[Le frigo] numero 9

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Numéro 9

Magazine du multimédia et du pôle de Montbéliard DUT Services et Réseaux de Communication IUT Belfort-Montbéliard

Watch UP

Montbéliard a une place sur la scène télévisuelle

Un pikachu animé en c’est possible!

Webdesign

Réalis

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création d’une licence pro

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Couverture : Numerica

Flash

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Produit le 1er juin 2008, à consommer tout l’été !

Télécharger le magazine : srcmontbeliard.com/mag

www.srcmontbeliard.com

EDITORIAL Le Frigo n°9 juin 2008 Bimestriel

Édito

Directeur de publication : Philippe Pracht Comité de rédaction : Jean-Claude Domenget Rédacteur en chef : Jenna Vurpillot

(vurpillot.jenna@gmail.com)

Nicolas Davi (neso4@hotmail.fr)

Ont collaboré à ce numéro : Delphine Binet, Coline Bosa, Christophe Chaudey, Nicolas Davi, Jean-Claude Domenget, Romain Dorget, Anthony Faivre, Pascale Gil, Stéphanie Jachimiak , Steeve Lecomte, Léonard Martin, Marine Menetrier, Barthélémy Monnier, Fanny Plaisance , Jenna Vurpillot, Tom Zaoui Maquettistes : Aurélie Delcroix

(aurelie.delcroix@free.fr)

Anthony Wittmann - Clément Mulson – Florent Pagnot Equipe Bande dessinée : Florian Dupré, Judicaëlle Trican, Arnaud Duredon, Mathieu Doubey, Gaetan Selle

C’est les vacances ! Pour certains, depuis bien longtemps déjà. Mais pour d’autres, elles ne font que commencer. Les « vacances » riment parfois avec « repos », ou au contraire avec « boulot ». Nous n’avons pas tous la même vision de la vie et des vacances. Mais ce qui nous réunit tous, c’est notre envie de vivre, de s’amuser et de profiter à fond de chaque instant.

Le Frigo du mois de juin, que vous avez entre les mains, est encore et toujours plus rafraîchissant. Comme beaucoup de lecteurs, vous aimez vous informer et prendre du plaisir à lire des articles, non pas rébarbatifs ou redondants mais des articles plaisants qui apportent de la nouveauté. C’est pourquoi Le Frigo innove une fois de plus.

Comme à son habitude, il vous informera sur les nouveautés de l’actualité technologique, musicale… mais pas seulement ! En effet, nous ouvrons de nouvelles rubriques qui, nous l’espérons, vous plairont : la rubrique littéraire, l’analyse d’un fait d’actualité ou encore une note humoristique.

Bien sûr, vous retrouverez votre dossier habituel qui concerne la chaîne de télévision créée par Numerica. Eh oui, à nous une petite place sur la scène télévisuelle.

Montbéliard est une ville attractive, intéressée par la vie de ses étudiants. En effet, ce semestre fut riche en émotions sur le pôle universitaire : la journée équilibrée au Resto U, la semaine des arts, la journée mobilité électrique… Une grande diversité de retours sur ces divers événements vous est proposée.

Bonne lecture et bonnes vacances !

Jenna Vurpillot Rédactrice en chef

Impression : Communauté d’Agglomération du Pays de Montbéliard (CAPM) 8 av Alliés 25200 Montbéliard

Agenda Juin 2008 Bratsch, Plein du monde Mardi 3 juin à 20h30 Musique – Montbéliard (Palot) L’influence de la musique tzigane Vendredi 6 juin à 20h Musique – Montbéliard (Hôtel de Sponeck) Les vins du Jura Samedi 7 juin à 19h Conférence – Montbéliard (Hôtel de Sponeck) « In Memoriam » de Jacques Greys Samedi 7 juin à 20h30 Musique – Montbéliard (Temple SaintMartin) Mon côté Punk et Les Blérots de R.A.V.E.L. Samedi 7 juin à 20h45 Musique – Montbéliard (Jules Verne) 14

Pique-nique concert Dimanche 8 juin à 12h Musique – Montbéliard (Maison du bord de l’eau)

Bien manger... Quelle cuisine ?

Jeudi 19 juin à 20h Conférence – Montbéliard (Hôtel Bristol)

Concert d’été Mardi 10 juin à 20h30 Musique – Montbéliard (Eglise SaintMaimboeuf)

Fête de la musique Samedi 21 juin

Ensemble de musique interactive Mercredi 11 et vendredi 13 juin à 20h30 Musique – Montbéliard (Palot) Marché aux puces et à la brocante Dimanche 15 juin Animation – Montbéliard (Parc des Miches)

Festival Changer le Monde : Rencontres & Racines Samedi 28 et Dimanche 29 juin Musique – Audincourt (Espace Japy) Johnny Hallyday Mardi 3 juin 2009 à 19h Johnny mettra le feu l’année prochaine Concert – Sochaux (Stade Bonal)

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actualités et critiques

Semaine des arts sur le pôle

Ça fait un petit moment mais rappelez-vous, du 20 au 23 avril, entre midi et deux, les jeunes talents du pôle universitaire ont eu la chance de pouvoir exprimer leur passion sur les planches.

Bien que le programme de la semaine soit mal diffusé, on ne pouvait pas passer à côté de la scène devant le RU sans ralentir le pas. Les trois jours animés, du lundi au mercredi, ont accueilli un panel de groupes, de talents de tous genres pour offrir à tout le monde un peu d’animation et de bonne humeur malgré le temps bien grisant. On nous présente le premier jour des chanteurs et des musiciens en forme : un groupe de metal-emo appelé Press down to operate, et Lola, une chanteuse de variétés. Qui dit semaine des arts ne dit pas forcément que musique, Shoukri a présenté, lui, ses talents de graffeur.

Le deuxième jour, on varie les plaisirs à nouveau, avec une représentation de jonglage grâce à Charlène et ses bolasses. Anthony l’a accompagnée en crachant du feu. On accueille aussi Wafa, une chanteuse de R’n’B, et pour finir, une danseuse de jazz. Le dernier jour laisse place à Sowa, groupe de rock alternatif, suivi de Lunch the elephant, toujours dans le même style. Une fois le matériel débranché, Antoine (alias Kanay) clôt le festival avec son bâton du diable.

Tout ce programme, sans oublier la petite galerie de dessins et de photographies, par David Vieille, exposée au chaud à l’intérieur du restaurant universitaire durant les trois jours, nous laissant le temps d’apprécier. Malgré le mauvais temps, que l’on ne connaît que trop bien à Montbéliard, et une organisation un peu improvisée responsable d’une ambiance « fête foraine en déclin », qui en a chassé plus d’un, rien n’a été annulé. On n’a pas manqué de les entendre.

Voilà le genre de spectacles qui fait toujours plaisir entre les heures de cours, où chacun y trouve son compte puisque très varié. En espérant que le prochain soit sous un ciel plus ensoleillé.

Coline Bosa

Une semaine en vidéo Rendez vous sur Dailymotion pour retrouver toutes les vidéos immortablisants la semaine des arts

Avez-vous déjà vu... quatre rigolos au RU ?

Un diabolo survole nos têtes, des quilles dansent au-dessus de nos plateaux, et un tambour trouble nos conversations... Les voilà.

1er avril, après une matinée plutôt banale, réveil, cours, pause, cours, on se dirige vers le RU, menés par cet automatisme quotidien qui rythme nos journées. Alors que nous attendions patiemment le moment tant attendu d’assouvir notre faim, une surprise va égayer nos petites habitudes... Des quilles de jonglage, un tambour, un diabolo et quatre boute-en-train.

Voilà notre repas - prévu calme - animé par une femme et trois hommes sortis tout droit du cirque. Loin d’avoir peur de déranger nos appétits ou de casser un verre, les voilà partis pour un spectacle à domicile sous nos yeux, ou au-dessus de nos têtes. Tantôt debout sur les chaises, tantôt debout sur les tables, ils amusent la galerie sous nos applaudissements. Sympathique moment de détente imprévu, on n’a pas droit à un tel accueil tous les jours...

Dire qu’il y en a qui râlent.

Coline Bosa

[100] commentaires, ou plutôt avec...

Les étudiants ont la parole !

100commentaires est un site web ouvert par les étudiants SRC le mois dernier. Le concept est simple. Un panel de cent étudiants, âgés de 18 à 24 ans, « testent » et commentent des produits, des manifestations, des événements... et publient le résultat de leur analyse sur le site.

Le but ? Fournir à des entreprises, à des organismes, à des journaux, ou à tout groupe de personnes qui en expriment le besoin, un éventail d’opinions, qu’ils peuvent ainsi exploiter dans des articles ou des publicités par exemple.

Pour plus d’informations, consultez le site http://www.100commentaires.fr

http://www.dailymotion.com/esprit-teuforik

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Nicolas Davi

actualités et critiques

Zique and the city Été, filles nues et rock’n’roll sont ce à quoi adhèrent, adeptes et novices, à la fête de la musique. Beaucoup attendent ce moment magique de l’année avec impatience, marquant, pour certains, la fin d’une année de dur labeur, pour d’autres, le début des vacances au soleil. Retour sur une fête comme les autres, mais en mieux.

Le 21 juin fut pendant longtemps le premier jour de l’été, le départ à la mer, le début des grandes vacances pour les étudiants, etc. En bref, c’était bien.

Toute l’année, notre calendrier nous propose des « fêtes ». Et nous ne parlons pas ici des « teufs » d’anniversaire, de Noël ou de la nouvelle année. Non, on entend par « fête » les interminables « Fête des » quelque chose.

Tous les papas, les mamans, les grand-mères et même – oh seigneur – les amoureux ont droit à un évènement particulier, et d’ordre national s’il vous plaît ! Eh oui, le même dimanche que vous, le président de la République offre des fleurs à sa petite maman. Il s’agit de jours que l’on redoute plus que tout autre chose. Tous les ans traîne cette question dans nos têtes : « Mais qu’est ce que je vais lui offrir ? ». Mais un beau jour de 1982, Dieu créa la fête de la musique. En fait, Dieu créa plutôt Jack Lang, qui par la suite lancera la fête de la musique.

Ainsi, depuis cette année, les Français descendent dans la rue pour écouter les groupes qu’ils entendent répéter dans leur garage depuis juillet dernier. Les mauvaises langues diront qu’il s’agit d’un prétexte de plus pour envahir la ville et faire du bruit jusqu’à point d’heure, mais dans le fond, ces gens n’ont pas tort. Car grâce à cette fête, on peut faire du bruit jusqu’à point d’heure légalement ! On peut emmerder les voisins avec notre musique de sauvage sans finir en garde à vue... Et bien plus encore, car la fête de la musique, ce n’est pas boire avec ses potes en écoutant de la bonne zique, c’est

boire avec ses potes en écoutant de la bonne zique au centre ville, au milieu de centaines de personnes qui font la même chose. La fête de la musique, ce n’est pas regarder des filles à moitié nues se trémousser sur un bar avec un verre à la main, c’est regarder des filles à moitié nues se trémousser sur un bar, un verre à la main, mais devant la scène électro ! Et tout le monde adore ça. La fête de la musique, c’est magique. C’est magique parce qu’elle consiste en un partage de mélodies, de points de vue. C’est un monde de tolérance qui s’ouvre, l’instant d’une soirée, d’une nuit. On écoute, on observe, on découvre, on rencontre, on danse, on boit, on écoute, on écoute…

Cette fête est désormais un phénomène devenu international. On ne peut peut-être pas affirmer qu’elle ramènera la paix dans le monde, mais on sait que la musique est un nouveau langage. Un langage connu de tous. Et cet événement, propagé dans une centaine de pays, est un honneur et une fierté pour la France, qui a finalement pu apporter quelque chose de bien au monde. Merci Monsieur Lang, merci l’été, merci la musique.

Anthony Faivre Le

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MULTIMéDIA

LE DOSSIER DU MOIS

DOSSIER sommaire

03

Editorial et Agenda

04

Actualité

07

Watch Up Numérica créée sa propre chaine TV

09

Sélection de sites

10

Illustration étudiante

11

Oeil du photographe

12

Tutoriel Flash:

LA VIE DU Pôle

14 15

16

17

Post pôle

chronique culturelle

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Comment faire un pikachu animé ?

