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30 août 2013 No 928
AGENDA DE
Préparé par Daphney Valsaint MALANDRE
Relish
Découvrez chaque semaine les coins branchés, les restos en vogue et les meilleures affiches de la ville avec en prime les recommandations de votre magazine préféré ! N’hésitez pas non plus à nous faire parvenir vos affiches à l’adresse e-mail suivante : daphneyvalsaint@gmail.com Vendredi 30 août 2013
Swit Djakata à Le Perroquet
Retrouvez le groupe Swit Djakata à Le Perroquet dès 8 h pm ce vendredi.
Strings à Café Organic
Samedi 31 août 2013 Voyez la vie en couleur avec l’artiste latin Kevin Herrera et les dj Hot, Steezy et Djenill à Tabu lounge ce samedi à partir de 9 h p.m. Admission : 25 USD
NOS-TAL-J à One-6
Strings dans les jardins de Café Organic ce vendredi dès 8 h pm. Admission : 1 300 gourdes
Buffet pêcheur à l’hôtel Le Plaza Comme chaque vendredi, l’hôtel Le Plaza fait plaisir aux amants des fruits de mer. Au menu, un buffet pêcheur préparé par les meilleurs chefs du restaurant. Le buffet sera ouvert de 12 h pm à 3 h pm. A bon entendeur, salut !
Revisitez le répertoire du groupe
À propos...
30 choses pour 30 ans En avril 2013, je suis tombée sur un livre à Barnes and Noble, « 30 Things Every Woman Should Have and Should Know by the Time She’s 30”. J’hésitais. Devrais-je l’acheter ou passer ma route ? Je venais d’avoir 30 ans un mois plus tôt et je ne voulais pas être déçue de constater que je n’avais rien de cette liste. Décision vitale ! Bon, bien sûr je l’ai acheté, tout en me maudissant de ne pas l’avoir trouvé un an plus tôt. Cependant, je ne suis pas allée jusqu’au bout de ce fameux livre. Parce que tout en le lisant, je réalisais également que je n’étais pas ce genre de femme. A chacun son modèle de réussite, mais pour moi ces 30 choses-là seraient plus spirituelles que matérielles (je veux dire par là moins palpables que le mari, la maison, le gros meuble…). Et me voilà allongée sur le dos, les pieds au plafond, crayon et morceau de papier en main : je compte… Les 30 choses qui ont fait de moi une femme de 30 ans ! 1. Amoureuse d’un élève de ma
classe (l’amour sans condition) 2. Une jolie longue robe blanche pour ma première communion (qui sait… peut-être que cela ne se reproduira plus) 3. Une lettre d’amour manuscrite (mieux qu’une collection de screenshots des textes) 4. Un acrostiche à mon prénom (flatteur… flatté) 5. Un bijou familial de valeur (à porter pour des occasions très spéciales) 6. Une chanson à chanter sous la douche (et ses échos qui nous font penser que nous avons raté notre vocation)
7. Une recette de cuisine personnelle (ou juste un condiment secret) 8. Une couleur préférée (pour les fleurs, les roses jaunes) 9. Une recette de cocktail (justement… il n’y a pas de recette) 10. Une petite robe noire (complète la garde-robe avec classe) 11. Des escarpins noirs (en voie de disparition, les nus sont le nouveau noir) 12. Un collier de perles (un soupçon d’érotisme) 13. Des push-up bras (un petit support ne fait jamais de mal) 14. Un passeport (et son esprit aventurier) 15. Un livre préféré (à citer dans nos conversations post-sexe) 16. Googler son nom (nombrilisme ?) 17. Un compte en banque (24$ de balance en ce qui me concerne) 18. Une anecdote à passer à mes enfants (anecdote non sexuelle) 19. Un concert mémorable (ou des) 20. Un premier baiser (baveux, dégoulinant et long) 21. Un faux orgasme (malhonnête ? vous m’en direz autant !) 22. Une carrière (oui, je sais que je n’ai que 24$ sur mon compte en banque) 23. Une citation empruntée à sa mère (comme dirait ma mère…) 24. Un faux prénom (vous savez tous pourquoi) 25. Une mauvaise décision (pour pouvoir différencier les bonnes) 26. Une paire de rideaux (au moins c’est léger pour un move-in) 27. Une trousse de maquillage (comme quoi la beauté serait intérieure) 28. Une œuvre d’art (le prix ne compte pas) 29. Un plan de secours (la vie n’est pas un long fleuve tranquille) 30. Un miroir (et pouvoir y jeter un regard tous les matins). Vous avez lu, relu (tout comme moi) et vous jugez peut-être que cela n’a pas trop de sens. Cependant, je préfère compter ce que j’ai, car la liste de ce que je n’ai pas est bien trop longue… Ouf ! Compter jusqu’à 30 ne m’a jamais paru aussi long ! Gabrielle Jones
« Ma rose » de Zin, « An tout franchiz » de K-Dans, « Ole ole » de Lakòl, « Webe » de Mizik mizik autant d’anciens succès que le groupe K-Zino reprendra pour les amateurs de bon konpa. Dj Icce se chargera d’apporter une autre couleur à cette affiche déjà prometteuse. Mélomanes nostalgiques, à vos marques !
Une publication de Ticket Magazine S.A.
