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Bruno Mourral à travers ses publicités Bruno Mourral, réalisateur et scénariste haïtien, vient de remporter la première place de la catégorie comédie dans une compétition aux Etats-Unis. Ce concours a été réalisé par « Winners of the acting & directing talent search ». C’est une compétition qui concerne les réalisateurs de publicités. L’épreuve consiste à trouver les nouveaux talents pour réaliser les différents genres tels que la comédie, le drame et le non-narratif. Bruno avait soumis des travaux qu’il avait déjà réalisés comme les pubs produits pour les compagnies « Bakara » et « Rébo ». Au quart de finale, ils étaient au nombre de deux cents ! Une diffusion des œuvres des gagnants se fera à Los Angeles en décembre prochain. À la fin du mois d’août, Muska Group, auquel il appartient, a participé au neuvième festival de « HollyShorts », un concours spécialisé dans les courts-métrages. La publicité « Big Shake », qui a connu un grand succès en Haïti et qui a rapporté quelques prix au groupe, était en compétition officielle dans la catégorie publicité. Elle s’est inclinée en finale face à un spot de Coca-Cola, « Open Hapiness ». Le teaser « Le Revenant » avec Jimmy Jean-Louis est aussi passé au festival en hors compétition. Toutefois, « Big Shake » a remporté le premier prix au festival California International Shorts. Par la suite, BBDO, une agence internationale, a contacté Muska Group pour la réalisation une autre version de « Big Shake » en Égypte. Cette version est déjà disponible sur la page Facebook de Mirinda et sur Youtube. Muska Group est le réalisateur de nombreuses publicités pour différentes institutions de la place. Après son diplôme au lycée français de Port-au-Prince, Bruno entame des études d’économie et de gestion à Bordeaux. Toujours fasciné par la réalisation de films, il rejoint une école privée à Paris. Pendant ses études, il dirige des messages publicitaires pour Blue Mango, une agence de publicité haïtienne. En 2007, il retourne en Haïti, où il crée Muska Group, une société de production audiovisuelle qui réalise des films publicitaires pour le marché des Caraïbes. En 2009, après un cours intensif à la New York Film Academy, Bruno crée une deuxième société de production, “Maninhat”, basée à Soho, à Manhattan. En 2010, il reçoit le prix de “meilleure publicité” au Festival du film Garden State pour la boisson
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FANS
Une publication de Ticket Magazine S.A.
“Flanm” commercialisée par Coca-Cola. En 2012, il gagne plusieurs prix pour la campagne de publicité “Big Shake” qui a été un énorme succès sur Internet. Et aujourd’hui Bruno Mourral, à travers
ses sociétés de production, continue de triompher sur le marché publicitaire d’ici et d’ailleurs. Dorine Jeanty jeantydorine@hotmail.com
SECRÉTAIRE DE RÉDACTION Daphney Valsaint MALANDRE
Gilles FRESLET Myria CHARLES Winnie Hugot GABRIEL Teddy Keser MOMBRUN Junior Plésius LOUIS Raphaël FÉQUIÈRE Enock NÉRÉ Légupeterson ALEXANDRE
CORRECTION Jean-Philippe Étienne CRÉATION ARTISTIQUE Responsable graphique Réginald GUSTAVE Stevenson ESTÈVE Photographes Studio 198-53280
Adresse : Bois Verna # 6 Tél.: 2227-6862
RÉDACTEUR EN CHEF Gaëlle C. ALEXIS
RÉDACTION Dimitry Nader ORISMA
ECOLE NORMALE DE JARDINIÈRES D'ENFANTS Devenez éducateur ou éducatrice de la petite enfance. Inscrivez-vous à l'Ecole Normale de Jardinières d'Enfants et bénéficiez d'une formation complète qui fera de vous un expert, une experte en matière d'éducation. Saisissez l'opportunité de vous initier à l'art, à la pédagogie, à la psychologie de l'enfant, à l'animation de groupe, à la santé, à l'administration scolaire.
