de William Pellier Mise en scène de Laurent Maindon Production Théâtre du Rictus Création octobre 2015 Texte écrit en résidence d’écriture dans le cadre de Partir en écriture organisé par le Théâtre de la Tête Noire de Saran / scène conventionnée pour les écritures contemporaines. Lauréat du Prix d’écriture théâtrale de Guérande 2013, présidé par Joël Jouanneau. Prix de la commission nationale du CNT 2014. Prochaines dates : 12 janvier 2016 / 20h30 Théâtre / Scène conventionnée de Laval (53) 19 janvier (14h30 & 20h30) et 20 janvier (21h00) 2016 Théâtre / Scène Nationale de Saint-Nazaire (44) 03 février (20h30) et 04 février (19h00) 2016 Grand R / Scène Nationale de la Roche-sur-Yon (85) 06 février (20h30) et 07 février (17h00) 2016 THV de Saint-Barthémy d’Anjou (49) en coréalisation avec Scène de Pays du Layon 22 avril 2016 / 20h30 L’Atrium de Dax (40)
Dossier artistique - novembre 2015
ENVIE DE TOU FAIRE PÉTER
RÉSUMÉ DE LA PIÈCE C’est l’histoire d’une famille qui habite une ville du cercle polaire et elle a un ami qui est docteur. Jusque là tout va bien. En fait, ce n’est pas vraiment une famille, on s’aperçoit que la femme est mariée avec un ours. Pourquoi pas. Il travaille dans une banque. Coïncidence, deux célèbres banquiers arrivent en ville. Plus tard, ils s’écharpent avec un prix Nobel d’économie, un vrai, dont l’auteur a lu les ouvrages. Le docteur bibliomane - une note de bas de page l’affirme - aimerait lui emprunter de l’argent pour assouvir sa coupable passion. De son côté, le narrateur révèle que le docteur est un brillant neurologue, peut-être pervers. La grand-mère - on ne sait de qui - est férue d¹Hitler. Il y a encore un enfant, mais il n’a pas une ligne de texte à dire. Finalement, on s¹enlise dans le résumé. L’essentiel, c’est le spectateur - ou le lecteur - qui se fait trimbaler. Pourquoi lui répète-t-on ce qu’on lui a déjà dit ? Il a l’impression d’avoir déjà entendu ça, mais il n’en est plus très sûr, il ne se passe pas grand chose, ça parle et parfois il décroche. Dans ce projet de raconter une histoire décomplexée, comme si on allait chercher du pain en slip, il y a plusieurs histoires qui s’amusent. Il y a l’histoire de la langue qui se dérobe et patine dans la bouche des personnages. Il y a l’histoire de l’histoire qui n’en finit pas de se répéter et qui avance par reculades successives... la rémanence, les réminiscences, l’examen discret de son voisin de fauteuil ou son propre intérêt. William Pellier
NOTE DU METTEUR EN SCÈNE J’ai souhaité à travers ce spectacle faire entendre la formidable complexité de cette écriture, son épaisseur, sa force évocatrice. Elle porte un regard lucide sur nos existences, tentées sans cesse de suivre différents objectifs, quitte à se perdre et disparaître. Pellier nous offre un mille-feuilles dont chaque couche révèle une partie de cette énigme. A l’aune d’une grande mutation, nos sociétés se débattent dans leurs contradictions, secrètent des crises de toute sorte (économique, existentielle, politique, sociale, religieuse…) et semblent atteintes de cécité. Tout comme Tchekhov annonçait prophétiquement des changements qui bouleverseraient notre monde, Pellier, sous ses faux airs beckettiens annonce une fin de partie qui semble se répéter et se rejouer à l’identique. Ses personnages, humains, trop humains comme l’écrivit Nietzsche, butent, cognent à la vitre du monde. On sent qu’ils aspirent à un ailleurs mais tout les retient et les maintient dans leurs rôles, les aliène au regard des autres. Comme si nous assistions à l’expérience clinique d’une mise en situation de nous-mêmes dans le laboratoire des comportements humains. Et très subtilement, Pellier instille une dimension d’invraisemblance dans son univers sans laquelle nous ne pourrions instruire le sens de nos destinées. Il nous rappelle ainsi qu’il n’est de réponse possible et intelligible sans poésie. La lecture froide induite par les sciences de tout horizon n’épuisera jamais à elle seule la complexité de notre monde. Alors Pellier nous conduit dans ce conte philosophique, nous malmène, nous perd non sans pour autant oublier de déposer au fur et à mesure du récit les cailloux qui nous aideront à retrouver le chemin.
