TCS Valais août 2017

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TCS SECTION

VA L A I S Chemin de l’école En attendant le bus

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En route Bien se conduire pour conduire

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Rencontre Diego Wellig, premier citoyen du canton

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Avantages membres Rabais pour la rentrée

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Bulletin

N° 3 – 2017

Le droit chemin pour retrouver son permis 08.2017 Paraît quatre fois par an


TCS SECTION VALAIS Point de contact Sion TCS Section Valais Rue des Cèdres 3 - 1950 Sion Tél. : 027 329 28 15 sectionvs.tcs@bluewin.ch www.tcsvs.ch Heures d’ouverture Lu : 8h30-11h30 et 13h30-17h30 Ma-ve : 8h30-11h30 Téléchargez notre application mobile TCS Valais. Suivez-nous sur Facebook. Editeur Touring Club Suisse Section Valais Av. de la Gare 20 - 1950 Sion Comité Fabienne Bernard, présidente (Martigny) Philipp Matthias Bregy, vice-président (Naters) Christian Nanchen, vice-président (Sierre) Ruth Bornet-Studer (Salins) Isabelle Darbellay Métrailler (Ayent) Antoine Defabiani (Uvrier) Simon Charles Fluri (Veyras) Guillaume Grand (Sion)  Jeanne-Emmanuelle Jollien-Héritier (Savièse) Cédric Rosaire (Evionnaz) Gerhard Wyssen (Loèche)

BILLET DE LA PRÉSIDENTE

Stop aux dérives Notre époque place la sécurité au sommet des préoccupations des citoyens et par conséquent, des autorités. Reste qu’à l’utiliser à toutes les sauces, on en oublie le bon sens, et surtout le sens de la mesure. Pour s’en convaincre, il suffit de lire notre dossier sur les procédures administratives qui s’enclenchent contre les conducteurs soupçonnés de ne plus être aptes à conduire (pages 4-6). Ayant milité pour le zéro pour mille au volant et n’éprouvant aucune sympathie pour les chauffards, la soussignée ne peut être soupçonnée de défendre des conduites dangereuses. Comme n’importe quel autre justiciable, l’automobiliste fautif doit rendre des comptes. Mais de là à se retrouver pris dans des méandres administratifs sans issue, il y a un pas qu’on n’aurait jamais dû franchir! Pire, la toile d’araignée est si bien tissée que personne ne se préoccupe de voir qu’en Valais, c’est UN SEUL expert qui décide à lui tout seul du sort des personnes concernées. Ses qualifications ne sont pas en cause, c’est la situation qui est inadmissible. On ne saurait accepter ce dictat du «je me lave les mains parce que j’applique la loi». On attend des services cantonaux qu’ils reconnaissent leurs lacunes et on rêve de voir les amoureux du droit et des libertés publiques relever la tête! Une autre question de sécurité révèle une zone grise, où différents acteurs se renvoient la balle: celle des jeunes enfants qui prennent le bus (page 3). Pour le Canton, ceci n’est pas du ressort des enseignants, balle aux communes. De leur côté, les communes ne veulent pas «payer» une tâche liée à l’école,

LES VALAISANS DU TCS

Stéphanie Bregy Spécialiste en recrutement

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TCS SECTION VALAIS N°  3 – 2017

balle au Canton. Et que dire des arrêts de bus eux-mêmes, qui ne sont pas toujours sécurisés et dont les dangers inquiètent les parents?

eux s amour le ir o v e d liques On rêve des libertés pub t e du droit tête. la r e v rele Le TCS œuvre depuis longtemps pour la sécurité sur et aux abords des routes. Il dénonce les directives abusives édictées par des soi-disant experts. Devenus incontournables, ces consultants font reculer les autorités qui, la peur au ventre, préfèrent ne rien décider qui puisse leur être reproché. En Valais, l’arrivée d’un nouveau Conseil d’Etat nous donne l’espoir que des yeux novateurs se penchent sur ces questions et œuvrent pour améliorer les choses, quitte à porter vers Berne le vent du bon sens qui souffle dans nos contrées. Fabienne Bernard, présidente du TCS Section Valais

Ancrée dans son village, ouverte sur le monde Mon lien avec le Valais

Ma mission au TCS

Je vis à Rarogne, le village où je suis née et où j’ai grandi. Après des études en économie d’entreprise à la HES de Sierre, j’ai habité à Berne pendant trois ans avant de revenir aux sources. Avec mon mari, il était clair que nous voulions vivre en Valais. Nous sommes très attachés à notre canton et nous souhaitions rester proches de nos familles. De plus, il y a beaucoup de possibilités de balades et d’activités pour les enfants. Certains de mes amis se demandent comment je supporte de vivre en périphérie, mais je ne me sens pas du tout isolée… Nous sommes à une heure de Berne et à 30 minutes de l’Italie!

Lorsqu’il y a un poste de cadre à repourvoir au sein du TCS, je cherche les candidats qui correspondent au profil demandé sur les réseaux sociaux. Le marché du travail a beaucoup changé et les annonces dans la presse ne suffisent plus, il faut être proactif dans le recrutement. C’est un travail très varié. J’ai la chance d’être en contact avec des personnes qui viennent de milieux très différents. Les relations avec mon équipe et mes supérieurs sont très bonnes. Le TCS est une entreprise humaine, qui offre beaucoup de possibilités de développement. J’ai toujours pu garder mon poste, malgré deux congés maternité prolongés. De plus, je peux travailler un jour par semaine à la maison, ce qui facilite mon organisation.


