Pour votre info Qu’est-ce qui vous stresse ? >
Plein de choses peuvent nous stresser : le patron, les collègues et le reste. Mais selon des études récentes, ce sont les courriels qui nous stressent le plus au travail, dit le docteur Thomas Stuttaford du R.-U. . Pensez-y : Avant, vous pouviez lire une lettre à tête reposée et décider d’y répondre après avoir consulté des collègues. La nature instantanée du courriel exige presque une réponse ou une action immédiate.
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Sinon, un autre courriel suivra à coup sûr. Adieu le bon vieux temps des enveloppes brunes dans la corbeille de courrier à traiter. Vous êtes-vous déjà senti vaguement coupable devant trop de courriels non ouverts ? Bienvenue au club. Le contrôle a effectué un virage de 180 degrés, il est passé du destinataire à l’expéditeur. Or, qui dit manque de contrôle dit stress. La respiration diaphragmatique lente est un des meilleurs moyens de gérer le stress. Calmez et maîtrisez votre respiration en inspirant profondément, lentement, plusieurs fois.
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Dans ce numéro
L’âge de l’information et de la clarté ous y sommes plongés et nous la vivons au quotidien – la folie de l’information. Au Planificateur, nous essayons de vous donner de l’information courte et concise que vous pouvez utiliser. Dans les mois à venir, nous publierons un nouveau Guide des Sites d’événements pour la ville de Toronto suite au succès remporté par le Guide des Sites d’événements Montréal. Ces guides vous fournissent de l’information de base pour vous permettre de prendre de rapides décisions. L’Internet est fantastique, et nous l’utilisons tous, nous savons également combien de temps doit être consacré aux recherches d’information. Le Guide des Sites d’événements Montréal, et maintenant le nouveau Guide des Sites d’événements Toronto, vous procurent en un clin d’oeil de l’information utile et précise vous permettant d’identifier des sites rencontrant vos besoins. Puisque nous mettons sans cesse à jour le profil de nos lecteurs et que nous en ajoutons régulièrement, nous avons pensé faire une compilation de nos meilleurs articles qui s’intitulera Le Meilleur du Planificateur. Vous y retrouverez les articles préférés des planificateurs que nous avions déjà publiés. Et ce n’est que le début. D’autres nouveautés sont à venir en 2008. Pour l’instant, disons que dans cette ère de l’information, nous avons besoin de sources fiables présentées dans un format facile et rapide à parcourir. C’est la mission du Planificateur – vous informer et vous éclairer. Parlant de clarté, l’automne est la saison pour continuer votre propre amélioration. Les meilleurs ne se définissent pas par la façon d’atteindre le sommet mais par la façon de s’y maintenir. C’est ce que nous appelons le renouvellement continuel et dans la parution de ce mois-ci, nous avons essayé de vous donner un aperçu des programmes et des cours disponibles afin de vous permettre d’être à votre meilleur. Je vous souhaite une belle saison automnale. Et, comme toujours, continuez à nous envoyer vos commentaires. Leo Gervais
6 L’IACC, ça vaut le coût > L’International Association of Conference Centres s’est donnée comme « mission de fournir un environnement d’apprentissage le meilleur et le plus productif qui soit. » Nous expliquons plus en détails ce concept.
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10 Styles de communication > Êtes-vous un radoteur, un fana du remplissage, un amateur de PowerPoint ? Dans ce cas, lisez vite le dernier article de Stacey Hanke sur les différentes façons de communiquer et leur importance.
14 Susciter l’engagement > Les organisations ont horreur du vide. Faute d’information, les gens inventent leurs propres explications. Le chroniqueur Jim Clemmer explique comment utiliser efficacement l’éducation et la communication pour susciter l’engagement durable dans une équipe.
16 Des représentants commerciaux heureux
> Comment leur faire garder le sourire avant, pendant et après un salon professionnel. Barry Siskind vous propose des solutions.
18 Rôle des planificateurs > Marjorie Brody vous fait part de cinq facteurs de succès pour conférencier et planificateur afin de travailler main dans la main.
PLANIFICATEUR 20 L’implantation d’un
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R ÉDACTRICE R ÉDACTRICE
ADJOINTE ADJOINTE
G RAPHISTE A DMINISTRATION C ONTRIBUTEURS
Leo Gervais lgervais@leplanificateur.ca Nathalie Caron ncaron@leplanificateur.ca Jyl Ashton Cunningham jashton@leplanificateur.ca Matt Riopel Tania Joanis, Patricia Lemus Mike Auctor, Vanessa Baudry, Anne Biarritz, Marjorie Brody, Jim Clemmer, Peter de Jager, Savika Fowsar, Stacey Hanke, Barry Siskind
2105, de la Montagne, bureau 100 Montréal, Québec H3G 1Z8 Téléphone : (514) 849-6841 poste 331 Télécopieur : (514) 284-2282 Vos commentaires sont appréciés : info@leplanificateur.ca Le Planificateur est diffusé mensuellement aux professionels canadiens de l’industrie du tourisme et des affaires. Le Planificateur utilise du papier recyclé 100%.
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changement
Peter de Jager vous suggère de décrire un problème lorsque vous soumettez une solution afin d’augmenter votre taux de succès auprès de votre clientèle.
22 Ici et là > Notre rédactrice adjointe Nathalie Caron vous tient, chaque mois, au courant des nouvelles locales de notre industrie. Voyez ce qu’elle vous annonce pour ce mois-ci.
Poste-publication No. 40934013
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L’Italie, un pays aux mille trésors DE VANESSA BAUDRY
erceau de l’Empire Romain et de la Renaissance italienne, l’Italie est une péninsule qui, de tout temps, a su séduire le reste du monde par sa beauté et par le caractère romantique et séduisant qu’elle dégage. Bien connue pour ces fameuses « spaghetti » et pour son cadre bucolique, l’Italie est aussi une grande productrice de vins.
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italiens ont su innover et ainsi se démarquer des autres pays, en améliorant les techniques de vinification pour créer des vins aux goûts délicats et subtils. L’exigence de la qualité a avant tout incité les italiens à mettre l’accent sur des cépages traditionnels afin de donner naissance à « des vins modernes aux arômes et aux saveurs uniques ».
La cote des vins italiens le monde Une terre renfermant le plus agréable dans Les vins italiens sont appréciés de tous, preuve en est le fait que le volume de production et d’exportation est des plaisirs Le vignoble italien existe depuis de nombreuses années et a été implanté par le peuple étrusque, il y a des siècles. Dès l’époque romaine, certaines régions italiennes se démarquaient déjà par l’excellence de leurs vins. Cette qualité, les produits italiens la doivent à leur climat. En effet, il n’y a pas une seule région en Italie où la vigne ne pousse pas. Le climat méditerranéen, très chaud et sec, favorise la culture du plus doux des nectars. C’est cependant au nord et au centre, où le climat est le plus tempéré, que se trouvent les meilleurs vins.
Une qualité incontestable La qualité des vins italiens n’est aujourd’hui plus à prouver; ceux-ci jouissent depuis longtemps d’une réputation sans égale. L’Italie propose une gamme de vins variée, aux couleurs et aux saveurs les plus raffinées. Les producteurs
supérieur à celui des autres pays. De plus, les experts en vins classent les vins italiens parmi les très grands vins au monde.
Typologie des vins - Les vins rouges : les meilleurs vins rouges se trouvent dans le nord du pays. Parmi les plus goûteux, on recense le Barbaresco ou le Barolo qui sont des vins rouges puissants. - Les vins blancs : Le vin blanc le plus connu est le Soave, il s’agit d’un vin sec et peu aromatique, qualités recherchées par les italiens. - Les vins mousseux : il en existe de nombreux, ils sont doux et agréables, à l’image du plus connu d’entre eux, la DOC. Asti.
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L’IACC vaut le coût d’être connue des planificateurs DE L’ÉQUIPE DU PLANIFICATEUR ous avez peut-être entendu parler de l’International Association of Conference Centres (IACC). Quel avantage ya-t-il à faire une réservation auprès d’un centre de conférences agréé par l’IACC ? En quoi ces centres diffèrent-ils des autres ? Créée en 1981, l’IACC est un organisme à but non lucratif qui désire mieux faire comprendre et connaître le secteur des centres de conférences. Les membres actifs doivent répondre à des critères universels rigoureux et s’engager à respecter un code de déontologie. « Tous les établissements IACC ont comme dénominateur commun la ferme volonté de remplir leur mission : fournir un environnement d’apprentissage le meilleur et le plus productif qui soit », dit Tom Bolman, vice-président directeur, IACC Amérique du Nord. Les réunions sont au cœur des activités de l’IACC. En faisant affaires avec un centre de conférences membre, le planificateur choisit pour lui ou ses clients une atmosphère remplie de lumière naturelle, un mobilier agréable et ergonomique, une cuisine raffinée, des services techniques professionnels et un forfait tout compris. Les membres de l’IACC s’engagent à fournir une expérience de réunions intégrale. Les installations IACC du monde entier respectent les mêmes critères rigoureux et vérifiés par une société d’audit tierce. En fait, les membres de cette association ont favorisé une hausse des cotisations pour faciliter ce type d’audit afin d’assurer la validité de la marque IACC. « La qualité est une quête incessante. Ce qui fait la qualité change constamment et les critères universels, surtout par rapport aux installations et aux pratiques d’excellence, continueront d’être mises à jour et d’évoluer pour refléter les normes les plus élevées », dit Michael Taylor, président du Comité sur la qualité de l’IACC. Peu importe sa taille, son emplacement ou son cadre, la propriété IACC offre un centre de conférences conçu à cet effet, coupé des chambres et des autres distractions, doté d’équipement de pointe et de spécialistes qui connaissent le secteur des conférences et qui vous facilitent la tâche. Selon les statistiques des dernières inspections, 100 % des 139 propriétés vérifiées en 2004 – 2006 ont sur place des
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planificateurs de conférences compétents, dont 33 % sont certifiés CMP, 93 % offrent un accès Internet à haute vitesse, 91 %, un accès sans fil et 57 %, des forfaits qui incluent des niveaux de technologie supérieurs aux exigences de l’IACC. Les événements dans un établissement IACC sont confiés à un planificateur de conférences attitré pour que chaque exigence soit satisfaite. Une des caractéristiques fondamentales des propriétés IACC est le forfait tout compris qui inclut repas, pauses café continues, espaces de conférence équipée de la toute dernière technologie (et un personnel interne qui s’assure que le tout fonctionne bien). Il est vrai que les forfaits facilitent la planification du budget mais, plus important encore pour le planificateur, le prix par jour lui donne un planificateur maison expérimenté, impliqué dans les moindres détails. L’idée est de simplifier au maximum la vie du planificateur, de tout réaliser comme il le voudrait et de le laisser recevoir les félicitations. Un des critères des centres IACC veut qu’au moins 60 % de l’espace de réunions disponible soit consacré uniquement aux conférences. « Vous ne verrez pas un défilé de mode ou une démonstration d’arts martiaux devant 1 000 spectateurs à côté de votre conférence d’entreprise, nous dit-on ». Cet engagement résolu des membres IACC de fournir l’environnement d’apprentissage idéal et de respecter ces lignes directrices est la garantie qu’ils comprennent vos besoins – c’est leur raison d’être et leur seule activité. Travailler avec des personnes qui comprennent les planificateurs et qui anticipent le fonctionnement d’un groupe avant même qu’on le leur demande simplifie le travail du planificateur professionnel. « Comprendre les centres IACC, c’est les aimer », dit Jerry White, directeur des Services aux membres de l’IACC et membre de la section MPI, région de St. Louis. « Nous avons cherché un moyen d’aider les gens à comprendre la spécificité IACC pendant des années et nous avons trouvé un moyen qui le fera en deux minutes ». Maintenant à l’affiche sur un moniteur d’ordinateur près de vous : le film éclair de deux minutes de l’IACC, Understand the IACC Difference, qui illustre en deux temps trois mouvements l’essence de ce qui différencie les centres de conférences. Sur le Web : www.iaccnorthamerica.org •••
Les membres de l’IACC s’engagent à fournir une expérience de réunions intégrale.
