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MÉDIATION

RETROUVER CONFIANCE EN SOI

AUPRÈS DES ANIMAUX

ART

AUX FEMMES ANIMALES, LES CRÉATIONS

INSOLITE

SUR LES ROUTES ARDENNAISES AVEC DES CHIENS DE TRAÎNEAUX

ANIMALEMENT VÔTRE

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Depuis le 1er septembre 2018, les véhicules légers neufs sont réceptionnés en Europe sur la base de la procédure d'essai harmonisée pour les véhicules légers (WLTP), procédure d'essai permettant de mesurer la consommation de carburant et les émissions de CO₂, plus réaliste que la procédure NEDC précédemment utilisée. Consommation d'énergie électrique : 15,4 - 17,3 kWh/100km. Autonomie en cycle mixte : 427 - 474 km ; autonomie en ville : 531 - 586 km BMW France, S A au capital de 2 805 000 € - 722 000 965 RCS Versailles - 5 rue des Hérons, 78180 Montigny-le-Bretonneux.

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UN SEUL ANIMAL VOUS MANQUE ET TOUT EST SILENCIEUX

Depuis notre plus tendre enfance, les animaux peuplent les contes et les histoires que les générations précédentes, ellesmêmes biberonnées à des fables similaires, nous livrent ou nous fredonnent pour nous endormir le soir. Il apparaît que c’est en transposant les comportements et les traits de caractère présents dans l’humanité sur des créatures à poil ou à plume qu’on arrive à faire passer des messages et des morales. Si l’on y prête vraiment attention, les animaux sont partout autour de nous. Dans la mythologie, dans l’art, la littérature, au cœur des superstitions qui ont parfois traversé les âges, dans la mode et la décoration, et surtout, dans notre quotidien. Compagnons de voyage qui nous emboîtent le pas avec une loyauté inconditionnelle à travers les aléas de la vie, ils sont bien souvent les témoins des événements marquants de notre existence. Leur présence nous apaise, leur absence nous sidère. Alors que plus de la moitié des Français possède un chat ou un chien, 68 % d’entre eux considèrent leur animal de compagnie comme un membre de leur famille (source Ipsos 2023). Dans ce numéro de l’Instant Ardennais, nous avons souhaité raconter ce lien qui les unit à nous. En allant à la rencontre de binômes inséparables, en explorant comment ils influencent la création, en nous mettant dans la peau de celles et ceux qui prennent soin d’eux ou en faisant parler la passion qui naît parfois d’un regard. Parce que dans leurs yeux, c’est un peu de nousmêmes que l’on peut entrevoir.

Alizée Szwarc Meireles

RESTONS CONNECTÉS

HORS SÉRIE du journal l’Union. Éditeur de la publication journal l’Union. Directrice générale et directrice de la publication Géraldine Baehr-Pastor. Éditeur délégué : Nicolas Fostier. Responsable éditorial : Alizée Szwarc Meireles. Relecture : Catherine Anna Gublin. Pour contacter la rédaction : redactioninstant@rosselestmedias.fr. Direction artistique et conception : Prémédias du journal l’Union. Photo de Une : Arnaud Gratia. Régie publicitaire Rossel Conseil Médias Est, 6 rue Gutenberg, 51083 Reims. Pour contacter la régie communication-instant@ rosselconseilmedias.fr - CPPAP n° 0425 C 86339. Imprimé par Le Réveil de la Marne, Jérome Jorda, 4 rue Henri-Dunant, B.P. 120, 51204 Épernay Cedex. ISSN 2968-711X. Dépôt légal : à parution. Provenance du papier : Gratkorn (Autriche) et Maastricht (Pays-Bas). Taux de fibres recyclées : 0 %. Les papiers utilisés sont certifiés PEFC 70 % (fibre de bois issue de forêts gérées durablement). L’abus d’alcool est dangereux pour la santé, à consommer avec modération.

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Ghita BENSAID

Créative passionnée par l’image et l’émotion, Ghita explore l’univers de la vidéo sous toutes ses facettes, de la captation à la création de contenus percutants pour les réseaux sociaux. Curieuse et inspirée, elle puise dans la musique et les tendances digitales pour raconter des histoires captivantes.

Hervé DAPREMONT

Photographe professionnel ardennais depuis 11 ans, Hervé est spécialisé dans le reportage (mariage, événementiel, entreprise) et dans les photos de portrait de famille : couple, grossesse, naissance, famille. C'est un conteur d'histoires par l'image.