DIRECTEUR DE LA PUBLICATION Frantz DUVAL RÉDACTEUR EN CHEF Gaëlle C. ALEXIS SECRÉTAIRE DE RÉDACTION Daphney Valsaint MALANDRE RÉDACTION Dimitry Nader ORISMA Gilles FRESLET Myria CHARLES Winnie Hugot GABRIEL Teddy Keser MOMBRUN Junior Plésius LOUIS Raphaël FÉQUIÈRE Enock NÉRÉ Légupeterson ALEXANDRE CORRECTION Jean-Philippe Étienne CRÉATION ARTISTIQUE Responsable graphique Réginald GUSTAVE Stevenson ESTÈVE Photographes Frederick C. ALEXIS Homère CARDICHON Jules Bernard DELVA Moranvil MERCIDIEU Yonel LOUIS Publicité: 2941-4646 publicite@lenouvelliste.com Rédaction: 2945-4646 / 3806-3717
30 août 2013 No 928
Eh oui, dans deux ans, jour pour jour, Haïti devra accueillir la douzième édition du Carifesta. Après la prestation sans faute de notre délégation ces douze derniers jours, notre patrie devra relever le défi de faire suite au Surinam qui est à sa deuxième expérience d’organisateur de cette grande fête des cultures de la Caraïbe. En attendant que les jours passent, c’est pour nous l’occasion de vous conter cette dernière édition. La cérémonie de clôture de la onzième édition du Carifesta a été bouclée dimanche, à Paramaribo, par la passation d’une sculpture (en guise de flambeau) du président surinamien, Delano Bourtese, à notre président, Michel Joseph Martelly. Ce geste a été suivi par une belle prestation du ballet folklorique Bacoulou d’Haïti qui a électrifié la cour du palais national du Surinam. Sur la rythmique du chant « M p ap marye pou de gouden », autorités politiques de Surinam et d’Haïti, invités de marque des trente-deux délégations qui ont participé au Carifesta et gens ordinaires ont tous dansé de joie sous un ciel illuminé de feux d’artifices. On est au bout de douze jours de la onzième édition du Carifesta dont le thème a été « La culture pour le développement ». En musique, danse, gastronomie, mode… Haïti s’est révélée très compétitive.
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Haïti accueillera la prochaine
Carifesta
Musique et danse
Ti Coca, le groupe, qui a performé dès le premier jour, est venu à bout de cinq prestations. À Saramacca, une ville qui compte plus de 4 000 Haïtiens, il a été celui qui a eu de plus de succès auprès de ces immigrés de longue date, encore nostalgiques de l’alma mater. Les trois chansons qui sont revenues dans toutes les prestations sont « Yoyo », « Chwal Senjak » et « Ogoumbe ». Le ballet folklorique Bacoulou, outre sa performance inoubliable lors de la soirée de clôture, s’est aussi révélé au top. Partout, le public a été émerveillé, particulièrement par les chants Gede Zarenyen et un rara. Les danseurs, avec des costumes griffés Reedtz Rosenberb, ont brillé par leur dextérité. Autre attraction de ce groupe : la mangeuse de feu. Une des membres de ce groupe, âgée d’une cinquantaine d’années, a mis le feu aux cœurs à chaque fois qu’elle introduisait des braises dans sa bouche. Les musiciens ont pu transcender, dans le spectacle à Saramacca, la faiblesse du système de sonorisation qui était trop flagrante. Tabou Combo, jouant pour la première fois au Surinam, a bien assuré devant les habitants de Saramacca. Il faut tout de même souligner le petit coup du président Michel Joseph Martelly que Shoubou a invité sur le podium pour partager « Nou bouke », qui est peut-être le plus beau chant contant la nostalgie des millions de nos concitoyens vivant dans le onzième département. Mikaben, a priori, ne passerait pas bien devant les Haïtiens de Saramacca qui sont majoritairement vieux, en raison de ses chansons à destination des jeunes. Il a quand même tiré son épingle du jeu. En dépit d’un playback détonant et inférieur à la moyenne, l’artiste a su transmettre de l’émotion avec « Ayiti Se ». Quant à notre Wyclef international, il s’est encore révélé égal à lui-même. Il a été le plat de résistance du spectacle du samedi 24 dans la cour du palais du Surinam. Le clou de sa prestation a été sa reprise, avec une danseuse surinamienne, de son célèbre tube « Hips don’t lie ». Il a fait monter sur scène notre président, son fils Sandro et Shoubou. Ce fut une vraie fête avec la chanson « MVP Konpa ».