Actualité technologique Sport:Tennis Comment être le Roger Federer du pôle ?

Licence pro en web design Nouvelle formation à Montbéliard

Mesures physique Projets 2ème année

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SRC: Gros plan sur Gaëtan Selle

19

RT : Gros plan sur Joann Daminelli

20

Watch Up...(7)

Coming in France…

Interviews de deux étudiants roumains.

21

La journée mobilité électrique

22

Retour sur le Film d’un jour

23

Une note d’humour

24

Billet d’humeur: Rencontre sur internet

25

Cinéma

26

Musique

27

Jeux vidéos

28

Littéraire

29

Analyse d’un fait d’actualité

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4 entreprises canadiennes à découvrir

32

Gros plan sur Pascal Chatonay

34

Gros plan sur David Markezic

35

Bd

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Licence pro en webdesign (16)

Présentation des entreprises canadiennes (30)

dossier

Le pôle technologique de Montbéliard occupe l’antenne !

Ils l’ont fait ! Depuis plusieurs années déjà, Montbéliard est ouvert aux nouvelles technologies, son pôle technologique étant assez réputé. Ils ne leur manquait qu’un seul media à conquérir : le monde de la télévision. C’est désormais chose faite, bientôt tout du moins, avec Watch Up !, chaîne de télévision dédiée aux arts et aux cultures alternatives.

Présentation de Watch Up !

Qu’est-ce que l’A.D.A.N. ?

L’A.D.A.N. (ndlr Association pour le Développement des Arts Numériques) est une interface entre les acteurs des TIC – Technologies de l’Information et de la Communication – et les artistes. Elle s’occupe des nombreux projets orchestrés par exemple par Numérica. Sensibiliser les nouvelles générations à l’art et aux nouvelles technologies, et susciter des vocations dans les métiers liés à ces secteurs d’activités sont parmi ses objectifs.

La création de l’A.D.A.N. remonte à 2002. Son implantation sur le Pôle Multimédia de Franche-Comté remonte à 2005.

Aujourd’hui, l’assocation a élargi son réseau avec d’autres acteurs de la scène numérique nationale, voire européenne. Elle valorise les initiatives artistiques, qu’elles soient amateures ou professionnelles, individuelles ou collectives, inconnues ou reconnues.

Créer, c’est son mot d’autre, toujours au-delà des flux médiatiques imposés.

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Watchup est une chaîne de télévision dédiée aux arts et aux cultures alternatives. Elle reflète l’art tel qu’on le conçoit de nos jours, les pratiques contemporaines qu’il en découle. « Watchup diffuse de la matière à neurones, pour tous les curieux ! ». Ainsi, le 31 mars dernier, le C.S.A. a donné sa bénédiction et a validé le dossier de déclaration de notre chaîne montbéliardaise. À l’origine de ce projet, l’Association pour le Développement de l’Art Numérique (A.D.A.N.) qui pense « urgent de proposer une alternative aux flux audiovisuels traditionnels ». Cette chaîne de télévision offre un double intérêt : d’une part, pour les artistes, qui se voient doter d’un soutien dans la diffusion de leurs oeuvres ; d’autre part, pour les spectateurs, à qui l’on propose une offre culturelle innovante.

En effet, Watchup est une télévision participative.

Ouverte à tous les jeunes talents, elle propose de diffuser à l’antenne toute production jugée pertinente par le comité de diffusion. Pour en savoir plus, consultez la rubrique « Comment apporter votre soutien ? ».

Watchup est entièrement gratuite, et n’a aucune vocation lucrative. Elle est financée par la publicité, ainsi que par quelques partenaires publics et privés.

Watchup sera disponible gratuitement en 2009, sur les principaux bouquets numériques, notamment ceux de Free, Neuf, Orange ou Numericable.

Soit plus de 4,5 millions de foyers ! À vos télécommandes, soyez prêts pour le grand départ !

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DOSSIER

Que diffuse-t-on sur cette chaîne ?

Watchup est entièrement consacrée aux arts et aux cultures alternatives. Qu’est-ce que cela signifie ?

Les programmes qui y sont diffusés sont orientés selon quatre grandes thématiques :

Arts Visuels Par art visuel on sous-entend les arts numériques de manière générale, la conception assistée par ordinateur...

Musique Reportages, documentaires, clips, extraits de concerts, interviews... autant de diffusions sur la musique en général.

Spectacle vivant Du théâtre à la danse, du cirque aux spectacles de rue, tout ce qui concerne l’art et l’implication de l’Homme vous y attend.

Film et animation Amateurs ou professionnels, la chaîne vous propose des courts, moyens ou longs métrages, ainsi que des making of et des rétrospectives de festivals.

Comment apporter son soutien ?

Vous souhaitez apporter votre soutien à cette nouvelle chaîne ?

Ou tout du moins manifester votre joie, votre impatience, votre avis, vos critiques ? Suivez le guide.

Diffusez vos productions ! « Vos productions ont leur place à l’antenne ! » Le métier d’artiste est difficile, et se faire remarquer n’est pas toujours facile. Comme dit précédemment, Watchup est une chaîne de télévision participative. Que vous soyiez professionnel ou amateur, vos créations ont leur place sur Watchup. Toute personne qui souhaite diffuser ses productions sur Watchup peut s’inscrire sur le site officiel http://www.watchup.tv/, et ce depuis le 22 février dernier. Ensuite, vous envoyez votre vidéo, et Watchup sélectionne les vidéos retenues. Une double diffusion est opérée : à l’antenne et sur le web. Mieux encore : vous êtes rénumérés pour la diffusion de vos vidéos !

Contact Watchup / A.D.A.N. 1, cours Leprince-Ringuet BP 21126 25200 Montbéliard Cedex France info@watchup.tv http://www.watchup.tv/

Commentez Watchup !

Un avis ? Une opinion ? Faites part de vos impressions sur ce projet innovant qui promeut les jeunes talents sur le site officiel http://www.watchup.tv (rubrique Votre Soutien !) ou sur le site de l’A.D.A.N. http://www.adan.asso.fr .

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Nicolas Davi

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MULTIMEdia

Selection de sites : sites pour l’emploi www.travail-emploi.com Ce site est spécialisé dans la diffusion de CV. C’est le gros point fort du site. Les entreprises peuvent rechercher tous les CV qui correspondent au profil qu’elles recherchent. D’ailleurs, les six derniers CV ajoutés se retrouvent directement en page d’accueil, après validation bien sûr.

La mise en valeur du CV est poussée à l’extrême. En effet, il est possible de voter pour tel ou tel CV, ainsi que pour tel ou tel employeur. Toutes les personnes qui utilisent le site (postulants et employeurs) sont référencées dans un annuaire. En d’autres termes, le site permet de recommander une personne à un employeur, et inversement.

www.tutorial-index jobijoba.com/fr/ www. .com

www.developpez .com www.directemploi .com

Il s’agit d’un moteur de recherche d’emplois. Un peu à la façon Google, le site permet de trouver des annonces sur le net, en indiquant nos critères, comme le lieu de travail par exemple.

L’inconvénient est le manque de précision de la recherche, les résultats restant un peu superflus.

Néanmoins, il est intéressant si l’on cherche quelque chose de très particulier. Il suffit de taper les bons mots-clés. En fait, cela fonctionne exactement comme Google. (par exemple « infographiste »), et on reçoit un mail quotidien avec toutes les nouvelles annonces concernant ce métier. Seul inconvénient : on reçoit beaucoup (trop) de mails...

Ce site est pas mal pour tout ce qui concerne la recherche de stage. Il permet un ciblage très précis, selon un très grand nombre de critères, et peu courants sur les autres sites du même genre. Par exemple, on peut préciser le niveau d’études du stage (bac+2, école d’ingénieur... etc.). On peut aussi demander un stage par alternance ou non... Bref, tout un tas de caractéristiques qui permettent de bien cibler ce que l’on cherche.

Concernant l’emploi, il en va de même. Le site va même jusqu’à proposer des CV vidéos !

www. commentcamarche.net www.high-tech.enligne-fr .com L’un des meilleurs sites d’offres d’emploi que je connaisse. Il a de nombreux avantages, et il est très fonctionnel. Beaucoup d’entreprises viennent y jeter un coup d’oeil, y poster des annonces etc. A l’inverse, les personnes peuvent postuler pour des annonces, proposer leur annonce de recherche d’emploi, afficher leur CV complet sur le site, etc.

Le contenu du site est très bien hiérarchisé, puisqu’il classe de façon pertinente les différents types d’annonces (stages, CDD, CDI, interim...), ainsi que les domaines de travail (multimédia, web, électronique... etc.). A noter que le site ne vise que les domaines « high-tech ».

Là où il se démarque des autres, c’est qu’il permet le suivi d’un domaine précis, voir même d’un métier précis. Par exemple, on choisit un métier (par exemple « infographiste »), et on reçoit un mail quotidien avec toutes les nouvelles annonces concernant ce métier. Seul inconvénient : on reçoit beaucoup (trop) de mails...

Christophe Chaudey Le

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Arnaud Duredon

MULTIMEdia

L’oeil du photographe

Anthony Wittman

Nicolas Davi

Anthony Wittman Le

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MULTIMEdia

Tutoriel Flash : comment animer un personnage ?

Avant tout, allez à cette adresse: http://metalmaster25.free.fr/tutoflash.zip. Vous pourrez y télécharger le fichier .FLA si vous le souhaiter pour suivre les explications du tutoriel. Y est joint également le fichier .SWF qui contient l’animation finale du tutoriel.

Posons les bases

4.

Vous voici donc avec tous vos éléments prêts à l’usage. Placez-les sur la scène comme vous le souhaitez. Pour chaque clip placé, attribuez un nom suivi du suffixe « _mc » dans la case « Nom de l’occurence » en bas. N’oubliez pas de créer un nouveau calque à chaque fois que vous jugez cela nécessaire (évitez de vous retrouver avec tous vos éléments sur un seul et unique calque). Pensez à renommer vos calques ! (double clic sur le nom du calque).

1.

2.

Tout d’abord, ouvrez votre logiciel Adobe Flash et créez un nouveau ficher en Action Script 2.0.

Pour ce tutoriel, nous allons utiliser des éléments vectoriels, toutefois vous pouvez utiliser des éléments bitmap. Commencez par importer l’ensemble des images que vous allez utiliser sur la scène, ou créez-les à l’aide des outils vectoriels (plume, forme...).

3.

Convertissez l’ensemble des éléments disposés sur la scène en objets de classe MovieClip (clic droit sur l’image > « convertir en symbole » ; cochez « Clip » ensuite « ok »).

Tous vos éléments seront stockés dans la bibliothèque (à droite). Vous pouvez vider votre scène.

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Passons à l’animation !

5.

Pour une question de simplicité, nous allons procéder en « interpolations de mouvement ». Passons à la timeline (en haut). Dans notre exemple, nous avons établi un cycle sur 40 frames, la 40ème frame étant identique à la première. Créez donc l’animation en insérant des images-clés dans la timeline (clic droit sur la frame > « insérer une image-clé »). Entre chaque imageclé, insérez une interpolation de mouvement (clic droit > « créer une interpolation de mouvement »), qui va rendre votre mouvement plus fluide

MULTIMEdia

6.

Exemple pour notre animation : trois images-clés intermédiaires pour les pieds (frames 10, 20 et 30) ; une image-clé intermédiaire pour la queue (frame 15)...

Vous obtenez donc les mouvements principaux de votre animation. Petite touche finale, réglez dans les paramètres la cadence de l’animation. Mettez ainsi 25 images par seconde (ips) pour plus de fluidité.

Contemplez le résultat pour le moment (Ctrl + Entrée).

9.

Le mouvement est désormais créé. Il ne reste plus qu’à l’agencer selon les actions de l’utilisateur.

Pour ce faire, nous utilisons des méthodes. Celles-ci se présentent sous cette forme : nomduclip_mc.méthode = function() { /* à effectuer */ } Les méthodes les plus courantes sont : onPress (quand l’utilisateur clique sur le clip), onRelease (quand l’utilisateur relâche le clic sur le clip), onRollOver (quand l’utilisateur passe la souris sur le clip)... consultez l’aide pour en découvrir davantage. Pour lancer un Tween, il suffit d’utiliser la ligne : nom_du_tween.start(); à l’intérieur des crochets, de même pour l’arrêter : nom_ du_tween.stop();

Aller plus loin...

