Polyglot - Spring 2020

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Pingry’s premier linguistic magazine

2019-2020


Burmese 5 A Hybrid

Chinese 6 找室友 回美国 我的手机 肚子坏了 我的房间

French 12

Une Suite à La Parure Les Collines Timothé et ses Ordures Lettre au Macron Lettre au Président Macron L’Hôte de Camus La Tortue et Le Portable L’Histoire de L’Hôte La Ville des Ordures Le Corbeau et ses Glands Le Mendiant Malheureux

contents.

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German 25

Auf der Suche nach Memen Biomasse Windkraft Energiegesetz

Latin 28

Cicero’s Selfishness Fishbourne Palace Advertisement

Spanish 31

Un Libro Importante Un Desafio para Nuestra Generación La Creatividad en Las Escuelas ¡Visite Torres del Paine! Como la Tortuga Recibió su Caparazón


Polyglot unequivocally stands for diversity and multiculturalism.

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IN LIGHT OF RECENT EVENTS, it has

become even more necessary for Pingry to celebrate the diversity in its community. Systemic racism can only be overcome by an emphasis on the value of different perspectives, different skills, and different passions. Pingry has several publications for the community to share its diversity. Polyglot lets us demonstrate our diversity of language and culture. This issue is perhaps the most unique: we have a thoughtful poem in Burmese, award-winning stories and speeches, numerous pieces on current events and issues, literary works and analyses, and much more. We are proud to serve as one of the clearest distillations of Pingry’s diverse viewpoints and diverse people.

the editor’s desk.

Masthead

Editor in Chief: Aneesh Karuppur Faculty Advisor: Ms. W. Yu Dr. I. Jasinski French: Brooke Pan, Sam Wexler, Emily Shen Chinese: Julia Fu and Emily Shen Latin: Thomas Henry and Walker Johnson Spanish: Aneesh Karuppur German: Teo Kolarov Layout: Aneesh Karuppur


- (အေးသူဇာ)

A Hybrid By Ms. Aye Thuzar

1: Neither here nor there 2: A lonely rat 3: Unsure whether to approach from the left or follow to the right 4: Difficult to move forward and not easy to move back 5: A lonely rat 6: Some people from this side say 7: “You are not the same as us!” 8: The other side says 9: “You are too different from us!” 10: A lonely rat 11: Difficult to move forward and difficult to fall back

burmese.

ကပြား

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12: If, in this world, 13: Everything happens for a reason 14-16: This hybrid will continue exploring life’s purpose 17: Approaching from the left and hanging to the right 18: Going forward and looking backward 19: Continuing to walk this life’s journey


找室友

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By Ram Doraswamy (Form IV)

你好!我叫杜瑞。 我的公寓在北京大学附近,离大学非常近。 公寓也离公 共汽车站很近。 公寓在三楼。 我的公寓很小,有一间卧室,没有客厅和卫生间。 房租是一千人民币,没有押金,带家具,公用事业在公寓。 我不喜欢安静的室 友,我喜欢聊天儿。 你可以开很多的舞会,我很喜欢跳舞!我希望我的室友不在 公寓养宠物。 我常常在公寓做饭,跟朋友聊天儿,玩电脑游戏,上网,做我的功 课,等等。 我是一个球迷。 电视上有球赛的时候,我非看不可。 如果你不喜欢电 视上的球比赛,你应该自己买电视。 我的电话号码是 (九七三) 九八〇 - 七〇九七

回美国

By Lukas Strelecky (Form IV)

chinese.

我的航班到达JFK机场以后,我需要坐出租汽车去四季酒店。 我打车 以后,我的司机帮我把我的行李放在出租车里。 我的司机开车开得很好,又 快又舒服。 我们到旅馆的时候,我把我的行李搬进我的房间去。 我的房间很 好,除了有两张床和一间大浴室以外,我还能看到 Manhattan(曼哈顿)市 中心 ,很好看。 看了我的房间以后,我开始把我的衬衫,短裤,和鞋从行李箱 里拿出来。 可是,我拿出物品的时候,我才知道我把我的手机,电脑,和键盘 落在出租车里了。 糟糕,我不知道我应该做什么!我用旅馆的座机给我的司 机打电话。 我说: “对不起,我把我的手机,电脑,和键盘落在你的出租车里 了” ,他说: “没关系,你可以来我家拿你的东西”。 他的家离我的旅馆不远,所 以我跑步去了他家。 我到他的家以后,他把我东西还给了我,然后,我又回到 我的旅馆。 我很累,可是找到了我的东西,这让我很高兴。

我的手机

By Natalie DeVito (Form IV)

我常常用手机查电子邮件。 无论在家还是在学校,我都觉得用手机 查比用电脑查方便!我也用手机发给朋友短信。 我去演唱会排练的时候喜 欢用手机拍照片。 我有的时候还会用手机拍自拍!但是,最重要的功能是 我会用它给爸爸妈妈打电话 。 我几个月以前下载了Instagram应用。 虽然Instagram有一点儿麻 烦,但是我觉得还挺有意思的。 我用Instagram查我朋友的事儿,看他们 上传的照片。 我也会把我拍的照片上传到Instagram上。 这样,我的朋友 会看我在做什么。 有的人离不开他们的Instagram应用:他们无论在学校 跟老师,还是在家跟家人,都不停地看 Instagram。 但是,我觉得我还没用 Instagram用上瘾...我五个星期一次都没查!


肚子坏了

By Rohan Pande (Form V)

小王经常去饭馆吃饭。 昨天他又去一家很便宜的饭馆吃了晚饭。 他很喜欢吃鱼,所以 他在饭馆吃了一盘糖醋鱼。 吃完晚饭,他高高兴兴地回家休息。 不一会儿,他觉得肚子有点儿疼,就躺在了床上。 可是他的肚子越来越疼。 他赶快去上厕所,发现自己拉肚子了。 第二天,他去医院看了医生。 医生给他做了检查,然后问他昨天吃了什么。 小王告诉他 在饭店吃了一条糖醋鱼,回家以后肚子就不舒服了。 医生劝小王以后不要再吃不新鲜的鱼 了,然后给他开了药。 医生说这药每天吃三次,每次两片,要连续吃三天。 小王吃了两天药以后肚子就不疼了。

我的房间

By Natalie DeVito (Form IV)

我的房间比较小。 我有的时候在房间做作业。 如果我有一个很重要的作业,比方说文 章或是报告,我会先煮水,做茶,然后躺在床上,舒舒服服地做作业。 我一开始做作业,就做完 了才会起身!门的左边是一张床。 床上有一块/张蓝色的毯子。 我一般都不用被子。 毯子的 旁边有三个枕头。 床的上面放着灯。 床的前面挂着三个书架,书架上摆着一些杯子。 床的对 面放着衣柜,里面挂着我穿的那些衣服。 衣柜的上面放着被子。 衣柜的左边是一个书架,上 面放着一些书。 书架的左边是一个楼梯。 楼上就是我们的阁楼。 门的对面是窗户。 因为我的 房间在最高的那层楼,所以我的墙不是直的。 窗户的下面是书桌。 书桌上摆着两张照片,旁 边摆着一把椅子。

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请客

By Vinav Shah (Form I)

(在学校) 张伟:你好,王芳! *张伟 waves* 王芳:你好! *王芳 waves back* 张伟:你今天什么时候来我家? 王芳:六点一刻。 好吗? 张伟:对不起。 晚一点儿,六点半,可以吗? 王芳:没关系。 你家住在哪儿? 张伟:我家住在星月道12号204室。 张伟:你怎么来我家? 王芳:我先走路,然后坐地铁去你家。 张伟:我们一会儿见! *王芳 exits room*

(在友伟家里) 张伟:请进!请坐! *王芳 enters and sits* *张伟 also sits* 王芳:你好吗? 张伟:我很好。 你呢? 王芳:我也很好。 王芳:你爸爸做什么工作? 张伟:我爸爸是银行家,在一家银行工作。 张伟:你想喝点儿什么? 王芳:我想喝汽水。 谢谢! *张伟 gets drink for 王芳 and also pours drink for self* 张伟:不客气。 我们喝汽水吧! *张伟 and 王芳 sip imaginary soda* 张伟:请吃水果。 王芳:好。 *张伟 and 王芳 bite and chew imaginary fruit* 张伟:你长大想做什么? 王芳:我长大想做医生。 张伟:你怎么回家? 王芳:我妈妈会开车接我。 张伟:好。 *王芳 looks out window and points outside* 王芳:那是我妈妈! 她来了。 张伟:再见! 王芳:明天见!