SÉCURITÉ

Du bus à l’école: quelle responsabilité?

16h dans un village de montagne. Une quinzaine d’enfants de l’école enfantine attendent le bus. Ils se tiennent sur une petite place privée, à un mètre de la route cantonale. «On n’a pas le droit de dépasser cette limite», lance un petit en montrant la bordure intérieure du trottoir. «Mais il faut faire attention, car il y a des voitures qui peuvent sortir de ce garage ou entrer par ici», réplique un autre. Après 15 minutes, le car arrive et embarque une partie des enfants. Les autres devront attendre 5 minutes de plus pour partir dans la direction opposée. Même s’ils ont reçu des consignes claires et ont été accompagnés à d’autres occasions, les écoliers doivent veiller seuls à leur sécurité. Or, ils sont un peu jeunes pour cela. «Avant 7 ans, les enfants devraient toujours être accompagnés d’un adulte sur le chemin de l’école», rappelle Mathieu Vouillamoz, responsable prévention routière à la Police cantonale. Cet exemple illustre la zone grise qui règne dans ce domaine. En principe, ce sont les parents qui sont responsables de leur enfant sur le chemin de l’école. Mais lorsque celui-ci prend le bus scolaire, la surveillance du dernier

© Little-Lady.ch

En théorie, la sécurité des enfants qui attendent le bus à la sortie de l’école incombe aux communes. En pratique, c’est plus compliqué.

trajet entre l’arrêt et l’école incombe à la commune, à condition que ce soit elle qui organise et finance le transport.

La tâche des enseignants? Avant 2011, les maîtresses d’enfantine étaient rémunérées pour le moment d’accueil des écoliers. Dans certaines communes, ce temps était utilisé pour accompagner les enfants. Mais depuis que ces minutes ont été intégrées aux périodes d’enseignement, la pratique a changé. Dans beaucoup de villages, les trajets et l’attente avec les enfants peuvent représenter jusqu’à une heure par jour. Faut-il payer les profs pour ce temps supplémentaire? Le Canton refuse d’entrer en matière, car cette tâche de proximité "communale" ne fait pas partie du cahier des charges des enseignants. «Ils consacrent déjà un temps, hors des périodes d’enseignement, à la vie du centre scolaire et les situations sont trop différentes d’une localité à l’autre. Les solutions doivent se trouver au cas par cas, sur le terrain», précise Michel Beytrison, adjoint au Service de l’enseignement de l’Etat du Valais.

L’exemple de Collombey-Muraz En l’absence de mesures claires, certains profs accompagnent les enfants bénévolement alors que d’autres se refusent à le faire. La Commune de Collombey-Muraz a réglé la question en incluant cette mission dans le cahier des charges des maîtresses d’enfantine. «Nous cherchons actuellement des solutions au niveau primaire, pour que les écoliers puissent rester en classe 15 minutes après les cours, afin d’éviter qu’ils n’attendent seuls au bord de la route», explique Olivier Turin, vice-président de la Commune. Patrouilleurs, coaches en éducation routière et police de proximité sont également sollicités pour veiller ponctuellement sur les arrêts de bus. Certains enseignants et les éducateurs des UAPE sensibilisent les écoliers au besoin. «Le sujet est hautement émotionnel pour les parents. Mais du côté de la Commune, la situation est sous contrôle», assure Olivier Turin. Les autorités ont également investi dans des mesures d’aménagement. Par exemple, aux arrêts de bus, l’inscription d’une ligne rouge sur le sol indique aux enfants la zone dans laquelle ils doivent se tenir.

Qui est responsable de la sécurité des enfants? Maison e Arrêt de bus:

LES PARENTS

A l’école et dans la cour de récréation:

BUS

L’ÉCOLE

Dans le bus scolaire:

LE TRANSPORTEUR

Arrêt de bus eEnceinte de l’école:

LA COMMUNE BUS

Devant les arrêts de bus de Collombey-Muraz, une ligne rouge délimite la zone de sécurité pour les enfants.

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EN ROUTE

Bien se conduire

pour conduire

Si vous êtes suspecté de dépendance à l’alcool, il faudra prouver votre innocence par l’abstinence.

Les automobilistes en état d’ébriété ou sous l’emprise de stupéfiants ne s’exposent pas seulement à une amende et à un retrait de permis. En cas de doute sur leur aptitude à conduire, une lourde procédure administrative s’enclenche. Avec des conséquences parfois dramatiques pour les concernés. Toute infraction mérite sanction. Mais dans certains cas, la loi sur la circulation routière ne se contente pas de prévoir un retrait de permis et une amende. Elle oblige le service cantonal des automobiles à mettre en œuvre une enquête d’aptitude à la conduite. Il s’agit notamment de situations où l’automobiliste est arrêté en état d’ébriété avec un taux d’alcool dans le sang de plus de 1,6 grammes pour mille, ou sous l’emprise de stupéfiants. Le permis est alors retiré de manière préventive, le temps de déterminer si la personne est dépendante (alcoolique ou droguée) et si sa consommation est susceptible d’affecter sa capacité de conduire. C’est sur ce soupçon de dépendance que l’autorité mandate systématiquement le Service d’expertises médicales (SEM) de l’Hôpital du Valais. Jugé «apte» par l’expert, le conducteur pourra retrouver son permis après quelques mois de sanction. Mais si le verdict est négatif, son permis lui sera retiré pour des raisons de sécurité, et il devra suivre un programme de sevrage. Pour démontrer leur abstinence, les «suspects» devront alors se soumettre à des tests urinaires et capillaires sur plusieurs mois. Un expert imposé Sur le papier, l’argument de la sécurité est imparable: il s’agit de protéger les routes de 4