Mélanie DEMAREST

La pointe de son stylo sillonne l’autre pointe, celle des Ardennes, depuis dix ans. Curieuse de tout, piquante quand il le faut, Mélanie souffle aussi – non pas dans les bronches – mais dans un euphonium. Son seul défaut ? Elle supporte le RC Lens.

Alexandre PENARD

Néo-ardennais depuis six mois, Alexandre est passionné par l’écriture et la photographie. Voyageur en quête de belles images et de jolies histoires, sa plume et son appareil sont l’occasion de raconter le monde qui l'entoure, avec passion et humanisme, et un soupçon d’humour.

Margaux PLISSON

La curiosité de Margaux, rédactrice pour l'Instant depuis presque deux ans, la dirige toujours vers des parcours inspirants et des personnalités uniques. Et si ça peut se faire autour d'une bière ou à une bonne table, c'est encore mieux !

Pauline GODART

La Sudiste de la bande, qui vit dans les Ardennes comme on part en vacances. Le soleil brille aussi à Rethel, à condition de ne pas passer à côté.

Arnaud GRATIA

Arnaud, photographe international depuis maintenant 15 ans, est spécialisé dans le milieu du mariage et de la mode. Capturer un regard ou une émotion fait partie de son travail. Le tout dans une énergie positive et bienveillante.

Manon POSTAL

Manon, accro d'Instagram, copilote l’Instant en ligne avec Léa. Entre rédaction et création de contenus, elle traque les pépites gastronomiques et les escapades inspirantes à partager avec leur communauté. Elles sont le visage de l'Instant digital.

Housnat SALIM

L'ancienne de la bande mais aux idées encore fraîches. Le petit pas de côté qui va bien, une curiosité insatiable, l'œil bien aiguisé, sont ses meilleurs atouts pour raconter de belles histoires de vie.

CONTRIBUTEURS

Bérangère JONET

Curieuse et épicurienne, Bérangère aime partager les bonnes adresses culturelles et les parcours de vie.

Léa LAURENT

Léa, Pinterest addict, forme un duo créatif avec Manon pour piloter l'Instant en ligne. Toujours à l'affût des tendances mode et bien-être, elle insuffle style et fraîcheur aux contenus qu'elles imaginent ensemble. Elles sont le visage de l'Instant digital.

Julien LEPRIEUR

Il élimine une vie de galettes-saucisses en parcourant depuis quatre ans les forêts ardennaises. Julien, l’impertinent Zola de Fumay, mêle une culture solide à une répartie redoutable. Adepte de crossfit, il muscle son humour caustique et gaine son verbe acéré, pour défier les évidences.

Mirko SPASIC

Journaliste professionnel depuis 1985, Mirko est spécialisé dans l'information économique depuis ses débuts. Intervenant dans les domaines de l'automobile ancienne et de l'aviation, mais aussi dans le cinéma, il assure naturellement les essais automobiles du magazine Instant.

Alizée SZWARC MEIRELES

Rédactrice passionnée, Alizée anime le magazine Instant Ardennais avec un regard affûté sur l'air du temps et l’art de vivre. Après plus de 15 ans dans la presse magazine, elle aime toujours autant raconter des histoires, partager ses rencontres et dénicher des nouveautés.

Manessa TERRIEN

Un brin de culture, beaucoup de bonne nourriture et toujours de belles rencontres pour nourrir la curiosité de Manessa.

Jean-Godefroy VAROQUAUX

Ardennais amoureux de son territoire et de sa gastronomie, dénicheur de belles histoires et de rencontres inspirantes, Jean-Godefroy est rédacteur depuis 12 ans dans le département. Fan de jeux vidéo, de cinéma et de sanglier, il est toujours en quête de bon plan.

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À LA RENCONTRE DE LÉO

LE CHIEN MASCOTTE DU BAR

O’Boulot

Au bar O’Boulot de Charleville-Mézières, les habitués connaissent autant les patrons que Léo leur chien. Et pour cause, leur golden retriever de 9 ans est une véritable mascotte !

