PRESS BOOK SEPT17

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L’été indien à Comporta au Portugal Ce petit paradis attire une clientèle exigeante éprise de simplicité et de beauté brute. La bonne idée : s’y rendre en arrière-saison. C’est la nouvelle destination des happy few. Un refuge oublié qui donne le sentiment d’être au bout du monde. Bordant l’Atlantique, à moins de 100 km au sud de Lisbonne, la péninsule de Comporta s’éveille d’un long sommeil. Propriété quasiment unique de la famille Espirito Santo qui s’y consacrait à la chasse, la faillite financière de cette dernière en a entrouvert les frontières de sable. Ici et là, portés par le goût de la découverte, la soif d’un retour à la nature et ce vieux rêve de Robinson Crusoe qui hante nos sociétés gavées de bruit et de laideur, quelques privilégiés sont venus chercher refuge dans une cabane le long des rizières. Ces nouveaux hommes des bois, au profil de décorateur - Jacques Grange en fut l’éclaireur passionné -, ont redonné vie à de petites maisons de pêcheurs à l’apparence modeste et au raffinement enchanteur. Tout n’y est qu’équilibre, grâce et simplicité. Un panama posé sur une table, une moustiquaire protégeant l’entrée, une chaise longue sur une terrasse ombragée. L’environnement est miraculeusement préservé de toute construction. Perchées sur les toits, les cheminées, des nuées de cigognes veillent sur ce paradis enfantin. Juste derrière les dunes, l’océan. Le roulement des vagues. En cet été qui s’évanouit, cinq bonnes raisons de prolonger les beaux jours à Comporta.

LE SUBLIME COMPORTA Derrière un discret portail en bois, au lieu-dit Muda, à l’extrémité de la péninsule, se cache l’unique hôtel de luxe des lieux. Rien de tapageur. Une allée de sable mène à l’accueil, vaste grange, lumineusement restaurée. Béton, verre, acier, le mélange est résolument moderne. Le propriétaire, Gonçalo Pessoa, parfaitement francophone, est un quadragénaire aussi créatif que sympathique. Pilote sur la TAP, compagnie nationale portugaise, il a acquis en 2004 ce terrain de 17 ha. Après avoir songé à y construire une vaste maison de vacances pour sa famille, il en fait une maison d’hôtes. Le bouche-à-oreille a propulsé cette oasis enchanteresse en un rendez-vous huppé. Avec la complicité d’un architecte, le jeune propriétaire décide alors d’ouvrir un ensemble hôtelier. Celui-ci prend la forme de sobres et fonctionnelles villas de deux, trois ou cinq chambres à l’intérieur rustique et au décor minimaliste, réparties sous les pins et les chênes-lièges ; chacune est dotée d’une piscine privée. Le Sublime en assure auprès des propriétaires privés la location et l’entretien. Un sentiment de calme, de plénitude vous envahit. Le soir, cuisine portugaise au Celerio. Pour un peu, on redeviendrait sauvage… www.sublimecomporta.pt

DÉJEUNER SUR LE SABLE Sous une paillote, face à la mer émeraude. Deux adresses. La plus sophistiquée, Sal sur la plage de Pego. Poisson grillé, salade végétarienne, un verre de rosé de l’Alentejo. Les «people» venus faire leur nid dans la région en raffolent. À la table d’à côté, ce jour-là, en espadrille, son chapeau de paille à la main, Philippe Starck. Plus simple, mais tout aussi charmant, Dinis, sur la plage de Carvalhal, authentique restaurant de pêcheur où l’on peut déguster des sardines grillées. www.restaurantesal.pt

FLÂNER À CARVALHAL Rien de spectaculaire. Des rues endormies, des maisons blanches bordées de bleu. Ne vous fiez pas aux apparences: le bourg dissimule de charmantes maisons, dont celle de Françoise Dumas, grande prêtresse du Tout-Paris et d’époustouflantes propriétés. Le long de l’avenida 18 de Dezembro, avec un peu de chance, vous pourrez croiser Albina de Boisrouvray, Christian Louboutin, Farida Khelfa ou Louis-Albert de Broglie. Quelques étapes incontournables pour avoir l’air du cru: le Crédit agricole on y retire son argent -, la pharmacie (pour l’antimoustiques), le marchand de journaux, qui expose les magazines où figurent les «people» locaux, la galerie de Vera Iachia, celle de Pierre Passebon, la boutique d’antiquités Santa Maria Velharias. Si vous avez des velléités de vous installer plus durablement, Nuno Carvalho, figure locale, est l’entrepreneur qu’il vous faut.

DÎNER À COMPORTA Un petit air d’Ibiza dans les années 1970. Entre les bars et boutiques de décoration, poussez la porte d’une ancienne écurie, Cavalariça. Ici on partage tout, la table, les plats. Banquette en tissu rayé bleu et blanc, sol en terre cuite, luminaires en tuyauterie. Tapas, porc noir, beignets de morue. Vin de la propriété Herdade da Comporta. Les portions sont généreuses. Mieux vaut avoir un appétit de cheval. www.cavalarica.pt

LES PLAGES Les principales praias accessibles en voiture sont celles de Pego, Carvalhal et - la plus fréquentée - de Comporta. On se gare sous les canisses. On peut choisir entre un petit coin de parasol ou, à quelques dizaines de mètres, la solitude. Début septembre, la température extérieure est de 26°. Température de l’eau: 20°. On peut accéder à d’autres plages sauvages grâce à une clé permettant d’entrer sur le domaine privé des Espirito Santo. Le comble du chic.

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| Publié le 21/09/2016 à 08:00

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Comporta Le Portugal secret des robinsons chics À un peu plus d’une heure de Lisbonne, ce paisible village posé sur un ruban de sable est le refuge le plus discret et le plus couru qui soit. À découvrir en arrière-saison, loin des curieux.

Des dauphins escortent ce soir-là le bac qui traverse l’estuaire du fleuve Sado, depuis le port de Setúbal. Le petit ferry vert se déleste de ses voitures entre deux plages désertes, sous un ciel «azul»... Les immeubles de la station balnéaire de Tróia laissés à tribord, on met le cap vers le sud, sur une route entre mer et lagune. Au premier abord, le petit village de Comporta ne paie pas de mine, avec ses jardins potagers en contrebas. De simples maisons blanches au toit de tuiles, bordées de bleu, un centre-bourg endormi, de rares passants - des agriculteurs au visage buriné par le soleil et deux ou trois touristes... C’est là le secret, bien gardé, de ce diamant brut de l’Alentejo. Cette première impression passée, la magie opère. On ne voudra plus quitter ce refuge rustique et sauvage, bordé par l’océan Atlantique à l’ouest, d’odorantes forêts de pins parsemées de cactus à l’est, des rizières entre les deux. Derniers initiés en date: Harrison Ford et son épouse, l’ex-Ally McBeal Calista Flockhart, venus en juillet et qui ne songeraient plus qu’à revenir. La Herdade da Comporta désigne un territoire de 12500 hectares, propriété de la famille Espirito Santo qui, jusqu’à la faillite de sa banque en 2014, a précieusement préservé cette bande côtière. D’autres grands noms y ont pris leurs quartiers, tels les Casiraghi ou, plus récemment, le chausseur Christian Louboutin, les artistes Anselm Kiefer et Jason Martin, le décorateur Jacques Grange, Patrick Perrin, fondateur du Pavillon des Arts et du Design, Françoise Labro, directrice du comité artistique de Baccarat... Loin du luxe ostentatoire, ils coulent des jours tranquilles, à la Robinson, dans d’anciennes cabanes de pêcheurs restaurées. Parmi les hameaux entourant Comporta, mention spéciale à Carrasqueira, qui abrite un port de pêche sur pilotis, Porto Palafitico, et cultive une curieuse ressemblance avec le Vietnam.