Le design haïtien en mode hyperactif au Surinam
Que ce soit sur un stand de la Chambre de Commerce du Surinam (KKF), ou dans la cour du prestigieux hôtel Royal Tocara, ou encore devant des ruraux de Saramacca, la mode haïtienne s’est distinguée au cours des douze jours du Carifesta. La décoration du stand haïtien, signée Michel Chataigne et Phelicia Dell,
rappelle un peu l’univers de Paul Cézanne. Chacun des designers a présenté une thématique, de quoi dérouter les confrères des autres pays qui, dans l’ensemble, ont un manque à gagner tant dans la finesse que dans l’intensité de leur inspiration. Marie-Thérèse Fouchard remet le couvert avec des morceaux choisis de sa marque Plotonnen. Les visiteurs sont ébahis. Mais le luxe n’est pas une priorité des Surinamiens. Ses morceaux de tissus multifonctionnels ne perdront jamais leur classe. Miko Guillaume est la star en matière d’achalandage. Sa collection Carribean Chic a plus de preneurs que les autres en raison, bien sûr, du prix et de sa touche cosmopolite. C’est une collection très prêt-à-porter. Phelicia Dell, tout comme Marie-Thérèse, n’est pas la reine de la vente, mais sa collection « Privé », qui allie sacs à main, robes, pantalons et chemises, traduit la conjugaison du souci de bien faire et du désir constant de satisfaire une clientèle exigeante. Chapeau à la Dame Vèvè pour cette collection définitivement inclassable. Le coiffeur-designer Michel Chataigne a rendu hommage, au travers de sa collection d’habits et d’accessoires de mode baptisée Siam Flower, à cette fibre naturelle dont Haïti a été longtemps une référence. Ses sacs, un tantinet volumineux, pourront lier l’utile à l’agréable de la femme active soucieuse de confort. Daphné Floréal est celle qui a régalé les visiteurs de bijoux. La benjamine du groupe attire tant des preneurs que des admirateurs de son art baptisé tout simplement Bijou Lakay. Elle joue déjà bien dans la cour des grands. Maguy Durcé a fait d’une pierre deux coups et c’est pour son bonheur. Elle a remis le couvert avec Taïno, fraîchement lancé. Inspirée peut-être par l’esprit du Carifesta, elle a aussi présenté Faune, Flore et Mer des Caraïbes. Des deux
côtés, c’est la conjugaison de fibres naturelles, de tie-die qui se déclinent tant en robes qu’en sacs à main et autres accessoires. Un travail dicté par une recherche minutieuse dans l’histoire, d’un côté, et dans la géographie du bassin caribéen, de l’autre. Elle a le mérite de surpasser le cadre haïtien. Maëlle David, la mère du Réseau des designers haïtiens (HANDS) n’était pas en reste. Elle a fait sortir les habits des dieux du panthéon haïtien ayant servi dans son spectacle « Et si nos dieux nous étaient contés ? ». Une touriste américaine a proposé 2 000 dollars américains au designer pour s’arracher la robe de la déesse de l’amour, en l’occurrence la zuzu Erzulie Fréda Dahomin. Madame David a refusé ! La raison : ces habits appartiennent depuis quelque temps au patrimoine de l’État haïtien, donc non commerciaux. « Elle devra passer une commande si elle tient vraiment à cette robe », commente la créatrice de mode. Les modèles Nagusta Paul et Rachelle Daphné Albert ont, de par leur physique et leur démarche, mis en valeur tant les créations des designers haïtiens que celles de leurs homologues des autres pays. À souligner qu’une collection d’habits traditionnels signée de l’ensemble des designers a aussi été présentée. Elle comprend des costumes d’affranchis, des habits de paysans…
La gastronomie haïtienne, celle qui a attiré le plus de gourmandise
Dans les locaux du KKF, Haïti a partagé l’espace réservé aux arts culinaires avec Cuba, Guyana, Indonésie et, bien sûr, le Surinam. Tous les jours, le stand haïtien était très achalandé. Le plat de griot et bananes pesées était la star, celui de riz au pois congo et aux champignons lui emboîtant le pas. Jamais nos restaurateurs n’étaient obligés de jeter de la nourriture ou en réchauffer le lendemain. Une jeune Surinamienne, avec qui je me suis lié d’amitié, m’a confié que la cuisine
haïtienne est divine et épicée. Bravo aux Dubosquet d’avoir laissé leurs restaurants La Coupole, Dadou’s et Le Dubosquet des Gonaïves pour défendre notre bicolore au Carifesta.
Le vodou haïtien montré sous son vrai jour
Un temple vodou a été monté dans le secteur du folklore du KKF. La mambo Euvronie Auguste y a joué le guide et la pédagogue. Sans retenue, des visiteurs de tous les horizons sont venus satisfaire leur curiosité. Les Surinamiens ont pu noter les ressemblances de ce culte d’avec le Winti pratiqué chez eux. Deux Jamaïcaines qui pratiquent le vodou chez elles n’ont pas caché leur surprise devant le panthéon haïtien qui selon elles, compte beaucoup plus de dieux que le leur. Des Américaines ont insisté pour se faire lire l’avenir par les cartes. Madame Euvronie a refusé de le faire car, pour elle, ce n’était pas son intention en installant son stand. Les deux femmes ont dit comprendre que le vodou n’a peut-être rien à voir avec la poupée hérissée d’épingles, les sacrifices humains, l’anthropophagie…
L’art haïtien, inspirateur des autres Des sculptures et des peintures made in Haiti ont été exposées dans le cadre du Carifesta. Ce sont peut-être les moins vendables des produits haïtiens. Greta Nicolas Pineda, une créatrice haïtienne spécialiste en tissus de table, portebouteilles et porte-assiettes, déplore le manque de ventes mais se réjouit de la chaleur humaine qui a animé son stand. Elle nous apprend que beaucoup de ses homologues sont venus s’enquérir sur la richesse de l’inspiration en Haïti. Bon nombre se proposent toujours, selon elle, de visiter notre pays pour mieux voir comment l’art s’y développe.
Chancy Victorin chancyzone@gmail.com
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30 aoĂťt 2013 No 928
Lexique des bredjenn
majeure partie des rÊsidents du Bas-Peude-Chose (BPC), avant de se rÊpandre dans tout le pays, particulièrement chez les jeunes.
