Trimestriel 4/2016
Focus sur quelques projets SOS au Cap-Vert Visite de terrain sur l'île de Santiago Aide d'urgence de SOS lors de catastrophes naturelles Ouragan Matthew : Haïti face à une crise humanitaire majeure Journée internationale des Droits de l'Enfant Campagne de parrainage 2016 Jardin d’Enfants SOS d’Assomada, Cap-Vert 3, rue du Fort Bourbon L-1249 Luxembourg
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FOCUS SUR QUELQUES PROJETS SOS AU CAP-VERT Protéger les enfants de la rue, favoriser l’intégration des jeunes Le Cap-Vert se modernise, la vie s’y améliore et des progrès notables sont enregistrés dans le domaine de l’éducation. Mais l’archipel reste confronté au chômage surtout des jeunes et à de préoccupants problèmes sociaux dus à l’insécurité économique des familles. Nombre de celles pilotées par des mères seules sont exclues du développement. Et dans les grandes villes où le tissu social se délite, dépendance à l’alcool et toxicomanie, violence et criminalité gagnent du terrain. Encourager les jeunes Du côté des droits de l’enfant, beaucoup a été fait, notamment pour lutter contre le travail des enfants, grâce entre autres à SOS Villages d’Enfants Cap-Vert. Depuis 32 ans l’association travaille à la protection de l’enfance avec de nombreux partenaires publics et privés (1.800 bénéficiaires) et s’engage sur le terrain du plaidoyer. Elle a mis en place le programme Resettled Youth pour l’intégration professionnelle des anciens de ses villages d’enfants et foyers de jeunes et développé le projet multidisciplinaire CriArte qui fait appel à l’art comme élément d’intégration dans ses villages d’enfants d’Assomada et de São Domingos. Prends soin de moi! Priorité de l’association, le projet CASE/la maison d’accueil d’urgence mis en place dans ses villages d’enfants d’Assomada et de São Domingos et son centre social de Mindelo désormais ouverts temporairement à des enfants de la rue ou des enfants victimes de maltraitances au sein de leurs familles, les tuteurs étant sensibilisés pour une rapide réintégration familiale. A Mindelo, le Centre social SOS qui a délocalisé ses actions dans
Village d’Enfants SOS de São Domingos
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Jardin d’Enfants SOS de São Domingos
les quartiers et délivre aujourd’hui des formations professionnelles, fonctionne aussi comme espace d’hébergement. En 2016, il a accueilli une dizaine de jeunes en situation de crise. Une campagne locale « Children are not from the streets » a été lancée dans le cadre de la campagne Cuide de mim (Care for ME!) qui encourage gouvernements locaux et agences intergouvernementales à prendre des mesures contre les violations des droits des enfants. Passer le relais Les organisations à base communautaire prendront bientôt le relais dans les programmes SOS de renforcement des familles de Praia (553 enfants, 143 tuteurs dont 138 femmes, 5 communautés) et de Mindelo (1024 enfants, 253 tuteurs dont 232 femmes, 3 communautés) qui ont vu le jour en 2010 pour améliorer les conditions de vie et le bien-être des enfants au sein de leurs familles biologiques.
Jardin d’Enfants SOS de São Domingos
A Mindelo, la politique de protection et de droits de l’enfant de SOS est relayée dans les écoles des quartiers d’intervention, les comités d’enfants et d’adolescents et les comités de protection. Des centaines de jeunes bénéficient d’une assistance médicale et de matériel pour l’école et les familles de formations pratiques. A Praia, l’Université, Caritas Cap-Vert et l’artiste Tchalé Figueira ont rallié le programme. Fin 2015, 80% des ménages pouvaient assurer les besoins de la famille. Mi-2016, 85% des familles étaient sensibilisées aux droits de l’enfant. Dans les cinq communautés, des comités de protection et des comités d’enfants et d’adolescents ont été créés et les écoles locales sont devenues de vrais partenaires alors qu’elles élaborent de nouvelles stratégies pour que les enfants n’abandonnent pas l’école.