By Chloe Huang (Grade 6)

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By Hailey Flood (Form I)

By Isabelle Chen (Form I)


By Layla Baydin (Grade 6)

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Une Suite à La Parure By Alison Lee (Form VI)

“―Elle valait au plus cinq cent francs !…” Mme Loisel était effarée. Sans voix. ―Mais, chère Mathilde, combien coûte la rivière de diamants que tu as achetée? ―Tr…tren…trente-six mille francs. Maintenant, c’était le tour de Mme Forestier d’être atterrée. Elle a secoué sa tête avec de la pitié.

french.

―Ma pauvre Mathilde ! Il semble que tu as bossé comme un fou depuis la dernière fois que je t’ai regardée. Dites-moi l’histoire de tes dix ans de travail. Et Mme Loisel a obtempéré. Elle a raconté le bal, la visite au bijoutier, la mansarde, le travail acharné, et la leçon d’humilité. Mme Forestier restait immobile, avec tristesse pour son amie âgée. ―Oh, Mathilde, je suis désolée! S’il te plaît, allons chez moi et je vais te retourner le collier. Ce n’est pas juste si je le garde. Tu le mérites plus que moi. Et le cinq cent francs que la mienne valait? Ne t’inquiète pas. Je te cause trop de souffrance, plus de la valeur de cinq cent francs. Mme Loisel a reçu le collier avec gratitude. Puis elle a couru au bijoutier le plus proche pour vendre ce satané collier. À sa grande déception, Mme Loisel était informé par le bijoutier que le collier était aussi un faux! Au début, elle était affolée. Elle a dit merci au bijoutier, et ensuite elle est partie vite, tandis que les larmes ont coulé sur sa joue. Quand elle est rentrée chez elle, elle est devenue furieuse. Comment ose-t-il! Ce vaurien bijoutier qui m’a volé trente-six mille francs! Elle a juré de le faire subir. Avec une profonde inspiration et une détermination féroce, elle s’est mis à intenter un procès au bijoutier qui ment. Le procès a duré trois mois. Le jury a annoncé son verdict: le bijoutier était coupable de fraude, et il fallait payer Mme Loisel deux cent mille francs pour la détresse émotionnelle.


Enfin, Mme Loisel est en paix. Les Loisel sont heureux. Elle embauche une masseuse mondialement connu pour se détendre; elle se teint les cheveux gris en brun; elle tremble de froid quand elle suit une thérapie cryogénique. Après une semaine, elle devient encore jeune, belle, séduisante. Le laideur de la vieillesse a disparu. Pour stabiliser leur revenu, les Loisel investit dans le S et P 500, Google et «Impossible Meat». Chaque mois ils reçoivent près d’un cent francs de la bourse. Et, qu’est-ce que Mme Loisel fait avec le temps libre, comme une grande bourgeoisie? Elle vit heureux dans un château luxe. Chez Loisel, il y a une salle dont l’objet seul est d’exposer toutes les parures. À l’avis de Mme Forestier, ce but est atteint. De plus, Mme Loisel trouve une passion pour organiser. Chaque mois elle est l’organisatrice et l’hôtesse d’un grande bal. Tout le monde veut une invitation à ce bal, avec une salle de bal qui est comparable à celle d’un roi. Les invités peut emprunter de la parure, mais ils font attention de ne pas la perdre, parce qu’ils ne sont jamais invité au bal s’ils le perdent. De plus, il n’y a aucun pot-au-feu en vue.

Les Collines By Sam Wexler (Form IV)

Il était une fois une ville de cochons: Oiseau Rouge. Vous voyez, les cochons ici étaient les plus intelligents du monde. Ils avaient fait des choses extraordinaires comme inventer les chaussures des cochons et éviter tous leurs prédateurs, comme les loups. Mais il y avait un cochon qui s’appelait Gustave. Dans sa société, il était toujours connu sous le nom de “Tête de Plume”. C’était bien mérité, parce qu’il adorait faire des choses stupides. Les autres cochons aimaient lire les romans (en latin de cochon bien sûr) ou faire un match de cartes, mais Gustave adorait faire des choses comme rouler dans la boue. Un jour, pendant que Gustave roulait, un autre cochon qui s’appelé Gérald s’est approché de lui. Ce cochon n’était pas un cochon ordinaire, non. Gérald était le cochon le plus intelligent de la ville! Il était très respecté dans toute la ville, et les cochons le demandaient des conseils. Gérald dit à Gustave “Arrête de rouler dans la boue! Sais-tu la quantité de mauvaises choses dans cette boue? Tu es fou!” Il fallait que Gustave écoute Gérald, mais Gustave ne respectait pas Gérald. C’est parce qu’il y avait un petit problème dans les yeux de Gustave. Tous les cochons du village étaient roses et tous leurs corps étaient de la même couleur, sauf pour Gérald qui avait des grandes taches sur son corps. Gérald avait l’air différent de Gustave, alors Gustave n’aimait pas Gérald, et il ne voulait pas écouter à Gérald. Par conséquent il lui dit “Va! Tu ne sais rien” et Gustave continuait à rouler dans la boue. Le prochain jour, Gustave n’avait rien à faire, donc il décida de nager dans une rivière, mais il ne pouvait pas très bien nager. Pendant que Gustave nageait, Gérald arriva. Il vit Gustave nager et Gérald dit “Gustave, qu’est-ce que tu fais?! Tu sais que les cochons sont de mauvais nageurs, tu peux te noyer! Pars maintenant ou tu pourrais mourir!”. Bien que Gustave ait entendu Gérald, il décida de ne pas écouter son conseil. Énervé, Gérald quitta Gustave, et Gustave continuait à nager. Tout à coup, il entra en collision avec une pierre aquatique. Gustave était

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piégé! Heureusement, il pouvait s’enfuir et s’échapper de la situation, mais il était à un cheveux de la morte, comme Gérald avait prédit. La suivante semaine, Gustave s’ennuyait encore à sa maison-cochon. “Quelle est une nouvelle place que je peux explorer? Oh! Je sais! J’irai à la pâture que je vois toujours!” Alors qu’il y allait, il passa Gérald. Quand Gérald lui demanda où il allait, Gustave raconta son projet à Gérald. Il répondit “Non! N’y va pas! Hier, j’ai trouvé une grande falaise là! Gustave, arrête!”. Mais Gustave ne faisait pas attention à Gérald, et il continuait à marcher vers la pâture. Une heure plus tard, il arriva. “Ouah!” Gustave pensa. “Il y a tellement d’espace et d’herbe ici! Je peux rouler pendant des heures!”. Et il absolument roula pendant des heures! Il joua dans l’herbe jusqu’à ce que le soleil soit descendu! Tout à coup, Gustave trouva une nouvelle colline. “Cette colline est parfaite pour rouler!”, il pensa. Il voyait où la colline commençait mais pas où elle terminait, mais Gustave n’était pas concerné. Il arriva à la colline, et il était si enthousiaste qu’il commença à rouler immédiatement. Mais il ne remarquait pas que à la fin de la colline il y avait la falaise que Gérald avait trouvée! Alors Gustave roula et roula et finalement il tomba de la falaise de 200 pieds. Quand on l’a trouvé, il était mort. Si Gustave avait écouté le conseil de Gérald, alors même qu’il était différent, Gustave serait, probablement, en vivant et chez lui. Mais malheureusement, Gustave faisait tous les mauvais choix.

Timothée et ses Ordures By Leila Elayan (Form IV)

Il était une fois un écureuil qui s’appelait Timothée. Timothée et sa mère habitaient seuls dans un grand arbre qu’ils avaient hérité du grand-père. Le père de Timothée était mort dans un accident d’usine de gland, et il leur manquait chaque jour. Timothée était seul, et il n’avait pas beaucoup d’amis. Il regardait toujours à la télévision, ou jouait aux jeux vidéos, ou jouait avec son portable. Bien que sa mère compatissait avec les émotions de son fils, elle le critiquait constamment au sujet de son addiction aux électroniques, et elle pensa secrètement que les jeux vidéos étaient un mécanisme de défense pour son fils. Néanmois, il ne faisait jamais attention aux conseils de sa mère. En réalité, il entendait rarement sa mère à cause de son casque. Sa mère devint frustrée avec sa fainéantise et son refus d’aider avec les tâches ménagères. Elle exigea qu’il sorte la poubelle, mais il ne géra même pas sa demande. Timothée lui répondit mécaniquement, <<Oui, maman, je le fera demain.>> <<Non, fais-le maintenant! elle dit -- Mais maman, mon jeu est prèsque fini.>> Sa mère décidait qu’elle ne cherchait pas à disputer, alors elle fit confiance que son fils de faire sortirait la poubelle le lendemain. Le lendemain arriva. Maman était à son travail toute la journée, alors Timothée oublia de sortir la poubelle. Et le jour d’après, sa mère oublia de le lui dire, alors il ne sortit pas la poubelle. Mais bien que la poubelle ne fasse pas sortie, la petite famille a produit la même quantité de déchets.


