Espoir 11/2014 - Mes dernières volontés

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Mensuel de l’Armée du Salut - 124e année - N° 11 - 2014

Testament

Mes dernières volontés  Sébastien Goetschmann

Rédiger son testament est la seule façon d’exprimer ses dernières volontés dans le cadre prévu par la loi. Pourtant, en Suisse, trois personnes sur quatre ne rédigent pas leurs dernières volontés de manière notariale. C’est pour sensibiliser les gens à cette problématique que la Journée internationale du testament du 13 septembre, a été créée.

E

crire son testanification successorale, ment est une chose avec un spécialiste indéque l’on a tenpendant. Lors de ces jourdance à repousser nées, vous comprendrez à plus tard, voire même mieux de quelle manière à jamais. Et pourtant, les vous pouvez décider de personnes qui prennent votre vie, jusqu’à son le temps de coucher leurs terme, même en cas de dernières volontés par perte de discernement écrit éprouvent souvent suite à un accident, une un sentiment de soulagemaladie ou une démence ment. Un testament vous liée à la vieillesse. Bien permet d’exprimer ce qui que chacun puisse y est important pour vous, participer, ces journées indépendamment de votre sont particulièrement patrimoine. Vous décidez Rédiger son testament permet d’éviter des décisions difficiles adressées aux seniors qui et consignez par écrit la à ses proches connaissent mal le sujet manière dont votre sucde la succession. «  Durant cession doit se dérouler. Il peut s’agir Décider de sa vie les journées d’information, nous rapde vos biens immobiliers, de votre forjusqu’au bout pelons quelques notions de base de la tune, ou encore d’objets particuliers L’Armée du Salut s’implique sur ce planification successorale, comme ce que vous souhaitez transmettre à une thème en organisant chaque année que signifie la succession, l’héritier, le personne précise. des journées d’information sur la pla- légataire, le régime légal, la réserve  page 2

Seigneur, prends pitié !   page 3

La légende des Saints Bernard  pages 4-5


testament

 héréditaire et la quotité disponible, explique Hans Bruderer, conseiller en legs indépendant. Nous aidons aussi à identifier les

successions compliquées. Il faut savoir qu’il existe trois formes de testament  : le testament olographe (écrit à la main), le testament public (rédigé par le notaire) et le pacte successoral. Lorsqu’on rédige son testament, déterminer la forme adéquate est un critère important, et il faut être vigilant de le rédiger avec clarté pour les tiers et les autorités, afin d’éviter des problèmes d’interprétation. Il est donc plus prudent de se faire conseiller.  »

Faire du bien, même après sa mort De nombreuses personnes ne savent pas non plus qu’il est possible de coucher une organisation de bien public sur son testament. En Suisse, l’association MyHappyEnd, qui réunit actuellement 20 organisations à but non lucratif, dont l’Armée du Salut, veut sensibiliser les citoyennes et les citoyens à la possibilité de faire don d’une partie de leur succession à une organisation de bien public. «  En rédigeant notre testament, nous pouvons planifier notre succession selon notre volonté  : prendre soin de nos proches et décider de laisser une empreinte par un legs à une œuvre de bienfaisance  », conclut Hans Bruderer.

Peu savent qu’il est possible de mentionner une organisation de bien public dans son testament

Point de vue

armeedusalut.ch/testament www.myhappyend.org 

 Marianne Hefhaf

Les dernières volontés de Dieu Il est bien vrai que rédiger son testament est la seule façon d’exprimer ses dernières volontés. Il est vrai aussi, j’en témoigne personnellement, que les mettre par écrit nous procure un vrai sentiment de soulagement  : je mets les choses en ordre, j’exprime ma volonté et j’évite à mes proches d’éventuelles «  prise de tête  » voire de ces disputes qui déchirent pour longtemps certaines familles. La Bible parle-t-elle de testament  ? Serez-vous surpris si je vous dis … qu’elle ne parle que

