Mensuel de l’Armée du Salut - 124e année - N° 12 - 2014
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Pour que la fête soit belle Jacques Tschanz
Chaque année, aux approches de la fête de Noël, des milliers de salutistes et amis se mettent en route afin que la fête de Noël puisse aussi se vivre hors des centres commerciaux et des églises. Ce sont des bénévoles qui s’engagent par amour. Et cela se ressent à tous les niveaux !
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écembre, les fameuses « marmites » de l’Armée du Salut battent leur plein. De nombreux passants, glissant leur obole disent : « Sans vous, ce ne serait pas vraiment Noël … » S’ils entendent par là qu’on va avec la déco, le sapin et les boules, ils ont tout faux ! De nombreux bénévoles donnent de la voix ou du tuba et ce n’est pas pour le folklore. Les « marmites » doivent rappeler aux personnes qu’il y a, dans leur ville, des personnes de plus en plus nombreuses pour qui Noël ne sera pas une fête mais un cauchemar. Rien pour faire la fête, pas d’argent, pas de famille, ou pire, une famille en rupture, la solitude, des services sociaux qui fonctionnent au ralenti en raison des fêtes justement, pendant que les autres font la fête … C’est pour établir un pont dans ce fossé des classes que l’Armée du Salut a inventé la collecte des « marmites ». L’argent récolté sera consacré à des actions de Noël où là encore s’engageront de nombreux bénévoles. Repas
Apporter de la joie n’est pas compliqué. Pierre et Aude s’y entendent !
et soirées de fête pour les solitaires, colis alimentaires, bons d’achats et aides financières tout au long de l’année épuiseront rapidement ces fonds. Voici un exemple qui se déroule chaque année à Bruxelles.
Distributions de colis à Bruxelles Tôt le matin, en ce dimanche de midécembre la ville est endormie. Une brume légère retient captif le halo des réverbères. Pourtant, à la Place du Nou page 2
Querelle de voisinage page 3
La véritable histoire de Noël page 6
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veau-Marché-aux-Grains règne une certaine effervescence. Des voitures arrivent et s’alignent le long du trottoir. On se salue, on prend des nouvelles et dans la salle de l’Armée du Salut on prend un café et un croissant en attendant les instructions. Vingt-et-un chauf-
feurs bénévoles sont présents et pour certains depuis plus de 60 ans. Il y a Pierre qui est venu avec Aude, sa compagne, il y a monsieur Martin avec son petit-fils, Clotilde avec son mari et sa fille aînée et une brave dame d’un certain âge dont on imagine l’effort qu’elle devra fournir pour monter tous les escaliers qui l’attendent, mais elle précise : « Je ne manquerais cela pour rien au monde ! Après je suis exténuée, mais ça en vaut la peine ». Précisons que la majorité de ces chauffeurs ne sont pas salutistes ! Un plan de la ville est donné à chacun avec une dizaine d’adresses et autant de lourds colis. Dans ces derniers se trouve une quinzaine d’aliments usuels. Avant midi, ce seront 230 colis qui auront été apportés à domicile chez des personnes handicapées ou âgées ne pouvant se déplacer pour venir les chercher lors de la fête. Les adresses ont été fournies par le « CPAS* ».
La solitude
Grâce à l’organisation d’Esther, 230 colis seront apportés à domicile en une matinée
Nous nous mettons en route. Pierre, mon chauffeur et sa copilote programment le GPS et c’est parti pour le quartier d’Anderlecht. Les personnes ont été averties de notre passage par courrier et nous font volontiers entrer dans leur logis. Même si le colis alimentaire est hautement apprécié, ce qui frappe le plus c’est la joie que ces personnes ont d’avoir une visite ! Combien de fois entendrons-nous les personnes se plaindre de soli-
tude … Et Pierre d’ajouter : « Ce qu’il faudrait, c’est renouveler cette action deux ou trois fois par année … » Andrée, veuve depuis quelques années est seule au monde … Juliette a bien une fille à l’étranger, mais elle la voit si rarement. Nous arrivons chez Jeanine, une femme extraordinaire aux yeux si pétillants. Elle a trouvé refuge dans un Home après de longues années dans la rue. Nous arrivons chez une femme désespérée de n’avoir aucune nouvelle de son fils. La seule pièce où elle vit sent l’humidité et il fait froid. Nous prenons le temps d’écouter cette âme en peine, je lui propose de prier pour sa situation, ce qu’elle accepte très volontiers. Je la confie, ainsi que son fils, dans les bras du Père céleste et à sa compassion, ce qui l’apaise. Noël n’est-ce pas le cadeau de Dieu pour les hommes « de bonne volonté » ? Ce cadeau, des milliers de bénévoles le traduisent en action pratique. Qu’ils soient bénis ! *CPAS : Centre Public d’Action Sociale