À CHEVAL DANS LES RIZIÈRES Le ruban de sable s’étire sur des dizaines de kilomètres, sans aucune construction, si ce n’est une poignée de paillotes dont le très chic Sal («sel» en portugais), à Pego, tenu par un fils Espirito Santo, ou, plus simple mais tout aussi apprécié des happy few, O Dinis, à Carvalhal. Il suffit de marcher une centaine de mètres à l’écart des parasols pour se retrouver seul au monde. L’expérience gagne en intensité à cheval, guidé par José Ribeira, descendant de Christophe Colomb et ami d’enfance des Espirito Santo. «En 2011, j’ai quitté Lisbonne, où j’étais dans l’immobilier, pour me consacrer à ma passion et lancer un centre équestre à Torre. La destination se développe surtout depuis trois ans», raconte l’aristocrate, en short et chaussures bateau, chez qui monte Charlotte Casiraghi quand elle séjourne à Comporta. La balade débute dans les rizières peuplées de cigognes, part à l’assaut des dunes puis descend vers la mer, où on galope le long des rouleaux.

| Publié le 16/09/2016

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UN SAINT-TROPEZ DISPARU Un parfum de paradis perdu? «C’est le Saint-Tropez de mon enfance, le Porto Cervo qu’a connu mon mari, le Punta del Este des souvenirs d’une amie argentine...», affirme Barberine Agier, âgée de 42 ans, poursuivant la comparaison avec l’Ibiza, le Cap Ferret et le Mykonos des années 1970. Cette décoratrice, autrefois ingénieur financier, vient de terminer sa maison, à Brejos da Carregueira, et d’ouvrir son concept store, Babouchette - son surnom. Elle y vend des sandales de son fabricant fétiche à Paros, des saris anciens de Bali, qu’elle a beaucoup fréquenté puis délaissé face à l’afflux de touristes «On les porte le soir ceinturé sur un short en jean, le style hippie chic très Comporta!» -, des bijoux d’une créatrice de Cascais... Et, en cette fin d’été, elle accueille un pop-up store de cachemires Barrie, une marque dans le giron de Chanel, pour qui elle fut mannequin-cabine. Le credo de cette fille d’un grand industriel et d’une jet-setteuse mariée six fois (dont à Ilie N[CODE_C]?stase): «Less is more, back to basic», assène-t-elle, coiffée d’un chapeau de paille. Comporta ne risque-t-elle pas de connaître le même destin que ces joyaux gâtés par le succès ? Son statut de réserve naturelle la protège, ainsi que des élus locaux à la fibre écologiste, autrefois communistes. C’est dans l’Alentejo qu’est née la Révolution des OEillets: la ville de Grândola, à 30 kilomètres, a donné son titre à la chanson qui fut le signal du déclenchement du coup d’État de 1974, Grândola, Vila Morena. Autres remparts contre l’invasion touristique: les moustiques, nombreux, et une eau plus fraîche qu’en Méditerranée (mais qui reste plus chaude qu’en Bretagne!). Les boutiques de Comporta aux auvents de chaume n’ont rien à envier, elles, à celles de la Riviera. Depuis quatre ans, Manumaya propose ses produits du Guatemala, dont des couvre-lits prisés par Christian Louboutin et Jacques Grange. Si la nouvelle adresse design, Vintage Department, est une annexe d’une enseigne lisboète, les locaux tirent leur épingle du jeu: le fils de la kiosquière vient d’ouvrir son magasin de vin. «Le domaine de Comporta est fermé le week-end, pas moi! Je vends les crus d’ici, ainsi que de Porto et d’autres vignobles portugais», souligne Daniel Valentim. Idem côté restauration. Il y a des petites adresses, tel Sabor a Mar, tenu par un enfant du pays, Ricardo Batista, son cousin Flavio au service et «Luis le capitaine» près du four, où grillent dorades et loups de mer. Ou, plus haut de gamme, dans la rue voisine, le Cavalariça, dans d’anciennes écuries, une table dans chaque box, avec un chef brésilien aux fourneaux, Antonio Leitão Dos Santos. SARDINES ET CAVIAR La supérette locale réalise le même grand écart. Dans cette caverne d’Alibaba tenue par la famille Gomes depuis un siècle, on déniche, sous le plafond couvert de paniers, des sardines comme du caviar. «Je me fournis dans le monde entier!», glisse le patron avec gentillesse - décidément la marque de fabrique de Comporta. Les habitués y font leurs emplettes le matin. «On boit un café au bistrot «Eucalyptus», notre «Sénéquier», avec ses tables en plastique sans chichi», poursuit Barberine Agier. Cette mère de trois enfants y a pris régulièrement un jus de fruit frais avec un certain Philippe, mettant un an et demi à découvrir qu’il avait pour nom... Starck. «Il est de très mauvais goût de demander ce que l’on fait dans la vie!», commente-t-elle. Le designer revient presque tous les week-ends dans son cube de verre et de bois, arpentant les dunes sur son fat bike Moustache... Autre rituel: le verre d’après-plage au Colmo Bar, assis sur un banc face au coucher de soleil sur les rizières, loin des mondanités. «À Comporta, on fait tomber les masques», aime à rappeler le créateur de Sublime Comporta, Gonçalo Pessoa, par ailleurs pilote à la TAP. Cet hôtel sorti du sable entre les chênes-lièges s’est agrandi avec de nouvelles cabanes et un restaurant. Petit signe d’évolution: pour le dîner, des femmes avaient troqué leurs nu-pieds contre des talons plus sophistiqués. Changement de style. Les gypsetteurs (contraction de «gypsie» et de «jet-setter»), dont Comporta est l’un des fiefs avec les Hamptons ou Tanger, vont devoir rester vigilants...

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CINQ CHOSES QUE L’ON NE SAIT PAS DE COMPORTA La région de Comporta a ses ruines romaines, qui se visitent, à Tróia: les vestiges d’un complexe de salaison du poisson, construit au ier siècle après J.-C. et occupé jusqu’au ive siècle. On y préparait notamment le garum, une sauce à base de poisson transportée par bateau, dans des amphores, jusqu’à Rome.02. Depuis le petit port sur pilotis de Porto Palafitico, on aperçoit, de l’autre côté du fleuve, les cheminées d’usines de Setúbal, troisième port de pêche du pays, célèbre pour ses sardines. Un paysage qui contraste avec la réserve naturelle de l’estuaire du Sado, dont fait partie Comporta.03. 04. Une colonie de 27 grands dauphins (la même espèce que Flipper) réside dans l’estuaire du Sado. Très engagée dans leur protection, la compagnie Vertigem Azul, qui organise des sorties d’observation en mer, a fait dévier le trajet des ferries pour assurer leur tranquillité.05. On peut admirer une oeuvre de l’artiste portugaise Joana Vasconcelos dans le hall du Tróia Design Hotel, à Tróia: l’un de ses escarpins géants, en casseroles et couvercles en acier inoxydable, haut de trois mètres. Il s’agit du modèle Cinderela, de 2007, dont la «cousine» Marilyn avait fait fureur dans la galerie des Glaces du château de Versailles, en 2012.

| Publié le 16/09/2016

LE DÉCORATEUR GRANGE INVENTE COMPORTA AUX SOURCES D’UN RÊVE D’ÉTÉ (5/6) - Le Parisien fut le premier à construire sa maison dans le petit village portugais. Vingt ans plus tard, celui-ci est devenu une sorte de club huppé. Venus de tous horizons, ses habitués sont triés sur le volet.

CARNET PRATIQUE Y aller : En avion jusqu’à Lisbonne, A/R à partir de 116 euros avec Aigle Azur (quatorze vols par semaine). Louer une voiture et rejoindre, plein sud, Comporta, en une heure et quart, par le bac de Setúbal ou l’autoroute, via Alcácer do Sal ou Grândola. En septembre et en octobre, moins de vent et des températures toujours estivales.www.aigle-azur.com Se logerComporta compte peu d’hôtels - la station balnéaire voisine de Tróia en offre davantage, dont le gigantesque Tróia Design Hotel -, mais surtout des locations. Le Sublime Comporta, agrandi cet été, propose chambres et suites dans des bungalows en bois aux larges baies vitrées, avec terrasse au milieu des pins, semblant sortir d’un magazine de décoration. De 195 euros à 600 euros la nuit. Spa, restaurant et piscine.www.sublimecomporta.pt Serenada enoturismo: un boutique-hôtel proche de Grândola, à partir de 70 euros la nuit.www.serenada.pt Le travel store MyMoonSpots donne accès à des beach houses version béton et lignes épurées avec piscine à partir de 3500 euros la semaine, ou à des cabanes chics les pieds dans le sable à partir de 2000 euros la semaine.www.mymoonspots.com La propriétaire du Colmo Bar, Cristina Bravo, propose des maisons à louer.www.comportahomepage.pt Se renseignerAuprès de l’office de tourisme portugais, à Paris.www.visitportugal.com/fr Pour s’activer entre sieste et baignade, on fait du cheval, du vélo ou du kayak avec José Riberia. www.cavalosnaareia.com Se restaurerRestaurant Sal, sur la plage de Pego, un must. www.restaurantesal.pt Des adresses plus simples permettent de déguster les spécialités suivantes :Sardines grillées O Dinis («chez Dinis»), plage de Carvalhal. Gambas grillées à l’ail et riz à la coriandre chez Dona Bia, à Torre.Arroz de marisco O Tobias, Lagoa Formosa, à Carvalhal.Choco frito (sèches ou calamars frits) O Rola, à Carrasqueira.Poulet chez Gloria, sur place ou à emporter, à Brejos da Carregueira.

