours plus compétitif nécessitent un développement dans leur institution. lesroches.edu de leur expertise qu’ils soient cadres deils proximité, de Les enjeux et stratégies auxquels doivent cadres faire des faceservices dans un soins ou directeurs. Cette demande de nécessitent qualification, tant des environnement toujours plus compétitif unvenant développement

Cadres de proximité, cadres intermédiaires et cadres dirigeants des milieux de santé: filière médicale, soignante et administrative

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INFORMATIONS

Conditions d’admission d’admission Cadres de Conditions proximité, cadres intermédiaires et cadres dirigeants des Conditions d’admission n CAS et DAS: diplôme universitaire, d’une Haute école, diplôme de nsanté: filière médicale, soignante et administrative CAS et DAS: diplôme universitaire, d’une Haute école, diplôme ption: 31 mai de chaquemilieux année Conditions d’admission professionnel ou d’une titre jugé équivalent n CAS et DAS: diplôme universitaire, Haute école, diplôme professionnel ou titre jugé équivalent professionnel ou titre jugéet équivalent n CAS DAS: universitaire diplôme universitaire, d’une Haute école, diplôme n MAS: licence ou titre jugé équivalent e.unige.ch n MAS: licence professionnel universitaire ou titre jugé équivalent ou titre jugé équivalent n MAS: licence universitaire ou titreprofessionnelle jugé équivalent n Expérience pertinente d’une durée minimum de 3 ans n Expérience professionnelle pertinente d’une durée minimum de 3 ans MAS: des licence universitaire ou titre jugédes équivalent Permettre aux cadres denla santé établissements hospitaliers, n Expérience professionnelle pertinente d’une durée de 3 anscomme de l’anglais n Excellente maîtrise parlée et minimum écrite du français structures nintermédiaires ouExpérience de soins àprofessionnelle domicile, privés ou publics, de durée Excellenten maîtrise parlée et écrite du français comme de l’anglais pertinente d’une minimum de 3 ans n Excellente maîtrisen parlée et écrite du français comme de l’anglais Connaissance l’informatique de base: tableur et traitement de relever lesnaux défis d’aujourd’hui demain:de économique, odules: CHF 5’200.Connaissance deetl’informatique de base:ressources tableur etdu traitement Permettre cadres denla santé hospitaliers, des Excellente maîtrise parlée et écrite français de et bonnes textedes établissements n Connaissance de l’informatique de base: tableur et traitement de humaines gestion. structureset intermédiaires ouconnaissances de soins à domicile, privésécrit ou publics, de de l'anglais texte texte odules: CHF 8’550.relever les défis d’aujourd’hui et demain:deéconomique, ressources n Connaissance l’informatique de base: tableur et traitement de Délai d’inscription: 31 mai de chaque année gestion. texte modules: CHF 15’000.- humaines et Délai d’inscription: 31 mai de chaque année Délai d’inscription: 31 en mailigne: de chaque année sante.unige.ch Chaque programme programme CAS/DAS/MAS a sa sa propre propre spécificité spécificité liée liée aux aux objectifs objectifs Chaque CAS/DAS/MAS a en ligne: sante.unige.ch olé: CHF 1’500.- par module en ligne: sante.unige.ch de la formation, aux compétences et public Le Inscription envisées ligne avant 31 maiconcerné. de chaque de la formation, aux compétences visées et au au le public concerné. Leannée Coûts professionnel peut choisir de suivre uniquement un CAS ou un DAS. Il peut peut professionnel peut choisir de suivre uniquement un CAS ou un DAS. Il sante.unige.ch Les étudesCoûts de cas, les travaux de groupes et plus globalement tous les Coûts aussi d’une décider de s’inscrire s’inscrire tout de suite en MAS MAS ou5’200.s’inscrire dans dans une une n tout CAS | privilégiés. 5suite modules: CHF aussi décider de de en ou s’inscrire outils pédagogie active sont eux n CAS | 5d’apprentissage modules: CHFen 5’200.- en premier un CAS ou un logique n CASde 5 modules: CHF 5’200.logique de| continuité continuité d’apprentissage en suivant suivantCHF en premier ou un Coûts n DAS | 9 modules: 8’550.-un CAS Les études cas, de groupes et plus nde DASles | 9travaux modules: CHF par 8’550.sécutifs en début de semaine 8h15-17h15 DAS, puis |en en complétant sa formation formation par un DAS globalement ou un un MAS. 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MAS |des 15 modules: CHF 15’000.Possibilité nde de suivre suivre des modules indépendants indépendants Possibilité modules tive | 16, chemin de la Voie 1202 Genève étage) nCHF DAS | (5e 9 modules: CHF 8’550.n CreuseMAS | 15 modules: 15’000.n Module isolé: CHF 1’500.par module n Module isolé: CHF 1’500.- par module MASpar | 15module modules: CHF 15’000.n Module isolé: CHFn1’500.Horaires et lieux Module isolé: CHF 1’500.- par module Leadership et et n conduite du changement changement Leadership conduite du MANAGEMENT Horaires et lieux MANAGEMENT DE de PROXIMITÉ Horaires et lieux Gestion humaines n 3 jours consécutifs en débutDE semaine | 8h15-17h15 PROXIMITÉ Gestion des des ressources ressources humaines n 3 jours consécutifs enlieux début de semaine |CERTIFICAT 8h15-17h15 CERTIFICAT Management par la la qualité qualité et Horaires Management par rd Morard, HEC Executive, GSEM, University of Geneva n 3 jours consécutifs en début de semaine | 8h15-17h15 n pour HEC | 16, chemin de la Voie Creuse- 1202 Genève (5e étage) modules Enjeux juridiques juridiques les Executive institutions de de santé santé 55 modules Enjeux pour les institutions n HEC Executive | 16, chemin de laenVoie Creuse1202 Genève (5e étage) (15semaine ECTS) 3 jours consécutifs début | 8h30-17h00 ECTS) HEC Executive | 16, nchemin de la Voie Creuse1202de(15 Genève (5e étage)