ÂŤBenyen chen Âť
Sur le plan syntaxique,  Benyen Chen peut jouer le rôle d’une pÊriphrase utilisÊe pour dÊsigner les initiatives (ou emplois) qui ne rapportent pas grandchose en termes de salaire. À ce niveau, l’expression  Benyen chen  peut être substituÊ par Êquivalents tels que  yon bras ,  yon degaje , etc. Par exemple :  A ! Dat mwen fini nan fakilte, menm yon benyen chen m paka jwenn nan vil la.  Mais, si on aborde un autre contexte,  Benyen chen  peut insinuer la situation d’une personne qui ne fait rien dans la vie (ne travaille pas, n’a pas d’entreprise, etc). Par exemple :  Jumenes pa ka itil fanmi an anyen paske depi lè l fin fè bakaloreya, li lage nan benyen chen.  Dans un autre sens,  Benyen chen  peut aussi faire allusion à une personne qui mène une vie misÊrable causÊe par des difficultÊs Êconomiques. Dans cette situation de communication, les vrais adeptes du crÊole haïtien diront simplement que  Se yon moun move lavi . Par exemple :  Patizan, m pap pran okenn fanm k ap benyen nan fanmi an !  Ou encore, une personne qui est fauchÊe à un niveau extrême. Par exemple :  Ou pa bezwen ban m tchèk mwa sa non man paske m nan benyen chen la.  Mais quand quelqu’un laisse une situation misÊrable pour avoir une certaine amÊlioration socio-Êconomique dans sa vie, il est fort probable que ses proches disent de lui :  Entèl pa kamarad mwen paske l pa nan benyen chen ankò.
Suivant une publication hebdomadaire, nous vous prÊsentons une nouvelle expression (unitÊ lexicale ou suite de monèmes) de notre vernaculaire. Bien qu’elle ne date pas de cette annÊe, cette semaine, prioritÊ est accordÊe à l’expression  Benyen chen . Qui ne connaÎt pas la dÊfinition, ou
n’a jamais encore entendu parler de l’expression  Benyen chen  ? Avant tout,  Benyen chen  est certes la traduction de la phrase  laver un/son chien , mais les deux composantes  benyen  et  chen  de l’expression se comportent comme une seule unitÊ lexicale. En linguistique, c’est ce que les structuralistes appellent une lexie complexe ; nous pouvons prendre en exemple  pomme de terre .  Benyen chen  exprime de la rÊalitÊ
quotidienne d’immigrÊs (d’un pays pauvre vers un pays dÊveloppÊ) qui se livrent à toutes sortes d’emplois (s’occuper des personnes âgÊes, laver les chiens des autres, etc.) pour survivre. Comme expression,  Benyen chen  fit son apparition dans le crÊole haïtien par le biais du rappeur Jean LÊonard Tout-Puissant a.k.a Izolan qui n’a cessÊ de la mentionner sur diffÊrents morceau de sa mixtape baptisÊe  Bri Kouri . Par la suite,  Benyen chen  a imprÊgnÊ le parler de la
Les gens auxquels cette expression est attribuÊe sont gÊnÊralement des dÊmunis, des gens qui supportent la croix de l’insÊcuritÊ alimentaire, les sansabris, les employÊs mal rÊmunÊrÊs, ou des personne qui confrontent d’Ênormes difficultÊs Êconomiques. Dans notre crÊole, le sens de l’expression  Benyen chen  varie en fonction du contexte et elle a divers Êquivalents tels  p ap regle anyen ,  nan move lavi ,  ap bourike nan yon djòb pou yon bouda monnen ,  razè , etc. Wendy Simon
Volontè! Nou Bezwen’w! Ä‘ĆŤĆŤ (%/ĆŤ'!ĆŤÄ‡ÄŒÄ€Ä€Ä€ĆŤ2+(+*0tĆŤ)+ %(%6! Ä‘ĆŤĆŤ . 2 5ĆŤ2+(+*0tĆŤ */ *)ĆŤ 'ĆŤ)+1*ĆŤ* *ĆŤ ĆŤĆŤĆŤĆŤ'+)%*+0!ĆŤ,%ĆŤ2%(*!. ĆŤ5+ Ä‘ĆŤĆŤ +(+*0tĆŤ5+ĆŤ ,ĆŤ0. 2 5ĆŤ'+*0%*5t() *ĆŤ */ *)ĆŤ ĆŤĆŤĆŤĆŤ 'ƍĉƍ'+)%*+0!ĆŤ 5%/5!*Ä‹ Ou vle vin jwenn nou? Ou vle chanje reyalite Ayiti? Nou bezwen w!