de ça  ? Le Livre saint n’a que deux parties qui ont pour titre  : l’Ancien Testament et le Nouveau Testament  ! L’ Ancien Testament rassemble les textes sacrés communs aux Juifs et aux Chrétiens. Le Nouveau Testament qui est particulièrement cher au cœur des Chrétiens les rend bénéficiaires d’un héritage incroyable, inespéré et riche d’espérances  : «  la réconciliation avec Dieu  » (1) qui nous offre de nous approcher de Lui avec assurance, le prodigieux privilège de pouvoir devenir «  enfants de Dieu  »  : «  Car

tous ceux qui sont conduits par l’Esprit de Dieu, sont enfants de Dieu.(2)  » et donc ses héritiers, le pardon complet et total de nos péchés qui nous donne, d’ores et déjà, accès à son paradis pour une vie éternelle (3)  ! Nous savons, vous et moi, que pour qu’il y ait «  héritage  » il faut la mort du testateur … La justice de Dieu, dans ce cas de figure, est la même que celle des hommes. Les textes extraordinaires du Nouveau Testament ne nous parlent que de celui qui est mort afin que nous puissions

devenir les bénéficiaires du testament  : le Christ Jésus. Dieu le Fils qui s’est, avec un amour sans pareil, volontairement sacrifié afin que nous puissions devenir les héritiers du Royaume. Or, si nous sommes enfants, nous sommes aussi héritiers  : héritiers de Dieu, et cohéritiers de Christ, si toutefois nous souffrons avec lui, afin d‘être glorifiés avec lui. 1) Romains 5  :  1 2) Romains 8  :  14 3) Jean 10  :  28


évangile

Seigneur, prends pitié  !

 Annelise Bergmann

Dans la Bible «  Jésus passe dans toutes les villes et dans tous les villages. Il enseigne dans les maisons de prière juives, il annonce la Bonne Nouvelle du Royaume,

E

n y réfléchissant, en quelques bonnes années de compagnonnage avec Dieu, ma prière a changé. Pas spécialement le ton, le lieu, la fréquence, toutes ces choses. Mais carrément le contenu, le sens. Quand j’étais toute jeune, c’était plus simple. A chaque problème, il y avait une solution  : et si pour plus de clarté il fallait fortement la suggérer à Dieu, façon liste de courses à cocher, c’était encore mieux. Ensuite, j’ai osé une prière plus dangereuse : j’ai demandé à Dieu la faveur d’apprendre à le connaître  ; et du coup, comme par voie de conséquence, je sais de moins en moins comment prier. Je n’ai pas la vue d’ensemble, j’ai des doutes, je ne sais plus du tout dans quel ordre il faut espérer, agir, croire, demander, remercier, se remettre en question … c’est compliqué  ! Et la vie est compliquée, aussi  ! Je suis souvent confrontée à des situations où j’ai envie de prendre ma tête entre mes mains, de fermer les yeux, et de dire des choses que l’éducation m’interdit d’écrire ici. Pas vraiment le schéma classique de la prière. Et pourtant, quand je peine à prier je peux crier  ; mon cri est court, incisif, répété. Pas besoin d’être un grand théologien, pas même besoin d’être un

il guérit toutes les maladies et toutes les douleurs. Jésus voit les foules et son cœur est plein de pitié. En effet, les gens sont fatigués et découbon chrétien. Mon cri c’est  : «  P itié, Seigneur, prends pitié  !  » Depuis très longtemps les Eglises ont intégré cette supplique au début de la liturgie, et des milliards de chrétiens ont dit, chanté, supplié, pleuré le Kyrie Eleison. C’est certainement le cri du cœur le plus humble, positionnant la créature à sa juste place face à son Créateur. Et tous ceux qui feuillettent les évangiles y croisent un Messie qui s’émeut, qui dit sa pitié, qui s’arrête au milieu du chemin pour guérir, pour aider, qui se laisse déranger à toute heure, qui pleure même. Aujourd’hui encore tout un chacun peut crier son nom, reconnaître qu’il a besoin de sa pitié  ; le reste suivra … «  Oh Dieu, aie pitié de nous et bénis-nous, Fais briller sur nous ton visage  ! Alors sur la terre tous verront comment tu agis, Toutes les

ragés, comme des moutons qui n’ont pas de berger.  » Evangile de Matthieu 9, versets 35 et 36

nations sauront que tu est le Sauveur.  » Psaume 67, versets 2 et 3 

Comme le bon Samaritain, Jésus s’arrête en chemin pour prendre soin de nous


Histoire

La légende des Saints Bernard

 Pierre-André Combremont

Alors que le tunnel du Grand-Saint-Bernard fête cette année ses 50 ans d’ouverture, nous nous sommes intéressés de plus près au prénom de ce saint qui fait partie des emblèmes de la Suisse.