Objectif général Objectif général Programme

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Économie de la santé Stratégie et modèles organisationnels Comptabilités et budgets Les systèmes d’information

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9 modules MANAGEMENT + travail de diplôme GÉNÉRAL (30 ECTS) DIPLÔME CHF 8’550.9 modules + travail de diplôme (30 ECTS) MANAGEMENT CHF 8’550.STRATÉGIQUE

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MASTER

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Management des Management Management des des Management dans institutions de santé institutions de santé institutions de santé de santé les institutions

La communication stratégique Pilotage de la performance des institutions de santé

Éthique et responsabilité sociale L’ordre des modules peut êtreanalyses amené médico-économiques à changer n Les

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MANAGEMENT DE PROXIMITÉ

Leadership et conduite du institutions changementde santé Enjeux juridiques pour les

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Évaluation

Chaque module est validé soit par un examen formel, soit par un travail individuel, soit par une série de travaux. Un module représente 24 heures de coursmodule et est crédité de 3 soit ECTS. Leun travail de diplôme de Chaque est validé par examen formel, DAS soit est par crédité un travail 3individuel, ECTS et lesoit travail de 15 par de unemémoire série de MAS travaux. Uncrédits. module représente 24 heures

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FORMATION EN COURS D’EMPLOI

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DIPLÔME (9 DIPLÔME modules) (9 modules)

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maîtrise parlée et écrite du français comme de l’anglais

Management des institutions de santé

Possibilité de suivre des modules indépendants

professionnels que des employeurs, a conduit à renforcer de leur expertise qu’ils soient cadres dediplôme proximité, cadres des services les de AS: diplôme universitaire, d’uneeux-mêmes Haute école, partenariats entre la Cette Faculté d’économie et de management et soins ou directeurs. demande de qualification, venant(GSEM) tant des nnel ou titre jugé équivalent P-mgt-sante2.qxp_Mise en page 1 08.09.15 17:28 la Faculté de médecine de l’Université de Genève et Page1 les Hôpitaux

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DIPLÔME DIPLÔME(9(9modules) modules)

MANAGEMENT Prof. Bernard Morard, HEC MANAGEMENT Executive, GSEM, University of Geneva GÉNÉRAL GÉNÉRAL Direction n Prof. Bernard Morard, HEC Executive, GSEM, University of Geneva Les d’information Les systèmes systèmes d’information n Prof. Bernard Morard, HEC Executive, GSEM, University ofla Geneva DIPLÔME n santé Prof. Henri Bounameaux, doyen de Faculté de médecine, Université DIPLÔME Économie de de la la Économie santé n Prof. Thomas Straub, GSEM, Université de GenèveUniversité n Prof. Henri Bounameaux, doyen de la Faculté de médecine, 9 modules modules 9 de Genève et n Prof. Henri Comptabilités Bounameaux, médecine, + travail travail de diplôme diplôme Université et budgets budgetsdoyen de la Faculté de + de deComptabilités Genève n Prof. Henri Bounameaux, doyen (30 de ECTS)la Faculté de médecine, Université (30 ECTS) Genève et-miles@unige.ch | Tel: +41de(0)22 379 81 06 CHF 8’550.8’550.de Genève CHF Contact Contact Contact laurence.millet-miles@unige.ch | Tel: +41 (0)22 379 81 06 MANAGEMENT La communication communication stratégique Contact MANAGEMENT La stratégique laurence.millet-miles@unige.ch | Tel: +41 (0)22 379 81 06 STRATÉGIQUE STRATÉGIQUE Gestion laurence.millet-miles@unige.ch | complexes Tel: +41 (0)22 379 81 06 Gestion de de portefeuille portefeuille de de projets projets complexes Laurence Millet-Miles n n

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Service formation | www.unige.ch/formcont Chaque module module est est validé validé soit soit par un un examen examen formel, continue soit par par un un travail travail Chaque par formel, Service formation continue | soit www.unige.ch/formcont individuel, soit par par une série série de decontinue travaux. Un Un module module représente 24 24 heures heures Service formation | www.unige.ch/formcont individuel, soit une travaux. représente de cours et est crédité de 3 ECTS. Le travail de diplôme DAS est crédité de cours et est crédité de 3 ECTS. Le travail de diplôme DAS est crédité de de ECTS et et le le travail travail de de mémoire mémoire MAS MAS de de 15 15 crédits. crédits. 33 ECTS

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FACULTÉ DE

GSEM | GENEVA SCHOOL OF

DE GSEM | GENEVA SCHOOL OF FACULTÉ DEFACULTÉ MÉDECINE FACULTÉ DE ECONOMICS ANDOF MANAGEMENT FACULTÉ DE GSEM | GENEVA SCHOOL | GENEVA SCHOOL OFMÉDECINE MÉDECINE GSEM ECONOMICS AND MANAGEMENT MÉDECINE ECONOMICS ECONOMICS AND MANAGEMENT MÉDECINE AND MANAGEMENT


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8 Les formations continues

Les cinq bonnes raisons d’opter pour une formation continue Aujourd’hui, l’offre en matière de formation continue se développe dans de larges proportions et couvre pratiquement l’ensemble des secteurs professionnels. Si un grand nombre de collaborateurs, employés ou cadres n’hésitent plus à parfaire leur formation parallèlement à leur carrière, certains rechignent encore à s’y mettre. Voici cinq raisons qui devraient les convaincre. TEXTE THOMAS PFEFFERLÉ

1.

