Espoir 08/2014 (BE) - Le scoutisme est en plein développement

Page 1

Bureau de dépôt : 1000 Bruxelles 1 — P401061 — 0.70 Août 2014

Mensuel de l’Armée du Salut - 124e année - N° 8 - 2014

Scoutisme

Le scoutisme est en plein développement

 Jacques Tschanz

Depuis quelques années les divers mouvements de jeunesse rattachés au scoutisme ont le vent en poupe  ! La société prend conscience que l’école et les études ainsi que les loisirs branchés ne peuvent pas apporter aux jeunes un développement global  !

L

e scoutisme est un mouvement de jeunesse international comptant 30 millions de membres répartis dans 160 pays. Il a pour but d’offrir aux enfants et aux jeunes un certain nombre d’activités éducatives et pédagogiques que ni l’école, ni les parents ne sont à même d’apporter.

vie que chaque adhérent promet d’essayer de mettre en pratique. Le mouvement est lancé et se développera très rapidement. Ce n’est pas une organisation paramilitaire, même s’il y a des uniformes et de la discipline. Baden-Powell disait à ce sujet  : «  A la fin de ma carrière militaire, je me mis à l‘œuvre pour transformer ce qui était un art d‘apprendre aux hommes à faire la guerre, en un art d‘apprendre aux jeunes à faire la paix.  »

Un peu d’histoire C’est en 1907, que Baden Powell expérimente un camp Les rassemblements autour d’un feu font partie de la vie scoute avec une vingtaine de garçons de diverses classes sociales sur l’île ces principes dans un livre, précisant de Brownsea (GB). Il y teste ses idées les cinq buts, toujours actuels  : Santé  ; Le scoutisme et d‘éducation par le jeu, l‘indépendance Sens pratique  ; Personnalité  ; Service  ; l’Armée du Salut et la confiance, afin de déterminer les Spiritualité. Il y consigne aussi les dix Dès le début du scoutisme, le Fongrandes bases d’un nouveau mouve- articles de la loi scoute et la promesse dateur de l’Armée du Salut s’intéressa ment de jeunesse. Ensuite, il consigne scoute qui proposent une hygiène de à l’œuvre de Baden-Powell. Ce dernier

 page 2

Le don de la paix   page 3

Ils brillent depuis 50 ans en Suisse romande  pages 4-5


scoutisme

 permit que soient adaptés ses principes à une œuvre, «  les gardiens du salut  », qui se développa rapidement en Angleterre alors qu’elle existait déjà depuis quelques années en Nouvelle-Zélande. En Suisse, ce mouvement connut un temps de gloire jusque dans

les années 70 et déclina. En certains endroits il fut réactivé par les «  Flambeaux de l’Evangile  », une brigade scoute confessionnelle. L’Armée du Salut en France et en Belgique poursuit l’œuvre scoute avec ses «  porteurs de flambeaux  ». Avenir prometteur En règle générale, le scoutisme rencontre un nouvel essor comme en France ou en Angleterre car il offre un certain nombre d’activités sportives et physiques, des expériences dans la nature, qui sont d’excellents moyens pour canaliser l’énergie. En même temps, les

participants retrouvent une relation avec leur corps, développent une image positive d’eux-mêmes, apprennent à connaître leurs forces et leurs faiblesses. A cette école de la vie dans la nature, on devient plus responsable, plus sociable et respectueux. Cette influence positive restera gravée à jamais, et même devenu adulte, la promesse d’être vrai, loyal et fidèle portera du fruit. Ce dont la société a grandement besoin  ! porteursdeflambeau.free.fr flambeaux.ch 

La promesse L’éclaireuse, l’éclaireur, le scout ... ... n’a qu’une parole ... accueille et respecte les autres ... partage et rend service ... est un frère/une sœur pour tous les scouts ... est enthousiaste et prend des initiatives ... protège la nature ... sait écouter et faire des choix ... surmonte les difficultés avec le sourire ... est économe et prend soin des biens d’autrui ... est pur dans ses pensées, ses paroles et ses actes A l’origine, le salut scout est un rappel de la promesse. Les trois doigts levés rappellent les trois engagements  : servir Dieu, aider son prochain et observer la loi scoute. Le pouce replié sur l’auriculaire rappelle l’engagement chevaleresque  : le fort protège le faible