Village d’Enfants SOS de São Domingos
VISITE DE TERRAIN SUR L’ÎLE DE SANTIAGO Un envol positif pour les jeunes En mission en novembre au Cap-Vert, Sophie Glesener, directrice de SOS Villages d’Enfants Monde, répond à quelques questions. Depuis 2003 et l’inauguration officielle du Village d’Enfants SOS de São Domingos, c’est votre 4ème mission au Cap-Vert. Quels changements y avezvous cette fois trouvés ? L’évolution du pays est frappante. Praia s’est bien développée. Il y a de nouvelles constructions, les investisseurs, asiatiques surtout, lancent de grands projets et le niveau de vie s’améliore. La coopération luxembourgeoise s’est, elle, investie pour soutenir le tourisme en ouvrant une école hôtelière et les énergies renouvelables avec un projet de panneaux photovoltaïques. Mais le contraste est grand entre le centre-ville et les quartiers périphériques qui n’ont guère changé. Une grande misère y règne toujours. C’est le cas à Fonton où nous avons rencontré des familles bénéficiaires d’un programme SOS. Les problèmes sociaux y sont nombreux, le chômage des jeunes atteint des sommets, de nombreuses femmes doivent subvenir seules aux besoins de la famille, de nombreuses fillettes doivent quitter l’école et les abandons d’enfants ne sont pas rares. Nous avons retrouvé la même pauvreté dans le village de Rincão près d’Assomada. Et du côté de SOS ? Lors d’une petite fête organisée pendant notre visite dans le Village d’Enfants SOS de São Domingos, j’ai revu des enfants rencontrés il y a treize ans et qui ont quitté le village ! Ce sont de jeunes adultes épanouis. Ils ont suivi des formations professionnelles, certains travaillent, deux
Sophie Glesener visitant le Village d’Enfants SOS d’Assomada
sont à l’université, tous sont autonomes. Parmi eux il y a Luis qui souffre d’un handicap mental. En 2003, il m’avait prise par la main pour faire le tour du village. J’ai constaté chez lui aussi un envol positif. C’est la meilleure preuve que les enfants grandissent avec beaucoup d’amour et une bonne éducation dans nos villages SOS. Quelles sont les nouvelles orientations de SOS Villages d’Enfants Cap-Vert ? L’association fait depuis des décennies un remarquable travail pour les enfants vulnérables. Aux côtés des pouvoirs publics, elle aide à faire bouger les lignes. Elle s’attelle à améliorer les conditions de travail des jeunes. Elle a aussi revu le concept de ses villages d’enfants. Des maisons d’accueil d’urgence y ont ouvert pour accueillir des enfants de la rue ou des enfants en danger dans leurs familles. Leur hébergement ne pouvant dépasser un an, SOS propose en parallèle un travail de sensibilisation auprès des parents ou
tuteurs pour que les enfants puissent retourner dans leur famille biologique. Il y a deux maisons à Assomada, d’autres devraient ouvrir à São Domingos. De quelle manière, SOS Villages d’Enfants Monde continuera-t-elle à soutenir ces projets de protection de l’enfant ? A partir de 2017, nous appuierons un nouveau programme de protection de l’enfant et de soutien communautaire qui vise la protection active des enfants par les familles, communautés, jeunes adultes, partenaires formels et informels. Il s’agit donc de renforcer les capacités de tous au sein de la communauté. Notre équipe projets au Luxembourg apportera un appui stratégique et un appui technique aux équipes sur le terrain. Par ailleurs nous allons nous engager dans des projets pour les enfants des rues.
Bénéficiaires du programme de renforcement des familles de Rincão (Praia)
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AIDE D’URGENCE DE SOS LORS DE CATASTROPHES NATURELLES Le Népal continue de se reconstruire Face au réchauffement climatique, les catastrophes naturelles se multiplient et tous les continents ont été touchés en 2016. L’Afrique australe et orientale a connu une terrible sécheresse. L’Asie a été malmenée par des aléas climatiques. L’Equateur a subi au printemps son plus fort séisme depuis 40 ans. Et, en automne, Haïti a été ravagé par l’ouragan Matthew. En 2015, catastrophes naturelles et climatiques ont contraint 19,2 millions de personnes à se déplacer à l’intérieur de leur pays, en Asie surtout (Inde, Chine et Népal). Selon la Banque Mondiale, elles entraînent aussi chaque année 26 millions de personnes dans l’extrême pauvreté. Forte de son expérience sur le terrain et de ses réseaux de partenaires, SOS Villages d’Enfants porte secours aux victimes de catastrophes naturelles avant d’accompagner les communautés sur le chemin de la reconstruction et de la résilience et d’aider les pays à renforcer leur capacité de réaction aux situations d’urgence. Au Luxembourg, grâce à la solidarité de ses donateurs, SOS Villages d’Enfants Monde a pu soutenir en 2016 des aides d’urgence en Haïti, en Equateur et au Népal.