Si vous n’avez jamais passé la porte du bar O’Boulot, rue du Petit-Bois, à Charleville-Mézières, essayez ! Vous tomberez très vite sur Léo, un golden retriever de neuf ans. Chien des propriétaires, il considère le bar comme sa deuxième maison. Il accueille les clients, va les saluer et puis adore faire les yeux doux pour obtenir des morceaux de fromage et de charcuterie servis aux clients… Léo est connu de tous. « C’est toujours agréable de tomber sur lui, c’est la petite mascotte du bar », glisse Rémi, un habitué. Pour Julien et Ingrid, « Léo fait partie du décor, il suit tout le temps Christopher et Pauline, les patrons, ça nous fait bien rire. Et puis ça donne un petit cachet sympa, on sait qu’on est toujours bien accueilli en passant la porte du bar. »

LA SOCIÉTÉ DU BAR EST AU NOM DE LÉO

Même le comptable connaît Léo. Car Christopher et Pauline Cialoni ont décidé de mettre leur société au nom du chien. « Avant, on avait la Guinguette à Charleville, et la société était au nom de nos enfants, là on s’est dit que c’était tout aussi symbolique de le mettre au nom du chien. Ce qui est dommage, c’est qu’il ne

Margaux Plisson Arnaud Gratia

paie pas les factures (rires) », explique la patronne. À la Guinguette, Léo faisait partie de l’ombre. Il était dans la boîte de nuit l’après-midi alors que ses parents préparaient les locaux pour le soir. Mais une fois la nuit tombée, il était ramené à la maison, loin de la foule et de la musique. Ici, le golden retriever reste jusqu’à environ 20 heures, avant le coup de feu. « Même s’il est sage, il faut toujours qu’on ait un œil sur lui. Et puis aussi sur les clients parce qu’ils ne doivent plus lui donner à manger. Notre vétérinaire a dit stop, il fait du cholestérol. Heureusement que nos habitués comprennent. »

« C’EST VRAIMENT UNE BONNE MASCOTTE ! »

Alors Léo vient surtout chercher des caresses : « Il est quand même mieux là avec nous, les clients, que seul à la maison », glisse Pauline Cialoni, qui a choisi d’adopter un golden retriever parce que sa « maman en avait un, ce sont des chiens très gentils, tranquilles ». Et ce n’est pas Régis, Patrick, Bruno et Virginie, un groupe d’amis présents ce soir-là, qui vont dire le contraire : « Léo, il est super sympa, il râle moins que la patronne (rires). On a confiance en lui, il n’est jamais méchant, c’est vraiment une bonne mascotte ! »

Chez Arden Tattoo, le sanglier se met en scène jusque sur le logo du salon, créé à Rethel il y a 16 ans par Mickaël Chamillard et son épouse Sandrine. En tatouent-ils souvent, des cochons de nos forêts ? « Oui, ça arrive. Mais on fait tellement de choses… C’est sans limite. » Devant son ordinateur, Mickaël, artiste depuis l’âge de 13 ans, n’est pas avare d’ailleurs de conter les histoires qui le lient à ses clients, comme autant de tranches de vie passées sous ses aiguilles. Photos à l’appui, il se souvient de tout.

MILLE ET UNE RAISONS DE

SE FAIRE TATOUER UN ANIMAL

Mickaël et Sandrine, chez Arden Tattoo à Rethel, dessinent à la chaîne des bêtes sur le corps de leurs clients. Que ce soit par passion, par symbole ou pour encaisser un deuil, les raisons abondent.

Pauline Godart Alexandre Penard et Arden Tattoo

L’ANIMAL TOTEM

D’abord, le tatouage-symbole. Si les scorpions et béliers plus ou moins stylisés évoquent les signes astrologiques, d’autres animaux s’affichent pour les idées qu’ils portent. L’aigle et la liberté, l’éléphant et la famille, tout comme le lion et même le tigre. « Ici, on a fait le dos complet d’un homme avec un lion, sa lionne et ses quatre lionceaux », détaille Mickaël. Plus original, ce poulpe, « dessiné pour et sur un monsieur qui était cartographe à Paris, en hommage à l’intelligence du céphalopode. » Bref, avec un tatoo d’animal, on montre avant tout qui l’on est.

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AFR financement, c’est tellement mieux qu'un courtier en crédits qu’on ne peut pas tout décrire ici !