L’environnement économique actuel évolue à une vitesse jamais vue. Les technologies de l’information et de la communication, le cloud computing, les applications mobiles, les réseaux sociaux ou encore la finance en ligne progressent, se développent et développent également de nouveaux outils dans des proportions considérables. Afin de rester dans le coup, pour

soi-même ainsi que son employeur, la formation continue s’avère idéale.

2.

La formation continue contribue grandement à ouvrir de nouvelles perspectives professionnelles et personnelles. En effet, en participant à des cours ou séminaires dans le cadre d’un programme de formation continue, il est fréquent d’élargir son horizon par l’acquisition de nouvelles connaissances et la maîtrise de nouveaux outils. Ce qui permet d’élargir l’esprit et de stimuler la créativité. Ainsi, les personnes qui désirent se lancer dans un nouveau projet professionnel ou de vie détiennent soudain les clés qui leur permettent de concrétiser leurs idées.

3.

En améliorant son niveau de compétence, les participants à des programmes de formation continue augmentent également leur

plus-value sur le marché de l’emploi. Les nouvelles connaissances acquises, validées par les différents certificats et diplômes délivrés par les centres et écoles professionnels, constituent autant d’éléments à faire figurer sur son CV et qui permettent d’atteindre des postes plus élevés et de prétendre à de meilleures prestations salariales. Dans le cadre d’une recherche d’emploi, suivre une formation continue permet d’élargir ses recherches et de postuler à de plus nombreuses offres.

4.

Se former parallèlement à son emploi permet par ailleurs de sortir de la routine qui peut parfois s’installer, de donner un nouvel élan à sa carrière et de retrouver la motivation. En outre, les professionnels qui suivent une formation continue sortent souvent de ces cours et

séances de travail avec de nouvelles idées et des projets innovants pour l’entreprise dans laquelle ils évoluent. Un aspect qui profite directement à l’employé, sur le plan personnel, mais également à l’employeur, qui bénéficie soudain d’une impulsion novatrice au sein de son entreprise.

5.

Lors d’une formation continue, les opportunités de réseautage sont multiples. Pour un entrepreneur, cela peut s’avérer particulièrement intéressant et bénéfique pour rencontrer de nouveaux talents, se tenir au courant de l’actualité du marché dans lequel il évolue mais aussi élargir sa clientèle. Pour un employé ou une personne en transition de carrière, cela peut lui permettre de se faire remarquer auprès de cadres ou de responsables actifs dans son secteur.

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Certificate of Advanced Studies (CAS) – Computer Sciences – Klinische Pharmazie – Nutrition for Disease Prevention and Health – Mobilität der Zukunft: -Technologie-Potenziale; - Systemaspekte; -Neue Geschäftsmodelle – Pharmaceuticals – From Research to Market – Radiopharmaceutical Chemistry/ Radiopharmacy – Räumliche Informationssysteme – Unternehmensführung für Architekten und Ingenieure

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Bilan de compétences 9

Booster sa carrière grâce au bilan de compétences Aujourd’hui, dans un climat professionnel aussi rapide que changeant, il peut être intéressant de faire le point sur ses compétences et motivations professionnelles. Une démarche qui permet de valider ses acquis tout en élaborant son projet professionnel de manière réaliste et en phase avec ses aspirations. TEXTE THOMAS PFEFFERLÉ

Face à un monde empreint de changements rapides et nombreux, les exigences professionnelles évoluent et les acteurs du monde du travail tendent à de nouvelles aspirations. Les évolutions informatiques, l’apparition des nouvelles technologies de l’information et de la communication mais aussi la concurrence internationale plus prononcée constituent autant de facteurs qui ont favorisé l’apparition d’un cadre professionnel dynamique dans lequel on évolue de nos jours. A partir de ce constat, on remarque que pour rester dans la course et continuer à performer, il est

nécessaire d’évoluer et de se former. Mais avant cela, faire le point sur son niveau et ses acquis constitue une étape clé à ne pas négliger. Effectuer le bilan de ses compétences consiste à non seulement à répertorier, analyser et mettre en valeur ses savoir-faire professionnels et extra-professionnels, mais aussi à les mettre en phase avec des objectifs plus globaux en lien avec ses aspirations te motivations. Ainsi, l’employé, l’indépendant ou encore le cadre d’entreprise pourra identifier de manière précise ses points forts et faibles dans le but d’anticiper sur la suite de sa carrière. Car aujourd’hui, les changements et progrès technologiques professionnels sont tels qu’ils peuvent générer un sentiment «d’incertitude professionnelle» chez certains. En effet, selon certaines sociétés et structures spécialisées dans l’accompagnement et le coaching professionnel, environ une personne sur deux ne se sentirait pas vraiment à l’aise dans son emploi actuel. Si le bilan de compétences permet à l’individu de faire

le point sur sa situation et de donner une nouvelle impulsion à ses projets professionnels, il bénéficie également à l’entreprise. Car utiliser cet outil avec ses employés constitue un moyen efficace pour améliorer la gestion de ses ressources humaines, définir des plans de formation, renforcer la motivation de son personnel ou encore promouvoir

l’évolution individuelle auprès de ses collaborateurs. En outre, la démarche permet de disposer de l’avis d’un expert neutre et externe à son entreprise. Autant de bénéfices qui aideront à faire face aux divers événements non prévus qui ponctuent la vie professionnelle, tout en favorisant la communication et les échanges au sein de sa

société et en maintenant, voire améliorant, son service à la clientèle. Outre ces bilans de compétences, certains centres spécialisés, tels que le Centre de Bilan Genève (CEBIG), offrent aussi la possibilité d’une prestation d’évaluation de compétences (assessment) permettant l’obtention d’une certification cantonale.