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conducteurs potentiellement dangereux. Sur le terrain, l’application de la procédure pose question. Pour Tony Donnet-Monay, avocat spécialisé dans les questions routières, l’autorité administrative donne trop de pouvoir à ce genre d’expertises, alors que celles-ci sont décisives pour la suite de la procédure et les sanctions à venir. «Au stade du retrait préventif, le choix de l’expert n’est même pas donné à l’automobiliste, qui se voit imposer l’expert «usuel» de l’autorité, avec les doutes que l’on peut avoir sur l’impartialité de ce dernier. S’il conteste la décision de l’expert, le conducteur doit entreprendre de lourdes démarches qui peuvent, dans certains cas, rallonger la durée de son retrait de permis, même s’il obtient gain de cause au final, un comble!»

la condamnation administrative et où le conducteur est «présumé» coupable et même, souvent, futur récidiviste. Devant l’expert mandaté, toute velléité de l’automobiliste à minimiser ou à expliquer sa faute est interprétée négativement. L’analyse psychologique, pourtant incertaine, est élevée au rang de science exacte. La sanction, même si elle dépend d’une appréciation souvent subjective et discutable, devient très difficile à contester, même devant les Tribunaux.»

Prouver son innocence Un autre aspect choquant de la procédure est le traitement des automobilistes fautifs. Même si la mécanique n’est pas nouvelle (les retraits de sécurité sont réglementés depuis 1977), l’esprit a changé. Via Sicura est passée par là. Plus que l’infraction réellement commise (excès d’alcool ou de stupéfiants dans le sang), c’est la potentialité de risque de mise en danger future d’autrui qui prévaut.

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Comme l’explique le membre du réseau Avocats de la route, «la circulation routière est le seul domaine où le doute profite à

Face à la puissance du système, le recours à un avocat s’avère indispensable, surtout en début de procédure pour des conseils et une analyse de situation.

n Tony Do


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Interview de Pierre-Joseph Udry, directeur du Service de la circulation routière

C’est le nombre de retraits préventifs de permis de conduire en 2016. • 313 sont dus à l’alcool • 126 aux stupéfiants • 26 à d’autres cas médicaux.

Quand vais-je retrouver mon permis? Depuis que Via Sicura a abaissé le seuil pour l’alcool de 2,5 à 1,6 grammes pour mille, le nombre de personnes concernées par ces retraits préventifs a triplé. De plus, l’augmentation de cas à traiter complique le travail de l’administration et retarde son verdict. Même si ce temps d’attente est inclus dans la durée du retrait, il entraîne beaucoup d’incompréhension de la part des automobilistes, qui restent dans l’attente d’une sanction qui n’intervient souvent que trois ou quatre mois après les faits. Une erreur cher payée Pour les prévenus, la procédure administrative est si impressionnante que la procédure pénale passe presque inaperçue. L’ordonnance du Ministère public sanctionne le délit effectif: une peine pécuniaire en jours-amende et une amende. Mais ce sont les frais administratifs qui grèvent le budget du contrevenant: même s’il est finalement jugé «apte à la conduite», les coûts liés aux contrôles médicaux s’élèvent à plusieurs milliers de francs. Lire nos témoignages en page 6.

«Il faudrait remonter le taux limite d’alcoolémie pour les retraits préventifs à 2 pour mille» La décision d’aptitude à la conduite repose sur le seul avis du Service des expertises médicales de l’Hôpital du Valais. N’est-ce pas lui donner trop de pouvoir? La loi nous oblige à faire appel à un médecin spécialisé dans le domaine du trafic. Il n’en existe qu’un seul en Valais avec ce niveau de compétences. C’est donc avec son service que nous collaborons. Si l’automobiliste le demande, il peut être expertisé dans un autre canton. Mais les délais d’attente sont plus longs. Lors de ces retraits préventifs de permis, pourquoi ne tenez-vous pas compte des situations personnelles et des besoins professionnels? L’intérêt public prime sur l’intérêt individuel. C’est une question de sécurité. Le soupçon de dépendance n’est pas compatible avec la conduite automobile. Pour que certains automobilistes jugés «dépendants» retrouvent leur permis, vous les obligez à devenir abstinents… Est-ce vraiment votre rôle? Notre rôle n’est pas de les soigner mais de les écarter du trafic, le temps qu’elles arrêtent ces substances. Nous leur apportons un soutien dans cette démarche grâce à notre collaboration avec Addiction Valais.