DIRECTEUR DE LA PUBLICATION Frantz DUVAL
Frederick C. ALEXIS Homère CARDICHON Jules Bernard DELVA Moranvil MERCIDIEU Yonel LOUIS
Publicité: 2941-4646 publicite@lenouvelliste.com Rédaction: 2945-4646 / 3806-3717
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« Zoukoutap »
le nouveau feuilleton radiophonique haïtien Christina Guérin promet du nouveau sur la bande FM à partir du lundi 30 septembre 2013, avec la sortie du feuilleton radiophonique « Zoukoutap ». Cette série sur laquelle on retrouvera les voix de Richard Vieux, Cynthia Jean-Louis Laurent, Pinas Alcera et occasionnellement celle de Christina Guérin, entre autres, passera sur la Radio Nationale et Radio One. Mélange de drame, d’humour et de « zen », Zoukoutap raconte quatre histoires parallèles qui se passent à Manik, dans différentes zones de ce pays dont la réalité de la vie est assez semblable à celle d’Haïti, inventé pour les besoins du feuilleton. On y retrouve environ une quinzaine de personnages principaux et plus d’une vingtaine de récurrents. Pour la réalisation de ce feuilleton, Christina, qui en est la directrice, a travaillé avec quatre écrivains : Jean Samuel André, Caroline Louis, Charles Rafael Francillon et Sherley Hilaire. L’humoriste
s’occupe en gros du travail de production, apporte des corrections au script, écoute les enregistrements, etc. Pinas Alcera, outre sa fonction d’acteur, sert aussi de coach à ses autres confrères. Ricky Juste, que l’on retrouvera aussi occasionnellement dans « Zoukoutap », a fait le générique du feuilleton avec une chanson de Yohann Doré sur laquelle il a aussi chanté. « Quand on y ajoute l’ingénieur de son, Michel Vallon, on est six personnes pour faire le travail que Mona Guérin faisait toute seule pour Woy ! Les voilà !!! », raconte la jeune femme encore émerveillée par le travail colossal qu’accomplissait sa défunte mère. Tout semble fin prêt pour le lancement de « Zoukoutap ». La publicité officielle dans les médias et à travers les réseaux sociaux devrait commencer dans les jours qui viennent en vue de préparer le public au grand jour. Le feuilleton, qui passera les lundis et mercredis à 4 h
De gauche a droite : Assis - Jean-Samuel André (Écrivain), Christina Guérin (Productrice), Michel Vallon (Ingénieur de son). Debout - Sherley Hilaire (Écrivain), Caroline Louis (Écrivain) Charles Raphael Francillon (Écrivain)
30 p.m. sur Radio One et les mardis et jeudis à 10 h a.m. sur Radio Nationale, sera soumis à l’appréciation du public le 30 septembre 2013. « Les tests effectués avec des acteurs de différents âges ont révélés de très bons résultats. Je crois
que cela va être très intéressant et je m’attends à un bon accueil », conclut Christina Guérin, confiante. Daphney Valsaint
Marie Darline Exumé Miss Global Haïti 2013 Marie Darline Exumé représentera Haïti à la neuvième édition de Miss Global en Jamaïque. Cette activité se tiendra à Sunset Beach Resort, à Montego Bay, du 23 au 29 septembre prochain. Trente-cinq participantes venues d’aussi loin que l’Australie, la Syrie, la Chine, le Singapour, la Namibie, l’Ethiopie... seront en compétition pour la couronne 2013. Les concurrentes sont attendues dans le pays de Bob Marley le lundi 23 septembre ; elles visiteront plusieurs sites. Le vendredi 27, les candidates présenteront leur talent au coucher du soleil. Le couronnement est pour la nuit suivante. La confiance de Darline est à un niveau record depuis sa victoire comme Miss Global Haïti en 2012. La jeune fille aime son pays et est très fière de