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Un bon plan et un petit effort favorisent une bonne communication SUITE DE LA PAGE 1 Confirmez chaque rendez-vous jusqu’à 24 heures à l’avance – comme le dentiste – et la ponctualité du client vous surprendra. C’est vraiment au planificateur qu’il revient de gérer le client et si les agendas partagés ne sont pas toujours possibles, il reste le téléphone et le courriel. Clôturez toujours la réunion par un résumé de ce qui s’est passé et engagez-vous à le confirmer par écrit. Faites-le sous 24 heures par courriel et demandez confirmation de tout ce qui a été noté. Aucune confirmation? Vous avez au moins la preuve qu’il y a bien eu communication complète. Sachez comment le client préfère que vous le contactiez. Pas très original comme conseil, mais j’ai récemment décroché un contrat avec le propriétaire d’une entreprise florissante qui a horreur des courriels et qui ne raffole pas des cellulaires non plus. Je laisse des mises à jour hebdomadaires dans sa boîte vocale et nous nous rencontrons une fois pas mois. S’il a besoin d’information entre temps, il m’appelle. Je note tout et le consigne dans un relieur qu’il ouvre rarement et la confiance règne des deux côtés. Si la mauvaise communication survient en début de planification et que plusieurs personnes participent au processus, elle a presque toujours un effet boule de neige. Dans le cas des grands bureaux de réunions et de voyagesstimulation, le plan de l’événement passe du chargé de compte qui vend le programme au client, au chef de produit qui écrit la proposition, au coordonnateur produit qui fait le budget, au cadre opérationnel qui voit à la dotation en personnel, au chef de projet qui s’occupe de la logistique et, enfin, au directeur de voyage qui exécute le programme. De toutes ces personnes, c’est le chef de projet qui risque le plus de servir de bouc émissaire pour toute erreur faite avant, pendant ou après le programme, juste parce que c’est sur son bureau que va tomber le résultat final des erreurs. Si les erreurs ne sont pas décelées immédiatement et corrigées, d’autres problèmes surviendront et l’événement en souffrira. D’où l’effet boule de neige. De telles erreurs s’expliquent de plusieurs manières : nouveaux arrivants dans l’équipe, devis coupé-collé dépassé, chargé de compte qui espère du champagne au prix de la bière, sans compter les autres erreurs humaines possibles. la solution est d’avoir de fréquentes réunions dès le début, d’y inviter tous les membres de l’équipe et d’affecter à chacun un « copain » qui vérifie et révise son travail. Il faut toujours élaborer les budgets à partir de zéro et les baser si possible sur des chiffres réels plutôt que des approximations. C’est un peu plus long mais cela peut économiser une fortune à long terme. Surtout, assumez pleinement la responsabilité de toute erreur de votre part – le respect de vos collègues n’en sera que plus grand. 8
Le planificateur indépendant fait seul la plupart de ces tâches. Avec tant de responsabilités, sa marge d’erreur pourrait être plus grande. Mais il est vrai, aussi, que puisque l’indépendant est seul responsable de la tournure de l’événement, il sera d’autant plus prudent à chacune des étapes de la planification qu’il ne peut blâmer personne d’autre et que sa responsabilité est mise à prix. Savoir répondre de ses actes est primordial, en tout temps.
Entrée en scène tardive Reprendre un événement à la onzième heure des mains d’un collègue confronté à une urgence de dernière minute peut être risqué. La seule façon d’éviter des erreurs potentielles est d’avoir un calendrier à toute épreuve : résumé, calendrier des événements, logistique, plan de l’événement, etc. Si le collègue est déjà parti, asseyez-vous avec un superviseur ou le client et étudiez le calendrier en profondeur, en y apportant les changements nécessaires. Réunissez les intervenants clés et assurez-vous que chacun comprenne son rôle et l’importance de remplacer le collègue absent. C’est aussi le bon moment pour exprimer des griefs non dits jusque là pour que tout le monde aille de l’avant l’esprit ouvert.
La mauvaise communication avec les fournisseurs et les lieux de réunions Les erreurs avec les fournisseurs et les lieux de réunions surviennent en général quand une des parties n’a pas fourni l’information suffisante ou opportune. Peut-être qu’un cadeau publicitaire du client arrive et ne ressemble en rien à ce que le planificateur avait prévu, soit qu’un échantillon n’a pas été approuvé, soit qu’on l’a remplacé sans consultation. Ou alors, le décor monté n’a rien à voir avec ce que le planificateur ou le client avait imaginé. Peu importe la raison, la racine du problème est la mauvaise communication. Selon Dietmar Ruoff, de Ruoff & Company à Toronto (www.ruoff.ca), la plus grande erreur – qu’il rencontre régulièrement – est celle du planificateur qui pense pouvoir obtenir des temps d’installation pré-événement de l’hôtel ou du lieu sans frais supplémentaires. On essaie trop souvent d’économiser de l’argent en misant sur la disponibilité d’une chambre la veille qui permettrait de s’installer sans se presser et sans frais supplémentaires. Parfois, cela marche, rarement et toute économie réalisée est annulée quand la compagnie d’AV est obligée de faire venir plus de personnel pour faire l’installation en deux fois moins de temps. Dietmar recommande : • des réservations de 24-heures pour les événements de plusieurs jours • des temps d’installation réalistes (de préférence PAS à 2 heures du matin mais la veille au soir)
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Des contrats écrits sont nécessaires avec toutes les parties prenantes • des salles assez grandes pour accueillir l’auditoire, plus la scène et l’AV • des plans avec dimensions (hauteurs de plafond comprises) et le détail des obstacles comme les colonnes, les fenêtres sans rideau d’obscurcissement, les lustres un peu bas • des monte-charges et des plateformes de chargement assez grands • des temps de démontage réalistes • une source d’information sur place pour l’alimentation électrique, la scène, le monte-charge Ben Kantorovich de Christie Lites (www.christielites.com) a de nombre conseils pour les planificateurs, tirés de sa propre expérience lors de situations où les éléments suivants avaient été négligés : • toujours se renseigner sur l’alimentation électrique : où est elle par rapport à l’événement? Faudra-t-il les services d’un électricien? Faudra t-il se procurer électricité ? • voir comment le plan du site joue sur les possibilités de placer et de localiser l’éclairage • il est très important de planifier d’avance et de prévoir le tracé des câbles • être très précis sur le rôle de l’éclairage : par exemple, éclairage de l’estrade, éclairage et ambiance de la salle, éclairage de bannières et de signalisation, zones d’activités secondaires • prévoir les besoins liés à des interprétations simultanée – penser à des spécifications en annexe • avoir un technicien tout près – c’est toujours utile – et lui donner un résumé des activités de l’événement s’il y participe activement • connaître les détails de chargement et de déchargement – où charger et décharger le camion ? Quand les zones de chargement sont-elles disponibles ? • savoir quand il est possible de faire l’installation – les responsables de l’éclairage ne veulent pas gêner ceux du traiteur ou des décors et préfèrent faire le plus difficile avant la mise en place des tables et des chaises.
L’assurance C’est un des sujets les plus importants dans le secteur des réunions ces jours-ci et nous y consacrerons un autre article à l’avenir. Pour le planificateur, faire l’erreur de fonctionner sans assurance responsabilité civile friserait la folie. Pour moins de 150 $ par mois, on trouve une garantie générale d’assurance responsabilité civile jusqu’à 5 millions de dollars. Il existe des assurances supplémentaires pour les événements où l’on sert de l’alcool. Tous les planificateurs devraient demander une copie de l’attestation d’assurance des fournisseurs et même de figurer comme coassuré dans l’assurance Septembre 07
responsabilité civile pour réduire le niveau de responsabilité.
Les contrats Nous en avons traité en détail dans des numéros précédents (voir la section Archives à www.leplanificateur.ca). En résumé, la seule façon d’éviter les erreurs de contrat est de lire attentivement les petits caractères et, comme nous l’avons déjà suggéré, en cas de doute, de toujours demander l’avis d’un expert. Il est essentiel d’avoir un contrat écrit avec toutes les parties prenantes à l’événement.