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L’ANIMAL SOUVENIR

Ensuite, le tatouage pour faire son deuil. Et en la matière, Mickaël a vu passer de tout. Des chiens – principalement des staff, des rott, des carlins, des huskies, mais surtout des bouledogues – « la meilleure des races, sourient les patrons. Le bouledogue, c’est ultra mignon, on en fait énormément ». « Nos animaux font partie de la famille, alors quand ils disparaissent après tant d’années, c’est dur, et les tatouer, c’est s’en souvenir pour toujours. » Ce chien, esquissé dans une empreinte de patte, ne manque pas de charme mais dans l’album souvenir on trouve aussi un lapin nommé Jeannot, une tortue ou encore un chat – mais c’est beaucoup plus rare.

L’ANIMAL LÉGENDE

La fiction crée parfois l’envie, à grand renfort de mythiques phénix, de dragons, à mi-chemin entre l’animal et la légende. « En ce moment, on fait pas mal de corbeaux, notamment en rapport avec la série Vikings. Le tatouage, ça répond à la mode. » Si le papillon est définitivement out, citons aussi l’effet fées, tribal, maori ou flashy… Et l’animal dans tout ça ? Parmi ceux qui n’existent pas, on a vu passer Titi et Grosminet, King Kong, cet écureuil volant quelque peu psychotrope et même ce chat chinois qui porte chance. Du côté des vivants, le loup, la salamandre ou l’ours hurlant ne sont pas en reste. « Le tatouage reflète toujours un état d’esprit, à l’instant T. »

L’ANIMAL PASSION

Le tatouage dit aussi ce que l’on aime. Ainsi, on a vu défiler un coq sur l’avant-bras d’un patriote, des sangliers et surtout des cerfs sur des épaules de chasseurs, une petite chouette pour un philosophe et même une carpe sur le dos d’un pêcheur. On a tiqué, enfin, sur ce couple qui s’est fait tatouer un bouledogue sur la poitrine : une femelle et son petit nœud pour madame, et la version garçon pour monsieur. So charming.

LES ENFANTS JOUENT POUR DE VRAI AU SOIGNEUR

À LA FERME PÉDAGOGIQUE de l’Arche de Noé

L’Arche de Noé existe bien, elle est sur le plateau à Éteignières. Vous y trouvez une ferme pédagogique qui accueille les animaux du monde entier. Sur place, les enfants apprennent à les soigner.

Housnat Salim Hervé Dapremont

« Chez vous, c’est l’Arche de Noé ! » plaisantaient leurs amis. En 2020, Sophie et Romain ont transformé leur passion en réalité : leur ferme pédagogique voit le jour. « Au départ, on avait quelques chevaux, des moutons… Puis sont arrivés nos premiers animaux exotiques, un couple d’émeus. » Aujourd’hui, ce sont 200 animaux de 50 espèces qui évoluent sur 10 hectares du plateau ardennais.

UN RÊVE DEVENU RÉALITÉ

« Ici, ce n’était qu’une pâture, on a tout refait », raconte Sophie. L’ancienne enseignante a quitté l’Éducation nationale en 2016 pour se consacrer aux animaux. Son mari, toujours professeur, l’épaule à la ferme. Petit à petit, ils ont agrandi leur terrain et aménagé un cadre propice au bien-être animal.

SOIGNEURS D’UN JOUR, SOIGNEURS TOUJOURS

L’envie de transmettre ne l’a pas quittée. Lors des visites, elle guide petits et grands : « On ne donne pas le pain aux cochons et aux autruches à la main, on le lance ! » Les enfants s’exécutent, fascinés. Gustave, 3 ans et demi, tend un morceau de pain à un veau. « Là, vous voyez des pelles vertes ? C’est pour nettoyer les box, comme de vrais soigneurs », explique Sophie. Certains osent même entrer dans les enclos, comme Charles, 2 ans, intrépide face aux cochons. « Rien n’est forcé, l’important est de respecter l’animal », souligne la fondatrice. Un principe qui guide leur projet : sensibiliser au bien-être animal tout en partageant leur quotidien.

UNE IMMERSION GRANDEUR NATURE

Après la ferme, place aux animaux exotiques sur un parcours d’un kilomètre. « Il faut couper le pain en petits morceaux, sinon ils risquent de s’étouffer », prévient Sophie aux parents. Ici, même les adultes prennent conscience des exigences du métier. « Contrairement aux idées reçues, on ne fait pas que caresser les animaux, c’est un travail physique ! » Les stages mini-soigneurs offrent une immersion unique : nourrissage, nettoyage des enclos, comptage des animaux… « Ils apprennent à observer, à prendre soin et à comprendre leur rôle dans cet écosystème », conclut Sophie. Une belle leçon de vie, entre nature et transmission.