NOTE DE L’AUTEUR La Ville de l’année longue est une commande du Théâtre de la Tête noire. Commencé en février 2007, lors d’une résidence au Spitzberg, il s’apparente à une superposition de plaques narratives en équilibre instable : personnages, didascalies, narrateur, télé et radio sont en concurrence pour bâtir un huis clos qui craque et se disloque ; au spectateur de faire des choix pour rassembler les décombres. Dans cette histoire qui paraît se trouer à mesure qu’elle avance, la famille, la faune sauvage, la médecine et la banque élaborent des stratégies pour se tirer du mauvais pas où elles se sont embourbées. « Ce mélange improbable crée un contexte dont il faut se satisfaire. La scène est un espace où se joue une équation qu’on a posée et qu’on ne cherche peut-être pas à résoudre. La volonté de donner une signification à cette histoire apparaît aussi vaine et insurmontable que celle de donner sens aux événements qui modèlent le monde aujourd’hui. » Dans l’écriture, je revendique des filiations littéraires et je défends une conception littéraire du texte théâtral, proche du récit, de la poésie, ou de l’essai. Mais je suis également porté vers les sciences sociales et humaines. La dimension purement fictionnelle de l’écriture m’intéresse moins que les opérations sur la langue et la représentation. Le texte a valeur de manifeste ; on peut le lire pour ce qu’il raconte, mais aussi pour ce qu’il cherche à dire. Il questionne la perception que l’on se fait d’un récit, la représentation qu’on peut chercher à en donner théâtralement.
EXTRAIT DE LA VILLE DE L’ANNÉE LONGUE Femme : La pauvreté c’est une maladie – nous devrions pouvoir la soigner. Doc : Si ça se guérissait on le saurait – non ce qu’il faut c’est trouver des trucs. Des trucs à faire – que vous fabriquez – que vous vendez – je ne sais pas – il y a certainement un truc à inventer – il n’a pas d’idées le Nobel. Femme : Il est dehors – il fait de la luge avec le gosse. Doc : Répétez. Femme : Il fait de la luge avec le gosse . Doc : Pourquoi vous dites cela : « Il est dehors – il fait de la luge avec le gosse » – on dirait que vous l’annoncez. Femme : Non – je ne sais pas – puisque c’est la vérité. Doc : Oui – c’est comme si vous vous adressiez à des gens – vous comprenez Femme : Non – je ne crois pas. Doc : Comme si nous ne savions pas qu’il fait de la luge avec le gosse – vous comprenez – comme si nous nous ne le savions pas. Femme : Oui – peut-être. Doc : Vous n’êtes pas schizophrène ? Femme : Non – je ne pense pas. Doc : Vous pourriez louer des chambres. Femme : Pourquoi voudriez-vous qu’on loue des chambres ? Doc : Et bien – je pensais. Femme : Qui viendrait dans ce trou. Voix off : Bon bref, tout le monde finit par se taire. L’ours était sorti pour se livrer à quelque mystérieuse occupation. Pour dire deux mots du docteur, ce n’était pas un de ces petits médecins généralistes qui assènent de petits coups de marteau sur le genou de gens prétendument malades. C’était un neurologue de réputation internationale. Il s’approcha de la baie vitrée et alluma une cigarette. Femme : C’est vrai – vous fumez. Doc : Oui – vous le savez – nous en avons déjà parlé Voix off : dit le docteur qui avait l’impression d’avoir déjà vécu cette scène. Et ce sentiment lui donna de l’assurance. GM : Vous savez que nous ne tolérons pas la fumée de cigarette – oignon fumé et femme font pleurer – nous la tolérons parce que c’est vous – nous la tolérons parce que c’est vous. Femme : Parce que vous avez soigné la grand-mère. Doc : C’était quand déjà. Femme : Quand elle a eu son accident vasculaire cérébral. Doc : C’était minime – plutôt un MIC – un minuscule incident du cerceau c’était quand déjà ? GM : Quoi – quand ? Doc : Le MIC.