LE BILAN DE COMPETENCES

Un outil au service de l’entreprise pour OPTIMISER l’adéquation poste/personne ELABORER des référentiels de compétences EVALUER les potentiels d’évolution SOUTENIR la mobilité du personnel DEFINIR des plans de formation RENFORCER la motivation du personnel En bénéficiant d’un accompagnement professionnel et personnalisé


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10 Expertise

Se former pour répondre aux besoins de demain La globalisation, le big data ou encore les réseaux sociaux transforment notre paradigme économique à grande vitesse. Les technologies qui se développent demandent aux professionnels de maîtriser de nouveaux savoir-faire et outils. Une nouvelle donne à prendre en compte pour se former intelligemment. TEXTE THOMAS PFEFFERLÉ

Selon de nombreux spécialistes, le développement et les progrès technologiques que l’on connaît actuellement pourraient bien constituer une 4ème révolution industrielle. Robotique, domotique, économie en ligne, objets connectés mais aussi technologies de l’information et de la communication semblent progresser sans cesse et de plus en plus

rapidement. Et il va sans dire que ces évolutions et progrès se répercutent directement sur l’environnement économique. Aujourd’hui, les professionnels actifs dans ces différents secteurs doivent parvenir à suivre le rythme de ces évolutions technologiques. Un point qui concerne également la jeune génération estudiantine, pour qui le défi consiste à s’orienter vers des filières d’études tout en considérant les besoins économiques de demain. Le secteur économique, dans son sens large, est touché de plein fouet par les évolutions digitales et la migration numérique massive des services et outils commerciaux. Les métiers de la banque et de la finance en particulier se trouvent devant un défi de taille: réussir à prendre le train des nouvelles technologies en marche.

Car l’offre en ligne des établissements bancaires et autres institutions financières ne cesse de se développer et de séduire une large clientèle toujours plus friande de services et produits connectés. Les acteurs suisses du secteur, qui ne peuvent plus compter sur les avantages et facilités liés au secret bancaire, sont particulièrement concernés par ce nouvel impératif. Pour rester dans la course, les établissements de la place helvétique doivent parvenir à se renouveler. En Suisse, les universités, écoles privées et autres centres de formation sont déjà nombreux à proposer des programmes spécifiquement conçus pour répondre à ces nouveaux besoins. Pour séduire les recruteurs, les futurs candidats à l’embauche doivent également prendre en

considération l’importance des «soft skills» dans le monde du travail. Une appellation qui désigne la manière dont une personne est capable d’appliquer ses connaissances (hard skills) à la réalité et la façon dont elle parvient à s’intégrer dans une équipe. Des points sur lesquels les collaborateurs d’une entreprise sont d’ailleurs évalués par les cadres et autres responsables durant les entretiens annuels. On notera au passage qu’aujourd’hui, un nombre important d’offres d’emplois font référence à ces soft skills dans les profils recherchés. On l’aura compris, le monde du travail de demain demande de faire preuve d’esprit critique, d’analyse et d’équipe tout en sachant mettre en œuvre sa créativité afin d’imaginer des solutions à des problèmes nouveaux.


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Expertpanel 11

Pour quelles raisons est-il important pour vous d’enseigner (Sur votre domaine) ?

Que mettez-vous en avant au sein de vos formations ? Qu’est-ce qui est le plus important?

Quel est votre public cible sur vos formations?

Quelles sont les tendances futures, perspectives et défis à venir dans votre domaine?

Jean-Yves Mercier

Nadine Bagué

DIRECTEUR SELF LEADERSHIP LAB UNIVERSITÉ DE GENÈVE

RESPONSABLE PÉDAGOGIQUE MAS/DAS/CAS MRHC UNIVERSITÉS DE LAUSANNE, NEUCHÂTEL, FRIBOURG ET GENÈVE

PROFESSEURE DE CELLO ORCHESTRAL INSTRUMENTS DEPARTMENT HAUTE ÉCOLE DE MUSIQUE DE GENÈVE

PROFESSEUR EN ECONOMIE DE LA SANTÉ UNIVERSITÉ DE GENÈVE

La formation continue représente une formidable opportunité de développement pour l’entreprise et pour la personne. En soi, c’est une démarche dans notre domaine : le management humain, les RH et la gestion de carrières. Un pont liant pratique et théorie, un espace offrant du recul sur des sujets au cœur d’importants enjeux et dilemmes.

Les connaissances et les compétences indispensables aujourd’hui pour une gestion efficiente des services et des instituts de santé dépassent le cadre du bon sens, de l’expérience acquise ou de l’autoformation. En effet, les problèmes de gestion dans ce domaine ont atteint une complexité et une multidisciplinarité, ainsi qu’une vitesse de transformation, tels qu’une formation continue me parait opportune et nécessaire.

L’enseignement a toujours tenu une place prépondérante dans ma vie de musicienne. C’est une autre façon de transmettre ma passion, une autre facette de mon métier d’interprète, aussi merveilleux qu’exigeant. J’ai moi-même été formée par d’éminents pédagogues, et il me semble que c’est aussi mon rôle de partager avec les étudiants mes recherches et de les guider.

L’alternance entre les moments individuels et en groupe et les différentes approches qui permettent des prises de conscience progressives. L ‘ouverture à de nouveaux champs de possibilités et la clareté ainsi engendrée, permet de développer une confiance en soi pour évoluer à son bénéfice comme à celui de son entreprise.