«L’Alentejo une fois de plus. La vastitude dans un Portugal exigu. L’espérance toutes fenêtres ouvertes.» Aucun lieu ne permet mieux de ressentir la puissance et la vérité de cette pensée de Miguel Torga, génial écrivain de langue portugaise, né en 1907 à São Martinho de Anta, mort en 1995 à Coimbra, que Comporta, petit village de la péninsule de Tróia bâti sur les bords de la réserve naturelle de l’estuaire du Sado, à une cinquantaine de kilomètres à vol d’oiseau de Lisbonne. Par la route, la distance est trois fois plus longue, mais on n’y pense pas: l’horizon est immense et la campagne verte, si jolie à regarder. C’est beau, l’Alentejo. À Comporta, paradis blanc et bleu posé au cœur d’une mosaïque de vignes, de rizières et de pinèdes, Philippe Starck, Farida Khelfa et Charlotte Casiraghi ont pris l’habitude de venir cacher leur renommée à l’abri des ...

| Publié le 04/08/2016 à 17:02

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L’ÉDEN LUSITANIEN DE SUZANNE SYZ Chose rare à Comporta, la maison jouit d’une magnifique piscine. L’océan se trouve pourtant juste derrière la dune. Mais l’eau est un peu froide à Comporta… La créatrice de bijoux suisse nous ouvre les portes de sa maison de Comporta, au Portugal. Un lieu qui lui ressemble, exclusif et décontracté. «Ici, c’est easy, c’est ma maison flip-flap... » Elle éclate de rire. Suzanne Syz est célèbre pour au moins deux choses : ses bijoux et sa gaîté. Tout l’amuse. Le mot « fun » revient à intervalles réguliers dans ses phrases. C’est même ce qui a déclenché son envie de créer ses propres bijoux : « Je trouvais que la joaillerie avait quelque chose de vieillot. Je me suis dit qu’on pouvait porter de très jolies pierres d’une façon moins conventionnelle, plus fun ! » C’était il y a quinze ans. Suzanne commence par concevoir des bijoux pour elle et, comme dans les jolies histoires, ses amies sont jalouses et veulent la même chose. Elles s’appellent Terry de Gunzburg, Viviane de Witt, Gloria von Thurn und Taxis, Michelle Yeoh, Corinne Flick... ce qui favorise le bouche-à-oreille. D’une trentaine de créations, Suzanne passe bientôt à une soixantaine chaque année. Pour les présenter, elle organise des expositions à Saint-Moritz, Gstaad, Palm Beach, là où se trouvent ses clientes fortunées. Car si l’idée est de proposer une joaillerie « outstanding and witty » (« exceptionnelle et pleine d’esprit »), pas question de renoncer aux carats. Sa dernière présentation a eu lieu au Ritz. Elle y a dévoilé des boucles d’oreilles en titane serti de diamants baptisées One Night in Bangkok, « si légères qu’on peut danser avec jusqu’au bout de la nuit », ainsi qu’une autre paire avec deux spinelles à plusieurs centaines de milliers d’euros et une bague avec une tourmaline Paraiba de 80 carats. Quand on lui demande si ce n’est pas trop difficile à porter, elle répond : « Ça pourrait être du faux, on ne sait pas vraiment. C’est ça le luxe aujourd’hui, et puis il suffit d’avoir un beau garde du corps », avant de s’esclaffer. Dans sa maison de Comporta, au Portugal, les carats sont encore présents, mais moins nombreux. À ses oreilles, Suzanne Syz porte son best-seller : des boucles en forme de bonbons Life Savers. « L’idée m’est venue à l’aéroport de La Guardia [à New York], où j’étais bloquée, raconte-t-elle. Pour patienter, j’ai acheté des magazines et un paquet de Life Savers. Je les ai regardés, et j’ai tout de suite vu ce que j’allais en faire. » En agate verte ou bleue, les boucles sont piquées de petits diamants. Juste ce qu’il faut pour le style de vie chic et décontracté du nouvel endroit à la mode. Cachée au milieu des pins, en bordure de dune, le long de l’océan Atlantique, sa maison de pêcheur est bien entourée ; parmi ses voisins : Jacques Grange, Farida Khelfa, Philippe Starck. C’est le célèbre décorateur qui, un jour, lui parle d’une maison à vendre à côté de chez lui. « Pour moi, ce n’était pas du tout le moment : je venais d’acheter un domaine viticole en Toscane, explique Suzanne Syz. Mais je suis venue voir et j’ai adoré. Cela m’a rappelé Long Island où j’avais eu une maison. Une telle plage n’existe nulle part ailleurs en Europe. » Conquise par cette nature sauvage, à trois heures de Paris, et ce parfum rare de jouir d’un endroit inconnu du grand public, Suzanne Syz achète la maison et la transforme entièrement, avec l’aide de Jacques Grange. « À Comporta, le style est très traditionnel et il faut le respecter : toit de chaume, murs recouverts de paille de riz et colombages blancs », détaille-t-elle. En revanche, à l’intérieur, Suzanne, qui est aussi connue pour sa collection d’art contemporain, dispose ses coups de coeur : ici une toile de David Hominal trouvée chez Kamel Mennour, là un petit tableau de Djordje Ozbolt de chez Hauser & Wirth. Beaucoup de choses viennent également de chez Pierre Passebon, comme la table basse de Karl Springer, les fauteuils de Jean Royère, cette céramique de Gérard Drouillet au-dessus du vaisselier portugais ou encore une sculpture en terre de l’artiste sénégalaise Seyni Awa Camara. Suzanne a aussi le goût du design. En témoignent l’iconique fauteuil Wicker de Marc Newson au salon ou la table emblématique de Piet Hein Eek dressée à l’extérieur, sous l’auvent de paille. « J’ai pensé que cela marcherait bien ici. Ça rappelle le bois flotté qu’on trouve sur la plage », dit-elle. Dans la vaste chambre qu’elle s’est construite quelques années plus tard, dans un second pavillon, l’amateur reconnaît le lit de Gabriella Crespi, la table basse et le luminaire de Garouste et Bonetti. « Ce sont des choses qui viennent d’un peu partout, j’ai eu beaucoup de maisons », commente-t-elle.

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Suzanne a eu plusieurs vies. Née à Zurich, elle a suivi des études à Lausanne, avant de se rendre à Paris, où elle commence une carrière de mannequin. En 1982, avec Éric Syz qu’elle vient d’épouser, elle s’installe à New York et découvre la scène artistique de l’époque. Elle fréquente Jean-Michel Basquiat, se fait immortaliser par Andy Warhol avec son fils de 1 an dans les bras. « Julian Schnabel a aussi peint mon portrait, et Francesco Clemente a réalisé celui d’Éric. Les artistes new-yorkais étaient très accessibles », se souvient-elle. Et lorsque son mari crée sa banque et oblige la petite famille à rejoindre Genève, pas question de renoncer à l’art contemporain. « On achetait beaucoup. Plutôt des jeunes et des photos qu’on mettait dans les succursales de la banque », poursuit-elle. Aujourd’hui, la collection compte plus d’un millier d’oeuvres, et Suzanne continue d’arpenter les foires, ce qui l’inspire aussi pour ses bijoux. Elle a également eu l’idée d’associer un artiste à ses présentations, afin de pénétrer les foires « art et design ». Après John Armleder à New York l’année dernière, elle va renouveler l’expérience avec Alex Israel en juin à la foire Design Miami/Basel. En attendant, Suzanne profite de sa maison de Comporta et de sa rusticité toute relative. Son vaste terrain est composé d’une pinède soigneusement entretenue. Elle y a ajouté trois palmiers et quelques agaves. « Je voulais absolument préserver cette ambiance sauvage, pas sophistiquée du tout », dit-elle avant d’enfourcher son quad et de gravir la dune pour rejoindre la mer. Va-t-elle souvent se baigner ? Elle rit. « Je reconnais que c’est un peu froid. Heureusement, j’ai la piscine. » Un bassin long et étroit de ciment brut, d’une élégance racée, entouré de sable blanc immaculé. « Je l’ai fait venir, parce qu’avant on avait toujours les pieds sales avec la terre », précise-t-elle. Le luxe façon Comporta. En attendant, Suzanne profite de sa maison de Comporta et de sa rusticité toute relative. Son vaste terrain est composé d’une pinède soigneusement entretenue. Elle y a ajouté trois palmiers et quelques agaves. « Je voulais absolument préserver cette ambiance sauvage, pas sophistiquée du tout », dit-elle avant d’enfourcher son quad et de gravir la dune pour rejoindre la mer. Va-t-elle souvent se baigner ? Elle rit. « Je reconnais que c’est un peu froid. Heureusement, j’ai la piscine. » Un bassin long et étroit de ciment brut, d’une élégance racée, entouré de sable blanc immaculé. « Je l’ai fait venir, parce qu’avant on avait toujours les pieds sales avec la terre », précise-t-elle. Le luxe façon Comporta.