Le plan B Combien de planificateurs ont vraiment un plan B, ou plan pour imprévus, pour chaque événement ? En septembre 2001, des réunions et des voyages-stimulation ont été annulés ou déroutés dans le monde entier quand des avions ont été cloués au sol, que des gens apeurés ont carrément refusé de voler ou que des compagnies ont voulu garder leur personnel tout près. Les voyages-stimulation ont semblé innopportuns pendant des semaines et le secteur touristique a perdu des milliards de dollars quand les emplois ont été supprimés et les contrats reportés indéfiniment. Dans une tragédie de cette ampleur, un plan B serait complètement inutile mais, règle générale, c’est un élément essentiel de n’importe quel événement, surtout des événements en plein air. Retards dus à la circulation, accidents, maladie, problèmes de sécurité et incendies sont autant de circonstances potentielles et imprévues qui peuvent affecter le déroulement. Pourtant, il faut que le spectacle continue. Ayez un plan B lorsque c’est possible. Tous ces scénarios ont un fil conducteur. Les planificateurs de réunions ne s’appellent pas ainsi pour rien. Leur travail exige de mettre les points sur les i de manière quasi obsessionnelle. Guère étonnant alors que la plupart des planificateurs reconnaissent qu’ils sont accros au contrôle. Toutefois, le manque de communication est clairement le signe avantcoureur pour ce qui est des erreurs. Il est donc vital de s’assurer que tous les membres de l’équipe sont rendus à la même page. Jyl Ashton Cunningham, CMP est planificatrice indépendante de réunions et d’événements spéciaux à Oakville (Ontario) et rédactrice adjointe du Planificateur. Pour la joindre : info@jaacevents.com ou jashton@theplanner.ca.
Sur le Web: www.leplanificateur.ca
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Votre style de communication : source de succès ou déboires ? DE STACEY HANKE
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haque jour, nous faisons des choix sur notre façon de communiquer, sur ce que nous allons dire et à qui. Vous êtes-vous déjà demandé comment vous y prendre pour faire ces choix ? De façon générale, analysez-vous bien leurs conséquences sur vous, votre auditoire et l’impact de votre message ? Que ce soit lors d’une présentation, de l’animation d’une réunion ou d’une conversation en face à face ou au téléphone, la plupart de nos comportements révèlent notre appartenance à l’une des catégories suivantes :
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Le radoteur • Il tourne autour du pot • Son esprit vagabonde ici et là et il se demande comment il en est arrivé là • Parfois, il ne sait même pas qu’il divague • Il se concentre sur lui-même et non sur son auditoire • Il modifie rarement son message sur-le-champ pour répondre aux besoins de l’auditoire Quel est son impact sur ceux qui l’écoutent ? • Ils sont perdus et n’arrivent pas à suivre le message • Ils perdent intérêt et laissent leur esprit s’échapper loin de l’orateur et du message.
Le « remplisseur » (euh, hmm, etc.)
• Il retient son souffle en parlant • Quand il prend finalement le temps de respirer, on dirait qu’il est à bout de souffle • Il peut transmettre deux fois plus d’information que celui qui ne parle pas vite • Il finit par donner l’impression de converser avec lui-même Quel est son impact sur ceux qui l’écoutent ? • Ils manquent le message • Ils cessent d’écouter parce qu’avec un tel débit, il devient trop difficile de prêter attention et d’écouter • Ils ont peur que celui qui parle manque d’air et perde connaissance
Le monocorde • Il parle d’une voix monocorde • Il est indifférent, impassible • Il évite souvent le regard de l’auditoire quand il communique. Il parle au plancher, au fond de la salle, à son ordinateur portable, à ses notes, etc. • Il ne fait pas participer l’auditoire Quel est l’impact chez ceux qui écoutent ? • Ils l’entendent mal • Ils le comprennent difficilement • Ils le trouvent ennuyeux et s’ennuient • Ils doutent de sa foi et de sa passion pour son message et cela mine leur confiance en lui
• La plupart du temps, il ne sait pas qu’il utilise ces mots inutiles • Il a peur du silence s’il remplaçait les mots de remplissage par une pause • Il craint que son auditoire ne pense qu’il ne sait pas de quoi il parle ou l’interrompe s’il fait une pause • Il parle vite et enchaîne ses phrases, les mots inutiles formant des liens d’une phrase à l’autre • Parce qu’il parle vite, il se concentre sur lui-même plutôt que sur l’auditoire.
L’amateur de PowerPoint
Quel est son impact sur ceux qui l’écoutent ? • Ils sont distraits par les mots inutiles • Ils comptent les mots inutiles • Ils manquent le message, n’entrent pas en relation avec l’orateur et par conséquent ne sont pas amenés à appliquer ses recommandations.
Quel est son impact sur ceux qui l’écoutent ? • Ils sont en colère parce qu’il leur fait la lecture • Ils se demandent s’ils ne devraient pas l’abandonner à ses diapos PowerPoint avec qui il s’entend si bien • Ils manquent les détails du message parce qu’ils ne peuvent pas en même temps écouter l’orateur et lire les diapos PowerPoint
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• Il n’a pas assez d’assurance pour livrer un message sans son PowerPoint • Il clique avant chaque point ou idée clé pour passer à la diapo suivante • Il a un lien émotionnel fort avec son PowerPoint, lui parle continuellement et entretient une relation avec lui • Il lit chaque diapo à l’auditoire • Il distribue des photocopies de ses diapos PowerPoint
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L’accro du pupitre • Il s’accroche au pupitre comme si sa vie en dépendait et semble sur le point de s’envoler • Il parle au pupitre comme s’il n’y avait personne devant lui • Il a des crampes dans les mains tellement il serre fort le pupitre Quel est l’impact chez ceux qui écoutent ? • Ils perdent intérêt, se désengagent et s’éloignent du message • Ils sont moins enclins à créer une relation avec l’orateur parce que le pupitre agit comme un obstacle entre eux et lui.
Le magicien du pointeur laser • Il ne pose jamais le pointeur laser • Il essaie d’indiquer les points et les idées clés dans ses diapos PowerPoint tout en luttant contre les tremblements de sa main nerveuse • Le rayon laser saute partout : sur l’écran et dans les yeux de l’auditoire • Il crée un spectacle laser parce qu’il a oublié d’éteindre le pointeur, après quoi, il aveugle tout le monde Quel est l’impact chez ceux qui écoutent ? • Les mouvements du pointeur laser leur donnent la nausée • Ils ne savent plus où regarder • Ils ont peur de recevoir un coup de faisceaux lumineux dans l’œil • Comme le laser tremble, ils commencent à deviner ce que l’orateur veut qu’ils regardent Peu importe la catégorie à laquelle vous appartenez, les risques sont nombreux : • Vous ne rejoignez pas ceux à qui vous parlez, vous ne les attirez pas et vous ne gardez pas leur attention • Il vous sera très difficile de faire passer votre message de manière à influer sur l’action • Vous perdrez votre crédibilité et leur confiance Septembre 07
• Ou bien votre message n’est pas entendu ou bien le message qui passe n’est pas le bon • Vous perdez votre temps et faites perdre celui de l’auditoire. Nous choisissons comment nous communiquons, mais nous choisissons aussi de changer. Si vous êtes du genre radoteur, ça ne vous condamne pas à le rester toute votre vie. La première chose à faire pour changer de comportement en communication, c’est d’en prendre conscience. Il est impossible de changer une chose quand on ne sait pas qu’elle existe. Si vous vous apercevez que vous prenez un de ces mauvais plis, que pouvez-vous faire ?
Le radoteur, le fana du remplissage, le rapide • Faites une pause et respirez entre vos phrases, réflexions, points et idées clés; • Faites des phrases plus courtes • Prenez le temps d’interagir avec l’auditoire • Demandez à des amis, à votre famille et à des collègues de réagir quand vous adoptez un de ces comportements • Entraînez-vous; moins égale plus!
Le monocorde • Soyez convaincu à 100 % que votre message est important pour ceux qui vous écoutent • Attention à ce que les expressions de votre visage et votre ton disent dans vos conversations quotidiennes • Posez un petit miroir sur votre bureau pour voir ce que les expressions de votre visage disent pendant diverses conversations téléphoniques • Demandez à des amis, à votre famille et à des collègues de réagir quand vous prenez une voix monocorde ou que vous restez impassible.
L’amateur de PowerPoint • Évitez d’utiliser vos PowerPoint comme vos notes PLANIFICATEUR
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• Entraînez-vous à livrer votre message sans PowerPoint. Une fois que vous êtes à l’aise, alors intégrez PowerPoint • À chaque diapo, demandez-vous : « Laquelle est-ce que j’enlève? » « Pourquoi est-ce que j’utilise celle-là? » « Qu’est-ce que je veux que l’auditoire retienne? »
L’accro au pupitre • Si vous avez besoin d’un micro, demandez un micro-lavallière • Habituez-vous à parler sans notes • Placez-vous à côté du pupitre pour commencer à vous débarrasser de l’obstacle que vous mettez entre vous et l’auditoire
Le magicien du pointeur laser • Laissez vos mots plutôt qu’un pointeur laser décrire les détails de vos diapos • Évitez de surcharger vos diapos, tenez-vous en à une idée par diapo. Réservez les détails à la documentation distribuée • Quand vous avez un graphique détaillé, construisez-le, insérez-y une idée à la fois Communiquer est un processus qui exige de la répétition et de la persévérance. Choisissez aujourd’hui les étapes que vous franchirez pour changer vos habitudes de communication et tenez bon pendant un mois. Il faut au moins un mois de comportement répétitif pour changer d’habitude. Vous verrez ceux qui vous écoutent réagir de façon positive à vous-même et à votre message ••• Stacey Hanke est cadre consultante, auteure, formatrice et conférencière chez 1st Impression Consulting, Inc. à Chicago (Ill.) Pour la joindre : (773) 209-5970 ou stacey.hanke@1stimpressionconsulting.com.
Saviez-vous que...
En moyenne, une personne rit dix fois par jour !
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SOURCE: WWW.WORLD-ENGLISH.ORG/FACTS.HTM
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• les VND et VDL : L’Italie produit beaucoup de muscats, le plus réputé étant sans aucun doute, le moscato di pantelleria qui vient de Sicile.