Chères lectrices, chers lecteurs, Tout au long de l’année et des douze numéros d’ « Espoir », l’équipe de Rédaction vous a accompagnés, avec l’objectif permanent de vous transmettre des messages porteurs d’espoir. A Noël, Dieu s’est fait tout proche en Jésus-Christ. Ce Noël sera-t-il une rencontre avec Lui ? C’est notre vœu ! Ainsi vous pourrez fêter Noël 365 fois en 2015 ! www.armeedusalut.ch / www.armeedusalut.fr / www.armeedusalut.be
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évangile
Querelle de voisinage Pierre-André Combremont
Dans la Bible « Ne jugez pas, afin que vous ne soyez pas jugés. Car on vous jugera du jugement dont vous jugez et l’on vous mesurera avec la mesure dont vous mesurez. Pourquoi vois-tu la paille qui est dans l’œil de ton
frère et n’aperçois-tu pas la poutre qui est dans ton œil ? Ou comment peux-tu dire à ton frère : laisse-moi ôter une paille de ton œil, toi qui as une poutre dans le tien ? Hypocrite, ôte premièrement
la poutre de ton œil et alors tu verras comment ôter la paille de l’œil de ton frère. » (La Bible, Evangile de Matthieu au chapitre 7, versets 1-5).
C
ette leçon de la paille et la poutre que Jésus a donné à ses disciples est universellement connue. Elle est même souvent citée par des gens qui n’en connaissent même pas l’origine. C’est, s’il en fallait encore, un exemple de l’influence de l’enseignement du Christ dans notre culture occidentale. Ecoutons cette histoire, qui l’illustre bien et qui pourrait se passer près de chez nous. Depuis plusieurs générations, et sans même pouvoir en connaître vraiment l’origine, une vieille rogne empoisonnait les rapports entre les Ducommun et les Descloux, deux familles voisines, ce qui faisait tantôt les choux gras, tantôt le désespoir des gens du quartier. Tout était prétexte à des injures, des calomnies, des déprédations matérielles et autres chicanes. L’année dernière, un instituteur et une institutrice de l’école du lieu ont décidé de monter ensemble avec leurs élèves une soirée théâtrale pour la fête de Noël. Les rôles devaient être attribués à chaque enfant, pour jouer les personnages de la crèche, les bergers, les mages, les anges et autres. Tâche difficile pour tenir compte des aptitudes de chaque enfant. Or,
C’est aussi ça le miracle de Noël. Dieu qui intervient pour restaurer nos relations
les enseignants, qui ignoraient la situation, ont choisi comme récitants, le petit Jérôme Ducommun et la petite Isabelle Descloux. Mais tous deux ont refusé de collaborer, et pour cause ! Même les parents s’en sont mêlés. Toutefois, la chose s’est arrangée et même, au cours des répétitions, une complicité, une amitié profonde est née entre eux, qui est devenue un véritable amour infantile, candide et pur. C’est ainsi que toute la population, ou presque, a pu voir Jérôme et Isabelle, habillés comme des anges, proclamer main dans la main et avec des sourires lumineux : « Gloire à Dieu dans
les lieux très hauts et paix sur la terre parmi les hommes de bonne volonté. » C’est alors que le miracle de Noël s’est produit. Touchés par la joie de leurs rejetons, parents et grands-parents ne pouvaient retenir des larmes d’émotion et, à la sortie, se sont serrés la main, ce qu’ils n’avaient jamais pu faire. Ce signe de paix a pu sceller enfin des rapports de respect et de bon voisinage. Depuis lors, il n’y eut plus ni paille ni poutre dans les yeux de ces citoyens.
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chantons Noël
Minuit, chrétiens
Voici Noël Voici Noël, ô douce nuit ! L’étoile est là qui nous conduit. Allons donc tous avec les mages, Porter à Jésus nos hommages, Car l’enfant nous est né, Le fils nous est donné ! Voici Noël, ô quel beau jour ! Jésus est né ! Quel grand amour ! C’est pour nous qu’il vient sur la terre Qu’il prend sur lui notre misère. Un sauveur nous est né, Le fils nous est donné ! Voici Noël ! Ah ! d’un seul cœur Joignons nos voix au divin chœur. Qui proclame au ciel les louanges De celui qu’annoncent les anges ! Oui l’enfant nous est né, Le fils nous est donné ! Voici Noël, ne craignons pas, Car Dieu nous dit : « Paix ici-bas, Bienveillance envers tous les hommes ! » Pour nous aussi, tels que nous sommes, Un sauveur nous est né, Le fils nous est donné !
