Présentation Bonjour IT sur l'Atlas, une méthode

Page 1

ATLAS

1 / 20-09-13 / CHLOÉ VALADIÉ ° GAÉTAN BRUNET / l’AUC


2 / ATLANTE, LUIGI GHIRRI / CABINET DE CURIOSITÉ


RÉFÉRENCES LES MULTIPLES FORMES DE L’ATLAS

3 /


ARCHÉOLOGIE DU SAVOIR VISUEL - ICONOGRAPHIE

4 / ATLAS MNEMOSYNE, ABY WARBURG


SÉRIES TYPOLOGIQUES - TAXONOMIE

5 / BERND & HILLA BECHER


MATÉRIEL VISUEL - CONTEXTES ASSOCIATIFS - FACTEURS DE PERTURBATIONS

6 / JOËLLE TUERLINCKX


SOURCE DOCUMENTAIRE VS OEUVRE D’ART AUTONOME (EXPOSÉE VS EDITÉE)

7 / ATLAS, GERHARD RICHTER


NOUVELLE OBJECTIVITÉ - MATÉRIEL PÉDAGOGIQUE

8 / WUNDERGARTEN DER NATUR - KARL BLOSSFELDT


ENREGISTREMENT ANTHROPOLOGIQUE

9 / EXACTITUDES - ARI VERSLUIS & ELLIE UYTTENBROEK


DISPOSITIF D’EXPOSITION - ESTHÉTISATION DU PROCESS CRÉATIF

10 / ALBUM - RONAN & ERWAN BOUROULLEC


MYTHOLOGIE INDIVIDUELLE - PETITE MÉMOIRE - MÉMOIRE AFFECTIVE

11 / INVENTAIRE - CHRISTIAN BOLTANSKI


MUSÉE PORTATIF - UNIVERS CONDENSÉ SURRÉALISTE

12 / BOÎTE EN VALISE - MARCEL DUCHAMP


MATÉRIAU ARTISTIQUE - JOURNAL INTIME

13 / ALBUM - HANNAH HÖCH


LIVRE D’ARTISTE - COLLECTER / ORDONNER / RE-PRÉSENTER

14 / HANS PETER FELDMAN


BRUXELLES 2040 ATLAS DES ESPACES PUBLICS

15 /



LICS

es des bourgs ruraux, les centres

aux des bords d’autoroutes, les

d’envergure régionales ou interdes centres urbains, les terrains des villages de la citta diffusa ou

s aires de jeux et de baignade qui le long des cours d’eau de ce pay-

é.

ssemblées de manière équivalente,

e en faisant abstraction de leurs

ons ou de leurs localisations, ces

nstituent un langage. Ce langage

e la publicité bruxelloise, dans toute

é, un langage où chaque lieu public

un mot.

e de l’espace public bruxellois resur la multiplicité de son langage,

rsité de ses formes, sur l’apparente

ce de la collection, et finalement, de

ssez surprenante, une fois reportés

e, c’est leurs proximités voire leurs

s dans l’espace physique de la ville

ue une logique isotrope.

a stratégie de projet que nous adop-

es Iconographic Urban Fabrics doit

de retrouver des formes disparues

ue publique, découvrir des néolo-

onstruire des hybrides à partir des

mmunes…

pour tenter d’enrichir plus encore le

e la condition publique bruxelloise.

17 /

INVENTAIRE 87


ns les plus transversales

coproduction programmatique

dilatation confortable

réseau

mobilité

terrasse

historique

aménité naturelle

symbolique

c pourrait être celle pro(2001), où l’espace com-

omme un agencement qui

nce des acteurs sociaux,

e domestique et englobé

c considéré comme l’une

organisation possibles de

e.

onditions nous souhaitons polysémique de l’espace

en utilisant des exemples

ore, ces 8 exemples mon-

s qui déterminent l’intensité

c, même si ces conditions

ctement liées à la sphère

t “conditions” nous pro-

éfinitions de l’espace pub-

arfois être contradictoires

ort aux autres, mais aussi

e rendre un espace public

ont évidemment cumula-

sition sur un espace public

le rendre plus attractif.