Interagir avec son personnage

7.

Maintenant nous allons créer des interactions entre l’utilisateur et le personnage. Pour cela, nous allons utiliser de l’ActionScript. Pour coder en AS2, sélectionner une frame dans la timeline et appuyer sur F9 (créer un calque nommé « Actions » spécialement pour l’ActionScript).

Pour effectuer des mouvements préprogrammés de nos MovieClip, nous allons utiliser la classe Tween. Il faut d’abord l’appeler.

Entrez donc :

10.

Voilà, votre animation devrait être terminée ! « Il n’y a pas de limite à la créativité ! ».

Servez-vous de ce tutoriel et de l’aide de Flash pour faire vos propres animations et trouvez vos propres techniques !

import mx.transitions.Tween; import mx.transitions.easing.*;

8.

Pour utiliser les Tween, nous devons les définir comme variable. La syntaxe est la suivante :

var nom_du_tween : Tween = new Tween (nomduclip_ mc, «fonction», Regular.easeInOut, debut, fin, vitesse, true); Le nom_du_tween doit être changé à chaque nouveau Tween. Le nomduclip_mc fait référence au MovieClip sur lequel on souhaite interagir. La fonction est un sous-ensemble de la classe MovieClip. Remplacezla selon vos besoins : translation horizontale (_x), translation verticale (_y), rotation (_rotation) ou un effet de transparence (_alpha).

Nicolas Davi Arnaud Duredon

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MULTIMEdia

Actu technologique Propriétaire de skyrock.com ? Pourquoi pas...

Si vous disposez de 300 millions d’euros et d’une folle envie de posséder les blogs de vos amis, il vous est possible d’acquérir le réseau Skyrock (ex-Skyblog) et ses 15 millions de blogs. Jusque là rien de bien attrayant sauf lorsqu’on sait que Skyrock est aujourd’hui le 17ème site le plus vu au monde devant Amazon et Wikipédia !

Mais le groupe Skyrock est exigeant ; en plus d’obtenir un acheteur capable de débourser une somme aussi rocambolesque, le groupe exige que celui-ci soit une place forte et un acteur incontournable du web...

Ainsi, le réseau Skyrock compte sur cette nouvelle acquisition pour augmenter sa notoriété et franchir un palier supplémentaire au sein des réseaux sociaux qui sont décidément au centre de tous les débats. La vente n’est certes pas ouverte à tous, mais si l’envie vous en prend, vous pouvez toujours tenter l’aventure...

Un iPhone 3G pour juin 2008 et la version originale moins chère...

Souvent critiqué sur son prix et son manque d’options, Apple est sur le point de révolutionner l’iPhone...

Avis à tous les fans de la firme à la pomme. Une rumeur sur le lancement d’un iPhone 3G circule sur la toile avec une précision : il avoisinerait l’épaisseur d’un iPod Touch, aurait subi des modifications cosmétiques et, en plus de son option 3G, embarquerait un GPS...

Espérons que cela permette à Apple de rattraper son retard au niveau de ses ventes, qui ne sont pas à la hauteur de leurs espérances. En effet, l’objectif de vendre 100.000 iPhone avant Noël en France n’a été atteint que trois mois après cette date, c’est-à-dire début avril...

La sortie d’un iPhone 3G / GPS permettrait sans doute à la firme d’augmenter son chiffre d’affaires et son nombre de clients. Reste à voir le prix de ce nouvel iPhone 3G et de ses forfaits correspondants...

Mais d’après certaines sources, Apple serait en discussion avec Orange afin de peut-être baisser le prix de l’iPhone original, car pour l’instant, l’iPhone, qui n’introduit pas de 3G, se vend dans les boutiques Orange au prix de 400€ avec forfait...

Le but étant de booster les ventes, on pourrait se retrouver dans la même situation que nos pays voisins. En effet, en Allemagne et en Grande-Bretagne, T-Mobile et O2 proposent le smartphone à partir de 99€, on peut donc espérer une éventuelle acquisition de l’iPhone à un prix abordable.

Un iPod de... 500.000 Go ?!

Des chercheurs de Glasgow ont en effet annoncé qu’à terme, grâce aux nanotechnologies, nous disposerons d’un tel espace dans nos poches sans modifier la taille physique des lecteurs ! Bien entendu, ce n’est pas l’année prochaine que l’on verra commercialiser ces monstres de technologie. Mais on est pas sans se rappeler qu’il y a une quinzaine d’années, personne n’imaginait que l’on aurait des téléphones dans la poche, à l’aube du XXIème siècle...

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Barthélémy Monnier Le

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la vie du pôle

Tennis: Federer n’a qu’à bien se tenir !

Dans la famille «sports praticables au pôle universitaire», ce mois-ci je demande le tennis ! Si vous suivez ces cours miraculeux, vous deviendrez un as de la balle jaune en un rien de temps !

Bon d’accord, j’y suis allé un peu fort dans l’introduction... Mais pour attirer votre regard, il m’a fallu feinter ! Plus sérieusement, Le SUAPS (Service Universitaire des Activités Physiques et Sportives et de plein air) de l’Université de Franche-Comté propose des cours de tennis pour tous niveaux ! Que vous soyez classés ou que vous croyiez jusque là qu’une raquette était un ustensile de cuisine, vous trouverez un adversaire de même acabit. «Comment est-ce possible ?» me direz-vous.

«Comment être sûr de ne pas me retrouver face à un expert qui me collerait une telle trempe que je n’oserais même plus me regarder dans un miroir ?!» Rassurez-vous tout de suite, le cours de tennis est divisé en groupes de niveaux.

Les plus à l’aise d’entre nous ont rendez-vous au gymnase du Grand Chênois ; quant aux plus nuls, (n’ayons pas peur des mots hein !) ils se retrouveront au gymnase en face de l’IUT. Je vous entends déjà clamer qu’il est impropre de classer les gens par compétence, que c’est contraire à tout principe fondamental de l’égalité et des droits de l’homme... Je vous répondrai qu’évoluer avec des gens de son niveau est une des meilleures façons de progresser.

Parlons-en, tiens, de «progrès». Comment les cours sont-ils agencés pour nous permettre d’évoluer ? C’est très simple, le cours commence par un échauffement de rigueur constitué de plusieurs exercices : frappe courte, frappe longue, coup droit, revers, services, smash... qui vous permettront de vous familiariser avec les techniques de base du tennis. Notez qu’il vous sera impossible de faire cet exercice nonchalamment car vous serez soumis au regard du professeur qui vous corrigera si nécessaire ! (toujours avec patience et gentillesse, je vous rassure) Une fois ces exercices d’échauffement passés, place aux matchs ! En simple ou en double, vous vous confronterez pour mettre en pratique vos nouveaux acquis jusqu’à ce que mort s’ensuive !

Voilà, l’essentiel est dit, il me reste à vous dire que les cours de tennis ont lieu le jeudi de 16h à 18h et que jusqu’ici personne n’en est encore mort !

Bon jeu !

Tom Zaoui

Un univers de particules « planckées » Dans le cadre des projets du master Produits et Services Multimedia (PSM) de Montbéliard, six étudiants ont imaginé et créé un court-métrage traitant de la radioactivité : Le Monde Plancké.

On a vu leur affiche pendant des mois à l’IUT, on a pu apercevoir six gars en tshirt blanc marqué de leur logo sur des photos, et on a même, pour certains, consulté le site web, voire été à la première projection officielle de leur travail le 13 mai dernier.

Mais qu’est-ce que le Monde de Plancké ? C’est un film d’animation 3D de courte durée commandité par le Pavillon des Sciences de Montbéliard. Il a été réalisé par des étudiants de Master 1 en PSM, d’après les projets Rhizome. Disponible depuis le 7 mai dernier sur le site officiel, ce court-métrage est une invitation à la découverte de la fission nucléaire. On suit ainsi Max, Marie et Dirac, trois créatures imaginaires, dans des péripéties fantastiques. Cet univers mystérieux, que l’on nous propose, attire l’attention, et mixe « le scientifique avec la poésie, le réel avec l’imaginaire ».

Autour du film, c’est tout un mini-univers qui a été créé. Le site web propose ainsi toutes sortes de produits dérivés : des affiches, des t-shirts, des fonds d’écran, des avatars... Bref, de quoi faire. Que vous soyez intéressés par la 3D ou non, courez vite sur le site officiel

http://www.lemondeplancke.fr Jenna Vurpillot et Nicolas Davi Le

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la vie du pôle

La Licence Pro Webdesign débarque à la rentrée !

Le pôle universitaire de Montbéliard accueillera, dès la rentrée prochaine, une nouvelle licence Pro Webdesign.

Aujourd’hui, les espaces de communication et d’échanges sont en plein développement.

Seulement, ces nouveaux espaces virtuels nécessitent des connaissances au niveau de la communication visuelle ainsi que des compétences techniques du traitement de l’information. La licence Pro Webdesign est donc chargée de préparer des spécialistes de la communication visuelle sur le Web. Elle offrira une formation professionnelle dans les domaines de l’interface utilisateur, de l’ergonomie des environnements numériques, pour des personnes issues d’un cursus post-bac au profil littéraire ou artistique.

Quel est le contenu de cette licence ?

Au cours de leur cursus, les étudiants apprendront à gérer une interface web : tant au niveau graphique par la mise en forme des contenus, les stratégies de communication, la conception d’une interface web, la maîtrise des logiciels (Photoshop, Illustrator...) et des différents langages (xHTML/ CSS) que par leur ergonomie grâce aux systèmes de navigation et de hiérarchisation de ces sites.

Ils étudieront aussi les principes fondamentaux du multimédia et du réseau : problématique de numérisation, codage ou encore installation et configuration de systèmes réseaux.

Ils s’attarderont également sur le développement informatique : systèmes de stockage, programmation, intégration d’un CMS ainsi que l’utilisation des plateformes de développement (Flash, Dreamweaver).

Enfin, ils s’intéresseront à l’écriture web et à la gestion de projet.

Comment obtenir son diplôme ?

Cette licence compte 5 Unités d’Enseignement, que les étudiants devront valider au cours de leur année, afin d’obtenir leur diplôme. Parallèlement à ces UE, les étudiants participeront à des projets tutorés par leurs professeurs. Ce suivi leur permettra de mettre en application leurs acquis de façon concrète et d’évoluer plus rapidement. De plus, ce cursus propose également un stage obligatoire de 12 semaines grâce auquel les apprentis seront directement confrontés à la vie professionnelle.

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A qui s’adresse-t-elle ?

La licence professionnelle Webdesign s’adresse plus particulièrement aux :

- étudiants issus de Licence 2 ou Licence 3 en Sciences Humaines & Sociales, Arts Plastiques ou Arts Appliqués,

- titulaires d’un BTS Communication Visuelle, d’un DUT Info-Com...

- étudiants issus d’une école d’art (avec équivalence de niveau bac + 2)

- salariés ou demandeurs d’emploi relevant de la formation continue, pour lesquels la validation des acquis d’expérience (V.A.E.) est possible.

Comment s’inscrire ?

Les demandes de candidature pour les licences pro s’effectuent en ligne de mars à juin sur le site internet de l’Université de Franche-Comté. http://www.univ-fcomte.fr Marine Ménétrier

la vie du pôle

Concours Robots LEGO® MindstormsTM 2008 Les étudiants de Mesures-Physiques retombent en enfance !

Le Centre Universitaire d’Informatique de l’Université de Genève (CUIUG), le Laboratoire d’Informatique Industrielle de l’Ecole d’Ingénieurs (HES-SO) de Genève et le Département de Mesures Physiques de l’IUT de Belfort-Montbéliard organisent conjointement, et pour la septième année consécutive, un concours basé notamment sur l’utilisation de robots Lego Mindstorms.

Ce concours aura lieu fin juin 2008.

Il y a deux catégories de participants admis. Dans la première catégorie concourent des équipes d’étudiants ; dans la seconde, tout le monde est admis, ingénieurs ou de passionnés de robotique.

Le sujet du concours s’insère dans des problématiques liées au contrôle et commande de systèmes mobiles, à la vision et à la reconnaissance de formes. Il exige la mise en œuvre de techniques appropriées.

