[Le frigo] numéro 7

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LE

le u rm fo

Numéro 7

Les nouvelles fraîches d’

DUT Services et Réseaux de Communication IUT Belfort-Montbéliard

Etudier au Québec

L’expérience de trois étudiants

Mohamed Esfih

de Montbéliard à la Malaisie

Dessin numérique

Bien commencer avec Open Canvas

Couverture : IUT Belfort-Montbéliard

Journée Portes Ouvertes Découvrez toutes les

formations à Montbéliard

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Produit le 1er février 2008, à consommer avant le 1er avril 2008 !

Télécharger le magazine : srcmontbeliard.com/mag

EDITORIAL Le Frigo n°7 février 2008 bimestriel Directeur de publication : Philippe Pracht Comité de rédaction : Jean-Claude Domenget Rédacteur en chef : Jenna Vurpillot (vurpillot.jenna@gmail.com)

Nicolas Tarier (adjoint) Megi Kraljevic (adjointe) Ont collaboré à ce numéro : Delphine Binet, Nicolas Davi, Sandrine Décembre, Mathieu Doubey, Florian Dupré, Arnaud Duredon, Anthony Faivre, Pascale Gil, Megi Kraljevic, Steeve Lecomte, Daniel Mercier, Barthélémy Monnier, Xavier Petiaux, Fanny Plaisance, Gaetan Selle, Nicolas Tarier, Anh-huy Tran, Judicaelle Trican, Jenna Vurpillot , Anthony Wittmann, Tom Zaoui Maquettistes : Aurélie Delcroix (aurelie.delcroix@free.fr)

Nicolas Tarier , Anthony Wittmann, Florent Pagnot, Clément Mulson Impression : Communauté d’Agglomération du Pays de Montbéliard (CAPM) 8 av Alliés 25200 Montbéliard

Édito En ce mois de Février plutôt refroidissant, une nouvelle ère débute !

Ce numéro du Frigo sera placé sous le signe du changement. Eh oui, une nouvelle équipe de première année prend la relève après celle des deuxième année tournée vers leur future expérience professionnelle. Ils étaient à court d'inspiration. Mais n'ayez crainte, nous arrivons avec une grande motivation. Nous laissons donc sans regret l'équipe 2007 partir tranquillement faire leurs preuves lors de leurs stages.

Qui dit nouvelle équipe, dit nouvelle formule. Au diable les anciennes méthodes. Eh oui, n'hésitons pas à évoluer !

Le Frigo devient le magazine du pôle universitaire de Montbéliard. Fabriqué par les étudiants du département SRC, nous avons besoin de votre participation pour nous transmettre les informations de vos différentes formations.

Je sens que cela vous réjouit de savoir que le Frigo prend un tournant décisif. En effet, ce numéro sera riche en informations.

Les JPO approchent. Une bonne orientation contribue à la réussite et au bonheur personnel. Notre dossier vous permettra de connaître l'ensemble des formations proposées à Montbéliard.

Un second dossier évoquera l'art numérique ou comment détourner les technologies.

Les œuvres d'art sont le résultat d'un agencement de différents objets du quotidien.

Voyageons dans l'imagination parfois surréaliste des artistes.

Jenna Vurpillot Rédactrice en chef

Agenda spectacle Vendredi 14 mars à 20h Mardi 4 mars à 20h30 Théâtre : Le chemin se fait en Impromptus : Les sons des mots, les voix des sens Hôtel de Sponeck marchant Théâtre Mardi 18 mars à 20h Jeudi 7 février à 20h Théâtre : Agatha Impromptus : Jazz et littérature Vendredi 7 mars à 20h Jeune public : Le Petit Poucet Théâtre Hôtel de Sponeck L'Arche Mercredi 19 mars à 20h Mardi 26 février à 20h30 Impromptus : La mer sait décliner les bleus Mardi 11 mars à 20h30 Danse : Lettres Spectacles Médiathèque de Montbéliard Humour : Tricicle 2 – Sit Théâtre Théâtre Mardi 25 mars à 20h30 Jeudi 28 février à 20h30 Jeune public : Bistouri Jeudi 13 mars à 20h30 Théâtre : Macbett Palot Jazz : Géraldine Laurent Théâtre Spectacles Mercredi 26 mars à 19h30 Palot Jeune public : Bistouri Palot Mardi 5 février à 20h30 Musique : Slam et souffle Palot

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actualités et critiques

La médiathèque aime les étudiants

10 ans au 10-Neuf Il n’y a pas que SRC qui fête son dixième anniversaire cette année, il y a aussi le 10neuf, le centre régional d’art contemporain.

Une exposition, projections, a été conçue à cette occasion qui s’est tenue du 14 décembre 2007 au 13 janvier 2008. Celle-ci s'est voulue avant tout une présentation d’artistes dont les œuvres n’ont pas pu aboutir ou dont les projets ont été reportés. Elle touchait essentiellement les domaines de l’image, fixe (photographie) ou en mouvement (vidéos).

Cette exposition, qui a eu un grand succès, a rassemblé 19 artistes et entre 1500 et 2000 visiteurs. Il s’agit, selon Philippe Cyroulnik, directeur du 10neuf, d’un « public large, de nombreux curieux de cultures différentes ».

En collaboration avec l’association « le Cinéma et rien d’autre », une projection de films au cinéma « le Colisée » à Montbéliard a également eu lieu.

Le 10neuf c’est aussi des chiffres impressionnants : plus de 200 artistes de toutes disciplines, plus de 100 expositions, une cinquantaine de personnes travaillant ou ayant travaillé dans le centre et des milliers de visiteurs en 10 ans…

Pour sa prochaine exposition le 10neuf se penchera sur les potentialités des matériaux et des techniques avec Champs d’expériences. De nombreux artistes, de générations différentes, seront regroupés dans cette exposition comme Eva Hesse, Bernard Frize dans la peinture ou Raoul Offmann dans le domaine de la photographie.

Cette exposition nous promet encore de nombreuses surprises !

La curiosité n’est pas un vilain défaut alors je vous invite à aller découvrir par vous-même cette nouvelle exposition qui promet de nous surprendre encore !

Etant donné que l’entrée du 10neuf est libre, vous n’aurez donc aucune excuse de ne pas y aller !

Contacts : Le 19, Centre régional d’art contemporain, Montbéliard Entrée libre, Exposition ouverte du mardi au samedi de 14h à 18h, dimanche de 15h à 18h.

Commissaire Philippe Cyroulnik Le 19, Centre régional d’art Contemporain, Commissaire associée Célia Charvet 19, av. des alliés, 25200 Montbéliard Pour tout contact presse Aurélie Goetz 03 81 94 43 58 www.le-dix-neuf.asso.fr tel (00 33) 03 81 94 43 58, agoetz@wanadoo.fr

Delphine Binet

La bibliothèque universitaire n’est pas le seul lieu indispensable pour s’instruire et se cultiver.

La médiathèque de Montbéliard (située juste à côté de la gare) offre en effet un abonnement aux livres, périodiques et un accès internet (limité à deux heures par semaine et par personne) gratuitement aux titulaires de la carte avantages jeunes. Et l’abonnement CD/DVD ne coûte que 6,10 euros à l’année ! Une somme dérisoire par rapport à l’immense catalogue disponible : 70.000 livres, 213 titres de périodiques et revues, 12.000 CD et 250 DVD musicaux. Sans oublier l’accès à des animations et expositions tout au long de l’année. La médiathèque est ouverte de 13h à 18h mardi, jeudi et vendredi, de 9h30 à 18h le mercredi et de 9h30 à 17h le samedi.

Plus d’informations sont disponibles sur le site de la médiathèque : www.montbeliard.com/ MEDIATHEQUE. Vous y trouverez également le catalogue en ligne, idéal pour s’informer de la disponibilité ou non d’une œuvre.

Mediathèque de Montbéliard Centre des Alliés 25205 Montbéliard 03 81 99 24 64

Nicolas Tarier

Le secours populaire compte sur vous !

Nous vous parlions dans le dernier numéro des actions menées par le Secours Populaire de Belfort à l’échelle locale mais celles-ci sont loins d’être les seules. En effet, de nombreuses actions sont effectuées à l’échelle internationale. Par exemple, les aviateurs de l’association Triangle Aviation ont acheminé des colis vers Ouagadougou et ont, de ce fait, contribué au développement de la solidarité au Burkina Faso en offrant une centaine de kilos de médicaments, livres de médecine, lunettes et préservatifs. La mise en place d’un verger à Boussougou est aussi à l’ordre du jour et deux maisonnettes ont été construites à Kokologo pour des « mangeuses d’âmes » (femmes exclues des villages en raison d’une croyance populaire).

Enfin, notons l’aménagement d’une cantine scolaire à Titao qui a mis fin à la prostitution des enfants dans le but de subvenir à leurs besoins alimentaires. Les résultats scolaires ont également progressé. Malheureusement, cette région du Burkina Faso a subi d’importantes inondations.

Le Secours Populaire de Belfort fait donc appel à votre générosité pour aider au redressement de la région.

Secours Populaire Français (SPF) 10, rue Paul Bert 90 000 BELFORT 03 84 22 83 09

Nicolas Tarier

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Le

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MULTIMéDIA

LE DOSSIER DU MOIS

sommaire 03

Editorial et agenda

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Actualités et critiques

06

Entrez... En quoi puis-je vous aider ?

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Sélection de sites (orientation)

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Illustration étudiante

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Oeil du photographe

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Actualité technologique

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Tutoriel Open Canvas

LA VIE DU Pôle

Après le pôle

chronique culturelle

Une présentation de toutes les formations proposées sur le pôle universitaire de Montbéliard

Débuter en dessin numériqe

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Utilisation et détournements de technologies

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Billet d’humeur : Je pollue ! Et...

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Actualité du pôle

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Retour sur la nuit du Volley

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GACO : Un semestre au Québec !

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Evènement : SRC fête ses 10 ans

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Cinéma

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Musique

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Jeux vidéo

26

Interview de Mohamed Esfih

Entrez... En quoi puis-je vous aider ? (6)

gaco : un semestre au québec (20)

de Montbéliard à la Malaisie !

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Interview Sandrine Décembre Enseignante et chef de projet communication

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Nous avont été Megalo(s)

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BD

ITW : Enseignante et chef de projet com (28)

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DOSSIER

Entrez... En quoi puis-je vous aider ?

Samedi 8 Mars 2008 se dérouleront les Journées Portes Ouvertes de Montbéliard et Belfort. L'occasion de rencontrer enseignants, professionnels, chefs d'établissement, étudiants... afin de s'informer sur les différentes formations proposées...

MULTIMEDIA DUT SERVICES ET RESEAUX DE COMMUNICATION www.srcmontbeliard.com

OBJECTIFS Le DUT prépare à tous les métiers du web et du multimédia.

ADMISSION Baccalauréat (toutes séries) sur dossier Diplôme d’accès aux études universitaires option scientifique Préparation possible en 1 an pour les titulaires de 120 crédits ou de Bac + 2.

CONTENU DE LA FORMATION Projets individuels et collectifs (sites web, applications multimédia…)

– Stage professionnel Graphisme (infographie, identité visuelle, vidéo, son, 3D) – Informatique (programmation côté client et côté serveur, modélisation de l’information) – Réseaux (système d’exploitation, administration de serveurs) – Communication (gestion de projets, scénarisation, écriture web) – Langues et e-Marketing DEBOUCHES Infographiste 2D, 3D ; maquettiste ; webdesigner ; spécialiste vidéo ; développeur web ; intégrateur multimédia ; webmestre ; administrateur réseaux ; rédacteur web ; webmarketing

MASTER PRODUITS ET SERVICES MULTIMEDIA (PSM) http://psm-serv.pu-pm.univ-fcomte.fr

OBJECTIFS Former des diplômés accordant une importance égale à la création et la réalisation de produits, au management de projets et à la stratégie d’entreprise.