Cuisine et vins Comme l’a souligné à juste titre un chef florentin, « la cuisine italienne n’existe pas. Tout d’abord parce que le terme cuisine est d’origine français […] et grâce à Dieu, il n’existe pas de façon uniforme de cuisiner ». La cuisine italienne qui est une des plus généreuses d’Europe, se distingue par la variété de ses ingrédients et par le côté spontané de la préparation. Les repas généralement longs (de trois à cinq plats), se marient agréablement avec les différents vins que proposent les producteurs italiens. À ce propos, vous trouverez des informations sur la façon de marier mets et vins sur le site : www.italytrade.com
Voyage viticole L’agence de voyage Le Survenant, basée à Montréal, est spécialisée dans les voyages corporatifs et voyages sur mesure. A ce titre, elle propose à des personnes seules ou en groupe de visiter notamment la région piémontaise du nord de l’Italie, dans le but de découvrir la beauté de ce site, mais aussi pour le plaisir de déguster un nectar savoureux et unique qui vous laissera un souvenir impérissable.
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Éducation et communication forgent des équipes engagées DE JIM CLEMMER
« La disponibilité croissante de nouvelles technologies de l’information et de la communication est un des facteurs clés qui rendent possible une approche gestionnelle hautement participative. Cette capacité, plus que toute autre, permet aux individus de s’autogérer, de s’engager dans l’entreprise et de maîtriser les processus et les opérations... » — Edward Lawler III, The Ultimate Advantage: Creating the High-Involvement Organization Peu après l’arrivée de Vanessa, notre deuxième fille, ma femme Heather disait à notre fils unique Chris, âgé de six ans, comme elle aimait bien avoir un garçon dans la famille. « Si t’aimes tant les petits garçons, alors pourquoi t’as ramené une autre fille à la maison ? » a répliqué Chris en pleurant. Chris avait espéré un frère, et sa sœur Jenn, une sœur. Quand Vanessa est née, Chris a pensé qu’il avait perdu. Il ne comprenait pas le processus. Pour lui, papa et maman choisissaient le sexe de l’enfant. Moins on en sait, plus on soupçonne. Comme Chris, les acteurs de nos organisations expliquent à leur façon les événements et les actions qu’ils ne comprennent pas. Les vents de la rumeur et des insinuations peuvent transformer ces explications en scénario effrayants de désastre imminent. En période de changements perturbants, ces vents peuvent vite souffler en rafales qui créent de gigantesques brasiers si la confiance est faible. Les organisations ont horreur du vide. Faute d’information, les gens inventent vite leurs propres explications.
membre de l’équipe et de l’organisation comme un partenaire. Pour un partenariat fort, il faut que tout le monde soit informé. Les partenaires efficaces communiquent souvent et clairement. Si nous voulons que les membres de l’équipe ou de l’organisation agissent comme des partenaires d’affaires, nous devons les traiter comme tels. Nous devons les traiter comme des adultes responsables et leur donner une connaissance approfondie et continue de ce qui se passe dans l’entreprise. Autrement, ils ne peuvent ni s’autodiscipliner ni s’autogérer. Avec peu de connaissances et de maigres informations, les gens ne vont pas – en fait ne peuvent pas – assumer de responsabilité. Puisque l’information c’est le pouvoir, la seule façon de donner plus d’autonomie ou de partager le pouvoir est de partager l’information.
Comprendre le pourquoi et le comment Il est très difficile de faire des changements et des améliorations organisationnels si les gens dans l’organisation qui les appliqueront n’en comprennent ni le pourquoi ni le comment. Ainsi, à quoi sert d’avoir un cap et un contexte clairs (vision, valeurs et objectif) si les gens ne les comprennent pas ? Si le cap et le contexte de l’organisation ou de l’équipe sont mal expliqués, ils se retrouveront morts, sans vie – et inaccomplis. Engagement et compréhension vont de pair. Seuls les gens qui comprennent le cap et le contexte plus vastes de l’organisation (et qui se sentent sur la même longueur d’ondes) peuvent s’épanouir et grandir. Le leader fort clarifie constamment le cap et le contexte de l’équipe ou de l’organisation et nourrit l’enthousiasme des gens qui y travaillent. L’équipe ou l’organisation en constante amélioration et très efficace est transparente. Le pourquoi, le qui, comment des décisions et des mesures prises sont évidents pour tous. Sa culture se caractérise par l’ouverture et la simplicité. L’information est largement partagée. Cela exige beaucoup d’éducation alliée à des systèmes, des processus et des pratiques de communication solides. C’est une des clés du succès dans l’apprentissage et l’innovation organisationnels.
Autrement, ils ne peuvent ni s’autodiscipliner ni s’autogérer.
Ne jugez pas autrui par ses actions Les directeurs sous-estiment toujours la quantité et la qualité de l’éducation et de l’information nécessaires aux changements et aux améliorations. Ils sont victimes de la tendance humaine à juger autrui par ses actions mais à se juger soi-même par ses intentions. Puisque la plupart ne projettent que des changements et des améliorations bénéfiques, ils n’arrivent pas à apprécier les explications que les autres donnent à leurs actions. Si les gens ne voient pas la nécessité des changements ou des améliorations, ils vont les combattre et y résister. Avant de vouloir s’améliorer, les gens ont besoin d’être d’accord avec les raisons pour lesquelles ils doivent le faire. Ensuite, ils sont prêts à apprendre comment. Il faut donc traiter chaque 14
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Jim Clemmer est conférencier principal, animateur d’ateliers et de retraites et bâtisseur d’équipes de gestion sur le leadership, la focalisation sur le client, la culture, les équipes et la croissance personnelle. Son site Web : www.clemmer.net.
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Pour votre info
S’envoler à 12 ans : vos papiers SVP ! Le Canada est devenu le seul pays à exiger des papiers en règle pour accepter à bord des enfants de 12 ans, en vertu des nouveaux règlements de sécurité. Les enfants ne peuvent monter à bord sans une pièce d’identité émise par le gouvernement : certificat de naissance, passeport, carte d’assurance-maladie, etc. Les changements résultent du nouveau Règlement sur le contrôle d’identité de Transport Canada qui exige que toute personne qui veut prendre un vol intérieur et qui semble avoir 12 ans ou plus présente avant l’embarquement une pièce d’identité émise par un gouvernement. Cette mesure fait partie de la création d’une liste noire qui devrait contenir des centaines de noms de personnes considérées comme une menace immédiate à la sécurité aérienne et qui seront interdites de vol. La porte-parole de Transport Canada, Julia Ukrintz, dit qu’on a fixé à 12 ans l’âge auquel il faut produire des papiers parce que le Code criminel fixe à 12 ans l’âge « au-delà du quel un individu peut être tenu criminellement responsable de ses actes. » Air Canada demande déjà des papiers valides aux 16 ans et plus.
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Représentants commerciaux et salons professionnels DE BARRY SISKIND es représentants, c’est d’abord à eux que l’on pense quand il faut recruter du personnel pour un salon. Pourtant, beaucoup ne les aiment pas. Ils rechignent à passer beaucoup de temps dans un stand à rencontrer des visiteurs venus de l’extérieur de leur propre territoire de vente. Ils s’énervent de devoir passer des jours au salon, loin de leur gagne-pain quotidien, la vente. Et d’entendre un responsable du marketing leur dire qu’ils doivent affiner les connaissances commerciales qu’ils utilisent tous les jours pour travailler dans l’environnement d’un salon peut les faire sortir de leurs gonds. Bref, c’est pas la joie. Il y a mieux, pour réaliser un programme d’exposition, que d’avoir en première ligne des gens amers, ronchons et de mauvais poil. La solution exige du travail et du recul. Les représentants sont payés pour vendre, pas pour dénicher des clients potentiels ou renforcer des messages de marque. Les éloigner des activités sur lesquelles ils comptent pour payer leur hypothèque n’a rien d’engageant. La différence entre ventes et marketing a toujours été floue sur le marché, mais ce sont deux disciplines complètement séparées. Avant de franchir la ligne, il est important de prendre en compte les objectifs de chacune. Voici quelques solutions qui aideront à combler le fossé entre ventes et marketing :
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1. Quand vous établissez vos objectifs pour le salon, pensez à la fois ventes et marketing. Stratégie de marque, image et introduction de produits sont autant d’objectifs qui plairont aux gens du marketing. Les représentants, eux, ont besoin de bonnes pistes. L’astuce : choisir des objectifs qui satisfont les deux groupes.
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2. Créez un système de récompense qui ne pénalise pas les représentants qui passent du temps au salon. Par exemple, récompensez-les s’ils trouvent et inscrivent des pistes qui génèrent des affaires dans tous les secteurs de l’organisation. Pendant qu’ils sont au salon, ajustez leurs quotas de ventes pour tenir compte du temps passé loin du territoire. 3. Donnez-leur de l’aide additionnelle qui les aidera à s’occuper de leur territoire. Ce pourrait être des préposés au service à la clientèle ou d’autres personnes qui voient, le cas échéant, aux questions des clients ou aux autres questions de relations avec la clientèle. 4. Fournissez une assistance au suivi post-salon. Organisez une campagne par courrier ou par téléphone, exécutée par du personnel de soutien dont l’objectif est de transformer les pistes possibles trouvées au salon en pistes prometteuses. Un des critères d’une piste prometteuse touche les contraintes du client. Aidez vos représentants à traiter l’afflux de pistes et à les hiérarchiser d’après l’urgence. 5. Faites que l’information circule vite. Il faut organiser le personnel de soutien de façon que l’information sur les pistes obtenues au salon soit transmise de manière rapide et ordonnée. Les représentants doivent toujours être dans le coup pour réduire au minimum les surprises et le risque de surcharge. 6. Soyez ouvert aux réactions des gens. Il n’existe pas deux situations identiques. Gardez ouvertes toutes les voies de communication entre les ventes et le marketing. Prêtez l’oreille aux inquiétudes et modifiez votre approche dans les salons subséquents. Tenir compte des besoins des ventes et du marketing peut relever de l’art funambulesque. Mais votre programme d’exposition peut être beaucoup plus réussi si vous écoutez les deux, réagissez quand il le faut et n’hésitez pas à changer des choses. Vous avez beaucoup investi et il faudra pas mal de chamailleries diplomatiques pour que ça marche.