Plusieurs axes: • Analyse systémique: intégrer l’interdépendance de l’organisation quant à son environnement, aux groupes qui la composent et aux individus membres • Interdisciplinarité: l’humain est au centre de l’action et de nos objectifs de formation • Développement de compétences stratégiques • Capacité à mesurer les actions et à innover

Donner du sens à ce qu’on fait est primordial. La formation doit essayer de conjuguer au mieux la théorie, c’est-à-dire le cadre conceptuel, au monde réel, y compris ses contradictions. Cette « alliance » est à mon avis vertueuse dans la mesure où la base théorique sert à façonner la compréhension de nos actions concrètes. La didactique doit donc être généreuse, capable de faire vibrer l’envie d’en savoir toujours plus.

Dans le développement d’un jeune artiste, la formation passe par une recherche quotidienne de l’excellence technique et un apprentissage de l’aspect athlétique de notre métier. Mais cela ne peut se faire sans une approche pluridisciplinaire de la musique. Le professeur qui s’adresse à l’étudiant doit l’aider à déployer sa personnalité de façon autonome, tout en restant toujours au service de l’œuvre.

L’alternance entre les moments individuels et en groupe et les différentes approches qui permettent des prises de conscience progressives. L ‘ouverture à de nouveaux champs de possibilités et la clareté ainsi engendrée, permet de développer une confiance en soi pour évoluer à son bénéfice comme à celui de son entreprise.

C’est un public issu du monde professionnel et disposant, pour l’essentiel, d’une formation type Bachelor ou Master. L’interdisciplinarité est centrale à nos yeux. Nous accueillons des personnes des RH, des managers et leaders pour développer leurs compétences en management humain, des spécialistes de carrières, mais aussi des audits, coachs, etc

Mon enseignement s’adresse à plusieurs public-cibles : les jeunes universitaires - formation de base (bachelor) et les professionnel actifs dans leurs domaines (en santé) formation continue (master/diplôme). D’un public à l’autre la pédagogie change radicalement. Dans la formation continue il s’agit d’une pédagogie des adultes. L’enseignant apprend avec ses élèves, de façon presque paritaire.

Au-delà des masterclasses ponctuelles que je peux donner lors de mes concerts à l’étranger notamment, j’enseigne à la Haute Ecole de Musique de Genève à des étudiants qui sont en Bachelor et en Master.

Démarche individuelle il y a encore peu, le self-leadership est aujourd’hui un besoin reconnu par l’entreprise. Celle-ci sait qu’elle a besoin d’initiative et d’innovation. Elle a compris que le moteur en est un encadrement affirmé, responsable et courageux.

Actuellement, les opportunités sont nombreuses, les défis aussi. Flexibilité et curiosité sont essentielles quand il s’agit de l’humain. En réponse à ces réalités sociologiques, économiques, humaines, les pratiques des organisations sont au centre de notre attention (quelques soient leur forme, leur taille, leur culture et leurs modes de management).

Les ressources qui sont employées dans la santé dans le monde occidental ont atteint un niveau très élevé. On croit même excessif. Le futur exigera une attention croissante à l’emploi adéquat, rationnel et équitable de ces ressources. Cela dans l’intérêt de l’individu et de la société. Je pense donc que la formation de bons gestionnaires de la santé, en milieu public et privé, aura dans l’avenir une importance fondamentale.

Dans un monde professionnel où la concurrence est redoutable, même les diplômés de la HEM – Genève, doivent présenter des concours pour tous les postes envisagés. Le défi est aussi de développer une bonne connaissance du répertoire, d’être polyvalents et souples. Il est également important de continuer à inciter les compositeurs à écrire pour notre instrument et surtout de tisser des liens avec tous les publics.

my Science 21

AVRIL

Career

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Le forum emploi scientifique de l’Université de Genève Rencontrez vos futurs collaborateurs: emploi.unige.ch/forumsciences UNI-EMPLOI

Ophélie Gaillard

Il n’y a plus de recettes de management toutes faites. Un cadre doit s’appuyer sur ses forces, ses motivations et ses ressources , savoir s’entourer et développer son réseau. Enseigner le self-leadership, c’est permettre à chacun de pleinement percevoir, vivre et s’engager dans son rôle avec toute sa valeur ajoutée.

13 DIVISION DE LA FORMATION ET DES ÉTUDIANTS

Prof. Ricardo Crivelli

Département de l’instruction publique, de la culture et du sport Office pour l’orientation, la formation professionnelle et continue

Day


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12 Entrepreneurship

Former les leaders de demain Que l’on soit employé ou cadre au sein d’une PME ou d’une grande entreprise, certaines formations spécifiques permettent de booster sa carrière. Véritable atout sur son CV, se former permet de peaufiner intelligemment son agilité professionnelle. TEXTE THOMAS PFEFFERLÉ

Afin de rester compétitif et compétent sur le marché de l’emploi actuel, il peut être intéressant, voire essentiel, de se former parallèlement à son activité professionnelle. Particulièrement prisées des entrepreneurs et autres professionnels qui désirent renforcer leurs compétences, la formation DAS en entrepreneurship et business development constitue une valeur sûre

en termes de formation continue. Un diplôme qui peut être obtenu en 12 mois et qui rencontre un grand succès depuis plus de 10 ans. Les objectifs de ces cours sont multiples: développer ses compétences entrepreneuriales et liées à l’innovation, apprendre à saisir des opportunités ou encore se familiariser avec la théorie et les outils pratiques de gestion. Les matières abordées s’avèrent donc nombreuses. Ainsi, par l’intermédiaire d’un programme complet et diversifié, les participants acquièrent de solides compétences en marketing, comptabilité mais aussi finance. Des qualités et connaissances largement recherchées aujourd’hui dans les entreprises, qu’il s’agisse de grandes multinationales ou de structures de plus petite

envergure. En outre, la rédaction d’un business plan, le leadership, le travail en équipes multidisciplinaires, la communication interne et externe et les techniques de vente ainsi que l’institution d’une culture d’innovation au sein d’une organisation constituent autant d’éléments abordés dans cette formation. Il n’est pas nécessaire d’être déjà directeur ou cadre d’entreprise afin de suivre ces cours. Parmi les participants, on trouve notamment de nombreuses personnes qui désirent simplement développer leurs compétences en gestion et qui n’ont pas bénéficié d’une formation universitaire au préalable. Porteurs de projets ou encore responsables de départements sont également nombreux à suivre ce type de programmes de formation continue.