Le but du concours de cette année ressemble à celui des années précédentes. Il consiste à placer successivement des balles de couleurs distinctes (rouge, bleu, noir et blanc) dans des trous de faible profondeur, aux couleur de fond correspondantes ; tout ceci à l’aide de robots Lego !

Les matériels autorisés sont les pièces Lego, des briques RCX (ndlr Robotics Command System) ou NXT et une caméra numérique.

Plusieurs manches de difficulté croissante sont prévues. Elles sont au nombre de trois.

Au cours de la première manche, trois balles (rouge, bleue et noire) sont placées au milieu de la planche, dans un ordre de couleur correspondant à celui des trous.

Au début de la seconde manche, les couleurs des trous sont interverties et le nombre de balles est doublé. La distance séparant toute balle d’un trou sera cette fois d’au moins 5cm.

La dernière manche diffère par l’ajout de une ou deux balles blanches placées aléatoirement.

Les critères d’évaluation sont les temps cumulés de placement, le nombre de balles placées correctement et la durée de placement de la boule blanche (ceci pour départager).

Bonne chance à tous les participants du concours 2008 !

Delphine Binet

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la vie du pôle

Souriez vous êtes filmé !

Gaétan Selle, étudiant en SRC à Montbéliard rêve de devenir réalisateur. Du rêve à la réalité, celui-ci nous dévoile une passion, un monde, un mode de vie.

Peux-tu dans un premier temps te présenter ?

Je m’appelle Gaétan Selle, j’habite dans la région, plus particulièrement Héricourt.

Je suis actuellement étudiant en SRC 1ère année à Montbéliard.

Donc, comme je vais vous en parler, ma passion est la vidéo, le court-métrage au sein d’une production amateur appelée la « Selle and co Prod » que j’ai créée en 2006.

Depuis quand as-tu commencé à réaliser des courts-métrages et à te prendre de passion pour la vidéo ?

Alors, depuis tout jeune, j’écris des histoires. Au début, je faisais des petits livres, ce que l’on fait quand on est enfant.

Puis, par la suite, j’ai commencé à écrire des scénarios, vers à peu près 11 ans, j’ai eu l’idée de faire des films, de petits films, et dès que j’ai eu ma première camera, donc vers 13 ans, j’ai commencé à faire des sketchs, des parodies pour rigoler avec des amis. Après on a commencé à se tourner vers des courts-métrages plus sérieux, que l’on diffusait sur Internet et de fil en aiguille ça donne ce que vous pouvez voir maintenant. C’est-à-dire une production avec un scénario écrit avant.

On essaie de faire vraiment le mieux possible au niveau cadrage et plan, tout en restant de l’amateur (rires).

Comptes-tu en faire ton futur métier, ou du moins entrer dans ce milieu qu’est la vidéo ?

Oui bien sûr, j’espère, c’est ma passion donc j’ai forcément le rêve de réussir à être réalisateur. C’est mon rêve un peu fou d’être réalisateur de cinéma (rires) car c’est un milieu très difficile à atteindre.

Il n’y a pas vraiment de formation pour y arriver, il faut connaître, se faire remarquer voir même pistonner je dirais.

Donc bien évidemment je vais essayer de tout faire pour y arriver, Sinon je me tournerai vers le montage, caméraman, voire même scénariste, bref tout ce qui peut toucher la vidéo.

Que cherches-tu à faire passer à travers tes productions ?

Implicitement ou explicitement, j’essaie de faire passer des idées . C’est-à-dire, j’essaie de cacher des petites

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facettes de ma personnalité. J’aime surtout, dans ce que je fais, faire réfléchir le spectateur, pour qu’à la fin du courtmétrage, celui-ci se prenne une claque (rires) ! Pour citer un exemple, j’ai réalisé un court-métrage de l’homme sur l’environnement avec des images assez choquantes pour vraiment montrer aux gens que l’homme détruit la planète. J’aime aussi parler des phénomènes paranormaux, des rêves, tout ce qui peut toucher la conscience de l’être humain. Parfois, le spectateur est un peu perdu, il ne comprend pas vraiment le court-métrage, mais c’est juste à la fin qu’il s’aperçoit de l’intérêt de celui-là.

Combien de temps est nécessaire à la réalisation d’un court-métrage, de l’écriture jusqu’au montage vidéo ?

Je dirais que ça peut varier, ça dépend de plusieurs choses. Dans un premier temps, il faut l’idée, ensuite on essaie de bâtir une histoire avec cette idée, ce qui peut prendre une semaine voire deux pour que le scénario soit vraiment bien ficelé. Après il faut savoir où l’on va tourner et quand, toutes ces questions techniques... Donc pour la réalisation d’un court-métrage, il faut une période de 2 à 3 mois selon la longueur de celuilà. Ensuite il reste le travail de diffusion, plus particulièrement sur Internet, qui est un réseau qui aide vraiment à se faire connaître. C’est une facette très importante, car, passer 3 mois sur un court-métrage sans qu’il soit vu du public, ça n’a aucun sens (rires).

Trouves-tu toujours le temps de pratiquer cette activité ?

On va dire que oui. J’essaie de trouver le temps, c’est vrai qu’avec les études, ce n’est pas évident. Mais vu que c’est ma passion, j’y pense tout le temps. J’ai toujours un scénario de côté au cas où l’occasion se présenterait. Ces temps-ci par exemple, je suis en train de faire un court-métrage pour un concours étudiant ou j’ai pu envoyer une réalisation au festival SRC à Mulhouse. C’est vrai qu’il faut trouver le temps, toujours avoir un but, comme les festivals. Ceux-ci t’aident à te fixer un objectif et même s’il arrive de faire des nuits blanches, il faut assumer et rendre ses films dans les délais, donc ce n’est pas évident.

Est-ce que ton entourage prend part à ton activité ?

Oui bien sûr, mes amis d’Héricourt sont en quelque sorte acteurs car ils n’ont pas encore acquis une technique de montage vidéo. Donc bien sûr sans eux je ne ferais rien, on est en quelque sorte, une « team », on est tous membres d’une production.

C’est important d’avoir le soutien et l’aide d’autres personnes. Récemment, on a officialisé la création d’une association qui s’appelle « L’Association des Réalisateurs Amateurs de Haute-Saône » pour promouvoir et aider des réalisateurs amateurs à faire des cours métrages ou, tout simplement, aider les gens à filmer pour des événements bateaux comme un mariage (rires), les encadrer dans leurs tournages... Cette association est bien sûr à but non lucratif, elle va beaucoup se développer cet été où l’on demandera l’intervention de réalisateurs qui ont déjà des capacités, ceux-ci seront bien évidemment appréciés dans le cadre de l’association. Pouvoir proposer des aides et créer un réseau à l’échelle locale.

Comptes-tu chercher un stage en deuxième année de SRC, dans ce milieu qui t’est si cher?

Oui, ce serait stupide de ne pas vouloir trouver un stage en rapport avec ma passion. Je vais tout faire pour en trouver un en France ou à l’étranger peu importe. C’est vrai qu’en Angleterre ou dans un pays anglophone ce serait mieux, ça me permettrait de progresser en langue. Mais je pense déjà, rien qu’en France, demander à toutes les chaînes de télévision. Je vais tenter même si cela n’est pas simple. Donc oui je compte faire mon stage en entreprise audio-visuelle pour pouvoir poursuivre ce rêve.

Steeve Lecomte

la vie du pôle

A la recherche de toujours plus de connaissances Joann est un jeune homme, qui a tout de suite compris ce que recherchaient les employeurs. Il vous fait découvrir son parcours et vous prouver que la polyvalence et l’expérience sont les clés de la réussite.

Tout d’abord, peux-te présenter ?

Je m’appelle Joann Daminelli. J’ai 24 ans, bientôt 25, et j’habite à Voujeaucourt.

Peux-tu me rappeler ton parcours scolaire ?

J’ai obtenu un bac STI Électrotechnique au lycée Viette de Montbéliard. Puis dans la logique des choses, j’ai passé un BTS Électrotechnique et une licence Pro d’Electricité, Automatisme et Électronique à l’IUT de Joseph Fourrier à Grenoble. Actuellement, je suis en deuxième année de

tèmes voix et données ». Je préparerai cette formation par apprentissage.

Et je suis déjà en contact avec une entreprise pour voir s’il serait possible d’établir un petit contrat.

Qu’est-ce que tu ressors de ces formations ?

Plein de choses... et beaucoup d’expériences !

Pourquoi avoir choisi de refaire un DUT ?

Dans le monde d’aujourd’hui, les patrons demandent toujours plus de compétences, et de polyvalence... c’est pourquoi j’ai eu envie de préparer un diplôme qui pouvait être complémentaire par rapport à ma formation d’origine. De plus, vu que le domaine des télécommunications est un domaine d’avenir et plein de nouveautés, cela ne peut être que bénéfique.

Que veux-tu faire après cette formation ?

J’aimerais poursuivre en licence. C’est pourquoi je me suis inscrit en licence pro Réseaux et Télécommunications avec une option « intégration des sys-

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Les avantages sont la polyvalence et l’expérience dans différents domaines que j’ai déjà acquis. Sinon, pour les inconvénients, je n’en vois pas pour l’instant.

Quel métier aimerais-tu exercer ?

Plusieurs choix pourraient s’offrir à moi.

Tout d’abord, architecte en réseaux, ce qui me permettrait de pouvoir faire de la technique en bossant sur des routeurs cisco, etc.... Sinon, mon deuxième choix serait technicien en télécom.

Comment as-tu financé toutes ces études ?

DUT Réseaux et Télécommunications. Tous ces diplômes sont ou ont été préparés en alternance.

Quelles sont les avantages et les inconvénients, selon toi, de tes choix d’orientation ?

L’apprentissage a, pour une très grosse partie, financé mes études… sauf quand je suis parti un an à Grenoble pour préparer ma licence. Là, j’ai dû faire un prêt pour m’acheter un PC, et pouvoir me trouver un logement car cela coûte assez cher làbas.

Conseillerais-tu à d’autres étudiants d’aller en RT ?

Oui, je le conseillerais à qui veut l’entendre, car dans ce domaine, il y a vraiment beaucoup de perspective… c’est, je pense, un domaine d’avenir vu que tout commence à transiter via les réseaux, et que les entreprises sont, pour la plupart, dépendantes des systèmes d’informations, contrairement à ce qu’il pouvait y avoir quelques années plus tôt.

Une formation en alternance n’estelle pas plus difficile qu’un cursus «normal» ?

Non, mon but est d’avoir deux licences, pas plus !

Il est vrai que le rythme y est un peu plus soutenu… car on fait le même programme que les autres en formation initiale en deux fois moins de temps. Mais le plus dur, enfin le plus ennuyant, est de ne plus avoir de vacances...

Où envisages-tu de faire cette seconde licence ?

Que penses-tu avoir de plus qu’un autre étudiant qui sort de RT ?

Je pense aller à l’IUT de Colmar pour y préparer la licence pro R&T ISVD (ndlr Intégration des Systèmes Voix/Données) par apprentissage.

De l’expérience et la culture d’entreprise…

Envisages-tu de poursuivre tes études après cette licence ?

As-tu des petites anecdotes en ce qui concerne l’ensemble de tes études ?

Toutes les candidatures que j’ai déposées étaient bien au-delà des dates limites d’inscription ! Et à chaque fois que j’ai trouvé une entreprise d’accueil, c’était au dernier moment…

Propos recueuillis par Jenna Vurpillot

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la vie du pôle

La France : un pays qui attire Diana Iaru et Bogdan Cornea sont deux étudiants roumains venus passer leur deuxième semestre de 5ème d’année d’études en France, et plus particulièrement, avec nous, Montbéliardais.

Tout d’abord, pouvez-vous vous présenter ?

Nous sommes étudiants en 5ème année (BAC+5), à l’Université Transilvania de Brasov, en Roumanie, Faculté d’Electrotechnique et d’Informatique.

L’avantage principal, ici à Montbéliard, c’est d’être à Numerica pour faire ce stage. Ici, on apprend à connaître des étudiants comme nous, en Master ou en Doctorat. Nous sommes au centre de plusieurs projets en développement. On pourra assimiler des connaissances complexes dans différents domaines, et même sur les projets d’autres étudiants, ce qui est un réel avantage. En fait, l’arrivée à LIFC nous donne la possibilité d’apprendre et de connaître le système de recherche français et surtout la vie des étudiants français. En tout cas, pendant ce stage, nous faisons partie de la société française et nous en respectons ses règles.

