

Présentatrice de l’émission « Les Saisons de pique-assiette » partage sa vision d’une cuisine accessible et gourmande, où plaisir rime avec conscience et responsabilité.
Lapaire Olivier
Poser cette question, c’est s’intéresser à ce que nous mettons dans nos assiettes, à notre alimentation, à ce qui nous nourrit. Le terroir a ses enjeux, rencontre des défis et connaît ses limites. Si les discours commencent à évoquer des « systèmes alimentaires » plutôt que de simples « politiques agricoles », il reste difficile d’adopter cette vision et de faire évoluer la situation. Pourtant, comme le dit l’adage : « Acheter, c’est voter ». En tant que consommateurs, nous avons une véritable voix. Acheter, c’est aussi « faire société ». Réfléchir à son alimentation, par sa répétitivité quotidienne, mérite qu’on s’y arrête un instant, tant elle offre de leviers d’action. Plusieurs facettes peuvent être développées, tant nos circuits d’approvisionnement sont mondialisés et interdépendants. Mais dans l’esprit de ce supplément, je vous propose un survol d’une des meilleures choses que la Suisse peut offrir : son terroir.
Dans le cadre de ma mission au sein de la Fondation Rurale Interjurassienne, j’ai le privilège d’observer cette évolution, visible à l’échelle régionale, romande, nationale et même internationale. Mes propos n’ont pas la prétention d’être exhaustifs, mais visent à inciter à la réflexion sur ce que nous mettons dans nos assiettes –peut-être au moment même où vous lisez ces lignes.
Dans le langage courant, les « produits du terroir » ont peu à peu laissé place aux « produits régionaux ». Derrière ces termes se cache un véritable changement de paradigme. Il y a une vingtaine d’années, les démarches de promotion du terroir visaient avant tout à valoriser l’agriculture locale, la culture régionale, son folklore et la préservation des savoir-faire. C’est dans cet esprit qu’est né l’inventaire du Patrimoine culinaire suisse (2004), publié seulement récemment (2022), et devenu depuis une véritable bible du terroir helvétique.
Aujourd’hui, plusieurs initiatives visent à développer une « alimentation durable » en mettant en avant les produits régionaux. L’une d’elles souhaite amener la restauration collective à s’approvisionner localement. Dans ce but, en ce début d’année, nos cantons romands et latins ont ratifié une charte intitulée « Cuisinons notre région ! ». Dans ce contexte, il ne s’agit pas seulement de mettre en valeur quelques produits phares comme le Totché, le Gâteau du Vully, la fondue ou la Damassine AOP, mais bien de favoriser un approvisionnement régional en produits de consommation courante : viande fraîche, pain, fruits, légumes, etc. Cet exemple montre deux évolutions majeures : les produits du terroir, autrefois réservés à une niche, se sont démocratisés et font désormais partie de la consommation courante, notamment dans la restauration. Par ailleurs, ils regroupent désormais un large éventail de produits, allant des spécialités régionales à l’ensemble de la production régionale.
Le terroir romand évolue et s’adapte à son époque, démontrant ainsi une réactivité remarquable. Il est façonné par notre société, ses tendances, par vous et moi, et surtout par nos producteurs.
Cette évolution est bienvenue, car notre alimentation a un impact considérable sur le climat (entre 15 et 20 % de nos émissions de CO2), sur notre société et sur notre santé. Intégrer des produits régionaux dans la restauration collective crée des débouchés économiques et permet d’élaborer des menus équilibrés, offrant à un nombre croissant d’élèves au moins un repas chaud et sain. Ces bonnes intentions semblent aller de soi, mais elles s’inscrivent dans un contexte où offrir une alimentation saine dans ce type d’établissement n’était plus la norme, en raison de l’évolution des habitudes alimentaires et des politiques d’économie publique. Si le contexte évolue, les budgets, eux, restent inchangés pour le moment, ce qui impose des discussions et des ajustements à tous les niveaux.
L’exemple de la restauration illustre bien comment les produits du terroir – et les structures qui les promeuvent – se sont ouverts à d’autres secteurs et travaillent
désormais en réseau. À l’échelle romande, nous avons vu émerger ces dernières années plusieurs marques territoriales, comme Vaud Promotion ou Grand Chasseral, qui rassemblent différents acteurs pour promouvoir leur région et unir les forces de tout un territoire.
Autre emblème de notre savoir-faire helvétique : les AOP et IGP, dont la Romandie est un vivier particulièrement fertile. Nos appellations fédérales raflent souvent les médailles d’or dans divers concours de dégustation. Ces labels de qualité portent bien leur nom et assurent un niveau d’excellence constant au fil des ans. La production régionale évolue aussi avec l’apparition de nouveaux produits à base de laits végétaux, d’alternatives à la viande à base de légumes, ainsi que de nouvelles cultures comme les agrumes, le gingembre ou les baies d’aronia. La liste est longue, même en restant concentré sur les produits artisanaux. Le terroir romand évolue et s’adapte à son époque, faisant preuve d’une remarquable réactivité. Il est façonné par notre société, ses tendances, par vous et moi, et surtout par nos producteurs. Agriculteurs et artisans sont au cœur du terroir et s’investissent chaque jour pour nous offrir leurs meilleurs produits, contribuant ainsi au rayonnement du terroir romand. En ce dimanche matin, alors que la géopolitique présente de nouveaux défis, que le contexte économique incite peu à l’optimisme et que les changements climatiques nous poussent à revoir nos priorités, il ne s’agit pas de faire preuve d’un optimisme aveugle. Le terroir doit lui aussi faire face à ces défis et continuer à progresser. Son adaptabilité, sa qualité, son ouverture et sa capacité à traverser les époques témoignent de la richesse et de la diversité culinaire de la Suisse.
À ce titre, la Suisse peut s’enorgueillir d’un formidable observatoire de cette excellence : le Festival Terroir Suisse. Cet événement réunit conférences, concours, grand marché et animations culinaires pour célébrer et partager la richesse de nos terroirs. Trois semaines de dégustation sont nécessaires pour identifier et récompenser les meilleurs produits issus de nos 26 cantons dans cinq catégories : produits laitiers, boulangers, carnés, dérivés des fruits et légumes et boissons alcooliques. Plus de 1 200 produits sont dégustés par 200 jurés, un défi d’organisation millimétrée, de la logistique à la cuisine. Tous les deux ans, à la fin du mois de septembre, c’est à Courtemelon (JU), à deux pas de Delémont, qu’une véritable fourmilière s’installe pour mettre à l’honneur le meilleur du terroir suisse.
Texte Lapaire Olivier Responsable Terroir Juraregion, Fondation Rurale Interjurassienne (FRI)
Contenu.
04 Loisirs en Suisse 08 Interview : Annick Jeanmairet
Découvrir la Suisse 12 Activités au bord du lac
Focus Best of Switzerland
Chef de projet
Joan Martins
Responsable national
Pascal Buck
Rédactrice en chef Romandie & France
Laurane Saad
Responsable graphique
Mathias Manner
Graphiste
Marie Geyer
Journalistes
Laurane Saad, Océane Ilunga, Andrea Tarantini, Léa Stocky, Natacha Mbangila Image de couverture màd
Canal de distribution
Tribune de Genève et 24Heures
Imprimerie DZB Druckzentrum Bern
Smart Media Agency. Gerbergasse 5, 8001 Zürich, Schweiz Tel +41 44 258 86 00 info@smartmediaagency.ch redactionFR@smartmediaagency.ch focus.swiss
Bonne lecture !
Joan Martins Chef de projet
Yann Bouillonnec CEO, Gold Service
old Service accompagne les particuliers dans l’achat et la vente d’or avec expertise et transparence. Bijoux, pièces ou lingots, tout peut être évalué et transformé en liquidités immédiates. Présente dans neuf agences en Suisse, l’enseigne se distingue par son approche de confiance et son engagement dans le recyclage de l’or.
Un service d’expertise et de rachat en toute transparence Gold Service propose à ses clients une estimation gratuite de leurs bijoux, pièces ou lingots. « Nous analysons chaque pièce avec rigueur, en vérifiant son titrage et son authenticité, avant de faire une offre basée sur le cours du jour », explique Yann Bouillonnec, CEO de l’entreprise. Une fois la proposition acceptée, le paiement est immédiat, offrant ainsi aux clients un moyen simple et sécurisé de convertir leur or en pouvoir d’achat.
Une entreprise ancrée en Suisse et au service de ses clients Avec ses neuf agences en Suisse, dont sept en Suisse romande (Genève, Lausanne, Morges, Sion, Fribourg, La Chaux-de-Fonds et Delémont), Gold Service garantit un accueil physique et un accompagnement sur mesure. « Nous sommes un acteur de confiance, présent depuis des années avec des agences en dur où nos clients peuvent revenir à tout moment », souligne Yann Bouillonnec. Ce service de proximité renforce la transparence et la sérénité des transactions.
Un engagement fort pour le recyclage de l’or Tout l’or racheté par Gold Service est 100 % recyclé. Une fois acquis, les bijoux, pièces et lingots sont envoyés en fonderie en Suisse, où ils sont affinés pour être réutilisés dans la fabrication de nouveaux produits. « Recycler l’or, c’est éviter l’extraction minière, coûteuse et néfaste pour l’environnement », rappelle Yann Bouillonnec. En favorisant le recyclage, Gold Service contribue ainsi à une économie plus durable tout en offrant une seconde vie aux objets précieux.
Un marché porteur pour la vente et l’investissement Avec une hausse de près de 50 % du cours de l’or ces 18 derniers mois, vendre son or aujourd’hui est une opportunité intéressante. Gold Service accompagne également ceux qui souhaitent investir dans l’or en proposant à la vente des
lingots et des pièces d’investissement. « L’or reste une valeur refuge, particulièrement en période d’instabilité économique », précise le CEO.
Un partenaire de confiance pour les transactions en or Gold Service s’impose comme le partenaire incontournable pour acheter ou vendre de l’or en toute sécurité. Avec un service d’expertise gratuit, un réseau d’agences de proximité et un engagement fort dans le recyclage, l’entreprise met son savoir-faire au service de ses clients.
Texte Océane Ilunga
Pour connaître l’agence la plus proche et bénéficier d’une estimation gratuite, rendez-vous sur gold-service.ch
Envie d’escapades, de culture ou de détente ?
Que ce soit pour un week-end, en solo, en duo ou en famille, voici un aperçu des adresses incontournables à découvrir.
1. Grand Hotel Les Endroits
2. Martigny Boutique-Hôtel
Loisirs & Culture
3. Théâtre Benno Besson
4. Musée des Sciences de la Terre
5. Festival Archipel
6. Théâtre des Marionnettes de Genève
Brandreport • Moulins Souterrains du Col-des-Roches
Au XVIIe siècle, la partie ouest de la vallée du Locle est envahie par un vaste marécage. Le cours d’eau qui la traverse, le Bied, y coule lentement. À l’évidence, l’endroit ne se prête pas à l’installation d’un moulin. C’est pourquoi, en 1652, Daniel Renaud, Isaac Vuagneux et Balthazar Calame ont l’idée d’utiliser la dernière portion du cours du Bied, là où toutes ses eaux rassemblées s’engouffrent dans la grotte du Col-des-Roches, formant une chute de plusieurs mètres. Deux rouages y sont alors installés, actionnant un moulin et une rebatte.
7. Théâtre de l’Echandole
8. Moulins Souterrains du Col-des-Roches
9. Orchestre de la Suisse Romande
10. Le Muzoo
Destinations incontournables
11. Saint-Maurice Tourisme
12. Echallens-Tourisme
13. Veysonnaz Tourisme
14. Remontées Mécaniques Leysin
Les Mosses La Lécherette
La découverte d’un monde souterrain fascinant et unique en Europe.
En 1660, Jonas Sandoz, membre d’une famille puissante et fortunée, décide à son tour d’installer des moulins au Col-des-Roches. Persuasif et bénéficiant de l’influence de sa famille, il obtient gain de cause. Ses prédécesseurs doivent plier bagages.
Jonas Sandoz ne se contente pas des deux rouages déjà établis. La grotte est creusée afin d’y installer cinq roues hydrauliques, qui actionnent moulins, scierie, rebatte et huilière. Des canaux souterrains conduisent l’eau de rouage en rouage, tandis que des galeries et des escaliers permettent l’entretien de la machinerie.