ADMISSION L’admission se fait sur dossier et s’adresse aux étudiants titulaires d’une licence pour le Master 1 et titulaires d’un Master 1 ou d’un autre diplôme équivalent pour le Master 2.

CONTENU DE LA FORMATION Le Master PSM est structuré en quatre semestres. Les étudiants choisissent parmis deux parcours proposés : « Arts numériques » ou « Intégration multimédia ». En Master 1, les étudiants suivent des cours de médias numériques, de fondements du multimédia, de communication multimédia… et d’autres encore. En Master 2, les cours différents en fonction de la spécialisation de chaque étudiant mais ils gardent quoi qu’il en soit un tronc commun (marketing et management de projets multimédia, langues et communication professionnelle, méthodologie de conception de produits et services multimédia). Il réalisent également des projets tels que les projets rhizome réalisés sur deux semestres, en équipes de 4 à 6 étudiants.

Ces projets permettent la création d’un produit multimédia. Pour finir, un stage de 5mois est effectué par les étudiants de PSM ce qui leur permet d’avoir une expérience professionnelle approfondie et reconnue.

DEBOUCHES Chef de projet multimédia, directeur technique de développement, intégrateur/développeur multimédia, directeur artistique en conception et réalisation graphique, spécialiste 3D ou post-production, webmarketing…

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LICENCE 3 PSM http://psm-serv.pu-pm.univ-fcomte.fr OBJECTIFS Former des spécialistes en conception et réalisation d’applications multimédia en ligne et hors ligne ADMISSION L’admission se fait sur dossier et s’adresse aux étudiants titulaires d’une licence 2ème année, d’un DUT (SRC, R&T, Informatique, INFO COM,…), d’autres diplômes de niveau bac+2.

CONTENU DE LA FORMATION Communication, langues, marketing, informatique, multimédia…

DEBOUCHES Conception et réalisation graphique, webmarketing, développeur multimédia

MASTER RESEAU ET INFORMATIQUE MOBILES (RIM) http://stgi.univ-fcomte.fr/srm/

OBJECTIFS Par une étude complète et approfondie des réseaux avec et sans fil, puis une explication des principes de la mobilité, pour finir par une analyse des nouveaux dispositifs de communication mobiles, il vous fournit un panorama des technologies actuelles et futures.

ADMISSION Le recrutement est fait essentiellement en M2 (Master deuxième année). Si vous êtes en L3, et que vous désirez integrer dans un an le master SRM, nous vous conseillons de vous inscrire au M1 informatique de l’UFR Sciences de l’universite de Franche-Comté. Bien évidemment tous les autres M1 a dominante informatique sont éligibles.

CONTENU DE LA FORMATION 2 options sont proposées : option recherche - Option recherche (modélisation et évaluation des systèmes informatiques, modélisation des réseaux mobiles et des flux mutlimédia…)

- Option professionnelle (service en mobilité, architectures et calculs distribués, Middleware multimédia…)

DEBOUCHES La spécialité « Réseau et Informatique Mobiles » leur permet de se présenter avec un niveau de compétence adapté sur des postes d’administrateur de réseaux. Mais également de s’intégrer aisément au sein de sociétés déployant des services informatiques pour la mobilité, tant du coté développement pour les infrastructures que pour les terminaux. Leur formation leur assure des possibilités d’évolution leur permettant, après quelques années d’expérience, d’assumer des postes de chef de projet.

dossier MULTIMEDIA MASTER MENTION SCIENCES ET TECHNOLOGIES DE L’ INFORMATION ET DE LA COMMUNICATION SPECIALITE INFORMATIQUE http://sciences.univ-fcomte.fr

OBJECTIFS Ce master permet d’acquérir une spécialisation dans les domaines des systèmes et applications distribués, du développement sûr de logiciel, du parallélisme et des systèmes multimédia. Cette formation offre une finalité en recherche : préparation aux métiers de la recherche, et plus particulièrement, au doctorat en informatique et une finalité en professionnel en proposant un haut niveau en génie informatique.

ADMISSION Titulaires d’une licence d’informatique pour l’entrée en Master 1 Titulaires d’une maîtrise, d’un IUP en informatique, d’une 1ère année de Master informatique ou d’un diplôme étranger pour l’entrée en Master professionnel 2 Diplôme accessible dans le cadre de la formation continue DEBOUCHES Parcours professionnel Métiers de la conception, du développement et de la maintenance d’applications logicielles qu’elles soient embarquées, parallèles ou réparties.

Parcours recherche Enseignement et chargé de recherche dans les grands organismes.

MASTER INFORMATIQUE OPTION INFORMATIQUE PARALLELE ET SYSTEMES MULTIMEDIA http://master-info.univ-fcomte.fr

OBJECTIFS Le but est de former des cadres de niveau bac + 5, à même de répondre aux défis futurs des sciences informatiques et aux besoins des entreprises.

ADMISSION Titulaires d’une licence informatique – sur dossier DEBOUCHES Métiers de la conception, du développement et de la maintenance d’applications logiciels, métiers du déploiement, de l’administration et de la maintenance de réseaux et de systèmes, métiers du support et de l’assistance à l’utilisateur

SCIENCES, SANTE, TECHNOLOGIES DUT GENIE CIVIL OBJECTIFS Son ouverture est prévue pour septembre 2008.

Le DUT Génie Civil vise à la formation de collaborateurs polyvalents participant à la responsabilité de l’étude et de l’exécution des travaux de génie civil : - dans un bureau d’études, ils secondent les ingénieurs, - sur le chantier, ils sont en charge de l’exécution, du suivi, de la gestion des opérations et cela à des degrés différents suivant le type de chantier, - dans les laboratoires d’essais ou de recherche, ils sont chargés de l’organisation, de l’exécution et du dépouillement des programmes d’expériences.

DUT RESEAUX ET TELECOMMUNICATIONS http://gtr.iut-bm.univ-fcomte.fr

OBJECTIFS Le diplôme permet de travailler sur tout type de réseaux : réseaux nationaux et internationaux de télécommunication, réseaux locaux « bureautique « , industriels ou gestion technique, réseaux d’entreprises reliant des sites géographiques éloignés.

ADMISSION Baccalauréat, séries S et STI Diplôme d’accès aux études universitaires (DAEU B option scientifique) Possibilité de validation des acquis pour les non titulaires du baccalauréat.

CONTENU DE LA FORMATION Formation scientifique et humaine - informatique et électronique - télécommunications et réseaux DEBOUCHES Entreprises concernées par cette qualification : Toutes celles qui installent, gèrent, maintiennent, commercialisent des réseaux informatiques, industriels ou de télécommunications ainsi que leurs interconnexions. Opérateurs, installeurs, exploitants et gestionnaires de réseaux locaux informatiques, de réseaux locaux industriels, de réseaux et bus d’automatisation, de grands réseaux...

Distributeurs de matériel de télécommunications, de micro-informatiques, d’équipements pour les réseaux et leur interconnexion, de terminaux de télématique, de télécopie...

DUT MESURES PHYSIQUES MASTER INNOV-ACTEUR www.utbm.fr

OBJECTIFS Répondre aux nouveaux besoins exprimés par les industriels en terme de conception innovante.

ADMISSION Pour la formation initiale, ouvert aux titulaires d’un diplôme bac + 4 minimum : scientifique (maîtrise), technologique (ingénieur), sciences humaines et sociales (gestion, économie, écoles de commerce…)

Pour la formation continue, ouvert aux candidats qui justifient d’une expérience professionnelle significative (validation des acquis de l’expérience) CONTENU DE LA FORMATION Stratégie, choix technologiques et intelligence économique - créativité technique et métiers de conception - innovation design et perception client DEBOUCHES Métiers de conception de projets innovants, responsable de projets, opérationnel métier, appui à l’analyse stratégique de l’entreprise, veille technologie et concurrentiel.

http://www.pu-pm.univ-fcomte.fr/mp/ OBJECTIFS Le DUT forme des spécialistes aux techniques de mesures tant physiques que physico-chimiques et aux méthodes d’analyses et contrôle des matériaux.

ADMISSION Baccalauréat général et technologique notamment S, STI et STL Diplôme d’accès aux études universitaires (DAEU B : option scientifique) Possibilité de validation des acquis pour les non titulaires du baccalauréat CONTENU DE LA FORMATION Communication, langues, informatique, mathématiques, électricité, électrotechnique…

DEBOUCHES Emplois très variés dans de nombreux secteurs : automobile, aéronautique, mécanique, microtechnique, informatique, chimie et industrie pharmaceutique, environnement, agro-alimentaire…

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DOSSIER SCIENCES, SANTE, TECHNOLOGIES LICENCE PROFESSIONNELLE INTEGRATION DES PROCESSUS INDUSTRIELS ET TECHNOLOGIES DE COMMUNICATION http://iut-bm.univ-fcomte.fr

OBJECTIFS Former les étudiants aux méthodes et outils nécessaires au management de projet, à la communication interentreprises et à la conduite d’affaires entre partenaires dématérialisés, notamment lors des phases de conception.

ADMISSION Titulaires de l’un des diplômes suivants : validation d’une deuxième année de licence ou titulaires de 120 crédits, DUT et BTS des spécialités compatibles (mécanique, productique, automatique, maintenance, télécommunications, réseaux, informatique…).

Salariés ou demandeurs d’emploi relevant de la formation continue, pour lesquels la validation des acquis est possible.

CONTENU DE LA FORMATION 7 unités d’enseignement : format numérique et réseaux de communication - entreprise et aptitudes managériales - l’information « pour et dans « l’entreprise - design et prototype virtuel - méthodologie du travail collaboratif - nouveaux outils d’intégration - internet, nouvelles perspectives pour les entreprises DEBOUCHES Dans l’industrie, les diplômés IPITC adapteront les métiers aux nouvelles technologies (conception et communication). Dans les sociétés de service, ils piloteront des projets d’informatisation des processus métiers.

LICENCE PROFESSIONNELLE DOSIMETRIE ET RADIOPROTECTION MEDICALES (DORA) http://iut-bm.univ-fcomte.fr OBJECTIFS Le spectre des compétences et des activités recherchées pour le « dosimétriste » couvre principalement la dosimétrie clinique du patient effectuée sur ordinateur (TPS) mais aussi la radioprotection du patient et des personnels, la maintenance légère des dispositifs médicaux, la pratique sous la responsabilité du physicien de mesures et de contrôles de qualité des appareils et enfin la gestion des informations diagnostiques et thérapeutiques et leur transmission.

ADMISSION Titulaires d’un DUT Mesures Physiques, Génie électrique, Génie chimique, d’un BTS Manipulateurs d’électroradiologie, DEUG, DEUST ou 120 ECTS scientifiques.

Salariés ou demandeurs d’emploi relevant de la formation continue pour lesquels la validation d’acquis est possible.

Des mesures d’accompagnement et de mises à niveau scientifiques et techniques seront prévues en début de cursus selon les diplômes et les compétences des auditeurs.

CONTENU DE LA FORMATION Principes physiques de la dosimétrie et de la détection des rayonnements ionisants, bases médicales et biologiques de la radiothérapie, radioprotection, techniques et sciences associées à la pratique radiothérapeutique, environnement économique et hospitalier.