On notera par ailleurs que ces cours sont ouverts aux professionnels du secteur privé et public et qu’ils ne s’adressent pas uniquement aux professionnels actifs dans le domaine de l’entrepreneuriat dans son sens économique et commercial. Avec un degré de professionnalisation de plus en plus élevé et des impératifs économiques qui prennent une place toujours plus importante, les domaines de la recherche scientifique et de la médecine sont aussi concernés par cette formation. Les scientifiques, les médecins mais aussi les chercheurs peuvent trouver un réel intérêt à suivre ces cours pour booster leur carrière, obtenir les fonds nécessaires à l’ouverture d’un nouveau département ou à la conduite d’un quelconque projet de recherche.

DAS | CAS

Diploma | Certificate of Advanced Studies

Entrepreneurship & business development entrepreneurship.unige .ch

FACULTÉ D’ÉCONOMIE ET DE MANAGEMENT GSEM EXECUTIVE


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Finances 13

Apprentissage et certifications, seules issues pour la formation continue des banquiers TEXTE SMA

Ce printemps, le projet de loi LSFin arrive enfin en discussion devant les parlementaires. Ainsi, au 1er janvier 2018, tout conseiller financier à la clientèle privée devra remplir une nouvelle obligation de compétence et de formation continue. Est-ce à dire que les banquiers vont devoir retourner sur les bancs de l’école ? Pas vraiment car s’ils vont devoir très rapidement entrer dans un processus continu d’évaluation et de développement, cela ne veut pas dire pour autant que nous allons les voir reprendre le chemin des salles de classe avec leur cartable sous le bras. L’ENSEIGNEMENT N’EST PAS UNE OPTION

Car la question de leur compétence n’est pas tant celle de leur savoir que celle de leur savoir-faire et de leur comportement. Aussi, des remises à niveau sous forme d’enseignement académique ne constitueront pas une solution au problème.

L’enseignement est une méthode qui permet la transmission du savoir mais qui est très peu efficace pour l’acquisition de savoir-faire ou de savoir-être. Pourquoi alors cette tentation de recourir quasi systématiquement à l’enseignement quand on parle de formation continue ? Par habitude sûrement mais aussi parce-que de nombreuses solutions innovantes sont aujourd’hui proposées pour un faible coût (e-Learning, MOOC, Tutorial, Vidéo). L’EFFICIENCE DE L’APPRENTISSAGE

Mais nous savons depuis longtemps que lorsqu’il s’agit d’acquérir la maîtrise d’un geste ou d’une posture, la seule méthode efficace est l’apprentissage, c’est-à-dire ce mélange subtil d’enseignement théorique et de mise en pratique encadrée par un maître ou un mentor. Cet apprentissage qui a fait la renommée mondiale de la Suisse en matière de formation professionnelle initiale est aujourd’hui la seule

solution pertinente pour la formation continue que ce soit pour les savoir-faire techniques des banquiers ou le leadership de leur encadrement. Car l’apprentissage repose sur le principe du partage d’expérience du maître et de l’autonomisation progressive et contrôlée de l’apprenti par une validation continue de ses acquis. L’apprentissage est donc particulièrement efficace dans la formation de professionnels adultes, car contrairement à l’enseignement, il ne repose pas sur un rapport asymétrique (hiérarchique?) entre un «sachant» et un «ignorant ». LA FORMATION DES BANQUIERS PAR DES BANQUIERS

C’est la raison pour laquelle depuis près de 30 ans, tous nos formateurs sont des experts bancaires en emploi et non des professeurs plus ou moins patentés. Ils sont en effet les seuls aptes à transmettre leurs compétences opérationnelles dans des actions de formation dont

le socle méthodologique est celui de l’apprentissage. Depuis quelques années, l’apport théorique des connaissances est même fait en amont du module présentiel animé par l’expert (e-learning, lectures) afin d’en réduire la durée et de se focaliser sur le transfert et la mise en pratique des compétences. CERTIFICATIONS: LA NÉCESSITÉ DE LABELS FORTS

Cependant, l’apprentissage en formation continue, aussi efficace soit-il, se doit impérativement d’être validé par un label fort, c’est à dire par une certification reconnue par tous. Tout comme le CFC est un gage de compétence, les titres sanctionnant les formations continues doivent pouvoir être immédiatement identifiés comme tels. Qu’elles soient académiques ou professionnelles, publiques ou privées, suisses ou internationales, toutes les instances qui labélisent nos formations font autorité… et ça fait toute la différence.

myScience Career Day en Genève myScience Career Day est le Forum Carrières Scientifiques de l’Université de Genève. Il permet aux employeurs de rencontrer les étudiants et nouveaux diplômés de la Faculté des Sciences et de faire connaître leur entreprise. Une trentaine de sociétés seront attendues par plus de 3’000 étudiants, doctorants, post-doctorants. Cette 3ème édition sera marquée par une conférence sur le thème de « La Formation Scientifique, Clé de l’Innovation Economique ». Pierre Maudet, Conseiller d’Etat du canton de Genève, introduira la conférence en expliquant ce lien indispensable au développement économique du canton. Toutes les informations sur www.emploi.unige.ch/ mysciencecareerday

(Forum, mercredi 13 avril toute la journée et conférence à 17 heures, lieu : Science II, 30 quai Ernest Ansermet, Genève)

La banque suisse change… et vous?