18 /

CONDITIONS D’INTENSITÉS 91


que possible associés au sein d’un espace

ments éphémères y prenant place justifient de

ouvert à tous. Ainsi l’association des qualités

son attractivité indiscutée.

de multiples programmes, une ouverture sur

La démarche des Iconographic Urban Fab-

le reste de la ville, la connexion au réseau de

ric vise à exploiter concomitamment les dif-

transport public, l’ancrage historique et sym-

férentes conditions d’intensités qui pourraient

bolique, la relation aux aménités paysagères

s’ancrer dans un lieu public, dans la volonté

constituent ensemble des atouts pour qu’un

de le rendre plus attractif, à la fois pour une

espace public soit attractif.

population qui y serait liée localement (popu-

Deux exemples existants et assez représenta-

lation d’un quartier par exemple) mais aussi

tif de la ‘publicité’ bruxelloise ont retenus

à travers sa capacité à exister dans la carte

notre attention. La place Flagey, rassemble

mentale de l’ensemble de la population mét-

Coproduction of the urban space

desLes qualités présentées dans lesprésentées conditions “conditions d’intensités”

ropolitaine. centrale, la Grand Place se positionne au

précédemment sont des outils d’analyselapour d’intensités : l’école d’architecture, mai-

coeur réseau public trèspublics identifiable qui A ced’un titre, les espaces définis

comprendre ce qui constitue la qualité et

son de la radio, les lignes de transports qui l’attractivité d’un espace public. Ces éléments

la traversent, le paysage lacs être qui mènent d’un baromètre du publicdes doivent autant

tions publiques la ceignent, un certain nom-

dansliées uneauinterrelation à l’échelle bretrent d’activité tourisme et des évèneson attractivité duction desindiscutée. diverses

le reste de la ville, la connexion au réseau de

et également globalement en coproduction

ensembles (pour que les équilibres programférentes conditions d’intensités qui pourraient dePar le rendre plusilsattractif, à la fois pour une ailleurs, définissent le cadre d’une

Deux exemples existants et assez représenta-

représente assez bon exempleont desretenus Iconotif de la un ‘publicité’ bruxelloise notre Urban attention. La place Flagey, graphic Fabric. Au delà de rassemble sa dimen-

population qui y serait liée localement (popu-

ICONOGRAPHIC URBAN FABRICS

6.historique

ar-

3.réseau

7.aménité naturelle

GEOGRAPHIES METROPOLITAINES

ticulation avec une mobilité optimisée pour

lation d’un quartier par exemple) mais aussi

la métropole bruxelloise une géographie à travers sa capacité à exister et dans la carte mentale de l’ensemble de la population métrepensée entre l’échelle de l’eurodelta

des qualités présentées dans les conditions

ropolitaine.

d’intensités : l’école d’architecture, la mai-

A ce titre, les espaces publics définis par le

son de la radio, les lignes de transports qui

principe des Iconographic Urban Fabric en-

la traversent, le paysage des lacs qui mènent

trent dans une interrelation à l’échelle de la

à la forêt de Soignes, le théâtre très proche...

métropole bruxelloise. Ils sont une copro-

Plus significativement encore que le nouvel

duction des diverses conditions d’intensités

aménagement de la place, sa situation et

et également globalement en coproduction

les programmes qui l’entourent constituent

ensembles (pour que les équilibres program-

sa nécessité dans le paysage des pratiques

matiques ou d’attractivités soient maintenus).

publiques de la métropole.

Par ailleurs, ils définissent le cadre d’une ar-

De la même manière, la Grand Place

ticulation avec une mobilité optimisée pour

représente un assez bon exemple des Icono-

la métropole bruxelloise et une géographie

graphic Urban Fabric. Au delà de sa dimen-

repensée entre l’échelle de l’eurodelta et des

sion historique et de sa situation clairement

pratiques locales. La coproduction.

sion historique et de sa situation clairement

2.dilatation confortable 8.symbolique

ric vise à exploiter concomitamment les dif-

constituent des publiques de laensemble métropole.

De la même manière, la Grand Place

ENHANCED URBAN MOVEMENT

conditions d’intensités

s’ancrer dansou und’attractivités lieu public, dans la volonté matiques soient maintenus).

atouts pour qu’un

4.mobilité

La démarche des Iconographic Urban Fab-

bolique, la relation aménités paysagères sa nécessité dans leaux paysage des pratiques espace public soit attractif.