DEBOUCHES - dosimétriste dans un service de radiothérapie - technicien spécialisé de la radioprotection en milieu hospitalier - technico-commercial en dosimétrie/radioprotection dans une entreprise

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SCIENCES DU LANGAGE DE L’HOMME ET DE LA SOCIETE LICENCE LANGUES ETRANGERES APPLIQUEES http://ufr-stgi.univ-fcomte.fr/lea/

OBJECTIFS La licence LEA est une licence de langues à finalité professionnelle qui forme en trois ans de futurs spécialistes trilingues du commerce international, ou de tourisme et environnement…

ADMISSION Baccalauréat (L, ES, S …)

Diplôme d’accès aux études universitaires (DAEU A option littéraire) DEBOUCHES Toute carrière où la connaissance de deux langues étrangères de même niveau est requise : emplois intermédiaires du commerce international, responsable Office du Tourisme ou organisation nationale ou internationale secteur tourisme.

MASTER PRO : DEUX LANGUES APPLIQUEES AU COMMERCE INTERNATIONAL EN LIGNE (2LCE) http://ufr-stgi.univ-fcomte.fr/master2lce/

OBJECTIFS Permet de conjuguer les compétences des domaines de la localisation et de la traduction de sites web ainsi que le marketing en ligne, la veille internationale, la publicité en ligne, la prospection des marchés en ligne...

ADMISSION Titulaires d’une licence Langues et lettres (Anglais/Allemand ou Anglais/Espagnol Diplômés de grandes écoles de commerce (bac +4) reconnues par le Ministère de l’Enseignement Supérieur Diplômés d’une formation Informatique/Multimédia (bac +3) Titulaires d’un diplôme étranger équivalent Salariés et demandeurs d’emploi au titre de la formation continue.

CONTENU DE LA FORMATION Langues étrangères appliquées au commerce électronique - internet et multimédia pour le commerce électronique - problématiques spécifiques liées au commerce électronique -communication en ligne DEBOUCHES Acheteur media web, chef de produit, chef de projet multimédia, documentaliste internet, développeur, programmeur…

LICENCE HISTOIRE ET GEOGRAPHIE http://stgi.univ-fcomte.fr/shs/ OBJECTIF Acquérir une solide culture historique : étude des quatre périodes de l’histoire (histoire ancienne, médiévale moderne et contemporaine).

La formation nécessite esprit de synthèse et d’analyse, réflexion critique et maîtrise de la recherche documentaire. Les études d’histoire permettent d’acquérir une culture historique, de développer des savoirs et savoirs-faire transférables dans d’autres activités.

ADMISSION Baccalauréat Diplôme d’accès aux études universitaires (DAEU A option littéraire) CONTENU DE LA FORMATION Il y a un parcours mixte histoire-géographie aux trois premiers semestres et une spécialisation en histoire ou géographie à partir du quatrième semestre.

DEBOUCHES Préparation au concours de professeur des écoles, concours de la fonction publique, professions liées à l’aménagement du territoire (géo), développement des systèmes d’information géographiques...

dossier SCIENCE DE LA VIE ET GENIE DE L’ENVIRONNEMENT LICENCE SCIENCES DE LA VIE – SCIENCES DE L’ENVIRONNEMENT http://stgi.univ-fcomte.fr/svge/ OBJECTIFS Sciences de l’environnement a pour objectif de sensibiliser les étudiants aux grands problèmes environnementaux. Un effort particulier sera déployé dans le domaine de la caractérisation des polluants dans l’eau, le sol et l’air.

ADMISSION Baccalauréat S Diplôme d’accès aux études universitaires (DAEU B option scientifique) DEBOUCHES Enseignement : préparation à l’IUFM au concours de professeur des écoles, CAPES, CAPET, PLP2.

Secteur public : concours de la fonction publique Secteurs public (collectivités locales), privé ou semi-public (bureaux d’études…) : dans les domaines des pollutions (analyse, traitements), des réhabilitations de sites naturels ou industriels…

DROIT ECONOMIE ET GESTION DUT GESTION ADMINISTRATIVE ET COMMERCIALE http://gacoweb.pu-pm.univ-fcomte.fr/

OBJECTIFS Le DUT GACO forme des collaborateurs polyvalents en gestion, marketing, communication, management et logistiques. Il maîtrise les dimensions humaines, économiques et juridiques dans ses fonctions, aussi bien dans les secteurs de production que de service.

ADMISSION Baccalauréat (toutes séries) Diplôme d’accès aux études universitaires (DAEU A : option littéraire) Possibilité de validation des acquis pour les non titulaires du baccalauréat CONTENU DE LA FORMATION Droit de l’entreprise, gestion commerciale, communication, langues étrangères, comptabilité…

DEBOUCHES Cadres moyens ou collaborateurs de gestion dans les grands groupes, assistance des dirigeants dans les PME-PMI, éventuellement reprise ou création d’entreprises.

MASTER GESTION DURABLE DE L’ENVIRONNEMENT http://stgi.univ-fcomte.fr/svge/

OBJECTIFS Offrir aux futurs diplômés des compétences dans les domaines scientifiques et techniques d’une part, juridiques et économiques d’autre part, appliquées à l’expertise environnementale et à la gestion des milieux naturels et anthropisés.

ADMISSION Tous les titulaires d’une maîtrise dans le domaine des Sciences de la vie.

DEBOUCHES La spécialité DEGDR permet principalement une insertion professionnelle dans les collectivités territoriales, les secteurs industriels publics ou privés pour des postes de chargés de mission, consultants, chargés d’études ou de conseils.

Prochainement pour vous...

De nouvelles licences professionnelles devraient ouvrir leurs portes si elles sont validées par le ministère de l’Education nationale. Il s’agirait de licences professionnelles telles que : - WebDesign qui propose de former des spécialistes de la communication visuelle sur le Web. - Eadministartion qui permettrait de se perfectionner entre autres sur les enjeux et les évolutions de l’administration en ligne, le rôle des institution de référence, les risques et les enjeux des projets de dématérialisation, de savoir utiliser les outils appropriés...

- La licence en Histoire-Géographie devrait voir l’ajout de la 3ème année à Montbéliard.

RENSEIGNEMENTS

Enfin deux masters vont eux changer de dénomination.

Le master DEGDR deviendra le master Gestion Durable de l’Environnement et le master SRM deviendra le master RIM (Réseau et Informatique Mobiles)...

A Montbéliard Pôle universitaire des Portes du Jura 4 Place Lucien Tharradin 25200 MONTBELIARD Site web : http://www.pu-pm.univ-fcomte.fr/sitepupm/ Téléphone : 03 84 58 77 00 IUT Belfort-Montbéliard 03 81 99 46 62 UFR STGI (Formations de l’Université de Franche-Comté) 03 81 98 18 95 CIO de Montbéliard

Dossier rédigé par Megi Kraveljic

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MULTIMEdia

Sélection de sites :

Les JPO, L’orientation avant tout !

Les Journées Portes Ouvertes, c’est surtout et avant tout l’occasion de découvrir une section bien précise, de trouver des repères et de faire ses propres choix d’avenir ! Mais quand on est jeune, il est souvent difficile de savoir, trouver, ce que l’on désire réellement faire et vers quoi se diriger. C’est pourquoi, il existe de nombreux sites qui proposent de vous aider à faire le premier pas vers le futur... Je vous propose donc de découvrir quelques uns de ces sites, qui peuvent vous être utiles dans la course à l’avenir.

http://www.acadomia.fr

http://www.e-orientations.com

Est un site d’aide aux devoirs et de soutien scolaire, mais propose également une catégorie «orientation» pour les domaines du collège, du lycée et du supérieur. En ce qui concerne ce dernier, la catégorie «orientation» se donne pour objectifs d’établir un projet professionnel personnalisé, de confirmer une orientation ou permettre une réorientation.

le site 100% formations et métiers, est, au même titre que le précédent, un site complet qui propose des orientations post-troisième, post-bac, pour les études supérieures mais également pour trouver un emploi.

Mais Acadomia, c’est tout d’abord un site d’aide aux enfants, adolescents et adultes ; c’est pour cela que le site se propose, tout comme le ferait un conseiller d’orientation dans un centre près de chez vous, un bilan en trois séances, accompagné ou non des parents, pour déterminer les motivations et les envies de l’enfant. Vous pouvez donc choisir un test immédiat en ligne ou alors recevoir une documentation pour plus d’informations.

Ce site se présente, au niveau de l’orientation, comme un C.I.O. puisqu’il permet une prise en charge de l’étudiant dans sa recherche et un soutien afin de trouver ce qui lui correspond le mieux.

http://www.iece.info Est le site de l’Institut Européen de Coaching de l’Etudiant, autant dire un site «attrape-nigaud». Les gens, de nos jours, ont besoin d’être coachés pour tout et n’importe quoi !

Pour faire des rencontres, pour tomber amoureux, pour faire du sport, pour être beau, et maintenant même pour savoir s’orienter.

Attention, ce site se propose d’analyser vos besoins gratuitement mais les appels vers leur numéro azur est au tarif local et leur «module» d’orientation s’élève tout de même à 445 euros ! Et tout ceci pour vous aider à trouver un sens à votre avenir et à vous orienter dans la bonne direction... Ce site est un parfait placebo, pour tous ces jeunes qui croient à la pilule miracle... mais cette fois-ci la pilule est dure à avaler !

La partie post-bac nous propose de savoir, dans un premier temps, ce qu’il est possible de faire à la suite d’un bac L, S, ES, pro ou technique, mais également les possibilités d’avenir sans le bac.

La partie études supérieures se consacre aux BTS/DUT, aux études universitaires, aux classes préparatoires et aux écoles ; elle explique en détail ce que sont ces diplômes, de quelle manière ils se déroulent, les compétences requises et les structures de formation.

Sur la page d’accueil, on trouve un encadré pour tout ce qui concerne l’alternance, les formations continues, mais aussi les Portes Ouvertes.

Il est dommage que le site ne détaille pas de Il est dommage que le site ne détaille pas de liste complète des différents BTS/DUT, ou filières universitaires que l’on peut trouver. Il serait utile, à mon avis, de donner un peu plus d’informations sur ce sujet afin de donner aux étudiants une idée plus concrète de ce à quoi s’attendre, et de pouvoir trouver vraiment ce qui pourrait les intéresser, ce qu’ils aimeraient faire. C’est souvent en «tombant» par hasard sur une filière ou une école que l’on découvre sa voie...

Ces sites sont très différents, mais ils représentent néanmoins un repère dans le domaine de l’orientation en ligne. En effet, si les deux premiers sont utiles et efficaces au niveau des recherches que l’on peut effectuer, le troisième s’avère totalement inefficace et ne servirait qu’à nous perdre davantage dans ce labyrinthe de visions futures, de peurs de l’avenir, et d’hésitations permanentes ! Cela nous montre bien qu’encore une fois ce que l’on trouve sur le net n’est pas toujours fiable, et que l’on ne tombe pas tout de suite sur les réponses que l’on attendait. Il faut s’avoir lire entre les lignes et bien prendre le temps de regarder ce que chaque site nous propose avant de s’engager...

Cela pourrait vous coûter votre avenir !

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Fanny Plaisance

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L’oeil du photographe Pour ce nouveau numéro du Frigo, le thème retenu est celui des lieux clés du pôle universitaire. Ceux-ci sont nombreux (grande cour, parking, restaurant universitaire, grand amphithéatre, arrêt de bus, etc) et nous vous présentons donc certains en images.

Nicolas Tarier

Xavier Petiaux

Xavier Petiaux

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Nicolas Davi

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Actualité technologique Las Vegas du design et de l’innovation

Un florilège d’innovations, une concurrence acharnée et une stylisation des produits : tels sont les points d’orgue du CES 2008.

Pour la 41ème année, le plus grand salon mondial du multimédia et de l’informatique a ouvert ses portes le 7 janvier dernier et ce, dans la capitale du jeu : Las Vegas. Et pour ouvrir ce Consumer Electronics Show où se donnent rendez-vous tous les plus gros geek de la planète pendant trois jours, rien ne vaut le pionnier dans le domaine de la micro-informatique : Bill Gates.