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Pour votre info
Remplacez vos filtres par des plantes vertes Il est prouvé scientifiquement que les plantes vertes assainissent l’air que nous respirons grâce au procédé de la photosynthèse. Plus la plante est imposante plus elle produit d’air pur. C’est une bonne chose à ajouter à la décoration de votre bureau. Arrosez-la avec amour, dépoussiérez les feuilles de temps à autre pour lui permettre de bien effectuer son travail et, ainsi, vous aurez un meilleur apport en oxygène ce qui augmentera vos performances et votre rendement.
Pourquoi laissons-nous filer nos vacances ? Vous sauriez utiliser 32 millions de jours de vacances ? Les Canadiens ont laissé deux jours de vacances inutilisés en moyenne l’an dernier, soit plus de 30 millions, selon une étude récente. Selon un sondage Ipsos-Reid auprès de 2 222 employés pour l’agence de voyage en ligne Expedia.ca, 21 % n’avaient pas utilisé tous leurs crédits l’an dernier, une baisse contre les 33 % de 2003. Les plus susceptibles de ne pas prendre leurs vacances sont les jeunes, entre 18 et 34 ans, qui « semblent sacrifier des congés précieux pour avancer dans leur carrière », selon les enquêteurs.
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Selon Ipsos-Reid et Expedia.ca, le fait que les jeunes adultes sont plus prêts à échanger temps contre argent que les plus âgés peut avoir contribué à ces résultats. L’enquête révèle que 18 % des personnes interrogées ont annulé ou reporté des vacances à cause du travail. De plus, 18 % des gens prennent leurs messages pendant leurs vacances. Les Canadiens ont pris en moyenne 18 jours de vacances l’an dernier. Les Américains en ont pris en moyenne 14 et les Français, 36.
Retour sur MPI Le récent congrès éducationnel mondial 2007 À la Montréal de Meeting Professionals International (MPI) a permis d’enregistrer un nombre record de délégués avec plus de 3 665 inscriptions, ce qui en a fait le plus gros événement global de MPI depuis sa fondation il y a 35 ans. Le dernier record était détenu par le congrès éducationnel mondial 2006 de Dallas avec 3 595 délégués. « Je suis particulièrement fier de l’événement de cette année, non seulement pour son nombre record d’audience, mais pour l’impact économique immédiat de 10 millions de dollars pour Montréal », disait Bruce MacMillan, CA, Président et Chef de la direction de MPI. MPI planifie une série de nouvelles alternatives pour ses concepts éducationnels et foires commerciales lors de sa prochaine Conférence éducationnelle professionnelle d’Amérique du Nord prévue du 2 au 5 février 2008 dans la ville cosmopolite de Houston, Texas. Sur le Web: www.mpiweb.org
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Cinq facteurs de succès pour conférencier et planificateur DE MARJORIE BRODY, CSP, PCC, CPAE Question : Qu’ont en commun le conférencier professionnel et le planificateur de réunions ? Réponse : Un intérêt dans la réussite de l’événement. Voici cinq attitudes et tactiques cruciales dont ils doivent se souvenir pour améliorer leur chances de succès : 1. Comprendre les objectifs de l’événement, les dernières tendances du secteur et toute « question brûlante ». Cela vaut pour le conférencier et le planificateur et cela veut dire qu’il faut vous préparer vraiment bien. Posez des questions aux intéressés – la personne qui vous a engagé ou qui a retenu vos services, le président de l’association ou de l’organisation et tout autre décisionnaire ou chef de file de l’industrie dans la société cliente, le groupe commercial ou l’industrie. Il est aussi crucial de saisir les objectifs de l’auditoire. En d’autres mots, posez les bonnes questions et écoutez les réponses. Tout est dans la communication. 2. Connaître votre rôle. Le conférencier doit savoir ce qu’on attend de lui – sa place dans le programme, s’il doit intégrer un message quelconque lié à l’événement dans sa présentation, etc. Il devrait aussi être une aide pour le planificateur, PAS une source d’embêtements. Bien sûr, le planificateur doit aussi aider le conférencier à obtenir toute information dont il a besoin – ou le mettre en contact avec la ou les bonnes personnes capables de le faire – pour bien préparer son discours. Tout est dans la communication. 3. S’entraîner être flexible. Les changements de dernière minute abondent – c’est le travail qui le veut. Le matériel se casse. Les ascenseurs de l’hôtel tombent en panne. La documentation se perd. Toutes sortes d’imprévus peuvent survenir, ce qui est stressant pour tout le monde. Plus vous êtes capable de suivre le courant et d’être flexible, mieux ce sera pour tout le monde. Le conférencier devrait être capable de réduire ou d’allonger son temps de parole, de travailler sans diapos ou tableaux de conférence et même de projeter sa voix si le seul microphone de la place rend l’âme. Gardez votre sang froid sous la pression et le planificateur se souviendra de vous. Le planificateur lui aussi gagne à travailler sa flexibilité, peut-être en improvisant. Il peut apprendre à ne pas coller au texte de la présentation du conférencier. Si quelque chose de 18
pertinent est survenu aux nouvelles ou sur les lieux, faites preuve d’à propos, insérez une anecdote qui parlera à toutes les personnes présentes : « Bonjour tout le monde. Comme la plupart d’entre vous, notre conférencière s’est faite réveiller assez brutalement ce matin… quand elle est entrée sous la douche et a hurlé en recevant un jet d’eau glacée sur la tête. Malgré le manque soudain d’eau chaude dans l’hôtel, Jeanne Unetelle brûle d’impatience de partager avec nous ses stratégies de réussite financière… » 4. Agir avec professionnalisme, toujours. Il se peut que le planificateur ou le conférencier soit aux prises avec des problèmes personnels ou d’affaires mais le visage qui s’offre aux participants doit être calme et souriant. Critiques et plaintes n’ont aucune valeur ajoutée. Les jérémiades non plus. Le professionnel est ponctuel, bien emballé de la tête aux pieds (vêtu de manière appropriée et soigné de sa personne), et il utilise un langage corporel ouvert et des gestes qui appellent l’interaction avec les participants et les questions. 5. Faire preuve de respect et de gratitude. C’est-à-dire respecter les participants, les membres du personnel et le personnel de l’installation et se respecter l’un et l’autre. C’est-à-dire être reconnaissant du fait qu’on vous a choisi comme conférencier ou planificateur. Après tout, les planificateurs et les conférenciers ne manquent pas – et c’est vous qu’on a choisi. Quand je pense aux relations planificateur/conférencier parfaites que j’ai vécues en plus de 20 ans d’expérience dans le circuit, une expression me revient toujours : « transparence ». Nous faisons tous bien notre travail en intégrant les cinq grands facteurs de succès dans notre comportement et notre état d’esprit quotidien. Le client est content. Ensuite, tout le monde a la possibilité de remettre ça. Marjorie Brody, CSP, PCC, CPAE, est très recherchée comme conférencière professionnelle, auteure et formatrice auprès des dirigeants de Fortune 1000. En 2006, elle a été intronisée au Council of Peers Award for Excellence (CPAE) Speaker Hall of Fame de la National Speakers Association (NSA). Marjorie est actuellement membre national du CA de la NSA. Sa firme, BRODY Professional Development, a eu le privilège d’avoir comme clients Microsoft, Pfizer, New York Life Insurance, Johnson & Johnson, NBC Universal, Aramark et GlaxoSmithKline. Pour savoir comment retenir les services de Marjorie comme conférencière lors de votre prochain événement, appelez au (800) 726-7936 ou allez à www.MarjorieBrody.com.
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Sudoku Commandité par les HÔTELS GOUVERNEUR
D’origine japonaise, chaque case doit contenir un chiffre de 1 à 9 de façon à n’utiliser chaque chiffre qu’une fois par ligne, colonne et grille.
SUDOKU SUR LE WEB:
• www.websudoku.com •www.sudoweb.com •www.dailysudoku.com •www.sudokupuzz.com
NIVEAU: FACILE NIVEAU: MOYEN
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Réponse à la page 29. Réponse à la page 29.
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L’implantation du changement DE PETER DE JAGER
i vous faites partie des gens d’action, que vous soyez planificateur de réunions, organisateur, cadre, secrétaire ou juste une de ces personnes qui font bouger les choses, vous tomberez de temps à autre sur une méthode ou un processus qui va, c’est sûr, profiter aux autres si seulement ils veulent bien l’adopter. Vous verrez alors, parfois à votre grande surprise, que tout votre entourage ne partage pas votre enthousiasme pour la nouvelle solution. Bienvenue au problème très commun d’implanter un changement. Si vous vous classez parmi les personnes douées pour la résolution de problèmes, vous savez fort bien que nous revenons très souvent aux mêmes techniques de résolution. Nous ne le faisons pas consciemment mais nous revenons à ces systèmes de résolution. Une personne douée pour la résolution de problèmes comprend le besoin d’identifier, de catégoriser et de généraliser ces systèmes de solutions et de les utiliser consciemment. Mais il y a un revers : il existe aussi des systèmes d’échec, des « solutions » auxquelles nous revenons toujours et qui ne nous ne mènent pas vers notre objectif. C’est pourquoi nous essayons de catégoriser les solutions qui marchent : cette connaissance nous aide à éviter celles qui ne marchent pas. Les bonnes pratiques de résolution de problèmes essaient de nous orienter vers des techniques efficaces en nous détournant des approches qui le sont moins. La stratégie de l’adoption en gestion du changement est l’exemple parfait d’une approche inefficace, mais couramment utilisée, d’un problème de gestion fréquent. Oui, je sais bien que remettre en question la valeur d’une croyance commune relève de l’hérésie mais il s’agit là d’une évaluation juste de l’efficacité de la stratégie de l’adoption.
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D’habitude, quand nous trouvons une bonne solution, nous sommes enthousiastes, parfois même follement enthousiastes. Notre stratégie immédiate est d’essayer de convaincre les autres que cette solution est la réponse à tous nos problèmes. Nous voulons qu’ils adoptent la nouvelle idée – après tout, nous savons qu’elle est efficace. Nous nous concentrons alors sur les avantages de cette solution, et dans quel but? Amener l’auditoire ou l’organisation à adopter la nouvelle idée.
