DOSSIER Meubilier à secrets
PRÉSENTÉE PAR THOMAS SCHNEIDER
“Savoir qu’il y a un secret, c’est déja en connaitre la moitié”
FRISE CHRONOLOGIQUE
LE MOBILIER À SECRET EN ORDRE D’APPARITION CROISSANT
La frise
DES MEUBLES A SECRETS ET MECANIQUES
Petite table début Louis XV, JP Latz, Jean-Francois Oeben, vers 1755,Galerie Segoura, Paris
Coiffeuse Louis XV en forme de cœur,Louis Peridiez, en satiné, bois de rose et amarante
Table de toilette mécanique, vers 1755, Jean-Francois Oeben, Galerie Partridge, Londres.
Table mécanique, 1760, Jean-Francois Oeben, Musée Cognacq-Jay, Paris
1750
Table dite « table d’accouchée » Louis XV, Léonard Boudin, Galerie Gismondi, Paris
Table à la Bourgogne, vers 1750, JP Latz, Archives Galerie Gismondi, Paris
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La frise
1700
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Bureau plat, 1740, Charles Cressent, Musée du Louvre, Paris
Deux petites tables rognons Louis XV, Jacques Laurent Cosson, Galerie Gismondi, Paris
Petite table de salon Louis XV Jean François Hache, Galerie Gismondi, Paris
Bureau de pente Louis XV, JacquesPhilipe Carel, Musée Carnavalet, Paris
Commode Louis XV, Galerie Segoura, Paris
Table mécanique, vers 1760, JeanFrancois Oeben, Vendue par Sotheby’s à Monte Carlo en 1996
Table de tric-trac, vers 1760, Pierre Denizot, ancienne collection Florence Gould, Sotheby’s Monaco, en 1984
Bureau à gradin artistique, vers 1770, Johann-Heinrich Riesener, vendu par Sotheby’s New York en 1993
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La frise
Meuble d’entre deux de travail époque transition, Jean-Francois Oeben
Coiffeuse Transition, Jean François Oeben
Table mécanique époque transistion, Johann Heinrich Riesener et Jacques Laurent Cosson, ancienne collection Anthony de Rothshild, Christie’s Londres, 1923
Secrétaire de voyage, vers 1780-1790
Table ovale, vers 1780,, David Roentgen
Bureau cylindre à mécanisme, époque Louis XVI, David Roentgen, Galerie Segoura, Paris
Table à jeu multiples à mécanisme, époque Louis XVI, David Roentgen, Galerie Didier Aaron, Paris
Table bureau à mécanisme formant coiffeuse,époque Louis XVI, David Roentgen
Table Louis XVI, Gaspard Schiller, Archives, Etienne Lévy, Paris
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La frise
Table cabaret, vers 1775, Jean-Francois Leleu, vers 1775, collection Stavros Niarchos.
Guéridon tripode a transformation époque Louis XVI, Canabas, Galerie Perrin, Paris
cCmmode Louis XVI, Johann Heinrich Reisener, Galerie Segoura, Paris.
Bureau cabinet, époque Louis XVI, David Roentgen, 250x124x64 cm
Commode à l’anglaise, vers 1785, Johann Heinrich Riesener
Table mécaniques à transformation Louis XVI, Cabanas
1800 Serre-bijoux de l’Impératrice dit Grand écrin, 1809, François-Honoré-Georges Jacob-Desmalter, Musée du Louvre, Paris
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ÉTUDE D’UNE SÈLÈCTIN DE MEUBLES À SECRET
I Les quinzes
Nom : Coiffeuse Date/époque : Louis XV Concepteur/ éditeur : Louis Peridiez Lieu de création ou d’exposition : Paris, 9décembre 1999, Mes Poulain, le Fur. Dimension : 74 x 46 x 48 cm (fermée). Matériaux : bois de rose et d’amarante Catégorie : Source : Description : Coiffeuse Louis XV en forme de cœur en satiné, bois de rose et amarante, marqueté de cubes et d’écailles et sur le plateau, de fleurs et de rinceaux, pieds galbés, plateau amovible.