Au XVIIIe siècle, une demi-douzaine de propriétaires se succèdent. Leur activité principale consiste à simplifier le mécanisme hydraulique. De cinq rouages, il n’en reste plus que quatre dans les premières décennies du siècle, puis trois dans les années 1780.
Les perfectionnements de l’ère industrielle atteignent les moulins grâce à l’ingéniosité de Jean-Georges Eberlé, boulanger loclois. Propriétaire du site dès 1844, il construit un vaste bâtiment comprenant moulins, nettoyage à blé, bluterie et monte-sacs. Dix ans plus tard, deux des roues hydrauliques sont remplacées par des turbines.
En 1884, la Municipalité du Locle rachète les moulins aux héritiers d’Eberlé. Elle convoite surtout la concession sur le cours d’eau, qui permet de le modifier pour assainir la vallée. En 1898, les moulins sont transformés en abattoir-frontière. Malheureusement, celui-ci utilise la grotte comme dépotoir pour les déchets carnés et les eaux usées. À sa fermeture, en 1966, l’emposieu du Col-des-Roches est gravement pollué.
En 1973, un groupe d’amateurs d’histoire et de spéléologie entreprend le nettoyage de la grotte et la restauration partielle des moulins. Grâce à leur travail, les Moulins souterrains ouvrent au public en 1987. Ils accueillent aujourd’hui quelque 20’000 visiteurs par année.
Plus d’informations sur www.lesmoulins.ch
Carrefour ferroviaire et routier entre les cantons de Vaud et du Valais, au pied de la Cime de l’Est et le long du Rhône, la petite commune ne manque pas de charme, particulièrement au printemps.
Àpartir du 1er avril 2025, Saint-Maurice sort de son sommeil hivernal et rouvre les portes de ses principales attractions touristiques. Grand vernissage commun, réouverture de la première grotte touristique de Suisse, abbaye forte de plus de 1500 ans d’histoire, énigme de Pâques pour les plus jeunes, nouvelle saison théâtrale au Martolet ainsi que de nombreux bons plans attendent ses visiteurs.
Ouverte au public au XIXe siècle, la célèbre Grotte aux fées – première grotte touristique suisse – est accessible tous les jours entre la mi-mars et la mi-novembre. Après une quinzaine de minutes de marche sur un sentier forestier (le long duquel il est possible de récolter librement de l’ail des ours), le visiteur chemine pendant quarante minutes dans la falaise qui surplombe Saint-Maurice pour découvrir une impressionnante cascade et un lac souterrain. Les enfants peuvent s’amuser à dénicher les fées qui se cachent dans le boyau de pierre, et les plus grands s’attabler sur la terrasse du belvédère, qui sert une cuisine faite maison et de saison, tout en dominant la plaine du Rhône.
En contrebas, l’abbaye de Saint-Maurice, témoin de plus de 1500 ans de prière ininterrompue, propose un parcours de visite mêlant trésor liturgique, vestiges archéologiques et expositions temporaires. Le lieu sera de nouveau accessible à compter du 1er avril et ce, jusqu’à la fin de l’année. 5 expositions à découvrir le 5 avril 2025 Le samedi 5 avril, les cinq principaux lieux d’exposition de la ville proposent un grand vernissage commun. « Astérix » prendra ses quartiers au château de Saint-Maurice, dans une rétrospective ludique et familiale inédite (la plus grande jamais conçue en Suisse). L’événement, organisé en présence de représentants politiques et des Éditions Albert René, fêtera un double anniversaire : celui des 65 ans du célèbre héros à moustaches et les 55 ans de l’album Astérix chez les Helvètes.
L’abbaye inaugurera ce même jour deux expositions : l’une autour des œuvres de l’artiste agaunois
Jean-Pierre Coutaz, l’autre mettant en valeur les tissus des châsses reliquaires de ses martyrs.
Côté galeries, l’espace ContreContre, la Fondation Ateliers d’Artiste et la galerie OBLIQUE mettront à l’honneur des artistes suisses romands pour lancer leur nouvelle saison d’expositions. La première proposera des installations de Léo Thiakos et des peintures de Serge Cantero pour interroger la conception de la démocratie en Europe ; les deux autres offriront des regards croisés entre art plastique et littérature, en faisant dialoguer les installations monumentales de Josette Taramarcaz avec les mots de Laure Coutaz, ou en dévoilant la correspondance entre les deux amis Jean-Claude Hesselbarth et Philippe Jaccottet. Ce vernissage commun se clôturera dans le quartier populaire du Glarier, lors d’un véritable banquet gaulois à base de sanglier à la broche et de cervoise.
Un jeu de piste pour les plus jeunes
Comme chaque printemps, à l’occasion des vacances scolaires, Saint-Maurice Tourisme propose une énigme de Pâques aux familles et aux enfants dès l’âge de 4 ans. Ce remue-méninges d’une heure et demie environ est gratuitement accessible à tous et en tout temps, puisqu’il
1 coupe de Prosecco offerte par personne Lors d’un séjour à l’hôtel
Offre valable jusqu’au 31.08.2025
Sur présentation de ce coupon
à partir de CHF 565.-
prend place dans les vitrines de certains commerces de la ville. Du 12 au 27 avril, les participants pourront tenter de résoudre l’énigme du lapin Gony, afin de dénicher son trésor et de remporter de nombreux prix.
Dix-huit nouveaux spectacles à l’affiche
Véritable institution des arts de la scène en Suisse romande, le théâtre du Martolet accueille jusqu’à 980 spectateurs par représentation, lors de saisons culturelles variées comprenant pièces de théâtre, seuls en scène et concerts. La saison 2025-2026 sera dévoilée le 17 avril prochain et les billets seront mis en vente dès le 1er mai, sur www.martolet.ch
Rabais exclusifs et bons plans
Les visiteurs qui dorment au moins une nuit dans les communes de Saint-Maurice, Lavey-Morcles ou Evionnaz peuvent bénéficier du Pass Agaune. Nominative et datée, cette carte leur permet de profiter de diverses offres auprès de commerçants et d’attractions touristiques de la région, pendant une année.
Pour ceux qui souhaitent découvrir la Grotte aux fées, le château et l’abbaye de Saint-Maurice, des billets combinés à tarifs préférentiels sont proposés.
Il suffit de se présenter au guichet de l’une de ces trois institutions et d’en faire la demande. Enfin, les amateurs d’anecdotes et d’histoire ne manqueront pas de télécharger l’application gratuite GuidiGO, sur laquelle ils trouveront divers parcours pour découvrir la commune sous un nouveau regard. Parmi les itinéraires (plus ou moins longs et sportifs), la « balade anecdotique et ludique », qui dure environ une heure, entraîne le visiteur à travers les âges pour redécouvrir la Grand-Rue, emblématique artère piétonne du vieux bourg de Saint-Maurice. Cette promenade, accessible à tous les niveaux, comprend un quiz interactif et la présentation des petits secrets de la ville, pour un moment de découvertes en plein air, smartphone à la main.
Quelle que soit la saison, il y a toujours de quoi faire dans la commune de Saint-Maurice. L’intégralité des événements ouverts au grand public est consultable dans l’agenda en ligne du site internet de l’office du tourisme, ainsi que sur les réseaux sociaux.
Saint-Maurice Tourisme
info@saint-maurice.ch
024 485 40 40 @saintmauricetourisme (Instagram et Facebook) www.saint-maurice.ch
à partir de CHF 879.-
1 nuitée pour 2 personnes
CHF 120.- bon d’hôtel à faire valoir au restaurant ou au spa by Cinq Mondes
Massage 25 minutes
Petit-déjeuner
Accès au Wellness & Spa de 1000 m²
Touristcard
1 nuitée pour 2 personnes Vol d’initiation au pilotage ou Vol découverte régional 30 min
Panier apéritif contenant une petite bouteille de Champagne 3,75 dl, snacks & chocolats Repas du soir 5 plats (hors boissons)
Petit-déjeuner
Accès au Wellness & Spa de 1000 m²
Touristcard
MOMENT SPA
CHF 120.par personne
Entrée Wellness
Rituel de massage ou soin du visage 25 MIN (sur réservation) Eau détox
960h ofmaths & IA
480h of business
16 real cases with com anies
6 cam uses
4 countries
Not just another school. 960h No in Geneva.
La Suisse se distingue depuis longtemps comme un leader mondial en matière d’innovation.
Pour la quatorzième année consécutive, le pays occupe la première place de l’Indice mondial de l’innovation 2024, surpassant des nations comme la Suède, les États-Unis, Singapour et le Royaume-Uni. Cette position enviable reflète un engagement constant envers l’excellence, l’adaptabilité et la créativité. La capacité à innover est aujourd’hui une nécessité pour répondre aux nouvelles attentes des consommateurs, aux avancées technologiques et aux dynamiques du marché global.
Dans le secteur de l’hospitalité et des services, cette culture de l’innovation est essentielle pour répondre aux attentes changeantes des clients et aux évolutions technologiques. Les professionnels doivent sans cesse se réinventer, adopter de nouveaux outils et développer des compétences transversales. L’École Hôtelière de Genève (EHG) s’engage à préparer la prochaine génération de talents à relever ces défis avec compétence et confiance, tout en restant fidèle à la dimension humaine et expérientielle du secteur.
L’Intelligence Artificielle au service de l’éducation
Reconnaissant le potentiel transformateur de l’intelligence artificielle (IA), l’EHG a introduit un « majordome digital » pour accompagner les étudiants dans leur parcours académique. Cette initiative vise à personnaliser l’apprentissage en offrant des parcours éducatifs adaptés aux besoins individuels, tout en renforçant l’esprit critique et les compétences en leadership. L’IA y est envisagée comme un outil facilitateur, mis au service des étudiants et des enseignants, garantissant une expérience éducative inclusive et sur mesure. Plutôt que de remplacer l’humain, elle devient un levier d’amélioration continue permettant d’affiner l’accompagnement, d’optimiser la gestion des ressources et d’offrir un service toujours plus personnalisé.
une palette de savoirs et de compétences applicables dans toute entreprise axée sur l’expérience client. À l’EHG, cette approche repose sur une formation structurée autour du Savoir (connaissances académiques et techniques), du Savoir-Être (aptitudes interpersonnelles et intelligence émotionnelle) et du Savoir-Faire (expérience pratique et compétences opérationnelles).
Des programmes de formation continue adaptés aux besoins de demain La rapidité des avancées technologiques et l’évolution des attentes des consommateurs exigent une adaptation constante des compétences. Selon le Rapport sur l’avenir de l’emploi 2023 du Forum économique mondial, en moyenne, 44 % des compétences d’un travailleur devront être mises à jour d’ici 2027. La montée en compétences devient donc une obligation pour les professionnels
exigences futures de l’industrie, tels que le management d’événements, l’excellence du service, la transformation digitale et gestion du changement, ainsi que la technologie et logistique événementielle. Ces formations visent à doter les professionnels d’outils concrets et adaptés aux réalités du terrain, leur permettant de renforcer leurs compétences, d’améliorer la qualité de service et d’intégrer les technologies au cœur de leurs activités. Conçus pour les professionnels en activité, ces certificats sont dispensés en ligne, en soirée, à raison de deux sessions par semaine sur une période de cinq semaines, garantissant ainsi une flexibilité optimale pour concilier formation et engagements professionnels. L’évolution des compétences n’est plus un choix mais une obligation pour rester pertinent et assurer sa progression professionnelle. La flexibilité et la capacité d’adaptation sont devenues des critères primordiaux dans le
recrutement, rendant la formation continue indispensable. L’actualisation des savoirs et la maîtrise des nouvelles technologies sont aujourd’hui au centre des stratégies des entreprises cherchant à maintenir leur compétitivité.
Dans un monde en constante évolution, l’innovation ne se limite pas aux nouvelles technologies : elle repose avant tout sur la capacité à anticiper, à s’adapter et à développer une approche résolument humaine du service. En conjuguant excellence académique et vision prospective, l’EHG continue de former les acteurs de l’hospitalité et de l’expérience client de demain, tout en gardant une approche qui place l’humain et la relation client au centre des priorités.