Dans quel cadre êtes-vous partis à l’étranger ?

Pour nous, la 5ème année, c’est la dernière année universitaire. Le deuxième semestre est dédié à rédiger le projet de Licence (pour obtenir le diplôme d’Ingénieur Diplômé, nous devons rédiger un projet qui va compléter les examens finaux). Nous avons obtenu la bourse Socrates-Erasmus, et comme ça nous allons préparer notre projet Licence pendant ce stage à Montbéliard, au Laboratoire d’Informatique de l’Université de Franche-Comté. M. Eugen Dedu est le coordinateur de notre stage. Comme ça, la plupart des charges sont assurées et les autres sont des finances propres.

avec le but à atteindre. Grâce à notre professeur de Linux, M. Eugen Dedu, les problèmes d’organisation ont été résolus avec succès.

Qu’avez-vous appris durant ce stage ?

Concernant le sujet de ce stage ( Bogdan et moi, nous avons comme sujet «Expérimentations réelles en DCCP») on a déjà appris à faire beaucoup de choses sous Linux, même tester des nouveaux programmes qui sont encore instables.

Le conseilleriez-vous à d’autres étudiants ?

Un stage comme ce que nous faisons est très important pour notre expérience et formation professionnelle et c’est aussi une bonne expérience à vivre. Les étudiants étrangers qui arrivent à Montbéliard sont très bien reçus et il y a toujours une personne qui veut/peut aider si des problèmes arrivent. Après un petit effort commun, ces problèmes deviennent vraiment minuscules et le stage se passe bien.

La manière de travailler est-elle la même ?

Chez nous, en Roumanie, les stages ne sont pas très importants, et les deux stages que l’on a déjà effectués se sont passés ici à Numerica. Bogdan a fait son premier stage à LIFC (du 15 janvier au 15 avril 2007 avec Eugen Dedu pour coordonnateur aussi) et moi à ERCOS, UTBM (pendant la même période, avec Bernard Mignot comme coordonnateur). Donc, nous ne pouvons faire une comparaison réelle concernant la manière de travailler.

Pour combien de temps êtes-vous parmi nous ?

Cette bourse nous a été accordée pour une période de 3 mois, à partir du 1er mars jusqu’à 31 Mai 2008.

Quels sont les avantages et les inconvénients à partir en stage, notamment à l’étranger ?

Il n’y a que des avantages à être à Numérica. C’est tellement complet.

Les désavantages sont infimes, en comparaison Propos recueuillis par Jenna Vurpillot

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la vie du pôle

Journée mobilité électrique Le 29 mars dernier, à Audincourt, s’est déroulée la journée mobilité électrique.

Pouvez-vous nous présenter le but de cette journée ?

Au-delà du rassemblement national autour d’un projet pédagogique mené par les départements Génie électrique des IUT de France, le département GEII de Belfort a voulu mettre l’accent sur les transports moins polluants et en particulier les véhicules à propulsion électrique de 2 à 4 roues. La date de la manifestation a été choisie entre autres - en raison de l’ouverture de la semaine du développement durable.Le département GEII de Belfort s’inscrit, en effet, dans les actions «Campus durable» de l’Université de Franche-Comté. L’événement a permis de soulever la problématique des transports électriques : comment la pollution peut-elle être maîtrisée et jusqu’à quel point ?

Comment cette journée s’est-elle déroulée ?

La démonstration de « mobilité électrique » a été précédée par un défilé en ville amenant les karts et autres engins électriques de la zone des Forges jusqu’à la place du marché.

Différents stands ont animé cet après-midi. Tout d’abord, les étudiants du département GEII et de la Licence Professionnelle VEGA (Véhicules : Electronique et Gestion des Automatismes) de Belfort ont présenté leur formation.

Des véhicules prêtés par le groupe PSA Peugeot-Citroën et Toyota ont permis de discuter des technologies hybrides et des carburants moins polluants. Un stand dédié à l’environnement prêté par la CAPM a également été animé.

En parallèle les équipes participant au challenge national ont présenté leurs karts. Des démonstrations de vélos à assistance électrique (vélos de l’Université, de la CAPM et des Cycles Thierry) ont permis au public de prendre contact avec ces nouveaux moyens de transport. Les maires d’Audincourt et de Belfort ont pu démontrer leur habileté dans le maniement de ces engins.

de l’air. Des véhicules de toutes sortes peuvent rentrer dans cette catégorie : trottinette électrique, vélos à assistance électrique, scooters électriques, motos électriques, quads électriques, petits véhicules électriques à 4 roues mais aussi véhicules hybrides (moteur électrique couplé à un moteur classique à combustion).

Comment cet événement a-t-il pu voir le jour ?

Cet événement a pu être réalisé grâce au soutien financier de la Région Franche-Comté, de la CAPM, de la Ville d’Audincourt, de l’Université de Franche-Comté, de l’IUT ainsi qu’à la participation active d’EDF.

Et qui a préparé cette présentation ?

La responsabilité de l’équipe pédagogique du département GEII de l’IUT de Belfort qui a réussi à mobiliser une majorité des étudiants du département. Alain Berthon, chef du département GEII et Yves Vejux chargé de la logistique ont été les animateurs de cette équipe.

A qui s’adressait cet événement ?

En quoi consiste la «mobilité électrique» ?

La «mobilité électrique» représente les dispositifs électriques et hybrides permettant à tout un chacun de se déplacer en essayant de préserver l’environnement sonore, visuel ainsi que la qualité

Un public varié d’habitants du Nord Franche-Comté est venu en connaissance de cause, l’information ayant été largement diffusée par différents médias, affiches et flyers. Jeunes et moins jeunes sont venus essayer les différents véhicules en démonstration.

Léonard Martin

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la vie du pôle

Le festival du film d’un jour : et si vous aussi, vous étiez sur grand écran ?

Ce festival du cinéma est un concept unique dans le monde universitaire français qui permet de réunir des étudiants de différents univers C’est très simple … À partir d’un thème qui leur a été donné lors de leur arrivée dans l’Aire Urbaine de BelfortMontbéliard, les étudiants, venus de toute la France, ont eu environ 50 heures pour scénariser, tourner et monter un court métrage. Par la suite, ils ont dû présenter leur film devant un jury, composé en partie de professionnels, et devant le public du cinéma.

Mais c’est aussi l’occasion pour les personnes qui ont été recrutées pour l’organisation d’apprendre de nombreuses informations sur différents univers, de faire des connaissances, mais aussi de s’amuser.

« Des étudiants, venus de toute la France, ont eu environ 50 heures pour scénariser, tourner et monter un court métrage »

Voici le programme du festival

Qui furent les grands gagnants de cette année ?

Le Chronos d’or a été attribué à l’équipe CNT CNC pour « Petit délire entre ami ».

Leur récompense : une station de montage Apple Le prix de la Meilleure photographie a été gagné par YFK pour leur film « Autolyse ».

Leur récompense : un appareil photo NikonD40 Le Meilleur scénario a été remporté par BABIROUSSA pour « Vous avez bien fait ».

Leur récompense : une caméra HC9 Sony avec logiciel de montage Le Coup de cœur du public a été décroché par BABIROUSSA pour « Vous avez bien fait ».

Leur récompense : un kit de tournage Panavision Des Prix Spéciaux ont été décernés à l’équipe du Making of et à l’équipe NXTV vieux

Le jeudi 1 mai 2008, à l’UTBM, ont eu lieu l’arrivée des participants et la cérémonie d’ouverture, durant laquelle le thème du Festival fut tiré au sort. Dans l’après-midi, les équipes sont passées à l’étape de scénarisation. Le vendredi 2 mai 2008, la quasi-totalité des membres des équipes et de l’organisation était dans l’aire urbaine.

Chaque équipe procédait au repérage et au tournage des scènes.

Samedi 3 mai 2008, fut une journée riche en émotions pour le rush final : le matin, pour les équipes, c’est le gros stress pour tourner les dernières scènes et ne pas tarder à faire le montage vidéo, ce qui est un travail assez conséquent. L’organisation a, elle aussi, produit un travail intensif, afin que tout soit fini pour le grand soir de la présentation et diffusion des films au Mégarama d’Audincourt : la cérémonie de remise des prix, ce moment tant attendu.

L’organisation procède le dimanche 4 mai 2008 à la relecture, au bilan et au rangement. Mais ce fut également le jour de soulagement pour les équipes qui prennent un grand plaisir à rentrer chez elles.

Pour voir le film de chaque équipe, je vous invite à aller sur le site officiel du FF1J (http://ae.utbm.fr/ff1j) ou sur le site Dailymotion (http://www.dailymotion.com).

Si toutefois, vous voulez vous inscrire pour l’année prochaine, contactez le responsable des inscriptions: THOMAS CHATENET Festival du Film d’un Jour Université de Technologie de Belfort-Montbéliard 90010 Belfort Cedex T 03 84 21 18 75 P 06 77 64 20 29 M thomas.chatenet@utbm.fr Jenna Vurpillot

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la vie du pôle

Tout l’U et tout bronzé ...

Tout l’U est le journal de l’Université de Franche-Comté. Tous les mois, il apporte des informations capitales sur la vie étudiante et plusieurs autres éléments tout aussi cruciaux qu’intéressants. Jonglant ainsi entre surprises et coups de théâtre, ce journal sera votre meilleur allié lors des circonstances les plus dramatiques.

Avant tout, j’aimerais signaler (à mon grand dam) que ma connaissance du journal est limitée. Je n’ai malheureusement pu lire que le hors-série numéro 11, et je dois en faire un article, mais rassurez-vous ! Il y a déjà beaucoup à dire sur cette merveille de la presse moderne. Désolé de ne pas pouvoir retenir mon exaltation plus longtemps, passons sans transition à l’analyse du contenu !

Tout d’abord, ce qui saute aux yeux, c’est la beauté du jeu de mot contenu dans le titre, suggérant à la fois la lecture et l’université, mêlant la connaissance à l’apprentissage, il dit TOUT. Ensuite, on ne peut pas ne pas être émerveillé par l’extrême sobriété et efficacité de la première de couverture. Du titre au sommaire, en passant par les images bien choisies, c’est un régal absolu pour les sens. Déjà les grandes parties du sommaire nous laissent présager du bonheur considérable que nous réserve le magazine : formation, recherche, sciences et j’en passe sont autant de mots qui font rêver le lecteur d’entrée de jeu. Inutile de vous décrire mon état d’euphorie lorsque j’ai tourné la page et que je suis tombé nez-à-nez avec toutes ces couleurs chatoyantes ! Et que dire du contenu... que de contenu ! Non vraiment, les péripéties des étudiants en HistoireGéographie sont dignes d’un roman d’Emile Zola et les informations données sont tellement claires qu’elles feraient passer de l’eau de roche pour du pétrole. C’est en voyant un tel chef d’œuvre que je veux redoubler d’ardeur et de travail pour le Frigo... pour arriver à la cheville de Tout l’U !

En bref... si vous n’avez vraiment trouvé aucun intérêt à cet article bouche-trou, c’est normal, mais avouez-le... Il vous a fait sourire ! Bonne lecture !

Tom Zaoui

Le buzz « Lip dub » Bien plus qu’une vidéo qui inciterait les étudiants à entrer dans cette merveilleuse école nommée DUT SRC… c’est une réelle occasion de s’amuser et de renforcer notre amitié et même de décompresser quand les tensions commencent à prendre le dessus.

Au départ de l’annonce des sujets sur le lip dub… Certains sont ravis, ils vont passer à l’écran… mais d’autres ont déjà des boutons qui leur poussent sur le front rien qu’à l’idée d’être aperçu. Notre seule contrainte était de choisir une chanson française. Ca va, on est gâté, la variété de chansons françaises nous offre un choix très intéressant.

Les musiques choisies sont « Le café » de Oldelaf, « Ca plane pour moi » de Plastic Bertrand, « Manu Chao » des Wampas, « Daniela » de Elmet Food Beat, « Alice & June » de Indochine, «Ca c’est vraiment toi» de Téléphone, «Comme elle Vient» de Noir Désir et « L’homme pressé » du même groupe.