L

a mode des prénoms est très cyclique. Si Bernard était courant il y a encore quelque 40 ou 50 ans, on ne rencontre plus guère aujourd’hui de garçons ainsi prénommés. Il y eut pourtant autrefois nombre de gens célèbres qui portèrent ce prénom flatteur, puisqu’il signifie, par son étymologie, «  courage  », cette vertu attribuée, en Germanie, à l’ours (Bär), d’où serait dérivé «  Bernard  ». Les Saints Bernard Il y a en fait deux Bernard, qui se sont distingués aux 11e et 12e siècles au point d’être canonisés par le Pape et la Curie de l’époque. L’un, saint Bernard de Clairvaux (1090 – 1153), déclaré Docteur de l’Eglise en 1830, était un moine français, qui fut Directeur de conscience et important promoteur de l’ordre cistercien. Il s’est fait remarquer par son rôle déterminant dans l’organisation des croisades, et pour son soutien à l’ordre des Templiers. Il était aussi un grand défenseur des Juifs. Ses campagnes pour les croisades ont été pour lui l’occasion de lutter en Germanie, contre les violences anti-juives  : «  Ne touchez pas aux Juifs, ils sont la chair et les os du Seigneur  », prêchait-il. Il fut canonisé en 1174, par Alexandre III.

Les chiens du Saint-Bernard sont célèbres pour leur courage lors de sauvetages en montagne

L’autre, saint Bernard de Menthon (ou du Mont-Joux), paraît être le plus connu des deux. Deux cols dans les Alpes portent son nom et il est connu dans le monde entier. Né d’une famille noble vers 1020, il s’oriente très jeune vers la vie ecclésiastique. Ordonné diacre au service du Chapitre de la Cathédrale d’Aoste, il y exerce la fonction d’Archidiacre, qui est à l’époque le premier collaborateur de l’évêque. Dans la petite ville d’Aoste, Bernard voit arriver des voyageurs, souvent des commerçants, en piteux état, rescapés de brigands qui

s’attaquaient aux caravanes sur le chemin du Col du Mont-Joux. Sensible au sort de ces gens, il obtient de l’évêque, vers 1045 – 1050, la permission de sécuriser ce passage qui relie la Suisse et la vallée d’Aoste. Pour asseoir son œuvre d’hospitalité, il construit des refuges minuscules (1,5 m sur 3) qui permettent de passer la nuit à l’abri des intempéries et du froid, au sommet du col, sur sa partie nord. Mais Bernard et ses compagnons construisent dès que possible le premier hospice, modeste, qui sera agrandi au cours des siècles et portera par la suite son nom. Bernard construit éga-


Histoire

lement un hospice au sommet du Col de Colonne-Joux, l’actuel PetitSaint-Bernard. Prédicateur itinérant, Bernard exerce son ministère de la Parole dans la région d’Aoste ainsi que dans les régions limitrophes. C’est ainsi qu’au cours d’un de ses voyages il s’arrête, malade dans un monastère de Novare, où il meurt en 1081 ou 1086. Il est canonisé en 1123. Le 20 août 1923, le pape Pie XI déclare Saint Bernard, patron des alpinistes. Le col et l’Hospice du Grand-Saint-Bernard Situé dans les Alpes valaisannes, à 2469 m d’altitude, le Col du GrandSaint-Bernard relie la Suisse et l’Italie. Connu depuis l’antiquité sous le nom de Col du Mont-Joux, sa première mention historique connue date de l’an 133 avant Jésus-Christ. Une légende, dont l’interprétation est aujourd’hui contestée, veut qu’Hannibal l’ait franchi en 218 avant Jésus-Christ déjà, avec son armée et sa caravane d’éléphants. Le Col est cité en 990, comme le passage pour franchir les Alpes sur le chemin de pèlerinages à destination de Rome. Au Moyen-Age, à l’état de chemin muletier, il était franchi essentiellement par des voyageurs pour leur commerce entre le Nord et le Sud de l’Europe. Mais les marchandises qu’ils transportaient, de même que le contenu de leurs bourses, faisaient l’objet de la convoitise de bandits qui profitaient de ces lieux escarpés pour les attaquer et les dévaliser, les laissant morts ou blessés. Plus près de nous, l’histoire du Col est marquée par le passage de l’Empereur Napoléon Bonaparte avec son armée de 40  000 hommes lors de la campagne d’Italie, en mai