Deux écoles communautaires en construction au Népal
Un an et demi après les séismes qui ont ravagé le Népal, la reconstruction avance lentement. Le pays n’a pas été en mesure de garantir de vrais logements aux victimes et des milliers de familles
Village de Changunarayan, Népal
survivent toujours dans des abris temporaires. SOS Villages d’Enfants Népal, une des premières associations à secourir les sinistrés, reste mobilisée et aidera aussi longtemps qu’il le faut les communautés les plus vulnérables à retrouver des sources de revenus et les enfants à bénéficier d’une éducation dans des environnements sécurisés.
Bilan au 3e trimestre 2016 : Prise en charge et accueil • 53 enfants non accompagnés dans 5 Villages d’Enfants SOS • 292 enfants chez des parents éloignés soutenus par un Kinship Programme (besoins éducatifs, sanitaires, nutritionnels) • 2.000 enfants dans 25 espaces d’accueil (activités éducatives informelles, soutien psychosocial, repas chauds) dont 3 toujours actifs (foyer de jour et classe d’alphabétisation)
Construction de la Shree Bhimeshwori Higher Secondary School à Bhimtar, Népal 4
Moyens de survie et sources de revenus • 1.550 familles dans 6 localités bénéficiaires de Home in a box • 700 familles soutenues par un Livelihood Programme (formations, renforcement économique) • 750 ménages bénéficiaires de Cash Based Intervention
Plan d’éducation, (re)construction d’écoles communautaires • 5.000 élèves d’écoles publiques bénéficiaires de cours de rattrapage, matériel scolaire, kits d’hygiène, vêtements chauds, uniformes • 9 centres d’apprentissage temporaires ouverts dans 9 écoles communautaires réhabilitées • 2 écoles communautaires en cours de (re)construction (bâtiments résistants aux séismes) Shree Surke Higher Secondary School à Lakuridanda et Shree Bhimeshwori Higher Secondary School à Bhimtar sont en construction (fin prévue en 2018). Cette dernière dont les travaux ont démarré en mai bénéficie du soutien financier de SOS Villages d’Enfants Monde. SOS Népal qui avait planifié 320 maisons individuelles, a reçu le 31 août les autorisations de construire dans deux des trois lieux identifiés. 177 maisons devraient voir le jour à Bhimtar et 90 à Lakuridanda.
OURAGAN MATTHEW : HAÏTI FACE À UNE CRISE HUMANITAIRE MAJEURE Protection des enfants, sécurité sanitaire et alimentaire
Centre communautaire SOS La Savane, Les Cayes, Haïti
Le 4 octobre dernier, l’ouragan Matthew dévastait le Grand Sud d’Haïti. Le bilan est très lourd : des centaines de morts, des centaines de milliers de personnes sinistrées ou déplacées, des dizaines de milliers de maisons détruites, des récoltes anéanties. Un mois plus tard, l’aide humanitaire peinait toujours à s’organiser et le désespoir et la colère gagnaient les populations qui ont besoin de tout. La protection des enfants est une priorité alors que beaucoup ont perdu leurs tuteurs ou ont été contraints de quitter leur communauté rurale pour chercher refuge en ville. Volny Etienne, directeur du Village d’Enfants SOS de Les Cayes qui a recueilli deux enfants non accompagnés, a constaté que le nombre d’enfants dans la rue a augmenté, la plupart risquant d’être victimes de trafic ou d’exploitation. La flambée de choléra, la recrudescence de maladies dues aux eaux insalubres et la crise alimentaire sont d’autres urgences.
Produits de survie et prévention sanitaire Active depuis 40 ans, SOS Villages d’Enfants Haïti a démarré un projet pour répondre aux besoins urgents de milliers d’enfants et de familles à Les Cayes et dans ses environs puis aider les communautés sur le long terme. Après avoir distribué des produits de première nécessité (eau potable, nourriture et kits d’hygiène) à plus de 500 familles,
dans les trois centres communautaires qu’elle soutient. Ils y ont aussi bénéficié de deux repas par jour et d’activités récréatives. Ces centres ont permis à SOS de toucher des familles vivant dans des quartiers inondés du sud de la ville de Les Cayes. « De nombreux enfants ont perdu leurs maisons. L’eau a emporté tout ce que leurs parents possédaient. Dans le centre communautaire aussi, tout est perdu, le matériel d’éducation, les livres ainsi que les affiches pédagogiques que nous avions préparées » expliquait fin octobre Hercule, éducateur au centre communautaire de Ti Kok. A L’Ecole SOS de Les Cayes, des spécialistes ont eux aussi aidé les enfants à surmonter leurs traumatismes.