Jusqu’où va le soupçon d’alcoolisme? Par exemple, une personne ivre qui marche dans la rue pourrait-elle se voir retirer son permis de conduire ? Non, sauf si elle est sur le point d’entrer dans sa voiture ou si elle est dénoncée pour cela.

riété, cas d’éb onnes Dans les des pers ié it o m la alement plus de sont fin s e é is t r nduite. expe s à la co e t p a s e jugé L’enquête d’aptitude est très dure à vivre pour les personnes concernées. En quoi le système pourrait-il être amélioré? Pour moi, la procédure prévue dans la loi est correctement appliquée. Peut-être faudrait-il améliorer la communication pour que les gens comprennent mieux les décisions des experts. Il faut dire que l’abaissement du seuil d’alcool à 1,6 pour mille touche désormais plus de gens qui ne sont pas dépendants, alors que l’ancienne limite fixée à 2,5 pour mille concernait clairement une population à risque. Plus de la moitié des personnes expertisées sont jugées aptes à la conduite dans ces cas d’ébriété. Cela signifie que le seuil est trop bas. La seule solution pour réduire cette pression sur les automobilistes serait de remonter ce taux limite à 2 pour mille.

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EN ROUTE

Quand le bleu

voit rouge…

Apte ou inapte à la conduite? Au-delà du verdict, la procédure et le vécu des personnes interpellent. Témoignages. «Un énorme sentiment d’injustice et d’humiliation»

«Traitée comme une criminelle et une alcoolique»

Une année, six mois, 28 jours. C’est le temps que Loïc* a dû attendre avant de retrouver son permis. Une période dont il garde un souvenir très douloureux. Pour avoir été arrêté roulant à 40km/h dans une zone 30 avec des traces importantes de cannabis dans le sang, le jeune homme a dû se soumettre à une enquête d’aptitude à la conduite.

Ce jour-là, Romaine* fête la réussite d’un projet professionnel avec des collègues. L’apéritif commence tôt, se prolonge toute la journée en agapes peu consistantes et bien arrosées. En soirée, sur le chemin du retour, elle est arrêtée dans un contrôle de police. Le résultat de l’alcootest est sans appel: a istration 1,65 pour mille. «Je savais que «L’admin rché à savoir j’avais trop bu mais je ne m’atche de surtout tendais pas à ça! J’étais stressée, elqu’un étais qu j’ e i n s u n je voulais savoir ce qui m’atrme, selo qui o f n o c tendait. On m’a dit de me tenir ire e arbitra tranquille et que dans mon cas, norm » ppe… on pouvait très bien me passer m’écha les menottes. Je me suis sentie comme une criminelle.» Selon la procédure, son permis lui est retiré, le temps pour l’administration de vérifier si Romaine est dépendante à l’alcool et si sa consommation affecte sa capacité de conduite.

Une expertise qui tourne mal Lors de l’expertise, l’entretien avec le médecin se passe mal. «C’était une femme qui ne parlait pas notre langue. On avait de la peine à se comprendre. Face à elle, j’ai eu l’impression d’être un pédophile et un violeur, juste parce que j’ai assumé ma consommation régulière de drogue douce.» Le rapport conclut à des «troubles mentaux et du comportement liés à l’utilisation continue de cannabis» et déclare Loïc inapte à la conduite. Le retrait préventif de permis est transformé en retrait de sécurité. Pour retrouver son bleu, le jeune homme devra s’abstenir de tout produit stupéfiant pendant six mois et le prouver à travers différents tests capillaires et urinaires. Il devra également être suivi par un spécialiste d’Addiction Valais. Un mécano sans permis Loïc vient de passer son CFC de mécanicien sur auto. Comment trouver un emploi dans ce domaine sans permis de conduire? «Après des semaines de recherches infructueuses, j’ai fini par m’inscrire au chômage. C’était très dur. Je me sentais trahi. J’étais puni pour une faute que j’aurais potentiellement pu commettre mais que je n’avais pas commise. Le pire, c’est de devoir prouver qu’on est clean. Il faut se soumettre à des tests, donner son urine et ses cheveux, promettre de changer de vie.» Le jeune homme souffre également de ne pas être entendu, de ne pas comprendre ce qui se passe. «Dans ce système, personne n’est responsable de rien, chacun se renvoie la balle.» Loïc finit par trouver un travail dans une usine. Après un sevrage de six mois, il est enfin oir t de dev : s ’e déclaré «apte» par le médecin c , e «Le pir est clean n du trafic. Mais il devra attendre ’o u q r prouve ine, ses 3 mois supplémentaires pour r u n o s donner re de retrouver son permis. «L’attente, promett , x u e v e ch c’est insupportable. L’organisa.» de vie tion des trajets jusqu’à mon trachanger vail était très compliquée et très coûteuse. J’aurais préféré faire de la prison plutôt que de subir cette liberté conditionnelle et payer tous ces frais médicaux. Et tout cela, pourquoi? J’ai perdu toute foi en l’Etat et les institutions. Et inutile de vous dire que j’ai recommencé à fumer du cannabis…» *Prénoms d’emprunt. Noms et prénoms connus de la rédaction.