Òganizasyon volontè ki pi enpòtan nan peyi Dayiti
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30 août 2013 No 928
Plus d’un demi-siècle depuis que Sœur Claire Gagné a laissé le Canada pour s’installer en Haïti avec la communauté des sœurs de la Charité de Saint-Louis Roi de France. Connue principalement grâce au Congrès Charismatique dont elle tient les rênes depuis plusieurs années, cette Haïtienne de cœur a consacré une grande partie de sa vie à l’enseignement sans pour autant négliger les divers groupes de prière qu’elle dirige depuis 1973. Voix chevrotante et sourire avenant, cette religieuse dont le dynamisme et la persévérance étonnent plus d’un revient sur son engagement. Sœur Claire vit en Haïti depuis cinquante-deux ans, soit peu de temps après qu’elle a prononcé ses premiers vœux. Elle débute son ministère dans le pays au Cap-Haïtien et passe ensuite un certain temps aux Cayes où elle aide à mettre sur pied les premiers groupes de prière. Ces rassemblements, commencés il y a maintenant quarante ans, se répandront par la suite dans tous les diocèses. « La ville de Port-au-Prince à elle seule compte aujourd’hui deux cents groupes de prière. Au total, il y en a environ une centaine éparpillée dans les différentes villes de province. Tous les diocèses ont eu leurs congrès charismatiques annuels », explique Sœur Claire, contente d’avoir pris part à un accomplissement de cette envergure.
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Sœur Claire une Haïtienne de cœur La religieuse passe pourtant peu de temps dans la troisième ville du pays avant de venir s’installer à Port-au-Prince où elle réside actuellement. Éducatrice, elle passe quelques années à l’école normale de Martissant avant de rejoindre, en 1979, le Collège Saint-Louis de Bourdon où elle dispense des cours de catéchèse. La dévote anime aussi les séminaires « De la vie dans l’esprit ». Bien qu’elle ait toujours été dans l’enseignement, Sœur Claire n’a pourtant jamais délaissé les nombreux groupes de prière dont elle s’occupe. Depuis quelque temps, elle se concentre d’ailleurs un peu plus sur ces derniers. Outre ces rassemblements, Sœur Claire s’attèle à mille et une petites tâches comme la préparation de brochures pour divers événements religieux, et aussi, elle visite régulièrement les groupes de prière à l’extérieur du pays. Mais la popularité de Sœur Claire est en grande partie basée sur son ministère de guérison et son rôle dans la réalisation du traditionnel congrès charismatique. Réalisé en avril dernier sous le thème « Celui qui croit en moi, fût-il mort, vivra », le 19e Congrès national du Renouveau charismatique a encore réuni des milliers de fidèles. « Cette année, on a accueilli environ 150 000 personnes. On reçoit de plus en plus de personnes chaque année », révèle-t-elle. La tâche n’est pourtant pas aisée et les coûts d’organisation d’un tel événement sont aussi très élevés. « On tient le coup grâce à l’aide de quelques sponsors, des offrandes recueillies lors des quêtes et aux dons volontaires faits à l’entrée, car depuis le tremblement de terre nous n’exigeons plus de frais d’entrée. Cela demande aussi beaucoup de prières. Il faut à tout prix se laisser
guider par l’Esprit Saint », explique la religieuse. Cette battante est celle qui pense et planifie avant de distribuer les responsabilités aux vingt-sept comités créés pour la réalisation de ce grand rassemblement religieux. Messes, animation musicale, ministères de libération et de guérison, voilà, entre autres, ce à quoi les participants ont droit durant les trois jours que dure ce congrès. Mais ceux qui ne veulent ou ne peuvent attendre cette période pour ses prières se tournent volontiers vers Sœur Claire, qui reçoit généralement des appels de gens de différents coins du pays et même de personnes vivant à l’étranger. A côté des cours qu’elle donne de moins en moins et de ses multiples groupes de prière, Sœur Claire fait de son ministère de guérison un travail à plein temps. Il lui arrive toutefois de prendre le temps de se détendre en compagnie des autres sœurs qui lui reprochent souvent « de ne pas manger assez ». « Je leur dis ‘’Qui est-ce qui est malade ici ? Je ne fais pas de tension, pas de cholestérol, pas de diabète... contrairement à vous ! Alors, ne vous inquiétez pas de moi. Je ne mange peut-être pas beaucoup, mais je mange
un peu de tout et surtout, je mange à ma faim !’’», raconte l’octogénaire dans un sourire. Rentrée au couvent très jeune, Sœur Claire dit avoir toujours eu comme idéal de se donner totalement au Seigneur. « Je voulais arriver à mener une vie d’intimité avec le Seigneur et convertir le plus de personnes possible. J’ai beaucoup de joie à vivre en étant au service du Seigneur, et je reconnais qu’il me donne sa force et sa lumière », explique-t-elle avec ferveur. La religieuse voit occasionnellement, soit une fois par an, sa famille restée au Canada. Au début elle ne les voyait qu’une fois chaque cinq ans. Après le séisme de 2010, la supérieure provinciale lui a proposé de rentrer au Canada si elle ne sentait plus en sécurité en Haïti. « Je suis heureuse en Haïti. J’ai partagé leur joie et je ne veux pas partir au moment où on a peut-être le plus besoin de mes prières et de mes encouragements », avait répondu cette fille de Dieu qui a fait de notre pays sa nouvelle patrie. Daphney Valsaint
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Vendredi 30 août 2013
Championnat des clubs champions
Valencia fait douter Cruz Azul L’équipe championne d’Haïti, le Valencia FC, auteur d’un match de toute beauté et de grande qualité, peut dire adieu à la Concacaf Champions League. Elle s’est fait battre (1-2), mi-temps (0-1) par le CD Cruz Azul du Mexique à l’occasion de son deuxième match disputé mercredi 28 août 2013 dans un stade Sylvio Cator presque vide.