Les ordures s’accumulèrent. Dans une semaine, des ordures débordaient sur le plancher. Maman travaillait la plupart du temps, alors elle n’était pas chez elle pour rappeler Timothée de sortir la poubelle. Quand elle était à la maison, elle était si fatiguée qu’elle se couchait immédiatement, alors elle ne sortit la poubelle ni demanda que son fils le fasse. Finalement, la puanteur devint très âcre, mais Timothée ne la remarqua pas. Il était distrait par ses jeux vidéos et des émissions de télévision. Il ne remarqua même pas que sa mère devenait plus épuisée chaque jour. Timothée ne remarqua pas non plus que ses notes empiraient. Il évitait ses devoirs pour aller en ligne. Un jour, quand Timothée rentra de l’école, la maison sentait dégoûtante. Il vomit presque, alors il décida qu’il devrait sortir la poubelle. En entrant à la cuisine, il trouva que les déchets furent partout sur le plancher dans un tas. Il appela sa mère pour l’aider à nettoyer le désordre, mais elle ne répondit pas. Timothée chercha sa mère partout dans la maison, sans succès. Mais quand il regarda encore le tas, il vit une main. Il leva la main, et la tira du tas. Quand il vis le corps attaché à la main, il devint horrifié. <<Maman! Maman! Ça va? >> Après aucune réponse, il commença à pleurer. Il mit sa main sur sa poitrine et ne sentit pas un battement de cœur. Il pleura pendant une semaine et il ne quitta pas la maison. Timothée sortit la poubelle. Il jeta tous ses appareils électroniques sans doute. Il regretta son addiction à la technologie et qu’il ne passe pas assez de temps avec sa mère. Il porta la culpabilité de la mort sur ses épaules comme mille briques.

Lettre au Macron

By Luc Francis (Form V) and Mercedes Garcia-Kenny (Form VI)

Nous nous appelons Mercedes Garcia-Kenny et Luc Francis. Nous allons à The Pingry School à Basking Ridge, New Jersey. Nous avons lu votre lettre, et nous avons beaucoup d’inquiétudes sur les problèmes écologiques et éco-sociaux. Il est nécessaire que tout le monde en discute et crée des partenariats avec d’autres personnes dans leurs communautés et dans les autres pays pour préserver l’environnement. Il ou elle doit faciliter la transition des communautés ver un mode de vie plus environnemental et faire les énergies renouvelables et le transport public plus accessibles. Pour parvenir à ces objectifs, nous avons les projets pour financer la transition écologique. Au début, il faut que nous acroissions les impôts pour financer la transition écologique. Ainsi, nous prendrons conscience des émissions carboniques des grandes entreprises et du transport. Alors, les gens choisiront les transports publics au lieu des voitures et les produits locaux au lieu des produits industriels. Nous utiliserons impôts pour construire des appartements écologiques avec l’énergie solaire et éolienne. Les appartements promouvront une vie écologique. Bien sûr, l’alimentation commerciale influence le réchauffement climatique et les autres problèmes écologiques aussi. Nous mettrons eu œuvre un réseau de fermes locales et biologiques parce que les grandes fermes contribuent à la pollution et au réchauffement climatique. Nous espérons que la France deviendra un exemple pour tous les autres, spécifiquement pour les autres pays européens. Comment espérez-vous prendre conscience des problèmes environnementaux dans les autres pays avec laquelle France a un partenariat commercial? Nous avons hâte de recevoir votre réponse. Sincèrement, Mercedes Garcia-Kenny et Luc Francis

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Lettre au Président Macron

By Claire Keller (Form V) and Kaya Lee (Form VI)

Cher Monsieur Macron, Nous avons des réponses à vos questions. Nous proposons de financer la transition écologique en mettant en oeuvre des grands impôts sur les produits qui sont mauvais pour l’environnement. La population paiera l’impôt ou réduira son utilisation de ces produits. Le gouvernement ne devrait pas aider les entreprises qui ne sont pas durables. La solution la question de déplacer est de mettre en ouvre le fait que la population ne peut conduire que des voitures électrique. Le gouvernement promouvra le bus, le métro et le covoiturage. Pour se loger, le gouvernement devrait construire des appartements qui ne seront ni chers ni dans un mauvais quartier. Si les gens ont des panneaux solaires, le problème pour se chauffer s’améliorera. Au sujet de la question de se nourrir, nous voulons promouvoir la consommation des produits bios et locaux. Alors, le gouvernement paiera les agriculteurs locaux et grâce à cela, les agriculteurs pourront vendre leurs produits à des prix moins chers. Pour accélérer notre transition, nous voulons créer des dates concrètes auxquelles nous allons réussir nos objectifs. Par exemple, nous voulons n’avoir aucune voiture diesel dans les rues après 2021. Aussi, nous allons créer des affiches et des publicités pour faire prendre conscience du réchauffement climatique. Nous garantissons scientifiquement le choix et identifiant la quantité de CO2 dans l’atmosphère deux fois dans l’année. Si les chiffres sont une indication que nos projets ont amélioré l’environnement, nous présenterons nos résultats à l’UE. Nous savons que vous recevez beaucoup des suggestions pour améliorer la condition de la planète. Comment est-ce que vous choisissez un plan et le mettez en oeuvre actuellement? Nous avons hâte de recevoir votre réponse, Sincèrement, Claire Keller et Kaya Lee

L’Hôte de Camus By Brooke Pan (Form V)

L’histoire a commencé avec le personnage principal qui s’appelle Daru. Il enseignait les rivières de France à une classe comme le prof d’un village. Le village était très pauvre parce qu’il y avait une sécheresse qui a tué les animaux des familles, et ils ne pouvaient pas obtenir de la nourriture. Il y avait aussi une guerre qui se passait entre les Algériens et les Français. Daru était un pied-noir parce qu’il est d’origine français, mais il habite en Algérie mais


il faisait de son mieux pour aider tout le monde dans le village. Chaque semaine, Daru obtenait une quantité de nourriture avec laquelle il divisait une grande partie pour donner à tous ses élèves. Il a eu une conversation avec la personne qui apportait la nourriture, et ils ont parlé de la vie dans le pays. Dans la conversation, Daru a expliqué comment la vie en Algérie était très difficile, mais qu’il n’aurait pas habiter nulle part ailleurs parce que l’Algérie était où il était né. Donc, partout ailleurs il se sentait exilé. Un jour, un officier du gouvernement français est arrivé à son école pour le raconter qu’il devait transporter un prisonnier à Tinguit. Le prisonnier était accusé d’avoir tué son cousin, mais on n’avait jamais découvert si c’était la vérité ou pas. Le prisonnier était attaché avec une corde, et Daru a dit que le prisonnier devait être relié. Daru n’a pas voulu transporter le prisonnier, mais après beaucoup de discussion, Daru a accepté de le faire. Donc, l’officier est parti et il a laissé le prisonnier avec Daru. Cette nuit là, Daru et le prisonnier ont mangé de la nourriture, et ils se sont couchés. Au début, le prisonnier ne faisait pas confiance à Daru parce que la couleur de sa peau était blanche. Mais, le prisonnier a commencé à faire confiance à Daru parce que le prisonnier a vu que Daru était une bonne personne. Pendant la nuit, Daru a entendu que le prisonnier a quitté l’école. Daru s’est senti soulagé, mais le prisonnier est rentré plus tard. Le matin suivant, ils se sont lavés et ils ont mangé le petit déjeuner. Daru et le prisonnier ont quitté l’école, et pendant qu’ils se promenaient, ils ont entendu un “crac” qui venait de l’école. Ils ont continué à se promener. Plus tard, Daru a donné au prisonnier de la nourriture et de l’argent pour son voyage parce que Daru n’allait pas continuer avec lui. Daru lui a offert deux options pour où aller. La première route était d’aller à la prison. Le deuxième route était d’aller à un autre endroit, où il y avait des pâturages et des nomades. Étonnamment, le prisonnier a pris la route de la prison. Quand Daru est rentré à l’école, il a découvert que quelqu’un y avait été parce que sur son tableau noir était le message, “Tu as livré notre frère. Tu paieras.”