SIX ADRESSES À COMPORTA L’hôtel Sublime Comporta. Le lieu où séjourner. Gonçalo P ­ essoa a construit au milieu des pins d’élégantes cabanes contemporaines. Et le spa mérite le détour. Susanne, la professeur de yoga de Suzanne Syz, y donne des cours. www.sublimecomporta.pt La pâtisserie Tulipa. Une petite enseigne où tout le monde se retrouve le matin pour prendre un café, acheter le pain et craquer pour les fameux « pastéis de Belém ». Rue principale de Carvalhal. Le restaurant O Dinis. Pour déguster un poisson grillé et une salade de tomates au-dessus de la plage, sur de grandes tables en bois, à la bonne franquette, face à l’océan. Plage de Carvalhal. Le restaurant Sal. Rien que le décor avec des maquettes de bateaux accrochées aux murs vaut le déplacement. Plutôt le soir pour dîner dans une ambiance chic et décontractée. Le patron, Tiago, est adorable et la cuisine locale délicieuse. Plage de Pego -- www.restaurantesal.pt Le restaurant Museu do Arroz. Aménagé dans un ancien silo à riz, cet établissement a beaucoup de charme. On y mange des plats à base de riz bien sûr, mais aussi du poisson frais. Estrada Nacional 261 km. Le Colmo Bar. Pour un jus de fruit frais en fin d’après-midi, face au coucher du soleil sur les rizières. Largo de São João. Revue de Presse - COMPORTA - Groupe Terrésens

| Publié le 15/05 à 06.08

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Comporta - Chic Cachette

Portugal

Les initiés se glissent le nom de ce village du Portugal au creux de l’oreille, comme un mantra pour escapade à l’écart de l’ordinaire. A une heure de route de Lisbonne, plein sud, voici une plage qui n’en finit pas et un vaste champ dunaire entre les replis duquel ont été construites des résidences pour pause sans façon. Voire. Ni frime ni chichis, short, sandales et chapeau de paille pour tout le monde, mais ambiance jet-set à l’abri de maisons de pêcheur (look extérieur) à la déco de loft à Manhattan ou duplex dans le Marais (intérieur). Le décorateur Jacques Garcia est à l’origine de la renaissance de cet îlot de pleine nature.

A travers ses rénovations et constructions, il a installé du style et beaucoup de classe. Prière désormais d’ajouter une belle liasse d’euros pour, comme on dit, «en être». Au programme du séjour, paresse sur la plage, tranquillité assurée, déjeuner dans l’un des deux restaurants qui la bordent, vinho verde, sardines grillées, salade fraîche, prière de ne pas s’étonner de ses voisins célèbres.

Comme l’Atlantique est un peu frisquet, on en profite pour aller trottiner sur les chemins qui traversent les rizières - attention à ne pas déranger les cigognes -, ou bien galoper sur la plage, ou encore pour faire le plein de lecture. Bonne nouvelle, ici, on en oublie volontiers de regarder son téléphone mobile. Merci Comporta. Y séjourner: au Sublime Comporta (00.351.26.94.49.376), un hôtel totalement intégré à l’esprit des lieux, simple mais design façon bohème chic. 34 chambres, suites et villas. A partir de 185 € la nuit. Y aller: avec TAP Portugal jusqu’à Lisbonne puis voiture de location. Office de tourisme du Portugal (01.56.88.31.90).

| Publié le 22/05/2017 à 14:48

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Repaire Minimal En Alentejo Christian Louboutin et Philippe Starck se pressent à Comporta, ville balnéaire au charme certain. Mais les fins limiers lassés de l’Atlantique lui préfèrent l’Alentejo de l’intérieur des terres. Car l’océan peut paraître subsidiaire à qui sait apprécier le beau, le majestueux et les chevaux.
 Le spot : l’architecte Manuel Aires Mateus a rénové la Casa No Tempo, une ferme familiale de Montemor-o-Novo, un gros village à une heure de Lisbonne, en passe de devenir une destination prisée des élites discrètes. casanotempo.com

| Publié le 18/09/2015

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TRIVAGO APONTA COMPORTA COMO

“O GRANDE DESTINO-TENDÊNCIA” EM PORTUGAL

D’ici et d’ailleurs: Comporta Capucine Graby, fondatrice du travel magazine MyMoonSpots (www.mymoonspots. com) nous emmène sur la presqu’île portugaise de Comporta. À deux heures de Paris, elle est aujourd’hui devenue la nouvelle destination de vacances privilégiée de la jet set. - Goûts de Luxe Paris, du 17 mai, présenté par Karine Vergniol et Emmanuel Rubin, sur BFM Business. --- Vidéo ---

| Publié le 13 mai 2017 à 10:00

Portugal : Version Hamptons On oublie l’Algarve, trop cliché, pour le versant atlantique, authentique. À seulement 1 h de Lisbonne, le littoral de l’Alentejo, sauvagement beau, égrène un chapelet de dunes vierges et de rizières où nichent les flamants roses. Un paradis planqué où fleurit, depuis peu, une flopée d’adresses chics et bohèmes, notamment à Comporta, sorte de Hamptons portugais. Où dormir ? Casas Na Areia, quatre cabanes design posées sur le sable. À partir de 500 € la nuit, pour 8 pers., avec petits déjeuners.

| Publié le 17/05/2015

casasnaareia.com

Comporta, Torres Vedras e Manta Rota lideram “Destinos de Praia Emergentes em Portugal”

A Herdade da Comporta, no concelho de Grândola, é “o grande destino-tendência”, de acordo com uma lista do que a plataforma de pesquisa e reserva de hotéis Trivago descreve com “Destinos de Praia Emergentes em Portugal”, referindo-se aos “destinos de praia com maior crescimento na procura nos últimos anos”. “A menos de uma hora de Lisboa, a Comporta é um destino de sonho, deliberadamente intocado. Situada no Concelho de Grândola, nos limites da Reserva Natural do Estuário do Sado, a Praia da Comporta é um espaço natural preservado, com areia branca e águas calmas e translúcidas”, descreve o Trivago que diz ainda que “do conjunto de destinos emergentes de praia, a Comporta foi aquele onde a procura mais cresceu nos últimos dois anos”. A seguir à Comporta, segundo o ranking divulgado pelo Trivago, que diz ter-se baseado num estudo sobre as “mais de quatro milhões de pesquisas diárias” que processa, surgem, ainda ‘no podium’, Torres Vedras e Manta Rota. Depois estão Sines, Caminha, Odeceixe, Foz do Arelho, Calheta, Ovar e Porto Santo.

Comporta

A une heure de Lisbonne, Comporta est le repaire fétiche des lisboètes en quête de nature et de mer. Célèbre pour ses plages infinies, bordées par l’Atlantique, la région fourmille en plus de jolis petits hôtels et autres cabanes de luxe où s’offrir des escales sauvages.

Une cabane au bord du fleuve à Comporta:Cabanas No Rio

Perchées sur la berge du Rio Sado au Portugal, ces deux anciennes cabanes de pêcheurs réhabilitées par l’architecte Manuel Aires Mateus en 2013, se fondent dans le paysage, entre dunes de sable fin et herbes sauvages. Reliées à la rivière par un ponton, l’une est une chambre douillette pourvue d’une douche à ouvrir ou non sur la nature tandis que l’autre est un petit salon agrémenté d’une cuisine dissimulée dans une structure en bois. D’apparence rudimentaire, les cabanes offrent néanmoins tout le confort d’un cocon douillet avec fauteuils Ghost Paola Navone, literie moelleuse et connexion wifi sans faille. Le lieu idéal pour se réénergiser sur le bon tempo, seul ou à deux.

Un restaurant les pieds dans l’eau à Comporta : Comporta Café

Les yeux dans le bleu de l’Atlantique, le Comporta Café fait partie des meilleures adresses de la région. D’une part pour sa position idyllique, les pieds dans le sable, mais aussi pour sa carte de saison alléchante proposant des poissons grillés provenant de la pêche du jour, un risotto à la seiche, des spaghettis aux langoustines… Un must do

Un hôtel spécial surf entre Comporta et Algrave : Cabeça da Cabra

Avant de rejoindre Algrave, cap sur la sublime côte de Vicentina, à l’extrême sud du Portugal, où Cabeça da Cabra a planté sa tente dans une région particulièrement sauvage. Installé dans les murs de l’ancienne école primaire du petit village d’Alentejo, ce charmant bed & breakfast a converti les cinq classes d’origine en jolis studios épurés, habillés de bois clair et de mobilier immaculé. Côté assiette, le lieu propose des petits déjeuners réjouissants et des dîners typiquement portugais réalisés par Maria Santos, la maîtresse des lieux. Mais c’est surtout son approche singulière, presque thérapeutique du surf, qui charme. Ouvert aux novices qui ont toujours secrètement rêvé d’affronter les vagues, comme aux experts, le lieu envisage ce sport comme une douce thérapie. Encadrés par André Texeira, professeur depuis plus de quinze ans dans la région, les cours sont quotidiens et donnent en prime l’occasion de découvrir la campagne environnante à vélo, durant les vingt minutes de trajet qui mènent à la plage.