L
e Valencia FC est quasiment éliminé dans la course à la qualification pour le second tour de la plus lucrative compétition au niveau de clubs dans la zone, la Concacaf Champions League. Si les champions d’Haïti, battus sèchement (1-6) le 8 août dernier à domicile par son homologue d’Herediano du Costa-Rica, face aux vice-champions du Mexique, ils ont limité les dégâts. Cependant, ils ont quand même subi la loi de l’équipe du CD Cruz Azul (1-2), au terme d’un match où ils ont monopolisé le ballon. Ainsi, le Valencia FC se complique la tâche dans la mesure où il jouera ses deux prochains matches en septembre hors de ses bases. Face à CD Cruz Azul, les Haïtiens ont fait l’essentiel du jeu en dominant de la tête au pied l’adversaire du jour, mais sans arriver à inscrire le petit but pouvant faire douter les Mexicains, visiblement dépassés par les événements. Toutefois, les joueurs de la «Maquina celeste » se sont montrés plutôt réalistes en marquant le premier but de la rencontre, et ce, contre le cours du jeu, et sur la seule et unique vraie occasion trouvée. Un long ballon qui traverse toute la défense du Valencia FC, sortie catastrophique et hasardeuse de Frandy Montrévil qui ne joue pas le ballon. L’attaquant du CD Cruz Azul en a profité pour dévier de la tête pour son coéquipier Amione Cevallos (16’). Ce dernier ne se fait pas prier pour catapulter le ballon de la tête au fond des filets de l’équipe locale. Le Valencia a tout tenté en première mitemps pour rétablir l’équilibre sur le tableau d’affichage, mais sans pouvoir inscrire le moindre but. Le coup franc magistral de Walson s‘écrase sur la barre transversale (27’). La frappe en pleine surface de réparation d’Emerson Michel a été captée en deux temps par le portier adverse. Bien avant ces actions, le Valencia, en début de match, a bien failli ouvrir le score. Walson Auustin, après avoir mystifié un défenseur, a frappé hors cadre (6’). Géraldy Joseph a vu lui aussi son tir puissant capté par le gardien de Cruz Azul (11’) et trois minutes plus tard, les joueurs du Valencia ont bombardé le camp adverse, mais la défense du Cruz Azul faisait bonne garde pour contrer les assauts des Haïtiens. On en reste là pour le score à la mi-temps (0-1 pour les visiteurs incapables de déployer leur jeu). A la reprise, l’équipe du Valencia n’a pas levé les pieds sur l’accélérateur, au contraire, il en profite pour bousculer le CD Cruz Azul. Entré en jeu à la place d’Emerson Michel, le meilleur buteur du championnat national, André Amy (71’), égalise fort
Jeronimo Amione essaie de prendre à défaut la défense de Valencia. (Photo : Yonel Louis)
logiquement pour les siens (1-1), et ce, pour la plus grande joie de quelques centaines de fans du foot faisant le déplacement pour supporter les champions d’Haïti. Alors que le Valencia multiplie les assauts, assiège le camp du Cruz Azul, avec pour objectif d’inscrire le but victorieux, une mauvaise lecture de Mackendy Duverger, conjuguée à la fois à une manque de sang foi de Frandy Montrévil, permet aux Mexicains d’en profiter pour tuer le match en prenant l’avantage (2-1), but de Jesus Lara Garcia (85’). Par la suite, les efforts consentis par les joueurs du Valencia n’ont rien donné et, au score final, l’équipe championne d’Haïti s’est une nouvelle fois inclinée (1-2). Elle se trouve donc à deux doigts de la porte de sortie de la plus prestigieuse compétition organisée au niveau de clubs dans la zone Concacaf. En conférence de presse, l’entraîneur du CD Cruz Azul félicite l’équipe haïtienne. « Ça été un match très difficile puisqu’en face, on a eu affaire à une très bonne équipe du Valencia FC. Elle nous a bousculés, mais la victoire revient à nous et c’est le plus important », a déclaré Guillermo Vasquez. Presque même son de cloche de la part du capitaine de la « Maquina celeste », Julio C. Dominguez. L’entraîneur et le capitaine du Valencia FC regrettent que leur équipe n’ait pas su profiter de cette rencontre pour revenir dans la course à la qualification. Cependant, ils ont tiré pas mal de leçons et ont promis de faire mieux l’an prochain. « Il est quasi certain que nous allons remporter le championnat national cette année. Ce
faisant, nous aurons la possibilité de revenir dans la Concacaf Champions League, et ce, avec de nouvelles dispositions. Le Valencia a deux matches à jouer nous allons tout tenter pour avoir un résultat positif de notre déplacement du côté de Costa-Rica et du Mexique », a fait savoir Frantz Décembre. Mackendy Duverger est de cet avis: « Nous allons faire mieux l’an prochain .» Pour rappel, le Valencia FC disputera ses deux prochains matches au Costa-Rica face à Herediano, le 18 septembre, et le 25 du même mois, il se rendra dans la capitale du Mexique pour y jouer le CD Cruz Azul. Mercredi 28 août 2013 Stade Sylvio Cator : Valencia FC (Haïti) - CD Cruz Azul (Mexique) : 1-2 André Amy 71’ (Val).- Jeronimo A. Amione Cevallos 16’ et Jesus A. Lara Garcia 85’ (Cruz Azul). Avertissements : Samuel Pompée 4’, Harold Sanon 67’ et Géraldy Joseph 75’ (Valencia FC).- Rogelio Chavez Martinez 79’ et Juan Garcia Sancho 65’ (Cruz Azul) La formation des deux équipes : Valencia FC : Frandy Montrévil (GK).- Samuel Mardochée Pompée, Jean Robert Jean, Mackendy Duverger (Cap), Jean Dany Maurice.- Harold Sanon, Esso Fraudlyn Amicy (Chaderson Charlemagne/68’), Géraldy Joseph, Roody Joseph (Yves Marie Racine/89’).- Emerson Michel (André Amy/47’) et Walson Augustin