Depuis 1050, les chanoines accueillent les voyageurs en détresse à l’Hospice du GrandSaint-Bernard

1880. Ce n’est qu’à partir de 1905, que sa route a été rendue carrossable. Elle n’est cependant ouverte qu’à la belle saison, en raison des masses de neige qui la recouvrent durant l’hiver. Fidèle à sa mission, l’Hospice est destiné à accueillir et servir de refuge. Les chanoines de la congrégation créée par Saint Bernard ont pour mission principale de donner l’hospitalité à ceux qui la demandent ou qui en ont besoin, selon la devise  : «  Ici le Christ est adoré et nourri.  » Les chiens du Saint-Bernard Cette célèbre race de chiens, solides et imposants par leur taille, a été créée à l’hospice à la suite de croisements de chiens offerts aux chanoines vers 1650 – 1660, par de riches familles valaisannes dans

le but de leur fournir des chiens de garde et de défense. Au-delà de ce service, les chiens sont très vite devenus des chiens de secours en montagne, précieux auxiliaires pour les moines qui partaient régulièrement à la recherche des personnes en difficulté, perdues dans ces immensités désertiques. Ils ont été élevés à l’hospice jusqu’en 2004. C’est à cette date qu’a été instituée, à Martigny, la «  Fondation du chien Barry  », qui se charge de la sauvegarde de la race. Les animaux passent cependant tous les étés à l’hospice. Le plus célèbre d’entre eux est le chien Barry (1800 – 1814), qui aurait sauvé 40 personnes perdues dans la neige. Son corps est empaillé et conservé au Musée d’Histoire naturelle de Berne. 


à bien y penser ...

Sans tambour ni trompette L’interprétation des signes Un vrai temps d’automne … froid, pluie, brouillard … et comme le dit si bien le dicton  : «  Brouillard en novembre, l‘hiver sera tendre.  » Bon, assez facile d’interpréter les signes de la météo, la forme des nuages ou la visibilité au loin (sans parler des hirondelles, des escargots et des grenouilles), mais ce n’est pas nouveau  ! Dans un texte ancien d’environ 2000 ans on lit  : «  1) Au crépuscule, si le ciel est d’un rouge feu, demain, il fera beau  ! Ou bien, à l’aurore  : aujourd’hui, on aura de l’orage, car le ciel rougeoie et s’assombrit.  » Pourtant il y a plus important que la météo  : interpréter les événements du monde qui nous environne et discerner en quel temps nous vivons. C’est vraiment primordial pour orienter sa vie  ! Cependant, l’humain n’a pas changé  : il continue de tourner le dos à Dieu, mais n’arrête pas de lui réclamer des miracles  ! Et si tout cela nous amenait simplement à vouloir vivre près du cœur de Dieu, quels que soient le temps et les circonstances  ? 1) La Bible, Evangile selon Matthieu,

chapitre 16, verset 3

 Jacques Tschanz Le dessinateur Alain Auderset nous invite à la réflexion. Chaque mois vous trouverez une nouvelle BD à cet endroit.


infos

Lutte contre le virus Ebola L’Armée du Salut s’engage. Au Libéria, le virus Ebola se répand comme une traînée de poudre. L’Armée du Salut met en route plusieurs mesures d’urgence. C’est ainsi que quarante bénévoles sont sur la route avec une clinique mobile dans l’Ouest du pays. Parce qu’il n‘existe pas de vaccin, la prévention est urgente : des désinfectants, des gants et des masques ont été distribués dans 17 municipalités. Les autochtones sont particulièrement vulnérables en raison de la pauvreté et de mauvaises conditions sanitaires. C’est pour cette raison qu’en plus du matériel sanitaire il leur a été remis des colis alimentaires.