“Além das Praias de Santa Cruz e de Porto Novo, Torres Vedras conta com campos de golfe, centros hípicos, piscinas e ainda as Estâncias Termais dos Cucos e do Vimeiro – muito procuradas pelas qualidades terapêuticas das suas águas”, assinala o Trivago, que relativamente a Manta Rota, destaca que a sua praia “é uma das mais populares entre os portugueses, mas agora, mais do que nunca, está na moda”. “Aqui a temperatura do mar é superior a outras praias do Algarve e há uma grande extensão com pouca profundidade, tornando-se perfeita para crianças e famílias!”, reforça o documento. Sobre Sines, o Trivago destaca que “recebe visitantes de todas as partes, numa viagem de cultura e história, mas também de bom tempo e boas praias” e sobre Caminha diz que “das praias marítimas e fluviais, às festas tradicionais e fantástica gastronomia, Caminha tem tudo para umas férias de verão inesquecíveis”. Odeceixe “tem a particularidade de conter uma praia fluvial, e permite, por isso, banhos de mar e de rio”, enquanto Foz do Arelho “é uma vila perfeita para as férias de verão, não só pelas suas praias, voltadas para o Oceano Atlântico, mas também pela orla da Lagoa de Óbidos”. A Calheta, na Madeira, é o primeiro destino fora do Continente a fazer parte da lista do Trivago, seguido por Ovar e Porto Santo. “Dos passeios junto ao mar, passando pelas subidas às íngremes montanhas ou pelas caminhadas entre os vales, é impossível não ficar rendido a este cenário digno de postal”, diz o Trivago sobre a Calheta, enquanto relativamente a Ovar afirma que as praias de Cortegaça, Esmoriz e Furadouro, entre outras “são muito procuradas na época balnear e fazem as delícias de quem procura umas férias calmas e solarengas”. Sobre a ilha de Porto Santo, o portal diz ser “cenário ideal para umas férias de praia” e “destino perfeito para banhos prolongados e para a prática de uma grande variedade de desportos náuticos”, destacando “o clima estável e seco, com muito Sol durante todo o ano” e o “mar de águas límpidas e tranquilas”.

| Publié le 30/05/2017 à 16:34

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MADONNA VISITA COMPORTA A CANTORA PARTILHOU NOVAS IMAGENS DA SUA ESTADIA EM PORTUGAL.

COMPORTA.

UM DESTINO A VISITAR EM 2017, DIZ O THE NEW YORK TIMES

O jornal The New York Times também anda de olhos postos neste canto da Península Ibérica e destacou a Comporta como uma das 52 viagens a fazer nos próximos 12 meses.

| Publié le 04/01/2017 à 21:38

A artista norte-americana está a passar umas férias em Portugal e aproveitou para conhecer a praia do Pêgo. No vídeo da CMTV pode ver os locais que a «rainha pop» visitou na Comporta

| Publié le 22/05/2017 à 11:51

MADONNA PASSEIA NA COMPORTA E FILHA ‘RENDE-SE’ AO LOOK DE BARCELOS Madonna está desde a semana passada em Portugal juntamente com os filhos e tem vindo a mostrar as suas férias nas redes sociais. Esta vinda ao país tem sido muito produtiva e os meninos têm desfrutado ao máximo da estadia para conhecer novos horizontes. Depois de ter sido avançado que o pequeno David Banda tem estado a treinar no Centro de Estágio do Benfica, no Seixal, e que assistiu a dois jogos, tendo sido apanha-bolas num deles, agora é a filha da cantora que está ‘rendida’ à tradição portuguesa. Este domingo, dia 21, Madonna partilhou uma fotografia da menina onde esta surge com um avental de Barcelos, com um ar muito feliz. Além disso, a artista norte-americana mostrou também na sua conta do Insatgram que aproveitou para conhecer a, aparentemente, praia da Comporta, onde passeou com as meninas gémeas, Esther e Stella, e andou a cavalo.

Se Portugal fosse uma pessoa, por esta altura já estaria “farto” de elogios, com o ego em alta e um toque de arrogância na maneira de estar. É que não bastam as coisas boas que se disseram sobre a terra do pé direito (e esquerdo) de Ronaldo em 2016, o país tem sido selecionado vezes sem conta como um destino a visitar em 2017 — o Washington Post, a Forbes, a Condé Nast Traveler, a Lonely Planet, o Fodor’s Travel Guide e o Huffington Post já o fizeram. O jornal The New York Times é, então, mais uma das publicações que anda de olhos postos neste canto da Península Ibérica e, desta vez, considerou a Comporta uma das 52 viagens a fazer nos próximos 12 meses. Considerada o “anti-Algarve” a apenas uma hora de distância de Lisboa, a Comporta, situada na Reserva natural do Estuário do Sado, surge na posição número 25, acima de destinos como Atenas, na Grécia, Chiang Mai, na Tailândia, ou Napa Valley, na Califórnia. Se o Algarve está repleto de turistas e de grandes hotéis, a Comporta está “deliberadamente subdesenvolvida”, lê-se no artigo. É disso exemplo o “único grande hotel” da área, o Sublime Comporta, com quartos rústicos e responsável pela abertura do restaurante Celeiro, inspirado nos antigos celeiros da região. A acompanhar o texto sobre o destino que o jornal considera ser “hippie-chic” está ainda uma fotografia do porto palafítico da Carrasqueira.

| Publié le 22/05/2017 à 11:50

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THE NEXT GREAT BEACH DESTINATION: COMPORTA IN PORTUGAL There are a handful of places that defy certain rules of economics: the Hamptons in the ’70s, St. Barth in the ’80s, José Ignacio and Trancoso in the early 2000s. These are places where people who have a great deal of wealth go to spend a few days as if they had none at all. Where boldface names trade their Berlutis for Havianas and sit drinking cheap, local beer with weathered old fishermen. Where everyone gets to be themselves, forgets about being “on” and stops being a socialite. Where everyone takes off the mask. The next of these places is Comporta, a cluster of coastal Portuguese villages about an hour’s drive from Lisbon. “The Hamptons of wherever” has long been lazy shorthand, but Comporta is a favored weekend getaway from Lisbon’s elite, as well as other in-the-know Europeans. Christian Louboutin, Jacques Grange, Philippe Starck and Anselm Kiefer are among those who own homes here—many of them in the traditional “Comporta cabana” style, with small footprints and thatched roofs and walls. (But not on the 40-some miles of pristine white beach, on which nothing can be built.) Now Americans are starting to take note. For now, there’s no glitz. Even the biggest village, also called Comporta, looks like any other southern Portuguese town, with lime-washed white buildings with bright blue trim and terra-cotta roofs, thatched little houses, and narrow streets and small squares dotted with red café umbrellas advertising Sagres beer. That is, until you go inside. There are several shops selling beautiful, locally made scarves for €200 and hippie-chic dresses for €800. The unassuming minimercado is stocked with caviar, pink Himalayan salt, imported cheese and French Champagne. Until a few years ago, the only way into Comporta was to have the right friends or to rent a private villa. There’s still just one hotel, and thankfully, it’s one that’s sublimely comfortable. That one isn’t just a lazy adverb. Sublime Comporta, which opened in 2014, is a 14-room retreat that lives up to its name. Once the private estate of a prominent Portuguese family, the 42-acre swath of land is now occupied by a small home that houses several bedrooms, a handful of private villas with private pools and a main lodge that serves as a gathering place, bar—the glass windows are inscribed with quotes from Winston Churchill, Mark Twain and Portuguese poet Fernando Pessoa about the pleasures of wine—designer boutique and reception area.

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But most of the land remains rugged, grounds for gnarled cork trees and unmanicured wildflowers. The interiors likewise emphasize the outdoors, with natural materials, understated tones and floorto-ceiling windows. Designed by José Alberto Charrua and Miguel Câncio Martins (known for Buddha Bar and Man Ray), the public spaces and guest rooms don’t have a lot of flash, but they want for nothing. (There are more, bigger villas, with two to five bedrooms, in the works. Also, full disclosure, I stayed as a guest of the hotel.) One of the joys of Comporta is the (lack of) dining scene. People invite new friends into their homes in the evening. That’s not so easy for hotel guests, so Sublime Comporta just updated its restaurant, called Sem Porta (without a door), in collaboration with a hotshot chef. The menu is long and varied. They’ve also planted a 16,000-square-foot organic garden with more than 300 varieties of herbs and vegetables. They’ll be taking that other cliché, “garden to table,” seriously, with private dinners among the plots. The hotel also just finished a major upgrade of its spa (which uses the cult line Organic Pharmacy) and is amping up its wellness programming. There’s already private yoga on demand, and there are plans for curated retreats led by experts like nutrition expert Sarah Britton and yoga teachers Colleen Saidman and Rodney Yee. Still, you don’t go to a place like Comporta to hole up in a hotel. Along with those endless beaches, the area brims with the beauty of the Alentejo: cork trees, vineyards and gleaming-green rice fields. Driving is fine, but a better to way to explore is on horseback, on a ride organized by Cavalos na Areia over tree-covered hills, past rice paddies and over sand dunes, and finally along the beach. Company owner José Ribeira is so friendly that when my friend asked about buying his weathered gaucho hat (indeed from Argentina), he insisted he just take it for free. My horse had some spunk, but I didn’t quite work up an appetite with my trotting. Still, I still went for a beach lunch afterward, as you do in Comporta. At Sal restaurant in Praia do Pego, the staff brought out a parade of perfectly simple dishes—terrific octopus salad, the lightest calamari I’ve ever had—and excellent local rosé. Apparently there were some celebrities nearby. Feet in the sand and fingers messy, everyone’s mask had been tossed aside ages ago.