DT : Frantz Décembre
CD Cruz Azul : Guillermo Allison (GK).- Rogelio A. Chavez Martinez, Julio C. Dominguez (Cap), Manuel Madrid Quezada, Jesus Henestrosa Vega (Francisco J. Flores/46’).- Allam Bello
Huerta (Juan C. Garcia Sancho/46’), Alejandro Castro Flores, Mauro Formica.- Sergio J. Napoles Saucedo, Jeronimo A. Amione Cevallos et Antonio Pedroza (Jesus A. Lara Garcia/74’). DT : Guillermo Vazquez Légupeterson Alexandre/petoo76@aim.com
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RAPHAEL FÉQUIÈRE
LA GOUTTE D’OH! Quoi qu’il en soit Quoiqu’il puisse arriver au terme de la 2e assemblée extraordinaire convoquée le samedi 31 août 2013, la plaie des clivages restera ouverte et le Comité olympique haïtien n’en sortira pas grandi. La présence actuelle en Haïti du secrétaire général Alain JeanPierre est pour rassurer plus d’un que cette séance ne sera pas une de plus dans les annales du COH que les mauvaises langues qualifient de “Corruption Organisée Horriblement” ou “Confrérie Omnipotente et Honnie”. La question que tout le monde se pose : Qu’en est-il des projets d’avenir du COH et des engagements internationaux déjà pris pour Haïti? le suivi devant être assuré par un président et un secrétaire général qui ont la confiance des fédérations et associations affiliées. Ce qui n’est pas le cas!
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Vendredi 30 août 2013
Championnat national de D2: Phase I/J19
En guise d’éclairage Le championnat national de D2 s’approche de plus en plus de la fin de sa première phase de 22 journées. Si le Racing des Gonaïves, l’ASC, la Relève de Jérémie, Verrettes, la Police nationale d’Haïti peuvent s’enorgueillir d’un bon parcours jusqu’ici, celui de ASCAR, Eclair des Gonaïves, Roulado de la Gonâve, Dynamite de SaintMarc, Violette Athlétic Club, tous anciens pensionnaires de la D,1 laisse à désirer.
L
a position du doyen des clubs du pays, Violette Athlétic Club, à 4 journées de la fin de la première phase du championnat national de D2, donne à réfléchir. Le “vieux
tigre” ne pointe qu’à la 6e place du classement du groupe III et peut difficilement espérer s’offrir un billet pour jouer le titre, donc la montée. Sauf si la Commission d’organisation des compétitions Nationales (COCON) changent le protocole que quelques représentants de clubs disent détenir. Mais au-delà de la position du Violette, celui de l’AS Limonade fait jaser. Après 18 journées de compétition, cette formation qui avait joué une place en D1 la saison dernière compte 0 pt dans le Groupe I. . Pas si étonnant que ça, si l’on tient compte de certaines informations recueillies de sources peu fiables il est vrai, (il faut l’avouer, car les vrais concernés restent muets sur la question) L’AS Limonade aurait été déçue par la manière dont les équipes qui disputent la D2 cette saison y ont eu accès. En effet, 32 formations réparties en 2 grandes zones (Nord, Sud) et 4
groupes (2 Nord, 2 Sud) de 8 avaient disputé une saison 2012 organisée en 3 phases dans le but de donner plus de temps de jeu aux joueurs haïtiens. Un nombre qui a été augmenté de 12.5 % à l’intersaison. 36 équipes réparties en 3 groupes de 12 disputent l’actuelle saison. La compétition se joue en deux phases de manière à ce que chaque équipe dispute 32 rencontres cette saison. Chaque équipe doit disputer 22 rencontres au cours de la première phase et à l’issue de cette première phase les 2 premiers de chaque groupe se retrouveront dans un groupe unique pour une deuxième phase de championnat de 10 journées. Logiquement, le champion et le vice-champion devraient être promus en D1 selon les différents clubs de D2 consultés sur le protocole qu’ils disent détenir. En tout cas, 4 journées avant la fin de la première phase de l’édition 2013 en D2, l’Association Sportive
Vers une assemblée générale à huit clos du Comité Olympique Haïtien Communiqué du COH Pétion-Ville, le 29 Août 2013 CONVOCATION EXTRAORDINAIRE AUX : Membres du Comité Exécutif du Comité Olympique Haïtien; AUX : Dirigeants des Fédérations et Associations Sportives et Sportives Cérébrales affiliées au Comité Olympique Haïtien ; OBJET : Rappel aux Fédérations
et Associations Nationales. Mesdames, Messieurs, Les travaux de l’Assemblée Extraordinaire avaient été arrêtés pour permettre au Secrétaire Général, Monsieur Alain JEAN PIERRE, de répondre aux charges retenus contre lui. Lors de la séance, il avait été convenu que l’Assemblée Générale reprendrait ses travaux le samedi 31 Août 2013 à 10 h 00 a.m. au local du Comité Olympique Haïtien. N.B: En cas d’absence du Prési-
dent ou du Secrétaire Général, le représentant désigné par sa Fédération ou Association devra être muni d’un mandat dûment signé. Les travaux se tiendront à huit clos avec la présence de deux membres par fédérations affiliées.