GM : Je ne me souviens plus. Doc : Vous étiez déjà âgée – vous étiez déjà une vieille grand-mère (dit le docteur en tapotant la cuisse de la grand-mère comme si c’était une pouliche). Femme : Et maintenant elle parle – elle se souvient. GM : Parfois j’ai un trou. Doc : Ne mettez pas un symptôme sur de petits troubles que nous éprouverons tous un jour. Femme : Un trouble qui se répète ce n’est pas un symptôme. Doc : À ce petit jeu-là la vie est un symptôme Voix off : dit le docteur en riant. Puis il y eut un silence. Plus personne ne parlait. Le docteur avait fini sa cigarette depuis longtemps et il avait cherché un cendrier. Il n’en avait pas trouvé et il s’approcha d’une plante en pot dans lequel il jeta son mégot, discrètement. Femme : Vous n’avez pas l’impression docteur qu’il nous manque quelque chose – j’ai pensé à cela – il nous manque – et pourtant je trouve notre monde repoussant – est-ce normal d’avoir ces pensées – je suis peut-être malade ?. Doc : Chacun de nous éprouve quelque chose. GM : Votre parole est apaisante. Doc : Je n’ai pas fini ma phrase. Chacun éprouve et chacun réagit à sa façon – là où certains sont dégoûtés – d’autres vont connaître d’intenses émotions – ou s’ennuyer. GM : Moi je peux regarder tomber la neige des heures. Doc : Est-ce bien la neige que vous regardez – ne sont-ce pas vos pensées que vous regardez choir ? GM : Mes pensées ne choient pas – je vous dis que je regarde la neige Voix off : L’ours était revenu dans la pièce avec un sac en plastique, et il avait griffonné quelque chose sur un papier. À présent il relevait la tête et il regardait fixement devant lui. C’était franchement inquiétant à regarder. Ours : J’ai envie de tout faire péter. Femme : Tu ne vas pas recommencer – voyez docteur ça le reprend – quand ce n’est pas elle – c’est lui.
PRÉSENTATION DE L’ÉQUIPE DISTRIBUTION : Voix Off
CLAUDINE BONHOMMEAU
Grand Mère
LAURENCE HUBY
Ours polaire
GHYSLAIN DEL PINO
Femme
LUDIVINE ANBERRÉE
Docteur
CHRISTOPHE GRAVOUIL
Stiglitz
NICOLAS SANSIER
Bouton
YANN JOSSO
Pébereau
LOÏC AUFFRET
Scénographie
MARC TSYPKINE DE KERBLAY, JEAN-MARC PINAULT, LAURENT MAINDON
Lumières
JEAN-MARC PINAULT
Son
JÉRÉMIE MORIZEAU
Conception video
MACHINE MACHINE
Régie vidéo
MARC TSYPKINE DE KERBLAY
Costumes
ANNE EMMANUELLE PRADIER
Graphisme
STUDIO leraf.com
PRODUCTION / DIFFUSION : FLORIAN NICOLAS - AXE SUD Tél : + 33 (0) 6 11 05 17 99 mail : axesud-artsvivants@outlook.com
DISTRIBUTION Ludivine Anberrée a commencé très tôt à rêver de scènes, a fait du cirque avant d’enchaîner les diverses formations qui la mèneront sur scène et derrière la caméra. Elle a travaillé sous la direction de Laurent Maindon (Au pays des et Rhapsodies de S. Levey), Loïc Auffret (Intendances-saison 1), François Chevalier (Nature morte dans un fossé) et Christophe Rouxel. Elle prépare actuellement un spectacle avec 2 autres comédiennes : Canons d’après Patrick Bouvet.
Laurence Huby se rêvait comédienne depuis toute petite, fascinée par Jacqueline Maillan. Après le Conservatoire et le Studio Théâtre, elle a joué, chanté et dansé. Elle n’a cessé de travailler avec Laurent Maindon (Levey, Feydeau, Müller, Rilke, Beckett, Spiró), Virginie Fouchault (Melquiot, Shakespeare, Schimmelpfennig), Christophe Rouxel (Büchner, Koltès, Ben Kemoun), Jean Louis Raynaud (Picq, Deronzier), Monique Hervouët, Michel Liard, Yvon Lapous… Yann Josso a débuté sa carrière de comédien, un prix d’excellence du Conservatoire de Nantes en poche, en tournant des one man show. Expérience qu’il met à profit plus tard en revenant sur scène au Théâtre du Rictus qu’il fonde avec Laurent Maindon. Il interprète ainsi des rôles dans les pièces de Beckett, Forgách, Feydeau, Levey… Il travaille également sous la direction de G. Richardeau, L. Auffret et s’aventure aussi régulièrement au théâtre de rue avec Cirkatomic, Erick Sanka, Patrice Boutin.