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IDÉE WEEK-END :

A COMPORTA VAI GANHAR UM NOVO HOTEL COM CABANAS

ROBINSONNADE À COMPORTA #2

A Quinta da Comporta, é assim que se vai chamar a unidade, vai oferecer quartos, townhouses e abre em 2018.

O arquiteto de interiores Miguel Câncio Martins vai abrir um hotel na Comporta. A Quinta da Comporta, é este o nome do quatro estrelas superior, tem data prevista para abrir entre abril e maio de 2018 e vai ter 24 quartos, 18 townhouses (moradias geminadas com dois ou três andares) e cinco cabanas de três quartos para venda com gestão e exploração por parte do hotel. Ainda não acabámos. A Quinta da Comporta também vai ter um spa de marca própria, bar, restaurante, piscina e um kids club. O tema da unidade será o arroz. Miguel Câncio Martins assinou vários projetos importantes de decoração na Europa. É conhecido sobretudo pelo seu trabalho no Buddha Bar, em Paris, mas também foi responsável por outros trabalhos nomeadamente no Heritage Avenida Liberdade Hotel, Alentejo Marmoris Hotel & Spa e no GUSTO. “A nossa ideia é fazer o estilo das casas da Comporta, que é o que as pessoas imaginam quando aqui vêm”, disse Miguel Câncio Martins, em entrevista ao jornal de turismo “Publituris”. O hotel vai resultar de um investimento de 13 milhões de euros. Este não vai ser o único projeto de Miguel Câncio Martins na hotelaria. Em 2019, o arquiteto vai abrir o Palácio Ludovice junto ao miradouro de São Pedro de Alcântara. O hotel de cinco estrelas vai ter 65 quartos e terá como tema o vinho do Porto. “A minha ideia é fazer uma ‘collection hotels’ mas não só em Portugal. Para mim este será um ponto de partida porque a oportunidade e o momento são bons, mas a minha ambição é ir para fora”, explicou Miguel Câncio Martins à “Ambitur” em junho do ano passado.

Avec ses cabanes de pêcheurs près de l’Atlantique, c’est l’un des spots les plus hippie chic de la planète, à seulement une heure de Lisbonne, au Portugal. Retrouver le Saint-Trop’ d’antan C’est le Saint-Tropez, l’Ibiza et le Mykonos des années 1970... Les gypsetteurs (contraction de gypsie et de jet-setter) ont fait de Comporta l’un de leurs fiefs, avec les Hamptons ou Tanger. On fait son marché chez Gomes (rua do Comércio 2), supérette où dénicher des sardines et du caviar. Juste à côté, on boit un café ou un jus de fruit frais, accompagné d’un pasteis de nata, au Sénéquier local, l’Eucalyptus, avec ses tables en plastique sans chichi. Pour le déjeuner, les pieds dans le sable, on se régale de poisson grillé au Sal (sel en portugais), très chic, sur la plage de Pego ou, plus simple, dans la paillotte O Dinis, sur la plage de Carvalhal. L’apéro se prend au Colmo bar (Largo de São João 3), au coeur du village de Comporta, sur un banc couvert de coussins, face au coucher de soleil sur les rizières peuplées de cigognes... Traîner dans les boutiques hippie chic Les boutiques aux auvents de chaume n’ont rien à envier à celles de la Riviera. Manumaya (Largo de São João 8) propose des produits du Guatemala, dont des couvre-lits très prisés des people. Dans le concept-store Babouchette (Becos da Comporta 2), créé par une Française, les bijoux hippie-chic d’une créatrice de Cascais, des sandales, des saris balinais... Pour le vin du cru, ce sera dans le magasin voisin, ouvert par le fils de la kiosquière, Daniel Valentim, le domaine viticole étant fermé le week-end. Dernière adresse à repérer : la pharmacie, pour l’indispensable anti-moustiques ! On y va ! -Paris-Lisbonne en avion avec Aigle Azur. -Louer une voiture et gagner Comporta, plein sud, en 1 h 15, par le bac de Setúbal. -Dormir à Tróia, en solution de repli, station balnéaire voisine aux hôtels toutes catégories. -Plus d’infos sur visitportugal.com/fr.

| Publié le 19/05/2017 à 10:09

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| Publié le 12/07/2017 à 12:30

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COMPORTA :

#comporta

ou le village qui garde la pêche Les accros des réseaux sociaux ne cessent de mettre en scène leur vie à coups de hashtags et de selfies, lançant la tendance (ou pas). Cette semaine, on fait relâche au Portugal, dans le village de pêcheurs de Comporta. Il était une fois un petit village qui a longtemps résisté à l’envahisseur. La « révolution des œillets » avait fleuri non loin, alors pas question de céder. Et puis les hippies de luxe sont arrivés, et avec eux le hashtag #comporta, stigmate de l’invasion de ce village portugais. Alors que les zombies se nourrissent de cervelle (RIP George A. Romero), les fans du #comporta flairent et pistent « l’authentique », « le rustique ». Ici, aucun serveur en descente de cocaïne ne crache dans votre poisson grillé ; les personnes âgées ont le visage bronzé et ridé de ceux qui ont travaillé près de la nature, et pas la face lisse et pâteuse des botoxées d’Ibiza. Pour les nostalgiques de la Riviera des années 1970, direction le paradis de #comporta, qu’ils s’empressent de redécorer à leur façon : des clichés de vaisselles « locales » sur des tables dignes des meilleurs reportages d’AD, des pièces qui finiront dans les vitrines chic des capitales européennes. Le village abrite désormais une boutique de design vintage, parfaite pour relooker sa maison (une ancienne cabane de pêcheur, équipée d’une cuisine de professionnel) quand on a manqué les rendez-vous de l’antiquité douteuse et hors de prix comme la grande brocante de la rue de Bretagne à Paris. « Le nombre de décoratrices d’intérieur au mètre carré dépassera la concentration de pêcheurs. » Les fans de #comporta dînent volontiers dans des restaurants très « couleurs locales » avec des tarifs parisiens (voire londoniens). Mais déguster un poisson grillé dans un ancien box d’écurie est une expérience qui n’a pas de prix. Enfin pour l’instant : on peut parier qu’un locataire saisonnier trouvera le moyen de transformer le fumet équin qui s’est incrusté dans le lieu en parfum d’intérieur de luxe (dans un coffret vacances avec la bougie « un matin au marché aux poissons »). La démographie de #comporta est donc en pleine mutation : le nombre de décoratrices d’intérieur au mètre carré dépassera la concentration de pêcheurs. Mais la mode, cela compte aussi : pas question de rater son selfie de plage. Le chapeau (acheté local mais relooké avec un foulard Hermès), la petite pochette zippée, les bijoux de cheville et les sandales griffées assorties sont de rigueur. On ne sait jamais : croiser Christian Louboutin sur le sable, alors qu’on porte de bêtes tongs de plastique achetées au marché, ce n’est pas très #comporta. Et voilà comment le village qui résistait à l’envahisseur est devenu une annexe méditerranéenne des Hamptons. L’argent n’est définitivement pas une potion magique.

WHY YOU SHOULD HEAD TO P O R T U G A L’ S I D Y L L I C S O U T H -W E S T C O A S T Kate Hamilton has the lowdown on Portugal’s idyllic south-west coast Comporta has been touted as ‘the new Ibiza’ — but the countryside on Portugal’s south-west coast still has nature at its heart. This idyllic region sets you free in ways that no trance party ever could. Here’s our guide to where to stay, eat, drink and shop: Where to stay

What to do

In a forest of umbrella pines and cork trees, Sublime Comporta (sublimecomporta.pt; rooms from €300) is the area’s coolest hotel. The 14 suites here are spread across a blush-pink main house and a series of airy cabana villas — all have polished concrete floors and cavernous bathtubs. Keep even closer to tradition by staying at an original converted fisherman’s hut at Cabanas No Rio (cabanasnorio. com; rooms from €200), designed by Lisbon architect Manuel Aires Mateus.

For those craving something a little higher-octane, pick up a board at Carvalhal Surf School. Ninety-minute classes cost €40 (book at surfincomporta@gmail.com). Want to stay dry? Venture over the paddies and dunes on a horse from Cavalos na Areia (30 minutes from €30). Madonna couldn’t get enough last May (check her Insta).

What to eat Fish and seafood are the name of the game here. Make for O Gervásio, a rustic, family-run tasca (tavern), which is a hub for local fisherman and well-heeled summertime guests at lunchtime. We love the fried cuttlefish, which costs less than €10 and serves two. In the evening, Dona Bia comes alive on the edge of the rice paddies outside Comporta village and serves grilled fish by the kilo (sea bass, sole, squid — take your pick) alongside jumbo prawns and rich dishes of risotto-style coriander rice.

What to drink Comporta is a secretive little spot in which socialising tends to take place behind closed doors (the designer Philippe Starck, artist Anselm Kiefer and Christian Louboutin all have houses here). Glimmers of a scene can be found at Comporta Café, a beachfront restaurant with straw parasols and colourful flags that billow in the wind like sails. Order a bottle of local green wine or a pitcher of sangria and settle in for a sundowner.