Capoise et le Racing des Gonaïves, respectivement 1er et 2e du groupe I, l’Association Sportive des Verrettes et la Police Nationale d’Haïti (1er et 2e du groupe II) et enfin La Relève de Jérémie suivi de l’Amateur de Cité Soleil (leaders du groupe III) sont les mieux placés pour accéder au groupe unique qui disputera le titre. Racine de Gros-Morne, l’ASSL et même la JSC nourrissent encore l’espoir dans le groupe I. Dans le groupe II, l’Association Sportive Riveartibonitienne, Vision de Hinche et, à un degré moindre, Triomphe de Liancourt nourrissent encore l’illusion. Enfin, l’US Dufort, Juventus FC, AS Aquin et le Violette AC loin derrière peuvent encore rêver.. . Enock Néré
Calendrier de la 18e journée prévue du groupe 1 Dimanche 1er septembre Parc Saint-Victor ASC - US Lajeune de Hinche Parc Rolland Abdallah de GrosMorne Racine de Gros Morne - Portde-Paix Parc Nelson Petit-Frère de SaintLouis du Nord ASSL - Limbé FC Parc Sainte Claire de Marchand AS Dessalines - Racing des Gonaives Parc Frédéric Claude de l’Estère AS Estère - Jeunesse Sportive Capoise
Jean Edouard Baker, président du Comité Olympique Haïtien
Calendrier de la 19e journée du Groupe II Jeudi 29 Août
Au cours de la tournée de George Hill en Haïti AC
Parc Balthazar de l’Arcahaie Arcahaie FC - Panthère Noire
Dimanche 1er Septembre Parc Mercinus Deslouches de Liancourt Triomphe de Liancourt - Roulado de la Gonave Terrain Ciment d’Haïti Roulado de Sources Matelas - AS Verrettes Parc Charlemagne Péralte Vision de Hinche - AS Riveartibonitienne Terrain de l’Académie à Frères Police Nationale d’Haïti - Dynamite de Saint-Marc
L’équipe de basket-ball de la Police nationale d’Haïti pose avec le célèbre basketteur américain George Hill (Photo ; Yonel Louis)
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30 août 2013 No 928
JEUX - 99
MOTS CACHÉS
MOTS CROISÉS
Les mots peuvent figurer dans tous les sens : horizontalement, verticalement, en diagonale, de haut en bas et vice versa, de droite à gauche et inversement. Les sept lettres restantes forment le diminutif du nom de la science qui étudie le temps qu’il fait et le temps qu’il fera.
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Horizontalement 1 - Fibre coriace de certaines viandes. Dégoutta. 2 - Copain. Instituée. 3 - Rencontre. Recueil de cartes géographiques. 4 - Soulager. Cérémonie. Six. 5 - Île de l’Atlantique. Compétition réunissant amateurs et professionnels. Ébauche. 6 - Prénom féminin. Parfait. 7 - Démodé. Adjectif possessif. 8 - Lettre grecque. Mouche africaine. 9 - Moquerie collective. Petit trait. 10 - Fondement. Vétille. Adjectif possessif. 11 - Ancien oui. Changer de peau. Dividende. 12 - Agile. Apeuré.
SOLUTION JEUX - 98 SUDOKU
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Une grille de Sudoku se compose de 81 cases regroupées en 9 blocs de 9 cases. Place un chiffre de 1 à 9 dans chaque case vide. Chaque ligne, chaque colonne et chaque boîte 3x3 délimitée par un trait plus épais doivent contenir les chiffres de 1 à 9. Chaque chiffre apparait donc une seule fois dans une ligne, dans une colonne et dans une boîte 3x3. Quelques chiffres ont été placés pour vous aider.
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Verticalement 1 - Avantage. Récipient hémisphérique. 2 - Singer. Empreinte. 3 - Sable mouvant. Pâteux. 4 - Cétone de la racine d’iris. Parsemé. 5 - Tranché. Privation. Cité antique de la basse Mésopotamie. 6 - Grand filet. Rivière des Alpes du Nord. 7 - Ricané. Agité. Colère. 8 - Identique. Dû. 9 - Halte. Mammifère de l’ordre des primates. 10 - Assaisonnement. Amplificateur quantique de radiations lumineuses. Article contracté. 11 - Absorbé. Prince musulman. 12 - Endommagé par le feu. Maudit, sacré.
PYRAMIDE Complétez la pyramide avec les nombres manquants. Chaque brique contient la somme des deux cases situées en dessous de celle-ci.
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MATHS MATIN MÉGOT MIAOU MURAGE MUSÉUM NÉGUS NURSAGE ODORAT OUTARDE PLANER PLONGE POUPIN QUIDAM RADIAL RAGER
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DÉLAI DÉLIT DÉPIT DIAPO DORIS DOUVE ÉPURER FICHUE HAINEUX IMPORTÉ INTER JUNTE LAQUER LIAGE LICOU MALLE
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MOTS CACHÉS FUREUR
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