Nicolas Sansier après un parcours de formation théâtrale entamé en Irlande, il passe au Conservatoire de Nantes, puis au Studio Théâtre. Il joue et chante sur scène et enchaine par la suite de nombreuses créations avec J.L. Annaix, H. Lelardoux, B. Lotti, C. Rouxel, Y. Lapous, M. Leray, F. Parmentier, P. Sarzacq, Y. De Hollander, L. Maindon, P. Sorin... Il monte régulièrement avec Patrice Boutin des petites formes pour le théâtre de rue.
Ghyslain Del Pino, après un passage au Conservatoire de Nantes, se formera aux multiples arts de la scène au Conservatoire de Liège. Il revient en France pour travailler au Théâtre du Rictus (Vitelliusd’A. Forgách) puis fait des allers-retours entre la France et la Belgique où il joue au Théâtre National de Bruxelles. Il collabore avec L. Maindon sur la trilogie Levey et est Tartuffe avec Monique Hervoüet. Parallèlement, il poursuit une carrière de chanteur avec une petite formation. Claudine Bonhommeau a débuté sa carrière de comédienne avec Christian Rist (Le Misanthrope) et n’a eu de cesse tout au long de ses expériences de se frotter au verbe et au chant. Elle a joué sous la direction d’Hélène Vincent (Le système Ribadier de Feydeau, Maison de poupée d’Ibsen, Voix secrètes de Penhall), Michel Liard, Enzo Cormann, Georges Richardeau et plus récemment avec François Parmentier à cinq reprises dont L’inattendu et Bluff. Christophe Gravouil, après avoir fréquenté le Conservatoire d’Angers, s’exile dans celui de Besançon, avant de revenir en région créer avec F. Chevalier Addition Théâtre. Il y sera tour à tour comédien, dramaturge et metteur en scène. Il interprète des auteurs comme De Pontcharra, Paradivino, Grivetsk, Raimbaud… Il sera artiste associé au Théâtre de Bourgogne. Récemment il a beaucoup collaboré avec L. Maindon, A. Sergent, S. Jarniou. Loïc Auffret, comédien et metteur en scène, il s’est formé auprès de Christophe Rouxel, Monique Hervouët, Michel Liard, Alain Knapp, Laurent Maindon. Il collabora régulièrement avec le Théâtre de l’Ultime, Acta Fabula, le TRPL , Addition Théâtre, Banquet d’avril, le Théâtre du Rictus, le Théâtre Icare entre autres. Il a également dirigé Juste la fin du monde, J.L. Lagarce et La gelée d’arbre de Hervé Blutsch pour le Théâtre de l’Ultime.
THÉÂTRE DU RICTUS Compagnie conventionnée DRAC Pays de Loire, C. R. Pays de Loire, C. G. 44, Ville de Saint-Herblain Membre co-fondateur du réseau théâtral européen Quartet-Visions d’Europe Le Théâtre du Rictus est en résidence à l’ONYX de Saint-Herblain Contact Laurent Maindon / Dir. artistique : 06 89 77 67 54 Prod / Diff : AXE-SUD - Bureau de production - Arts Vivants, 06 11 05 17 99 www.theatredurictus.fr - www.facebook.com/TheatreDuRictus
Théâtre du RICTUS Fiche technique du spectacle : « LA VILLE DE L’ANNEE LONGUE » Texte : William Pellier Mise en scène : Laurent Maindon Au 02/10/2015 (date de création)
Durée du spectacle: 1H 35 Equipe en tournée: 8 comédiens, 3 régisseurs et 1 metteur en scène
DISPOSITIF SCENIQUE Décor à installer : 1 moquette blanche 12m X 7.90m en 2 lays avec raccord double-face jardin/cour, 1 module décor à jardin en 12 panneaux démontables , 1 ensemble de tulles noirs au lointain, 1 écran télé au lointain cour derrière les tulles, 1 banc, une table, 3 tabourets et un petit caisson représentant un poêle. ATTENTION à LA JAUGE les régies son et lumière sont installées en salle public dans l'axe du plateau et vérifier la visibilité à jardin.