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Que vont dire mes cheveux? En plus d’un test d’autoévaluation sur sa relation à l’alcool et un entretien avec un médecin du trafic, elle doit se soumettre à un test capillaire. «Qu’est-ce que mes cheveux pourraient bien révéler de ma consommation des six derniers mois? Allais-je être vraiment considérée comme une alcoolique, moi qui bois avant tout pour le plaisir de partager un bon verre lors d’un moment convivial?» L’entretien médical ne la rassure pas. Le professionnel lui pose des questions sur ses parents, son divorce, ses études, sa première cigarette. «Il m’a demandé si j’allais continuer à boire, s’est permis des remarques sur ma vie privée… Je me suis sentie jugée comme une femme de mauvaise vie». En sortant, Romaine a si peur d’avoir mal répondu qu’elle s’abstient de boire une seule goutte d’alcool en attendant le résultat de l’expertise. Dans l’intervalle, elle prend conseil auprès d’un avocat de sa connaissance, qui enfonce le clou: «Aux yeux de la loi, ce que tu as fait équivaut à un viol léger.» Le plus dur: attendre sans savoir… Alors que le Ministère public rend sa sentence un mois après les faits, le Service de la circulation ne donne aucune nouvelle après plus de trois mois. «Le plus dur, c’est de ne pas savoir quand on va pouvoir récupérer son permis.» Romaine finit par appeler l’hôpital. Surchargé, le service responsable n’a pas encore traité son dossier. Il déclare finalement l’automobiliste «apte à la conduite» et on lui notifie 4 mois de retrait. Elle récupère son bleu dix jours après l’annonce de cette décision et demande à consulter son dossier. «J’y ai découvert le résumé de ma vie et des remarques sur mon comportement. De savoir que ces détails privés resteront dix ans dans un registre officiel, cela fait froid dans le dos.»


CHF

80.-

adultes

le 2 septembre 2017

CHF

37-16.-ans

12 enfants

Cette année, le TCS Section Valais vous emmène au pied du massif du Mont-Blanc, dans le village italien de Courmayeur. L’après-midi, vous pourrez visiter la ville d’Aoste ou monter dans les cabines panoramiques du téléphérique Skyway Montebianco. Prix:

©MARKUS SCHMID

Sortie à Courmayeur

it Gratu -11 ans

0 enfants

Adultes: CHF 80.- / CHF 140.- non-membres Enfants 12-16 ans: CHF 37.- / CHF 70.- non-membres Enfants 0-11 ans: gratuit / CHF 47.- non-membres

Prestations: voyage en bus aller-retour, croissant-café le matin, repas de midi au restaurant, visite guidée d’Aoste et tickets pour le téléphérique.

Horaires de départ

Programme: dès 6h30 Départ en bus depuis les différentes villes valaisannes

6h50 Viège, Busbahnof

Sous réserve de modification

7h15 Susten, Bahnhof SBB

9h30 Halte à Chamonix 12h Repas au Mountain Sport Center de Courmayeur

7h15 Sierre, Les Halles

14h A choix: visite guidée de la vieille ville d’Aoste ou montée à bord du téléphérique Skyway Montebianco. En cas de mauvais temps, tous les participants seront invités à visiter Aoste.

6h30 Brigue, parking Werie

17h Retour en bus

7h20 Sion, Tennis de Valère 7h30 Sion, Gare CFF 8h00 Martigny, place de Rome 7h40 St-Maurice, gare CFF

dès 20h Arrivée en Valais

7h30 Monthey, gare AOMC Versement: TCS Section Valais, Av de la Gare 20, 1950 Sion / CH61 0900 0000 1900 5163 3 / Mention: Courmayeur + nom Vous pouvez également obtenir un bulletin de versement sur simple demande auprès de notre secrétariat. Validité dès réception de votre inscription et de votre paiement, dans la limite des places disponibles. Le programme définitif avec les horaires de bus vous sera envoyé par courrier.

Inscription Sortie annuelle du 2 septembre 2017 à Courmayeur A renvoyer par courrier à TCS Valais, av. de la Gare 20, 1950 Sion ou par courriel (sectionvs.tcs@bluewin.ch) jusqu’au 26 août 2017.

Nom et prénom : ���������������������������������������������������������������������������������������������������������������������������������������������������������������������������������������� Rue, NPA, ville : �������������������������������������������������������������������������������������������������������������������������������������������������������������������������������������������� Téléphone:........................................ Je prendrai le car à: ��������������������������������������������������������������������������������������������������������������������� Programme de l’après-midi: je choisis

la visite à Aoste ou

le téléphérique Skyway Montebianco.

Membre TCS, n° de sociétaire: .........................................

Non-membre TCS

........ membres TCS adultes (CHF 80.-)

........ non-membres TCS adultes (CHF 140.-)

........ membres TCS enfants 12-16 ans (CHF 37.-)

........ non-membres TCS enfants 12-16 ans (CHF 70.-)

........ membres TCS enfants 0-11 ans (gratuit)

........ non-membres TCS enfants s 0-11 ans (CHF 47.-)

........ total membres TCS

........ total non-membres TCS

Date:.................................................................... Signature: ��������������������������������������������������������������������������������������������������������������������� 7


INFOS CLUB

Siège enfant:

Fixer le siège et attacher l’enfant correctement: des gestes simples qui peuvent sauver des vies.

comment l’utiliser?