Une invitation à découvrir l’EHG
Pour découvrir l’école, rencontrer son corps professoral et en apprendre davantage sur les différents programmes, l’EHG organise sa prochaine journée portes ouvertes le 14 mai. L’occasion d’entrer dans l’univers de l’hospitalité et d’explorer les parcours académiques et professionnels qui s’offrent aux futurs étudiants. Plus d’informations sont disponibles sur le site de l’école ou via le QR code.
www.ehg.ch
EHL • Brandreport
Les étudiants intéressés par le Master’s in Hospitality Management de l’EHL Hospitality Business School pourront à présent, s’ils sont éligibles, bénéficier de subventions qui les aideront à financer leur formation. Zoom sur les modalités et les répercussions positives de cet accord entre l’HES-SO et l’EHL.
Dès la rentrée de septembre 2025, la Haute École spécialisée de Suisse occidentale accordera des subventions aux citoyens et résidents suisses éligibles qui souhaitent poursuivre leur cursus au sein du Master’s in Hospitality Management. Grâce à ce soutien, les frais de scolarité s’élèveront à 2100 CHF, contre 30500 CHF actuellement (hors frais annexes tels qu’infrastructure, services ou formules de restauration). L’éligibilité est déterminée par le canton concerné dans le cadre de l’accord intercantonal sur les Hautes Écoles Spécialisées (A-HES).
Cette aide financière ne fait que confirmer la mission de l’EHL qui est de fournir à ses étudiants des formations académiques de haut niveau, centrées sur l’humain et ouvertes sur le monde. En attirant de nouveaux talents, l’école donne la possibilité à un plus grand nombre de personnes de bénéficier d’un enseignement supérieur tourné vers l’excellence et l’innovation et de faire partie d’un réseau dynamique de futurs managers.
Un master de référence dans le domaine
Les subventions portent sur le Master’s in Hospitality Management, un cursus de référence dans le secteur de l’hospitalité, de l’accueil et des services, comptant une centaine de diplômés depuis son lancement en 2022. Tout en alliant expertise académique et immersion professionnelle, ce master a pour but de former la prochaine génération de professionnels capables d’innover et d’accompagner la transformation de ces secteurs.
Pendant 18 mois, les étudiants se forment aux problématiques d’un monde des affaires en perpétuelle évolution grâce à l’acquisition de compétences approfondies dans une multitude de domaines. Conçu comme une continuité naturelle du bachelor, ce master prépare les futurs leaders à relever les
défis stratégiques et opérationnels des entreprises de services et d’accueil. Pour ce faire, ceux-ci choisissent de se spécialiser au cours du deuxième semestre dans l’un des cinq domaines essentiels pour mener à bien la transformation de la société : Stratégie RSE et développement durable, Finance, Immobilier et conseil, Digitalisation centrée sur l’humain, Management de la restauration et des expériences gastronomiques, Gestion de l’expérience du luxe.
Le programme bénéficie également du soutien de partenaires de prestige, tels que Cartier, Moët Hennessy et METRO AG, offrant ainsi un accès privilégié aux meilleures pratiques du marché.
Bien plus qu’un diplôme en gestion hôtelière, ce master ouvre les portes d’un large éventail de carrières dans l’univers des services et permet aux étudiants d’en apprendre plus sur eux-mêmes, de leur donner confiance en leurs capacités professionnelles, mais aussi personnelles et de leur fournir les clés pour entrer sereinement dans le monde du travail. Ils identifient
leurs valeurs, leurs forces et leurs objectifs, ce qui leur permettra ensuite de s’épanouir dans leur futur métier.
Le master se déroulant à plein temps sur le site de l’EHL à Lausanne, les étudiants expérimentent la vie sur le campus, qui pousse tout un chacun à apprendre, à grandir et à se connecter aux autres au travers d’expériences partagées. Par ce cursus, l’EHL confirme donc son rôle d’école de vie qui, grâce aux subventions accordées par l’HES-SO, s’ouvre à plus de monde.
Des critères qui soutiennent les talents suisses
Pour pouvoir bénéficier de l’aide financière, il faut répondre à un certain nombre de critères définis par les autorités cantonales compétentes. Sont éligibles les étudiants suisses dont les parents vivent en Suisse, les ressortissants suisses vivant à l’étranger ou dont les parents vivent à l’étranger. Les réfugiés ou apatrides assignés à un canton suisse, ainsi que les résidents permanents ayant vécu et travaillé au moins deux ans dans un canton suisse, peuvent aussi en bénéficier. Les subventions concernent
également les étudiants étrangers résidant en Suisse, ceux dont les parents ou tuteurs vivent en Suisse, ou dont au moins un parent travaille à Genève avec un permis G. Le questionnaire déterminant l’octroi des subventions est envoyé aux étudiants un mois avant le début de l’année académique. *
Ces subventions ont pour but d’attirer les talents suisses et de les inciter à effectuer leur master au sein de l’EHL Hospitality Business School, les frais de scolarité constituant souvent un frein à la poursuite des études. Les subventions permettent donc aux Suisses et aux résidents du pays d’avoir accès à une formation de dimension internationale au prix des universités suisses.
*Les critères d’éligibilité sont présentés à titre indicatif. Le canton concerné détermine l’éligibilité conformément à l’accord intercantonal sur les Hautes
Spécialisées (A-HES). Texte Léa Stocky
Plus d’informations sur gs.ehl.edu/degree-programs/master-inhospitality-management
Annick Jeanmairet est une figure incontournable de la cuisine télévisée en Suisse romande. Présentatrice et productrice de Les saisons de Pique Assiette, une émission culinaire diffusée sur RTS1, elle incarne une approche accessible et engagée de la cuisine. Journaliste de formation, elle a progressivement allié son amour de la gastronomie à sa carrière médiatique. Dans cet entretien, elle revient sur son parcours, ses inspirations, sa philosophie culinaire et son engagement pour une alimentation consciente et responsable.
Interview Océane Ilunga Image màd
Annick Jeanmairet, vous dites souvent que votre principale force est votre faiblesse technique. Pourquoi ?
Parce que je ne suis pas une cheffe ! Mon niveau technique est proche du zéro, ce qui me permet de parler aux gens de manière simple et authentique. Quand j’invite des chefs, je suis là pour les recentrer : ils ont tellement de technique qu’ils ne voient pas ce qui est compliqué pour le grand public. Moi, je fais toujours une cuisine abordable. Je cherche des solutions simples et efficaces pour le quotidien, car on a tous besoin de bien manger, mais on n’a pas toujours le temps.
Pourquoi votre cuisine est-elle très tournée vers l’Italie ?
Contrairement à la cuisine française, qui repose beaucoup sur la technique, la cuisine italienne est centrée sur le produit. Les Italiens sont fiers de leurs ingrédients, même les plus modestes. On parle beaucoup du végétarisme aujourd’hui, mais l’Italie a toujours eu une cuisine incroyablement végétale, surtout dans le sud. Un plat de pâtes avec des légumes peut être un grand plat.
Vous avez une approche presque politique de l’alimentation. Pourquoi ?
Ce qu’on mange, c’est l’acte le plus intime et le plus important de notre quotidien. Pourtant, la part du budget consacrée à l’alimentation a drastiquement chuté ces dernières décennies. La nourriture est devenue si bon marché qu’elle n’a plus de valeur : on achète, on jette, on achète encore. Et dès qu’un produit de qualité coûte un peu plus cher, on trouve ça excessif… alors qu’on est prêt à mettre 1 200 francs dans un iPhone.
Concernant le gaspillage alimentaire, j’ai écrit un livre en 2016 : Sans chichi, sans gaspi. En Italie, par exemple, on ne jette rien. Avec les produits les plus simples, on peut faire des plats extraordinaires.
Comment faire pour mieux manger au quotidien ?
D’abord, il faut reprendre le contrôle. Beaucoup disent : « Je n’ai pas le temps ». Mais combien de temps passent-ils sur Instagram ? Il faut faire de la cuisine une priorité. Ensuite, il faut revenir à des aliments bruts, simples. Un bon pain, un bon fromage, des œufs, des légumes de saison : pas besoin de plats compliqués pour bien manger.
Quels conseils donneriez-vous à quelqu’un qui débute en cuisine ?
Ne pas se laisser impressionner ! Il faut commencer petit, avec des recettes simples. Et puis, aujourd’hui, il y a énormément de ressources : Instagram, YouTube… On peut toujours trouver de l’inspiration et des idées accessibles.
Il faut arrêter d’opposer « sain » et « gourmand ». Moi, je fais une cuisine gourmande, digeste et équilibrée. J’adore la crème double, je l’utilise au lieu du beurre parce que le gras, c’est la vie, et il fixe le goût.
Vous insistez sur l’importance de suivre les saisons pour une alimentation plus naturelle et savoureuse. Quels produits privilégier en cette période de fin mars - début avril ?
Le printemps marque le retour des légumes primeurs et des produits plus frais après l’hiver. En ce moment, on trouve de magnifiques asperges, des radis croquants, des épinards jeunes et tendres, ainsi que des herbes aromatiques comme l’ail des ours. Côté fruits, les premières fraises commencent à apparaître, bien que ce soit encore le tout début. On peut aussi profiter des derniers agrumes, notamment les pomelos. Manger de saison, c’est aussi une manière de se reconnecter aux cycles naturels et de bénéficier d’aliments à leur pleine valeur nutritive et gustative.
Vous mentionnez l’engouement pour la cueillette sauvage et le retour à la nature en cuisine. Pensez-vous que ce soit accessible à tout le monde ?
Absolument ! Il n’y a pas besoin d’être un expert pour débuter. Il suffit de commencer par des plantes faciles à reconnaître, comme l’ail des ours, les orties ou encore le pissenlit, qui sont délicieux en salade ou en soupe. Cela permet de redécouvrir des saveurs oubliées et de se reconnecter à son environnement. Bien sûr, il faut toujours être prudent et bien identifier ce que l’on cueille, mais avec un peu d’apprentissage
On a tous besoin
de
bien manger,
mais on n’a pas toujours le temps.
– Annick Jeanmairet, Présentatrice et productrice de Les saisons de Pique Assiette
ou en participant à des sorties encadrées, cela devient un véritable plaisir. C’est aussi une belle manière d’adopter une alimentation locale et durable, tout en passant du temps en pleine nature.
On observe aussi un intérêt croissant pour la fermentation et les méthodes de conservation artisanales. Comment expliquez-vous ce retour aux techniques ancestrales ?
C’est une tendance qui répond à plusieurs besoins. D’une part, il y a une quête de naturalité et de bienfaits pour la santé : les aliments fermentés, comme le kimchi, la choucroute ou le kéfir, regorgent de probiotiques bénéfiques pour notre microbiote intestinal. D’autre part, ces méthodes permettent de conserver les aliments plus longtemps sans additifs et de limiter le gaspillage. Enfin, il y a un aspect ludique et gratifiant : fabriquer son propre levain ou sa propre kombucha, c’est aussi retrouver un savoir-faire, une certaine autonomie.
Quel est votre mantra ?
Le poète Rimbaud disait : Noël sur terre tous les jours alors moi si j’avais un mantra, ce serait : Noël dans l’assiette, tous les jours. Ce n’est pas une question de manger un plat de fête quotidiennement, mais plutôt de s’assurer que chaque repas soit un vrai plaisir. Pour moi, le luxe, ce n’est pas de déguster une truffe de temps en temps, c’est d’avoir chaque jour un plat qui me fait du bien.
Mes conseils pour mieux s’organiser en cuisine et éviter le gaspillage :
– Planifier ses courses : Faites une liste en fonction de ce que vous avez déjà dans votre frigo et vos placards. Achetez ce dont vous avez besoin et évitez les achats impulsifs, surtout quand vous avez faim.
– Attention aux promotions : Privilégiez les promos sur les produits non périssables (papier toilette, pâtes…) mais méfiez-vous des lots de viande hachée ou autres denrées périssables.
– Organiser ses placards et son frigo : Placez les produits à consommer en priorité devant, et vérifiez régulièrement les dates de péremption.
– Valoriser les restes : Faire des bouillons avec les fanes, cuisiner les restes de légumes en soupe ou en quiche… Mais attention, tout ne se mélange pas forcément bien !
– Composter : Une excellente manière de valoriser les déchets organiques. En ville, des solutions comme KLODE, une poubelle compost intelligente sans odeurs ni moucherons, facilitent le compostage en appartement. Elle sera présentée le 5 avril dans l’émission.