Le salon CES 2008 a aussi reçu les plus grandes marques de multimédia comme Toshiba, Dell, LG, Canon et bien d’autres. Ces dernières n’ont cessé de nous étonner en présentant des produits et surtout des prototypes toujours plus innovants.

Comme chaque année, le CES est l’occasion de présenter aussi des gadgets et technos en tout genre comme un baladeur danseur chez Sony, les robots de la gamme Spykee chez Meccano ou Pleo le bébé dinosaure que l’on peut caresser, chatouiller et qui peut nous mordre le doigt.

La tendance de ce CES était bien sûr aux écrans plats et les marques comme Sony et Samsung nous ont présenté leurs écrans nouvelle technologie : OLED. Nettement supérieure à ses prédécesseurs Plasma et LCD, cette technologie a l’avantage d’offrir des écrans très fins d’environ 3 millimètres d’épaisseur. Elle équipe les baladeurs, téléphones

mobiles et appareils photo numériques.

Mais la palme d’or de ce salon, côté écran, est sans aucun doute décernée à Panasonic qui invite un monstre de technologie, un plasma proposant une diagonale record de 150’’ soit 3,81m avec un affichage au format « Full HD », le meilleur de la haute définition actuelle.

On attendait bien sûr le rayon informatique qui désormais compte beaucoup de nouveaux ordinateurs portables qui se vendent mieux que les ordinateurs de bureau. Autre innovation, au niveau du design, en réponse à l’image d’Apple, le constructeur qui impose sa tendance sur le marché. On constate également le développement du marché grâce à l’apport du design qui suffit à renouveler l’offre de machine dont les caractéristiques techniques sont semblables à celles de leurs prédécesseurs et permet aussi d’atteindre de nouvelles cibles : la gent féminine, les seniors, etc.

Le CES a donc accueilli un grand marché de l’informatique. Les ordinateurs portables, dont les ventes explosent, entraînent les constructeurs dans une guerre de l’innovation et des prix dont le résultat est toujours plus surprenant.

Le salon du CES 2008 présentait principalement des prototypes à l’inverse de l’année précédente où la tendance était à l’industrialisation. Fort de son succès, il est une référence pour les mordus d’informatique et de multimédia qui se tiennent informés des dernières nouveautés technologiques mais aussi esthétiques.

Barthélémy Monnier

Apple ne manque pas d’air Dans la foulée du CES 2008 se tenait comme chaque année l’expo Macworld. L’année dernière, la firme américaine avait mis une grosse claque avec l’iPhone et, cette année, la surprise se nommait MacBook Air. Sous ce nom étrange se cache l’ordinateur portable le plus fin du monde. 1,94 cm d’épaisseur refermé, 1,36 kg sur la balance, un écran 13.3 pouces : pas de doute, on tient bien là l’ultra-portable par excellence. Pour arriver à un tel niveau de miniaturisation, Apple a dû faire des sacrifices non négligeables : absence de lecteur CD/DVD, un seul port USB 2.0 et un disque dur 80 Go cadencé à uniquement 4200 trs/min dans la configuration de base (proposée à 1699 euros tout de même). En effet, les nouveautés se payent au prix fort puisque le modèle haut de gamme incluant un disque dur à mémoire flash de 64 Go, 2 Go DDR2 de mémoire vive et un processeur Intel Core 2 Duo à 1.8 GHz vous coûtera 2868 euros. Irréprochable en termes de finition, d’esthétique et d’ergonomie (intégration d’un pad multi-touch façon iPhone), le MacBook Air semble tout de même bien trop cher pour sa configuration (prix double voire triple par rapport à la concurrence).

Nicolas Tarier Le

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Tutoriel Open Canvas 01.

Comment réaliser un dessin avec Open Canvas.

La première chose, lorsque vous voulez commencer un dessin, est de travailler sur un espace très important (3000x4000 en 150dpi). Il est préférable de travailler avec une tablette graphique pour être d’une part plus précis, et avoir d’autre part un rendu bien plus net qu’avec un dessin scanné.

Votre Line est enfin terminé.

Fusionnez les calques visibles dans la fenêtre des calques.

Tout d’abord, commencez par travailler la forme globale du dessin. On appelle cela un croquis préparatoire, qui vous aidera pour la construction de votre personnage.

Qu’est ce que Open Canvas ?

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pen Canvas est un logiciel orienté dessin créé par Portalgraphics, une filiale de Microsoft Japon. Ce logiciel est déstiné à tous ceux qui souhaitent s’initier au dessin et à la peinture numérique. Il est très simple d’utilisation et très léger.

Gérant les calques et les masques de fusion, il possède de nombreux filtres et configurations de brushes.

Il offre également la possibilité d’enregistrer au format PSD. Un petit Photoshop simplifié en fait, puisqu’il possède quasiment les mêmes outils que son grand frère.

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Réalisez les premiers aplats de couleurs sur votre personnage. Il est très important d’avoir des teintes harmonieuses. Il existe un petit logiciel très pratique pour créer des harmonies de teintes : Colorcache.

Déposez un calque par dessus pour repasser et faire le Line (les traits propres et noirs), puis diminuez l’opacité du calque de votre croquis.

Open canvas: http://www.portalgraphics.net/en/

Colorcache: h tt p : / / w w w. c o l o r c a ch e . c o m / download.shtml

Conseils : > N’hésitez pas à varier les formes de pinceaux utilisées. > Configurez plusieurs brushes, une pour les détails (3px), une autre pour les traits principaux (6px) et enfin une pour les premiers plans (8px). > Faites varier la pression de votre stylet pour éviter les traits trop linéaires. > Le miroir horizontal (Ctrl+R) s’avère très utile si l’on ne voit pas les défauts de son dessin.

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Créez un calque par aplat.

Commencez par la peau, et descendez du plus près au plus loin.

Cela permet entre autre de gagner du temps sur le contourage grâce au chevauchement des calques.

Conseil : > N’utilisez pas d’outils de sélection tels que la baguette magique, avec un dilatage d’un pixel, car c’est très aléatoire, et il est fort possible qu’il y ait soit du débordement, soit des petits points blancs sur les contours.

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Il faut maintenant poser les ombrages sur le visage. Choisissez une couleur un peu plus foncée puis positionnez les couleurs, en gardant toujours à l’esprit d’où provient la lumière (par exemple sur ce dessin, la lumière vient de la droite).

Afin de donner cet aspect un peu «peinture» au dessin, il faut marier les deux couleurs, celle de la peau et celle de l’ombrage.

Il suffit de configurer votre pinceau Aquarelle de cette façon, puis de choisir la couleur la plus claire et de balayer avec votre rush l’extrémité qui touche les deux couleurs.

N’oubliez pas de préserver la transparence dans la fenêtre de calques. Elle permet de ne pas déborder lorsque l’on travaille sur un calque. C’est l’équivalent du verrouillage de calques sous Photoshop.

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Coloriser un oeil se révèle assez simple. Il suffit d’effacer l’iris du line, puis de le refaire sur un nouveau calque. Choisissez une couleur de reflet, et n’oubliez pas de mettre un point blanc au centre de l’oeil.

Lorsque vous avez terminé, refaites un contour noir autour. N’oubliez pas par la suite, de créer un reflet dans l’oeil par dessus le line.

Finissez par les détails, les objets, les feuilles et enfin les retouches finales.

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Florian Dupré http://florian70k.blogspot.com Le

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Dossier : Utilisation et détournement de technologie Sonia Cillari, Osman Khan et la compagnieTPO sont quelques uns des artistes ayant présenté leur œuvre lors de l’évènement [ars] Numerica : La scène dans tous ses états. Pour nous, ils ont accepté d‘expliquer plus en détails le fonctionnement et le concept de leur production.

Sonia Cillari : Au cœur de Si Mi Sei Vicino Sonia Cillari s’intéresse beaucoup au corps humain en tant qu’interface. Comment l’environnement peut-il reconnaître, comprendre et représenter les états non rationnels comme les émotions ou les intentions ? C’est une question à laquelle Si Mi Sei Vicino essaye de répondre. Pour rappel, cette production matérialise de manière sonore et visuelle le contact entre un individu et d’autres. Mais comment cela fonctionne t-il ?

Le système sensitif capture les interférences énergétiques, le champ biomagnétique, se situant à l’intérieur et à l’extérieur des corps bougeant sur l’interface. Cette interface consiste en un sol sensitif, une grille constituée de capteurs de proximité électromagnétiques captant des ondes radio. Ces capteurs saisissent les signaux électromagnétiques et la position des pieds. En marchant sur le sol, de basses fréquences et de basses tensions sont émises. S’approcher de la personne sur la dalle électromagnétique centrale donne du volume à la visualisation 3D et de l’intensité au son.Toucher cette personne en un ou plusieurs endroits pousse l’interaction au maximum. L’environnement est donc à même d’analyser entièrement les déplacements des individus et les contacts entre ceux-ci et de les représenter sur un double écran via des graphiques en 3D et par des enceintes via un bruit de fond de plus en plus ample.

Osman Khan : Unviewed 243cm de haut, 121cm de large : le massif bloc noir créé par Osman Khan intrigue de prime abord. Qu’at-il de si particulier ? Il diffuse un message invisible à l’œil nu mais visible à travers un écran de téléphone portable, caméscope numérique ou appareil photo numérique. Ces derniers captent en effet le spectre des longueurs d’ondes. Concrètement, un ordinateur envoie un flux vidéo à la dalle via un câble ethernet, grâce à l’utilisation de protocoles développés spécifiquement pour l’œuvre. Ce flux est affiché sur la dalle au moyen d’environ 3000 LEDs infrarouges disposées comme une grille. Chaque LED est contrôlable individuellement et cela permet donc de diffuser n’importe quel message, avec des caractères plus ou moins gros.

T.P.O : Le Jardin Japonais CCC est installé à l’intérieur d’un espace scénique à plan central conçu par le T.P.O., en collaboration avec Martin Von Gunten pour la réalisation de mises en scène théâtrales interactives. L’installation est formée d’un tapis de danse blanc, d’un projecteur vidéo qui transmet depuis le haut des images animées et d’un système de 32 capteurs (dissimulés sous le tapis) qui réagissent aux impulsions en synchronisant les sons et les images. Sur le tapis apparaissent des paysages virtuels qui permettent le développement de jeux et d’actions individuelles ou de groupe. En entrant dans cet espace scénique, on peut ainsi créer des compositions musicales, animer des images et d’autres événements complexes à travers le mouvement et la pression exercée sur les capteurs.

Nicolas Tarier

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la vie du pôle

Billet d’humeur On ne pollue pas que la nature !

Daniel Mercier (enseignant en communication) Je pollue ? Eh oui ! On échappe difficilement à la séduction gaspilleuse des commodités de la vie – confort, facilité, nouveauté, esbroufe – même si le peu de raison qui nous reste démontre à l’évidence l’absolue vanité et la réelle dangerosité de nos croissances déboussolées.

Mais laissons là morale et économie, dont nous sommes un peu las, et profitons de ces quelques lignes pour évoquer un type de pollution auquel notre époque postmoderne se livre avec délice : la pollution de la langue française.

Toutes les langues procèdent, au cours de leur histoire, à la création de mots nouveaux par emprunt au lexique des langues voisines. Cette naturalisation de mots étrangers constitue un réel enrichissement culturel quand il s’agit d’exprimer des notions nouvelles que la langue nationale ne sait pas encore désigner.

Mais ce n’est pas ce que l’on observe aujourd’hui avec la «pollution» du français par des mots et tours de phrase importés sans nécessité des EtatsUnis d’Amérique. Apparemment, la séduction de la première puissance économique mondiale est telle que beaucoup sont prêts à souligner dans leur comportement langagier quotidien leur admiration sans borne pour la vision du monde nord-américaine.