1.coproduction programatique

de la

à tous. Ainsi l’association deslequalités Plusouvert significativement encore que nouvel

les transport programmes l’entourent constituent public,qui l’ancrage historique et sym-

5.terrasse

principe des Iconographic Urban Fabric en-

ments éphémères y prenant place justifient de coprométropole bruxelloise. Ils sont une

aménagement de la place, sa situation et

3.réseau

par le

correspond à la ville médiévale, des institu-

associés au sein très d’un proche... espace à laque forêtpossible de Soignes, le théâtre de multiples programmes, une ouverture sur

ICONOGRAPHIC URBAN FABRICS

6.historique

et des

5.terrasse

1.coproduction programatique

pratiques locales. La coproduction.

4.mobilité

ENHANCED URBAN MOVEMENT 2.dilatation confortable 8.symbolique

7.aménité naturelle

GEOGRAPHIES METROPOLITAINES

Edward R.Tufte

112

113

Edward R.Tufte

112

19 /

COPRODUCTION

113


BORDEAUX 50.000 RÉFÉRENCES - PRINCIPES

20 /


A+PS

A+PS

Habalos et Herreros

Akihisa hirata

Akihisa hirata

Belinda Koopman

GonatasLantavos Architects

Hauvette

Helen Hard

Hernandez

Herzog et Demeuron

Herzog et Demeuron

ANA

ANA

Andreas Branzi

Aoki Jun

Aoki Jun

Aoki Jun

Hilberseimer

Hondelatte

Hondelatte

Huis Werk

JDS

Jolson

Aoki Jun

NO STOP CITY

BOW WOW

Tekuto

Barc

Bertrand Goldberg

Kazuhiro Kojima

Kuma Shnionome

Kurokawa

Kurokawa

Lacaton&Vassal

Lacaton&Vassal

Bevk Perović arhitekti

Chiba Manabumv

Chiba Manabu

Chiperfield

Chiperfield

Chiperfield

Lacaton&Vassal

Lacaton&Vassal

Lacaton&Vassal

Leon Wohlhage

Lucien Kroll

Lucien Kroll

Dick van Gameren

Diener&Diener

DKV

Durbach Block Jaggers

Emilio Ambasz

Europan

Mansilla Tunon

Maxwan

Maxwan

Mickael Wolf

Mikan

Mohammad Jabi, abu alanda, jordan

Europan

Lost in Translation

Franco Albini

Fujian

Gifu

GMUR Steib

Muller

MVRDV

MVRDV

MVRDV

MVSA, De Steven Housing Complex

Nakae Architects

Nederlands Architects

OMA

OMA

OMA

Peter Barber

Peter Barber

URS Primas

Valerio Ogiati

XDGA

Yamamoto

Yamamoto

Ref

Peter Barber

Peter Zumthor

Pezo

Pezo

Pezo

Philippe Samyn and Partners

Ref

Ref

Ref

Ref

Ref

Philippe Samyn and Partners

Phyd

Reidijk&Neutelings

Renzo Piano

Rob Krier

Roger Anger

Ryue Nishizawa

S333

Sanaa

Sanaa

Sanaa

Sanaa

Sanaa

(Scan)

(Scan)