Des groupes se différencient par leur organisation, certains par le choix de la musique, d’autres par les personnages clés, par leur scénario ou même par le choix de la chorégraphie…

Nous pouvons tous être fiers de nous. Le principal est de s’amuser, n’est-ce pas ? Et rassurez-vous, le ridicule ne tue pas, et heureusement… Le lip dub nous a permis de vivre une très bonne expérience. Pour ma part, j’ai trouvé ça vraiment plaisant d’apprendre à gérer une équipe. A savoir aussi, qu’ils ont été très coopératifs. Voir tous ces gens dissipés et que tout à coup, tout le monde attend calmement. Tous ces moments si agréables à vivre partagés avec une poignée de bons amis : courir dans tous les coins pour ne pas apparaître sur la caméra, tous transpirer, les désaccords mais aussi les réjouissances de voir que le travail en commun donne un résultat plus que bon.

Pour aller les voir, allez sur www.dailymotion.com, rechercher « lip dub SRC Montbéliard ». Faites-vous plaisir.

Jenna Vurpillot Le

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chronique culturelle

Billet d’humeur

Rencontre sur internet : pour ou contre?

Nicolas Davi

«Gâcher le charme de la rencontre ? Peutêtre. Ou non. C’est une nouvelle approche.»

Les rencontres amicales et amoureuses sont des événements qui nous permettent d’avancer, d’évoluer mais aussi de vivre. Rester seul dans son coin est d’une part très dur à vivre, et d’autre part nous rend vraiment à l’écart de la vie et des bonnes choses qu’elle nous propose. C’est pour cette raison qu’il faut aller vers les autres, même si le premier pas est toujours dur à franchir.

À qui s’adressent ces sites ? Jenna a déjà répondu à cette question. Dans une société où la communication devient informelle, où le célibat bat son plein, de plus en plus de personnes ont recours à ces méthodes. La question n’est pas de savoir si elles sont efficaces, mais plutôt de savoir si elles ont lieu d’être. Dans la mesure où elles contribuent à rendre la vie de certaines personnes plus heureuse, oui. Mais dans ce cas, en quoi sont-elles dérangeantes ?

Pour les gens plus timides ou qui « n’ont pas le temps » de sortir et aller vers les autres, des sites ont été créés, nommés sites de rencontres ! Je pense qu’Internet peut être utile pour rencontrer des gens dans un but professionnel, voire amical puis amoureux par la suite.

Mais créer des sites dont la fonction principale est de trouver l’amour me dérange. Je pense que ça gâche vraiment toute la beauté d’une rencontre, d’un premier pas, du premier sourire, de la première phrase ridicule.

Cela perd tout son charme !

Gâcher le charme de la rencontre ? Peut-être. Ou non. C’est une nouvelle approche. Dire que sur Internet, l’apparence compte moins, que l’on est davantage jugé par sa plume, serait utopique.

Au-delà de toutes ces interrogations, je ne pense pas que les sites de rencontre créent de nouveaux problèmes. Ils ne font qu’exhiber des problèmes déjà présents sur la toile. Là où je rejoins Jenna, c’est sur le business qui tourne autour de ces sites. Ces derniers sont de véritables pompes à fric. Comme les sites de blogs remarquez. Imaginerait-on Internet sans blogs ?

J’en doute. De toute manière, imaginer Internet sans sites de rencontre ni t’chats n’est pas plus concevable.

Nicolas Davi

Le

«Je me demande vraiment ce que facilitent ces sites ? Quelle est leur utilité ?»

Les rencontres à distance, ça ne date pas d’hier. Les journaux, encore aujourd’hui, sont gorgés de petites annonces romantiques. Les nouvelles technologies n’ont fait qu’accroître le phénomène, et en agrandir l’échelle : des gens, diamétralement opposés dans l’Hexagone, se rencontrent et partagent des instants, par le biais du téléphone et sur la toile, des sites de rencontre.

Dérangeant, peut-être parce que le web est anonyme. Tout du moins suffisamment pour que les gens s’y croient plus libres que dans la « vraie vie ». Le pas, qui y est si difficile à franchir, paraît soudain être un jeu d’enfants. Et c’est là qu’intervient le problème : fausses identités, usurpations... Qui n’a jamais été sur un t’chat de rencontre, par curiosité, ou par jeu ? C’est le problème, être vigilant, peut-être encore plus qu’avant.

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Jenna Vurpillot

n°9 mai - juin 2008

Ce qui est exorbitant, c’est l’évolution de notre société. Au temps de nos grands-parents, de nos parents, les rencontres se faisaient dans les bals. Il n’y a pas si longtemps que ça, les gens allaient en boîte, à la patinoire. A présent, on se rencontre par le biais de nombreux câbles (qui codent nos messages… en plus !). On se demande même s’il faut trouver la clé pour décoder le message ou la clé du cœur de son partenaire.

Trêve de plaisanterie. Je me demande vraiment ce que facilitent ces sites ? Quelle est leur utilité ? Mis à part de faire gagner de l’argent à l’entreprise qui l’a créé. Je ne comprends pas !

Pour conclure, je dirais que les sites de rencontre, je ne suis pas contre. Mais que l’on se serve de ces sites dans le but de trouver l’amour, ou pour des raisons purement sexuelles, je trouve ça vraiment dommage, limite ridicule. Cela dit, n’oublions pas que de belles histoires se sont créées sur Internet grâce à ces sites.

Jenna Vurpillot

chronique culturelle

Cinéma

Un grand cru pour 2008

Into The Wild Date de sortie : 09 Janvier 2008 Film américain Réalisé par : Sean Penn.

Avec : Emile Hirsch, Marcia Gay Harden, William Hurt Genre : Aventure, Drame Durée : 2h 27mn

Il y a longtemps que je t’aime

Date de sortie : 19 Mars 2008 Film français / allemand Réalisé par : Philippe Claudel.

Avec : Kristin Scott Thomas, Elsa Zylberstein, Serge Hazanavicius Genre : Drame Durée : 1h 55mn

Synopsis : Un jeune diplômé de l’université, Christopher McCandless, 22 ans, est promis à un brillant avenir ; il décide pourtant de tourner le dos à l’existence confortable et sans surprise qui l’attend, et prend la route en laissant tout derrière lui. Au cours de son voyage, le jeune homme va rencontrer une multitude de personnages qui vont façonner sa vision de la vie et des autres. Au bout de celui-ci, Christopher atteindra son ultime but : s’aventurer, seul, en Alaska pour vivre en communion totale avec la nature.

Avis : Cette histoire vraie, inspirée du livre Voyage au Bout de la Solitude, écrit par le journaliste américain Jon Krakauer et sur lequel s’est basé Sean Penn pour réaliser Into The Wild, entraîne le spectateur au bout d’un voyage très particulier : un voyage au bout de lui-même ! Le réalisateur nous fait errer, durant 2h27mn, des champs de blé du Dakota aux flots tumultueux du Colorado, en passant par les communautés hippies de Californie. Un dépaysement total !

Ce film présente une morale au final controversée, mais laisse le champ libre au spectateur d’interpréter lui-même ses sentiments.

De plus, la bande originale du film, signée Eddie Vedder, le chanteur du groupe Pearl Jam, est magnifique et colle parfaitement à l’ambiance du film.

Ce film est une réussite totale dont on ne peut sortir que transformé !

Synopsis : Durant 15 années, Juliette n’a eu aucun lien avec sa famille qui l’avait rejetée. Après sa sortie de prison, cette femme troublée, retrouve sa jeune sœur, Léa, alors que la vie les avait violemment séparées. Celle-ci l’accueille alors chez elle, auprès de sa famille.

Avis : Ce film, bouleversant et émouvant, nous parle de l’amour entre deux soeurs que la vie a malmenées et séparées, et de leurs retrouvailles. Il nous présente également la renaissance d’une femme qui se laissait aller et qui va retrouver goût à la vie grâce à sa sœur.

Tout cela de manière très subtile, sans beaucoup de dialogues, ni d’événements ; sans grand drame dans la narration.

Un film vrai et profond qui nous parle d’amour et dont on ressort bouleversé jusqu’aux larmes…

J’ai toujours

rêvé d’être un gangster Date de sortie : 26 Mars 2008 Film français

Synopsis : L’histoire d’un braqueur sans arme dont la victime est elle-même une braqueuse, armée. Deux kidnappeurs amateurs qui enlèvent une adolescente suicidaire. Deux chanteurs qui parlent d’un tube volé. Cinq septuagénaires qui se retrouvent pour un dernier coup...

Avis : Le grand retour au cinéma de Samuel Benchetrit, qui n’avait pas écrit pour le cinéma depuis Janis et John (octobre Avec : Anna Mouglalis, Edouard Baer, 2003), est vraiment réussi ! Il nous présente ici un film populaire Jean Rochefort avec une certaine ambition artistique et une envie de liberté.

Genre : Comédie dramatique, policier Un film tel qu’on en faisait dans les années 60 en Italie.

Ce film est bourré d’humour et de bons comédiens !

Durée : 1h 48mn Quelques passages peut-être un peu longs quelques fois mais assaisonnés de très bons jeux d’acteurs.

Pari réussi pour Benchetrit !

Réalisé par : Samuel Benchetrit.

SORTIES PRéVUES POUR JUIN 2008

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48 heures par jour, Affaire de famille, Les Hommes, Les Insoumis, Midnight Meat Train, Nouvelle donne, Sagan, La Personne aux deux personnes, La Troisième partie du monde, La Dernière chasse, Au bout de la nuit, Le Monde de Narnia : chapitre 2 - Prince Caspian, Seuls Two ...

Fanny

Plaisance Le

n°9 mai-juin 2008

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chronique culturelle

Musique

Acclamons The Cheers !

Jeune groupe montbéliardais, The Cheers arpente les scènes de la région avec une énergie certaine et une bonne humeur communicative. Le groupe est composé de Yannick Ziegler (chant), Naguib Amzal (basse), Jason Pecatte et Romain Piquerez (guitare) et Pierre Cachot (Batterie).

Pourquoi ce nom de groupe ?

C’est un trip métaphysique, « The Cheers » signifie les acclamations, c’est-à-dire qu’on est à l’intérieur de chacun de vous et on vous fait sortir pendant nos concerts !

Comment définissez-vous votre musique ?

Du rock, influencé par des groupes anglais principalement et américains dont new-yorkais.

Comment vous êtes-vous rencontrés ?

Sur Meetic ! (rires). On est potes depuis pas mal d’années.

Depuis combien de temps existe le groupe et qui l’a créé ?

Pierre, Naguib et Jason il y a 3 ans. Mais la formation définitive ainsi que le nom, c’était il y a un an et demi.

À quel âge avez-vous commencé à écouter du rock ?

Yannick : 12 ans !

Naguib : J’ai fait ma crise d’adolescence avec Offspring.

Jason : Moi plus tard, genre 15, 16 ans.

Quelles sont vos inspirations ?

Charles Bukowski et des groupes anglais des années 70 et des années 2000 !

Quels sont vos groupes préférés ?

The Strokes, The Clash, The Libertines, King of Leon, Queen Of The Stone Age, ou encore The Hives.

De quels groupes plus connus peut-on vous rapprocher ?

Arctic Monkeys, The Libertines, The Strokes

Pourquoi avoir choisi le rock comme moyen d’expression ?

Jason : Quand Pierre m’a prêté son CD des Strokes c’était… comment dire ?… t’adore ça !

Yannick : A Montbéliard on a le stade Bonal, le cinéma... et en fait, il n’y a rien à faire donc on a fait du rock !

Quels sont les thèmes récurrents de vos compos ?

Le fait de se faire lâcher par des nanas, la provocation et « Which side », c’est la schizophrénie.

À quel âge avez-vous commencé à en jouer ?

Naguib : à la formation du groupe, il y a 3, 4 ans.

Yannick : Comme les groupes Punk quoi ! Tu sais pas jouer, tu prends les instruments…

Naguib : Tu apprends sur le tas !

Quelle est votre compo préférée ?

Quels autres genres de musique appréciez-vous?

Avez-vous des projets et si oui, lesquels ?

Le jazz.

Dans quel état êtes-vous quand vous jouez ?

Ivres ! (rires)

Tous : Which side !

Pierre : La dernière qui n’a pas de nom !

Tous : Ah oui la dernière qui n’a pas de nom !