C’est ainsi que les membres des « élites » économique et politique, efficacement relayés par les journalistes de radio et de télévision qui s’en voudraient de n’être pas à la mode, truffent leur langage d’anglicismes ou d’américanismes ridicules.

Avez-vous remarqué que le mot occasion a quasiment disparu du vocabulaire à la mode ?

Personne n’a désormais l’occasion de faire ceci ou cela, comme on disait il y a peu : on a maintenant l’opportunité de… (opportunity = occasion). De même, il n’y a plus de défi mais des challenges (challenge = défi) ; plus de marché ou de d’offre mais des deals (deal = accord, marché). Les gens importants ne sont plus, comme naguère, chargés de faire ceci ou cela : aujourd’hui, quand on est quelqu’un, on est en charge de telle ou telle chose ( to be in charge of : être chargé de). Sur le même modèle prétentieux et fautif, les « élites » ne sont plus responsables de ceci ou cela mais sont désormais en responsabilité de… Etc., etc.

« C’est ainsi que les membres des élites économique et politique, [...] truffent leur langage d’anglicismes ou d’américanismes ridicules. » Plus ridicule encore, invraisemblable séquelle de la guerre civile américaine dite guerre de Sécession, les habitants du Nord (de la France ou d’ailleurs) ont cessé, en langage audiovisuel, d’être nordiques pour devenir systématiquement nordistes ! L’absence en français de l’adjectif sudique nous a heureusement dispensés de traiter les marseillais de sudistes…

Je laisse de côté, faute de place, les people et le jet-set, le top 10 et le prime time ainsi que tous les jargons techniques qui ne sont pas up to date tant qu’ils ne sont que français…

Décidément, on se la joue States à notre époque.

Jenna Vurpillot (rédactrice en chef, élève de SRC1) Je pollue et on nous demande de faire des efforts pour faire attention : tri des déchets par exemple. Ok ! Pour la plupart des ménages, on le fait tous ! C’est bien, on avance. Mais ca ne gêne personne que pour faire le TGV, on détruit des maisons, des routes, des forêts, et même des montagnes. Les arbres, c’est ce qui nous fait vivre, n’est ce pas ? Et ca, ca ne préoccupe personne ? On avait pourtant des TER, ils fonctionnent bien mais le choix de la nation se porte sur la volonté d’être les plus rapides au niveau technologique. Il faut obligatoirement faire des sacrifices. Ces derniers temps, notre Terre a manifesté plusieurs fois qu’elle était en danger. On ne nous le cache pas, ca fait les gros titres. On a l’automne en été, et l’été en automne…et on se demande si on est réellement en hiver. Incroyable non? Il faut réagir! On le doit pour notre bien être.

En ce qui concerne le vocabulaire, ça m’arrive de polluer. Oui, je l’admets. Mais je fais des efforts.

Le principal, c’est de bien se relire. Je conseille à tous les jeunes de faire attention au français car il n’y a pas de miracle. Si on veut être pris dans une école ou dans une entreprise, il faut soigner son français.

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Conférences de l’Université Ouverte Toutes ces conférences auront lieu dans le Grand Amphithéatre du Pôle Universitaire du Pays de Montbéliard. Pour plus d’informations visitez le site officiel http://universite-ouverte.agglo-montbeliard.fr

Le colonel Nasser : aux sources du nationalisme arabe Jean-Paul BRUCKERT Le 7 février à 18h Chimie innovante appliquée à l’énergie et à l’environnement Didier KLEIN Le 25 février à 18h 1848, les écrivains et la deuxième république Florent MONTACLAIR Le 28 février à 18h Quoi de neuf chez les fourmis des bois du Jura !

Daniel CHERIX Le 3 mars à 18h Du registre familier à l’argot dur Jean-Paul COLIN Le 6 mars à 18h Les sols du Jura : une diversité incroyable...et souvent bien cachée Jean-Michel GOBAT Le 10 mars à 18h Beucler, la Russie et le roman russe Bruno et Geneviève CURATOLO et CHOVRELAT Le 13 mars à 18h Une curiosité naturelle, entre l’animal et le végétal : les myxomycètes Michel POULAIN Le 17 mars à 18h L’asthme allergique et les autres asthmes comment vivre (bien) avec ?

Alain DUBIEZ Le 20 mars à 18h Medias et multimédia : la redistribution des cartes (1) Ioan et Daniel ROXIN et MERCIER Le 31 mars à 18h Le chocolat : un art, un plaisir ou un danger ?

Didier KLEIN Le 3 avril à 18h

Zoom sur une conférence Médias et multimédia : la redistribution des cartes Lundi 31 mars et lundi 21 avril 2008

La révolution numérique a bel et bien eu lieu à la fin du 20ème siècle, transformant profondément la quasi-totalité des activités humaines dans les pays industrialisés ou «émergents».

La révolution numérique, c’est d’abord la représentation par des nombres de tout type d’information (texte, image fixe ou animée, son, odeur) ; d’où, conséquence essentielle, la possibilité de mémoriser et donc de conserver, de structurer et de lier tout type d’information sur un même support ; d’où, enfin, la possibilité de diffuser toutes ces informations sur les mêmes réseaux à l’échelle planétaire…

Ainsi, une formidable puissance de calcul et de simulation associée à une capacité de stockage de l’information quasiment illimitée ainsi qu’à une diffusion instantanée à travers un tissage sans cesse plus serré de réseaux numériques interconnectés, tout cela a totalement bouleversé non seulement notre espace économique et social (ni les communautés virtuelles tant célébrées, ni la mondialisation tant décriée ne sont pensables sans la révolution numérique…), mais aussi notre espace de savoir et de loisir, d’apprentissage et de jeu, d’information et de divertissement…

Et c’est précisément à travers une réflexion consacrée à l’impact de la révolution numérique sur les médias – c’est-à-dire sur les milieux de diffusion de nos idées – que les conférenciers s’efforceront de présenter les nouvelles techniques d’où procéderont les nouveaux milieux dans lesquels diffuseront, pour le meilleur et pour le pire, les idées de demain.

Daniel Mercier

GACO organise un Lot’eau Cinq étudiants de GACO (Gestion Administrative et COmmerciale) organiseront prochainement un loto plein de bonnes intentions. En effet, pour fêter la journée mondiale de l’eau, tous les bénéfices de ce loto seront destinés au financement de pompes à eau au Bénin et au Bengladesh.

L’antenne de l’UNICEF de Besançon se chargera d’acheminer les pompes dans ces pays qui en ont grand besoin. 4000 enfants meurent chaque jour de maladie diarrique.

L’eau potable manque cruellement. L’arrivée de pompes à eau laisserait également du temps libre aux jeunes filles qui pourront ainsi être scolarisées. Le loto aura lieu à la salle de la Chiffogne Victor Hugo à Montbéliard le 22 mars prochain.

Nicolas Tarier

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la vie du pôle

Quand la bonne humeur rencontre le volley !

Quoi de mieux qu’une rencontre sportive après les copieux repas de fin d’année ? Les amateurs de sports collectifs et de ballons ronds étaient conviés à la « 7ème nuit du volley », le jeudi 17 janvier au complexe sportif des Portes du Jura.

Ce tournoi regroupait tous les amateurs de volley du pôle universitaire mais aussi lycéens de la région ; Belfort, Vesoul, ou encore Besançon étaient au rendez-vous. Ici, place à la compétition, mais aussi et surtout à la bonne humeur des participants qui ne s’étaient pas moins pris au

par Steeve Lecomte

jeu. Peinture sur le visage pour certains, tee-shirts à l’effigie de leur équipe pour d’autres, quoi de mieux pour intimider l’adversaire ?

Mais pas seulement, notons également la présence d’un animateur qui enrichit l’ambiance bon enfant et conviviale de cette rencontre.

Musique, lumière, et surtout place au match !

Echauffement de rigueur entre coéquipiers, l’esprit de compétition ne se fait pas oublier dans la tête des participants venus pour quelques uns bien avant le coup d’envoi des matchs.

Nous remarquons quand même le manque de participants pour cet événement, alors que la section volley du jeudi soir regroupe pas moins d’une trentaine de participants, rien que sur le pôle universitaire des Portes du Jura ! Quel dommage pour une rencontre aussi sympa et bien organisée que celle-ci.

Le tournoi s’est terminé en fin de soirée, accompagné par un petit supplément fête pour les participants les plus téméraires ! Rien de tel pour décompresser et discuter avec ses adversaires d’un soir.

Mais ne vous inquiétez pas pour tous les retardataires passionnés de volley ! L’option se déroule tous les mercredis soirs au gymnase des Portes du Jura, à partir de 18h.

Steeve Lecomte

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GACO Un semestre au Québec !

Deux étudiantes et un étudiant de DUT GACO (Gestion Administrative et COmmerciale) ont décidé de faire leur premier semestre de seconde année au Québec. De retour en France, ils nous racontent leur expérience pour le moins extraordinaire.

Tout d’abord pouvez-vous vous présenter brièvement et nous expliquer les raisons pour lesquelles vous êtes en GACO ?

Kelly : J’ai 21 ans et je sors d’un bac pro comptabilité. J’ai choisi de venir en GACO pour son ouverture internationale car je comptais faire un stage à l’étranger.

Emilie : J’ai 19 ans et un bac ES en poche. Le DUT GACO m’intéressait car j’avais très envie de partir au Québec.

Jean-Benoît : Pour ma part j’ai 24 ans et j’ai fait un bac STT option commerce. Je suis venu en GACO car c’était la continuité de mes études. J’ai fait auparavant une fac de psycho pendant deux ans.

faire quelque chose il y a toujours quelque chose d’ouvert.

Je noterais comme Kelly que c’est une ville multiethnique (indien, chinois, etc) et on se sent chez soi directement.

Kelly : D’ailleurs quand on dit « On retourne à la maison » on pensait à Montréal et notre petit appart.

Emilie : Mais on aime bien la France quand même. (rires) Jean-Benoît : Moi également je suis parti pour devenir bilingue. On se sent vraiment intégré quelle que soit notre culture. Les gens sont accueillants, souriants, ils aiment bien le melting-pot de cultures. La ville ne dort jamais.

On peut la traverser dix fois on ne verra jamais les mêmes choses. Forcément on a un petit coup de blues en rentrant.

Quels sont vos sentiments sur votre semestre au Québec ?

Kelly : Le Québec était une super aventure, quatre mois formidables. Je suis partie pour faire une petite coupure avec la vie ici, voir autre chose, prendre un peu mon indépendance. Ca m’a aussi permis de m’améliorer en langue. La ville de Montréal est franchement superbe à plusieurs points de vue. Elle est très attractive, il y a beaucoup de choses à faire. Il y a beaucoup de cultures mélangées, on est rapidement intégré car les gens sont très ouverts d’esprit et ont beaucoup d’humour. Les québécois sont vraiment agréables (aussi bien les élèves que les voisins). C’est que du positif.

Emilie : Pour moi également ça a été une aventure exceptionnelle. Je pense que je n’aurai pas à nouveau l’occasion de partir dans ces conditions. Au début je me suis dit que j’allais faire un semestre bilingue, je voulais partir pour les langues. Une fois au Québec je me suis aperçue que c’était vraiment intéressant puisque ça m’a poussée à devenir autonome.

J’ai découvert des personnes exceptionnelles et vécu une aventure hors du commun.

Montréal vit 24h sur 24, il y a toujours quelque chose à faire. Si à 20h ou 2h du matin on veut

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Kelly : Je dirais même une bonne claque. On ne part que quatre mois et pourtant on doit se réhabituer à chez nous quand on rentre.