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II Les quinzes
Nom : Serre-bijoux de l’Impératrice Date/époque : 1809 Concepteur/ éditeur : François-Honoré-Georges Jacob- Desmalter Lieu de création ou d’exposition : Paris Dimension : 276 x 200x 60 Matériaux : Amarante, acajou, ébène, nacre, bronze doré Catégories : Armoires Source : Musée du Louvre, Paris Description : Armoire à bijoux était destinée à la chambre à coucher de l’impératrice Joséphine (1763-1814) au château des Tuileries. Les bronzes dissimulent les serrures et des mécanismes permettent d’actionner tiroirs et compartiments secrets. Ces secrets changerons quand le meuble sera donné en 1810 à l’impératrice Marie- Louise (1791-1847). Le Serre-Bijoux a la forme d’un édi- fice porté par huit pieds verticaux reposant sur un soubassement rectan gulaire. Au-dessus de la corniche s’élève un stylobate. Une cassolette à parfum repose sur le soubassement. Les pieds et les corniches sont en amarante, par contre les intérieurs de l’armoire garnis de trente tiroirs de même bois (dix dans chaque partie du corps central) sont en acajou massif. Il est enrichi de nombreux éléments en bronze. Sur chacun des vantaux latéraux se tient une déesse debout qui se tourne vers la scène centrale. L’ensemble de ce décor annonce la surcharge ornementale de la fin du XIXe siècle.
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III Les quinzes
Nom : Bureau mécanique Date/époque : Louis XVI Concepteur/ éditeur : David Roentgen Lieu de création ou d’exposition : Neuwied Dimension : 129 x 118 x 66 Matériaux : bois de rose, noyer, amarante Catégorie : Bureau Source : Description : marqueté de bouquets de fleurs, de rubans et de papillons en bois teintés encadrés de bois de rose et loupe de noyer, montants à cannelures de cuivre et pieds gainés à chutes de feuillages en bronze, ouverture du cylindre et des caissons grâce à des mécanismes à secrets actionnés par la clé du tiroir central, intérieur à nombreux tiroirs et casiers
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Nom : Bureau mécanique formant coiffeuse Date/époque : Louis XVI Concepteur/ éditeur : David Roentgen Lieu de création ou d’exposition : Neuwied Dimension : 81,5 x 95,5 x 66 Matériaux : acajou, bronze Catégorie : Bureaux Source : Description : en acajou à plateau coulissant dégageant des casiers à rideau et un miroir, vantail central démasquant des petits tiroirs avec encrier et un large plateau inclinable à trois volets, ornementation en bronze, pieds gainés
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V Les quinzes
Nom : Commode Louis XVI Date/époque : Louis XVI Concepteur/ éditeur : Johann-Heinrich Riesener Lieu de création ou d’exposition : Paris Dimension : 98 x 150 x 62 Matériaux : buis, ébène, sycomore, bronze Catégorie : commodes Source : Description : commode à deux vantaux et encoignures ouvertes à étagères, marquetée de losange en sycomore teinté cernés de filets de buis, ébène et bois teinté vert, encadrements d’amarante et de baguettes de bronze, ingénieux agencement int- érieur comportant coffre de voyage amovible, tiroirs, casiers et petits tiroirs secrets