le symboliser. La Miss pense que cette opportunité lui permettra de mettre en valeur la culture d’Haïti. Darline veut que les autres postulantes puissent rêver d’Haïti à travers sa personne ! Pour cela, notre représentante s’est approvisionnée en drapeaux et en chapeaux pour chacune de ses concurrentes. On lui a aussi demandé d’apporter quelque chose de spécial, de très original qui provient de son pays, parce qu’il y aura une vente aux enchères ! Darline, mannequin, a 21 ans. Elle est souriante, optimiste et très jalouse. Elle est étudiante en troisième année de médecine à l’Université Quisqueya. Il y a trois ans, Darline a été la première dauphine de Miss Adriana à Jacmel ; et l’année suivante, elle a été deuxième dauphine de Miss Haïti Univers. Finalement, en 2012, elle a été gagnante de Miss Global Haïti. Darline est très soucieuse de l’environnement, de l’éducation et de la santé. Elle conseille à toutes celles qui veulent participer à un concours de Miss d’être élégantes, d’avoir une bonne aptitude, de travailler leur grâce, d’être éduquées (car c’est la première alternative), de cultiver leur langage, leur savoir-faire, leur leadership et leur féminité. Dorine Jeanty jeantydorine@hotmail.com
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Lancement de la deuxième édition de Haiti Fashion Week
En dépit des menaces de la pluie et un public pas trop nombreux, les organisateurs ont donné le coup d’envoi de la deuxième édition de Haiti Fashion Week. Les grands moments de ce baptême. Dans son discours de circonstance, Maguy Durcé, la pdg du Réseau des designers exprime sa joie d’inaugurer l’événement qu’elle présente comme ayant une grande portée sociale, économique et esthétique. «Cette nouvelle, ditelle, vient confirmer une étape décisive dans le développement de la filière de la mode haïtienne.» Plus loin, elle fait l’apologie de l’édition précédente qui a fait la une, selon elle, de tous les grands journaux et télévisions à travers le monde. La designer présente le travail de ModAyiti, ses perspectives grandioses, des remerciements aux sponseurs et à toute l’équipe. Barbara Stephenson, le chef de projet de ARCADES, exprime aussi sa satisfaction pour le lancement. «Arcades représente un investissement de 3.7 millions d’euros de l’Union Européenne dans le secteur des industries culturelles», laisse-t-elle entendre. Elle boucle son speech en demandant d’applaudir les organisateurs et organisatrices de la Fashion Week qui contribue, selon elle, comme les autres projets financés par son organisme, à la construction d’une image positive d’Haïti. Raphaël Brigandi, de l’Union Européenne, revient aussi sur le succès de l’édition précédente. «La Haiti Fashion Week a été saluée aux quatre coins du globe, contribuant au rayonnement international d’Haïti sous un jour nouveau», a-t-il déclaré. Plus loin, il déclare qu’investir dans le luxe n’est pas un luxe.» Cela traduit une vision et une compréhension que ce secteur constitue un formidable vecteur de développement économique», ajoute-t-il. Brigandi termine en souhaitant que cette deuxième édition ait un succès plus éclatant que la précédente et que la mode se développe en Haïti pour créer des emplois, rayonner internationalement et pour notre plaisir de consommateurs et de spectateurs. La ministre de la Culture, Josette Darguste, verse dans l’apologie de la