« Rien n’est forcé, l’important est de respecter l’animal. »

LA SÉLECTION DE LUDOVIC BILLARD

UN RÉGAL POUR LES YEUX ET LE PALAIS LE CHOCOLAT EN SCÈNE...

Les créations en chocolat sur le thème des animaux transforment l’art de la confiserie en une véritable célébration de la nature et de l’imagination. Dans l’atelier de Ludovic Billard, chaque pièce est conçue avec minutie et innovations modernes pour donner vie à des créations aussi belles que délicieuses.

La finesse des détails, les précisions étonnantes sont l’expression artistique avec une profondeur de goût qui ravit les papilles. Ludovic Billard et ses collaborateurs ne se contentent pas de copier la réalité, ils réinventent certains animaux en jouant avec les contrastes, les textures, les nuances.

Ces créations en chocolat célèbrent la diversité du monde animal et témoignent de l’amour que leur portent son créateur et toute son équipe. Le chocolat, au-delà de son rôle de douceur, peut devenir le matériel d’un art raffiné... voire gustatif. Que l’on soit amateur averti ou simple curieux, ces sculptures en chocolat invitent à redécouvrir le monde de l’émerveillement de l’enfance et à savourer le lien parfait entre la beauté de la réalisation et le délice.

Alors venez faire connaissance avec Pan-Pan le lapin, Friz & Crok les moutons, Zig-Zag le bouc, Pepito le taureau, Chiper le renard et le trio, les Zamis Choco. Exposés dans les 3 pâtisseries-boulangeries-chocolaterie Ludovic Billard, ils captiveront les yeux des petits et des grands et régaleront le palais de tous.

PÂTISSERIE / CHOCOLATERIE

TRAITEUR / SALON DE THÉ

24 rue de la République

08000 Charleville-Mézières 03 24 29 13 63

PÂTISSERIE / BOULANGERIE

CHOCOLATERIE

4 rue de l’Église

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FRIZ & CROK LES MOUTONS
LES ZAMIS CHOCO
ZIG-ZAG LE BOUC
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L'ŒUF
PAN-PAN LE LAPIN PEPITO LE TAUREAU

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LE REFUGE DES HAUTES UN HAVRE DE PAIX POUR LES CHEVAUX

Il existe dans le nord des Ardennes un sanctuaire où les sabots fatigués retrouvent la douceur d’un sol accueillant. Ce havre de paix s’appelle le Refuge des Hautes, aussi connu sous le nom d’association SOS Équidés, une terre de répit pour ceux que la vie a malmenés.

Dès l’entrée, l’odeur du foin se mêle aux effluves de terre humide. Ici, le tumulte du monde s’efface au bout de ce chemin de campagne. Les chevaux lèvent la tête au passage d’une silhouette qu’ils connaissent par cœur. Dominique Meurie avance parmi eux, avec cette douceur ancrée dans chacun de ses gestes, ce langage muet qui remplace les mots.

Depuis plus de vingt ans, la présidente de cette association consacre sa vie aux chevaux, avec une dévotion qui force l’admiration. À ses côtés, chaque animal reprend goût à la douceur des jours. Elle les connaît tous, non pas seulement par leur nom, mais par leurs silences, leurs habitudes,

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leurs fragilités. Elle sait lequel apprécie les caresses sur l’encolure et lequel a besoin de patience avant d’accepter une main tendue. Aujourd’hui, huit chevaux, poneys et ânes, âgés de 30 à 43 ans, foulent la terre du refuge. Chacun porte en lui une histoire marquée par l’épreuve, mais ici, le passé s’efface au profit de jours paisibles, rythmés par la douceur des soins et l’affection quotidienne.

« On les soigne et on les aime comme des enfants », confiet-elle. Même si le refuge a ses défis financiers, il vibre avant tout d’une énergie lumineuse, celle de la générosité et de l’espoir pour les animaux. Ici, il y a seulement une mission profonde : offrir à ces âmes équines une vie sereine, entourée de bienveillance. Pour pallier le manque de fonds, le refuge s’est ouvert à la défiscalisation et propose aux donateurs de parrainer les chevaux.