Point de vue

 Pierre-André Combremont

Au-delà de l’uniforme Dans le public, les scouts sont connus comme des jeunes gens et des jeunes filles, enfants et adolescents, qui portent un uniforme, membres d’une sorte de club de loisirs qui, parfois, prêtent main forte dans certaines manifestations destinées à la jeunesse ou à caractère caritatif. C’est une image bien réductrice de ce mouvement plus que centenaire, aux multiples facettes. Leur uniforme, au fameux

chapeau à quatre bosses de BadenPowell (de plus en plus remplacé par un béret) les fait reconnaître, mais ce n’est pas le plus important dans le scoutisme. Outre l’apprentissage, sous forme ludique, de nombreuses manières de se débrouiller dans la nature ou la vie de tous les jours, ces jeunes reçoivent un enseignement qui les imprégnera pour toujours  : l’esprit de service et d’attention en faveur des plus faibles. Un esprit

concrétisé par la fameuse BA, la bonne action que les scouts s’efforcent d’accomplir chaque jour. La spiritualité voulue par le Fondateur du mouvement n’y est pas étrangère, elle est inspirée par l’enseignement chrétien que l’on trouve résumé dans cette parole de Jésus  : «  Tu aimeras ton prochain comme toi-même.  » (La Bible, Evangile selon Matthieu, chapitre 22, verset 39)


évangile

Le don de la paix

 Annelise Bergmann

Dans la Bible «  Je vous laisse la paix, je vous donne ma paix. Je ne vous la donne pas comme le monde la donne. Ne soyez pas inquiets et n’ayez pas peur.  » Evangile de Jean, chapitre 14, verset 27

W

aouh … comme ça rassure  ! Mais plus j’avance dans la vie, plus je réalise qu’au fond il est difficile, voire irréaliste, de rassurer ou de réconforter vraiment un ami dans la peine ou dans la peur. On se trouve très vite dans l’impasse, les mots sonnent creux, les attentions peuvent êtres envahissantes, les étreintes les plus chaleureuses ne durent qu’un temps. Très vite l’affligé se trouve seul et l’ami, impuissant. Que dire, que faire  ? J’ai aussi essayé d’écouter le témoignage de gens qui ont réellement passé par l’épreuve, et d’analyser ce qui m’était personnellement arrivé dans des situations de profond désarroi. Chacun réagit différemment, suivant son caractère, son éducation, sa situation ou sa culture. Mais il y a une constante dans l’histoire de ceux qui avaient prié ou pour qui on avait prié  : ils parlaient tous d’un sentiment diffus de paix même dans une souffrance intense, ils disaient chacun avec leurs mots qu’ils s’étaient sentis comme

portés, entourés. Cela n’enlevait pas les larmes, ne résolvait pas les problèmes, ne diminuait pas la blessure de l’attente ou du deuil, mais aidait à les supporter.

encore plus fiables que la petite sœur, et on est bien avisé de s’y accrocher  ! Alors cramponnonsnous  ! 

Sans trop pouvoir l’expliquer je crois à cette paix dont parle la Bible dans ce passage et dans beaucoup d’autres. Je l’ai expérimentée à maintes reprises et je sais que je la retrouverai quoi qu’il arrive. Pour nous, pour nos proches, nous aimerions pouvoir souhaiter un ciel bleu sans nuages, une vie comme un long fleuve tranquille, une succession de petits et de grands bonheurs. Nous savons tous qu’au fond c’est impossible, et peut-être même peu souhaitable. Mais la paix, la paix de Dieu, je sais que nous pouvons la souhaiter, la demander. Est-ce un hasard si sur cette planète ils sont des milliards à se saluer d’un Shalom, d’un Salem Aleikum, ou d’autres formules équivalentes  ? La paix, la paix de Dieu, pas forcément celle qui fait s’agiter dans les sommets internationaux ou manifester dans les rues, mais ce secret qui va droit au cœur, qui change une perspective, qui murmure une présence, une promesse. J’ai le souvenir comique d’une toute petite sœur, le long d’un précipice, juchée sur les épaules de notre papa, qui se cramponnait à ses cheveux bouclés et lui disait  : ne t’en fais pas, je te tiens  ! Par bonheur, les promesses de la Bible sont

Le réconfort d’une sœur apaise, mais celui de Dieu procure une paix indescriptible


scoutisme

Ils brillent depuis 50 ans en

La brigade romande des Flambeaux de l’Evangile, groupe de scouts confessionnel, fê réunissant près de 600 scouts de toute la brigade a eu lieu du 12 au 26 juillet, dans les