Emilie : On est vraiment surpris en revenant.

Quelles sont les différences notables entre le système éducatif Québécois et français ?

Jean-Benoît : On a été à deux CEGEP (Collège d’Education Générale et Professionnelle) : André Laurendeau (francophone) et Vanier (anglophone). On avait environ 26h de cours par semaine.

Kelly : Avec 60% de cours en français et 40% en anglais.

Emilie : Au Québec les professeurs sont vraiment passionnés, ils vivent leurs cours.

Kelly : On peut les tutoyer, les appeler par leur prénom.

C’est dans la bonne humeur et le respect.

Jean-Benoît : Et l’autodiscipline est impressionnante…

Kelly : Et les gens sont attentionnés !

Emilie : Tout à fait. Par exemple les profs s’adressent à nous directement même quand on est en groupe. Là-bas on avait des cours beaucoup plus axés marketing car on était en formation Business. On a eu beaucoup beaucoup de pratique. Par exemple quand on avait trois heures de cours il y en avait au mieux une seule de théorique.

Jean-Benoît : Et ils mettaient obligatoirement un élève

Kelly

la vie du pôle français avec un Québécois pour favoriser l’intégration, donc on a vite tissé des liens.

Kelly : A la fin on se mélangeait de nous-mêmes.

Un petit mot sur l’accent québécois ?

Kelly : On s’habitue à l’accent. Par contre pour les Québécois, nous avons un accent snob.

Jean-Benoît : Oui, snobs, avec notre bon vin et nos fromages. Voilà à peu près la description d’un Français pour eux. (rires) Vous avez également bien voyagé.

Emilie : Nous avons fait plusieurs sorties toutes bien encadrées. Notre tuteur prenait de son temps libre le weekend pour nous emmener dans différents lieux Ottawa, Laurentides, Québec (la ville même).

Kelly : On est aussi allé à New York trois jours et JeanBenoit est allé deux jours à Tadussac où il a pu voir des baleines.

Et comment avez-vous financé ces quatre mois à l’étranger ? A-t-il été difficile de trouver un logement ?

Jean-Benoît:Lelogement on l’a trouvé sur internet.

J’insiste sur le fait qu’il ne faut pas hésiter à regarder les sites de collocation. Au Québec on a rencontré des Français qui ont trouvé très facilement leur logement directement sur place.

Kelly : Pour le financement on a obtenu une bourse. La bourse régionale Aquisis. Elle finance un peu moins d’un quart du prix du séjour.

Emilie : Du style entraînante et qu’on retient facilement.

Jean-Benoît : Avec des paroles à la Céline Dion ! (rires) Tous : Le hockey est une religion chez eux. On est allé voir un match des Montréal Canadians. « Go hab’s go » c’est le slogan des Montréal Canadians que tout le monde scandait. (Auparavant l’équipe s’appelait Montréal Habitants).

Emilie

Emilie : Il y avait une ambiance impressionnante, le stade est immense, très haut.

Jean-Benoît : Et je précise qu’il y a un match tous les deux jours. D’ailleurs l’abonnement le plus cher à l’année coûte 100 000 dollars canadiens (environ 80 000 euros).

Kelly : A ce prix là c’est la place VIP très classe.

Les matchs ont lieu au Centre Bell. C’est une salle énorme et très modulable. Il y a eu des concerts (en l’occurrence Bon Jovi quand on y était) mais il y aussi des matchs de hockey et de basket. A Montréal à chaque station de métro il y a un truc à faire.

Concernant la nourriture, la poutine est le plat québécois par excellence. On a envie d’en manger n’importe quand et on peut en manger n’importe où (cantine, Mc Donalds, etc).

Jean-Benoît

On parle aussi beaucoup des fameux centres commerciaux sous terre au Québec.

Kelly : Oui. On trouve une station de métro et on passe la journée sans sortir dehors au froid. Il y a une ville souterraine, vraiment.

Emilie : L’entrée des bâtiments est souvent sous terre donc on monte dans les étages sans jamais sortir dehors.

Une petite anecdote pour finir ?

Emilie : Après il faut surtout bien s’organiser entre colocataires pour les courses, acheter des cahiers, des bouquins, etc. Chacun doit s’assumer. Certes ça coûte cher mais ça vaut vraiment le coup de partir.

Kelly : En partant on prend du recul et on rencontre des gens géniaux.

On grandit dans sa tête à une vitesse impressionnante.

Emilie : Quand je suis partie j’avais 18 ans, quand je suis revenue j’en avais 35 ! (rires)

Jean-Benoît : Oui. On a essayé d’expliquer le football européen à un Québécois (soccer chez eux) qui ne connaissait que le football américain à l’occasion d’une partie de PES (Pro Evolution Soccer). Mais il n’a rien compris. (rires) Merci infiniment de m’avoir accordé cette interview.

Propos recueillis par Nicolas Tarier

Parlez-moi un québécoise.

peu

de

la

culture

Jean-Benoît : Ils aiment bien la musique folklorique.

Autre moyen de découvrir la ville, Montréal en 12 lieux est un site rich media sur lequel un ancien étudiant SRC a travaillé, Jérôme Vercey - Promo 2002-2004 : www.mtl12.com Le

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chronique culturelle

SRC : 10 ans de bonheur Les 17,18 et 19 janvier derniers, le département SRC (Services et Réseaux de Communication) de Montbéliard, a fêté ses 10 ans. Pendant trois jours, la fête fut au rendez-vous. D’abord le « Défi 48h », mettant à l’épreuve les talents des actuels étudiants de la formation dans la création de sites web, dans un temps imparti de 48 heures. Puis le dernier jour fut consacré à la célèbre « Journée des Anciens », événement annuel reconverti pour l’occasion en une cérémonie de grande envergure. Retour sur cette journée peu ordinaire.

Après l’accueil de toutes les personnes conviées qui ont pu se libérer dès 9h le matin, la journée a commencé à 10h par la projection des projets réalisés les jours précédents lors du « Défi 48h ». L’occasion de remercier Céline, Mickaël, Fabien et Paul, élèves de seconde année SRC, à l’origine de ce projet. Bonne humeur et applaudissements furent bien sûr de la partie.

Rapide buffet le midi, entre rires et anecdotes, où se côtoient dix promotions d’élèves et d’enseignants.

Puis, dans l’après-midi, à l’intérieur même du bâtiment SRC – histoire de choquer les mémoires – ex-étudiants partagent leur parcours. Certains sont encore étudiants, d’autres analystes programmeurs, chefs de projet ou encore professeurs. Des graphistes, qui soulignent l’importance du Book, aux ingénieurs développement, tout un panel d’histoires et de métiers est représenté.

Cependant, les deux moments forts de la journée resteront la cérémonie officielle et la soirée anniversaire.

Le premier tout d’abord, à 18h, qui évoqua le département de sa création à nos jours, discouru par M. Viezzi, actuel chef de département, ainsi que M. Mercier et M. Roxin, figures emblématiques des lieux.

Le second ensuite, dès 21h30 à Voujeaucourt, pour conclure une journée riche en émotions (conclusion toute aussi riche par la même occasion).

Un grand merci à tous les participants bien entendu, sans qui cette journée n’aurait pas eu lieu, mais aussi les professeurs, et tous les bénévoles, qui ont préparé la fête et les buffets, assuré le bon déroulement de la journée et la buvette en soirée.

L’ensemble de la journée fut retransmis en temps réel sur le blog officiel, créé spécialement pour l’occasion. Par ailleurs, l’ensemble de la journée fut filmé par Anthony, Jenna et Tom, élèves de première année, et photographié par Daniel Mercier, fondateur du département et actuel enseignant. Un lien tissé entre festivités et nouvelles technologies, pour rappeler ce qu’est SRC Montbéliard, et ce qui en a fait, depuis 10 ans déjà, probablement la formation SRC la plus connue en France.

Blog officiel de l’événement : https://src-projet. pu-pm.univ-fcomte.fr/Blog10ans

Nicolas Davi

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chronique culturelle

Cinéma

Jenna Vurpillot

Braveheart

Date de sortie : 04 Octobre 1995 Réalisé par Mel Gibson Avec Mel Gibson, Sophie Marceau, Catherine McCormack Film américain Genre : Historique, Guerre, Aventure Durée : 2h 45min

L’histoire se passe en Ecosse sous la coupe et la domination d’Edward Le Sec. Mel Gibson joue Williams Wallace. Il prend la place de leader pour la libération de l’Ecosse sous l’autorité anglaise qui se permet d’abuser de son pouvoir. Révolté après l’assassinat de son amour caché, il décide de partir à la conquête de la liberté. Rempli de courage, de volonté et de motivation, il arrive à se faire une armée. Futé, il arrive à gagner contre l’ennemi bien plus puissant. Il est finalement trahi par ses « alliés » qui le vendent à l’ennemi contre des terres. Wallace meurt dignement en rejoignant sa belle et tendre dans l’au-delà après avoir hurlé « Liberté ».

Tant au point de vue graphique, réalisation, composition musicale, choix des personnages, mise en place de l’histoire, tout, tout, tout a été très bien choisi. Néanmoins, certaines scènes sont choquantes et ne peuvent pas être vu de tout public. Une telle histoire devrait être montrée aux enfants pour la culture. Cependant, ce qui est montré, n’est que l’image de ce qu’il s’est réellement passé, bien que quelque peu romancé.

30 Jours de nuit Date de sortie : 09 Janvier 2008 Réalisé par David Slade Avec Josh Hartnett, Melissa George, Danny Huston Film néo-zélandais, américain Genre : Epouvante-horreur, Thriller Durée : 1h 45min

L’action se déroule en Alaska, durant les 30 jours de nuit que subit la région chaque année. Les vampires, allergiques à la lumière du soleil, vont profiter de cette pénombre pour dévorer la population locale.

La mise en place de l’histoire reste laborieuse. La galerie de personnages ne brille pas par son originalité, mais reste néanmoins efficace dans ce film. On assiste à des scènes très surprenantes, mais dans un tout relativement mou. Des scènes assez dures : les nombreuses décapitations à la hache nécessaires à la survie du groupe.

Côté réalisation, des gros plans sur des regards, des scènes en hors-champ bien trouvées qui augmentent la tension chez le spectateur, les vues aériennes au-dessus de la ville durant le massacre des villageois, dans le style des premiers GTA.

Le renard et l’enfant Date de sortie : 12 Décembre 2007 Réalisé par Luc Jacquet Avec Bertille Noël-Bruneau, Isabelle Carré Film français Genre : Aventure Durée : 1h 32min

Après le succès retentissant de La Marche de l’Empereur, Luc Jacquet lorgne du côté de L’Ours de Jean-Jacques Annaud et cherche à nous emporter dans un conte. Il arrive à réveiller l’enfant qui est en nous. Cette histoire magnifique d’amitié entre un renard et une jeune fillette nous émeut et nous fascine. Une ambition amplement satisfaite à l’écran. Les décors sont majestueux. On a du mal à croire qu’il existe de si beaux paysages. D’autant plus que certaines séquences ont été tournées en France. Par ce film, Luc Jacquet nous a bluffés et nous met en appétit pour d’autres réalisations de ce genre.

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chronique culturelle

Perdu dans la musique

Cinq jeunes étudiants se lancent dans la musique. M. Faivre, porte-parole de Losteen, nous raconte l’histoire d’un groupe qui est sur le point de sortir un album intitulé « Remain Dreamer ».

Pouvez-vous vous présenter ?

Je suis membre du groupe Losteen. Je suis un étudiant de 20 ans. Je suis l’un des fondateurs de ce groupe. Nous sommes quatre : Jerem’ (batteur), Bryan (bassiste), Seb (guitariste) et moi (compositeur, guitariste et chanteur).