Naguib : Sortir un album, un vinyle.

Yannick : Oui en ce moment, on va sortir un vinyle de trois titres avec les Productions de L’Impossible. (ndlr association montbéliardaise regroupant plusieurs groupes de musique)

Un petit mot pour nos lectrices et nos lecteurs ?

We love you !

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Le

n°9 mai - juin 2008

Propos recueuillis par Delphine Binet

chronique culturelle

Jeux Vidéo Assassin’s Creed

t disponible. Le but de ’ Creed est maintenan sin sas As de PC on rsi La tant attendue ve nt d’assassiner. e » est tout simpleme ce jeu « révolutionnair me Campagne des t d’empêcher la troisiè tan ten in ass trez en ass un , tants du jeu, vous en Vous incarnez Altaïr Dès les premiers ins . ns avec brio, no ag lisé mp réa co est ses e spect graphiqu Croisades avec L’a . ed Cre n’s ssi ssa nde d’A des décors. Une prise immersion dans le mo nnages ou la diversité rso pe s de ment t en cem pla sur n’importe quel élé que ce soit pour le dé idement de grimper rap s trè ra ett rm pe us en main facile vo peu partout. ui du didactitiel du jeu et de courir un de constater que l’enn est ce for , s et sée itri ma in ssassinats, de mission Une fois la prise en ma à un enchainement d’a ce pla sse lai et nt s’estompe rapideme trépidantes. de courses poursuites sant, tés, le jeu devient las la répétition des activi est er s mi ure pre he le : ses jeu mbreu Deux bémols à ce pparaît qu’après de no e, cette lassitude n’a iction de vente aux erd int n so mais pas d’inquiétud tre ou , jeu l’aspect moral de ce seul but est de tuer ses de jeu, le second est réalisé un jeu dont le me mê de t tou t on mineurs, les créateurs semblables. ures d’immersion mettra de longues he pro us vo il n, bo s trè ins Le jeu reste néanmo ïr. dans le monde d’Alta

Mario Kart Wii chez st la dernière née de dérapage contrôlé, c’e en ts. t lan ien vo s rev rt vo A Ka . us rio La saga Ma ra ce dernier op Nintendo qui accueille de premières secondes nous captive dès les rt Ka é. rio jou Ma est e, r ud tou bit le négociés, et Comme à son ha ux virages durement e de ell uv tre no en sa sé à po nt dé me ge ite daptant parfa courses. Un piè s’a en t tou é cit se nti pè the je au meilleur - et Mario Kart garde son de plaisir à jouer au donc toujours autant rez ve ts – jeu multijoueur. rou mo s ép us me Vo . console r joueurs de s’affronte la possibilité pour les est er, -ci rni lui de Ce l. ce ee de , le Wii Wh La grande nouveauté ectement avec le jeu également fourni dir est t vite à leurs manettes. lan n vo bie t Un . ron ne lig rne en les puristes retou is ma é, ult fic dif en ajoute nt. entre amis se profile reuses soirées de jeu mb no de s, pa it ço de Mario Kart Wii ne

Romain Dorget

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Le

n°9 mai-juin 2008

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chronique culturelle

Littéraire NI D’EVE, NI D’ADAM

de Amélie Nothomb Editions Albin Michel - 2007 Résumé de l’oeuvre

Après avoir raconté ses déboires professionnels dans Stupeur et Tremblements, Amélie Nothomb révèle qu’à la même époque et au même endroit, elle a aussi été la fiancée d’un jeune homme très singulier...

«Le moyen le plus efficace d’apprendre le japonais me parut d’enseigner le français. Au supermarché, je laissai une petite annonce : « Cours particuliers de français, prix intéressant ».

Le téléphone sonna le soir même. Rendez-vous fut pris pour le lendemain, dans un café d’Omote-Sando. Je ne compris rien à son nom, lui non plus au mien. En raccrochant, je me rendis compte que je ne savais pas à quoi je le reconnaîtrais, lui non plus. Et comme je n’avais pas eu la présence d’esprit de lui demander son numéro, cela n’allait pas s’arranger. « Il me rappellera peut-être pour ce motif », pensai-je.

Il ne me rappela pas. La voix m’avait semblé jeune. Cela ne m’aiderait pas beaucoup. La jeunesse ne manquait pas à Tokyo, en 1989. A plus forte raison dans ce café d’Omote-Sando, le 26 janvier, vers quinze heures.

Je n’étais pas la seule étrangère, loin s’en fallait. Pourtant, il marcha vers moi sans hésiter.»

Avis

Le seizième roman d’Amélie Nothomb reste dans la lignée des quinze premiers : magnifique !

Avec Ni d’Eve, Ni d’Adam, l’écrivaine revient sur son initiation aux étranges moeurs de la société nipponne, via, cette fois, le registre amoureux. Elle qui nous a habitués à dessiner les relations humaines dans ce qu’elles ont de plus violent, que fait-elle de l’amour ?

Quand Amélie est amoureuse, cela donne un très bon roman. Elle qui transmet sa drôlerie, sa pertinence, sa sensibilité mal camouflée ; on n’est jamais autant aimable que lorsqu’on aime, c’est bien connu !

Mais sous la plume de la plus française des auteurs belges, les leçons d’amour deviennent proprement hilarantes !

Même pour parler d’amour, Amélie n’en fait qu’à sa tête !

Fanny Plaisance

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Le

n°9 mai - juin 2008

chronique culturelle

Un fait d’actualité « Chine » et « polémique » sont-ils synonymes ?

Place aux vingt-neuvièmes Jeux Olympiques de l’époque moderne ! Le plus grand événement sportif au monde se déroule cette année à Pékin, à partir du 8 août 2008, et ce durant deux semaines. Cependant, la choix de la Chine comme pays d’accueil lance la polémique. Explications.

« La « tradition du boycott » des JO n’est pas prête de s’essouffler. » --- L’Express Ce n’était pourtant pas la première fois !

Ces Jeux Olympiques s’inscrivent dans une longue liste de controverses qui balaient l’histoire des JO de l’époque moderne. Depuis leur réinstauration en 1896 par Pierre de Coubertin, la volonté d’une communion pacifique a bien été entâchée. Les grandes guerres ont eu raison de l’événement à plusieurs reprises, et les conflits politiques, voire religieux, interfèrent souvent sur le bon déroulement des épreuves, comme ce fut le cas en 1936 à Berlin.

Mais que se passe-t-il ?

Le problème est que les JO 2008 suscitent des inquiétudes plus sérieuses qu’ordinairement. Et ce sur tous les fronts. La Chine a un peu la même image que celle de la Turquie quant à son adhésion à l’Union Européenne : c’est un pays qui ne respecte pas les Droits de l’Homme. De plus, la Chine souffre de son image anti-démocratique, et désinformative, dans un pays où l’ensemble des médias est contrôlé, et où l’accès à Internet est limité (ndlr Google en chinois propose trois fois moins de sites que la version américaine).

« Le choix de la Chine n’est peut-être pas l’idée la moins polémique qu’ait eue le CIO. » -- 20minutes.fr Et les choix opérés par le gouvernement chinois ne font pas l’unanimité. Ainsi, la construction des grandes infrastructures tels le Water Cube (ndlr « cube d’eau » pour les épreuves de natation) ou le Bird’s Nest (ndlr « nid d’oiseau » stade national pour les épreuves d’athlétisme), l’agrandissement du métro et autres projets à grande échelle, ont des conséquences catastrophiques sur les quartiers pauvres de la ville, pour certains rasés complètement.

Ca hurle donc dans les frontières, mais aussi en dehors.

La politique extérieure du pays est souvent l’objet de critiques virulentes. Entre les positions douteuses du géant rouge concernant le Darfour et ses rapports conflictuels avec l’île de Taïwan, c’est sans doute la crise résonnante avec le Tibet depuis le mois de mars qui a fait couler le plus d’encre.

« Le «dialogue constructif» prôné par certains ne mène à rien. » --- Reporters sans Frontières Quant aux réactions...

En signe de mécontentement général, le parcours de la flamme olympique a été parsemé d’embûches et de manifestations, comme à Paris ou à Londres.

L’événement est tel que même le patron du Comité International Olympique, Jacques Rogge, conteste les agissements du gouvernement chinois, mais aussi ceux des manifestants. En attendant, les JO représente un budget estimable à 40 milliards de dollars, et le marché est juteux.

Et le sport dans tout ça ?

Terminons tout de même sur une note sportive. Plus de 300 épreuves animeront les JO de Pékin, soit 31 disciplines, dont trois nouvelles : le BMX (cyclisme), le 10km nage libre et le 3000m steeple féminin. Profitez du spectacle durant ces deux semaines, même si le décalage horaire conséquent entre les deux pays risque de ne pas faciliter la diffusion des épreuves.

Nicolas Davi Le

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Après le pôle

Pays froid / Idées bouillonnantes

On peut ne pas connaître le Canada, mais sûrement pas ses sociétés en Webdesign ! Des entreprises qui dessinent leur projet de réussite... mais également celui des autres. Quatre d’entre elles méritent d’être connues ; voici leur histoire.

Bluesponge La société Bluesponge a été fondée en 2000 à Montréal. Elle compte de nombreuses activités dans le domaine du webdesign et de la communication qui peut se faire autour du développement créatif.

Les compétences des membres de cette entreprise sont très variées : de la consultation créative et l’architecture de l’information, jusqu’au design d’interfaces, en passant par le marketing interactif. Les réalisations de Bluesponge valent sans aucun doute le détour ! Et c’est pour cela que beaucoup font appel à leurs services, dont la télévision canadienne !

Leur book est assez impressionnant, comprenant à chaque fois des graphismes et interactivités différents, toujours conçus avec une originalité légendaire. Le site officiel de Bluesponge reflète d’ailleurs très bien l’état d’esprit créatif et extra-ordinaire dont ses membres sont dotés.

Si vous avez éventuellement envie de découvrir le monde du travail dans le domaine du webdesign ou simplement de la créativité, Bluesponge recrute ! Interessés ? Jetez un oeil sur les annonces ! http://www.bluesponge.com/2_0/

Toxa (Je tiens à préciser que, contrairement à ce que le nom de cette entreprise pourrait laisser entendre, celle-ci n’est pas spécialisée dans la promotion ou conception de substances illicites...)

C’est une agence connue pour ses réalisations en design graphique, édition du magazine Urbania, puis qui s’est lancée dans la production audiovisuelle. Toxa, installée à Montréal, a complété son premier mandat télé avec les Minutes Urbania (ndlr une série de cinquante documentaires d’une minute).

Comme vous avez pu le constater, le style de Toxa semble être axé sur le monde urbain (Urbania), d’ailleurs le site présente avec dynamisme la ville de Montréal en 12 lieux emblématiques, et ce d’une manière interactive assez impressionnante ; de quoi vous faire tourner la tête et vous donner envie de découvrir cette ville, et qui sait, vous donner envie de faire partie de l’équipe Toxa ! http://www.toxa.ca

Turbulent Quant à Turbulent, cette entreprise est plus axée sur le développement web. Elle dispose des dernières innovations technologiques pour offrir le meilleur de leurs compétences !Tous les langages de programmation sont connus par ses membres. Ainsi, l’éventail des services proposés est très étendu :Turbulent exécute l’intégration de CMS, développe des logiciels web sur mesure, protège vos sites et ses données, et réalise bien d’autres choses.

L’air de rien, Turbulent a été nommé Personnalité Multimédia 2007, a remporté le Grand Prix dans la catégorie sites internet / médias et divertissements la même année et bien d’autres titres encore ! De quoi provoquer quelques « turbulences » émotives au sein de cette agence canadienne.

Pour information, l’agence a l’habitude d’accueillir des élèves de SRC pour les stages ; mais ça n’est pas tout, Turbulent recrute ! Développeurs, à vos mails, prêts, contactez ! info@turbulent.ca http://www.turbulent.ca/

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Le

n°9 mai - juin 2008

Après le pôle

Griffintown Une entreprise également spécialisée dans le design, l’éditorial et les nouveaux médias ; elle s’adonne à la création de publicités, brochures, magazines, et bien sûr de sites web.

Cette agence a un style plus sobre et plus épuré par rapport aux précédents, mais elle est dotée d’un professionnalisme étonnant qui leur a réussi et en a fait sans conteste une référence dans le domaine des médias. En effet, leur travail a été sollicité par des groupes conséquents ; à savoir le gouvernement du Canada !