L

a brigade est composée de 14 groupes répartis dans toute la Suisse romande. Environs 700 enfants et jeunes divisés en trois tranches d’âge  : 1ère branche de 7  à 11 ans, 2e branche de 11 à 15 ans et 3e  branche de 15 à 17 ans, 200 responsables de plus de 17 ans et 100 personnes de soutien en sont membres. S’inspirant de la Bible, le but des Flambeaux est de faire du scoutisme, tout en développant une relation avec un Dieu d’amour juste et bienveillant. La dimension spirituelle est transversale  : dans les moments formels, comme les cercles-du-feu (moments d’enseignement) ou les temps personnels, tout comme dans les moments informels, par exemple au travers de la relation chefs-enfants. La pédagogie de travail des Flambeaux rejoint le but du scoutisme suisse, qui met en avant le développement global de la personne. Pédagogie La volonté première est de proposer aux Eglises un concept d’éducation qui vise à faire découvrir l’Evangile aux enfants et aux jeunes et de les aider à progresser dans leur foi, mais également à développer leurs compétences dans toute leur personnalité. La force du scoutisme est la volonté de donner aux jeunes la possibilité de progresser, de grandir et de s’épanouir dans cinq domaines éducatifs. - La relation à soi Il est primordial que l’enfant puisse avoir des activités lors desquelles, il sera amené à devoir trouver lui-même des solutions.

Les jeunes préparent leur repas sur une table à feu construite par leurs soins

- La relation à son corps L’activité physique est aussi importante pour l’épanouissement de l’enfant et du jeune. Les séances comportent beaucoup de jeux d’équipes, de pistes, ... - La relation aux autres L’amitié, l’unité, la camaraderie, font partie intégrante des activités des Flambeaux. Répartis en petits groupes avec des rôles et responsabilités différentes, les enfants et jeunes doivent collaborer avec les autres. «  L’autre  » est très important pour l’épanouissement personnel. - La relation aux choses L’activité manuelle est aussi importante pour l’équilibre des jeunes. Elle comporte des temps de bricolage, de construction en forêt, l’apprentissage des différents nœuds, la manipulation d’outils

tels que scies, pioches, ciseaux à bois, ... - La relation à Dieu Le but principal est que les enfants découvrent Dieu. Un Père aimant les hommes, qui a envoyé son Fils unique Jésus-Christ sur la terre afin que, par son sacrifice sur la croix, nous puissions avoir une espérance de vie par le pardon de nos péchés. Mais vivre «  avec Dieu  », et ainsi être témoin sur la terre, nécessite de vivre les quatre autres «  relations  ». L’Armée du Salut est partenaire des Flambeaux de l’Evangile et Sylvain Riard, Secrétaire divisionnaire de jeunesse, la représente au Bureau romand. «  L’Armée du Salut reconnaît l’important travail parmi la jeunesse que font les Flambeaux, explique Sylvain Riard.


scoutisme

Suisse romande

 Sébastien Goetschmann

ête ses 50 ans d’existence. Pour marquer le coup, un camp Franches-Montagnes.

Bref historique

Apprendre à se débrouiller avec ce que nous offre la nature est un des enseignements du scoutisme

C’est un excellent moyen de parler de Dieu.  » Si le Bureau romand est garant de la conduite et de la cohésion de l’ensemble du Mouvement, ce sont les comités locaux qui font le lien entre les Eglises et les groupes de Flambeaux. «  Pour le moment, l’Armée du Salut est représentée dans les groupes de La Béroche et de Tramelan, explique Sylvain. A Lausanne et Genève il y a des collaborations plus ponctuelles et le projet d’un nouveau groupe est à l’étude à Yverdon.  » L’Armée du Salut initiatrice Le groupe de Flambeaux de La Béroche* est officiellement reconnu depuis 2008, et l’Armée du Salut a joué un rôle important  : «  C’est le Poste de Saint-Aubin qui a été le moteur pour créer le groupe, car il

manquait une activité pour les préados, explique Anne-Laure Paratte Rochat, présidente du comité des Flambeaux de La Béroche. Et même si le groupe est autonome, l’Armée du Salut, tout comme les Eglises évangélique, réformée et catholique, continuent de nous soutenir avec de l’aide pratique (mise à disposition de locaux, préparation de pâtisseries, …) et surtout spirituelle.  » Le groupe se porte bien et compte actuellement une quarantaine de jeunes et une dizaine de chefs. «  Nous réfléchissons à créer une nouvelle branche nommée Castor, destinée aux 4-7 ans, ajoute Anne-Laure. C’est encourageant de voir le groupe se développer et surtout de voir les enfants prendre plaisir dans les activités qu’on leur propose.  »