Risotto à l’ail des ours
Pour 4 personnes :
– 50 g d’ail des ours
– 320 g de riz à risotto*
– 30 g de pignons
– 1 oignon
– 1 dl de vin blanc sec
– 60 g de Sbrinz fraîchement râpé
– 1.2 litres de bouillon de légumes (maison si possible)
– Huile d’olive
– Fleur de sel
*nous recommandons la variété LOTO, produite en Suisse romande dans le Vully fribourgeois : www.rizduvully.ch
– Nettoyer, essorer et éponger les feuilles d’ail des ours. Les ciseler grossièrement.
– Dorer légèrement les pignons dans une poêle anti adhésive (sans graisse).
– Tapisser le fond du bol du mixer avec une fine couche d’huile d’olive, ajouter une pincée de fleur de sel, la moitié de l’ail des ours, les pignons, puis terminer avec le reste d’ail des ours et un filet d’huile d’olive.
– Mixer jusqu’à consistance de pommade en ajoutant de l’huile si nécessaire (mais attention, le but n’est pas de noyer l’ail des ours dans l’huile, mais d’obtenir une pâte épaisse).
– Mettre dans un bocal et réserver au frigo.
– Éplucher et hacher l’oignon. Réchauffer le bouillon de légumes.
– Faire suer l’oignon à feu doux dans 3 cs d’huile d’olive pendant 5 minutes. Ajouter le riz et bien le remuer durant 2 à 3 minutes, jusqu’à ce qu’il soit nacré et translucide.
– Verser le vin blanc. Le laisser s’évaporer, puis recouvrir le riz avec quelques louches de bouillon bouillant. Lorsque le riz a absorbé tout le bouillon, ajouter à nouveau du bouillon, louche par louche, jusqu’à ce que le risotto soit cuit (environ 20 minutes).
– Ajouter alors le sbrinz et 4 cs de pâte d’ail des ours ; remuer vigoureusement pour bien lier le fromage à l’amidon du riz et rendre le risotto crémeux (en italien, on appelle cette opération la mantecatura).
– Répartir le risotto dans des assiettes plates et déguster sans attendre.
S’il reste de la pâte d’ail des ours, on peut… L’incorporer dans des œufs brouillés ; la mélanger avec du fromage blanc et en garnir des pommes de terre cuites en robe des champs ; la mélanger à de la ricotta et du parmesan pour en faire une farce à ravioli ; la tartiner sur du poisson en vue de délicieuses paupiettes, ou encore l’utiliser comme du pesto dans des pâtes (dans ce cas, ajouter du parmesan ou du sbrinz râpé).
Pourquoi ne pas redécouvrir la Suisse cet été ? Notre petit pays offre de splendides paysages et un vaste panel d’activités et d’escapades. Mais que peut-on visiter en quatre jours ? Voici quelques conseils de destinations regroupées par régions.
Genève, Riviera vaudoise et Valais
Jour 1 – Genève
Ville internationale située entre le lac Léman et les montagnes, Genève offre un cadre charmant et étonnamment naturel. À ne pas manquer : la Cathédrale Saint-Pierre, le parc des Bastions, la place du Bourg-de-Four, le jardin anglais, l’horloge fleurie et le jet d’eau.
Jour 2 – Lausanne
Lausanne, la « perle du Léman », séduit par sa situation idéale entre les montagnes, les vignobles et le lac Léman. Ce qui plaît : la Cité, la Cathédrale gothique, les escaliers du Marché, la Balade des panoramas et ses musées à renommée internationale.
et Grisons
Jour 1 – Zürich
Ville cosmopolite au bord de l’eau et cœur de l’économie suisse, Zürich plaît pour sa créativité, sa culture internationale et ses espaces verts. On aime : la vieille ville, la Bahnhofstrasse, la Kunsthaus, le Musée national, celui de la FIFA, le lac, le Zoo et la Üetliberg.
Jour 2 – Parc Naturel Beverin
S’étendant sur une surface supérieure à 400 km carrés des chutes du Rhin à Rheinwald, le Parc Naturel Bevein réunit différentes zones historiques, culturelles et linguistiques de la Suisse. Quelques « highlights » : Gorges de la Roffia, Chemin des légendes et Via Capricorn.
Jour 3 – Montreux
Sa situation idéale et son microclimat aux airs méditerranéennes font de Montreux un paysage de carte postale. Pourquoi s’y rendre ? Pour le Manoir de Chaplin, les tours en bateau, le château de Chillon et le Convoi Belle Époque sur la ligne du GoldenPass.
Jour 4 – Sion, Martigny et alentours
Avec ses paysages variés, son doux climat et son patrimoine culturel, le Valais est une des plus belles régions de Suisse. À visiter : châteaux de Sion, Val D’Hérens, pyramides d’Euseigne, Lac de Derborence, Fondation Gianadda, Barryland et lac souterrain de St-Léonard.
Jour 3 – Davos et Col de Flüela
En tant que plus grand centre de vacances actives en Suisse, Davos offre un très vaste panel d’activités. Suggestions: Musée Kirchner, Bike Trail en famille, Madrisa Land-Klosters, Parc aventure Davos Färich, Gorges de Zügen et, plus loin, la vue depuis le Col de la Flüela.
Jour 4 – St-Moritz
Véritable centre de tourisme hivernal, St-Moritz plaît aussi en été pour ses randonnées et son large choix de sports. Ses points forts: Bernina et Palm Express, Muottas Muragl, Musée Segantini et Piz Nair.
Berne et son Oberland
Jour 1 – Berne
L’histoire et l’architecture de la capitale suisse enchantent les visiteurs. Exceptionnel : vieille ville médiévale, cathédrale, jardin botanique, roseraie, parc zoologique Dählhölzli, BärenPark, Centre Paul Klee, Maison Albert Einstein, ses beaux musées et le Palais Fédéral.
Jour 2 – Thoune
Située au bord du lac, Thoune est une ville charmante avec de belles façades colorées. Les incontournables : château du XIIème siècle et Salle des Chevaliers, Château de Schadau, vieille ville, sommet du Stockhorn et tour en bateau.
Jour 1 – Lucerne
Située au bord du lac des Quatre-Cantons et soulignant la diversité qu’offre la Suisse, Lucerne est la destination touristique idéale. À voir : Pont de la Chapelle, Musée des transports, Muraille de Musegg, Monument du Lion, Jardin des Glaciers, labyrinthe « Alhambra » et le Rigi.
Jour 2 – Région Saint-Gothard
En hiver comme en été, la région du Gothard offre un grand nombre d’activités. Par exemple, que l’on voyage en moto, en voiture ou en vélo, on ne peut pas manquer la Route « Tremola », la plus longue de Suisse, et la vue depuis le photo-spot du Grand Tour of Switzerland.
Jour 3 – Interlaken et Grindelwald
Entre le lac de Thoune et le celui de Brienz, se niche Interlaken, lieu de vacances paisible. Pas loin, Grindelwald séduit les amateurs de randonnée par sa vallée et ses sommets. Inratable : Jungfraubahn, Schilthorn, Grottes de Saint-Béat, Grindelwald First et Eiger Trail.
Jour 4 – Gstaad
La ville de Gstaad attrait différents types de vacanciers, des célébrités aux familles avec enfants. Pourquoi la découvrir ? Le GoldenPass Panoramic, le Lac de Lauenen, le Höhi Wispile, le Glacier 3000.
Jour 3 – Bellinzona et Locarno Villes au climat le plus doux de Suisse, Bellinzona et Locarno sont aussi le point de départ idéal pour de nombreuses excursions. Les « best of » : châteaux de Bellinzona, Villa dei Cedri et Teatro Sociale, puis Piazza Grande, Lido, Madonna del Sasso, Cardada Cimetta et Val Verzasca.
Jour 4 – Lugano Lugano est la ville verte par excellence. Ses parcs et ses jardins fleuris sont en effet en parfaite harmonie avec ses édifices et ses belles villas. Visites tendance : Cathédrale San Lorenzo, Musée Hermann Hesse, Lugano Arte e Cultura, Parco Ciani, Monte Brè et San Salvatore.
Brandreport • Festival Archipel
1 2 3 4
1 2 3 4
Du 4 au 13 avril, le festival Archipel transforme la Maison communale de Plainpalais en laboratoire sonore où se mêlent musique contemporaine et expérimentale, en faisant la part belle à la recherche et à l’art sonore. Concerts, performances, installations sonores interactives, explorations sensorielles et rencontres composent le programme de cette trente-troisième édition.
ÀGenève, l’arrivée du printemps résonne au rythme d’Archipel. Dix jours durant, la Maison communale de Plainpalais devient l’écrin d’une immersion musicale, mêlant concerts, performances, installations et rencontres.
Pensée pour favoriser une immersion totale, la scénographie crée des conditions d’écoute confortables, que l’on soit passionné·e, curieux·se ou simplement en quête d’une nouvelle expérience musicale.
Le festival propose aussi des espaces dédiés : un salon d’écoute équipé d’un acousmonium – dispositif immersif de haut-parleurs –, des moments de « partage d’écoutes » autour des playlists d’artistes invité·es, ainsi qu’une salle de jeux conçue pour les plus jeunes, avec concerts adaptés et installations interactives. Une librairie, un RadioZine retraçant le fil des journées, une cantine et un bar complètent ce cadre convivial.
Cette édition explore les liens entre héritage et invention : orgue modulaire, harpe galloise réinventée, santour
iranien ou objets du quotidien détournés. Les artistes naviguent entre traditions, matériaux bruts et technologies low-tech pour façonner de nouveaux paysages sonores.
L’écoute se décline ici comme un geste à la fois intime et politique, à travers des compositions nourries de souffle, d’enregistrements de terrain ou de sons urbains.
Plus de 80 artistes, venus de 27 pays, présentent 121 œuvres, 13 ensembles, 10 installations sonores, des rencontres, des ateliers et même des massages sonores. Entre effervescence et douceur, Archipel crée un lieu de partage et d’échange, un moment suspendu de joie dans l’infini sonore.
Festival Archipel Du 4 au 13 avril 2025
Maison communale de Plainpalais Genève
Programme complet et billetterie : www.archipel.org
C’est l’histoire d’une famille en quête d’évasion estivale, désireuse de combiner détente, aventure et moments inoubliables. Leur choix se porte sur Veysonnaz, un charmant village niché au cœur des Alpes valaisannes, réputé pour ses paysages à couper le souffle et ses activités variées. Ici, les traditions montagnardes se mêlent harmonieusement à un large éventail d’expériences en plein air, offrant aux visiteurs un cadre idyllique pour se ressourcer. Que ce soit pour les amoureux de la nature ou les amateurs de sensations fortes, Veysonnaz propose une multitude d’activités adaptées à toutes les envies. Séduits par le caractère cosy et authentique de l’hôtel, la famille Müller opte pour le Chalet Royal, alliant charme alpin et confort moderne.
Jour 1 : Arrivée et installation au Chalet Royal Après un trajet pittoresque d’environ une heure depuis Lausanne, les Müller arrivent au Chalet Royal. Accueillis chaleureusement, ils découvrent leur chambre avec balcon offrant une vue imprenable sur la vallée du Rhône. Situé à seulement deux minutes des remontées mécaniques et à 5 minutes des principaux commerces, l’hôtel offre une vue panoramique sur la vallée du Rhône et les sommets environnants. Leur chambre spacieuse et lumineuse, dotée d’un balcon privé, leur permet d’admirer ce paysage grandiose dès leur arrivée.
Jour 2 : Randonnée le long du bisse de Vex Le lendemain, les Müller profitent de la Navette des Bisses qui relie Veysonnaz à Nendaz pour rejoindre les sentiers emblématiques de la région. Promenades idéales pour tous les niveaux, les bisses sont historiquement des canaux d’irrigation à la pente très faible permettant d’acheminer l’eau des torrents, des fonds de vallée vers les villages des coteaux environnants afin d’arroser les cultures. Ces itinéraires vénérables serpentent à travers alpages et forêts, offrant une immersion totale dans la nature. Cette journée de randonnée le long des bisses Vieux et de Vex, mêlant histoire et nature, leur permet d’apprécier pleinement l’authenticité et la sérénité des paysages alpins. En soirée, ils se rendent au restaurant Le Magrappé, où ils savourent une cuisine traditionnelle valaisanne dans un cadre chaleureux et convivial.