De quand date la naissance de ce groupe ?

Ce groupe s’est composé en printemps 2006. Le batteur et moi avons sympathisé lors d’un concert. Nous faisions partie de groupes de musique (pop/rock et métal) et nous avons décidé de fusionner ces deux tendances pour créer un groupe de Grunge.

Vous êtes étudiants, quand prenez-vous le temps de répéter ?

Nos lieux d’études sont dans différentes régions, ce qui ne facilite pas les choses mais nous restons géographiquement très proches en ce qui concerne les lieux de résidence principale. Nous nous rejoignons le dimanche, ainsi que les jours fériés et pendant les vacances scolaires.

Que comptez-vous faire de vos chansons ?

Nous sommes en cours de réalisation d’un album intitulé REMAIN DREAMER, ce qui signifie « rester rêveur ». Pour faire partager nos musiques avec notre public, l’album devait se concrétiser. Pour le titre, je voulais que l’idée de rêve ait une place. Toutes mes pensées ne seraient pas les mêmes si je ne rêvais pas. Je pense qu’on a tous en nous une partie de rêve.

Quel est le style musical de votre album ?

Dans l’ensemble, mélancolique. La musique est calme et parfois sauvage. Il n’y a pas de moments joyeux tout simplement car mes compositions sont le reflet de mes mauvaises passes.

Comment vous débrouillez-vous pour financer cette passion et ce projet ?

On répète dans mon garage. Ce n’est pas toujours évident à cause du bruit. On fait des sacrifices. Par exemple, pour enregistrer nos sons, nous avons tous participé pour louer du matériel de professionnel.

Au-delà de l’attrait musical, certains rappeurs proposent aussi une réflexion. Est-ce aussi votre cas ?

Je ne pense pas. Ce que j’écris dans mes chansons me tient à cœur. C’est une auto-psychanalyse. L’album est un journal intime. J’écoute peu de rap mais de ce que je connais, les rappeurs parlent de faits personnels pour dénoncer une situation générale qui englobe la société.

Dans mes paroles, j’analyse mes actes, je réponds à mes questions. Je parle de faits personnels. D’autres personnes peuvent s’identifier mais je ne généralise pas ce qu’il m’arrive.

Pour retrouver des extraits de chansons, des photos, des vidéos du groupe : www.losteen.com

Interview réalisée par Jenna Vurpillot

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chronique culturelle Noël est passé et devant l’avalanche de titres de qualité, votre portefeuille n’a pas pu suivre. Le début de l’année est l’occasion de se rattraper. Voici quelques titres marquants de la fin d’année 2007 sur consoles next-gen.

Assassin’s Creed (Action sur PlayStation 3 et Xbox 360)

Assassin’s Creed, c’est tout simplement une explosion de saveur, un enivrement de tous les instants, un charme qui opère durant quinze, trente ou même quarante heures selon qu’on prenne ou non le temps de visiter. C’est une sorte de bonbon que l’on savoure à chaque seconde même si parfois on sent un léger goût amer, lié à quelques légers défauts ou à une mécanique de jeu bien trop répétitive. Pourtant, on continue de garder son arôme en bouche et dès qu’il se termine on en redemande encore.

Le mélange passé/présent, réel/fictif, les éléments aussi inutiles qu’indispensables comme la visite du royaume à dos de cheval, toutes les interactions possibles, toutes les possibilités qui nous sont offertes, voilà ce qui constitue la grande force de ce jeu. Un gameplay excellent, un scénario bien ficelé et une ambiance unique font de ce titre le Graal que tous les joueurs espéraient secrètement. Alors certes, beaucoup de détails sont oubliés tant ils sont nombreux et tant on aimerait parler de ce coup de cœur, mais il faut reconnaître que tout n’est pas parfait. Nous avons entre les mains un véritable chef d’œuvre, une sorte de toile idyllique sur laquelle persiste tout de même une ombre.

Maintenant la question qui s’impose à tous comme une évidence c’est : à quand la suite ?

Super Mario Galaxy (Action / Plates-formes exclusivement sur Wii)

Créatif, fun, jouissif, beau, novateur, génial : les superlatifs manquent pour définir Super Mario Galaxy, énième preuve du génie de Nintendo et peut-être même la plus probante. Car ce nouveau volet est une réussite insolente, renouvelant sans cesse des mécanismes de jeu tout simplement extraordinaires et offrant une jouabilité aux petits oignons comme nous y a habitués Nintendo.

Non content de provoquer chez le joueur l’orgasme vidéoludique tant attendu, Super Mario Galaxy est beau et il emplit nos oreilles de mélodies aussi envoûtantes que marquantes.

On pourrait encore crier au génie pendant des heures, saluer un level-design et un character-design à son paroxysme, mais il n’en sera rien. Laissons notre âme nostalgique, notre âme de joueur et notre âme de grand enfant s’unir et parler à notre place : Merci Nintendo !

Skate

(Simulation de skateboard sur PlayStation 3 et Xbox 360) Cela faisait longtemps que les fans de skate attendaient une véritable simulation de skateboard et EA Black Box sert celle-ci sur un plateau d’argent. Skate remplit aisément son contrat grâce à son gameplay novateur et absolument jouissif (bien que parfois imprécis), à son environnement extrêmement vaste et vivant et bien sûr grâce à ses animations ultra-détaillées qui respirent le naturel, la classe et le réalisme. Cette bouffée d’air frais n’est toutefois pas parfaite, sa difficulté trop corsée, sa réalisation technique un cran en-dessous de la version Xbox 360 et sa bande-son décevante l’empêchant de prétendreaustatutdekillerap. Qu’importe, passé le temps d’adaptation, Skate se révèle être un véritable jeu coup de cœur et un indispensable pour tous les fans du genre qui posséderaient uniquement une PS3.

Mass Effect (RPG exclusivement sur Xbox 360)

Mass Effect est sans conteste le killer-ap tant attendu.

Moins médiatisé qu’un Halo 3, il s’impose toutefois comme la nouvelle grosse licence exclusive Xbox 360. Comme d’habitude avec BioWare, on reste bouche bée devant la richesse de l’univers créé et sa cohérence jamais prise à défaut. Gros point fort du titre, son système de dialogues impose de nouveaux standards en termes d’interactivité, de synchronisation labiale et de qualité des expressions faciales. L’exploration des planètes est intéressante et le système de combat est suffisamment riche et dynamique pour immerger le joueur dans l’action.

Très beau et offrant de surcroît une VF parfaite, Mass Effect est un titre absolument indispensable.

Nicolas Tarier

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Après le pôle

Montbéliard around the world !

Mohamed Esfih, ancien élève de Master 2LCE à l’UFR de Montbéliard répond à nos questions sur son parcours et sa réussite depuis la Malaisie !

Est-ce par choix que vous êtes parti aussi loin ?

C’est en effet par choix que je suis allé là-bas, pour suivre un doctorat ès e-commerce et aussi pour le style de vie asiatique et le climat... il ne fait pas très chaud l’hiver à Monbéliard !

Quels ont été les atouts de votre formation dans le métier que vous exercez maintenant ?

Quel est exactement votre métier actuel ?

Je suis plutôt chef de projet, surtout dans ce qui est du paiement sécurisé.

Je fais partie du «Board of directors» de la société éditrice du site www.cardipay.com.

Avez-vous trouvé votre métier directement en sortant de Master ou envisagez-vous encore une poursuite d’études ?

Avec des associés, nous avons monté une société en Suisse à Genève. Après quoi, je viens aussi de commencer un doctorat en Malaisie dans le domaine du paiement sécurisé et des technologies e-banking.

En Malaisie ? C’est là où vous résidez ?

Je voyage beaucoup, mais ma résidence est en effet en Malaisie.

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Le fait que la formation soit bilingue, surtout l’anglais car en international c’est cette langue qui prime. Polyvalence et travail en équipe ainsi que le B.A.-Ba de quelques logiciels multimédia ont été très utiles pour un début de carrière.

D’ailleurs, quels sont les logiciels que vous utilisez toujours ?

Dreamweaver et Photoshop mais je ne les utilise pas vraiment, j’ai juste les bases pour comprendre et travailler avec des programmeurs et des webdesigners. En fait,

Exercez-vous votre métier dans une ou plusieurs entreprises ? Êtes-vous patron, employé, freelance ?

Dans une seule entreprise, que nous avons monté à Genève comme je l’ai dit précédemment.

Et je travaille à la direction.

Quel est le nom de votre entreprise, comment avez-vous fait pour la monter, est-ce qu’elle marche plutôt bien ?

E-business Century SARL à Genève.

La création d’une société suisse nécessite d’avoir des partenaires et administrateurs suisses donc nous sommes plusieurs dans cette société. Au niveau création de la société, c’est assez simple en Suisse, il suffit d’une journée et tout est fait.

Oui, ça marche plutôt bien, mais ce n’est que notre deuxieme année, la première année était davantage du développement, et maintenant nous avons une solution très versatile et cela commence à devenir intéressant.

Votre poste est-il évolutif, pouvez-

« Polyvalence et travail en équipe ainsi que le B.A.-Ba de quelques logiciels multimédia ont été très utiles pour un début de carrière. » pendant notre formation, nous n’avons pas vraiment le temps de réellement apprendre à utiliser un logiciel donné, donc nous avons plutôt un aperçu intéressant et une base technique minimum, puis après en fonction des affinités et projets, chacun se spécialise pour un logiciel donné...

vous avoir des promotions, ce genre de choses ?

Oui, il y a toujours une évolution possible, dans mon cas de figure c’est l’évolution du niveau de la responsabilité et la complexité dans la gestion des projets.

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Après le pôle Avez-vous une anecdote marquante que vous pourriez nous raconter (Sur la quantité de travail, sur un projet en particulier, sur un quiproquo énorme qui vous a fait rater une commande ou que sais-je encore !) ?

Oui, mon rythme de travail au lancement de notre projet, un cycle de sommeil de 4 heures maximum à la filée, afin de pouvoir être en ligne pour vérifier et suivre ce qu’il se passe. Donc par exemple au lieu de dormir 8 heures d’un seul coup, je dors 4 heures (de 22h à 02h) puis je travaille encore 4h dans la nuit, puis un nouveau sommeil (de 6h à 10h). J’ai aussi réalisé la définition de la loi des 35h/semaine... en fait c’est 35 heures... de sommeil qu’il ne faut pas dépasser. L’inverse ne mène pas loin dans la vie malheureusement. C’est un point de vue pragmatique, pas une critique politique.

au niveau professionel ?

Progresser sans cesse, pour ensuite enseigner aussi bien en anglais qu’en français. Je fais mon doctorat pour pouvoir en fait (bientôt j’espère) être professeur d’université ou enseignant dans des établissements de préférence internationaux.

Oui bien sûr ! Finies les pâtes et riz blanc tous les jours dans ma chambre de 9m² en cité U... maintenant j’ai des vrais repas et mon lit japonais fait presque la taille de mon ancienne chambre d’étudiant !

Plus important encore, est-ce que votre travail vous plaît, estce que c’est ce à quoi vous vous attendiez ?

Oui cela me plaît énormément, c’est ce a quoi je m’étais preparé et destiné, et c’est capital.

Qu’envisagez-vous pour l’avenir,

Propos recueillis par Tom Zaoui

Avez-vous des nouvelles de quelques uns de vos anciens camarades de formation ?

Si oui, pouvez-vous nous dire ce qu’ils sont devenus et comment ?

Oui, avec quelques un(e)s de mes anciens camarades, nous gardons des contacts via e-mail et Messenger. Pas mal n’ont pu trouver un emploi qu’à Paris. Et un autre étudiant, comme moi, a fondé sa propre société. D’autres sont à l’étranger.

