Les visages de l’ONU
Merijn De Smet Merijn De Smet est un Volontaire des Nations Unies (VNU) travaillant au Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD) dans la capitale équatorienne, Quito. Basé au 11e étage du bâtiment des Nations Unies, il travaille sur des projets apparentés au climat et à la biodiversité. et Développement, à l’Université de Gand. Pendant ce temps, il s’est inscrit au Programme junior de la CTB, l’Agence belge de développement. « J’ai eu la possibilité d’aller travailler à Kigali, la capitale du Rwanda, en tant qu’assistant CTB pour le Ministère de l’Infrastructure. J’étais gestionnaire de projets liés à l’énergie. Cette expérience devait durer deux ans, mais en raison de changements au niveau local, je n’y suis resté qu’un an. Ensuite, j’ai encore travaillé un an à Esmeraldas en Équateur toujours grâce au Programme junior de la CTB. »
« Les thèmes que je retrouve dans mon travail, je les défends dans ma vie personnelle également. Selon moi, ils sont essentiels. »
Merijn De Smet (Belgique) – VNU, assistant pour le Programme de Développement de l’ONU (PNUD), Conservation et Gestion Durable de la Biodiversité et des Écosystèmes pour le Développement.
Actuellement en poste à Quito Deux ans de travail à l’ONU Parcours scolaire : Bachelier et Master en sciences économiques et sociales, Master complémentaire appelé Conflit et Développement ; Premier emploi : gestionnaire de projet au Ministère de l’Infrastructure au Rwanda (Junior Assistant pour l’Agence belge de développement) ; Participation au Programme junior de la CTB et au VNU ; Expérience de terrain au Rwanda, en Espagne et en Équateur. Missions au Kenya et en Afrique du Sud.
« J’ai décidé d’étudier les sciences économiques et sociales pour me familiariser avec de nombreux domaines et pour me former dans plusieurs disciplines. » Lors de ses études, Merijn a choisi la branche sciences économiques et sociales à l’Université d’Anvers. « Je m’intéressais à beaucoup de choses, et les sciences économiques et sociales sont une branche très vaste. Ce choix m’a permis de me familiariser avec de nombreux domaines et de me former dans plusieurs disciplines. » Après un bachelier et un master dans cette direction, Merijn s’est dirigé vers un master complémentaire dans une branche qui l’intéresse, Conflit
Merijn vit actuellement à Quito où il travaille pour le PNUD. Il est assistant technique dans le cadre de la Conservation et de la Gestion Durable de la Biodiversité et des Écosystèmes pour le Développement. Il se charge du suivi et de l’évaluation des projets concernant le climat, l’environnement et la biodiversité. « Je fais toutes sortes de choses pour aider le service projets. J’assiste à de nombreuses réunions avec nos partenaires ; je réalise des rapports ainsi que des projets. J’évalue les produits rendus par les consultants et je fais des présentations. Enfin, je m’occupe aussi des procédures de sélection et d’achat. » Merijn doit souvent se rendre sur le terrain. « La supervision des projets se fait souvent à partir de la capitale, mais il arrive parfois que je doive voyager dans les provinces où les projets sont mis en place. Lors de consultations importantes ou encore au début et à la fin d’un projet, il faut qu’un membre du siège central soit présent. » Merijn est très satisfait de son travail : « les thèmes que je retrouve dans mon travail, je les défends dans ma vie personnelle également. Selon moi, ils sont essentiels. Sur le plan du contenu, mon travail et les divers projets m’apportent énormément de satisfaction. Ils ont un réel impact aux niveaux local, national et international. » Merijn participe entre autres au projet de l’ONU le plus important dans le pays : la protection de la forêt amazonienne et ses habitants. « Nous essayons tout d’abord de combattre la déforestation, mais également d’améliorer l’équilibre entre la société et la nature. » Il gardera toujours en mémoire le contact direct avec la population indigène de la forêt amazonienne. « C’était extrêmement intéressant d’en apprendre sur leur mode de vie, sur les défis qu’ils ont à relever, sur l’influence que notre manière de vivre a sur eux et,