Imaginez donc ce qu’il peuvent faire pour vous ! Ou ce que vous pourriez faire pour eux... http://www.griffintown.com Stéphanie Jachimiak

Actu UTBM : le challenge SIA Les étudiants futur ingénieurs lancent leur propre véhicule sur le circuit du Mans. Avis aux amateurs de belles voitures !

D

epuis cinq années déjà, l’UTBM de Belfort participe à ce que l’on appelle le challenge SIA. Ce défi, organisé chaque année fin mai, pour les essais préliminaires des 24 heures du Mans, – cette année encore les 30 et 31 mai – a pour but ultime la construction d’un véhicule de compétition.

Si les premières années donnèrent lieu à une collaboration étroite avec l’Ecole Centrale de Lyon, l’UTBM et ses futurs ingénieurs compétent désormais seuls.

L’ION-E est née de ses esprits d’étudiants, voiture fonctionnant exclusivement à l’électricité. Puis fut proposée la Bee-Turbio, véhicule puissant mais écologique.

Par ce concours, la SIA (Société des Ingénieurs de l’Automobile) entend bien former les techniciens et ingénieurs de demain, autour d’un projet concret et innovant, tout en leur permettant d’apprécier le travail d’équipe et de bénéficier d’une première expérience professionnelle. Sans bien évidemment parler des compétences acquises lors de ces quelques jours.

L’année dernière, l’équipe UTBM a remporté deux des cinq prix du challenge : le prix de la sécurité et celui de l’innovation. Espérons que cette année sera aussi fructueuse pour notre école belfortaine. En attendant, souhaitons-leur bonne chance !

Pour en savoir plus, les modalités du concours, ainsi que les rétrospectives des précédentes éditions, vous pouvez consulter le site officiel : http://www.sia.fr/challenge_sia.htm

Nicolas Davi

Le

n°9 mai-juin 2008

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Après le pôle

La face cachée de Pascal Chatonnay !

Tout d’abord, soyez bien conscients que dans le titre, je ne parle pas de ses fesses.

Ceci étant maintenant dit, préparez-vous à découvrir la vérité sur ce sex-symbol informaticien !

Tout d’abord, quel est votre métier actuel ?

Je suis enseignant-chercheur à l’Université de FrancheComté, affecté au DUT Services et Réseaux de Communication, membre du laboratoire d’informatique de l’UFC !

Quel a été votre parcours scolaire et universitaire ?

Bah, comme tout le monde, j’ai fait maternelle, primaire, collège, j’ai redoublé la 4ème, puis je suis allé au Lycée Jules Haag à Besançon, et j’ai poursuivi à la fac.

Comme j’avais un bac F10 (Micro-mécas... en gros STI), et non un bac C (S), j’ai donc fait une année de DUFGS (Diplôme Universitaire de Formation Générale Scientifique) qui permet aux étudiants non titulaires d’un bac S de suivre un DEUG de sciences. Ensuite, j’ai fait ce DEUG de sciences option maths/physique-chimie. Et j’ai pris l’option informatique en deuxième année. Par la suite j’ai fait une licence, puis une maîtrise d’informatique, un DEA (Diplôme d’Etudes Approfondies), et enfin un doctorat ès sciences mention informatique, robotique et productique intitulé « équilibrage de charges dans les systèmes répartis à objets ». La majeure partie de tout ceci à Besançon.

Avez-vous décidé d’arrêter vos études ?

Avez-vous atteint le stade ultime ?

Non il me reste a passer une HDR (Habilitation à Diriger des Recherches). Et je pourrais ainsi devenir légalement professeur en université. Et l’égal de M.Mercier (ndlr professeur de SRC) !

Comment ça ? Pour l’instant vous n’êtes pas prof d’université ?

Le

Avez-vous d’autres fonctions que celle de professeur ?

Je fais également un peu de tâches administratives dans le cadre du Master 2 dont je suis directeur des études.

Est-ce que vous êtes amené à voyager beaucoup ?

Alors... Oui ! Dans le cadre de mon travail, je suis allé au Maroc, en Tunisie, en Autriche, en Angleterre, en Italie, en Suisse, en Espagne, en Allemagne et à Hong Kong... entre autres.

Mais pour y faire quoi exactement ?

Ah non ! Je suis maître de conférence à l’université.

Maître de conférence, c’est le métier d’enseignantchercheur, qui se partage entre les activités d’enseignement, et la recherche. 192 heures de cours par an obligatoires, le reste du temps en recherche.

Pour y mener des conférences où je présente mes travaux, ou les travaux de mon équipe, à d’autres scientifiques.

Travaillez-vous ailleurs qu’en SRC ?

Je travaille sur deux choses, d’une part sur la mobilité, l’optimisation des services en mobilité ; et d’autre part, je fais aussi de l’algorithmique génétique, qui consiste en une méthode d’optimisation un peu particulière, qui s’appuie sur l’optimisation d’une population avec des

Oui, je suis directeur des études d’un Master 2, qui s’appelle Réseaux et Informatique Mobile. Nous som

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mes situés en STGI , dans le même bâtiment que PSM. C’est la 5 ème année d’études post-bac, et on accueille une quinzaine d’étudiants par an.

n°7 février - mars 2008

Quel est l’objet de vos recherches ?

Après le pôle mécanismes néo-Darwinien. On croise des solutions entre elles, on garde les plus fortes, on élimine les plus faibles (en probabilités).

On réalise beaucoup de choses autour du transport à la demande, le principe est « lorsqu’une personne demande un transport, on passe la chercher, puis la trajectoire est calculée pour que la voiture passe chercher d’autres personnes, ainsi le coût est largement réduit, et c’est aussi confortable qu’un taxi. On fait également des visites géolocalisées. En fonction de l’endroit où vous vous trouvez, le PDA vous informe en temps réel.

Et il porte un nom, ce projet ? « Guinumo » est le nom du projet : Guide Numérique Mobile. En ce moment, en algo génétique, on travaille sur l’optimisation d’un moteur électrique utilisé dans les vélos à assistance au pédalage. Un vélo où on effleure les pédales et où ça avance tout seul en gros !

Combien de langages de programmation connaissez-vous ?

Ouh la ! Beaucoup trop. J’ai commencé par le Basic, quand j’étais petit, j’avais 8 ans.

8 ans ??

Oui, quand j’avais 8 ans mon père a rapporté un ordinateur à la maison - en 1976, c’était une sacrée chance ! - du coup je me suis intéressé au langage de programmation de la machine, et c’était du Basic !

Ensuite j’ai fait du Logo, puis du Pascal, puis du Fort, du Lisp, du Fortran, du C, de l’Ada, de l’assembleur, C++ évidemment, Java, Javascript, PHP, SQL, ASP, JSP et un peu de Scheme et de Prolog !

seignent le créationnisme comme une théorie et Daniel Mercier parce que je veux sa place !

Avez-vous une connaissance poussée des logiciels, ou êtes-vous un simple théoricien charlatan ?

Des machins pousse-boutons ? Comme Flash ou Photoshop ? Non ! En revanche, j’utilise Eclipse qui est un environnement de programmation !

Parlez-vous Anglais, ou d’autres langues ?

En effet, je parle un peu Anglais, « with a cute French accent ! ».

Et maintenant la question que tout le monde attend... Y’a-t-il une histoire d’amour avec Sandrine (ndlr Sandrine Décembre, intervenante professionnelle en SRC) ?

Alors... Comment vais-je vous dire ça ? Je crois que, lorsque vous aurez votre diplôme, vous aurez accès à ces informations ! Cependant, mes nombreuses maîtresses me demandent « Mais qui est cette Sandrine Décembre dont tout le monde nous parle ?! »

Pour finir, quelles sont vos passions ?

Je ne sais pas. Ce que je sais, c’est que je veux me barrer sur mon bateau pour ne plus vous voir ! Quand j’aurais réussi à l’acheter ! Non je blague, c’est juste pour être tranquille, de temps à autre...

Vous séparez-vous parfois de votre téléphone portable ? Est-ce que vous prenez vos douches avec ?

Je m’en sépare extrêmement rarement. Je l’utilise pour communiquer et, en plus, ça m’donne l’heure !

Vous habillez-vous toujours en costard ?

En tout cas, je ne mets JAMAIS de shorts. Ni de jogging (rires). En revanche, je porte des jeans quand même ! Il m’arrive de quitter ma veste, j’ai une très jolie collection de vestes Marlboro Classic.

Propos recueillis par Tom Zaoui

Y’a-t-il des profs que vous détestez ? On veut des noms.

Oui... en particulier les profs révisionnistes de l’université de Lyon qui nient l’existence des camps de concentration... Les professeurs Américains qui en-

Le

n°7 février - mars 2008

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Après le pôle

Comité de pilotage de la vie du Campus Qui ne s’est jamais plaint du manque d’animation du pôle universitaire de Montbéliard ? Désormais, il ne tient qu’à vous de redynamiser la vie étudiante et de faire vos propositions ! David Markezic, directeur adjoint de l’IUT et chef du département GACO, répond à nos questions.

dernière mais dont la gestion n’est pas toujours évidente. On a alors cherché à savoir ce que les étu-

diants pouvaient attendre de

Pourquoi avoir créé ce comité ?

On s’est rendu compte qu’il y avait un véritable manque de dynamisme ou de visibilité sur ce qu’il se déroule au sein de l’IUT. Les élèves sont rarement informés de ce qu’il se passe hors de leur département. Il y avait donc déjà ce manque d’informations les uns par rapport aux autres, qu’il fallait régler. Puis, le but est de réfléchir à la manière dont on pourrait aider et accompagner les étudiants qui ont des idées, des projets qui permettraient de dynamiser le site de Montbéliard.

Qui participe à ce projet ?

Ce comité s’est formé cette année et est constitué de représentants de différentes composantes présentes sur le pôle universitaire, à savoir STGI, l’IUT, UTBM, le Laboratoire de Recherches LERMPS, la bibliothèque universitaire, le CROUS, le BIJ, ainsi que la CAPM (Comité d’Agglomérations du Pays de Montbéliard).

De quelle façon intégrez-vous les étudiants à ce comité ?

Les étudiants vont être très rapidement associés, par le biais des associations existantes dans chacune des formations. Ils souhaitent mettre en place une vraie vie de la maison étudiante qui existe depuis l’année

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n°9 mai - juin 2008

ce lieu, ce qu’ils pourraient faire pour faire vivre ce lieu. Nous discutons également sur des questions plus larges comme le parking, comment fluidifier l’accès au RU... un certain nombre de propositions ont déjà vu le jour.

Quelles sont les réelles avancées observées depuis la création de ce comité et les actions en cours ?

Concrètement aujourd’hui, il n’y a pas grand-chose de visible, excepté la mise en place d’une newsletter qui paraît tous les quinze jours. Elle est un condensé des différentes actions, animations ou conférences qui ont lieu. Un babyfoot est également arrivé la semaine dernière et d’autres services comme la mise en place d’une vente de sandwichs est également attendue. C’est essayer de trouver comment faire vivre cet espace, quelles sont les attentes réelles des étudiants en matière de services, d’équipements, d’accompagnement de projets. Ça reste assez ouvert.

Ce nouveau comité sera donc géré par les étudiants avec votre soutien.

Participera-t-il au financement des projets ou des stages des étudiants durant leur cursus ?

Oui, nous souhaitons que les initiatives viennent véritablement des étudiants et que nous soyons dans une logique d’accompagnement.

Les étudiants intéressés peuvent, sur une période qui va de mi-mai à mi-juin, rencontrer Guillaume Dornier, le stagiaire actuel de la maison de l’étudiant, chargé de la mise en place des premières actions, et lui

faire part de vos idées. Ce comité serait une sorte de relais d’informations entre les différents départements.

Il pourrait également devenir un lieu d’échanges, de conseils sur les stages. Il serait possible et appréciable que les étudiants s’allient pour obtenir des fonds, d’autant plus que nous sommes soutenus par des organismes tels que la CAPM ou le BIJ.

Nous comptons beaucoup sur l’investissement des étudiants, et nous sommes convaincus des compétences de nos étudiants lorsqu’ils sont motivés !

Propos recueuillis Marine Ménétrier

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