Le refuge vit d’attentions et de générosité, et chaque main tendue apporte un souffle nouveau. Venir ici, c’est partager plus qu’un moment, c’est entrer dans un monde où l’on réapprend à écouter et à ressentir. À ceux qui veulent offrir un peu de leur temps, à ceux qui veulent soutenir cette terre de quiétude, Dominique ouvre grand ses portes.

Soutenir le Refuge des Hautes, c’est offrir une seconde chance à ces âmes sensibles, mais aussi reconnaître et encourager le travail exceptionnel d’une femme qui a fait de l’amour des chevaux sa mission de vie.

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« On les soigne et on les aime comme des enfants. »

LA MÉDIATION ANIMALE OU

L’ART DE SE RESSOURCER AUPRÈS des animaux

Retrouver confiance en soi, lâcher prise, communiquer avec les autres ou encore gérer ses émotions sont autant de bienfaits promis par la médiation animale. On a suivi une séance avec des enfants.

Dans le petit pré qui borde la structure Piam-Piam, un centre de médiation animale à Vrigne-aux-Bois, un groupe de cinq enfants, âgés de 7 à 14 ans, s’active. Abigail, Laurie ou encore Eloann viennent à la rencontre d’animaux. « C’est du contact en liberté, c’est-à-dire que l’animal n’est pas attaché », précise Cindy Nicolas, coach et chargée de projet qui encadre l’école des apprentis soigneurs, l’activité du mercredi après-midi.

Dans l’enclos, Bubble et Cissez les chevaux, Olive l’ânesse et Kuzcko le lama cohabitent. « Comment fait-on pour dire bonjour aux animaux ? » questionne-t-elle. « On tend la main ouverte vers leur museau », répond d’emblée Eloann. « Oui, ils vont sentir nos émotions grâce aux phéromones que nous dégageons », enchérit calmement Cindy.

ANIMAUX ÉMOTIFS

Ici, l’intérêt est de prendre soin des animaux et de gagner en confiance en soi. « Nous n’avons que des animaux expressifs. Ce ne sont pas des chevaux de centre équestre. Ils sont dans l’émotion, la sensibilité spontanée. » Dans le champ, les jeunes savent reconnaître les émotions de l’animal.

« S’il n’a pas envie, il va taper du pied ou mettre les oreilles vers l’arrière », renseigne Nolhan, entre deux caresses à l’ânesse. Certains de ces enfants souffrent de troubles de l’attention ou encore d’hyperactivité. Et le contact animalier les apaise. « J’aime bien, confie Eloann en esquissant un sourire, ça me rend calme. »

« En faisant des choses simples, la parole se libère », analyse Cindy qui œuvre dans ce centre de médiation animale, créé il y a six ans, qui compte une cinquantaine d’animaux. Chiens, équidés, poules et autres perruches sont autant d’animaux dont les clients peuvent « éveiller la curiosité ». Car la médiation animale ne concerne pas que les enfants. « Le but pour les adultes, c’est d'arrêter le mental, dresse la spécialiste. Et d’être plus à l’écoute des sensations et des envies. »

Jean-Godefroy Varoquaux Arnaud Gratia

LIBRE COMME LES OISEAUX

Dans la volière, le contact avec les oiseaux qui évoluent librement autour des humains est impressionnant. Ils passent très près de vous, on sent le vent des ailes. Banane, la perruche australienne, a pondu des œufs, et c’est Citron, le mâle, qui monte la garde et couve la future descendance. Banane, elle, n’hésite pas à se poser sur la tête des gens qu’elle apprécie.

Et c’est Zélie, une jeune fille de 7 ans qui participe à l’activité, qui a eu ce privilège. « On se détend, on est fière, encourage Cindy Nicolas, la coach. Tu as même le droit de tourner. » La jeune fille s’exécute, sourire radieux et remplie de fierté.

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SUR LES ROUTES ARDENNAISES

AVEC DES CHIENS DE TRAÎNEAUX

Julien Leprieur - Hervé Dapremont

Avec Rêve de huskys, Romain Huet donne des airs de montagne à la plaine ardennaise. Ce musher amateur entraîne ses grands sportifs de chiens pour découvrir à pied ou en kart la campagne rethéloise.