bénéficiaires de programmes SOS et des communautés environnantes, SOS distribuera semences et matériel à des familles rurales exposées à une grave insécurité alimentaire. « Les gens doivent pouvoir replanter et de nouveau tenir debout sur leurs deux pieds » explique Volny Etienne parlant d’un risque majeur sur la production agricole. Du côté de la santé, SOS Haïti travaille aux côtés du Ministère de la Santé et de partenaires pour une campagne de vaccination contre le choléra. Par ailleurs, elle a sensibilisé 2.000 familles aux risques d’épidémies et à la prévention des maladies ainsi qu’à la protection de l’enfant.
Réhabilitation : l’Ecole SOS et quatre écoles publiques Des centaines d’écoles ont été détruites ou endommagées empêchant des dizaines de milliers d’élèves d’y retourner. A la mi-novembre, des dizaines d’écoles servaient encore d’abris temporaires. A l’Ecole SOS de Les Cayes, elle aussi endommagée, l’équipe a trouvé des solutions temporaires pour permettre aux 389 élèves de reprendre les cours (par alternance) dès le 18 octobre. Sa rénovation complète est prévue d’ici la fin de l’année alors que quatre écoles publiques (700 élèves) à Guilgaud, Léger, Tellier et Sudre doivent elles aussi être rénovées.
Soutien psychologique aux enfants En un mois et demi, SOS Haïti a dispensé un soutien psychologique et émotionnel à 500 enfants notamment
Pour soutenir les victimes de l’ouragan, vous pouvez faire un don sur www.sosve.lu ou sur le CCPL IBAN LU65 1111 0050 0053 0000 (Ouragan Matthew - Haïti)
Ecole SOS de Les Cayes endommagée suite au passage de l’ouragan Matthew, Haïti 5
JOURNÉE INTERNATIONALE DES DROITS DE L’ENFANT Le théâtre forum pour sensibiliser à la crise des réfugiés La Journée internationale des Droits de l’Enfant est un moment privilégié pour défendre et promouvoir les droits des enfants, se rappeler les nombreuses injustices perpétrées contre les enfants, mais aussi réfléchir aux valeurs et au monde que nous voulons leur transmettre. Le département Education au Développement a commémoré cette journée en organisant les 17 et 18 novembre dernier au sein du Lycée Bel-Val et de l’Ecole Privée Ste Anne, en collaboration avec la troupe Mensch : Theater !, deux matinées de théâtre forum portant sur la crise des réfugiés. Nous sommes confrontés chaque jour à des scènes de guerre et de détresse qui constituent le quotidien des réfugiés essayant de survivre dans des conditions souvent inhumaines. Nos systèmes de valeurs s’en trouvent ébranlés : la peur des étrangers influe de plus en plus sur nos façons d’être et de faire. Quelles valeurs communes dans un monde en mutation ? La troupe Mensch : Theater ! s’est imprégnée de cette actualité pour nous livrer une pièce ancrée dans l’air du temps. Lors du théâtre forum, le public fait partie intégrante de la représentation. De façon interactive et ludique, spectateurs et acteurs se mettent à la recherche d’éléments de réponses. Le « quatrième mur » tombe et le public découvre et vit le théâtre.