Et nous nous étonnons quand ils répondent « Par un pourquoi ? » Peu importe la nouvelle idée que nous essayons d’implanter ou le contexte organisationnel dans lequel nous travaillons, nous n’échapperons pas à ce « Pourquoi » bien intentionné. Nous le qualifions ensuite, à tort selon moi, de « résistance au changement ». Nous qualifions, aussi à tort, ce phénomène de « négatif », parfois même « d’obstacle au progrès ». Nous venons de créer un problème : nous essayons de vendre une solution sans nous être entendus sur le problème. Voici une expérience, incroyablement simple : Entrez dans le bureau à côté du vôtre et dites à la personne « Lève-toi » (ou « Lève-toi! » si vous voulez une expérience plus intense). Que faitelle ? Elle demande « Pourquoi ? » ou, du moins, elle le pense. Vous venez d’expérimenter le plus simple des changements. Le « Pourquoi » qu’on vous a rétorqué n’est pas insignifiant, et vous devrez y répondre si vous voulez que la personne se lève. Vous voulez une expérience plus robuste, faite par un PhD, appuyée de statistiques « convaincantes » ? Essayez celle de Robert Cialdini (décrite dans son livre Influence: Science and Practice). L’expérience a été faite près d’un photocopieur. La chercheuse est allée à la tête de la file et a dit : « Excusez-moi, j’ai cinq pages. » Résultat : 60 % du temps, on l’a laissée faire ses copies.
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Le changement est inévitable La fois suivante, elle a dit : « Excusez-moi, j’ai cinq pages. Estce que je peux utiliser le photocopieur ? Je suis pressée. » Son taux de succès (faire ses copies tout de suite) est passé à 94 %. Pour vérifier si « Je suis pressée » était le facteur déterminant du changement, on a changé la formulation pour « Excusez-moi, j’ai cinq pages. Est-ce que je peux utiliser le photocopieur parce que j’ai des copies à faire ? » Son taux de succès est resté près de 94 %, à 93 %. La demande initiale non motivée réussit à 60 %. Ajouter même la plus mince des raisons, « parce que » au « Pourquoi » intérieur porte le taux de succès à 93 %. Alors… si vous essayez de mettre en œuvre une nouvelle idée, que répondrez-vous à la question raisonnable « Pourquoi ? » Il ne suffit pas que cette « idée » soit supérieure à ce qui se fait actuellement. Au fond, c’est ce que nous disons quand nous sommes enthousiastes et que nous nous contentons de louanger une nouvelle solution. Les gens ont besoin d’une description du problème que la nouvelle idée est censée résoudre. Vous ne pouvez pas vendre les avantages de quelque chose aux gens avant qu’ils reconnaissent que ces avantages sont nécessaires. Finalement, quels problèmes votre nouvelle idée résoutelle ? Quels sont les défauts de votre processus actuel ? Pouvez-vous donner des défauts spécifiques que tout le monde admet qu’il faut traiter ? Pouvez-vous mesurer ce que coûtent les occasions manquées ? Pouvez-vous ensuite estimer les possibilités qu’offre la nouvelle idée ? Si c’est trop difficile, ou circonspect, est-il possible d’identifier un problème existant qui a défié toute solution et coûté très cher à l’organisation ? Le coût de ne pas le résoudre peut-il justifier une approche différente ? Peut-on essayer votre idée de manière limitée ?
Pour votre info Formation : les employeurs se traînent les pieds, selon le CBC >
Selon le rapport Learning and Development Outlook 2007 du Conference Board du Canada, les compagnies canadiennes participantes ont dépensé 1,8 pour cent de leur masse salariale pour la formation, l’apprentissage et le perfectionnement (FAP), soit environ 852 $ par employé en moyenne. Les employeurs ont aussi donné 25 heures de formation par année par employé, soit une baisse de 10 pour cent par rapport à l’étude précédente, deux ans plus tôt. Si l’on prend les dépenses par employé et les heures de FAP, le Canada perd du terrain dans ce domaine par rapport aux É.-U. Source : Conference Board du Canada, Learning and Development Outlook, 2007.
Vancouver, où il fait bon vivre Selon l’Economist, Vancouver (C.-B.) est la ville la plus « vivable » du monde. C’est la cinquième fois d’affilée que Vancouver mérite cet honneur. L’unité Intelligence du magazine dit avoir choisi Vancouver pour son faible taux de criminalité, le risque faible d’instabilité ou terrorisme et ses infrastructures de transport et de communications très développées. Vancouver a obtenu une note de 1,3 pour cent, dans une échelle où zéro signifie exceptionnel et 100 intolérable. Toronto est arrivée cinquième dans cette compétition annuelle.
© 2007, Peter de Jager. Peter est un conférencier/ consultant/écrivain sur des questions liées au changement. Si vous avez aimé ses articles dans Le Planificateur, vous pouvez lire son blogue quotidien à : http://technobility.wordpress.com.
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DORMEZ PLUS. Les montagnes sont moins ardues à grimper lorsque vous êtes reposé. Anonyme
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Ici et là
de Nathalie Caron
Nouveautés La pâtisserie et boulangerie Le Fournil se lance maintenant dans le service de traiteur. Vous les retrouverez au 1190, de Maisonneuve O. et au 364, avenue Victoria. Pour plus d’information sur les menus offerts communiquez au (514) 485-6647. Holt Renfrew Montréal a maintenant son propre service de conciergerie à même le magasin. Vous les retrouverez à l’étage inférieur à côté du café en prenant la porte située sur de La Montagne. Ils pourront vous aider à trouver ce que vous cherchez dans le magasin, faire des réservations de restaurant ou vous aider avec toutes autres demandes vous venant à l’esprit. Vous pouvez les rejoindre au 514-282-8212 ou à concierge-montreal@holtrenfrew.com.
Nominations Les hôtels de la ville de Québec viennent d’assister à une séance de chaises musicales, voici le résultat : Robert Mercure, Directeur général du Fairmont Château Frontenac, Dany Thibault, Directeur général du Hilton Québec, Jason Trottier, Directeur général du Courtyard Marriott Québec et Nicole Lapointe, Directrice vente et marketing au Fairmont Château Frontenac. À Montréal Monique Strouvens remplace Marie-Pierre Brancaleoni du Sofitel qui vient de s’absenter pour un congé de maternité. Silvio Sicoli a été nommé Directeur exécutif du Club
Mount Stephen et Vice-président des opérations et développement d’affaires du Groupe hôtelier Tidan. Marc Laroche a été nommé Directeur ventes et marketing au Loews Hôtel Vogue, il remplace Linda Jalbert qui a quitté Montréal pour Toronto.
Nouvel hôtel à Chambly Le Fourquet Fourchette aura son hôtel à Chambly, le projet verra le jour après cinq ans de négociations. L’hôtel sera annexé au restaurant et offrira une superbe vue sur le bassin de Chambly, il comptera 50 chambres et sera l’endroit idéal pour des mariages ou des réunions d’affaires. Il devrait ouvrir ses portes à l’été ou l’automne 2008.
Événements et dégustation à la SAQ La SAQ des Cours Mont-Royal fermera ses portes sous peu. Plusieurs événements y étaient présentés relativement à la dégustation des vins et les accords avec les mets. Malheureusement, tous les événements ont été annulés. Toutefois, vous pouvez assister aux événements des succursales Rockland (Montréal), Place Sainte-Foy et Place Jean-Lesage (Québec). Consultez le calendrier des événements en ligne au www.saq.com sous la rubrique Produits.
Recyclez vos vieux ordinateurs Vous devez renouveler vos ordinateurs, alors quoi faire des vieux ? Plusieurs entreprises se chargent de recycler le matériel informatique, que ce soit vos écrans, claviers, imprimantes ou autres. Cela évite de contaminer les sites d’enfouissement puisque les composantes renferment du plomb, du béryllium et du mercure. Recyc-Québec a pour mission de promouvoir le recyclage, dont le taux de récupération est évalué à 6 %. Depuis le 12 septembre les magasins Bureau en Gros ont lancé une opération de récupération de matériel informatique, de téléphones, appareils photos numériques et vieux cellulaires. Vous pouvez aussi consulter le site de Recyc-Québec au: www.recyc-quebec.gouv.qc.ca.
Surclassement en ligne pour les vols internationaux chez Air Canada Vous pouvez maintenant faire votre réservation de surclassement en ligne sur le site Web d’Air Canada en utilisant vos certificats de surclassement 2007 d’Air Canada. C’est applicable sur tous les vols d’Air Canada et Air Canada Jazz. Pour connaître les modalités d’utilisation consultez le site www.aircanada.com.
Vol direct entre New York et Mont-Tremblant Continental Airlines assurera une liaison quotidienne entre New York et La Macaza, l’aéroport de Mont-Tremblant, et ce du 14 décembre au 5 avril 2008.
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Ici et là
Un Embraer de 50 places décollera de Newark à 11 heures tous les matins et se posera à la Macaza à 12 h 30. Pendant la période du 8 janvier au 13 février, il n’y aura pas de vol le mardi et mercredi. Le but visé est de maximiser le séjour des américains dans la région de Tremblant. Sur le Web: www.continental.com.
Hausse des voyages transfrontaliers d’un jour Les canadiens ont effectué près de deux millions de voyages d’un jour aux ÉtatsUnis au mois de juin, cela représente une augmentation de 2,3 % mais qui reste sous le seuil des 2,2 millions de voyage avant les événements du 11 septembre. Du côté des américains pour la même période, ils ont effectué 1 million de voyages ce qui représente une hausse de 2,3 % mais qui demeure loin du 2,3 millions de voyages effectués entre janvier et août 2001.
Plutôt là-bas qu’ici Porter prend de l’expansion >
Des travaux débuteront ce mois-ci à l’aéroport de Toronto Island afin d’agrandir les installations de la compagnie aérienne Porter. L’aérogare sera agrandi et trois nouvelles portes seront ajoutées en prévision des vols vers New York et autres destinations qui s’ajouteront sous peu. Le projet devrait être terminé d’ici le 31 décembre. Sur une autre note, Porter affirme que ses opérations ne sont pas affectées par l’avertissement de Bombardier concernant les problèmes rencontrés avec le train d’atterrissage de certains de ces appareils. Sur le Web: www.flyporter.com
Cartes d’affaires, nouveau genre Les parisiens misent sur une nouvelle tendance, adieu les cartes d’affaires conventionnelles, et bienvenue aux bracelets imprimés. Les boutiques chics et les restaurants remettent ces bracelets à leurs clients sur lesquels se trouvent leurs coordonnées et le nom du lieu.