Dès avril 2025, la région du Gros-de-Vaud franchit un cap dans sa promotion du tourisme durable avec un tout nouveau service de location d’e-bikes. Pensé pour répondre à l’engouement croissant du public pour les balades à vélo, ce projet invite habitants et visiteurs à découvrir le territoire autrement, en alliant mobilité douce et plaisir des paysages. Géraldine Regamey, directrice d’Echallens Région Tourisme, nous en dit plus sur cette initiative prometteuse. Une réponse à une demande croissante Ces dernières années, l’engouement pour le vélo électrique n’a cessé de croître, et le tourisme régional n’échappe pas à la tendance. « On reçoit régulièrement des demandes de visiteurs qui veulent explorer la région à vélo, mais qui n’ont pas forcément leur propre matériel ou qui hésitent face aux dénivelés. Avec ce service, on leur offre une solution clé en main », souligne Géraldine Regamey. En plus d’apporter une réponse aux attentes du public, ce projet s’aligne avec les objectifs du canton en matière de mobilité douce. « L’idée n’est pas seulement de proposer une activité touristique, mais aussi de sensibiliser les gens à d’autres façons de se déplacer pour leurs loisirs », ajoute-t-elle.
Des parcours adaptés à tous les niveaux
Afin d’optimiser l’expérience des cyclistes, Echallens Région Tourisme a collaboré avec le Vélo Club Échallens pour concevoir des itinéraires adaptés. Au total, sept boucles ont été définies, allant de circuits courts et accessibles à des parcours plus sportifs pour les amateurs de sensations.
« On a essayé de proposer des itinéraires variés, avec des arrêts intéressants en cours de route. Par exemple, certains passent par des points de vente directe, d’autres par des sites historiques ou des points de vue panoramiques », détaille Géraldine Régamey. Pour aider les utilisateurs à s’orienter, les parcours seront disponibles sur l’application Komoot et une carte imprimée sera mise à disposition à l’Office du tourisme courant avril.
Une expérience enrichie par des pauses gourmandes
Au-delà de l’aspect sportif, l’initiative mise aussi sur l’expérience sensorielle et gastronomique.
« On encourage les cyclistes à prendre leur temps et à s’arrêter chez nos partenaires locaux, que ce soit pour un café, une dégustation de fromages ou un repas au restaurant », précise la directrice d’Echallens Région Tourisme.
Parmi les adresses recommandées, on retrouve des établissements comme la Boulangerie Bezençon à Goumoëns-la-Ville, réputée pour ses pains et son levain artisanal, ou encore le restaurant du Château de Saint-Barthélemy, idéal pour une pause gourmande. « On veut vraiment créer des circuits qui allient nature, culture et plaisir », insiste-t-elle.
Jour 3 : VTT et détente au spa Avides d’aventure et d’adrénaline, Alice, David et leurs enfants louent des VTT électriques et explorent les nombreux itinéraires balisés de la région. Les pistes variées conviennent à tous les niveaux, offrant des descentes palpitantes et des montées assistées pour profiter pleinement du paysage sans trop d’effort. De retour à l’hôtel, une séance de relaxation les attend au spa du Chalet Royal, équipé d’un sauna, d’un hammam et d’un jacuzzi extérieur avec vue sur les Alpes. Quel plaisir de relâcher ses muscles en toute sérénité, dans un panorama grandiose !
Jour 4 : Initiation au yoga en plein air et découverte du disc-golf Au matin, bien reposée, la famille Müller emprunte le sentier yoga, un parcours unique en pleine nature, ponctué de postes en bois. Les quatre éléments sont représentés, combinant postures de yoga et exercices de relaxation. Entre forêts et prairies alpines, cette marche méditative leur permet de se recentrer et de profiter pleinement du cadre enchanteur de Veysonnaz. L’après-midi, ils s’affrontent lors d’une partie de tennis sur l’un des courts en plein air du village, un moment convivial et dynamique. Puis ils prennent de la hauteur grâce à la télécabine et s’initient au disc-golf, une activité ludique mêlant précision et amusement sur le plateau de Thyon.
Jour 5 : Rencontre fromagère et soirée gastronomique
En milieu de matinée, les Müller participent à l’animation « Fais ta tomme » à la ferme de la Vernettaz, une expérience immersive où ils découvrent les secrets de la fabrication du fromage. Guidés par une fromagère passionnée, ils mettent la main à la pâte pour créer leur propre tomme, un souvenir gourmand à ramener chez eux. La journée se termine par une soirée gastronomique au restaurant Le Convivial du Chalet Royal. Le chef Rosario Coralluzzo propose une cuisine raffinée, mettant en avant les produits locaux et les saveurs du terroir, le tout dans une ambiance chaleureuse avec cette vue inégalée sur les cimes valaisannes.
Jour 6 : Départ avec des souvenirs impérissables
Le séjour touche à sa fin, Alice, David et leurs enfants repartent avec des souvenirs inoubliables, des paysages majestueux, des activités variées et l’accueil chaleureux du Chalet Royal. Veysonnaz a su combler leurs attentes, offrant un équilibre parfait entre aventure, détente et découverte culturelle.
En choisissant Veysonnaz et le Chalet Royal pour vos vacances d’été, vous optez pour une expérience authentique au cœur des Alpes valaisannes, où chaque jour apporte son lot de découvertes et d’émotions. Une escapade à vivre pleinement, où chaque instant se transforme en souvenir impérissable.
*noms et prénoms fictifs
Veysonnaz Tourisme Route de Magrappé 42 1993 Veysonnaz +41 27 207 10 53 info@veysonnaz.ch www.veysonnaz.ch
Hôtel Chalet Royal Route de Magrappé 49 1993 Veysonnaz +41 27 208 56 44 reservations@chaletroyal-magrappe.ch www.chaletroyal.ch
Hôtel Magrappé Route de Magrappé 38 1993 Veysonnaz +41 27 208 57 00 reservations@chaletroyal-magrappe.ch www.hotelmagrappe.ch
Echallens Région Tourisme • Brandreport
Tarif : 65 CHF la journée – Options supplémentaires : Casque (5 CHF) – Réservations : En ligne via le site de l’Office du tourisme ou sur place avec le QR code echallens-tourisme.ch À
Un service pratique et accessible
La réservation des e-bikes se fait en ligne via le site de l’Office du tourisme d’Échallens. Sur place, un QR code permet également d’accéder rapidement à la plateforme de réservation. Chaque location inclut un vélo électrique (25km/h) de qualité, avec la possibilité de louer en supplément un casque pour 5 francs.
« Nous avons volontairement fixé un tarif accessible, à 65 francs la journée, afin d’attirer un large public », explique Géraldine Regamey. Le service sera disponible du mardi au dimanche, de 9h à 16h30, d’avril à fin octobre. À la fin de chaque journée, les vélos doivent être retournés à l’Office du tourisme.
Un projet pilote à observer de près Si le projet rencontre le succès escompté, il pourrait bien être élargi à l’avenir. « Pour cette première saison, on va voir comment le service est accueilli. Si la demande est forte, on envisagera d’augmenter le nombre de vélos et d’étendre la durée de location », confie Madame Regamey.
L’Association régionale du Gros-de-Vaud espère aussi que cette initiative inspirera d’autres communes à investir dans des solutions de mobilité douce. « On a un territoire magnifique, qui se prête parfaitement à ce type d’expérience. Si cela peut encourager d’autres villages à proposer des offres similaires, ce serait une vraie victoire », conclut-elle.
En attendant, il ne reste plus qu’à enfourcher un e-bike et partir à la découverte des merveilles du Gros-de-Vaud, le vent dans le dos et sans souci du dénivelé.
– Point de location : Office du tourisme d’Échallens – Période : D’avril à fin octobre
– Horaires : Du mardi au dimanche, de 9h à 16h30
Cet été, pourquoi se précipiter en bord de mer ? Avec ses quelque 1500 lacs, la Suisse offre un océan de possibilités aquatiques, épiques et ludiques !
« Oh les pauvres petits Suisses ! », qu’ils disent, « Regardez-les, contraints de traverser monts et vaux chaque été pour profiter de la mer ». Il faut pardonner la condescendance des voisins, car sous le soleil estival, le bleu émeraude des lacs helvétiques n’a rien à envier aux plages inondées de touristes rougeoyants, là-bas, au-delà des frontières. Qu’il soit sportif, familial ou encore romantique, le plaisir lacustre se décline à l’infini, été après été, pour la joie des vacanciers. Des eaux turquoises du lac de Cauma niché dans les Grisons jusqu’aux rives du grandiose Léman – le plus grand lac d’Europe – les Helvètes ont toujours su tirer le meilleur des activités à la surface, à l’intérieur et au bord du lac !
La croisière s’amuse
Pour commencer, cap sur les loisirs nautiques à la surface de l’eau. Les options sont variées et chacun y trouvera son compte, que l’on soit un parfait débutant ou un réfractaire sceptique. Par exemple, les vents constants et réguliers en Suisse font de ce pays un terrain de jeu idéal pour s’initier à la planche à voile ou au kitesurf. Le lac de Zurich et le lac de Constance, entre autres, sont réputés pour offrir des conditions optimales aux sports à voile, en plus des formidables paysages alpins qui subliment l’expérience.
Si l’on compte un ou plusieurs bout-en-train comiques dans son groupe d’amis, les planches de Stand Up Paddle (SUP) s’avèrent idéales pour un après-midi sur le lac. Cette activité facile d’accès aux novices et aux enfants (car peu risquée et fort amusante) se pratique debout sur la planche SUP et muni d’une pagaie. Ainsi paré, on parcourt un circuit aquatique aux côtés des camarades, préférablement sur des eaux calmes telles que celles du lac de Sempach dans
le canton de Lucerne, par exemple. L’équipement requis se trouve aisément dans l’un ou l’autre des points de location, tout comme pour le matériel de kayak ou d’aviron. Bien que ces sports se pratiquent en position assise, le pagayage demande une bonne dose d’énergie ainsi qu’une initiation encadrée par un moniteur. Finalement, en croisière de rêve sur le lac Léman ou dans un élégant yacht panoramique loué au bord du lac des Quatre-Cantons, les créatures délicates qui ne veulent pas trop se mouiller trouveront, elles aussi, leur plaisir à la surface de l’eau.
Comme des poissons dans l’eau Au mois de juin, lorsque le mercure monte, un plongeon dans les divertissements rafraîchissants s’impose ! C’est l’occasion d’explorer les mystères et merveilles du monde subaquatique, en s’essayant à la plongée sous-marine dans les lacs helvétiques. Pendant la balade sous-marine, la faune et la flore indigènes se laissent observer : à quoi ressemble un brochet ou une perche, lorsqu’ils ne sont pas accompagnés de pommes de terre frites ? C’est l’occasion de le découvrir. Les fines bouches qui déplorent l’absence de dauphins et autres poissons clowns dans les eaux douces de Suisse pourraient être agréablement surprises par des sirènes, ou même une famille de kangourous ! Ce sont là quelques-unes des sculptures installées sous l’eau, dans la « gouille » du Duzillet à St-Triphon (Vaud). De quoi donner à la plongée un caractère délicieusement insolite! Pour un baptême de plongée dans le lac, les villes de Bienne, Neuchâtel, Lausanne ou encore Genève accueillent les futurs plongeurs certifiés dans les écoles et clubs spécialisés.
Le contexte aquatique étant ludique en soi, on ne requiert pas de matériel pour passer des instants hautement divertissants. Dans l’eau, une simple course,
une partie de cache-cache ou encore le jeu du cercle avec un ballon feront le plaisir des petits et grands enfants. Et quand tombe la nuit, que les plages se désertent et que la lune estivale fait scintiller l’écume des vagues, les moins frileux iront s’offrir un bain de minuit. Utile, la plateforme Lake Lindt One permet de consulter la température du Léman à toute heure et à partir de 47 plages, de Coppet jusqu’au Bouveret.