La Tortue et Le Portable By Jessica Lin (Form V)

Il était une fois une tortue qui s’appelait Tiffany. Elle habitait dans une jolie forêt avec sa famille de tortues et plusieurs autres animaux. Chaque jour était une nouvelle aventure pour Tiffany, parce qu’elle pouvait faire tout ce qu’elle voulait. Par exemple, le lundi, elle pouvait bavarder avec ses amis, les écureuils. Mais le mardi, elle pouvait nager dans le fleuve qui coulait à travers la forêt. Et peut-être un autre jour, elle pouvait déjeuner avec sa soeur, Thérèse. La meilleure partie de la vie de Tiffany était sa famille. Elle avait quatre frères, cinq soeurs, et son père et sa mère. De plus, elle avait deux oncles, une tante, et douze cousins. Quand elle était contente, elle pouvait partager son rire et sa joie avec les membres de sa famille. Mais parfois, elle était triste, et sa famille la consolait jusqu’à ce qu’elle redevienne contente et souriante. Tiffany pouvait parler de tout à sa famille, parce qu’ils étaient si proches. Sa famille la protégeaient, donc la vie de Tiffany était merveilleuse. En fait, bien qu’elle puisse faire tout ce qu’elle voulait, elle passait la plupart de son temps avec sa famille. Il y avait quelques choses que Tiffany devait faire pour sa santé. Par exemple, parce

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qu’elle était une tortue, il était nécessaire qu’elle reste souvent dans l’eau du fleuve. Tous les tortues avaient besoin d’aller dans l’eau pour survivre. Mais un membre de sa famille était toujours dans le fleuve, donc elle ne s’ennuyait jamais quand elle était dans le fleuve. Elle devait aussi manger la nourriture de tortue, comme les poissons trouvés dans le fleuve. Malgré ces besoins, Tiffany était très heureuse. Un jour, Tiffany faisait une promenade sur le fond du fleuve dans la forêt. Elle sentait le sable mou sous ses pattes, donc elle était contente. Soudain, elle sentit une chose dure sous ses pattes. Elle regarda, et elle vit un portable. Elle savait que c’était pour les humains, mais elle n’avait jamais vu un portable. Elle toucha l’écran avec une patte, et la couleur de l’écran changea en bleu. Il y avait beaucoup d’applis, commes les jeux et des applis pour la communication. Elle s’assit dans le sable et elle commença à découvrir le monde en ligne. Au loin, sa famille l’appela pour venir au dîner, mais elle ne pouvait pas les entendre au-dessus des bruits des applis sur son portable. Elle joua avec le portable pendant plusieurs jours jusqu’à ce que ses yeux commencent à faire mal. Mais elle ne remarquait pas, parce que le portable fit beaucoup de bruits amusants et il montra de jolies images. Pendant ce temps, sa famille s’inquiéta. Tiffany ne jouait plus avec ses amis dans la forêt, parce qu’elle jouait tellement avec le portable. Elle ne bougeait plus. Elle resta dans le même endroit où elle avait trouvé le portable, près du fleuve. Tiffany ne mangeait plus, parce qu’elle était trop concentrée sur les vidéos sur son portable. Sa famille appela Tiffany, “Dîne avec nous, s’il te plaît! Tu as besoin de nourriture, comme le poisson délicieux qui est dans le fleuve! Il vaut mieux que tu manges, parce que tu n’as pas mangé depuis plusieurs jours.” Mais elle les ignora aussitôt qu’elle avait entendu des notifications de son portable. Elle faisait attention seulement au portable, même pendant que son ventre grognait. Quand sa famille retourna au fleuve, comme les tortues doivent, Tiffany ne retourna pas avec les autres tortues. Sa soeur l’appela, mais Tiffany l’ignora comme elle avait ignoré sa famille. Malheureusement, ils partirent sans Tiffany, mais Tiffany était encore contente parce qu’elle avait son portable pour la compagnie. Un jour plus tard, il commença à pleuvoir. Mais Tiffany ne levait pas les yeux jusqu’à ce que l’eau de la pluie tombe sur le portable. La pluie infiltra dans le portable, et l’eau l’endommagea; il bourdonna pour la dernière fois et mourut. Maintenant, Tiffany commença à paniquer. C’était comme si elle s’était réveillée d’un rêve. “Où est ma famille?” Elle demanda. “J’ai faim,” Elle dit. Mais personne ne lui répondit, et il pleuvait plus forte maintenant. Le niveau du fleuve montait rapidement. Elle se souvint que sa famille était dans le fleuve, mais quand elle essaya d’y aller aussi, c’était trop dangereux. Elle s’assit avec son portable cassé jusqu’à ce que la pluie s’arrête. Mais quand le soleil sortit, elle n’était pas encore contente. Son portable était cassé, et elle avait faim. Elle plongea dans le fleuve pour chercher sa famille, mais ils n’étaient pas là. Parce qu’elle n’avait pas mangé depuis plusieurs jours, ses muscles étaient trop faibles, donc elle ne pouvait pas nager plus loin pour chercher sa famille. Ils avaient été absorbés par l’inondation, et maintenant Tiffany était perdue et seule. Surtout, elle se rendit compte qu’elle s’était trop concentrée sur les choses matérialistes. À cause de sa dépendance à son portable, elle avait perdu les choses les plus importantes de sa vie: Sa famille et sa santé.


L’Histoire de L’Hôte By Sophie Pollard (Form V)

L’histoire de “L’hôte” fait partie de la collection “l’Exil et le Royaume”. Le décor est l’Algérie où une guerre commence à toucher les citoyens. Il y avait des sécheresses qui ont touché toutes les familles des villages là-bas. L’histoire a commencé dans une petite école primaire. Le personnage principal est un homme nommé Daru qui est français mais, qui est né en Algérie. Daru est un professeur qui enseigne aux enfants des villages voisins. Il leur a enseigné les fleuves de France parce que l’Algérie est une colonie française, donc ils ont un programme français. Après l’école, Daru a donné aux enfants des rations de son grain. Le lendemain, un homme du gouvernement est arrivé pour donner à Daru une ration hebdomadaire des fournitures et des grains. Ils se sont disputés parce que Daru a donné ses rations aux enfants parce qu’ils ont tous été touchés par les sécheresses et ils sont pauvres. Daru a dit à l’homme que l’Algérie était cruelle à la vie mais qu’il se contentait du peu qu’il avait et qu’il ne pouvait pas partir parce qu’il se sentait exilé ailleurs. Plus tard, un policier est arrivé avec un prisonnier qui était attaché. Daru les a invités et leur a fait un thé algérien traditionnel pour les accueillir. Daru a demandé de délier le prisonnier et le policier a accepté. L’officier de police a expliqué qu’il y a amené le prisonnier parce que le gouvernement lui avait ordonné de l’emmener à Daru pour que Daru puisse l’amener à Tinguit. Le policier a dû voyager avec lui loin de son village car il s’apprêtait à le reprendre. Le policier a dit à Daru que le prisonnier avait tué son cousin pendant la guerre. Au début, Daru a refusé la mission mais finalement, il a signé le papier du policier. L’officier de police a quitté Daru et le prisonnier. Plus tard, ils ont mangé ensemble et le prisonnier était confus. Pendant la nuit, le prisonnier a quitté l’école un peu mais il est revenu. Daru a mis son arme dans son bureau parce qu’il ne pensait pas que le prisonnier était dangereux. Le prisonnier avait peur de Daru au début, mais après avoir mangé ensemble, il n’avait plus peur et lui a demandé de venir à Tinguit avec lui. Il faisait confiance à Daru, et comme le prisonnier ne s’était pas échappé, Daru lui faisait confiance aussi. Ensuite, Daru et le prisonnier ont regardé le désert et Daru a donné au prisonnier de la nourriture pour deux jours et de l’argent. Daru lui a dit d’aller vers l’est sur la route de Tinguit et de marcher pendant deux heures. Daru a dit qu’à Tinguit, le gouvernement et la police l’attendraient dans la prison. Aussi, Daru lui a dit qu’après avoir marché pendant une journée, il trouverait des pâturages et des nomades qui l’accueilleraient conformément à leur loi. Il a donné au prisonnier les options de ces deux routes. Le prisonnier a essayé de dire quelque chose, mais Daru l’a quitté. Daru a regardé et le prisonnier était parti. Daru a été surpris et a commencé à courir. Il s’est rendu compte que le prisonnier avait pris la route de la prison. Daru est retourné à son école. Il a trouvé un message sur son tableau qui disait “Tu as livré notre frère. Tu paieras”. Il a ensuite fermé sa fenêtre et regardé dehors.

