#lejouretlanuit Photographies
noir et blanc JĂŠrĂ´me Imbert
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#lejouretlanuit Photographies noir et blanc Jérôme Imbert
Les ciels sont noirs, tumultueux, le choix du cadrage intuitif, le regard personnel multiplié par les dynamiques qui régissent la prise de vue apportent la force.
Ce nouveau projet d’édition, suite à une série de quatre expositions, photographies argentiques noir et blanc des archives de Jérôme Imbert, dès les années 70, donne à voir ses sensibilités et racines dans la créativité dont il est issu. Son père, artiste peintre, a mis son Leica entre ses mains lors de leurs vacances dans les Alpes de Haute Provence au château de Taillasse dès les années 60.
Les expositions durant une année ont fait un lien entre le regard du photographe et les poésies des Calligrammes. Inspirés par les effets simultanés dans les calligrammes et dans les photographies, chaque chapitre au nom d’un extrait d’un calligramme d’Apollinaire a été aussi une économie de choix dans les œuvres montrées. Les archives photographiques d’Imbert représentent 24 ans de photographies noir et blanc.
Un lien thématique avec un extrait des poésies de Guillaume Apollinaire, Calligrammes, Poèmes de la paix et de la guerre (1913-1918) a été le jeu de ce nouveau projet de la galerie. L’œuvre saillante de ce poète français offre une lecture différente alliant astucieusement images et mots et c’est justement cette différence de lecture qui donne force à la lecture d’une photographie. Les calligrammes, déstabilisants, rompent avec la linéarité et offrent une stratégie de lecture. Les deux plans texte/visuel dans les calligrammes côtoient les plans visuel/lecture de la photographie et sont perçus d’une manière simultanée. “ …d’abord on voit un dessin, comme un tableau, puis il faut le lire” (www.guillaume-apollinaire.fr). De même la photographie offre au spectateur un parcours de lecture similaire. D’abord on voit l’image et ensuite on la lit.
Extraits des Calligrammes — Poèmes de la paix et de la guerre (1913 – 1918) exploités. 1. Ondes — Paysage - Voici la maison où naissent les étoiles et les divinités - Photographies Voyage au Maroc 1980. 2. Ondes — Lettre-Océan - Photographies Voyages sur les mers entre 1980 - 1989. 3. Etendards — Salut Monde - Photographies des villes - 1982 4. Madeleine - Photographie tant attendue - Photographies de théâtre 1982.
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à propos du photographe : Jérôme Imbert, photographe français et Aixois, photographie dans sa région natale depuis son plus jeune âge. Sa photographie suit les évolutions techniques des récentes années avec l’arrivée du numérique. Influencé par l’ambiance d’une famille d’artistes, son père étant professeur aux Beaux Arts d’Aix en Provence et sa mère artiste-peintre, sa photographie s’inspire de ses racines imprégnées dans l’art et la composition. Son parcours dans la photographie commence dès sa jeunesse accompagné par l’œil compositeur qui l’amène dans l’âge vers des images à la fois sensibles, étonnantes, et séduisantes.
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Voici la maison où naissent les étoiles et les divinités Photographies issues d’un premier travail réalisé en 1980 lors d’un voyage au Maroc. Ici on voit l’émergence d’un thème emblématique du photographe ; cieux dominants et omniprésents animent les photographies du jeune photographe. Trois amis partent à l’aventure. Appareil photo et 4L sont les accessoires. Dans ces photos noir et blanc du Maroc, on cherche un signe, une gloire, une trace humaine. Est ce que ces paysages sont porteurs de sens ? Attiré par l’aventure d’un jeune homme dans la vingtaine, les images emblématiques du Maroc d’Imbert sont de la photographie pure. Les paysages issus de ce voyage d’un jeune photographe dans le contexte des années 80 explorent les préceptes même de la photographie donnant à voir la tradition d’un art encore florissant et une sensibilité à un moment étonnant d’une quête initiatique.
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Lettre-Océan Photographies issues des voyages sur les mers et océans; Atlantique, Pacifique et la Méditerranée. Jérôme Imbert est non seulement marin et a voyagé sur les eaux en tant que skipper et équipier sur des voiliers mais est aussi, arpenteur des rivages. Le minéral en tant que sujet photographique avec les pierres angulaires et granuleuses de la Corse dont il a fait le tour en bateaux avec des amis et sur le sentier du côte l’ouest de l’Ile de Vancouver, s’ajoute aux thèmes favoris. Les amis, toujours présents, sont sujets et complices des aventures et n’échappent pas à l’œil du photographe qui les fixe dans un contexte d’équipe et d’amis. Manier les vaisseaux demande une certaine exigence d’ordre, de calme et de réflexion. Imbert la trouve derrière son appareil et la fait ressentir dans ses cadrages et prises de vues. Je vous envoie ces informations via mon ip 240.18.64.82. Jerome Imbert, 7 rue Jacques de la Roque - Aix en Provence - France-adresse postale - 06 7X CC X5 XX - Opérateur Orange, sms, coût d’un appel - tarif en vigueur - Tout est calme ici et nous sommes dans l’attente des événements. * (Référence au calligramme Lettre Océan où Apollinaire envoie une carte à son frère - sur carton de l’invitation à l’exposition )
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Salut Monde Photographies en noir et blanc de Jérôme Imbert issues des déambulations citadines au cours de ces années dans un calme de faux semblant où les guerres ailleurs se succèdent et un monde tumultueux se dessine au lointain. Les images des villes du monde visitées par le photographe évoquent transformations, migrations, et rencontres. Un calme règne dans les photographies d’Imbert qui témoigne et observe ce monde changeant et vivant. Prises de vue et cadrages intuitifs avec un regard personnel donne à l’image une lecture forte et dynamique.
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Photographie tant attendue Photographies en noir et blanc de Jérôme Imbert issues des déambulations citadines au cours de ces années dans un calme de faux semblant où les guerres ailleurs se succèdent et un monde tumultueux se dessine au lointain. Les images des villes du monde visitées par le photographe évoquent transformations, migrations, et rencontres. Un calme règne dans les photographies d’Imbert qui témoigne et observe ce monde changeant et vivant. Prises de vue et cadrages intuitifs avec un regard personnel donne à l’image une lecture forte et dynamique.
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Nous remercions Nous remercions Claude Debon, professeur émérite à l’Université de la Sorbonne-Nouvelle-Paris lll , Jean Arrouye, Professeur, les amis de Jérôme Imbert fidèle compagnons de voyages, le Théâtre du Maquis pour leur complicité dans le dernier chapitre et leur spectacle Et l’acier s’envole.
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The Red Door Gallery www.thereddoorgallery.org