Au bord du lac
Pour les jours d’été où l’on désire rester au sec, il est tout à fait possible de profiter des plaisirs du lac sans avoir à se jeter à l’eau. En VTT ou à pied, une myriade de randonnées proposent un itinéraire près du lac, avec une vue imprenable pour faire le plein de magnifiques souvenirs de vacances. Entre autres parcours qui tiennent leur promesse de paysage à couper le souffle, on compte la randonnée balisée menant au lac bleu d’Arolla. Ses eaux cristallines valent le détour dans le val d’Hérens, au cœur du Valais. Pour varier les plaisirs dans le même canton, le lac des Autannes situé en haute montagne est connu pour son caractère serein et approprié aux cours d’initiation à la pêche qui s’y déroulent. Indémodable, le piquenique gourmand au bord du lac s’avère toujours une bonne idée. Histoire de stimuler l’appétit, une virée jusqu’au lac de Palpuogna dans les Grisons garantit un décor idyllique pendant le repas : en effet, cette région paradisiaque a été couronnée « plus beau coin de Suisse » par un sondage télévisé de la SRF.
Ainsi, au terme d’un nouvel été rempli de réjouissances lacustres, les vacanciers restés en Suisse pourront fièrement déclarer : « Des vacances à la mer? Même pas nécessaire ! »
Texte Natacha Mbangila
Terreau suisse
es dépôts de calcaire dans les tuyaux et les appareils ménagers sont un problème répandu, qui réduit la durée de vie des appareils et augmente les coûts énergétiques. En Suisse, la société Tratson a développé une solution révolutionnaire : une technologie unique de protection contre le calcaire, qui élimine les dépôts tout en conservant les minéraux essentiels dans l’eau potable. Cette technologie offre des avantages pour la santé, tout en respectant l’environnement et en réduisant les coûts. Cet article examine les bénéfices de cette innovation et la compare aux solutions traditionnelles de détartrage.
Le défi des dépôts de calcaire dans les tuyaux et les appareils ménagers Le calcaire est un problème courant en Suisse et dans de nombreux autres pays. Les dépôts sur les éléments chauffants, les robinets et les appareils ménagers entraînent une baisse de performance, une augmentation de la consommation d’énergie et une réduction de la durée de vie des appareils électroménagers, tels que le lave-vaisselle ou la machine à laver. Cela conduit souvent à des réparations coûteuses ou au remplacement prématuré des équipements.
De plus, les systèmes de chauffage entartrés consomment davantage d’énergie. Une fine couche de calcaire sur les éléments chauffants du chauffe-eau peut considérablement accroître la consommation énergétique et nuire à l’efficacité globale.
Solutions traditionnelles et leurs inconvénients
Jusqu’à récemment, les systèmes d’adoucissement à base de sel étaient présentés comme la seule solution contre le calcaire. Ces dispositifs échangent les ions de calcium et de magnésium présents dans l’eau contre des ions de sodium. Cependant, cette méthode présente plusieurs inconvénients. L’augmentation du sodium dans l’eau peut poser des problèmes de santé, notamment pour les personnes souffrant d’hypertension artérielle ou de troubles rénaux.
Dans
un contexte où la durabilité et la protection de l’environnement sont de plus en plus importantes, la technologie Tratson se distingue comme une solution écologique.
En outre, ces systèmes nécessitent un entretien régulier et des recharges de sel. Ce processus génère des déchets, comme les sacs de sel vides, et augmente la consommation d’eau. Dans certains pays, tels que les États-Unis, ces dispositifs ont même été interdits en raison de leur impact environnemental négatif.
La solution : des appareils de protection contre le calcaire basés sur des champs électromagnétiques
Tratson a mis au point une solution innovante utilisant des champs électromagnétiques pour empêcher le calcaire de se déposer dans les tuyaux et les appareils ménagers, tout en conservant les minéraux essentiels, tels que le calcium et le magnésium, dans l’eau.
Le calcium est particulièrement important pour l’organisme, contribuant à la solidité des os et des dents ainsi qu’au bon fonctionnement du système nerveux. Le maintien de ces minéraux dans l’eau réduit les risques de maladies telles que l’ostéoporose et l’hypertension. L’un des grands avantages de cette technologie est qu’elle est totalement sans entretien. Contrairement aux adoucisseurs traditionnels, elle ne nécessite ni sel, ni produits chimiques, ni eau supplémentaire. L’eau conserve sa composition naturelle et son goût n’est pas altéré.
Validation scientifique et avantages à long terme L’efficacité de la technologie Tratson a été scientifiquement prouvée par une thèse soumise à
la prestigieuse EPFZ et documentée par l’Office fédéral de l’environnement, des forêts et du paysage (OFEFP), désormais appelé OFEV. Ces études confirment que les champs électromagnétiques réduisent efficacement les dépôts de calcaire sans nuire à la santé ni à l’environnement.
En outre, les appareils Tratson sont durables, silencieux, faciles à installer et ne nécessitent ni stocks de sel ni bacs encombrants, à la différence des systèmes traditionnels.
Les clients ayant installé un dispositif de protection Tratson rapportent une amélioration significative dans leur maison. Non seulement les dépôts de calcaire diminuent, mais l’effort de nettoyage dans la salle de bains et la cuisine est considérablement réduit.
Respect de l’environnement et avenir durable Dans un contexte où la durabilité et la protection de l’environnement sont de plus en plus importantes, la technologie Tratson se distingue comme une solution écologique. En éliminant le besoin de sel et de produits chimiques, elle réduit l’impact environnemental et n’engendre aucun déchet. De plus, ces appareils consomment beaucoup moins d’énergie que les systèmes traditionnels de détartrage, ce qui en fait une alternative économique et écoénergétique.
Les appareils de protection contre le calcaire de Tratson offrent une solution durable et efficace à l’un des plus grands problèmes domestiques : les dépôts de calcaire. Grâce à l’utilisation innovante de champs électromagnétiques, les minéraux essentiels restent dans l’eau potable, tandis que les dépôts de calcaire sont efficacement éliminés. Cette technologie est bénéfique pour la santé, l’environnement et le budget des ménages. À une époque où de plus en plus de personnes recherchent des alternatives respectueuses de l’environnement, la société Tratson, avec sa précision et sa qualité suisses, fixe de nouveaux standards dans le domaine de la protection contre le calcaire.
Offre exclusive En tant que lecteur du Matin Dimanche, bénéficiez d’une remise exclusive de 12 % sur tous les appareils Tratson. Utilisez le code promo « Matin12 » sur www.tratson.ch et protégez votre maison contre le calcaire. Cette offre est valable jusqu’à la fin du mois d’avril 2025.
Saisissez cette opportunité pour améliorer la qualité de votre eau et protéger votre habitat, tout en profitant de cette remise exclusive !
Tratson SA
Mellingerstrasse 19 5413 Birmenstorf
info@tratson.ch
+41 (0)44 212 22 31 www.tratson.ch
Depuis longtemps, l’horlogerie est une spécialité suisse. Entre tradition et innovation, l’industrie horlogère suisse est en effet renommée mondialement pour sa grande qualité et sa longévité. Mais quels sont les défis auxquels le secteur doit faire face ? Quels seront les changements qui pourront l’affecter à l’avenir ? Dans l’interview qui suit, Benjamin Comar, CEO de la Maison Piaget depuis juin 2021, répond à nos questions.
Benjamin Comar, vous êtes actuellement CEO de Piaget. Que signifie ce rôle pour vous et comment prenez-vous ces nouvelles responsabilités ?
Je m’intéressais de près à Piaget et, en y arrivant, j’y ai découvert des équipes avec un esprit ultra-créatif et combatif au service de la créativité extravagante et de l’innovation qui leur dicte le motto « toujours faire mieux que nécessaire ». J’ai été vraiment impressionné par l’histoire de la Maison, l’originalité et la sophistication du savoir-faire des artisans passionnés par leurs métiers. Je suis fier de pouvoir contribuer à l’évolution de cette Maison.
La Suisse ce n’est pas seulement le chocolat et le fromage, mais aussi les montres haut de gamme. D’ailleurs, l’industrie horlogère suisse est reconnue mondialement. Pour quelles raisons selon vous ? C’est vrai. D’ailleurs, l’année passée, les savoir-faire
Brandreport • basic.
horlogers et la mécanique d’art ont été inscrits au Patrimoine mondial culturel de l’UNESCO. Il ne faut pas oublier que l’horlogerie a démarré dans le Jura suisse, dans les petits ateliers des paysans qui devaient occuper leur temps et gagner leur vie lors des rudes hivers qui ne permettaient pas de cultiver les terres. L’horlogerie demande beaucoup de précision et de rigueur et un surpassement de soi, des valeurs qui correspondent bien à la culture suisse, ce qui fait que naturellement l’industrie horlogère suisse s’est créé une telle renommée.
Quel lien entretiennent les clients suisses avec les montres haut de gamme suisses ?
Il existe un vrai lien émotionnel entre une montre et son propriétaire. Au-delà du lien émotionnel personnel, les clients sont de plus en plus sensibles au savoir-faire, aux artisans qui ont assemblé le mouvement, serti les pierres précieuses et poli la lunette. De plus, dans le luxe, il y a une valeur de transmission avec des produits qui durent et permettent de se projeter dans l’avenir.
Quelle est l’importance de la tradition et de l’innovation dans ce secteur ?
Évidemment, il s’agit d’une industrie très traditionnelle, de par son histoire et sa nature, mais l’innovation au sein de l’horlogerie est aussi extrêmement importante. Dans ce secteur, il s’avère essentiel de respecter la tradition horlogère tout en l’adaptant à la vision actuelle. L’innovation permet d’ouvrir de nouvelles possibilités et de repousser les limites de ce qui a été fait et qui est établi.
Aujourd’hui, les smartwatches prennent de plus en plus de place sur le marché. Comment cela affecte-t-il le secteur de l’horlogerie suisse ?
Je ne pense pas que les smartwatches fassent concurrence à l’horlogerie suisse. Elles n’ont pas la même utilité, ni fonction. Une smartwatch est un outil technologique permettant de mesurer de nombreux éléments, comme la fréquence cardiaque, la distance parcourue ou le sommeil. Quant à la montre traditionnelle, il s’agit d’un objet émotionnel, un symbole de bienfacture et de rareté. C’est une pièce d’art qui nécessite de nombreuses heures de travail et un savoir-faire artisanal unique.
Qu’est-ce qui fait concurrence aux montres suisses ?
Une montre mécanique est comme une œuvre d’art qui encapsule des centaines d’années de savoir-faire.
Les concurrents des montres suisses sont donc d’autres objets d’art ou considérés comme de l’art qui témoignent d’un grand savoir-faire.
Quel a été l’impact de la pandémie sur l’industrie horlogère suisse et plus particulièrement sur les exportations ?
Pendant plusieurs mois, à cause du confinement, l’impact a été fort dans plusieurs zones géographiques, mais la situation s’est ensuite améliorée progressivement. Comme on peut le voir dans les chiffres publiés par l’industrie, la situation va mieux aujourd’hui. Il y a également beaucoup de signes encourageants au niveau international.
Quels changements se sont avérés nécessaires ?
La situation sanitaire a considérablement accéléré le développement digital et a également changé les habitudes de consommation. La fréquence des voyages ayant baissé, nous avons concentré nos efforts sur la clientèle locale.
Quels sont les autres défis auxquels l’industrie doit faire face ?
Un défi concerne le développement du new retail. Il faut s’adapter constamment au e-business qui évolue rapidement de par la demande des clients qui veulent pouvoir accéder à l’information et aux produits en tout temps et de n’importe où. L’industrie du luxe est également concernée, c’est pourquoi elle doit constamment innover et s’adapter.
Comment voyez-vous le futur du secteur horloger suisse ?
De manière positive au vu des tendances actuelles. C’est une industrie qui est extrêmement solide et qui perdure à travers les crises et le temps.
Quelles sont les perspectives futures pour Piaget ?
Nous souhaitons continuer à capitaliser sur l’héritage de la marque tout en continuant d’innover pour offrir aux clients des pièces joaillères et horlogères exceptionnelles. Nous allons également continuer à nous développer en Europe et aux États-Unis, tout en gardant une forte présence en Asie et au Moyen-Orient.