« DÈS QU’ILS MONTENT DANS LE CAMION, ILS SAVENT CE QUI VA SE PASSER. »

Même sur la plaine déserte mais cernée d’éoliennes, les aboiements couvrent le son des voix. Les huskys ne sont que six mais depuis une demi-heure, Ruby, Opale, Ryko et les copains se livrent à un véritable concert. Les chiens de Romain Huet ne sont pas en colère ou affamés, ils ont juste hâte. Hâte de partir. « C’est l’excitation, sourit leur maître. Dès qu’ils montent dans le camion, ils savent ce qui va se passer. » Une marche, une course dans la campagne sud-ardennaise. Un moment de liberté et de défoulement. Ils sont les seuls dans le département à tracter avec plaisir des bipèdes que Romain Huet installe dans le kart biplace spécialement conçu pour son activité. Faute de neige, les rails de la luge se sont mués en de solides roues qui partent à l’assaut des chemins de terre du Sud rethélois.

« ILS SUIVENT LE MÊME PROTOCOLE QU’UN FOOTBALLEUR. »

Romain et Erika Huet ont lancé leur association Rêve de huskys en mai 2024. Une façon de concilier leur passion de ces chiens d’attelage et l’attrait du mushing. « J’ai eu mon premier husky il y a huit ans, rembobine le menuisier à la ville. Puis un deuxième parce qu’on partait à VTT avec ma femme. Puis deux autres pour tirer un traîneau. Et on est passés à six. Aujourd’hui, on en a dix. »

Le pelage blanc et épais d’Obi Wan, les beaux yeux vairons de Ruby, la timidité touchante de la petite One Girl, des qualités qui s’effacent presque devant leur impressionnant physique. Une fois reliés au kart via la neckline, cette corde qui les raccorde entre eux, les aboiements cessent. Ravis de tracter cette machine de 120 kg et ses passagers qui pèsent à eux deux 130 kg. « Ce sont de grands sportifs, présente le musher. Il faut du travail pour en arriver là. En fait, ils suivent le même protocole qu’un footballeur. »

« IL FAUT MONTRER QUE C’EST MOI QUI AI LE DERNIER MOT. »

Les huskys sibériens s’élancent sur la langue de terre. Leur place a été définie selon leur caractère, leur physique aussi. Les leaders devant, les swing dogs au milieu et les wheel dogs derrière.

La direction est ordonnée par Romain Huet qui donne de la voix en cette fraîche et venteuse après-midi. À droite. À gauche. Ses protégés saisissent, s’exécutent, félicités par leur guide. Il n’y a que la vision de ces deux chevreuils bondissant en contrebas qui les perturbe et les arrête.

« Chez eux, il y a un chef de meute mais il faut montrer que je suis le chef et que c’est moi qui ai le dernier mot », explique le jeune homme, également féru de courses en montagne. L’assistance électrique est là pour soulager les chiens dans les montées et le musher pousse aussi le kart. Là aussi un vrai boulot de sportif. Les 6 kilomètres ont été avalés avec plaisir. Aussi bien pour le passager que pour les huskys et le musher. La langue pendante, ils semblent sourire. Dès que leur maître s’approche un peu trop près du traîneau, quelques aboiements se font entendre. Presque prêts à repartir.

« ce sont de grands sportifs, Il faut du travail pour en arriver là… »

LA SÉLECTION DE MOGLIA

BIJOUTIERS

LA SAGA FAMILIALE LA BEAUTÉ DE LA REPRÉSENTATION

La joaillerie animalière célèbre la beauté et la diversité du règne animal en les intégrant dans des créations précieuses. Ces bijoux, qu’ils soient réalistes ou stylisés, capturent l’essence des créatures qu’ils représentent, offrant à la fois esthétisme et symbolisme.

Le thème animal est une source d’inspiration fascinante pour les créateurs de bijoux. Les animaux symbolisent de nombreuses qualités : la force, la liberté, le courage et bien d’autres encore. En utilisant le thème animal, les joailliers créent des émotions et des histoires. Par des détails subtils ou des représentations détaillées, l’animal se transforme en un motif chargé de symbolisme, tout en offrant une grande diversité esthétique. Créer un bijou au thème animal, c’est un juste équilibre entre l’art, la nature et la culture .