Un vol passager dans l’espace Le milliardaire Richard Branson s’est associé au projet SpaceShipTwo (SS2), premier véhicule suborbital commercial pour passagers. Pratt & Whitney, pour sa part, a été choisi pour réaliser le moteur de l’avion White Knight qui propulsera le SS2 dans l’espace.
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LE TRAVAIL DUR N’A JAMAIS TUÉ PERSONNE. Les hommes meurent d’ennui, de problèmes psychologiques ou de maladies. En fait, plus vos employés travailleront dur, plus ils seront heureux et sains. David Ogilvy Fondateur d’Ogilvy & Mather Septembre 07
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Dans l’article du mois dernier sur Saint-Martin, il manquait deux renseignements : • le site Web de la course de bateaux de 12 mètres qui développe l’esprit d’équipe : www.12metre.com. • le numéro de téléphone de l’office de tourisme de Saint-Martin : 416-622-4300. 23
Les planificateurs ont besoin de poursuivre leur formation La profession de planificateur l’événementiel et des réunions est comme plusieurs autres : le changement d’approche, les besoins des clients, les spécifications, et toutes autres choses que nous devons savoir et être capable d’exécuter sont maintenant la norme. Vivre en vase clos ne fonctionnera plus. La formation continue est un bon moyen de se tenir à jour. Le succès de la gestion des réunions est une entreprise. Le planificateur de réunions doit augmenter son niveau de capacité dans le domaine financier, les calculs de rentabilité, le développement et la gestion d’un chemin critique et être capable de développer une formule de rendement sur l’investissement qui permettra de respecter les buts et les objectifs du client. Le plus grand défi et la plus grande frustration qui guettent le planificateur d’événements est de convaincre le client de la valeur qu’il apporte avec lui dans son bagage. Le grand public ne semble pas apprécier les complexités dans la création et l’exécution d’un programme réussi. - Duff Shaw, professeur à la retraite de Ryerson University de Mississauga, ON. Vous retrouverez ci-dessous quelques unes des institutions canadiennes qui offrent des cours en relation avec la planification d’événements et de réunions.
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Québec Club Toastmasters Apprenez à donner d’excellentes présentations, à diriger des équipes, conduire des réunions et mieux écouter. www.toastmasters.org Collège Mérici Un programme technique en formation continue tel des programmes courts en marketing, concierge exécutif à l’international, planification d’événements et de congrès. www.college-merici.qc.ca Collège LaSalle C’est le plus grand collège privé bilingue pour les études techniques au Canada. Il fait partie d’un réseau international de 21 écoles avec des campus sur 4 continents. Vous pouvez soit prendre un programme intensif de deux ans ou un programme régulier de trois ans. Des programmes spécialisés variant entre 4 et 16 mois sont aussi offerts en restauration et services de nourriture. www.collegelasalle.com Université Concordia L’école John Molson
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School
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Business offre une variété de cours en planification d’événements, y compris pour les événements sportifs et culturels. www.concordia.ca
HEC Montréal Vous pouvez y suivre des séminaires plutôt axés sur le monde des affaires que sur la planification d’événements. Soit la négociation, la gestion des priorités, comment mieux communiquer avec votre auditoire pour n’en nommer que quelques-uns. www.hec.ca
Institut linguistique global C’est un bon choix si vous voulez perfectionner vos habilités linguistiques en français, anglais ou dans un autre langage tel l’espagnol et l’allemand. www.learninglanguage.ca Institut de Tourisme et d’hôtellerie du Québec (ITHQ) Un programme à temps partiel en Gestion d’événements et de conventions accrédité par MPI depuis 2002 est offert. Les étudiants enrôlés dans ce programme obtiennent un statut MPI étudiant. Dès qu’ils reçoivent leur diplôme, ils peuvent passer l’examen CMP. www.ithq.qc.ca
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Jovaco Séminaires gratuits en solution de gestion par Microsoft. Apprenez sur la gestion de projet et les relations clients. www.jovaco.com McGill University McGill a des cours très populaires sur la gestion de projets et sur l’art de parler en public et la préparation de discours. www.mcgill.ca/conted-general Collège Vanier Vous pouvez y suivre des cours allant de la levée de fonds, à AutoCad, et de la planification d’événements à l’appréciation du vin. www.vanier.qc.ca/conted Formation Technologia Plusieurs cours sont offerts en gestion de projets, communications et gestion du stress, négociations ainsi que la gestion du temps et des priorités. www.technologia.com UQAM Plusieurs programmes de tous les niveaux du Baccalauréat jusqu’au MBA en marketing, gestion d’événements, commandites et plus encore. Programmes courts pour adultes sur le marché du travail et qui ne peuvent retourner à l’école en raison de leur horaire sont aussi disponibles. Les programmes sont offerts en ligne et via la télé-université. Il y a aussi un programme conjoint avec l’ITHQ, il s’agit d’un programme intégré. www.programmes.uqam.ca
Conestoga College Cours offert en gestion. Intéressant pour la négociation, la planification stratégique, il y a aussi des cours en gestion de projets, gestion du risque en plus de cours en gestion d’événements. www.conestoga.on.ca
Ryerson University Le Ted Rogers School of Management offre un certificat en gestion d’événements. www.ryerson.ca
Fleming College Cours en gestion des affaires et d’événements sur deux semestres. Le programme est préparé en fonction d’étudiants de niveaux collégial et universaires. www.fleming.on.ca
Holland College Leur cours est préparé pour donner une vue d’ensemble pratique de l’industrie relativement aux fonctions, habilités et le savoir requis pour planifier, organiser, promouvoir et évaluer les événements à un niveau local, régional ou national. C’est un cours de deux ans avec un stage de 500 heures. www.hollandcollege.com
George Brown College Jetez un coup d’œil sur la gestion d’événements et de réunions ainsi que la gestion d’exposition. www.georgebrown.ca Humber College North Campus Humber offre des cours en gestion d’événements ainsi que des cours d’art culinaire. Des cours en ligne sont aussi disponibles en hébergement et tourisme. www.humber.ca Loyalist College Vous y retrouverez des cours en gestion d’événements. www.loyalistc.on.ca Mohawk College Plusieurs programmes offerts en formation continue pour la planification d’événements. www.mohawkcollege.ca
Algonquin College Formation à distance en planification d’événements et de conventions. www.algonquincollege.com
Niagara College Cours en art culinaire, hébergement et tourisme, sur les vins et la viticulture. De la formation continue est offerte en hébergement, nourriture et boisson. www.niagaracollege.ca
Centennial College Les cours de communications corporatives et de relations publiques abordent la gestion d’événements. www.centennialcollege.ca
Seneca College Site Web facile d’utilisation. Offre une sélection intéressante de cours en gestion d’événements. www.senecac.on.ca
Ontario
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Île du Prince Edouard
Alberta Bow Valley College Certificat d’un an en gestion d’événement et un diplôme pour un cours de deux ans. www.bowvalley.ca Mount Royal College Cours en formation continue ou certificat en gestion d’événements. Cours en ligne aussi disponible. www.conted.mtroyal.ca
Colombie-Britannique Thompson Rivers University Programmes disponibles en gestion d’événements et de conventions en plus de gestion d’événements sportifs. www.truworld.ca
Saviez-vous que... Les hommes peuvent lire une plus petite écriture imprimée que les femmes, par contre les femmes entendent mieux. SOURCE:WWW.NAUTE.COM/ANECDOTES/SAVIEZ.PHP 25
Sites Web
AGENDA Événements à venir
Du 25 au 27 septembre Incentive Travel & Meeting Executives, The Motivation Show, McCormick Place, Chicago. Contact : Hall-Erickson, (800) 752-6312, www.motivationshow.com. Le 8 octobre – Action de grâce
Du 27 au 31 octobre Association des congrès internationaux et convention, Congress & Exhibition, Pattaya, Thailand. Contact: (011) 3120-398-1919, www.iccaworld.com. Du 28 octobre au 1er novembre Meeting Professionals International, 2007 Institutes, The Fairmont Royal York, Toronto, Ontario. Contact: MPI, (905) 286-4807, www.mpiweb.org. Le 11 novembre – Jour du Souvenir
Du 11 au 15 novembre Financial & Insurance Conference Planners, conference annuelle, Fairmont Scottsdale Princess, Scottsdale, Arizona. Contact: FICP, (312) 245-1023, www.ficpnet.com. Du 15 au 17 novembre CPSEP (anciennement IMPAC), conférence annuelle, Whistler, C.-B. Contact: (905) 868-8008, www.cspep.com
Du 27 au 29 novembre European Incentive & Business Travel Meetings Exhibition, Fira Gran Via, Montjuic 2, Barcelone, Espagne. Contact: EIBTM, (011) 44-20-8910-7870, www.eibtm.com. •••
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Forum pour grands voyageurs www.flyertalk.com Plus de 120 millions de personnes en Amérique du Nord ont accumulé des milles dans quelque 100 programmes « grands voyageurs » dans le monde, pour un total de presque 10 milliards de milles non réclamés. Flyertalk.com est un forum de discussion et de partage de l’information sur les programmes, les aéroports, les destinations et des sujets de voyage en général. Vous avez du courrier, passez le prendre www.eprompter.com Les gens occupés ont parfois besoin de plus d’une adresse de courriel sur le Web, pour des raisons diverses. Récupérer ses courriels à toutes ces adresses peut parfois poser problème. C’est là que ePrompter entre en jeu. Ce programme sur Windows est gratuit (désolé, pas de version Mac pour le moment) et il télécharge les messages de tous les grands fournisseurs comme Gmail, Hotmail, Yahoo! et AOL, mais il fonctionne aussi pour tout compte de courrier électronique POP et des centaines d’autres sites de courrier électronique. Votre CV sur vidéo www.cubetakes.com Si vous travaillez dans le visuel, un CV sur papier risque de faire piètre figure. Alors, allez voir cubetakes.com où vous pouvez présenter des vidéos pour vous vendre à des employeurs. Artistes visuels, journalistes, cinéastes et autres personnes travaillant dans des domaines annexes y affichent de courtes vidéos sur leur travail. Après avoir créé un compte gratuit et téléchargé votre vidéo, vous recevez un URL que vous pouvez envoyer à des employeurs potentiels et un code que vous pouvez insérer dans votre propre site Web pour que tout le monde dans le village global puisse vous voir. Le site comporte aussi un volet réseau social où vous pouvez vous joindre à des groupes et noter/commenter d’autres vidéos.