richesse de notre culture. Elle compare, entre autres, la semaine de la mode à une persienne ouverte de la fenêtre de notre pays. Après les discours, on apprécie une prestation de Luck Mervil, l’invité d’honneur de la deuxième édition. Il interprète un morceau en anglais. L’école de danse Jean René Delsoin, quant à elle, offre une chorégraphie qui rappelle par bien des éléments le spectacle «Hommage aux divinités de l’eau’’. Deux protagonistes : un homme et une femme. La femme vêtue en blanc (Simbi ou Erzulie ?) évolue tout au début, dans une gestuelle mêlant étreinte et tours de reins, avec son cavalier le torse nu qui termine seul la prestation dans un semblant de banda endiablée. Extravaganza, le show de mode pittoresque Sous le vocable de Extravaganza un grand défilé est donné en guise de happy end par un grand nombre de designers qui présentent des pièces uniques sous le thème de l’environnement. On s’imagine de par les matières des robes et accessoires que les poubelles ont été vidées et que la nature a inspiré. Michel Chataigne présente « Les champs ». Sa robe est faite de feuilles de bananes, de noix de coco et d’autres éléments issus du recyclage. Têtê, de Rapadou, se la joue simple en apposant de la corne sur du coton. Maëlle David met de l’émoi avec une robe faite de chapeaux de paille, de latanier, de jute et de sacs. Malou Cadet fait un patchwork de toile incrusté dans une espèce de tour métallique agrémentée de clefs. Sybile Denis Trouat est la seule à opter pour une robe de mariée. Le seul élément ordinaire de la robe, c’est la couleur blanche, le reste c’est des assiettes, des couverts en polystyrène, des serviettes jetables. Phelicia Dell rend hommage aux quatre éléments. Tout au haut elle entrecroise des fleurs et des feuilles. Elle
raconte une scène de la vie paysanne sur une fresque calquée au bas de la robe. Farah Pierre-Louis présente une robe tout en copeaux de bois. Miko Guillaume se contente d’un bouquet de roses naturelles assorti d’un bikini. Maguy Durcé donne une seconde vie au tissu de recouvrement des pneux KUMHO qui est l’un des sponseurs de la Haiti Fashion Week cette année. Cela donne un effet très argenté. Harry Lafond rend hommage à la déesse Athéna, protectrice des arts et métiers, dans un costume fait de latanier et de toile. Madeline Ledan a opté pour les feuilles de journaux et de magazines comme éléments constituant sa robe. Corah Sajous a jeté son dévolu sur le siam et les pailles de bananier. Jean Yves Marchand associe des fleurs en jute, de la peinture et des plumes pour un bouquet de « fleurs éternelles ». Musset Paillant se la joue victuailles. Sa robe risque d’être rongée par les rats car elle est agrémentée surtout de céréales, de pois rouge, de grains de café. Les étudiants de Verona ont chacun versé dans la récupération et l’organique. (Ils feront bientôt l’objet d’un article) Les accessoiristes n’étaient pas en reste Les créations Dorées ont opté pour le latanier, le cuir et la soie Gerry Romain a touché à la corne de bœuf et aux pierres organiques. Pascale Théard donne chair à un personnage qui rappelle l’Esprit Zaka du panthéon Vodou grâce à des sandales, un djakout, des colliers, un fétiche. Daphné Stephenson recycle des tessons de bouteilles. Daphné Floréal rend hommage à l’Atlantide, le royaume soi-disant englouti par la mer ; par conséquent ses matières sont des coquillages, des algues… des trésors des fonds marins. Chancy Victorin
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Vendredi 20 septembre 2013