Le mouvement Flambeaux de Suisse prit naissance en 1964, dans le canton de Vaud. En 1974, les groupes de Lausanne et de Vevey formèrent la «  Brigade Flambeaux de l’Évangile  », laquelle s’affilia à l’Association Vaudoise des Eclaireurs en tant que brigade confessionnelle. Par la suite d’autres groupes furent créés en Suisse romande, affiliés chacun à l’association scoute de son canton. Dès 1989, ces groupes formèrent ensemble la «  Brigade Romande des Flambeaux de l’Évangile  ». Le Bureau Romand fut constitué en 1993. D’autres groupes virent le jour dans le mouvement jusqu’au dernier né  : le groupe de la Béroche en 2008.

L’insigne représente la volonté de parler de Dieu aux enfants et de les amener à avoir une relation personnelle avec le créateur. On y voit  : un monde dans l’obscurité parce qu’il ne connaît pas Dieu et qu’il ne fait pas sa volonté  ; un flambeau qui éclaire ce monde  ; la lumière, c’est Jésus  ; un livre, c’est la Bible ouverte pour les hommes du monde entier  ; et un bouclier, semblable au bouclier de la foi

Les Flambeaux de l’Evangile ont donc encore un bel avenir devant eux et, selon leur devise, ils continueront de briller «  comme des Flambeaux dans le monde portant la parole de vie  !  » (Selon la Bible, Philippiens, chapitre 2, versets 15-16). *www.la-beroche.flambeaux.ch 


à bien y penser ... Sans tambour ni trompette Eclusier, un sacré job J’ai eu le privilège de partir une semaine sur le Canal du Midi. Expérience inoubliable  : excellente compagnie, bateau magnifique et surtout, paysages somptueux dans une nature préservée. Quel plaisir de naviguer lentement (un bon 6 à l’heure  !) sur le canal, le regard apaisé par les verts multiples et changeants de la végétation basse, des grands arbres et des eaux qui nous entourent. Seule contrainte et difficulté, pour les matelots néophytes que nous étions, le passage des écluses qui jalonnaient notre parcours. Et il y en avait 47  ! Passer une écluse c’est vraiment physique  : viser une bitte d’amarrage, lancer l’amarre au bon endroit, sauter sur le quai de l’écluse, attraper en vitesse la corde, l’enrouler autour du champignon et maintenir le bateau près du bord à la force du poignet, tout ça sous l’œil averti de l’éclusier qui a vite fait de repérer «  les petits nouveaux  ». A la fin de notre croisière, une constatation terriblement encourageante s’est imposée  : nous avions pu compter sur la compréhension, les encouragements et l’aide souriante de tous les éclusiers,  … sauf un. Ce dernier, qui était une jeune femme, lorsque nous lui avons demandé de nous donner un coup de main nous a répondu sèchement «  que ça ne faisait pas partie de ses attributions.  » Faire partie des «  éclusiers  » souriants et charitables sur le chemin des autres, un vrai, beau défi  ! Le dessinateur Alain Auderset nous invite à la réflexion. Chaque mois vous trouverez une nouvelle BD à cet endroit.

 Marianne Hefhaf


infos La Bonne Nouvelle sur la toile C’est en Belgique, un pays multilingue, qu’est née l’idée de rassembler des organisations qui évangélisent sur le Net  : tout d’abord le «  Evangelische Omroep  » des PaysBas et le «  Top Chrétien  » français, mais aussi d’autres. Je m’abonne pour une année au mensuel «  Espoir  » en versant la somme de 7.5 ( étranger 13.5) sur le compte 000-0051322-09 avec la mention «  abonnement Espoir  »

Nom  : Prénom  : Adresse  :

Localité  : Date  : Signature  : A renvoyer à  : Armée du Salut, Service des abonnements, 34, Pl. du Nouveau Marché-aux-Grains, 1000 Bruxelles Michaël_Stannett@bel.salvationarmy.org

Convaincus que ce projet est dans la volonté du Seigneur, le Poste de l’Armée du Salut de Jumet, partenaire de la Pastorale Evangélique de Charleroi, s’implique dans la campagne «  CityWide  » à Charleroi en 2014  : «  C ityWide  » a été développé et testé avec succès dans plusieurs villes européennes. Sa réussite vient de sa capacité de permettre à tous les chrétiens des Eglises d‘une ville de joindre leurs forces, tout en respectant leurs différences, pour se faire connaître et pour faire connaître l‘Evangile.