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La Ville des Ordures By Christine Guo (Form IV)

Il était une fois une ville isolée dans une forêt loin de toute autre civilisation. Le maire de la ville était un loup égoïste et ignorant qui s’appelait Pierre. Pierre était obsédé par ses luxes et des aliments chics. Il habitait dans un château qui était entouré de douves rempli d’eau. Son château était décorée luxueusement avec des miroirs géants qui couvraient tous les murs et des fontaines éblouissantes qui scintillaient comme la magie. Contrairement aux trois autres étages dans la maison, le sous-sol avait des centaines de statues en or qui étaient Pierre lui-même. Chaque soir, il mangea tellement de nourriture qu’elle couvrait la table de salle à manger d’un bout à l’autre. Les citadins étaient tous des moutons sauf un chien qui était connu pour son caractère courageux et aimable qui était différent des autres citadins. Les maisons des animaux étaient construits autour du château qui était au centre de la ville. Les gens voyaient généralement Pierre jeter ses déchets, ses restes, ses vêtements qui n’étaient plus à la mode, et ses plastiques dans ses douves. Les citadins étaient dégoûtés par le comportement de Pierre, mais ils avaient toujours trop peur pour dire quelque chose. Un matin, tous les citadins se réveillèrent dans une flaque d’eau. En réalité, toute la ville était inondée. Ils étaient très désorientés parce qu’il y avait un lac pas loin, mais une inondation ne s’était passée pas depuis plus d’une centaine d’années. Quand ils essayèrent de chercher la source de l’eau, ils se rendirent compte qu’elle était venue des douves du château. Les gens regardèrent bien les douves, et ils découvrirent que les douves avaient débordé à cause de l’excédent de déchets. Tous les gens attendirent à l’extérieur du château parce qu’ils étaient fâchés que leur maire ne s’occupe pas du problème. Pendant ce temps dans le château, les gardes informèrent Pierre du brouhaha des citadins. Au début, Pierre croyait qu’il fut inutile de présenter ses excuses aux gens mais un garde essaya de lui convaincre. — Le garde lui dit « S’il vous plaît, monsieur, votre peuple a besoin des excuses. » — « Non, il ne serait pas nécessaire. L’inondation ne m’a pas affecté donc pourquoi je dois présenter mes excuses? » répondit Pierre. — Le garde plaida « Vous devez! Vos actions ont fait mal à vos habitants! J’ai même écrit une lettre que vous pouvez lire à haute voix aux gens. S’il vous plaît, monsieur!» Finalement, Pierre se mit d’accord à s’adresser aux gens. Les habitants étaient heureux de voir que leur maire s’excusa de son erreur. À cause de son discours, les gens décidèrent de nettoyer la destruction de l’inondation. Ils remplirent même les douves, parce qu’ils avaient perdu tellement d’eau. Trois mois avaient passé et les gens virent que Pierre jetait encore son déchets dans des douves. Les citadins, particulièrement le chien, étaient énervés parce qu’à l’évidence, le maire n’avait pas appris sa leçon. Donc, le chien visita le château pour parler avec Pierre, mais il était refusé parce que le garde lui dit « Le maire n’est pas intéressé à vous parler à moins que vous


ayez un cadeau pour lui. » Quand les gens entendirent ce qui s’était passé, ils devinrent contrariés par la réaction du maire. « Comment peut-il être tellement négligent envers ses habitants? » demanda un citadin. Le chien savait qu’une autre inondation était inévitable, mais il eut une solution. Il passa la semaine à rassembler les gens et à ramasser des matériaux de construction. Un soir pendant que le maire dormait, les gens se rassemblèrent autour des douves et commencèrent à construire. Juste avant le lever du soleil, les citadins regardèrent fièrement le grand mur de pierre qu’ils avaient construit. Les gardes remarquèrent immédiatement le grand mur et notifièrent au maire. Comme toujours, Pierre s’intéressait plus à ses aliments et à faire les courses qu’aux actions de son peuple. Donc, il exigea aux gardes « Laissez-moi tranquille! Laissez-moi me concentrer sur ma nourriture! » Presque tout ce que Pierre mangeait était emballé en plastique qu’il jeta dans ses douves. La semaine prochaine, il mangea assez de nourritures pour nourrir toute la ville. Juste une semaine plus tard, les cris des gardes réveillèrent Pierre. Quand il descendit l’escalier au premier étage, il réalisa qu’il était debout dans une flaque d’eau. Sa première pensée était sur l’état de ses statues au sous-sol. Tout le sous-sol était inondé et ses statues étaient ruinées. Sa panique et sa colère augmentèrent quand le garde lui dit « Il y a un mur qui entoure les douves, monsieur! Votre peuple l’a construit et maintenant, votre château a été inondé à cause d’eux! Vous ne devez pas aller dehors, sinon plus d’eau affluera dans votre château! » Mais Pierre n’entendit pas la dernière phrase du garde. Il était tellement furieux quand il entendit que les gens et leur mur étaient la raison pour l’inondation. Dans sa rage, il ouvrit les portes du château et l’eau entra précipitamment. Pierre mourut à cause de l’eau qui entrait. Un mois après la mort de Pierre, la ville eut besoin d’un maire mais Pierre n’eut aucun enfant. Donc, le chien était élu en maire. Pendant que le chien était le maire, il donna la priorité à l’environnement. Il plaça un bac de recyclage dans chaque rue et interdit l’emploi des sacs en plastique et des pailles en plastique. Depuis ce changement, il n’y eut plus d’inondations.

Le Corbeau et ses Glands By Rosemary Collins (Form V)

Il était une fois un corbeau qui habitait une forêt isolée dans les montagnes. Il passait tout son temps à voler au-dessus de la forêt et à chercher des choses brillantes. Les corbeaux sont des animaux très cupides, et ce corbeau était le plus cupide du monde. Il ne mangeait ni dormait presque jamais parce que les recherches occupait la plupart de son temps. Bien qu’il était le seul corbeau de la forêt, il n’était pas entièrement seul. Il y avait aussi beaucoup d’écureuils dans la forêt. Les écureuils étaient contents parce qu’ils jouaient avec leurs amis tous les jours et montaient dans les arbres pour obtenir les glands pour manger. Ils étaient la seule compagnie du corbeau, donc il les aimait, mais parfois il devint jaloux de leur bonheur. Malgré cela, le corbeau

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et les écureuils vivaient en harmonie. Le ciel appartenait au corbeau et la terre appartenait aux écureuils. Un jour, cependant, la situation changea. Le corbeau avait cherché toute la journée des choses brillantes, mais il ne trouva aucune chose. Découragé et fâché, il retourna chez lui–un nid dans un arbre. Comment est-ce qu’un petit corbeau put trouver les petites choses brillantes à la grande forêt? Il commença à penser, et, soudain, il eut une idée intelligente. Techniquement, les cimes étaient au ciel et donc lui appartenaient. Cela signifiait que les glands dont les écureuils avaient besoin étaient les siens. Le corbeau quitta son nid et vola en bas aux écureuils. Il annonça sa découverte et expliqua que si les écureuils voulaient les glands, ils devaient en échanger pour les choses brillantes. Les écureuils étaient perdus. Les glands avaient toujours appartenu à tout le monde. Comment est-ce qu’un animal aurait pu les réclamer? Mais ils avaient peur du corbeau cupide, donc ils furent d’accord. Heureux, le corbeau revint à son nid et il attendit. Chaque jour les écureuils cherchaient les choses brillantes toute la journée et les échangeaient contre les glands du corbeau. Au fil de temps, le corbeau devint riche sans travailler du tout. Les écureuils cueillaient les glands, mais ils payaient le corbeau pour le privilège de les avoir. Le corbeau était content. Un jour, un écureuil entra le nid de corbeau sans un seul gland. Il dit que les écureuils avaient du mal à chercher encore de choses brillantes à la forêt. Le corbeau répondit que les écureuils auraient besoin de chercher plus fort parce que leur échange est la seule façon d’obtenir les glands. L’écureuil implora le corbeau de changer d’avis, mais en vain. Le corbeau dit simplement que ce n’était pas son problème. L’écureuil se disputa que les glands ne devaient pas appartenir au corbeau. Ils devraient appartenir au tout le monde. Le corbeau ne faisait rien pour mériter les glands plus que tous les autres. Le corbeau rit et répéta que ce n’était pas son problème. L’écureuil fit un essai final de faire appel à la raison avec le corbeau. Il dit que les écureuils devenaient furieux que la forêt n’aura plus de glands. Le corbeau dit que c’était impossible et renvoya l’écureuil. Beaucoup de semaines passèrent et le corbeau avait obtenu de plus en plus de choses brillantes quand le même écureuil revint. Il supplia le corbeau d’arrêter sa folie. Il y avait si peu de glands que le corbeau avait commencer à se faire payer plus de choses brillantes par gland. Ce développement avait causé des disputes entre les écureuils et ils étaient devenus de suspecter les uns les autres. Encore une fois, le corbeau répondit que ce n’était pas son problème. Énervé, il renvoya l’écureuil pour la dernière fois. Un jour quelques semaines plus tard, quelque chose de bizarre se passa. Le corbeau attendit et attendit et attendit encore un peu, mais pas un seul écureuil lui apporta une seule chose brillante. Il devint contrarié et réalisa que la compagnie d’écureuils manquait au corbeau. Il sortit de son nid pour la première fois depuis longtemps et il ne reconnut pas du tout ce qu’il vit. La forêt était silencieuse. Les arbres étaient dépourvus de glands et tous les écureuils s’allongeaient morts sur la terre. Ils étaient morts de faim. Le corbeau se retourna et vit son nid qui déborda de choses brillantes. Il resta tout seul sauf les choses précieuses brillantes. Soudain, le corbeau trouva que ses choses brillantes étaient stupides. Il avait détruit tout ce qui était réel au monde en quête de biens matériels inutiles. Les choses brillantes n’auraient pas pu le consoler. Les choses brillantes étaient justes des objets.