C1 de la Concacaf
Le Valencia prend la porte de sortie
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écidément, le Valencia FC se trouve au creux de la vague. Pointé à la troisième place du classement du championnat national de D1 avec (12) points, le tenant du titre de la compétition reine du pays n’a gagné qu’un match sur les trois derniers disputés. Défait (0-2) devant l’AS Mirebalais et (0-3) face au Racing Club Haïtien, le Valencia qui avait sèchement battu (4-0) son homologue de l’AS Petit-Goâve, n’arrive pas à inverser la tendance dans la Concacaf champions league. Au contraire, les champions d’Haïti ont été laminés la nuit dernière (4-2), mi-temps (2-0) par leur homologue d’Herediano dans le cadre de la troisième journée des matches de poule disputée à l’Estadio Alejandro Morera Soto (Alajuela). En se faisant battre pour la troisième fois de suite dans la ligue des champions de la Concacaf, le Valencia FC a pris la porte de sortie de la plus lucrative compétition organisée au niveau de clubs dans la zone. Son tombeur n’est autre que l’équipe d’Herediano. Ainsi, sur l’ensemble des deux matches, les Costariciens ont laminé les Haïtiens (6-1) et (4-2) pour reprendre le contrôle du groupe au le
Classement
1-CS Herediano (Costa-Rica): 6 points 10BP 6BC (+4) 2- CD Cruz Azul (Mexique) : 6 points 5BP - 1BC (+4) 3-Valencia (Haïti) : 0 point 4BP - 12BC (-8) Prochaine journée 24 septembre 2013 : Cruz Azul Valencia FC :
Les deux équipes :
L’équipe du Valencia de Léogâne éliminée de la compétition
CD Cruz Azul, prochain adversaire du Valencia, le 24 septembre à Mexico (Mexique). Eliminé dans la course à la qualification pour les ¼ de finales de la Concacaf Champions League, le Valencia FC risque de connaître une saison blanche en tenant compte de sa position au classement du championnat national de D1. Tout compte fait, les champions d’Haïti ne peuvent miser que sur le
traditionnel tournoi de fin d’année, baptisé « Super Huit » pour sauver sa saison.
Résultats de la 3e journée
Mercredi 18 septembre 2013 CS Herediano - Valencia FC : 4-2 Olman Vargas 1’, Minor Diaz Araya 6’, Jose Sanchez 51’ et Anllel Porras 76 (He).- Roody Joseph 49’ et André Amy 84’ (Val) Avertissements : Esso Fraudelyn Amicy 79’ (Val)
Valencia FC : Frandy Montrévil (GK).- Jean-Dany Maurice, Jean-Robert Jean, Mackendy Duverger (Emmanuel Joseph/ 55’), Samuel Mardochée Pompée.- Fritz Gérald Alliance (Chaderson Charlemagne/ 76’), Esso Fraudelyn Amicy, Géraldy Joseph.Roody Joseph, Walson Augustin (Emerson Michel/ 56’).- André Amy DT : Frantz Décembre CS Herediano : Daniel Cambronero (GK).- Francisco Calvo, Junior Alvarado (Berny Scott/ 66’), Yosimar Arias (Jose Cancela/85’), José Garro Gonzalez.- Carlos Hernandez, Esteban Ramirez, Jose Sanchez, Keylor Soto.- Minor Diaz Araya et Olman Vargas (Anllel Porras/63’). DT : Marvin Solano Abarca petoo76@aim.com
Badminton / Assemblée
Participation d’Haïti à la réunion de Kuala Lumpur temps d’investir dans la construction ou l’aménagement des infrastructures à l’intérieur du centre olympique en construction en Haïti. Elle nous promet également une aide en matériels et équipements pour la pratique en bonne et due forme du badminton dans le pays. D’autres pays affiliés à l’instance internationle manifestent la volonté de nous aider dans la formation des cadres techniques et administratifs.Le problème est de trouver du financement pour l’hébergement des experts appelés à venir en Haïti pour dispenser ces formations.