Matinée de théâtre avec les élèves du Lycée Bel-Val
Nous avons commencé la matinée par la représentation de la pièce Meine, Deine, Unsre Welt ! constituée de plusieurs scènes : une première scène décrit le déchirement suscité par le départ du pays natal et va jusqu’à l’arrivée dans le pays d’asile où le réfugié subit hostilité et dédain; la deuxième scène s’ouvre sur une dispute entre une sœur et un frère demandeurs d’asile, elle est désireuse de s’approprier cette nouvelle vie et de s’intégrer, lui est prisonnier de ses racines, incapable de se réinventer par peur de se perdre; la troisième scène nous montre, preuve à l’appui, le mécanisme perfide des stéréotypes et pour finir, une quatrième scène reprend le clivage persistant entre tradition et modernité en dressant le portrait d’un réfugié homosexuel incapable
Matinée de théâtre avec les élèves de l’Ecole Privée Ste Anne 6
d’avouer sa vérité à ses proches par peur d’être rejeté. Les élèves ont pu recréer ces scènes non seulement lors de la représentation, mais aussi entre eux lors d’ateliers d’approfondissement. Ils avaient la liberté de créer leurs propres scénarios abordant les thèmes du racisme, de la discrimination, de l’intégration ou encore du courage civil. Le département EDEV et la troupe ont pu tâter le pouls d’un échantillon de la jeune génération luxembourgeoise pour qui la xénophobie, la stéréotypisation ou le mobbing résonne tout aussi fortement que des valeurs telles que la liberté, l’ouverture au monde et la tolérance. Pour plus d’informations, merci de contacter viviane.lima@sosve.lu
CAMPAGNE DE PARRAINAGE 2016 Chaque enfant a droit à une vraie enfance ! Le parrainage est un engagement solidaire sur le long terme pour tous les enfants orphelins, abandonnés ou séparés de leurs parents qui ont été accueillis dans un des 1.200 Villages d’Enfants SOS et Foyers de Jeunes SOS. 81.000 jeunes y ont retrouvé une famille protectrice. Un parrain ou une marraine SOS entretient des liens privilégiés avec son filleul, suit son évolution pas à pas en correspondant directement avec lui et en recevant via SOS Villages d’Enfants Monde des nouvelles sur sa communauté et son pays. Parrainer un enfant, c’est lui donner la chance de retisser des liens affectifs au sein d’une famille SOS et lui garantir de grandir avec tout ce dont il a besoin pour se développer de manière harmonieuse (nourriture, vêtements, matériel scolaire et soins médicaux), vivre sa vie d’enfant, s’épanouir, acquérir l’autonomie nécessaire et affirmer ses droits.
Parrainer un Village d’Enfants SOS, c’est contribuer au bon fonctionnement de ses infrastructures (jardins d’enfants, écoles, centres sociaux, centres médicaux…) ouvertes aux enfants et familles SOS mais aussi aux enfants les plus vulnérables de la communauté.
Pour plus d’informations : parrainage@sosve.lu www.sosve.lu Avec 1€ par jour, vous pouvez changer la vie d’un enfant !
Monica Semedo, Ambassadrice et Marraine SOS, au Jardin d’Enfants SOS d’Assomada, Cap-Vert
MERCI - VIELEN DANK ! Projet pédagogique «Minilënster» : 1.558€ pour le Cap-Vert
Wämper Triathlon : Challenge Talkwalker : 1.740€ pour la protection de l’enfance 1.000€ pour des élèves de Guinée
Cette somme sera attribuée au Village d’Enfants SOS de São Domingos.
Cette somme sera attribuée à un programme axé sur la protection de l’enfant à Conakry.
Banque Européenne d’Investissement : 62.500€ pour l’Equateur
Bazar International : 7.500€ pour Haïti
Cette somme soutiendra les victimes du tremblement de terre qui a ravagé au printemps la côte Pacifique.
Ce don du Fonds d’aide humanitaire d’urgence du Bazar bénéficiera à des enfants et des familles victimes de l’ouragan Matthew.
Ce don permettra de fournir une éducation de qualité à plus de 2.000 élèves.
Vergessen sie nicht ihren stillen Gast für Weihnachten!
Im Namen „unserer Kinder“ danken wir Ihnen von ganzen Herzen für Ihre Unterstützung und wünschen Ihnen schöne Weihnachtstage. 7
Parrainez un Enfant SOS
Avec 1€ par jour, vous pouvez changer la vie d’un enfant ! Rejoignez Monica Semedo, Ambassadrice et Marraine SOS, pour que chaque enfant ait droit à une vraie enfance !
Vous êtes libre d’arrêter votre parrainage à tout moment en informant SOS Villages d’Enfants Monde. Les parrainages SOS sont des dons fiscalement déductibles. Vous recevrez annuellement un certificat qui pourra être joint à votre déclaration d’impôts. Ich kann meine Patenschaft jederzeit abbrechen, indem ich SOS Villages d’Enfants Monde benachrichtige. Eine Patenschaft ist eine gesetzlich von den Steuern absetzbare Spende. Sie erhalten jährlich eine Steuerbescheinigung.
Formulaire à renvoyer : SOS Villages d’Enfants Monde 3, rue du Fort Bourbon - L-1249 Luxembourg Tél: (+352) 490 430 - Fax: (+352) 407 530 parrainage@sosve.lu / www.sosve.lu
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