Demandes plateau : -
Boite noire Ouverture mini au cadre: larg.12m X haut.6, 50m au manteau avec dégagements jardin/cour et passage au lointain Profondeur au Taps de fond : 10m minimum Plateau noir autour de la moquette (tapis de danse noir si besoin) Changement rapide près de la scène avec miroir et lampe au lointain jardin Balisage des coulisses pour permettre la circulation des comédiens Chaises en coulisse Moquette en coulisses jardin et cour (si problème de bruit) Une table (environ 1.20 X 0.90 m) pour la régie vidéo à jardin derrière le module Deux tables aussi pour les accessoires au lointain jardin Divers consommables (gaffa, gaffe alu…)
1
ACCESSOIRES de jeu consommables -
Merci de bien vouloir fournir 500gr de carottes et 1 kg de pommes
DIFFUSION VIDEO: Demandes vidéo à fournir : -
1 vidéo projecteur (VP1 sur le plan de feu) pouvant projeter une image de 10m x 8m sur le plateau de la passerelle face avec shutter intégré et 1 commande déportée jusqu'à la régie vidéo (plateau) 1 câble bnc jusqu'au plateau jardin lointain.
Matériel vidéo fourni par la compagnie -
Caméra Panasonic + accroche dans module (T du Rictus) Camera Canon XL1 + pied (LTKPROD) Camera Canon XLH1 + pied Manfroto (LTKPROD) 1 VP Panasonic longue focal + support (T du Rictus) 1 écran Plasma 120 cm de diagonal (T du Rictus) 1 VIXID VXJ 16 (LTKPROD) (T du Rictus) 1 Mac book + snapshot Manager (LTKPROD) 1 Macbook Pro + Millumin + boitier de display port /svidéo (LTKPROD) 1 Moniteur VD TECH (LTKPROD) 3 Moniteurs 7 pouces (LTKPROD) 1 shutter + commande en XLR (LTKPROD) 2 Mandarines plus pieds (LTKPROD) Différentes longueurs de BNC + connectiques divers (T du Rictus) (LTKPROD) Châssis Fond vert
SON Demandes son à fournir : REGIE
-
Une console numérique comportant au minimum : 16 entrées 2 sorties L-R pour la façade 6 sorties Aux post fader pour la diffusion de plateau et de Salle (Type Yamaha 01V96 + Carte 4 Sorties / Soundcraft SI Compact…)
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Intercom : 2 Postes intercom HF au plateau 1 Poste régie lumière / 1 Poste régie son
DIFFUSION - MASTER OUT = 1 système de diffusion de façade Stéréo avec Sub assurant une dispersion Homogène et cohérente du son , adapté à la salle et à la jauge public (Processeur et Amplification appropriés)
-
AUX 1 = 1 cluster mono, central, de 2 enceintes, côte à côte et droites, accrochées sur perche entre le taps de fond et les tulles (Bas enceinte à 3m / Perche plafonnée) Processeur et Amplification appropriés, Type PS15 R2 // MAX15 // MTD115 ou 12XT (implantation à convenir avec le régisseur lumière)
2
-
AUX 2 = Sub sur un envoi de console séparé
-
AUX 3 = 1 Enceinte Mono posée au sol dans la structure du décor avant scène jardin , dont la
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taille ne doit pas excéder 50 x 40 x 60 pour des raisons de circulation et de découverte mais délivrant une pression sonore certaine (idéal PS10 R2 // 12XT) (Processeur et Amplification appropriés)
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AUX 4 = 1 Enceinte Mono sur pied , bas de l’enceinte à 1m35 , collée à droite de l’écran plasma
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situé derrière le tulle à cour (idéal PS10 R2 // 12XT) (Processeur et Amplification appropriés)
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AUX 5 et 6 = 2 enceintes stéreo , fond de salle arrière public jardin et cour le plus éloignées
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possible des plus proches spectateurs potentiels (Processeur et Amplification appropriés) (Type PS10 R2 // 12XT)
SOURCES -
2 Systèmes UHF Pro Emetteur / Récepteur, 2 Micros HF Main CardioÏdes + Pinces + 1 grand pied (Micro Sennheiser e935 // Shure Beta58) 2 DI Actives pour la sortie vidéo 1 SM58 Filaire de spare Coulisse Avant Scène Cour PATCH SYNTHESE
INPUT - 1-HF DPA COMPAGNIE - 2-Split HF DPA - 3-HF MAIN 1 - 4-HF MAIN 2 - 5-Split HF MAIN 2 - 6-SM58 Coulisse Spare - 7-8-OUT VIDEO - 9 à 16-OUT MOTU REGIE OUTPUT - Master L/R-Façade - Aux1-Cluster Lointain - Aux2-Sub - Aux 3-Ponctuel Décor Jar - Aux4-Ponctuel Ecran Cour - Aux5-Arriere Public Jar - Aux6-Arriere Public Cour - Aux7-Input Motu 1 - Aux8-Input Motu 2
Matériel son fourni par la compagnie : -
Les envois sont assurés par un système informatique amené par le régisseur
-
La compagnie fournit un système UHF Sennheiser EW300 + DPA Cravate 4060
Précision : La mise en place son demande 2 heures en compagnie d’un régisseur son connaissant la salle, et le calage de la «bande» demande 1h30 seul en salle avec le régisseur son.