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Nom : Secrétaire Date/époque : vers 1785 Concepteur/ éditeur : Johann-Heinrich Riesener Lieu de création ou d’exposition : Paris Dimension : 154 x 113 x 161 Matériaux : bronze, marbre, ébène, chêne, acajou Catégories : Secrétaire Source : Getty Museum Description : agencement intérieur divisé en tiroir, révélant des compartiments secrets, placage en ébène, ornement floraux en bronze, parements décoré de laque japonaise, pieds tournés, entretoise en tablette,
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VII Les quinzes
Nom : Table à jeu Date/époque : Louis XVI Concepteur/ éditeur : David Roentgen Lieu de création ou d’exposition : Neuwied Dimension : 79,5 x 98 x 48,5 Matériaux : acajou, ébène, bronze Catégorie : table à jeu Source : Description : multiples à mécanisme en acajou (d’une paire) surmontée de trois pla teaux pivotant sur le pied arrière gauche et une partie de la ceinture antérieure actionnés par un bouton pressoir, coffre à jeu de trictrac et cas ier à l’intérieur, quatre pieds gaines dé montables, décorés de bronzes
VIII Nom : Coiffeuse Date/époque : Transition Concepteur/ éditeur : Jean- François Oeben Lieu de création ou d’exposition : Paris Dimension : 74,5 x 93 x 50,5 Matériaux : bois de rose, bronze, laiton Catégorie : Source : Description : coiffeuse Transition à caissons pla- quée de bois de rose en ailes de pap- illon, sept tiroirs dont trois simulées et une tirette, plateau à trois volets dégageant un miroir central
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IX Les quinzes
Nom : Meuble d’entre deux de travail Date/époque : Transition Concepteur/ éditeur : Jean-François Oeben Lieu de création ou d’exposition : Paris Dimension : 128,6 x 51,3 x 26,5 Matériaux : acajou, marbre, bronze, noyer Catégorie : commode Source : Description : meuble à deux portes et à trois tiroirs dans la frise, les portes renferment de part et d’autre deux rangées de tiroirs flanquant un casier ouvert surmonté d’une tirette, plateau en marbre, filets en bronze, montant à cannelures, compartiments secrets cachés dans l’agencement intérieur
X Nom : Petites tables rognons Date/époque : Louis XV Concepteur/ éditeur : Jacques Laurent Cosson Lieu de création ou d’exposition : Galerie Gismondi, Paris (2001) Dimension : 75,5 x 57,5 x 40 Matériaux : acajou, bronze, chêne Catégorie : table Source : Description : deux petites tables rognons formant paire, marquetée de fleurs, ouvrant à un rideau coulissant révélant trois tiroirs, deux tiroirs pivotant sur les flancs, pieds galbe Exécutées pour le duc de Penthiève
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XI Les quinzes
Nom : Table de salon Date/époque : Louis XV Concepteur/ éditeur : Jean François Hache Lieu de création ou d’exposition : Grenoble Dimension : 73,5 x 48,5 x 39,5 Matériaux : bois de rose, chêne, bronze Catégorie : Source : Description : curieuse petite table de salon à trois pieds marquetée de fleurs et de quad- rillages en bois de pays et bois de rose, tiroir pourvu d’un miroir, volet coulissant, dégageant des tiroirs, petit tiroir latéral contenant un encrier, pieds galbe orné de chutes en bronze d’orée
XII Nom : Guéridon Date/époque : Transition Concepteur/ éditeur : Cabanas Lieu de création ou d’exposition : Galerie Perrin, Paris (2004) Dimension : 78,5 x 61 x 40 Matériaux : Catégorie : Source : Description : Cabanas. Guéridon tripode a transformation en acajou pourvu d’un pupitre à musique à crémaillère, une tablette et trois tiroirs, dont un formant écritoire, et quatre bras de lumière.