Tout au long de l’année 2014, dans la ville de Charleroi et sa région, le plus grand nombre possible d’Eglises emploie le même logo pour leurs activités d‘évangélisation  : «  J ’aime les Carolos - Dieu  » ou «  Je te cherche - Dieu  », renvoyant au site internet «  w ww.connaitreDieu.be  » spécialement adapté à la campagne sur cette ville. Une remorque arborant le logo est placée chaque jour pendant 24h à un endroit dans la ville, puis ensuite déplacée afin de frapper les esprits des

citoyens. S’ils le souhaitent, ceux qui se connectent peuvent ensuite avancer pas à pas avec un conseiller et par après être dirigés vers les Eglises près de leur domicile. Plusieurs semaines d’évangélisation sont communes à toutes les Eglises, comme des conférences publiques, le Festival de l’Espoir, le Service de Pâques, Quartiers Libres, les Fabricants de Joie et le 20 septembre, une initiative Alpha est lancée avec une invitation à toute la population pour un repas. Le Poste de Jumet organisera un cours

Alpha en septembre. Nous sommes conscients qu’il ne faudra pas s’arrêter en 2014, mais continuer l’effort, car en 2015, le Poste fêtera ses 125 ans d’existence. [Bertrand Lüthi, officier de Jumet]

Mensuel de l’Armée du Salut | Editeur responsable  : Major Michaël Stannett, Pl. du Nouveau Marché-aux-Grains 34  | BE1000 Bruxelles | Tél. 02 513 39 04 - Fax: 02 513 81 49 | Courriel  : Michaël_Stannett@bel.salvationarmy.org | Internet  : www. armeedusalut.be , www.legerdesheils.be | Abonnement 1 an  : 7.5  (13,5   étranger) | Fondateur  : William Booth  | Général  : André Cox | Chef pour la Belgique  : Major Michaël Stannett | Rédaction Berne: Major Jacques Tschanz (responsable), Sébastien Goetschmann | Equipe de rédaction  :  Pierre-André Combremont, Yverdon-les-Bains / Marianne Hefhaf, Lausanne / Annelise Bergmann, Suchy  | Concept graphique  : Didier Chassagnot | Mise en page  : Rolf Messerli | Imprimerie  : Rub Media SA, Wabern | Tirage  : CH:  5 000 ex. BE :  4 000 ex. | Crédit photo  : P 1 : jaywood_uk_flickr.com, Jirí ; P 2 : Yarko_ ˇ Sedlácek_wikimédia   ˇ wikimédia  ; P 3  : Cma Photographies_flickr.com  ; P 4  &  5   : Flambeaux de La Béroche, Flambeaux de l’Evangile (Insigne)  ; P  7  : Sébastien Goetschmann / Jacques Tschanz  ; P  8   : SNAKY34_flickr.com  | L’Armée du Salut, mouvement international, appartient à Membre de l’Union l’Eglise chrétienne universelle. Son message se fonde sur la Bible. Son ministère est inspiré par l’amour de Dieu. Sa mission est des Editeurs de la Presse Périodique d’annoncer l’Evangile de Jésus-Christ et de soulager, en son nom, sans distinction aucune, les détresses humaines.


détente «  On ne voit bien qu’avec le cœur. L’essentiel est invisible pour les yeux.  »  Antoine de Saint-Exupéry

PP

Solution du Sudoku

3001 Berne

Règle du jeu En partant des chiffres déjà inscrits, remplissez la grille de manière à ce que  : - chaque ligne - chaque colonne - chaque carré de 3x3 contiennent une seule fois les chiffres de 1 à 9. Pas besoin d’être fort en maths!

Annoncer les rectifications d’adresses

Sudoku


Turn static files into dynamic content formats.

Create a flipbook
Issuu converts static files into: digital portfolios, online yearbooks, online catalogs, digital photo albums and more. Sign up and create your flipbook.