Shibam

Shibam

Steven Holl

Steven Holl

Steven Holl

Steven Holl

Tezuka

Tezuka

Toyo Ito

Unstudio

21 /

RÉFÉRENCEMENT


INTÉRIEUR

22 /

ENVELOPPE

PRATIQUES

PROGRAMME

TOIT / SOL

ENVIRONNEMENT / CONTEXTE

EXTÉRIEUR

TYPO / VOLUME

MATERIALITÉ

COLLECTIVE SPACE

INTIMITÉ

COOPÉRATIVE

Un seul Espace pour plusieurs activités

Tirer parti de l’existant

live and work

coproduction programmatique

Riad+

S’implanter

Modeler

galerie - climat

Continuité du paysage à l’intérieur

Cohabiter dans un espace fermé

nid Plan ouvert

caue 92

Espace Public servant / Espace Public Servi

halle / serre

Différents Espaces

logement comme enveloppe

Balcon

xxxx

rebord

cellules

redent

Collectif mais intime

Cheminement dans le collectif

BKK-3

Aménagement extérieur dans espace int

Rythme

Activité

Varier les typologies

Espace extérieur couvert

S’intégrer

jardin d’hiver

icones

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Plusieures programmes

Distribution Extérieur

Egal

Distribution par patio

Diversité de vues

Toit programmé

Densifier

Puit de lumière

Empilement

égal

rue intérieure

Cellule

conglomérat

espace Continu indeterminé Habitat

Percer

xxxx

xxxx

Surélever le sol

Limite intérieur / extérieur

Loggia

Système répété

xxxx

chevauchement public - privé

Division des espaces

my street

Cadrer

Individualisation du collectif

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Coproduction Programmatique

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Variation dans le Paysage Urbain

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Coursive Intérieure

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communauté

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Intérieur/Extérieur

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Mitoyen Renouvelé

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vertical public

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TENTATIVE DE CLASSEMENT

castors


INTIMITÉ

LES CONDITIONS DE LA LIBERTÉ INDIVIDUELLE

PUBLICITÉ

LE SPECTACLE DE LA VILLE

DENSITÉ

LA VALEUR AJOUTÉE DU COLLECTIF

FLEXIBILITÉ

LES TEMPS DE L’APPROPRIATION

23 /

4 PRINCIPES

Bordeaux Métropole Millionnaire Habitante

Déterminismes contemporains du logement

45


DENSITÉ

LA VALEUR AJOUTÉE DU COLLECTIF 1. Perforum, Maxwan, 2011 2. Ofce for Urbanism 3. Soho, Yamamoto 4. SESC Pompéia Factory, Lina Bo Bardi, São Paulo, 1977-1982 5. Courtyard in Classensgade, 1:1 Landskab, Copenhague, 2010

Peut-on assouplir, dans l’immobilier, les notions de produit, les stratégies de ciblage et ainsi destiner les constructions a des usages renouvelables ? Peut-on déconstruire la sphère du logement et stimuler son système de dépendance – dépendance au paysage, au collectif, au public, au mouvement, au changement ? Peut-on relativiser, dans l’aménagement, la notion de phasage ? L’idée qu’un but est atteint à la livraison d’un ensemble – et penser le temps comme une montée en puissance faite de moments critiques, qui comprennent aujourd’hui et demain ?

6. Leiden CS, Maxwan, 2010

Autant de questions qui dessinent une appréhension structurelle du logement dans la métropole, qui militent pour des structures sufsamment franches pour disparaitre par leur usage et dans le temps, pour fusionner avec le mouvement de la métropole. Par exemple la gure de la maison individuelle est une structure très rigide, mais qui peut changer d’habitant, d’usage, être réaménagée radicalement, modier sa relation à son environnement. Des structures qui articulent le logement à ses externalités, qui favorisent la mixité des typologies, qui acceptent une exibilité dans le temps.

24 / 62

Déterminismes contemporains du logement

Bordeaux Métropole Millionnaire Habitante

Bordeaux Métropole Millionnaire Habitante

Déterminismes contemporains du logement

63


FLEXIBILITÉ

LES TEMPS DE L’APPROPRIATION 1. Studio in Kreutzberg, Daniel Heer, Berlin 2. San Girolamo nello studio, Antonello da Messina, 1474 3. Sand studio workshop, San Francisco, 2010 4. Gundeldinger Feld, Bâle Comment actualiser l’enjeu de la mixité dans la métropole bordelaise ? Quel forme de vivre ensemble la densité peut elle construire ? Quelle sont la masse critique idéale et le point de rupture des communautés ?

5. Joyn for Vitra, Ronan et Erwan Bouroullec 6. Colour Fields Farbfelder, Gerhard Richter, 1973

On a souvent réduit la densité à un enjeu de la ville vertueuse - lutte contre l’étalement urbain. On a souvent oublié – notamment dans les grands ensembles – de mesurer la densité des logements à celle de l’offre de services, de mobilité, à l’intensité des espaces collectifs ou publics. Localement, un projet de densication équilibré permet en effet d’augmenter les qualités du collectif, il produit une image, qui l’inscrit résolument dans l’imaginaire de la métropole. De manière plus diffuse, les contrastes de densité construisent des territoires de référence plus vastes, ils augmentent les échelles de partage, produisent et fédèrent de l’altérité, mettent en mouvement les plateformes de services et les aménités qu’ils justient.