3
LUMIERE Non fourni par la compagnie Jeu d'orgue de type Avab congo Kid nce et branchements nécessaires 9 3 15 4
découpes 2 Kw moyennes (type 714 SX juliat) avec PF découpes 2 Kw courtes (type 713 juliat) ’’ découpes 1 Kw moyennes (type 614 Sx) ’’ découpes 1KW courtes (type 613 SX) ’’ Fresnel 5 KW avec PF et volets 5 PC 2 KW avec PF et volets 12 PC 1 KW avec PF Pars 64 CP 62 avec PF 1 Par 64 CP 61 avec PF Par 64 CP 60 avec PF Cyclïodes type ADB acp 1001 avec PF
avec 1 iris avec 1 iris
pieds, 2 échelles (voir plan) et 4 platines 1 machine à brouillard dmx type Unique 2.1 Hazer avec le produit adéquat Eclairage de la salle graduable et pilotable de la régie le mouvement du miroir asservi Blackwrap (blackfoil) pour réglage (fuites de lumière) pour circulations FILTRES 200 Lee 201 Lee 202 Lee 203 Lee 106 Lee 070 Lee 195 Lee 122 Lee 117 Lee 154 Lee 126 Lee 164 Lee 079 Lee 162 Lee #119 #132
5kw 1
Déc 2Kw 1 2 3
Déc 1Kw 8 5 4 5
PC 2 Kw
4
PC 1 Kw
4
PAR 64
cycliode
1 17 1 2 1
1 1 1 1 1 1 1 1 4 4
12
6
Matériel lumière Fourni par la compagnie à Leds 2 Mandarines 1 Par 56 1 horiziode 500 2 cycliodes 1000 2 mini-découpes 1 miroir asservi
4
LOGES Loges pour 5 comédiens et 3 comédiennes, chauffées si besoin et serviettes Catering: Eau et boissons diverses, friandises, fruits frais, barres céréales, Avant le spectacle prévoir un encas salé.., merci
PLANNING ET PERSONNEL Arrivée la veille ou l’avant-veille au soir de l'équipe technique de la compagnie Le jour et l'heure d'arrivée est à préciser suivant la distance à parcourir j’usqu’au lieu de la représentation. Merci de prévoir un lieu de stationnement pour un camion (22m3) près de l'espace de jeu pour le déchargement et le stationnement Personnels d'accueil: 4 régisseurs (lumière, son , plateau et vidéo) + 3 ou 4 électros et/ou machinos
J-1:
Matin:
- arrivée de l'équipe technique du spectacle (à préciser !) - Fin pré-montage
Après-midi /soir -
Jour du spectacle:
de 14 à 20 h (ou 23 h avec pause): Montage du décor (environ 2 heures) mise en route de l'ensemble Réglages lumière calage son ? et vidéo ?
Matin:
- fin des réglages lumière (calage son et vidéo ?) - finitions Après-midi: - conduite et raccords avec comédiens Soir:
- représentation (1h 35) et démontage (1h30)
Précision L'ensemble du dispositif est adaptable dans une certaine mesure mais devra être vu avec l'équipe technique de la compagnie et le directeur artistique
CONTACTS Direction artistique : Laurent Maindon 06 89 77 67 54
Lumière et régie générale Jean-Marc Pinault 06 83 41 82 29
Son: Jérémie Morizeau 06 82 37 63 00
Diffusion vidéo:
lmaindon@free.fr
morizeau.jeremie@yahoo.fr
jm.pinault@club-internet.fr
Marc Tsypkine 06 64 72 47 94 mtsypkine@gmail.com
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PLANS : plan de feu et plan de sol
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