« Le ‘‘webmaster à tout faire’’ n’est plus efficace comme çela pouvait être le cas il y a quelques années » C’est une question tabou, mais je m’y risque : gagnez-vous correctement votre vie avec votre actuel métier ?

points forts de chacun pendant la formation et se concentrer dessus afin d’être performant, car c’est la performance qui, au final, compte dans la vie d’une entreprise.

Enfin, avez-vous des conseils pour d’éventuels futurs professionels du multimedia tels que nous ?

Autant pendant la formation que dans la vie professionelle ?

Plutôt des suggestions. Je pense que dans le multimedia, il faut soit être «MULTI» et comprendre les bases des outils multimedia pour prendre une position de chef de projet, soit se spécialiser dans un logiciel ou une application donnée et donc occuper un poste de producteur/développeur.

Dans le marché du multimedia actuel, cela devient de la «chirurgie», les postes se spécialisent de plus en plus et le «webmaster à tout faire» n’est plus efficace comme çela pouvait être le cas il y a quelques années.

Il est préférable donc d’identifier les

Portait de

Laurent Poirier

Laurent Poirier a 28 ans, il est aujourd’hui en Master Langues et Commerce Electronique. Il est également employé chez Accor en tant que chef de projet de référencement au sein d’un groupe dans le secteur du tourisme.

Il a trouvé son métier après une première expérience d’un an dans une agence de référencement.

Le principal atout qu’il a su tirer de sa formation, c’est la conaissance des langues étrangères.

Les conseils majeurs qu’il donne pour l’avenir sont : Se créer un réseau de contacts.

Choisir ses stages en fonction du retour d’expérience que l’on va en tirer.

Une fois dans la vie professionelle, il faut saisir toutes les opportunités qui peuvent s’offrir à nous et rester en veille sur le marché.

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Après le pôle

De Décembre à janvier, une femme au taquet...

Mère d’un petit garçon et à bientôt 40 ans, Sandrine Décembre est un exemple de femme active des temps modernes. Enseignante et chef de projet communication, elle nous explique en quoi consistent ses différents domaines d’intervention.

M.K : Pourriez-vous m’expliquer comment vous organisez votre semaine de travail entre vos postes d’enseignante et de chef de projet communication ?

Gilles Benhamou, qui est également directeur artistique. Il se charge de travailler en collaboration étroite avec Anne et les autres graphistes. Il m’arrive également de travailler avec les graphistes S.D : Je consacre quatre jours par ce qui est un plaisir pour moi car ils semaine à mon rôle de chef de promettent très bien en page mes idées. jet communication à l’agence « L’atJe n’en serais pas capable. Je pense titude90 » à Belfort. Au sein de cette que dans la création des supports, les agence, je suis sollicitée pour quatre mots et le graphisme se valorisent. On missions différentes. Une mission de ne peut faire un magazine sans mise communication écrite et de relations en page. Même si dans ma tête, j’ai presse pour laquelle je suis assistée une idée de mise en page, je ne peux par Céline qui est très à l’écoute, réacpas la travailler toute seule. Ceci ne tive et efficace. J’anime également une veut pas dire que je ne suis pas autocellule de communication de crise qui nome en matière de mise en page. J’ai fait la spécificité et l’un des points forts suivi une formation personnalisée à de l’agence. Pour finir je suis chargée l’école d’art Gérard Jaquot où j’ai apdes formations médias. pris à utiliser le logiciel InDesign. Cette formation me permet « Dans la création des supports, les d’être autonome et de une partie mots et le graphisme se valorisent » comprendre du travail de mes collaborateurs, ce qui me donne Ceci dit, l’agence compte un autre la possibilité de m’adapter à leur service, le service de communication rythme de production. Il est important visuelle, animé par notre directeur pour moi de comprendre mes collègues car, dans les différentes strates de la mise en place d’une bonne communication, tout le monde a son importance. C’est la même chose pour tous les métiers...

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ce, je rédige de nombreux supports de communication. Cela va du journal d’entreprise à la brochure sur la biodiversité pour les Réseaux Ferrés de France (RFF) en passant par un site sur le développement économique dans le Nord Franche-Comté. Une autre partie de mon travail consiste à accompagner des clients dans l’écriture de discours et d’éditos. Je trouve qu’il n’y a rien de mieux que de mettre les techniques rédactionnelles que je maîtrise au service de personnes qui ont des envies et des idées. Dans cette mission communication écrite, j’anime également des brainstorming qui consistent à réunir autour d’une table des personnes d’une entreprise ou d’une collectivité, pour créer une accroche publicitaire.

M.K : Pourriezvous détailler plus amplement vos différents missions au sein de l’agence ?

Je supervise également le service relations presse. Mon activité de journaliste dans le domaine musical il y a quelques années m’a permis de constituer un agenda. Ensuite, je me suis spécialisée dans tout ce qui est communication institutionnelle, politique et dans le domaine de l’industrie. Tout ceci fait que mon fichier presse s’est enrichi au fil des années. Si je ne m’en suis pas toujours servi, je ne cesse de l’actualiser. Aujourd’hui, il me permet de contacter plus de 300 journalistes afin de leur faire part d’une information. Par exemple, [ars] Numerica m’a confié ses relations presse au niveau national et international. Mon rôle a été de faire connaître cet évènement aux journalistes afin qu’ils se déplacent à Montbéliard.

S.D : Je supervise la communication écrite. Je suis journaliste de formation. Ainsi, au sein de l’agen-

Au sein de l’agence, nous proposons également un service communication de crise. Nous avons un droit de réserve sur le nom de nos clients ainsi que les situations de crise que nous tentons de résoudre. Si un client

Après le pôle rencontre un problème de communication, nous essayons de trouver la clé pour désamorcer la crise. Ceci dit, les techniques que nous utilisons dans le domaine professionnel ne fonctionnent pas toujours dans le domaine personnel...

Je finirai avec les formations médias. Nous travaillons avec des collectivités, des élus, des entreprises afin de former des assistants de comunication. Nous proposons deux formations en particulier : d’une part, le media-training qui aide le client à se faire connaître et à diffuser ses messages de façon claire et pertinente ; d’autre part, les techniques rédactionnelles qui permettent de maîtriser les techniques de l’écriture Web et de gagner du temps dans la rédaction.

M.K : Vous consacrez une journée à l’enseignement à l’IUT SRC de Montbéliard. Comment vous êtesvous retrouvée là-bas ?

S.D : L’enseignement est un domaine qui m’a toujours interessée. Cet été, j’ai accompli un certain nombre de démarches suite à un bilan de compétences qui m’a révélée que je suis faite pour l’information ainsi que pour la formation. J’ai réfléchi à cette piste.

Puis, j’ai contacté les IUT de la région.

J’ai reçu une réponse de Pascal Chatonnay joliment formulée et suffisamment claire. Par la suite, j’ai rencontré une partie de l’équipe enseignante, à savoir Daniel Mercier, Bruno Viezzi et Jean-Claude Domenget. Cette équipe m’a plu pour sa liberté de ton, son humanité ainsi que pour le fait que les individus qui la composent aiment ce qu’ils font.

lien (Morris) pour la générosité dont ils S.D : Je disais tout à l’heure que j’ai ont fait preuve afin d’organiser cette été séduite par l’équipe enseignante. soirée avec brio et sérieux. Je ne manMais les étudiants, que j’ai rencontrés querai donc pas de répondre par la poplus tard, m’ont énormément plu. Ils sitive à l’invitation reçue pour la soirée ont également une liberté de ton, une de désintégration même si je ressens attention, une écoute dont je suis très une joie et en même temps un pincesatisfaite. Je les remercie pour tout ce ment au coeur à l’idée de venir saluer qu’ils m’apprennent en retour. Grâce le départ des deuxième année... à eux, ainsi qu’aux enseignants, j’ai appris à écrire différement « Je suis encouragée par le travail produit et notamment les résultats obtenus par les étudiants » à travers les chats, les SMS qui sont des moyens de communication intéresM.K : Souhaiteriez-vous continuer sants et qui me permettent de m’exdans cette voie et vous investir encore primer autrement. Je suis encouragée plus dans l’enseignement ? par le travail produit et les résultats obtenus par les étudiants. Je pense S.D : Je pense que ma réponse à notamment au projet réalisé par Anla question précédente répond à cette toine Arnoux (www.wwWww.fr) ainsi dernière question ! qu’ au dernier Frigo. À ce sujet, je tiens à saluer le travail fourni par Nicolas Tarier et son équipe. Je sens que la nouPropos recueillis par Megi Kraljevic velle équipe produira d’aussi beaux résultats avec à sa tête Jenna Vurpillot.

J’attends impatiemment la sortie du prochain numéro.

Pour terminer, j’ajouterais que je suis ravie d’avoir eu l’honneur d’être invitée à une fête SRC. L’accueil y était chaleureux et l’ambiance séduisante...

Je félicite Jérémy, David ainsi que Ju-

M.K : Quelles sont vos fonctions au sein du DUT SRC ?

S.D : Je m’occupe de tout ce qui est expression écrite dans laquelle nous pouvons trouver les techniques rédactionnelles ainsi que l’écriture web.

M.K : Quelles sont vos premières impressions après un semestre d’enseignement ?

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Nous avons été mégalo(s) Mardi 18 décembre dernier, les élèves de SRC ont pu rencontrer des représentants de l’agence Megalo(s), Jérôme FavreFélix, directeur général, et Louis Bonichon, ancien SRC, aujourd’hui concepteur-réalisateur pour cette agence, à l’origine de cette rencontre.

Megalo(s) est une agence de communication globale fondée en 1998 à Annecy. D’abord orienté sur le multimedia, ce studio s’est ensuite ouvert aux branches de la mercatique et de la communication.

Y sont embauchées quelque soixante-dix personnes sur deux sites : Annecy et Paris. Megalo(s) compte parmi ses clients de grands noms comme Jean-Paul Gaultier, Warner Bros, Diesel, Renault ou encore Martini...

Après une rapide présentation, nos interlocuteurs ont décrit leur travail comme un travail de communication. Être en liaison permanente avec le client et

savoir défendre ses propositions face à la concurrence, lorsque le client contacte plusieurs agences (méthode de plus en plus fréquente d’après eux), en sont les deux principales caractéristiques. À la question « quelles sont les qualités requises dans le milieu ? », la réponse fut « Être passionné, bien entendu, et faire preuve d’une grande curiosité ». Aimer la diversité est nécessaire, puisqu’à chaque client correspond une image de marque et une problématique différente. Enfin, ne pas avoir peur du travail en groupe. Les projets les plus massifs nécessitent jusqu’à quinze personnes.

Parmi les thèmes abordés également, le poids de l’anglais.

Dans le domaine du web, comme le souligne les représentants de Megalo(s), les deux tiers de leurs clients sont étrangers. L’agence couvre ainsi une dizaine de pays et l’anglais reste la langue majoritairement utilisée.

Des réserves émises sur la délocalisation qui touche beaucoup de domaines. Peu d’inquiétudes pour le domaine du web, « plus artisanal qu’industriel ». Les agences françaises fournissent des sites de qualité au niveau de la réalisation selon eux.

Louis Bonichon Louis Bonichon est un ancien étudiant de SRC Montbéliard. Passioné par la vidéo interactive et le cinéma, il voulait effectuer son stage de fin d’année au Liban, mais des événements politiques l’ont contraint à le faire en France, à Paris Première.

Peu après sa sortie du DUT, il entra chez Megalo(s) à Annecy comme graphiste, et poursuivit en parallèle un apprentissage aux Gobelins. Il est aujourd’hui concepteur réalisateur. Selon lui, la polyvalence prime dans ce milieu. « Le web pousse les limites entre les métiers à s’effacer », d’autant que les évolutions du milieu vont bon train.

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