Enfin, des vêtements de protection et des désinfectants sont donnés aux médecins, afin qu’ils puissent se pro-

téger contre l’infection pendant leur service. [INR]

Oui, je m’abonne pour une année au mensuel «  Espoir  » pour la somme de CHF 48.– (CHF 67.- étranger)

Nom  : Prénom  : Adresse  :

Localité  : Date  : Signature  :

L’Armée du Salut distribue des vivres et des désinfectants au Libéria

A envoyer à  : Armée du Salut, Service des abonnements, Case postale 6575, 3001 Berne redaction@armeedusalut.ch

Journée de prière pour les victimes de la traite des êtres humains Dimanche 28 septembre, les Postes (paroisses) de l’Armée du Salut de toute la planète se sont unis dans la prière pour les victimes de la traite des êtres humains.. Selon l’ONU, le nombre de victimes de la traite des êtres humains continue de croître, bien que le thème entre progressivement dans la conscience collective. La traite d’êtres humains est une forme moderne d’esclavage et constitue la forme de criminalité organisée qui augmente le plus. Un rapport de l’Organisation internationale du travail (OIT) estime que près de 21 millions

de personnes à travers le monde sont victimes du travail forcé. Pour la huitième fois, l’Armée du Salut a appelé à une Journée de prière pour les victimes de la traite des êtres humains. Lors de cette journée, les mots de Jésus relatés en Jean 10  :  10, «  Je suis venu pour que vous ayez la vie  », ont résonné dans le cœur des salutistes. Vous trouverez plus d’informations

sur ce thème sur le site du Service de la justice sociale. justice-sociale.ch [La Rédaction]

Mensuel de l’Armée du Salut | Laupenstrasse 5 | Case 6575 | CH-3001 Berne | Tél. 031 388 05 91 - Fax  : 031 382 05 91 | Courriel  : redaction@armeedusalut.ch | Internet  : http://www.armeedusalut.ch | CP: 30-3117-4| Abonnement 1 an  : CHF 48.-, CHF 67.- (étranger), CHF 72.- (par avion) | Fondateur  : William Booth | Général  : André Cox | Chef de territoire  : Commissaire Massimo Paone | Rédaction Berne: Major Jacques Tschanz (responsable), Sébastien Goetschmann | Equipe de rédaction  : Pierre-André Combremont, Yverdon-les-Bains / Marianne Hefhaf, Lausanne / Annelise Bergmann, Suchy  | Concept graphique  : Didier Chassagnot | Mise en page  : Rolf Messerli | Imprimerie  : Rub Media, Wabern | Tirage  : CH  :  3000 ex. BE  :  2000 ex. | Crédit photo  : P 1  : AdS / Gwenaël Piaser_flickr.com  ; P 2  : Marmotte73_flickr.com  ; P 3  :wikimedia_peinture de Vincent van Gogh  ; P 4  &  5   : murilocardoso_flickr.com / Mammaoca2008_flickr.com  ; P  7   : Salvation Army IHQ  ; P  8   :  S teve Snodgrass_ flickr.com  | L’Armée du Salut, mouvement international, appartient à l’Eglise chrétienne universelle. Son message se fonde sur la Bible. Son ministère est inspiré par l’amour de Dieu. Sa mission est d’annoncer l’Evangile de Jésus-Christ et de soulager, en son nom, sans distinction aucune, les détresses humaines.


détente

«  Il y a un livre qui contient toute la sagesse humaine éclairée par toute la sagesse divine, un livre que la vénération du peuple appelle la Bible, c’est-à-dire Le Livre.  »   Victor Hugo

PP

Solution du Sudoku

3001 Berne

Règle du jeu En partant des chiffres déjà inscrits, remplissez la grille de manière à ce que  : - chaque ligne - chaque colonne - chaque carré de 3x3 contiennent une seule fois les chiffres de 1 à 9. Pas besoin d’être fort en maths!

Annoncer les rectifications d’adresses

Sudoku


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