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Minuit, chrétiens, c’est l’heure solennelle, Où l’Homme-Dieu descendit jusqu’à nous Pour effacer la tache originelle Et de Son Père arrêter le courroux. Le monde entier tressaille d’espérance A cette nuit qui lui donne un Sauveur. Peuple à genoux, attends ta délivrance. Noël, Noël, voici le Rédempteur ! Noël, Noël, voici le Rédempteur ! De notre foi que la lumière ardente Nous guide tous au berceau de l’Enfant, Comme autrefois une étoile brillante Y conduisit les chefs de l’Orient. Le Roi des rois naît dans une humble crèche : Puissants du jour, fiers de votre grandeur, Ah ! votre orgueil c’est de là qu’un Dieu prêche, Courbez vos fronts devant le Rédempteur. Courbez vos fronts devant le Rédempteur. Le Rédempteur a brisé toute entrave, La terre est libre, et le ciel est ouvert. Il voit un frère où n’était qu’un esclave, L’amour unit ceux qu’enchaînait le fer. Qui lui dira notre reconnaissance ? C’est pour nous tous qu’Il naît, qu’Il souffre et meurt : Peuple debout ! Chante ta délivrance, Noël, Noël, chantons le Rédempteur ! Noël, Noël, chantons le Rédempteur !
chantons Noël
Il est né Il est né le divin enfant, Jouez haut-bois, résonnez musettes ! Il est né le divin enfant, Chantons tous son avènement ! Depuis plus de quatre mille ans Nous le promettaient les prophètes, Depuis plus de quatre mille ans Nous attendions cet heureux temps ! Ah qu’il est beau, qu’il est charmant, Ah que ses grâces sont parfaites ! Ah qu’il est beau, qu’il est charmant, Qu’il est doux, le divin enfant ! Une étable est son logement, Un peu de paille est sa couchette. Une étable est son logement, Pour un Dieu, quel abaissement ! Il veut nos cœurs, Il les attend, Il vient en faire la conquête. Il veut nos cœurs, Il les attend. Qu’ils soient à Lui dès ce moment !
Ecoutez
le chant des anges Ecoutez le chant des anges, Vient d’éclater dans les airs; Joignons aussi nos louanges A leurs sublimes concerts : Gloire à Dieu ! Paix sur la terre ! Aujourd’hui le Christ est né ! Jésus s’est fait notre frère, Un Sauveur nous est donné, Jésus s’est fait notre frère, Un Sauveur nous est donné ! Son palais est une étable, Une crèche est son berceau, Et pourtant, c’est l’Admirable C’est le Fils du Dieu très-haut. Il vient à nous débonnaire Et de grâce couronné. Jésus s’est fait notre frère, Un Sauveur nous est donné, Jésus s’est fait notre frère, Un Sauveur nous est donné ! Avec vous, bergers et mages, Aux pieds de notre Seigneur Nous déposons nos hommages, Nous lui donnons notre cœur. Tout son peuple sur la terre Dit, avec nous prosterné : Jésus s’est fait notre frère, Un Sauveur nous est donné, Jésus s’est fait notre frère, Un Sauveur nous est donné !
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naissance du Sauveur
La véritable histoire de Noël
L
e peuple qui marche dans la nuit voit une grande lumière. Sur ceux qui vivent au pays des ténèbres, une lumière se met à luire. (...)Car un enfant nous est né, un fils nous est donné. Dieu lui a confié l’autorité. On lui donne ces titres : Conseiller merveilleux, Dieu fort, Père pour toujours, Prince de la paix. La Bible, livre du prophète Esaïe, chapitre 9, versets 2-6
En ce temps–là, l’empereur Auguste donna l’ordre de recenser tous les habitants de l’empire romain. Ce recensement, le premier, eut lieu alors que Quirinius était gouverneur de la province de Syrie. Tout le monde allait se faire enregistrer, chacun dans sa ville d’origine.