Jean-Max Saint-Philippe de la commission technique de la Fédération haïtienne de badminton se trouvait à Kuala Lumpur (Malaisie) pour prendre part à l’assemblée générale ordinaire de la Fédération internationale. Ce dernier qui séjourne actuellement aux Etats-Unis fait le point sur sa participation à cette réunion. Ticket Sport : vous avez été à l’assemblée de la Fédération internationale de badminton tenue dernièrement à Kuala Lumpur (Malaisie), avez-vous pris la parole pour parler des difficultés de toute sorte que connaît cette discipline en Haïti ? Jean-Max Saint-Philippe :En effet, j’ai été à l’assemblée générale ordi-
Le conseiller technique de la FEHBAD, Jn Max St Philippe à la réunion de Kuala Lumpur
naire de la Fédération internationale pour représenter le badminton haïtien à Kuala Lumpur et j’ai parlé des multiples problèmes de structuration et de développement dans un pays comme Haïti. A citer : l’absence d’infrastructures, le manque de matériels pour la
pratique du badminton par la jeunesse, la problématique des ressources humaines et financières etc... TS : Quelle forme d’aide la fédération vous a-t-elle promise ? JMSP : Ce serait dans un premier
TS :Quelle va être la chronologie des activités pour la fédération à l’échelle nationale ? JMSP : la formation continue des cadres techniques et administratifs avec, de temps à autre, la venue d’un expert pour animer ces formations, le projet de badminton scolaire avec grand espoir que le ministère de la Jeunesse et des Sports nous accompagne. TS : A quel point en est-
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Vendredi 20 septembre 2013
13 gifles en 16 seconds, dernier cas de violence dans le sport au Japon
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reize gifles en 16 secondes: un entraîneur japonais de volleyball a été filmé dimanche dernier en flagrant délit de brutalité sur un lycéen, une vidéo qui fait désordre après la désignation de Tokyo pour les JO 2020. Postée sur YouTube, la vidéo
prise avec un téléphone portable, et dont l’authenticité a été confirmée par l’établissement scolaire, montre le coach en train de gifler copieusement son élève devant ses camarades pendant un match d’entrainement au lycée Hamamatsu Nittai, situé à Gifu, dans le centre du pays.
Badminton/Championnat
Démarrage de la saison pour Haïti Badminton
Une des rencontres de la 1ere journée du championnat de badminton
Haïti Badminton a procédé le dimanche 15 septembre 2013 au gymnasium Vincent à l’inauguration de son championnat réparti dans les catégories Open et Seniors, -40 ans et 40 ans et plus. La première journée de cette compétition qui se joue en simple et en double et qui prendra fin le 22 octobre prochain a donné les résultats suivants :
“Rigole pas avec moi, gamin, hein! Compris??! T’es stupide!” hurle le professeur au lycéen qui, bien que plus grand que l’entraîneur, se laisse gifler sans broncher, les mains dans le dos. Peu après la scène, vue plus de 1,6 million de fois sur les réseaux sociaux, l’entraîneur a admis avoir frappé l’élève mais, a-t-il plaidé, c’était “pour le secouer”. “Je n’ai pas utilisé la bonne méthode”, a-t-il ensuite reconnu. Le proviseur adjoint du lycée, Toshitaka Shiozawa, a indiqué à l’AFP que le même professeur, dont l’identité n’a pas été révélée, avait également frappé un autre lycéen le même jour. L’établissement envisage des sanctions. En mai dernier, le même professeur avait frappé un autre élève qui avait saigné du nez mais l’affaire n’avait pas été plus loin, le lycéen n’ayant pas porté plainte. Le monde du sport japonais est régulièrement secoué par des affaires de brutalités et de violence. Ainsi, on a appris le 13 septembre la suspension pour un mois par son université du champion du monde de judo Shohei Ono (-73 kg), pour avoir frappé un autre judoka. Récemment aussi, 70 lycéens d’un Badminton / Assemblée
Participation d’Haïti... on au niveau de la Fédération haïtienne de badminton (FEHBAD) avec l’organisation de compétitions nationales et interscolaires ? JMSP : Comme je l’ai souligné plus haut, il va falloir que l’Etat, à travers le ministère, joue pleinement sa participation et également que le secteur privé ne fasse pas la sourde oreille à nos demandes visant à sponsoriser l’événement. L’organisation des premières compétitions de badminton exige beaucoup sur le plan financier.