Le Mendiant Malheureux By Emily Shen (Form IV)

Il était une fois un mendiant dans Ville Dorée, un royaume plein de riches. Ses parents moururent quand il était jeune. Ils ne lui avaient pas donné d’argent, donc il devint mendiant quand il avait dix ans. Avec ses amis, le mendiant habitait dans la rue. La plupart des mendiants partagèrent des cartons comme des lits, et quand ils avaient de la chance, ils avaient une couverture pour garder la chaleur. Lorsqu’il était jeune, quand il cherchait de la nourriture, le mendiant rencontra Laura, qui était la fille de l’homme le plus riche du royaume. Le mendiant tomba amoureux de Laura, mais quand il essaya de lui parler, le père de Laura était irrespectueux. Depuis lors, le mendiant commencera à détester les riches parce que les riches faisaient méchants envers les défavorisés. Il se dit: «Si je deviens riche, je vais changer la discrimination, et les défavorisés vont être contents!» Un jour, le mendiant cueillait des pommes dans la forêt, et il tomba dans une grotte. À côté de lui, il découvrit une carte qui le menait dans une autre grotte secrète. La grotte fut sombre et très dangereuse, mais quand le mendiant y entra, il découvrit une boîte pleine de bijoux et de pièces d’or! Il y avait des diamants, des rubis, des colliers et bien d’autres! Le mendiant fut choqué par la quantité de bijoux, donc il farcit son sac avec les bijoux. Avec ses bijoux, il embaucha trois domestiques, et le mendiant leur demanda de ramener la boîte de bijoux. Quand il avait reçu son argent, le mendiant acheta une grande maison. Cette maison était très grande et jolie! Les tapis furent très décorés, et il y avait beaucoup de tableaux très célèbres et chers. Le mendiant n’avait vécu pas une vie très élégante, mais il aimait sa nouvelle vie parce qu’il avait beaucoup d’argent et de domestiques qui travaillaient pour lui. Son histoire devint célèbre, et le roi de Ville Dorée étendit l’histoire, donc il demanda au mendiant de lui rendre visite. Le mendiant raconta son histoire au roi. Le roi était très fort! Il avait les cheveux blonds et une grosse barbe, mais il était très gentil. Après que le mendiant avait raconté son histoire au roi, le roi fut très content de lui. “Selon vous, quel est le plus gros problème du royaume?” Le roi demanda. “Je pense que les riches sont très méchants. Quand j’étais mendiant, ils étaient très irrespectueux!” Le mendiant dit. Le roi pensa aussi que les riches étaient méchants, alors il demanda au mendiant d’aider les défavorisés. “Comment pouvons-nous résoudre ce problème?” Le mendiant pensa que c’est une chance de gagner plus d’argent, donc il dit, “Je pense que je peux changer la situation. Donnez-moi trois boîtes de pièces d’or, et je peux aider les défavorisés en trois semaines!”

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Le roi donna deux boîtes d’or au mendiant, et il demanda au mendiant d’utiliser l’argent pour aider les défavorisés. Au lieu d’utiliser l’argent pour aider les autres, le mendiant utilisa l’argent pour acheter deux maisons, et il utilisa le reste de l’argent pour plaire aux autres nobles et riches. Puis qu’il était le plus riche du royaume, beaucoup de femmes voulaient se marier avec lui. Cependant, le mendiant ne voulait épouser personne à part de Laura. Il aimait beaucoup Laura, mais aussi, le mendiant voulait se venger de son père. Ses amis, qui habitaient dans la rue, faisaient très contents que le mendiant soit riche. Cependant, quand le mendiant passait des défavorisés qui vivaient dans la rue, il les insultait pour leur pauvreté. Quand le roi vit qu’il n’utilisait pas l’argent pour aider les défavorisés, il était furieux. “Tu as dit que les riches sont méchants et que tu veux aider les défavorisés, mais tu es tout aussi gourmand et irrespectueux que les autres!” Le roi emporta tout son argent et toutes ses maisons, et le mendiant dut vivre dans la rue. Tous ses vieux amis furent fâchés contre lui de ne pas les avoir aidés, et tous ses amis riches l’insultaient pour être pauvre. La puissance que l’argent apporta pour le mendiant résultait en plus de cupidité, et le mendiant s’était perdu.


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Auf der Suche nach Memen By Noah Bergam (Form V)

Auf der Suche nach Memen By Noah Bergam (Form V) This is my translation of my winning LeBow Speech from last year, “Chasing Memes.” I recently did this translation in order to improve my vocabulary and writing skills.

german.

Stellt euch die folgende Szene vor: Es war ein schicksalhafter Frühlingsnachmittag bei einem Barnes and Noble Cafe. Allein saß an einem Tisch unter dem Summen des Geschwätzes und dem Geruch der frischen Frappuccinos Noah Bergam, der auf seinen Computer starrte. (keuch). Schockiert. Es war bestätigt. (schnapp). Er war nicht so intelligent, wie er dachte. Er versuchte das Spiel vom Ausbildungsvideomachen auf YouTube. Aber er hatte weder die Zeit noch die Integrität. Seine Videos ruinierten zufällige und unnötigerweise schierige Fächer wie Quantenphysik; trotzdem machte er, dass er klüger aussah, indem er naturwissenschaftlichen Jargon stahl, den er nicht verstand. Und es stärkte sein Ego. Aber in diesem Augenblick fing eine Abrechnung an. Er entdeckte, dass Physikexperten seine Physikvideos fanden. Sie erzählen in den Kommentaren, dass er oberflächlich oder einfach falsch über alles war. Und dieser großspurige kleine Jungvogel fühlte sich betrogen, als er die Kommentare und Angriffe sah. Er war in einem Café, aber der Tee wurde serviert. Ich wurde serviert. Ich gebe zu–– wie ein YouTuber hatte ich ein großes Problem. Je verfolgter ich mit der Illusion der Aufmerksamkeit wurde, desto mehr reduzierte ich den tatsächlichen Inhalt meiner Videos zu ungenauen Vergleichen und bequemen Witzen––zu Memen. Im Rückblick realisierte ich, dass die Reduzierung von verdienstvollem Inhalt ein virulenteres Problem war, als ich dachte. Es ist eine wachsende Kultur, die nicht nur das Internet, sondern auch diese Schule und die ganze Welt durchdringt. Damit wir gegen diese wahrheitsausgehungerte Umgebung drücken, damit wir diesen verwässerten Espresso von Kommunikation ausspucken, müssen wir eine enorme Kraft erkennen––die Kraft der Meme. Ja, Meme. Was sind sie? Meine Generation sieht Memen wie Internetwitze, Bilder oder Zeilen von Text, die Lachen erzeugen. Aber diese Definition ist unvollständig. Diese Definition kann nicht der echte Kern der Meme einfangen …. weil das Mem im wahrsten Sinne des Wortes einfach eine Idee


