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Au service externe par vocation

Succursale de Wallisellen : départ en retraite de Gaston Sennwald

Au service externe par vocation

Gaston Sennwald a pris sa retraite fin août, après 33 ans au service de Winterhalter + Fenner. Les enfants auxquels il donnait des bonbons sont devenus de bons clients et des amis.

Monsieur Sennwald, vous avez été conseiller clientèle chez Winterhalter + Fenner pendant 33 ans, plus une vocation qu’un métier ? Oui, on peut le dire comme ça! Pendant les cinq premières années de ma carrière professionnelle, j’ai été monteur électricien avant d’enchaîner sur deux années dans le service. C’est pour ainsi dire par hasard que je me suis retrouvé dans la branche électrique, où j’ai été très heureux de rester. A cette époque déjà, je savais que je voulais avant tout passer dans le service externe. C’était le but que je m’étais fixé.

Pourquoi ? Ce qui me plaît, c’est le travail avec les clients. D’une part pour le contact personnel et humain et d’autre part pour le côté psychologique. Chaque personne est différente, et il faut s’y prendre différemment avec chacun pour pouvoir conclure des affaires. L’éternelle question restant à savoir: comment arriver à mes fins ? Pour y arriver, le chemin à suivre est différent avec chaque client. Il n’y a pas un modèle, il faut du tact et de l’expérience.

Vous souvenez-vous de votre première journée de travail chez Winterhalter + Fenner ? Oui, c’était le 2 mai 1977, à l’époque encore au n° 4 de la Oberwiesenstrasse à Wallisellen. J’avais posé ma candidature à une annonce anonyme qui ne comportait qu’un numéro de référence et Monsieur Winterhalter, l’archétype du patron, m’avait invité personnellement à un entretien d’embauche à la suite duquel il m’a engagé.

Quels sont les événements qui ont marqué vos 33 années au service de Winterhalter + Fenner ? J’ai commencé en 1977, pendant une période de récession économique qui est restée la crise la plus profonde de ma carrière. La construction de l’entrepôt central en 1987 à Wallisellen et la fusion avec Fenner en 1991 ont été des événements passionnants.

Y a-t-il des clients qui vous ont accompagné tout au long de votre carrière ? Oui, il y a des clients auxquels je donnais des bonbons quand ils étaient encore enfants. Et aujourd’hui, ils sont chefs d’entreprise! J’avais et je garde de bons contacts avec les clients, contacts qui se sont transformés en de nombreuses amitiés. Cela a une grande valeur à mes yeux, tant du point de vue commercial que du point de vue personnel. C’est pourquoi j’aimerais garder mon numéro de portable, dans l’espoir qu'un client appelle (rires).

Comment l’initiation de votre successeur Alain Bischofberger s’est-elle passée ? Il continuera mon œuvre, j’en suis persuadé. A sa façon à lui, il établira de bonnes relations avec les clients. Nous avons bien mis à profit la longue phase de transition et pris beaucoup de temps pour la passation des clients. C’est un geste que nos clients apprécient.

Comment envisagez-vous votre retraite ? De façon très positive. C’est vrai qu’il faut un peu se préparer à un tel changement. Fini les horaires fixes, il me faut tirer un trait final sur ma vie professionnelle, me recentrer mentalement et trouver un nouveau rythme.

Quels sont vos projets d’avenir ? J’aimerais tout faire à fond et de façon ciblée. Je souhaite consacrer mon temps à ma famille et à mes hobbies, par ex. aller plus souvent à l’opéra ou au théâtre, lire, faire des randonnées ou de beaux voyages.

Votre définition du bonheur ? Le bonheur ne s’achète pas. La santé, la famille, la paix et l'ouverture, mais aussi l’honnêteté, voici ma vision du bonheur, que chacun peut se construire lui-même.

Et pour finir, un dernier mot à vos clients … Un grand merci pour la formidable coopération et pour la confiance qu’ils m’ont accordée pendant toutes ces années. Je serais heureux qu’ils témoignent la même fidélité à mon successeur. Mes meilleurs vœux de réussite et de bonheur !