Le TCS Section Valais organise une soirée d’information gratuite le jeudi 28 septembre. Avec des conseils utiles pour protéger votre enfant en voiture. Un enfant sur deux n'est pas attaché correctement en voiture. En cas d’accident, le risque de blessures graves est trois fois plus élevé pour ceux qui ne sont pas assis dans un siège adapté. C’est pourquoi le siège auto est obligatoire pour le transport de tout enfant jusqu’à 12 ans et mesurant moins de 150 cm. Pour une protection efficace contre les accidents, encore faut-il choisir le bon modèle, savoir le fixer et attacher correctement votre bambin. N’oublions pas que les voitures sont conçues pour des adultes. Or, la constitution et les proportions du corps varient selon les âges. Ainsi, la tête d’un bébé est proportionnellement plus grande que celle d’un adulte.

Sa protection est donc primordiale. De plus, le bassin d’un être humain n’est pas totalement ossifié avant l’âge de 12 ans. Si celui-ci n’est pas correctement retenu, la ceinture de sécurité remontera dans la zone du ventre et causera des lésions internes. Le TCS s’engage pour la sécurité du transport d’enfants et organise des tests de sièges auto depuis 1968. Ce 28 septembre à Sion, nous vous donnerons des conseils pratiques et répondrons à vos questions. Bienvenue!

Programme du 28 septembre De 18h à 20h, au Point de contact du TCS, rue des Cèdres 3 à Sion. Partie théorique: comprendre la biomécanique de l’enfant, normes en vigueur, choix d’un siège approprié, fixation et attache correctes. Partie pratique: atelier de fixation. Questions-réponses et apéritif.

Soirée sur inscription: merci de vous annoncer par e-mail à sectionvs.tcs@bluewin.ch jusqu’au 22 septembre.

Question au TCS Marie-Noëlle Dayer, collaboratrice TCS Section Valais

Je suis intéressé par l'assistance dépannage du TCS. Mais puis-je aussi faire l'assurance auto chez vous?

O. Maire

Absolument. En plus du sociétariat motorisé et du livret ETI, nous sommes aussi en mesure de vous proposer la solution auto TCS. Le plan idéal pour regrouper vos assurances! Vous souhaitez un comparatif de primes? Vous êtes bientôt propriétaire d’un nouveau véhicule? Nous vous renseignons et vous conseillons volontiers. Pour obtenir une offre adaptée à vos besoins, le plus simple est de venir nous trouver au Point de contact de Sion avec votre carte grise (permis de circulation). Vous pouvez également nous envoyer votre demande d’offre par e-mail à l’adresse sectionvs.tcs@bluewin.ch, en y joignant une photo de votre carte grise. Vous avez aussi la possibilité de télécharger notre formulaire en ligne, sur www.tcsvs.ch, rubrique «Services et contacts».

Point de contact du TCS à Sion, Rue des Cèdres 3. A votre service tous les matins de 8h30 à 11h30 et le lundi toute la journée. 8

TCS SECTION VALAIS N°  3 – 2017


Brisolée traditionnelle Dimanche 1er octobre 2017, de 11h30 à 15h30 Six restaurants vous accueillent, sans inscription ni réservation, pour une délicieuse brisolée sur assiette. Valable dans les restaurants suivants: Viège: Restaurant de Staldbach Sierre: Château de Villa Sion: Lieu à déterminer Fully: Restaurant Le Cercle Martigny: Château de la Bâtiaz (dès 11h, trajet en petit train depuis la place de Rome). Le Bouveret: Taverne de la Tour1 Prix: Membres adultes: CHF 17.-/enfants CHF 10. Non-membres adultes: CHF 27.-/enfants: CHF 15.-

10% sur le billet

Festival Tohu Bohu du 7 au 9 septembre 2017 Le Tohu-Bohu accueille des artistes de notoriété internationale dans un cadre idyllique et intimiste. Ambiance rock le jeudi avec Franz Ferdinand. Le lendemain, place aux talents de l’électro. Samedi, on pourra notamment écouter le groupe Tryo (chanson française) et Coconut Kings (rythm’n blues). Conditions Offre valable jusqu’au 25 août sur les billets en prélocation, pour les 100 premiers membres TCS qui passent commande par e-mail (billets-tcs@tohu-bohu.ch). Dans votre message, mentionnez vos nom, prénom, adresse postale, numéro de membre TCS et nombre de billets souhaité. Envoi des billets par e-mail. Transports TCS Navettes gratuites entre Sierre et le festival depuis l'arrêt "Place du Cheval". Des bus de rentrée sont organisés en direction de Sion et de Martigny pour la modique somme de 10 francs (sauf jeudi 7.09: train régional à 00h08 au départ de Sierre).

17.–

Infos sur www.tohu-bohu.ch

CHF e 27.– au lieu d

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Bienvenue à Western City! Ambiance western au parc d’attractions de Martigny. Avec plus de 70 défis à relever sur 10  000 m 2, les enfants dès 3 ans peuvent tester leur sens de l’aventure. Sur le thème mythique de la conquête de l’Ouest et de la ruée vers l’or, Western City Martigny propose de nombreuses animations géantes pour les enfants, les ados et même les plus grands qui continuent à lire Lucky-Luke sous la couette.