Interview Andrea Tarantini
Trouver un déodorant à la fois efficace, 100% naturel et respectueux de l’environnement relève souvent du défi. Trop souvent, les alternatives aux formules conventionnelles manquent d’efficacité ou sont conditionnées dans des emballages peu durables. C’est pour répondre à ce besoin que basic., une marque lausannoise engagée, a développé un déodorant naturel qui allie performance et responsabilité.
basic. est née à Lausanne, porté par Raluca et Sébastien convaincus qu’une cosmétique plus simple et plus éthique est possible. Leur mission : créer des soins basiques, efficaces et formulés avec des ingrédients de qualité, sans superflu. Le produit phare de la marque illustre parfaitement cette philosophie. Ce déodorant, fabriqué dans leur atelier avec des composants biologiques rigoureusement sélectionnés, garantit une protection optimale contre les odeurs tout en respectant l’équilibre naturel de la peau. Contrairement à de nombreux produits conventionnels, il ne contient ni sels d’aluminium, ni alcool, ni parfum synthétique, et convient donc aux peaux les plus sensibles.
Son format en pot de verre réutilisable ou en version stick rechargeable s’inscrit dans une approche zéro déchet qui séduit un nombre croissant de consommateurs. Plutôt que d’accumuler des contenants plastiques jetables, basic. propose
une alternative durable et esthétique. Son application facile, sa texture fondante et son efficacité tout au long de la journée en font un allié incontournable dans la routine quotidienne.
Tous les produits de la marque bénéficient de la certification Ecocert COSMOS ORGANIC, sont véganes, et suivent la charte de la Slow Beauty, garantissant des formulations transparentes.
Mais au-delà du produit, c’est toute une vision de la cosmétique que défend basic.. En privilégiant des ingrédients biologiques et une production locale, la marque s’engage pour une consommation plus saine, sans compromis sur la qualité. Chaque formule est développée avec soin pour garantir un équilibre parfait entre efficacité et plaisir d’utilisation.
Choisir basic., c’est aussi soutenir une entreprise lausannoise qui valorise le savoir-faire local et met un point d’honneur à offrir des soins
naturels d’exception. Plus qu’un simple déodorant, c’est une nouvelle manière de prendre soin de soi, avec des produits pensés pour durer et conçus avec passion au cœur de Lausanne.
Plus d’informations sur www.basic-cosmetics.bio
DU 9 AU 13 AVRIL 2025 PAR LA COMPAGNIE LES MALADROITS
ADULTES | ADOS | DÈS 12 ANS AU THÉÂTRE DU FORUM MEYRIN
Un spectacle de théâtre d’objet et de vidéo en direct où ce que l’on voit n’est pas toujours ce que l’on croit
Depuis dix ans, une manufacture biennoise façonne des couteaux d’exception qui ornent aujourd’hui les plus grandes tables gastronomiques du monde. Derrière ces lames au design raffiné se cache un savoir-faire artisanal suisse unique, alliant forgeage à haute température, bois locaux stabilisés et précision inspirée de l’horlogerie.
L’art de transformer la matière brute
Chez sknife, chaque couteau commence son histoire dans les ateliers de l’Emmental, où l’acier, porté à plus de 1 000 degrés, rougeoie sous les flammes avant d’être forgé à la main. Cet instant, où la matière incandescente se plie sous le marteau du forgeron, marque le point de départ d’un long processus artisanal. L’acier brut, chauffé, martelé, puis découpé avec précision, devient progressivement une lame parfaite, prête à rencontrer des manches façonnés dans des bois suisses sélectionnés avec soin.
Cette maîtrise artisanale, héritée de la tradition suisse, ne serait rien sans une volonté constante d’innovation. Pionnier dans le forgeage industriel d’acier chirurgical et d’acier damassé, sknife a su allier techniques ancestrales et modernité. La stabilisation du bois local – frêne, noyer ou bois flotté – selon un procédé exclusif, garantit une résistance à toute épreuve, même dans les environnements marins. Du feu aux tables les plus prestigieuses Ce savoir-faire hors du commun a hissé sknife sur la scène internationale. Les meilleurs restaurants et hôtels du monde, qui comptent plus de 250 étoiles Michelin, ont choisi ces
couteaux pour accompagner l’expérience culinaire de leurs convives. Le « Mirazur » à Menton (Mauro Colagreco), « L’Hôtel de Ville » à Crissier (Franck Giovannini), « Chez Philippe » à Genève (Philippe Chevrier) ou encore la « Maison Décotterd » à Glion-sur-Montreux (Stéphane Décotterd), comptent parmi ces prestigieux ambassadeurs. À Antibes, l’Hôtel du Cap-Eden-Roc a même fait appel à la manufacture biennoise pour créer une collection de couverts sur-mesure aux couleurs de la Riviera.
La beauté du geste et la pureté de la forme Conçu en collaboration avec des chefs suisses de renom, le couteau à steak sknife incarne l’équilibre parfait entre design et fonction. La lame, pensée pour ne jamais toucher la table, offre une coupe nette et précise. La répartition du poids, le toucher des matériaux nobles, la ligne épurée : chaque détail témoigne d’une réflexion minutieuse. Le premier prototype, né sous les mains du coutelier Hansjörg Kilchenmann à Bâle, reste aujourd’hui encore un modèle de pureté et d’élégance.
Des pièces uniques, façonnées par la nature et le temps Pour célébrer ses dix ans, la maison propose des éditions limitées qui racontent leur propre histoire. Le couteau de poche en damas torsadé, avec ses 800 couches d’acier et son manche en bois flotté patiemment sculpté par les éléments, est une pièce unique. Chaque veine du bois et chaque torsion du métal rappellent la puissance des forces naturelles transformées en beauté fonctionnelle. Le set de couteaux à steak en édition spéciale, lui aussi doté de ces manches façonnés par l’eau au fil des années, illustre cette quête d’exclusivité et de perfection.
Un hommage à la ville horlogère
« Pourquoi Bienne ? » La question revient souvent.
La réponse de Michael Bach, fondateur et directeur de sknife, est simple : « Parce que nous fabriquons nos couteaux avec la même précision qu’une montre
Brandreport • Initium
Esuisse et un artisanat de haut niveau. » Cet hommage à la tradition horlogère locale se retrouve dans chaque détail : du palier céramique high-tech inspiré de l’industrie horlogère au mécanisme d’ouverture fluide et silencieux des couteaux de poche.
Au sommet de cette exigence, le couteau de poche en damas entier, dont le dos de la lame est serti de 51 diamants, incarne l’apogée du savoir-faire suisse.
De la forge à l’expérience client Sknife ne se contente pas de produire des objets d’exception ; la maison accompagne chaque amateur et professionnel dans l’entretien de ses couteaux. La manufacture propose des appareils d’aiguisage de précision et des kits d’entretien, avec notamment des cuirs de polissage filtrés au diamant, capables de restituer à la lame un tranchant de rasoir.
Une invitation à découvrir le geste artisanal La manufacture sknife à Bienne est devenue un lieu de pèlerinage pour les passionnés. Chaque mois, les « Manufactures ouvertes » permettent d’assister aux différentes étapes de la production, de sentir la chaleur de l’acier rougi dans les ateliers et de comprendre le cheminement qui mène de la matière brute à la pièce finie. Ces visites séduisent les collectionneurs autant que les curieux, fascinés par la puissance et la précision du travail manuel.
Un savoir-faire entre tradition et avenir
En dix ans, sknife a construit un modèle unique, où tradition et modernité dialoguent à chaque étape de la création. En toute authenticité, la maison biennoise prouve qu’il est toujours possible de fabriquer localement des objets durables, précieux et porteurs de sens. Derrière chaque lame, il y a la chaleur d’un acier tout rouge, la patience des artisans, et la volonté farouche de créer des pièces capables de traverser le temps. Un art suisse à part entière, désormais reconnu dans le monde entier.
Plus d’informations sur www.sknife.com
t s’il était possible de fabriquer un objet d’exception issu du savoir-faire suisse ? Chez Initium, chacun est invité à vivre une expérience hors du commun, accessible à tous, où il devient l’artisan de sa propre création. Montre mécanique, bague ou couteau suisse : trois univers, trois métiers d’art, trois façons de découvrir le Swiss Made autrement.
Un savoir-faire suisse, une création à l’image de chacun Initium plonge dans l’univers fascinant de l’horlogerie, de la joaillerie et de la coutellerie. Ici, il ne s’agit pas seulement d’observer, mais de créer de ses propres mains.
– Horlogerie : assembler une montre mécanique en sélectionnant chaque composant selon ses goûts. Un cadran raffiné, un mouvement minutieusement ajusté, un boîtier élégant… L’atelier se termine avec une montre unique, reflet d’une personnalité.
Joaillerie : façonner une bague sur mesure, en travaillant le métal sous l’œil attentif des artisans. Chaque étape, du design à la finition, rapproche de la pièce parfaite, chargée de sens et d’émotion.
– Coutellerie : concevoir un couteau suisse personnalisé en choisissant les matériaux et les outils qui l’équiperont. Un objet emblématique, devenu une pièce personnelle et fonctionnelle.
Une expérience à partager
Initium offre avant tout un moment de découverte et de partage. Que ce soit en solo, en couple, en famille, entre amis ou entre collègues, les ateliers proposent une expérience immersive où chacun trouve sa place. Rires, concentration, entraide et fierté collective se mêlent pour créer des souvenirs uniques.
Aucune compétence technique n’est requise : les artisans
accompagnent chaque participant à chaque étape, dans une ambiance chaleureuse et bienveillante.
Deux ateliers d’exception en Suisse romande Deux lieux uniques accueillent les participants, où tradition et modernité se rencontrent :
À Genève, en plein cœur de la ville, dans un cadre contemporain et immersif.
– Au Noirmont, au cœur du Jura suisse, dans un environnement paisible où bat l’âme de l’horlogerie.
Dans chaque endroit, la même promesse : permettre de créer un objet porteur d’émotions et de savoir-faire.
Initium, c’est l’art de fabriquer avec ses mains, de comprendre avec son cœur, et de repartir avec bien plus qu’un simple objet : une expérience inoubliable.
Initium, fondé par Mathieu Gigandet et Gilles Francfort, continue d’incarner la passion du savoir-faire artisanal suisse. Présente à Genève, Paris et au Noirmont (JU), la marque s’illustre par des ateliers exclusifs où horlogerie, joaillerie et coutellerie d’exception se rencontrent. À travers des expériences immersives uniques, Initium propose une véritable plongée dans l’héritage artisanal suisse, tout en offrant des créations personnalisées à une clientèle locale et internationale en quête d’authenticité et d’émotion.
Relations presse : info@initium.swiss
Réseaux sociaux : Initium_swiss
Site web : www.initium.swiss
Quels sont les investissements les plus rentables aujourd’hui ? Quand investir ? Comment limiter les risques ? Pourquoi se tourner vers les métaux précieux ? Dans cette interview, Romuald Abela répond à ces questions et nous explique les avantages à investir dans l’or, une solution tangible et stable face aux turbulences du marché.
Romuald Abela est le fondateur de achatdor. ch, un réseau de boutiques spécialisées dans l’achat et la revente d’or et de métaux précieux. Créée en 2004 avec un premier magasin à Nyon, la société possède aujourd’hui près d’une quarantaine de vitrines réparties dans tout le pays. Sa longévité en fait un acteur incontournable et de confiance sur le marché.
Romuald Abela, quelle est la situation actuelle du cours de l’or ?
Depuis trois mois, le cours de l’or est en hausse constante. Aujourd’hui, le kilo se vend à 83 000 CHF, tandis que l’année dernière à la même période, il était à 65 000 CHF.
Quels sont les principaux facteurs qui influencent cette hausse du cours ?
Le cours de l’or est majoritairement influencé par les contextes géopolitique et économique. Actuellement, on peut expliquer sa hausse par l’instabilité politique qui règne à travers le monde, la volatilité des marchés financiers, l’inflation constante, des taux d’intérêt bas et le manque de confiance dans les banques. Finalement,
nous remarquons qu’en période de crise, le cours de l’or augmente systématiquement car il reste la valeur refuge.
Pourquoi l’or est-il considéré comme une valeur refuge, surtout en période de crise ?
Historiquement, à chaque fois qu’il y a eu des conflits et que l’économie a été incertaine, c’est vers l’or que les gens se sont toujours tournés, et cette tendance ne changera pas. Rare, tangible et reconnu mondialement, il est synonyme de stabilité et de sécurité. C’est pourquoi l’or possède une valeur intrinsèque que les monnaies produites par les États n’ont pas.
La période actuelle est-elle donc favorable à l’investissement ?