Institut Supérieur de Formation Bancaire Route des Jeunes 12 / CH 1227 Genève 022 827 30 00 / info@isfb.ch / www.isfb.ch

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14 Informatique

Se former dans l’informatique La Suisse souffre actuellement d’une pénurie de professionnels dans les métiers informatiques. Un secteur qui représente donc une intéressante option en matière de formation pour les jeunes. TEXTE THOMAS PFEFFERLÉ

Selon différentes études menées durant ces dernières années, la Suisse aura besoin de près de 80’000 professionnels spécialisés dans le domaine des technologies de l’information d’ici à 2022. De manière générale, la croissance des emplois helvétiques a été quatre fois plus forte dans l’informatique que dans les autres secteurs professionnels durant les 20 dernières années. Et la demande va en augmentant. C’est dire si les besoins dans le secteur

sont importants. Pour les jeunes qui s’apprêtent à entreprendre une formation universitaire ou professionnelle, il peut être intéressant de considérer les forts besoins de la branche informatique et de s’y orienter. Mais attention, les nombreux profils d’informaticiens et spécialistes des technologies de l’information ne sont pas tous recherchés de la même façon. Décryptage. Les demandes principales concernent surtout la gestion de projets et le développement de software. En moyenne, les estimations et études réalisées indiquent que les besoins du marché avoisinent les 30000 postes de travail par an pour les six prochaines années. D’une part, en considérant la création de programmes informatiques. D’autre part en considérant la conduite de projets; les entreprises du

pays estiment également que les besoins de profils de cadre s’avèrent importants, de même que les professionnels spécialisés dans l’administration des technologies de l’information. Pour saisir ces nombreuses opportunités de carrière, les futurs informaticiens et autres spécialistes peuvent suivre différentes filières de formation. Outre les cursus universitaires, qui permettent d’obtenir des diplômes de niveau Bachelor et Master en trois à cinq ans, il est aussi possible de s’orienter vers la formation professionnelle initiale (apprentissage) puis supérieure. Ces formations duales permetent d’alterner entre cours et travail au sein d’une entreprise. Une alternative qui permet de bénéficier rapidement d’une large expérience professionnelle, ce qui constitue

toujours une plus-value intéressante sur le marché de l’emploi. On notera également que les hautes écoles et écoles d’ingénieur proposent aussi différents programmes de formation informatique de haut niveau. Si la formation concerne directement les jeunes et les informaticiens de demain, la formation continue s’avère également importante pour les professionnels déjà en activité. En effet, plus que n’importe quel autre domaine, l’informatique évolue sans cesse et de manière très rapide. En Suisse, les structures et centres qui proposent des formations professionnelles supérieures et continues ne manquent pas. Et les employeurs peuvent normalement soutenir voire financer ces programmes pour leurs collaborateurs.

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Mieux connaître ses compétences, être à même de construire un projet professionnel et surtout satisfaire à ses besoins existentiels sont les buts fondamentaux d’un bilan de compétences. De ce fait, une démarche de bilan est un acte fondateur permettant à une personne à se situer au cœur d’un contexte socio-économique où les enjeux sont multiples. Structure dynamique réunissant un vaste éventail de savoirs pluridisciplinaires et d’expériences professionnelles, le Cebicom prodigue des conseils avisés en matière de bilans de compétences. Ses conseillers sont tous issus du monde académique. Confirmés et expérimentés dans leurs domaines, ils répondent avec application aux exigences de tous les clients. Grâce à la qualité de leur accompagnement, les clients obtiennent des résultats tangibles rapidement et durablement car au Cebicom, un bilan est avant tout un dispositif au service de la personne et non pas un produit marchand qui renvoie à des normes de conformité et d’utilité. Pour la direction du Cebicom, le bilan va au-delà des limites d’une série de faits et d’investigations. Il n’est pas ce champ clos où le bénéficiaire est un récepteur passif qui est jaugé ou jugé par un expert qu’il doit affronter. Au Cebicom, réaliser un bilan c’est entrer dans un espace de liberté dans lequel le client peut-être lui-même sans crainte d’être évalué et ainsi entrevoir des horizons nouveaux et parfois insoupçonnés et ce grâce à l’expertise de ses conseillers. Outre la qualité de l’accompagnement, les entretiens sont de plus ponctués par une utilisation judicieuse d’instruments tels que les grilles d’analyse professionnelle ou de tests portant sur les traits de personnalité, les intérêts, les valeurs, les motivations, les désirs ou encore les moteurs. Pour conclure, si vous souhaitez transformer le réel qui ne vous satisfait pas, si vous êtes soucieux de votre avenir professionnel, si vous voulez faire évoluer votre carrière, si vous souhaitez changer d’orientation, parfaire ou encore acquérir de nouvelles compétences, le Cebicom répond avec vigilance à ce type de défi. Il s’efforce, constamment, de mettre en œuvre les meilleures méthodes au plus près de la réalité du marché du travail afin de développer vos capacités et satisfaire vos besoins.