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XIII Les quinzes
Nom : Bureau en pente Date/époque : Louis XV Concepteur/ éditeur : Jacques-Philipe Carel Lieu de création ou d’exposition : Musée Carnavalet Dimension : 101,5 x 93 x 50 Matériaux : amarante, bois de rose Catégorie : Bureau Source : Anne Forray-Carlier, le mobilier du musée Carnavalet, Editions Faton, Dijon, 2000 Description : En placage toutes faces d’amarante et marqueterie de branchages fleuris en bois de bout sur fond de bois de rose, ouvrant par un abattant découvrant trois casiers, un coffre et six tiroirs, la ceinture ouvrant par deux tiroirs dont un contenant un coffre, reposant sur des pieds galbés, plateau coulissant verrouillé par une lan guette manœuvrable, estampillé deux fois CAREL sous la ceinture
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Nom : Bureau de pente Date/époque : Louis XV Concepteur/ éditeur : Lieu de création ou d’exposition : Musée de l’ancien Evêché, Evreux Dimension : 102 x 115 x 55 Matériaux : sapin, chêne, noyer, cuivre, bronze Catégorie : bureau Source : http://collections.musees-haute- normandie.fr/ Description bâti pieds en chêne, tiroirs en noyer, façade de tiroir en chêne pris sur quartier ; Bureau dos d’âne plaqué, de forme mouvementé, marqueté de rinceaux. Il repose sur quatre pieds cambrés. La ceinture à caisson ouvre par deux portes et un tiroir central. Deux tirettes permettent de soutenir l’abattant ouvert. Il peut servir de table liseuse. A l’intérieur 10 tiroirs revêtus de bois de violette, marqueté de feuilles avec encadrements à filets, une cachette à glissière. Abattant habillé de cuir rouge. Ses portes sont plaquées intérieurement. Orné de bronze; les pieds sont protégés par des gaines rocailles qui entourent les serrures et les coquilles asymétriques, portes contreplaqués intérieurement
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XV Les quinzes
Nom : Bureau plat Date/époque : 1740 Concepteur/ éditeur : Charles Cressent Lieu de création ou d’exposition : Paris / Musée du Louvre, Paris Dimension : 85 x 206 x 95 Matériaux : satiné, amarante, bronze d’orée Catégorie : Bureau Source : Description : bureau composé d’un grand plateau rec tangulaire aux angles arrondis, protégés de quarts-de-rond en cuivre, les pieds sont cambrés et soutiennent la ceinture dont la ligne est mouvementée et compo- sée de cinq tiroirs, trois grands et deux peits, ces derniers étant dissimulés der- rière les têtes de fleuves en bronze doré, placage en frisage en satiné en cadré d’amarante, orné de dix motifs de bronze, outre les filets d’encadrement des tiroirs et les baguettes protectrices du plateau et des pieds: quatre bustes féminins en haut des pieds, appelés “es- pagnolettes”, deux masques au milieu des petits côtés, insérés dans des cartou- ches déjà Rocaille, des têtes de fleuves barbus ou des crosses ornent de part et d’autre le milieu des grands côtés
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analyse comparative
TABLES À SECRET
DMA 1A
. L’étude suivante consiste en une analyse et comparaison de trois meubles à écrire, datant du XVIIIème siècle : un bureau plat, un bureau de pente et un bureau mécanique cylindrique. Ces meubles ont en commun un système mécanique intérieur qui a une fonction de verrouillage. À une description détaillée de ces meubles suivra une analyse de ses mécanismes en examinant leur mode de fonctionnement et leurs sens et signification tout en insistant sur les différences et divergences apparents.
analyse comparée
Le premier meuble consiste en un bureau plat style Louis XV, conçu et réalise par Charles Cressent en France et actuellement exposé au musée du Louvre à Paris. Constitué d’un grand plateau rectangulaire aux coins arrondis, protégés par des quarts de rond en cuivre, il repose sur une ceinture de cinq tiroirs s’ouvrant côté face, dont un tiroir central et deux tiroirs a secret disposés de part et d’autre de ce premier. La table richement ornée de bronzes d’orées – quatre espagnolettes sur les coins, deux masques aux milieux des petits cotés et deux fleuves barbus qui voilent les tiroirs secrets – repose sur quatre pieds cambrés. La table de pente date également de l’époque Louis XV, on y retrouve alors le même genre d’ornement en bronze et les pieds cambrés. Cependant sa forme extérieur diffère et présente un bureau dos d’âne plaqué de forme mouvementé, marqueté de rinceaux, qui repose sur quatre pieds protégés par des gaines rocaille. La ceinture
à caisson ouvre par deux portes et un tiroir. Cet aspect général du ce type de bureau va légèrement évoluer vers la fin du siècle, notamment au style Louis XVI, et donner lieu à un modèle dont le bureau mécanique de David Roentgen est représentatif. Son caisson supérieur évolue d’un plan incliné à un arrondi en quart de cylindre et surmonté d’une galerie bronzée. Des formes d’avantage plus architecturales et géométriques : montants droits à cannelures, pieds gainés en chute et absence quasi-totale de lignes courbes (excepté le rideau cylindrique). Le meuble reçoit des ornements en marqueteries en bouquets de fleurs, de rubans et papillons en bois teintés encadré de bois de rose et de loupe de noyer et également de bronzes, mais plus modestement qu’il était le cas sur les deux bureau précédent.