Portrait Gaston Sennwald

Age : 65 ans Hobbies : famille, culture, randonnée, lecture Formation : monteur électricien Carrière : en 1977, il débute comme conseiller clientèle au service externe de Winterhalter + Fenner

Le législateur fixe les règles, le marché les applique La norme EN 60670 sécurise les entreprises et les installateurs

Entrée en vigueur en 2005, la nouvelle norme EN 60670 n‘est pas encore entrée dans les mœurs partout. Avantages et inconvénients après cinq ans de pratique.

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On pourra toujours discuter de la cohérence ou de l‘incohérence des normes. La réalité est pourtant claire : les tensions résiduelles dans des boîtes de dérivation et boîtiers d‘interrupteurs, prises de courant et autres composants électriques sont en lien direct avec la sécurité. Dans notre branche la sécurité est primordiale. L‘introduction de la norme EN 60670 doit donc être saluée, car elle apporte plus d‘avantages que de restrictions. Gardons à l‘esprit qu‘en acceptant un mandat, une entreprise ou un installateur électricien endosse une responsabilité et qu‘il est tenu d‘en assumer les conséquences. En d‘autres termes : en cas d‘incident, l‘entreprise s‘expose à des demandes de dommages et intérêts, voire à des poursuites pénales. Les conséquences qui peuvent en découler sont sérieuses, indépendamment du fait qu‘il s‘agisse de dommages matériels ou corporels.

1. Support diagonal introduit dans les ouvertures angulaires. 2. Introduire le couvercle à enficher dans la fixation centrale. 3. Adaptation du couvercle à la surface.

Le prix à payer pour cette nouvelle sécurité est minime, mais il est à la charge du monteur électricien. Il doit renoncer aux pratiques d‘installation habituelles qui ont fait leurs preuves, et adopter de nouvelles techniques de montage. Ces changements sont plus faciles à accepter pour certains que pour d‘autres, mais d‘une manière générale, ils sont à la portée de chacun: les nouveaux produits s‘installent plus simplement, mais différemment.

Le législateur fixe les règles, le marché les applique

L‘introduction de la norme EN 60670 2005 implique le développement de nouveaux composants électriques, tels que boîtiers de prises, enveloppes, chapeaux, couvercles, extensions et aussi de nouveaux appareils d‘installation. Ces nouveautés présentent l‘avantage d‘assurer une meilleure protection contre les effets extérieurs et contre un contact accidentel des parties actives intérieures. Boîte et couvercle forment toujours une unité indissociable.

La norme EN 60670 passée au crible

Cette norme définit en particulier la prévention des tensions résiduelles dans des éléments de construction. Ces tensions résiduelles peuvent être générées par un contact involontaire entre les vis centrales et les parties conductrices d‘une maçonnerie (par ex. fers d‘armature). Le contrôle selon EN 60670 consiste en une homologation de type. L‘essai fournit la preuve qu‘un produit satisfait les exigences de la norme concernée et qu‘il est en adéquation avec le domaine d‘application envisagé. La rigidité diélectrique se mesure par l‘application d‘une tension de forme sinusoïdale à une fréquence de 50 Hz ou 60 Hz, d‘une valeur fixée par la norme, pendant une durée minimale d‘une minute. Pour les boîtiers et autres composants, la tension d‘essai de la rigidité diélectrique se situe entre 2,5 et 3,0 kV selon la tension nominale.

Avantages pour le montage

L‘unité formée du boîtier et des pièces intérieures facilite le travail du monteur. Il n‘a pas besoin d‘outils, et ne doit pas se préoccuper du niveau par rapport au crépi. Autre point important: il travaille en toute sécurité et grâce à la mise en œuvre de produits homologués et certifiés, il se protège contre toutes les demandes éventuelles en dommages et intérêts et contre toute poursuite pénale. Les certificats ou les autorisations de l‘ESTI sont disponibles auprès de chaque grossiste ou directement auprès du fabricant. Ils peuvent aussi être téléchargés à partir du site Web d‘Agro.

Vous trouverez de plus amples informations sous www.agro.ch

Agro AG 5502 Hunzenschwil Téléphone 062 889 47 47

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