What to see Comporta is set in the Sado Estuary Nature Reserve, which is home to dolphins and a wealth of birds — look up to catch a glimpse of local storks, flamingos and eagles. Historically, this part of Portugal was based on the pillars of salt production, rice-growing and fishing, the latter of which is still very much alive at the port of Carrasqueira. Visit at high tide when you can walk along the jetties, perched on stilts, and suss out the daily catch.

Where to shop You’ll find a handful of artisan shops tucked away in the heart of sleepy Comporta village. Loja do Museu do Arroz flogs delicate ceramics and art prints by photographers such as Slim Aarons, while Vintage Department houses a curated collection of reworked furniture and retro light fixtures that will make you wish you booked a bigger baggage allowance.

Getting there Comporta is just over an hour’s drive from Lisbon. A car is essential once you’re there if you want to explore beyond your hotel or villa.

| Publié le 06/08/2017 à 20:15

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| Publié le 27/07/2017 à 17:35

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WHY PORTUGAL’S WILD COMPORTA

COASTLINE SHOULD BE YOUR SUMMER SANCTUARY It’s budding with contemporary architecture

It was a warm Sunday morning in the summer of 1956 when José Manuel Espírito Santo first laid eyes on Portugal’s Herdade da Comporta from his sailboat, at that time deserted except for its rice fields and makeshift workers’ huts. He fell in love. Lured by its pristine white beaches, estuary and pine forests teeming with bird life, the Espírito Santo family – once Portugal’s largest banking dynasty – soon bought the 12,500-acre estate and owned it until 2014. Today, just a few villages and a smattering of bold modern holiday homes punctuate the wild landscape. Comporta, referred to as the ‘secret treasure of Europe’, is just over an hour’s drive south of Lisbon. It has long been a refuge for creatives wishing to put their urban lives on hold – and find inspiration in its raw scenery and downto-earth charm. The likes of Christian Louboutin, Jacques Granges, Anselm Kiefer, and more recently Madonna have used it as their summer sanctuary. Meanwhile, British painter Jason Martin has a studio in Comporta and takes cues from the landscape for his work.

Where to go and what to see

Casa da Cultura

Herdade da Comporta Foundation and Winery

Cavalos na Areia

Rice by Marta Mantero

This 100-metre-long former cinema and rice barn has been turned into a ‘House of Culture’, featuring a Portuguese shopping alley, an auditorium with vintage chairs, and an art gallery, currently showing works by artists Sandra Baía and Francisco Uhlfelder – an early Comporta aficionado who converted a fisherman’s hut into his second home. Rua do Secador 8, 7580-648 Alcácer do Sal; casaculturacomporta.pt

Cavalos na Areia, or ‘Horses on Sand’, provides ways to explore the area; including horse riding, kayaking in the rice irrigation channels and cycling through the rice paddies. Estrada Nacional 261, Km 6, 7580-681 Comporta; cavalosnaareia.com

These facilities have been the heart of the agricultural activity of the area, where farmers used to eat and be entertained. Now it houses the Herdade da Comporta wine cellar and headquarters, which manages the real estate portfolio, foundation and tourism campaigns. Head here for wine tastings. Espaço Comporta, EN 253, km 1, 7580-610 Comporta; herdadedacomporta.pt

Marta Mantero is an interior designer who has just re-opened her shop in a former rice barn in the heart of Comporta village. On sale are exotic items from her travels, as well as Portuguese products and local artisanal items. Estrada Nacional 253, Km 1, 7580-612 Comporta; www.martamantero.com

Where to eat A Cavalariça

Led by chef Bruno Caseiro, A Cavalariça is a summer pop-up restaurant in a former horse stable where guests are invited to eat among the original partitions. A highlight is its ‘mosquito hour’, when cocktails and local oysters are on the menu. Rua do Secador, 9 7580 Comporta; cavalaricacomporta.com

Renowned architects have also found creative fuel within the estate too, including Portuguese practices Aires Mateus and Pereira Miguel Arquitectos. They have re-appropriated the sandy-floored local hut vernacular into modern holiday homes in rural spots and the villages of Carvalhal and Carrasqueira. The latter – a local harbour built entirely on wooden stilts by fishermen – even found its way into Louboutin’s Spring/Summer 2013 campaign. In the white-washed village of Comporta itself, storks assemble nests atop chimneys. The bank, church, bakery, offices, factories and workers’ houses all retain their rustic, laid-back character, and sit happily beside eco-chic new additions. The Espírito Santo family went bankrupt in 2014 and the estate has now found new owners, who have pledged to maintain the ‘unique characteristics’ of the Herdade da Comporta and preserve its agricultural and forestry activities. Here, we reveal the places to stay and the spots not to miss on this unspoilt stretch of the Portuguese coastline.

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Comporta Café

Comporta Café is a seafood lover’s paradise on Praia da Comporta. It’s also famous for its sharing rice dishes and coffee sauce house steak, accompanied by Comporta wine. The café is an unpretentious yet perfect place to end a day. Praia da Comporta, 7680-612 Comporta; comportacafe.com.pt

Comporta’s best beaches Praia da Comporta

Overlooking the Arrábida mountain range in the distance, Praia da Comporta is the closest beach within the estate to Lisbon, and so naturally it becomes packed on weekends.

| Publié le 21/08/2017

Praia do Pego

After a drive south along a road traversing pine forests rice fields you get to Praia do Pego, a secluded, quiet version of Praia da Comporta. Both these beaches are accessed by scenic pedestrian wooden paths built atop protected sand dunes.

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Revue de Presse - COMPORTA - Groupe Terrésens | Publié en Été 2017

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LES RETOMBÉES PRESSE press reviews

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PORTUGAL : TERRÉSENS OUVRIRA UNE COPROPRIÉTÉ RÉSIDENTIELLE DE TOURISME À COMPORTA EN 2019 148 logements : résidence, village de pêcheurs et villas La Réserve, première copropriété résidentielle de tourisme de Terrésen au Portugal, sortira de terre à Comporta, au bord de l’océan Atlantique au 4e trimestre 2019. Le 3 juillet 2017, Terrésens a lancé la commercialisation de sa première copropriété résidentielle de tourisme au Portugal. La Réserve, adresse haut de gamme, est située à Comporta, au bord de l’Atlantique, au cœur d’une réserve naturelle à une heure de Lisbonne. Elle propose des biens et leur gestion à de futurs acquéreurs. L’ensemble comptera 148 logements répartis en 3 types : une résidence hôtelière avec des T1 et des T2 qui peuvent être combinés en T3, vendus à partir de 60 m² pour 150 000 €, un village de pêcheurs avec des maisons T3, T4 et T5, commercialisées à partir de 85 m² pour 297 000 € et jusqu’à 150 m² pour 550 000 €, et des villas de 180 à 250 m² avec piscine sur des terrains de 1 000 à 2 000 m² de 800 000 à 1,2 million d’euros. La Réserve proposera, par ailleurs, à ses résidents différents services et activités comme une piscine, un spa, un terrain de sport, un club enfants, un restaurant-bar, une supérette, la location de vélos électriques et des navettes vers la plage. La livraison du projet est programmée pour le 4e trimestre 2019. | Publié le 12/07/2017

PORTUGAL : TERRÉSENS PRÉVOIT UN COMPLEXE RÉSIDENTIEL POUR 2019

LE GROUPE TERRÉSENS

DIVERSIFIE SES ACTIVITÉS AU PORTUGAL Après la montagne, Terrésens s’intéresse à la mer. Le groupe lyonnais, initiateur du concept de copropriété résidentielle de tourisme, a choisi le Portugal pour lancer son offre dédiée. Crée en 2008 par Géraud Cornillon avec la volonté « de trouver le point convergeant entre la promotion, la gestion et les intérêts des investisseurs «, souligne son directeur général Paul-Henry Haulbert, le groupe Terrésens a rapidement monté son propre concept à la montagne, la copropriété résidentielle de tourisme. « L’idée, c’est de construire et de commercialiser de petites copropriétés de 10 à 20 lots dotées d’une offre de services adaptés. Le propriétaire est libre de nous confier la gestion de son bien et d’occuper les lieux selon ses envies, tout en bénéficiant tout de même de quelques avantages fiscaux et de revenus locatifs. L’investissement dans nos opérations n’est pas un carcan «, poursuit-il. Avec 54 projets commercialisés à son actif, le groupe (6 M€ de CA en 2016, 16 collaborateurs, 15 consultants immobiliers, 200 partenaires et prescripteurs) poursuit sa croissance à Comporta, au Portugal. « C’est un marché attractif pour les investisseurs. Nous nous sommes associés avec des partenaires portugais historiques et de grands partenaires bancaires pour financer cette opération. Nous avons par ailleurs lancé une levée de fonds obligataire, toujours en cours «, détaille le directeur général. Le groupe construit et commercialise, pour la première fois, un grand ensemble de 148 lots au typologies variées (livraison : 4e trimestre 2019), La Réserve. Il comportera une résidence hôtelière composée de T3 hôteliers, un village de pêcheurs avec des maisons de type T3, T4 et T5 et des villas de prestige (T4 et T5 de 180 à 250 m2) avec piscine et brasero. L’ensemble proposera en complément de nombreux services et activités : piscine, spa, terrain de sport, club enfants, restaurant-bar, supérette, location de vélos électriques et navettes vers la plage. Après la côte atlantique, le groupe étudie une opportunité d’investissement à Lisbonne et au sud du Portugal. Une diversification qui ne lui fait pas pour autant perdre de vue son marché français historique. Terrésens a investit 100 M€ de promotion dans les Alpes, à La Plagne, Serre-Chevalier, La Rosière et lLAlpe-d’Huez. Sur la dizaine de projets à l’étude, quatre ont déjà obtenu des permis de construire pour des livraisons qui s’étalent entre 2017 et 2020.