Vivez des moments inoubliables en famille ou entre amis à Western City! 9


RENCONTRE

L’homme des sommets

Lors de ses expéditions alpines à travers le monde, Diego Wellig apprécie particulièrement les rencontres avec les habitants.

Diego Wellig est le premier Suisse à avoir gravi les montagnes les plus élevées des sept continents. Cette année, il a atteint un sommet de la politique cantonale, en tant que président du Grand Conseil.

«De là-haut, on a toujours un panorama incroyable», raconte le guide de montagne et actuel président du Grand Conseil Diego Wellig pour expliquer sa fascination des sommets. «Par exemple, si on se trouve sur une montagne en Antarctique, avec une vue à 360 degrés, avec seulement la neige et glace autour de soi, on peut voir la courbe de la terre; on réalise alors à quel point nous sommes petits.» Ce regard illimité sur le monde lui procure, avant tout, un grand sentiment de liberté. Du respect, mais pas de peur Enfant déjà, Diego Wellig explore les montagnes du canton en compagnie de son père et de sa sœur. Ses premiers tours l’emmènent au sommet du Hohstock à Belalp. En 1982, il réussit l'examen de guide de montagne – le début d'une carrière d’alpiniste intense. Il s’est notamment retrouvé deux fois sur le toit du monde, le mythique Everest, et a gravi six autres sommets de plus de 8'000 mètres. En 2002, il est le premier Suisse à relever le défi des «Seven Summits», soit l’ascension des plus hauts sommets de chaque continent; et les 48 monts de plus de quatre mille mètres en Suisse figurent également à son palmarès. Au sujet des risques de la profession, Diego Wellig précise: «Je suis un alpiniste, pas un kamikaze. Le respect de la montagne est indispensable, mais la peur est mauvaise conseillère.» Plus de 30 ans d’expérience Sans bien connaître le monde de l’alpinisme, on pourrait imaginer que c’est l’Everest qui a exercé la plus grande fascination sur Diego Wellig… «Bien sûr, atteindre le toit du monde

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est un sentiment indescriptible, mais d’autres sommets m’ont procuré des sensations encore plus fortes.» Par exemple, le Shivling, situé dans la partie indienne du Nord de l’Himalaya (6543 m): «Cette montagne ressemble à une pyramide, elle est extrêmement difficile à escalader.» Voilà plus de 30 ans que Diego Wellig poursuit son chemin d’alpiniste. Il guide ses clients dans des pays inconnus, les emmène sur les sommets, leur faisant découvrir des cultures différentes et vivre des expériences exceptionnelles.

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Persévérance et chance Depuis fin mars, Diego Wellig connaît un autre genre de sommet. Ce père de deux enfants a été choisi pour présider le Grand Conseil valaisan. Mais qu’est-ce que la politique et l’alpinisme ont donc en commun? «Une forte volonté, de la chance, de la persévérance et un regard à 360 degrés pour voir ce qui se passe aussi bien à droite qu’à gauche». Même s’il n’a jamais eu pour objectif de devenir le premier citoyen du canton, il apprécie sa nouvelle fonction: «Je pourrai gravir l’Everest une troisième fois. Mais le président du Parlement, c’est un sommet que l’on atteint qu’une fois dans sa vie, c’est un grand honneur.»


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Pour vos loisirs Centre thermal de Brigerbad: le paradis des familles

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Le plus grand centre thermal en plein air de Suisse offre de multiples possibilités de détente et de divertissement. Une journée pour nager, jouer, se ressourcer et passer du bon temps en famille… Avec ses 2600 mètres carrés de surface d’eau en été, Brigerbad est le plus grand site thermal en plein air de Suisse. Venez faire trempette dans sa grotte climatisée (40-42°) ou glisser sur le plus long toboggan aquatique des Alpes (182 mètres!). Station de tous les records, le Centre thermal de Brigerbad possède aussi sa piscine olympique, six bassins thermaux en plein air (27-38°), une pataugeoire pour enfants, une piscine fluviale thermale. Se détendre et se restaurer Brigerbad, c’est aussi une référence en matière de bien-être et de santé. Les sources chaudes (entre 21° et 42°) sont réputées pour soulager les douleurs d’arthrose et de rhumatisme. Le centre abrite également une vaste zone SPA, avec hammams, saunas et massages relaxants. Et pour combler les petites et grandes faims, un restaurant, un bistrot et une buvette vous servent à toute heure de la journée. Conditions • Rabais de 25% valable sur tous les tarifs d’entrée: bains thermaux et SPA, 3h ou journée entière. • 5 entrées par carte de membre TCS. • Validité: du 15 août au 24 décembre 2017. Non cumulable avec d’autres offres. Infos sur www.brigerbad.ch

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TCS SECTION VALAIS N°  3 – 2017

Pour 99 francs au lieu de 199, vous profitez toute l’année de nombreuses activités et des transports publics au Pays du Saint-Bernard.