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16 Relations internationales

Se former dans le domaine des relations internationales Accueillant de nombreuses multinationales sur son sol ainsi que divers organismes mondiaux, la Suisse occupe une place importante sur la scène internationale. Nombre de négociations géopolitiques, d’accords et de traités internationaux s’y concluent. D’où la nécessité à proposer une offre de formation importante dans ces secteurs. TEXTE THOMAS PFEFFERLÉ

Petite par sa géographie et faisant figure d’exception européenne par sa politique économique, la Suisse reste néanmoins très ouverte et active sur la scène internationale. Savamment cultivée et entretenue, cette dimension d’ouverture propre au pays lui a permis de devenir un acteur incontournable au sein de la sphère économique et

géopolitique mondiale. Une compétence essentielle et nécessaire qui se cultive notamment par une importante offre en matière d’études orientées vers les relations internationales. En effet, les cursus universitaires et autres programmes de formation axés sur ce domaine s’avèrent nombreux et réputés. Différents cours permettent d’obtenir plusieurs diplômes de niveau Bachelor et Master en relations internationales. Par ailleurs, les étudiants peuvent également poursuivre leurs études par un programme de recherche à l’issu du Master et ainsi effectuer un doctorat pour se spécialiser dans un domaine en particulier. Préparant les étudiants au vaste domaine des relations internationales tout en leur permettant d’acquérir les concepts de base, le programme de

Bachelor se veut à la fois stimulant et exigeant. Se déroulant sur trois années, il vise à se familiariser avec les différentes théories, méthodes et outils qui constituent la base d’une carrière internationale, qu’il s’agisse d’un emploi au sein d’un gouvernement, d’une entreprise, d’une organisation non gouvernementale, des médias ou encore d’organismes internationaux. Lois, économie, systèmes et théories politiques, leadership international, diplomatie, sciences sociales, conflits et études de sécurité sont alors abordés. Par ailleurs, il est fréquent que durant le Bachelor déjà, des possibilités de stage soient proposées aux étudiants. Après la thèse de baccalauréat, le programme de Master est orienté vers la préparation des étudiants pour intégrer dans un futur proche le marché

des relations internationales, ou, dans le cas d’un programme de doctorat, pour préparer les étudiants à poursuivre leurs études et recherches académiques. En plus d’une année de cours, les étudiants acquièrent une précieuse expérience pratique par l’intermédiaire de stages en entreprise. La formation comprend alors des matières telles que droit public international ou encore études sociales et culturelles, avant d’effectuer le Mémoire de Maîtrise. En Suisse, les universités et établissements privés sont nombreux à proposer ce type de programmes académiques. Ces filières d’études attirent par ailleurs un nombre important d’étudiants étrangers, ce qui contribue à dynamiser les échanges estudiantins puis professionnels au niveau international.

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18 Finance / Comptabilité / Controlling

Formation continue en finance, comptabilité et controlling La mondialisation et les technologies de la communication et de l’information impactent fortement les entreprises et les administrations. Les données mises à la disposition des décideurs sont toujours plus nombreuses et les paramètres financiers se compliquent. Des formations et diplômes permettent justement de faire face à ces exigences grandissantes.

de la comptabilité, de la fiscalité et de la révision. L’examen de ce brevet garantit en outre que les connaissances de base ont été acquises dans la perspective d’examens ultérieurs, à savoir les examens professionnels supérieurs d’experts en finance et controlling, d’experts fiscaux, fiduciaires et comptables.

TEXTE THOMAS PFEFFERLÉ

ET COMPTABILITÉ

LE BREVET FÉDÉRAL D’AGENT FIDUCIAIRE

Le niveau de l’examen d’Agent fiduciaire présuppose que le candidat fait preuve d’esprit d’analyse, qu’il saisit les relations entre les chiffres, qu’il sait approfondir un problème et formuler des solutions. Il con¬seille les clients, surtout les particuliers et les PME, dans le secteur fiduciaire ainsi que dans ceux

de ce brevet la garantie d’une insertion professionnelle de haut niveau: le breveté est capable d’assumer la responsabilité des tâches de comptabilité et de travailler en tant que responsable financier ou agent fiduciaire. LA FORMATION PRACTICE CONTROLLING DIPLOMA

LE BREVET FÉDÉRAL DE SPÉCIALISTE EN FINANCE

Le professionnel de la comptabilité doit présenter un profil solide, assistant et conseillant la direction des entreprises et les administrations dans leurs choix stratégiques. Il doit disposer d’une expérience du terrain pour appli¬quer ses compétences à la réalité. Le titre de «Spécialiste en finance et comptabilité avec Brevet Fédéral» complète les for¬mations plus généralistes du domaine et offre aux porteurs

Lancée en Suisse romande en 2013 avec la Controller Akademie de Zurich, cette formation s’adresse aux titulaires du Brevet Fédéral de Spécialiste en finance et comptabilité et aux détenteurs d’un diplôme ES ou HEG. Le Practice Controlling Diploma peut être acquis en six mois. Il est subordonné à la réussite de six modules de formation qui donnent chacun droit à un certificat. L’enseignement est axé sur le contrôle de gestion et la pratique, et ses acquis sont directement applicables dans la vie professionnelle.

LE DIPLÔME FÉDÉRAL D’EXPERT EN FINANCE ET CONTROLLING

Cette formation en controlling, corporate finance, fiscalité, normes comptables suisses et internationales s’adresse aux porteurs d’un brevet professionnel, d’un diplôme d’études professionnelles supérieures ou d’un bachelor, actifs dans la finance ou le controlling. Au terme de sa formation, l’Expert en finance et controlling peut assumer une fonction dirigeante et gérer les finances dans une entreprise, dans le secteur privé et public. Les domaines d’activités sont multiples: contrôle de gestion du groupe, pilotage des activités opérationnelles, support à la Direction Générale, planification stratégique, planification opérationnelle, responsable finances, chef d’audit et responsable consolidation.


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Administré par l’Institut universitaire de médecine sociale et préventive IUMSP pour assurer l’intégration dans le cursus de l’Ecole romande de santé publique ERSP. Contact : formations.sante@chuv.ch


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