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ist, die zwischen menschlichen Gehirnen übermittelt werden kann. Das Wort, das 1976 geprägt wurde, gehört zu einer wissenschaftlichen Theorie namens Memetics. Diese Theorie versucht menschliche Kommunikation in Form von darwinscher Evolution zu erklären. Denkt an natürliche Selektion. Überleben der Stärksten. Die mächtigen dauerhaften Ideen (oder Meme) leben, während die schwachen Ideen absterben. Was macht ein Mem stärker als ein anderes? Die Antwort liegt in der Effizienz. Kürze und Süße. In unserer internetbeherrschten Welt sehen wir, dass diese Lehre besonders relevant ist. Wir als Gesellschaft werden mit Billionen und Billionen Memen und Ideen und Meinungen übergeflutet. Um Aufmerksamkeit zu bekommen, muss man prägnant sein. Aber dabei befindet man sich auf einem rutschigen Hang. Es gibt einen Punkt, an dem Prägnanz Unvollständigkeit wird. Über diesen Punkt hinaus (und viele Leute gehen darüber hinaus) wechselt man Tiefe für Auffälligkeit und Unterhaltungswert. Siehe zum Beispiel Donald Trump. Indem er seinen Elan maximierte, hat er politische Medien in einer beispiellosen Art erobert. Seit 2016 hat Trump sich unterschieden––nicht mit direkter Politik sondern mit Kontroverse, Twitter Feuerstürmen und kurzen, unzuverlässigen Versprechen wie “Build a wall” und “Lock her up.” Die Medien lieben diese Sprache und berichten über diese kleinen Impulse, von denen die meisten keine echte Tiefe oder Realität haben. Dieser Zyklus katapultierte Trump über unsere Köpfe und in die Präsidentschaft. Lil Tay, Logan Paul, Harambe, Pepe the Frog, Billy McFarland––viele Internet Meme folgen diesem Vorbild von extremer Absurdität. Das Ergebnis sind hierarchische Medien, in denen wir wie das Publikum nur die Oberfläche sehen, die extrem komischen und effizienten Meme, die zur Spitze sprudeln. Zur gleichen Zeit bleibt das komplexe Zeug wie Unterrichtsmaterial oder echte Politik tiefer, oft jenseits unserer flachen Aufmerksamkeitsspanne. Kurzgesagt sind die meistens erfolgreichen Meme einfach und NICHT intellektuell. Als ich meine YouTube Videos machte, wollte ich dieses Vorbild von Einfachheit benutzen. Dadurch entwickelte ich mich zu einem Mem, einer eindimensionalen persona––und dadurch verlor ich Tiefe. Ich versuchte, für alle das intelligente Kind zu sein. Dieses Ziel kam nicht aus Stolz sondern aus Angst––die Angst, undefiniert zu sein. Als ein Mittelkind in einer große Familie ist es leicht, übersehen zu sein. Anerkennung hängt von meinen akademischen Leistungen ab. Außerdem ist es schwer, eine originelle Identität zu entwickeln, wenn diese Leistungen konstant überschattet werden. Seht mich an! Es ist leicht für meine Meme mit der Marke Miro Bergam zusammenzufließen, während ich auf dieser Bühne stehe. Aber auf den YouTube Bildschirmen war ich Noah Bergam. Überkomplexe Naturwissenschaft-Videos waren etwas, das ich werden könnte! Eine Identität von unbegrenzter Intelligenz! Eine Identität, die jemand erreichten könnte. Eine Identität, die mich bestätigte! Aber es war eine Illusion, die zerstört wurde, als ein paar Physiker meine Fehler fanden. Damit kam ich zu dem komischen Schluss, dass ich ein Betrug war. Ich jagte Meme anstatt Verdienst. Diese Realität tut mir weh, aber es lehrte mich auch etwas. Mem-Kultur repräsentiert übermäßige Kürze und Potenz. Deshalb ignorieren wir komplexe Probleme und lieben flache kurze Kommunikation. Es zeigt sich im politischen Diskurs aber auch in dieser Schule. Meme machen Schülerregierungkampagnen zu Comedy-Shows, Englischklassen zu Sparknotesausstoß, unsere Meinungen über diese Schule zu einem fünf-Sekunden “Meme of the Week.” Wir müssen die Effekte der Meme in unserem Leben überlegen. Wir müssen unsere Aufmerksamkeitsspannen erhöhen. Wir müssen die Komplexität der Welt und unsere Identitäten akzeptiern. Stellen wir uns eine andere Szene vor. Es ist dein


normaler Nachmittag im Barnes und Noble Cafe. Da sitzt Noah Bergam, der diese Rede mit Forschung, Tiefe, und (ich wage zu sagen) Kunst schreibt. Er seufzt und hofft, dass (schnapp) ‌. Er war nicht das Mem, das er dachte, er war.

Biomasse Windkraft

By Hugh Zhang (Form VI)

By Hardy Mennen (Form VI)

Energiegesetz By Noah Bergam (Form VI)

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Cicero’s Selfishness

By Walker Johnson (Form VI)

Throughout Pro Caelio and Cicero’s letters, it becomes evident to the reader that Cicero is a selfish person. He puts his work and his hobbies before everything else and does not care how it affects the people around him. In Pro Caelio, Cicero repeatedly puts his professional career and his interests before the lives of the people around him. He constantly needs it to be known that he is the best lawyer, even when it is not relevant. When Cicero mentions that Caelius defeated him in public court, he needs to point out that it was a one time thing, “qui cum et ex publica causa iam esset mihi quidem molestam,” (1). Cicero mentions the trial because he is trying to show that Caelius is a good lawyer who should be trusted, but he still feels the need to point out that he is better than him. Cicero is weakening the point by practically saying it was a lucky win because he is selfish enough to make sure everyone knows that he is the best lawyer in Rome. Later on in his speech, Cicero further praises his skills by saying, “sed video hoc posterius atque its, iudices, ut vel severissimis disceptatoribus M. Caeli vitam me probaturum esse confidam,” (2). Cicero is saying that he is not worried about facing “vel severissimis disceptatoribus” (3) because of his great skills as a lawyer. This sentence adds nothing to his defense of Caelius and only serves to show how confident Cicero is in his defense. While it may seem Cicero is confident in his evidence, that is not the case because Cicero has no real evidence and is only confident in his tactics. Cicero is selfish enough to take time away from trial to boast about his success and abilities as a lawyer. Cicero can also be seen as selfish in Pro Caelio because he destroys Clodia’s reputation. Cicero chooses to make personal attacks on Clodia for his own personal gain. He could have chosen to deal with her claims using facts and evidence, but Cicero instead chooses to make the jury see her as “mulieris” . Cicero calls Clodia a “mulieris” (4) repeatedly through his speech. He chooses this word because it has a connotation of meaning “slut.” Cicero is trying to discredit Clodia, but he is doing it in a way that will negatively affect her life outside the trial. He is pitting the jury against her by making her seem like someone who is untrustworthy and makes bad decisions instead of using evidence. Cicero further trashes her name by exposing her relationship with her brother, “quod quidem facerem vehe-

latin.

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mentius, nisi intercederent mihi inimicitiae cum istius mulieris viro--fratrem volui dicere,” (5). Cicero purposely makes the mistake of mixing up Clodia’s husband and brother. He does this to imply a sexual relationship between her and her brother and does it because he does not get along with her brother. This has nothing to do with her accusations, but Cicero chooses to say this to make Clodia and her brother outcasts in society. Incest was frowned upon and would hurt their status in society. Cicero goes on to use Clodia’s family members against her. He mimics her great-great-grandfather by saying, “cur aut tam familiaris fuisti ut aurum commodares, aut tam inimica ut venenum timeres?” (6) Cicero uses her family members to show that Clodia is not like any of her family members. Cicero wants to show that Clodia is an outsider even in her own family. He also uses her great-great-grandfather to show how disgusted her family is by her actions. He wants to show the jury how people react to Clodia’s lifestyle. Also, by acting like another person, Cicero is showing that he sees this case as more of a show than an actual trial. He is discrediting Clodia and showing that everyone condemns her actions. He is making the trial more about who she is as a person, rather than actually addressing the accusations. Cicero does not care how his treatment of Clodia will affect her because he is only worrying about his own professional success. Cicero’s selfishness can also be seen in his letters to his brother Quintus and his friend Atticus. When Cicero writes letters to these two, his only concerns are about things that pertain to him and never about how they are doing. Quintus is off fighting in a different country, yet Cicero’s only concern is about his own poetry, “sed heus tu! Celari videor a te. quomodonam, mi frater, de nostris versibus Caesar?” (7). Cicero does not take a moment to question his brother’s well-being or the events in his life. He chooses to only ask questions about Caesar’s reaction to his book. Cicero does not care about how his brother is doing, or even if he is alive. He is only concerned with his own life and interests. Later on the letter, Cicero writes as if Quintus is obligated to ask Caesar about Cicero’s book and to write back to him. Cicero says, “dic mihi verum, num aut res enim aut χαρακτηρ (8) non delectat? nihil est quod vereare; ego enim ne pilo quidem minus me amabo. hac de re φιλαληθωζ (9) et, ut soles scribere, fraterne,” (10). Cicero does not ask Quintus to ask Caesar about the book, but rather tells him to. He uses the imperative “dic” to emphasize that Quintus must do what he says. He thinks that everyone must do what he tells them to because he does not think that they have more important things to do, like fight a war. Cicero also writes to Quintus as if he is required to respond quickly and adequately. He believes he deserves a thorough response, not taking into account that Quintus has a life of his own. Cicero is angered that he is not getting a response when he says, “nihil a te, nihil a Caesare, nihil ex istis locis non modo litterarum sed ne remoris quidem adfluxit,” (11). When neither of them respond to Cicero, he is taken aback because he believes that they need to respond as soon as they recieve his letters. He continues to only worry about himself in the letters he writes to his friend Atticus. Cicero sees his problems as the only thing that is important, so he chooses to not inquire about his friends well-being. He writes to Atticus about how Caesar is writing very brief letters to him, “Caesar nobis litteras perbrevis misit; quarum exemplum subscripsi,” (12). Cicero sees his problems as the only relevant topic of discussion. Cicero does not even take a moment to consider that Caesar has more important things to do than write letters to his friends. Caesar is in the midst of fighting and does not have the time to write extensive letters. Cicero is taken back by this because he thinks the world revolves around him. Cicero cares