Le PASS Saint-Bernard propose un forfait annuel très attractif, permettant l’accès à plus de 15 activités de loisirs, ainsi qu’aux transports publics sur tout le territoire de la destination. Ce sésame vous ouvre de nombreuses portes à Sembrancher, Bovernier, Champex-Lac, Liddes, Bourg-St-Pierre, La Fouly et au col du Grand-Saint-Bernard. Du ski au pédalo En hiver, vous profitez des domaines skiables et de la patinoire. En été, vous pouvez visiter le jardin botanique, dévaler les pentes à trottinette, emprunter le sentier suspendu, vous détendre dans les piscines, faire un tour en pédalo, explorer les gorges du Durnand ou faire connaissance avec les chiens au col du Grand-Saint-Bernard. Et durant toute l’année, le PASS vous donne aussi accès au Fort d’artillerie et à la piscine couverte de Bourg-Saint-Pierre ainsi qu’aux bus au départ d’Orsières. Une belle occasion de profiter à petit prix du cadre naturel préservé du Pays du Saint-Bernard!

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Escapade gourmande et culturelle au Château de Vaas 1 carpaccio du château

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Pour vos sorties Cirque Knie à Sion, l’événement de l’automne Acrobatie, humour, pyramides humaines, chorégraphies équestres… Le Cirque Knie vous en mettra plein la vue!

Faites une halte à Flanthey pour découvrir ce lieu plein de charme et d’histoire. Une surprise gourmande vous attend à l’Œnothèque! Voici un petit bijou du patrimoine historique local, dont le charme et l’authenticité vous surprendront. Niché au coeur du vignoble de Flanthey, le Château de Vaas est un monument historique, dont les origines remontent au XVIe siècle. Il a servi de résidence d’été aux Seigneurs de Granges avant de devenir une maison patricienne, ornée de très belles peintures murales extérieures.

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Le titre de la tournée du Cirque Knie 2017 ne laisse aucune place au doute: «Wooow!» promet un programme riche en surprises, animé par 56 artistes de 11 pays différents, dont les acrobates aériens Desire of Flight et l’humoriste Housch-ma-Housch. Sans oublier les numéros enchanteurs de toute la famille Knie. Un moment magique, qui émerveillera petits et grands. Tout savoir sur le Cornalin Restaurée en 2013 dans le respect des lignes d’origine, la bâtisse abrite la Maison des Cornalins, un espace dédié au cépage rouge valaisan et à ses cousins dans le monde. Après l’exposition et la visite des différentes salles, vous pourrez déguster les crus des encaveurs de la région à l’Œnothèque du Château. Sur présentation de votre carte TCS, on vous offrira le carpaccio de la maison: bœuf local, fromage d’alpage, noix et huile de noix. Bonne dégustation! Conditions • Carpaccio du château offert, sur présentation de la carte de membre TCS. • Œnothèque ouverte le lundi, jeudi et vendredi de 16h à 21h. Samedi et dimanche de 11h à 21h. www.chateaudevaas.ch – 027 458 11 74

• 19 octobre 2017 à 20h: rabais sur les billets adultes. (représentation publique) • 21 octobre 2017 à 17h: rabais sur les billets adultes et demi-prix pour les enfants de 3 à 11 ans (représentation spéciale pour le TCS). Conditions • 8 billets maximum par famille. • En vente uniquement sur internet dès le 2 octobre 2017 à 8h30: indiquez votre numéro de membre lors de la commande des billets sur notre site www.tcs-section-valais.ch. • Paiement uniquement par carte de crédit (Visa / Mastercard) ou Postcard. Envoi des billets par courrier postal.

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Améliorez votre conduite! Les cours TCS vous permettent de vous entraîner et d’obtenir des conseils personnalisés. Découvrez nos offres pour jeunes conducteurs et seniors.

Bien conduire, mieux réagir Chaussée mouillée, freinage d’urgence, obstacles imprévus… Les instructeurs du TCS aident les jeunes conducteurs à garder la maîtrise de leur véhicule dans toutes les situations. A l’achat de votre première voiture, certaines assurances offrent une baisse de prime si vous participez au cours «Bien conduire, mieux réagir». Renseignez-vous ! Prochaines dates Septembre: 2, 9, 23, 30 Octobre: 7, 14, 21 Novembre:4, 11, 18

Prix Membres TCS CHF 200.– / Non-membres CHF 250.– Rabais de CHF 100.– pour tous les participants

Conduire aujourd’hui Vous avez passé votre permis il y a bien longtemps et n’êtes pas toujours au clair avec les codes actuels de la route? Ce cours est pour vous. Une demi-journée de théorie et de pratique, très utile pour apaiser les doutes et les angoisses au volant. Chaque participant a droit à un check-up de conduite, avec des conseils personnalisés et l’avis d’un expert. Prochaines dates Prix 29 août Membres TCS CHF 130.– / Non-membres CHF 190.– 26 septembre Rabais de CHF 50.– pour tous les participants 17 octobre

Infos et inscriptions: 027 329 28 10 ou sectionvs.tcs@bluewin.ch

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Avec le soutien du Fonds de sécurité routière

A gagner: 1er prix: 1 bon pour un cours TCS «Conduire aujourd’hui» (valeur CHF 130.–) 2e prix: 2 entrées pour le Cirque Knie (valeur CHF 84.–) 3e prix: 2 bons pour la brisolée TCS du 1er octobre (valeur CHF 54.–) 4e prix: 2 entrées au Centre thermal de Brigerbad (valeur CHF 48.–)

Quel est le slogan de la campagne de sécurité routière pour la rentrée scolaire?

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