à l’intérieur. Le bureau plat comporte deux tiroirs secrets, de part et d’autre du tiroir central, dissimulés par deux bronzes. Aucun geste ne permet de les ouvrir par l’extérieur avant d’avoir actionner le déverrouillage qui se trouve dans le logement des tiroirs latéraux. On a dans ce cas de figure de secret « apparent », car visible sur façade du meuble alors que le non-initié ignore tout sur la nature amovible de cette partie. En opposition à ce genre de cache on a le système du bureau de pente. Derrière son abattant ce trouve un plateau recouvert de cuivre rouge consacré à l’écriture. En effet celui-ci se révèle coulissant, verrouillé par une languette manœuvrable en retirant un des petits tiroirs à l’intérieur. On découvre alors un casier peu profond, allant de la face à l’arrière. Mais la créativité du concepteur n’en finit pas là. Deux loquets en fer forgés installés Il faut alors d’avantage se dans ce casier verrouillent chacun pencher sur ce que ces meubles un tiroir situé dans le haut du ne dévoilent pas à première vue caisson derrière un ventail. Ainsi il : Leurs mécanismes cachés dissimule dans la structure interne
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tous les éléments secrets. Faisant appel à un mécanisme pas moins recherché, David Roentgen ne cherche pas rendre inaccessible certaines partis de son bureau cylindrique, mais la totalité du meuble en soi. Ses mécanismes à secret actionnés par la clé du tiroir centrale déclenchent un certain nombre de déverrouillages à manipuler pour enfin pouvoir redresser le grand rideau et rendre la table à son usage prévu : le travail manuscrit.
Cependant il faut remarquer que la réalisation de meubles à secret n’a pas réellement persistée dans le temps, que ce genre et représente pour la plupart une « mode » du XVIIIème siècle qui s’estompe vers la fin de l’époque Louis XV. Systèmes et modes d’action, souvent récurrents, ont fini par se faire connaitre et transformés en de réel secret de polichinelle. Finalement il reste qu’á s’interroger sur la résistance et la protection physique que ces meubles pouvaient vraiment apportés à leurs secrets.
analyse comparée
Promus à faciliter l’écriture, les meubles étudiés auparavant ont aussi une autre destination : celle de conserver les écrits. Pour cela ils comportent ces systèmes de verrouillages, plus ou moins sophistiqués. Deux d’entre eux sont munis d’une ou plusieurs caches accessibles aux seuls initiés, les secrets. Ces caches de dimensions variables se présentent sous deux formes, soit un compartiment soit un tiroir. Elles peuvent contenir des documents, mais elles servent souvent de resserre pour des pièces de monnaie ou des bijoux. On peut y voir une évolution quant aux époques antérieures, lorsque les richesses personnelles étaient en métal. Ces nouveaux modelés proposent de protéger les biens par l’inventivité et le génie de leurs concepteurs. On peut même y trouver un côté ludique dans les cas des secrets « apparents », à l’idée d’une cache à vue de tous et pourtant inaperçue.
analyse comparative
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