Oui, car le cours de l’or n’arrête pas de grimper. Il est vrai qu’il était plus avantageux de l’acheter en 2004, lorsqu’on le trouvait à 16 000 CHF le kilo. Cependant, il est toujours extrêmement difficile d’anticiper les cours futurs. Ce qui est certain aujourd’hui, c’est le fait que la situation géopolitique mondiale ne va pas s’améliorer de sitôt. Nous pouvons donc raisonnablement anticiper la poursuite de la hausse.
Nous remarquons d’ailleurs que les transactions sur le marché de l’or sont de plus en plus importantes, que ce soit pour l’achat ou la vente. Nous sommes en flux tendu sur nos stocks, avec une explosion des visites en magasin.
Au-delà de l’investissement, la hausse actuelle du cours rend intéressante la revente d’or. Certaines personnes viennent nous voir lorsqu’elles vivent un décès ou un divorce et qu’elles reçoivent un héritage composé de vieux bijoux de famille qu’elles ne portent pas. Même si
elles ont 10, 15 ou 20 grammes, cela peut vite rapporter beaucoup d’argent aujourd’hui. Nous faisons ensuite fondre les bijoux afin d’en faire des lingotins ou des lingots, avant de les remettre sur le circuit. Nous ne faisons pas appel aux mines, mais recyclons ce qui existe déjà dans une démarche écologique, éthique et responsable.
Quelles sont les différentes façons d’investir dans l’or en 2025 ?
La seule façon d’investir dans l’or est d’en acheter. Se procurer des métaux précieux permet d’investir dans quelque chose de physique et de tangible, contrairement à la plupart des investissements bancaires. Il est en effet important de posséder la marchandise chez soi, comme des lingotins, des lingots ou des pièces de monnaie.
En plus de l’or, quels sont les métaux précieux pour lesquels il est intéressant d’investir ? Il est également possible d’investir dans l’argent et le platine. La seule différence est que les métaux blancs sont soumis à la TVA, ce qui n’est pas le cas pour l’or. Il peut donc s’agir d’investissements légèrement moins intéressants et prisés lorsque l’on souhaite acheter ou revendre.
Ces investissements peuvent-ils présenter des risques ? Si oui, lesquels ?
Les risques existent, tout dépend vers qui l’on se tourne pour acheter les métaux. Il faut notamment faire attention aux faux et aux arnaques, c’est pourquoi il est préférable de se rendre chez des professionnels qui travaillent dans des endroits sécurisés, connus et reconnus.
Si le cours baisse, il peut y avoir un déficit temporaire dans l’investissement, ce qui ne s’avère pas dangereux sur le long terme. Le scénario dans lequel le cours de l’or s’effondre totalement est très peu probable. Surtout, si cela venait à arriver, nous aurions beaucoup d’autres soucis que celui de s’inquiéter pour nos investissements.
Comment peut-on se protéger des fluctuations du marché ?
Il est préférable d’acheter de petites quantités afin de lisser le coût du cours et de minimiser les risques. L’investissement s’anticipe en effet à long terme. Il est vrai que si vous achetez de l’or aujourd’hui pour le revendre demain, le risque de perdre ses gains est important.
Quels conseils donneriez-vous à quelqu’un qui souhaite investir dans l’achat de métaux précieux, mais qui hésite encore à se lancer ?
Le conseil que je peux donner est de se lancer doucement. Il ne sert à rien d’y mettre l’ensemble de ses économies, mieux vaut investir petit à petit.
Quelles sont les prévisions des experts en ce qui concerne l’évolution du cours des métaux précieux dans les prochaines années ?
Dans le milieu, il se dit que l’or atteindra rapidement les 100 000 CHF le kilo, ce qui est énorme. Mais il ne s’agit que de prévisions, il est difficile d’anticiper le marché.
Interview Léa Stocky
Vivez des aventures inoubliables en famille, entre amis ou en groupe grâce à nos activités touristiques uniques en leur genre !
Plus d’infos sur : les-cj.ch |
Le Musée des Sciences de la Terre met sur pied, depuis 2001, des expositions temporaires. Après les dangers naturels, les météorites, les bisses, le charbon et tant d’autres thématiques, le musée illustre aujourd’hui un patrimoine géologique remarquable de la Suisse : ses marbres. Cette exposition, qui s’ouvre le 12 avril, invite le visiteur à explorer le monde de cette pierre, symbole d’élégance depuis l’Antiquité.
L’introduction est consacrée à la définition de ce mot, qui n’est pas la même pour les géologues et les marbriers. Alors que ces derniers donnent le nom de marbre à toute pierre susceptible de prendre un beau poli, les scientifiques restreignent cette appellation uniquement aux roches carbonatées et métamorphisées. L’exposition est ainsi consacrée aux marbres au sens géologique du terme, à savoir les marbres prisés depuis les temps anciens pour la sculpture et l’architecture.
Dans la première partie, la composition et les conditions de formation de ce matériau sont expliquées. Ces dernières étant parfaitement réunies dans les Alpes suisses, un voyage à la découverte des marbres helvétiques est proposé. Si la Suisse recèle de nombreux gisements de marbre, elle n’est pas aussi réputée que l’Italie, par exemple. La plupart des gisements sont modestes et leur exploitation a été locale et éphémère. Cependant, il existe deux exceptions : le marbre de Saillon, qui a contribué à la renommée du village bien au-delà des frontières nationales, et le marbre de Peccia, dans le Tessin, qui est toujours exploité. Savez-vous que le marbre valaisan a été exporté jusqu’aux États-Unis ? On le retrouve également en France, en Allemagne, en Grande-Bretagne et, bien sûr, en Suisse. Une histoire singulière pour ce marbre dont l’exploitation n’a duré que 150 ans.
L’exposition aborde ensuite l’importance de l’identification de la provenance des marbres utilisés dans les statues de l’Antiquité. Vous imaginez bien qu’il n’est pas possible de réaliser les prélèvements nécessaires pour des analyses sur des œuvres d’art, comme on le ferait dans la nature. Cette difficulté a été résolue par une équipe de chercheurs et appliquée notamment sur les trois statues romaines exceptionnelles découvertes à Martigny-la-Romaine et exposées à la Fondation Pierre Gianadda. Vous découvrirez les résultats de cette expertise : du marbre provenant d’Italie pour la Vénus et de Grèce pour l’Apollon et l’Hercule.
Après un voyage dans le temps, le visiteur est invité à découvrir, à travers le monde, des réalisations récentes en marbre : des édifices mais aussi des sculptures très originales, comme une Cadillac.
En guise de conclusion, une réflexion est proposée sur l’impact environnemental engendré par l’industrie florissante du marbre aujourd’hui. Par son côté ludique, cette exposition se veut accessible aux jeunes, aux familles et aux écoles.
Le visiteur peut poursuivre son voyage dans le monde du marbre en se rendant à la Maison du marbre à Saillon et à la Fondation Pierre Gianadda pour découvrir les trésors de Martigny-la-Romaine.
Le musée abrite également une exposition permanente composée de trois volets : les cristaux, les roches et les mines.
La beauté des minéraux alpins et la palette de couleurs des minéraux provenant des quatre coins du monde
font briller les yeux de tous. On s’émerveille devant les quartz-fenêtres du Val d’Illiez, les axinites brunâtres du Catogne ou les améthystes du Mont Chemin et du Haut-Valais. Une chambre noire montre l’effet des rayons ultraviolets sur les couleurs des minéraux et leur intensité. Le musée explique aussi le rôle que jouent encore ces minéraux dans notre monde industriel, avec les quartz et les zéolites, par exemple.
La géologie est rendue accessible à chacun grâce à son exposition sur les roches, qui explique de manière captivante leur formation.
Enfin, tout le sous-sol du musée retrace l’histoire des mines, rappelant que la Suisse est aujourd’hui un pays riche… en mines pauvres. Mais cela n’a pas toujours été vrai : ses ressources minières ont bel et bien été exploitées avec bénéfice dans le passé, depuis la période romaine jusqu’aux deux guerres mondiales. Le musée a reconstitué une galerie de mine avec son boisage et ses rails, une ambiance qui enchante les plus jeunes visiteurs.
Tél 027 723 12 12 info@sciencesdelaterre.ch www.sciencesdelaterre.ch
Du samedi 12 avril 2025 à fin décembre 2025 : Ouvert de 13h30 à 17h les mardis, mercredis, jeudis, samedis et dimanches
Possibilité de visites guidées
1.9%
Exemple: Vito 12179
Sur notre gamme de véhicules utilitaires, Sprinter, Vito et Citan.
À CHF 365.-/mois ou CHF 39'300.- au lieu de CHF 48'963.-*
Découvrez notre offre.
Exclusivement dans vos agences du Groupe Chevalley de Genève et Nyon.
*Vito 110 CDI KA PRO 3200mm L (121789), 102ch – 75kW, prix de vente au comptant: CHF 48’963. valeur du véhicule de CHF 39’300.- rabais -20% incluant prime star deal de 9% Mercedes-Benz + Rabais Chevalley. Valable uniquement sur les Vito, Sprinter, Citan de stock, valable jusqu’au 30.04.2025, dans vos agences du Groupe Chevalley. Ex: durée: 48 mois, km: 10’000 km/an, taux annuel effectif: 1,90%, 1er versement plus élevé: CHF 5’000.-, versement mensuel à partir du 2e mois: CHF 362,5. Une offre de Mercedes-Benz Financial Services Schweiz AG. Assurance casco complète obligatoire. L’octroi d’un crédit est interdit s’il est susceptible d’entraîner le surendettement du preneur de leasing. Recommandation de prix sans engagement. Sous réserve de modifications. Photo non contractuelle, voir conditions en agences.
MARBRERIE CAROUGE - Chemin de la Marbrerie 1 | A&S CHEVALLEY NYON - Route de Saint-Cergue 293
Du 5 au 18 novembre 2025
L’aventure tropicale au cœur des terres sacrées
• Sigiriya, le rocher du Lion et sa vue panoramique époustouflante
• Exploration des plantations de thé dans les hauts plateaux du pays
• Safari au parc national de Yala, un véritable paradis
Du 20 au 27 septembre 2025
Les plaisirs de la marche sur les îles de la mer Égée
Explorez les îles grecques à travers des randonnées au cœur de paysages spectaculaires et de villages authentiques. Découvrez la beauté de Sifnos avec ses plages tranquilles et ses sentiers, puis laissez-vous charmer par le centre historique de Milos. Profitez de moments de baignade et de randonnées offrant des vues imprenables sur la mer et les montagnes. Terminez par une visite d’Athènes avant de revenir en Suisse. Hôtels 2* au Pirée et 3* à Athènes, Pension complète dont 6 pique-niques
• Dénivelés max. : + 400 m/- 650 m
• Baignades dans des décors paradisiaques
• La cuisine grecque dont on ne se lasse pas
Partez pour un voyage inoubliable au Sri Lanka, où aventure et émerveillement vous attendent à chaque étape ! Découvrez la richesse culturelle d’Anuradhapura, la splendeur du rocher du Lion à Sigiriya et les plantations de thé de Nuwara Eliya. Visitez le Temple de la Dent qui abrite la relique la plus vénérée du pays. Vivez l’émotion d’un safari à Yala et approchez les éléphants, symboles de sagesse et de noblesse. Terminez en douceur dans les eaux calmes de la mer et profitez du coucher de soleil hypnotisant ! Hôtels 4*NL et 5* NL, demi-pension
29 juin au 10 juillet 2025
La majesté du Nord et la magie du soleil de minuit
Partez à la découverte de la Norvège arctique à travers ses fjords, ses montagnes et ses villages de pêcheurs. Explorez le cercle polaire, les îles Lofoten et Tromsø, la capitale du Grand Nord. Embarquez pour une petite croisière à bord de l’Hurtigruten et profitez d’une vue panoramique sur le fjord de Narvik. Ne manquez pas l’expérience rare du soleil de minuit au Cap Nord. Hôtels 3* et 4* bien situés, demi-pension
• Les îles Lofoten, archipel paradisiaque du Nord
• Mini croisière à bord de l’Hurtigruten
• Tromsø, le « Paris du Grand Nord »
Lieux de départ au plus près de chez vous, depuis les cantons de GE, FR, NE, VD et VS
Les tarifs sont indiqués par personne, sur la base d’une occupation en chambre ou cabine double.