Le Portugal : une fiscalité avantageuse pour les étrangers

Le groupe Terrésens annonce une copropriété résidentielle de tourisme à Comporta, au Portugal. Ouverture annoncée pour 2019.

Investir au Portugal est avantageux pour les étrangers, et notamment pour les retraités français grâce au régime du « résident non habituel ». Ce statut permet, sous certaines conditions, d’établir sa résidence fiscale sur le territoire portugais à condition de ne pas y avoir résidé durant les 5 années précédentes et d’y séjourner pour une durée minimum de 6 mois par an. Attribué pour une durée de 10 ans, il permet aux retraités de ne pas être imposés sur leurs pensions comme c’est le cas en France.

Localisé à Comporta, à 120 kilomètres de Lisbonne, le nouveau resort «La Réserve» de Terrésens est une copropriété résidentielle de tourisme qui doit ouvrir ses portes fin 2019. Cet établissement comprendra à la fois une résidence hôtelière, un village de pêcheurs abritant des maisons de 85 à 150 m2, ainsi que des villas haut de gamme (180 à 250 m2) avec piscine. En tout, ce sont 158 logements que compte la propriété, à des prix d’achat allant de 150 000 à 1,2 million d’euros. En plus de ce large complexe résidentiel, La Réserve de Comporta comportera une piscine, un terrain de sport, un spa, un club enfants, un restaurant et bar ainsi qu’une supérette. La commercialisation du resort a commencé le 3 juillet dernier, pour une ouverture annoncée au 4ème trimestre 2019.

| Publié le 13/07/2017 à 12h26

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Revue de Presse - COMPORTA - Groupe Terrésens

| Publié le 01/08/2017

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TERRÉSENS LANCE UN PROGRAMME AU PORTUGAL

Te r r é s e n s l a n c e l e c o n c e p t d e l a C o p r o p r i é t é R é s i d e n t i e l l e d e To u r i s m e au Portugal Le Groupe Terrésens annonce la construction de sa première Copropriété Résidentielle de Tourisme. Au cœur d’une réserve naturelle à Comporta au Portugal, « La Réserve » proposera à de futurs acquéreurs des biens ainsi qu’un service de gestion. Cet investissement permet par exemple aux retraités de bénéficier de la fiscalité avantageuse proposée par le Portugal aux résidents de nationalité étrangère. Investir au Portugal, un atout sur le plan fiscal Le Portugal propose aux ressortissants étrangers une fiscalité avantageuse. Un régime permet en effet, sous certaines conditions, d’établir sa résidence fiscale sur le territoire portugais à condition de ne pas y avoir résidé durant les 5 années précédentes et d’y séjourner pour une durée minimum de 6 mois par an. Attribué pour une durée de 10 ans, ce statut permet aux retraités de ne pas être imposés sur leurs pensions comme c’est le cas en France. La Copropriété Résidentielle de Tourisme : un concept créé par Terresens Le concept de Copropriété Résidentielle de Tourisme est né fin 2013 du constat que les propriétaires d’appartements dans des résidences secondaires de tourisme étaient frustrés de ne pas pouvoir profiter à leur convenance de leur investissement, leurs séjours étant limités en nombre de jours et à certaines périodes de l’année.

| Publié le 20/07/2017 à 10h51

LE GROUPE LYONNAIS TERRÉSENS DÉVELOPPE UN PROJET DE RÉSIDENCE DE TOURISME AU PORTUGAL Le Groupe est spécialisé dans l’immobilier de loisir. Il construit une copropriété résidentielle de tourisme au Portugal. Le Groupe Terrésens (siège à Lyon) mise désormais sur le Portugal. Ce spécialiste de l’immobilier de loisir construit une Copropriété Résidentielle de Tourisme (CRT) haut de gamme à Comporta, pour une livraison prévue fin 2019; une première réalisation dans le pays. La société, qui construit, vend et gère, a réalisé 6 millions d’euros de chiffre d’affaires en 2016 avec 16 collaborateurs au siège lyonnais et 15 consultants immobilier en France.

Terrésens a ainsi imaginé le concept de la Copropriété Résidentielle de Tourisme qui permet aux propriétaires de jouir selon leurs envies de leur résidence secondaire, sans être soumis aux obligations de gestion d’une résidence de tourisme habituelle, tout en bénéficiant de certains avantages fiscaux et de revenus locatifs. My Second Home, filiale du Groupe Terrésens accompagne les propriétaires dans la gestion et assure la location des résidences. Le resort « la Réserve » Cet ensemble sera constitué de 148 logements répartis en 3 typologies différentes : • Une résidence hôtelière composée de « T3 hôteliers » donnant la possibilité d’acquérir un T1 et un T2 pour en faire un T3. • Un village de pêcheurs avec des maisons de type T3, T4 et T5. Ces maisons disposeront chacune d’un bassin sur un terrain d’une superficie moyenne de 400 m2. • Des villas de prestige allant du T4 au T5 (de 180 à 250 m2) qui seront chacune agrémentées d’une grande piscine et d’un brasero. Les futurs propriétaires auront le choix entre deux styles de décoration, authentique ou contemporaine. En outre, « La Réserve »» proposera à ses résidents de nombreux services annexes : piscine, spa, terrain de sport, club enfants, restaurant-bar, superette, location de vélos électriques et navettes vers la plage. La livraison du projet est prévue pour le 4ème trimestre 2019.

| Publié le 18/07/2017 à 17h02

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| Publié le 24/08/2017

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L A C O P R O P R I É T É R É S I D E N T I E L L E D E TO U R I S M E ( C R T ™ ) :

U N C O N C E P T U N I Q U E C R É É PA R T E R R E S E N S

| Publié le 18/07/2017 à 17h02

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V

G

Rêvez d’un paradis que vous croyiez perdu. Rêvez d’un lieu où le sable s’étend à perte de vue, avec la mer pour unique compagne. Rêvez de plongeons paisibles dans une eau transparente, avec des dauphins qui jouent autour de votre bateau. Rêvez d’une vie simple, où rien ne manque, et d’un refuge où seul le doux chant des oiseaux berce le silence. Rêvez que vous montez à cheval sur la plage, avec la brise qui vous caresse le visage et le doux remous des vagues qui berce votre promenade. Rêvez des saveurs authentiques du terroir et de la mer, et d’une chaleur humaine qui semble celle d’une époque oubliée. Découvrez, maintenant, que votre rêve est réalité et que vous n’avez pas à traverser la moitié du globe pour y arriver. Découvrez Comporta, le dernier secret qui reste à révéler. Découvrez La Réserve, et rejoignez le paradis retrouvé.

Sonhe com o paraíso que julgava perdido.

Sonhe com um lugar onde a areia se estende até perder de vista e o mar é a sua única companhia. Sonhe com mergulhos tranquilos em água transparente e com golfinhos a brincar à volta do seu barco. Sonhe com uma vida simples a que nada falta, e com um refúgio onde só o ténue cantar dos pássaros embala o silêncio. Sonhe que monta a sela de um cavalo sobre a areia, com a brisa a percorrer-lhe o rosto e o suave movimento do mar a embalar-lhe o caminho. Sonhe com os sabores genuínos da terra e do mar e com o calor humano que parecia esquecido noutra era. Agora descubra que o seu sonho é real e que não terá que atravessar o mundo para o alcançar. Descubra a Comporta, o último segredo por desvendar. Descubra o La Réserve, e chegue ao Paraíso encontrado.

Believe in a paradise that you thought is lost. Dream of a place that sand stretches as far as the eye can see, With the sea for single companion. Have peaceful dives in translucent water, with dolphins that play aroud your boat. Dream of a simple life that nothing is missing, and of a refuge where only the sweet song of the birds cradles the silence. Dream that you ride a horse on the beach, with the breeze that caresses your face and the sweet eddy of the waves that cradles your walk. Dream of authentic flavors of the soil and the sea, and of a human warmth which seems that of a forgotten epoch. Discover, now, that your dream is reality and that you don’t have to cross half the globe to arrive. Discover Comporta, the last secret that remains to be awakened. Discover the Reserve, and join the paradise found.


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