Au programme pour la 2e journée prévue le dimanche 22 septembre toujours au gymnasium Vincent :
établissement de Kobe (ouest) se sont retrouvés avec les pieds en sang après avoir été obligés par leurs professeurs de courir pieds nus pendant 1 km sur une route chauffée à blanc par le soleil. Fin janvier dernier, l’entraîneur de l’équipe nationale féminine de judo du Japon avait, lui, été contraint de démissionner après des révélations sur des mauvais traitements qu’il infligeait à ses sportives, notamment des gifles et des coups de sabre en bambou. Cette affaire était survenue quelques semaines après le suicide d’un lycéen régulièrement frappé par son entraîneur de basket-ball. Selon une enquête publiée en janvier 2011, quatre enfants meurent en moyenne chaque année au Japon au cours d’un entraînement de judo. Selon une loi de 1947, les enseignants n’ont pas le droit de recourir à des sanctions physiques contre leurs élèves, mais si certains le font ils sont rarement sanctionnés. Pour Mieko Ae, une professeur et psychologue du sport à Tokyo, les mauvais traitements sont fréquents au Japon parce que les entraineurs pensent que cela améliore le niveau des élèves. “Si on veut mettre fin à ça, il faut d’abord changer cette façon de penser!” dit-elle.
TS : Quels sont les projets à court et à long terme de la fédération haïtienne de badminton ? JMSP : A court terme, le projet de badminton au niveau scolaire et l’organisation annuelle des competitions. Dans un premier temps, ce sera au niveau de la zone métropolitaine et dans un avenir pas trop lointain,à l’échelle nationale. Pour ce qui a trait au long terme, la commission technique va profiter de ces compétitions pour travailler à l’émergence d’une génération de badistes capables de représenter le pays dans les compétitions internationales. TS : Comment sont les rapports entre la FEHBAD avec la Fédération internationale, le ministère et le Comité olympique haïtien (COH) ?
JMSP : Avec la Fédération international, on entretient de très bons rapports vu que nous bénéficions de son support dans le domaine des matériels et équipements. Elle vient de nous envoyer d’ailleurs un lot de matériels et équipements qui reste toujours bloqué à la douane. Quant au Comité olympique haïtien, nous comptons beaucoup sur son aide pour le financement de certaines activités particulièrement les stages et séminaires qui se font chaque année sous l’égide de la solidarité olympique du Comité international olympique. Et pour finir, le ministère de la Jeunesse et des Sports : on attend beaucoup sa contribution pour financer certains projets dont le sport scolaire. TS : Qu’avez-vous à dire comme mot de la fin ? JMSP : Comme mot de la fin , je m’attends à ce que la FEHBAD bénéficie du support des secteurs concernés, cela pour le rayonnement et l’émancipation du badminton à l’échelle nationale. On s’active déjà sur un projet visant à une presence du badminton haïtien aux prochains Jeux olympiques qui se tiendront à Rio de Janeiro (Brésil) en 2016. “ Le devoir d’être présent à Rio en 2016 “, est le thème retenu par votre serviteur Jean-Max Saint-Philippe. Propos recueillis par Emmanuel Bellevue
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HAITI FASHION WEEK 2013 AU KARIBE CONVENTION CENTER 19 AU 21 SEPTEMBRE 2013 Les défilés de la Fashion Week Tous les soirs à 7h00 pm
LE SHOWROOM EXPO VENTE
Tous les jours de 10h00 am à 6h00 pm
LES FORUMS Professionnels et étudiants
19 septembre de 10h00 am à 2h00pm : Merchandizing / Branding 20 septembre 10h00 am à 2h00 pm : Mode & communication / Textile
ET AUSSI
Les “after” parties de la Fashion Week Les jardins du Karibe Le jeudi 19 et le samedi 21 septembre à partir de 10h00 pm
PRIX D’ENTRÉE Gala 0 ((&& >J= Défilés : 1100 HTG After Party 0 ..& >J= Forums : 880 HTG Carte VIP ALL ACCESS : 4400 HTG Showroom expo vente : entrée libre.