Joseph lui aussi partit de Nazareth, un bourg de Galilée, pour se rendre en Judée, à Bethléem, où est né le roi David ; en effet, il était lui–même un descendant de David. Il alla s’y faire enregistrer avec Marie, sa fiancée, qui était enceinte. Pendant qu’ils étaient à Bethléem, le jour de la naissance arriva. Elle mit au monde un fils, son premier–né. Elle l’enveloppa de langes et le coucha dans une crèche, parce qu’il n’y avait pas de place pour eux dans l’abri destiné aux voyageurs. Dans cette même région, il y avait des bergers qui passaient la nuit dans les champs pour garder leur troupeau. Un ange du Seigneur leur apparut et la gloire du Seigneur les entoura de lumière. Ils eurent alors très peur. Mais l’ange leur dit : « N ’ayez pas peur,
car je vous apporte une bonne nouvelle qui réjouira beaucoup tout le peuple : cette nuit, dans la ville de David, est né, pour vous, un Sauveur ; c’est le Christ, le Seigneur. Et voici le signe qui vous le fera reconnaître : vous trouverez un petit enfant enveloppé de langes et couché dans une crèche. » Tout à coup, il y eut avec l’ange une troupe nombreuse d’anges du ciel, qui louaient Dieu en disant : « Gloire à Dieu dans les cieux très hauts, et paix sur la terre pour ceux qu’il aime ! » Lorsque les anges les eurent quittés pour retourner au ciel, les bergers se dirent les uns aux autres : « Allons donc jusqu’à Bethléem : il faut que nous voyions ce qui est arrivé, ce que le Seigneur nous a fait connaître. » Ils se dépêchèrent d’y aller et ils trouvèrent Marie et Joseph, et le petit enfant couché dans la crèche. Quand ils le virent, ils racontèrent ce que l’ange leur avait dit au sujet de ce petit enfant. Tous ceux qui entendirent les bergers furent étonnés de ce qu’ils leur disaient. Quant à Marie, elle gardait tout cela dans sa mémoire et y réfléchissait profondément. Puis les bergers prirent le chemin du retour. Ils célébraient la grandeur de Dieu et le louaient pour tout ce qu’ils avaient entendu et vu, car tout s’était passé comme l’ange le leur avait annoncé.
La Bible, Evangile de Luc, chapitre 2, versets 1-19
De la plus discrète façon, Jésus est venu sur terre, dans une crèche, pour nous sauver
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le coin enfants
A vos crayons !
Sudoku Règle du jeu Ces neuf pictogrammes figurent une seule fois dans chaque case, chaque ligne, chaque colonne et dans chaque carré de 3x3.
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pensée
Dieu avec nous, c’est tous les jours ! La présence de Jésus, Dieu fait homme parmi les hommes, n’est pas l’exclusivité du mois de décembre. C’est toute l’année, dans le monotone, le triste ou le joyeux de notre quotidien, que Dieu est avec nous.
Mensuel de l’Armée du Salut | Laupenstrasse 5 | Case 6575 | CH-3001 Berne | Tél. 031 388 05 91 - Fax: 031 382 05 91 | Courriel : redaction@armeedusalut.ch | Internet : http://www.armeedusalut.ch | CP: 30-3117-4| Abonnement 1 an: CHF 48.-, CHF 67.- (étranger), CHF 72.- (par avion) | Fondateur : William Booth | Général : André Cox | Chef de territoire : Commissaire Massimo Paone | Rédaction Berne: Major Jacques Tschanz (responsable), Sébastien Goetschmann | Equipe de rédaction : Pierre-André Combremont, Yverdon-les-Bains / Marianne Hefhaf, Lausanne / Annelise Bergmann, Suchy | Concept graphique : Didier Chassagnot | Mise en page : Rolf Messerli | Imprimerie : Rub Media S A, Wabern | Tirage : CH: 5000 ex. BE : 4 000 ex. | Crédit photo : P 1-2 : Jacques Tschanz ; P 3 : eflon_flickr.com ; P 4 & 5 : cod_gabriel_flickr.com ; P 6 : Cedric Fague ; P 8 : Sébastien Goetschmann | L’Armée du Salut, mouvement international, appartient à l’Eglise chrétienne universelle. Son message se fonde sur la Bible. Son ministère est inspiré par l’amour de Dieu. Sa mission est d’annoncer l’Evangile de Jésus-Christ et de soulager, en son nom, sans distinction aucune, les détresses humaines.
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Corinne Gossauer-Peroz
3001 Berne
Tout au long de l’année, quand je quitte une amie ou une personne qui doit faire face à une situation délicate, j’aime lui dire en la regardant : « Dieu avec toi ». Ce n’est pas une formule magique mais bien l’assurance exprimée à voix haute que Dieu est là, qu’Il marche avec elle et qu’Il l’accompagnera. L’Evangile de Matthieu commence et termine par la bonne nouvelle de « Dieu avec nous », quel merveilleux cadeau pour tous les jours.
Annoncer les rectifications d’adresses
« Dieu avec nous », c’est une invitation quotidienne et permanente à ne plus vivre comme si Dieu était lointain, froid et distant. Dieu est là, tout près de nous, proche par Jésus et parlant à nos cœurs et à nos esprits par le SaintEsprit. Il est là, dans les mots d’une simple prière, dans un geste de solidarité, dans le pardon donné et la paix offerte.