25 / 70

Déterminismes contemporains du logement

Bordeaux Métropole Millionnaire Habitante

Bordeaux Métropole Millionnaire Habitante

Déterminismes contemporains du logement

71


INTIMITÉ

LES CONDITIONS DE LA LIBERTÉ INDIVIDUELLE 1. Stahl House, CSH# 22, Pierre Koenig, photographie de Julius Shulman, 1959 2. Young house 3. Scandinavian appartment 4. Bay window, Toronto 5. Barbican Center, London, Chamberlin, Powell and Bon

Comment traduire la position de l’individu métropolitain, la structure ultralégère de ses désirs, entre besoin de mise à distance de l’urbain et exigence de mobilité, de consommation de services ? Comment superposer en respectant leur intégrité, l’intimité de la sphère domestique à l’attrait de l’altérité, de la circulation, de l’ouverture territoriale, du trans ?

6. sans crédits

Cette sorte de lutte binaire pour l’intime et le très urbain repose sans cesse l’équation de la liberté individuelle. Elle prend différentes formes : appropriation ou domination des logiques individuelle sur les logiques collectives, émulation des communautés, co-visibilités assumées entre le très privé et le très public... Elle amène à porter un discours plus franc sur les limites, qui doivent être matérialisées pour être transgressées, à travailler l’ouverture des dispositifs d’intimité (maison - petit espace public ou collectif) sur la métropole, à croire aux contrepoints de l’intimité : l’extérieur, l’espace lisse, la distance sans préméditer leur appropriation.

26 / 46

Déterminismes contemporains du logement

Bordeaux Métropole Millionnaire Habitante

Bordeaux Métropole Millionnaire Habitante

Déterminismes contemporains du logement

47


PUBLICITÉ

LE SPECTACLE DE LA VILLE 1. Morning Sun, Edward Hopper, 1952 2. Dessin de scène de théatre, Serlio, 1545 3. Playtime, Tati, 1967 4. Copacabana Promenade, Burle Marx Quelles perception de la ville contemporaine, dans ses formes les plus banales, les moins investies par le public, les moins comprises ? Comment réinvestir son décor, assumer sa matérialité propre, stimuler sa structure spatiale ? Et comme elle est presque partout, comment articuler un dispositif de vision jouant avec la quantité, ses emprises immenses, son ubiquité ? Quel est, et quel sera le spectacle de la ville contemporaine ?

5. Grilles urbaines, Londres-New York-Toronto 6. Lost in Translation, Soa Coppola, 2003 7. King’s Dream of New York, Moses King, 1908

Ici, le spectacle est aussi bien un acte d’organisation et de repérage. Il existe par le vis-à-vis entre la ville construite et la ville des échanges, entre l’espace privé et l’espace public. Le spectacle existe aussi dans la confrontation étrange d’éléments habituels, parfois aussi simplement que le reet d’un bâtiment très banal dans l’eau. Aussi dans le regard porté sur la ville depuis la fenêtre d’un appartement ou le porche d’une maison, que ce soit une vue splendide, lointaine, juste particulière, qui révèle ici une atmosphère unique.

8. State Street, Chicago

Le spectacle travaille aussi bien des systèmes d’espaces intimes clos ou semi-clos, il est sensible à la qualité du sol, il adresse - dit où l’on vit.

27 / 54

Déterminismes contemporains du logement

Bordeaux Métropole Millionnaire Habitante

Bordeaux Métropole Millionnaire Habitante

Déterminismes contemporains du logement

55


28 /

EXPOSITION


GRAND PARIS MATRICE - TIMELINE

29 /




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sources: FOURCAUT Annie, BELLANGER Emmanuel, FLONNEAU Mathieu, Paris/Banlieues conflits et solidarités, Paris, CREAPHIS, 2007 Pavillon de l’Arsenal ...


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CERCLE

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