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Les voyageurs transatlantiques forcés de donner un avis de 48 heures
Pour votre info
Et vous pensiez qu’un taxi pour Pearson coûtait cher… L’aéroport international Pearson de Toronto reste l’endroit où l’atterrissage coûte le plus cher. Un Boeing 747, par exemple, paie 12 290 chaque fois qu’il se pose à Pearson cette année, selon l’Air Transport Research Society. Cette année, l’aéroport international de Birmingham (Angleterre) se classe deuxième pour les coûts d’atterrissage des 747, à 7 595 $, soit plus de 38 pour cent de moins que Pearson. Pour un Airbus A320, Pearson demande 2 275 $ de taxe d’atterrissage – le plus cher – alors que Bruxelles arrive deuxième à 1 713 $.
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Les gens d’affaires ouest-européens devront avertir les É.U. de leur intention d’y venir 48 heures d’avance selon une loi récente signée par le président George W. Bush. La loi exige aussi la vérification de tout le fret aérien et maritime dans les ports étrangers avant qu’il puisse entrer aux É.-U.
Thromboembolie La thromboembolie veineuse est un caillot qui se forme le plus souvent dans une jambe lorsque vous restez assis plus de 4 heures sans bouger, le caillot monte vers les poumons et il peut y avoir risque de décès. Donc en avion évitez les vêtements serrés et remuez vos jambes de temps à autre pour activer la circulation.
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Nouvelles hôtelières Le Marriott Casa Magna Cancun de Cancun, au Mexique est un hôtel réputé de cette fameuse région touristique. Photo courtoisie de Marriott
POINT DE MARRIOTT SANS POINT D’ACCÈS Le Wi-Fi dans l’hôtel est sans doute la tendance dans le secteur hôtelier et Marriott file loin devant tout le monde. Au moment où nous allons sous presse, cinq marques internationales de Marriott – Courtyard, Residence Inn, Fairfield Inn, TownPlace Suites et Springhill Suites – l’offrent gratuitement à leurs clients aux É.-U. et au Canada, un total de plus de 1 500 points d’accès. Marriott répond de nouveau aux besoins des clients en leur offrant le Wi-Fi gratuit dans les halls et autres zones publiques, après l’accès à haute vitesse gratuit dans les chambres depuis trois ans. La stratégie répond aux clients calés en informatique et pressés qui fréquentent ses hôtels.
TRANSACTIONS HÔTELIÈRES : UN RECORD D’ICI LA FIN 2007 SELON UNE ÉTUDE Selon une étude récente, les ventes d’hôtels pourraient atteindre 110 milliards de dollars US à la fin de 2007. C’est une hausse de 52 pour cent par rapport au chiffre record de 72,5 milliards de dollars US de l’an dernier, preuve que les investisseurs misent sur l’avenir du secteur. La 14e édition du Hotels’ Investor Sentiment Survey (HISS) de Jones Lang LaSalle souligne l’enthousiasme continu des investisseurs pour le secteur hôtelier. L’enquête révèle aussi que les acheteurs sont dans l’ensemble presque quatre fois plus nombreux que les vendeurs et que 23 pour cent des personnes interrogées envisagent maintenant d’accroîte les actifs hôteliers pour répondre aux besoins des investisseurs en quête de nouvelles valeurs de placement.
LES HÔTELS CANADIENS VOIENT DES PROFITS RECORDS, MAIS LES AMÉRICAINS SE FONT PLUS RARES Le déclin continu des sommes dépensées par les Américains pourrait limiter les espoirs de profit de certains hôteliers canadiens. Mais, les dépenses soutenues des Canadiens en voyage et des hausses de prix robustes permettront aux hôteliers canadiens d’afficher des profits records en 2007, pour une deuxième année de suite, selon le rapport Canadian Industrial Outlook: Canada’s Accommodation Industry – Summer 2007 du Conference Board du Canada. Deux grands facteurs ont affecté la venue des Américains : la poussée du huard et la Western Hemisphere Travel Initiative (WHTI). Les Olympiques de Vancouver en 2010 devraient stimuler le rendement du secteur.
BAIGNOIRE EN OR DE 1 M$ VOLÉE DANS UN HÔTEL JAPONAIS L’hôtel Kominato Mikazuki de Kamogawa (sud de Tokyo) s’est fait voler une baignoire en or dans une suite du 10e étage. La baignoire circulaire, d’une valeur de 987 000 $US est en or 18 carats et pèse 176 livres. La baignoire, flanquée de deux statues de grues, était disponible seulement quelques heures par jour pour des « raisons de sécurité » selon le site Web de l’hôtel.
JE SUIS RESTÉ DANS UN TRÈS VIEL HÔTEL LA NUIT DERNIÈRE.
ILS
M’ONT ENVOYÉ UNE LETTRE
POUR ME RÉVEILLER.
STEPHEN WRIGHT
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Nouvelles hôtelières Qui chambre a, voyagera Travelodge annonce que son Travelpod – une capsule conçue pour fonctionner partout où l’on peut dresser une tente – sera bientôt disponible dans des événements comme des festivals de musique et des compétitions sportives. C’est une bonne nouvelle pour les amateurs de chambres d’hôtes ou de camping. La capsule est scellée dans une boîte en verre polycarbonate mais comprend des caractéristiques offertes dans les chambres d’hôtels classiques comme la télé et l’air climatisé. Elle fait environ 18 pieds sur 7,2 pieds et comprend un lit deux places, des lampes de chevet, des sols moquettés et une table de toilette – plus des stores. Qui voudrait louer un Travelpod ? Selon la compagnie, une femme en voulait 20 pour que les invités à son mariage en plein air puissent y dormir et un homme voulait qu’on lui en livre un dans un endroit magnifique du Lake District pour une demande en mariage. Sur le Web : www.travelodge.com
Embassy Suites arrive à Montréal Embassy Suites annonce l’ouverture de son premier hôtel à Montréal (Québec) – Embassy Suites by Hilton Montréal. Deuxième hôtel de la marque haut de gamme au Canada et il est situé dans le Vieux-Montréal, directement en face du célèbre Palais des Congrès de Montréal. L’hôtel appartient à Aquilini Group Properties LP de Vancouver et sera géré par Pacrim Hospitality Services Inc. L’hôtel de 210 suites illustre les intentions de croissance internationale de la marque et la poursuite de son intégration dans le marché canadien. L’hôtel arborera aussi la mention ‘by Hilton’ dans son nom et son affichage extérieur. Sur le Web : www.embassysuitesmontreal.com
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Besoin d’un tuyau pour une chambre ? Vous connaissez déjà les tentes griffées et les capsules travelpods. Mais une nouvelle tendance se dessine en matière de chambre d’hôtel alternative qui combine les deux – un espace compact, à peine décoré, installé en plein air. Dans un parc près du Danube à Ottensheim (Autriche), un diplômé des Beaux-Arts a créé des « tuyaux dodo” assez grands pour un lit deux places, une étagère de rangement et une lampe. Ils ont en outre une fenêtre et l’électricité et sont situés près de toilettes publiques, de douches et d’un café. Les « tuyaux dodo » sont ouverts de mai à octobre. Réservation sur leur site Web. Sur le Web : www.dasparkhotel.net
Fairmont focalise sur les produits fermiers frais Fairmont est la première société hôtelière à s’engager à utiliser, dans la mesure du possible, des produits de l’écoagriculture, achetés localement et bios, dans le cadre de ses services alimentaires courants. Le Green Partnership de Fairmont, le programme écologique primé de la société, encourage les clients à penser écologie en voyage ; leur offrir des menus soins qui mettent en valeur des vins issus de l’agriculture bio et des jardins d’herbes aromatiques sur place est une suite logique. Sur le Web : www.fairmont.com/environment SOLUTION SUDOKU FACILE PAGE 19
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Est-ce que cela vous importe... Résultats du sondage effectué le 30 août dernier : Est-ce que cela vous importe quand un hôtel propose seulement une marque de boisson gazeuse, par exemple, soit Coke ou Pepsi ? Ou seulement une marque de bière soit Labatt ou Molson ? Oui : 64 % Non : 36 % Commentaires des planificateurs : Oui, car il y a une différence entre ces produits, et souvent, il ne dise même pas ce qu’ils ont, ils arrivent avec un coke quand on a commandé un pepsi. J’ai des préférences en matière de boissons, et j’aimerais bien avoir le choix quand je vais quelque part.
et se faire rembourser ensuite. Beaucoup de tracas, et pas toujours les fonds disponibles!
Selon un article dans BusinessWeek, 36 % des répondants disent qu’ils accomplissaient plus de travail avant l’ère des courriels. Est-ce que vous en faites plus ou moins depuis l’avènement du courriel ? Plus : 87 % moins : 13 % Commentaires des planificateurs : Sans le courriel, j’accomplirais la moitié moins de travaux. Avant, je perdais énormément de temps au téléphone, plus maintenant, je peux tout faire avec le courriel, et il n’y a plus de chaise musicale téléphonique.
Est-ce que cela vous importe quand un restau- L’avènement des courriels n’accélère pas le travail mais rant accepte seulement une carte de crédit le ralenti puisque nous passons plus de temps à écrire qu’à discuter et finalement les événements se règlent en mais pas l’autre tel Visa et non AMEX ? Oui : 87 % Non : 13 % Commentaires des planificateurs : Très embêtant car si les frais peuvent être mis sur des cartes de compagnies et que ces cartes ne sont pas acceptées, il faut payer avec nos cartes personnelles
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générale de façon plus longue. Une bonne conversation est plus rapide et expéditive et règle souvent les choses plus rapidement. De plus, l’avènement du courriel amène l’accélération du désir d’obtenir une réponse rapide et immédiate, ce qui ne laisse plus de place au temps de réflexion. C’est anti-créatif.
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Nombre total de répondants : 332
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