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only about his own problems and never stops to consider what his family and friends are going through. As seen in Pro Caelio and in Cicero’s letters, Cicero is a selfish person who puts himself before others. He points out his own personal success when it is irrelevant, destroys Clodia’s reputation for his own personal gain, cares more about his poetry than his own brother, and thinks he is the center of the world. 1. Pro Caelio 18, Lines 2-3 2. Pro Caelio 35, Lines 3-5 3. “Even the most severe judges” 4. Seen in Pro Caelio 31, 32, 33, 35, 36 5. Pro Caelio 32 9-11 6. Pro Caelio 33 lines 12-13 7. Q.fr. 2.15 lines 6-7 8. Greek word for “character” 9. Greek word for “honestly” 10. Q.fr. 2.15 lines 10-13 11. Q.fr. 3.3 lines 2-4 12. Att. 9.13 lines 1-2

Fishbourne Palace Advertisement By Herb Toler III (Form V)


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Un Libro Importante By Aneesh Karuppur (Form V)

Uno de los libros más importantes para mi es 1984 por George Orwell. En este libro, Orwell describe la vida de un hombre que se llama Winston Smith, un residente de Oceania. Oceania es un país muy grande, y el gobierno controla todas las vidas de los residentes con cámaras y mucha policía. El gobierno tiene una sección que se llama “Ministry of Love” donde personas que tienen ideas y opiniones únicas reciben educación para cambiar estas ideas. También, el gobierno amenaza y detiene estas personas hasta son residentes perfectos y silenciosos. En este libro, Winston está tratando de escapar del control del gobierno con su amiga Julia. Winston es un empleado del gobierno, en la sección que se llama “Ministry of Truth.” Esta división produce información incorrecta para que la población crea que el gobierno es perfecto. Al medio del libro, Winston y Julia son incarcelados por sus opiniones, y el gobierno tiene éxito en cambiar las ideas diferentes de Winston y Julia. A Winston le encanta el gobierno al fin del libro y no tiene sus propias opiniones. Pienso que este libro es muy importante porque describe la violación de los derechos humanos. Las personas no pueden hacer lo que quieren, y el gobierno puede controlarlas. Cuando estaba leyéndolo, tenía mucha sorpresa con las similaridades con unos países en nuestro mundo. La violencia del gobierno en este libro es importante porque representa como este tipo de control puede destruir una población y sus ideas. Podemos usar este libro para parar la destrucción de nuestras vidas independientes si aprendemos y entendemos los temas de control y la violación de los derechos básicos.

spanish.

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Un Desafío para Nuestra Generación By Aneesh Karuppur (Form V)

El desafío más grande que enfrentará nuestra generación es la proble-


ma sobre la salud de la población. En los EEUU especialmente, la obesidad es común, y esta es muy peligrosa para la sociedad. Personas obesas pueden tener dificultades con comer, caminar, o vivir una vida normal y activa. También, la obesidad puede causar muchas enfermedades como diabetes, problemas con la corazón o el sueño, y aún unos tipos de cáncer. Unas de las causas de la obesidad es la dieta del americano medio. Muchas personas en los EEUU comen muchas comidas procesadas y no naturales. Americanos consumen mucha “comida rápida”, y esta comida tiene muchas grasas y calorías. No hay mucho valor nutritivo en estos tipos de comida. Es importante que todas las personas en los EEUU y también en el mundo sepan como comer bien y escoger comidas sanas. Los esfuerzos de personas como Michelle Obama están tratando de cambiar la cultura de comer sin pensar. Otra cosa de este problema es el concepto del atracón de comida. Personas comen mucha comida, usualmente comida basura or comida rápida, por periodos de tiempo muy largos. Es difícil parar este hábito, y las tendencias de comer pueden causar la obesidad. Una solución para este problema es la clase de educación física. También el requisito de física en Pingry puede ayudar en esta crisis. Estos tipos de programas fuerzan a los estudiantes a correr, levantar pesas, o hacer otras actividades. La información sobre la salud es importante también. Los médicos pueden describir las partes de una dieta buena, y clases en la escuela pueden enseñar en este tema. Los padres de los estudiantes necesitan tomar una posición activa en las dietas de sus niños.

La Creatividad en Las Escuelas By Aneesh Karuppur (Form V)

Pienso que Ken Robinson tiene un punto importante sobre el sistema de educación el los EEUU. El propósito de algún sistema de educación es que la población tenga más información para escoger las políticas que afectan su país y también que los estudiantes ganen una carrera buena. Pero, estos dos objetivos necesitan la creatividad, y la educación pública en los EEUU enfoca en la memorización de hechos. Muchas veces, las clases de las ciencias o las matemáticas no incluyen las razones de los conceptos o los teoremas fundamentales de los sujetos. En clases de historia, inglés, o de los idiomas, el sistema público pone énfasis en unas ideas concretas; no valora las perspectivas de los estudiantes. Clases de los artes y la música pueden desarrollar la creatividad de los estudiantes; pero muchos gobiernos están reduciendo el dinero a estos programas. No pienso que las escuelas maten la creatividad, pero creo que la sofocan. Necesitamos más importancia de la creatividad y independencia en las escuelas; en el contexto de nuestro país, no podemos crear políticas buenas si la población no propone ideas originales o perspectiv-

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as diferentes. Asistí unas escuelas públicas antes de Pingry, y puedo decir que la pedagogía es mejor en Pingry. En mis clases de física o matemáticas, los maestros derivan todos de los conceptos y las fórmulas, y me gustan las discusiones en mis clases de las letras. Por ejemplo, me gustan las actividades que hicimos sobre la historia se llama “La Pena” porque podemos discutir los puntos importantes de la historia. Aquí son mis sugerencias para que la escuela pueda apoyar la creatividad de los estudiantes más: 1. He escrito un artículo en el Record que describe mi opinión sobre los exámenes, y puedo resumirlo aquí. Pienso que los proyectos, ensayos, y papeles son mejor métodos de evaluar la aprendizaje de un estudiante. Reflejan pensamiento independiente y tienen más relevancia para una carrera que un exámen. Pingry tiene muchos recursos y tecnologías para ejercitar la aprendizaje, y es importante que las evaluaciones de las clases los usan. 2. Pingry necesita ofrecer más clases. Otras escuelas privadas o prep tienen cursos en las éticas, la filosofía, las matemáticas teóricas, y las aplicaciones de todas las ciencias. Entiendo que Pingry no puede ofrecer todos los cursos de un colegio, pero necesita apoyar la creatividad con clases más avanzadas o únicas. 3. Finalmente, Pingry puede integrar sus varias clases. La aprendizaje de la clase de inglés puede tener relevancia para la clase de historia, pero esta conección está un poco débil en Pingry. He leído La Narración de Frederick Douglass en Literatura Americana, y ahora estamos discutiendo la esclavitud en APUSH. La creatividad de los estudiantes puede manifestar en varios sujetos, y las clases pueden apoyarla.

¡Visite Torres del Paine! By Aneesh Karuppur (Form VI)


Como la Tortuga Recibió Su Caparazón By Mirika Jambudi (Form III)

Había una vez, un muchacho: Juan, el hijo del cacique, que estaba enamorado de una joven que se llamaba Marta. Ella era muy inteligente, bonita, y divertida, pero era muy pobre. Era más bonita e inteligente que todo el mundo. Pero, había un problema para los enamorados. Juan tenía que casarse con otra muchacha, Carla, la hija de un comerciante rico. Carla era muy horrible y fea, pero tenía más dinero que Marta. Juan no quería casarse con Carla, quería casarse solamente con Marta. Un día, ellos tuvieron una idea. Ellos corrieron hacia el bosque, fueron a casa de un adivino muy inteligente y mágico. El adivino tuvo una solución y les explicó los detalles. Les dijo: “Esta noche, ustedes deben correr al bosque para visitar a la tortuga”. Ellos tenían que ir por un sendero en el bosque hacia una choza en el centro del bosque. En la choza, habitaba una tortuga que tenía magia para proteger a los enamorados. En la noche antes de la ceremonia de matrimonio entre Juan y Carla, los enamorados corrieron por el sendero en el bosque. Entonces, los enamorados vieron la choza y entraron dentro de la choza. Vieron la tortuga. La tortuga tenía una magia muy poderosa. Pero, había un problema, los guerreros de la comunidad vieron a los enamorados y los persiguieron. Los enamorados tenían miedo de los guerreros. Usando su magia, la tortuga transformó a los enamorados en un caparazón para que pudieran estar juntos. Así es como la tortuga recibió su caparazón. Esta historia había publicada en La Revista Literal. Puede ver la historia con imagenes aquí.

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ကျေးဇူးတင်ပါတယ် 谢谢 gracias. merci. danke. thanks.

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