BRACELET SERPENT

Or jaune 18 carats

Bijouterie MOGLIA

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COLLIER PANTHÈRE

Or jaune 18 carats, rubis et diamants

BAGUE SERPENT

Plaqué or Porter une bague représentant un animal peut revêtir de multiples symboles. Un talisman, par exemple, de protection et de force, inspiré par l’animal choisi, le courage du lion, l’agilité du lézard, la sagesse de la chouette… D’autre part, cette bague sert également à l’expression personnelle, les valeurs et même les aspirations de celui ou celle qui la porte. Enfin, au-delà de son aspect esthétique, elle invite à une connexion plus intime avec la nature, une relation entre l’humain et le règne animal.

BAGUE LION

Photos non contractuelles

Ses sujets ne sont pas toujours disciplinés et elle doit shooter des centaines de fois pour pouvoir tirer une photo qui satisfera leurs maîtres. Johanna Capoani est la seule photographe animalière des Ardennes.

JOHANNA CAPOANI SON ŒIL DE LYNX MET CHIENS ET CHATS EN BOÎTE

Il faut donner de sa personne pour ce job. Se contorsionner, s’allonger par terre. Ce matin-là, Johanna Capoani est accroupie dans un champ humide de Cheveuges et la boue colle aux bottes. Elle patiente, l’œil dans l’objectif, que Upps daigne lui accorder un regard. Le laïka de lakoutie est craintif, reste dans les pattes de Nolwenn Rondeaux, « l’assistante, le binôme » de la photographe qui tient une pension canine. Johanna Capoani a quelques astuces pour gagner la confiance de l’animal. « Un chien craintif, il faut l’ignorer, des fois même pas le regarder », explique-t-elle, la paume de la main dans le dos dans laquelle elle a glissé une friandise.

400 À 800 PHOTOS PAR SÉANCE

Les oreilles de Upps se font moins basses, la grosse peluche bâille, « sa façon de se détendre », traduit Nolwenn Rondeaux qui a transmis ses connaissances canines à l’artiste. Johanna Capoani guette l’animal, rafale, observe rapidement le résultat, se déplace de quelques mètres. Un travail qui dure parfois une bonne heure, avec à la clé une belle collection de

Julien Leprieur Arnaud Gratia - Johanna Capoani

400 à 800 photos par séance. Cela fait six ans que la photographe s’est spécialisée dans la prise de vue des animaux de compagnie, « la troisième année où elle commence à en vivre ». Ses sujets sont à quatre pattes et son décor la nature ardennaise. « Je préfère travailler en extérieur, pour profiter de la lumière naturelle. » Lumière qui n’est pas formidable d’ailleurs en cette fraîche matinée. Elle s’en contente.

CAPTER LEUR ATTENTION

La bouille et l’énergie de Valto suffiront. Encore faut-il que le border collie de 3 mois arrête de courir partout. « N’est pas photographe animalier qui veut. Il faut avoir une connaissance des animaux, beaucoup d’amour et de patience. Un chien, on peut l’avoir par la nourriture ou par plein de petites techniques comme des bruits aigus ou graves pour capter son attention. » Nolwenn essaie de diriger le jeune fauve, le téléobjectif est en place, les réglages de vitesse maîtrisés, Valto est dans la boîte.

« N’est pas photographe animalier qui veut. Il faut avoir une connaissance des animaux, beaucoup d’amour et de patience. »
Restez sur les sentiers balisés !

L’HISTOIRE

ENGAGÉE

DE MAISON PERCEVAL

Depuis 1961, Maison Perceval ajuste montures et verres avec passion. De Charleville à Reims, cet opticien familial conjugue innovation et engagement écologique, certifié B Corp.

Anne Lemaitre

Une histoire familiale

Tout commence en 1961, rue du Daga à Charleville-Mézières. André Perceval, diplômé de l’école de lunetterie de Morez, ouvre sa première boutique avec une vision claire : proposer des montures de qualité et un service irréprochable. À une époque où les opticiens se comptaient encore sur les doigts d'une main, il se distingue par son savoir-faire et son exigence. Dans les années 1970, la maison prend un nouvel essor en s’implantant à Reims avec une boutique avant-gardiste, alliant innovation et artisanat. L’atelier intégré permet d’ajuster montures et verres sur place, garantissant un confort optimal à chaque client.

Des valeurs ancrées dans la nature « Je suis née dans les Ardennes, explique Anne Perceval-Violier, présidente de Maison Perceval et Clin d'œil Opticiens. La forêt, les arbres… c’est quelque chose qui vous habite. » L’engagement écologique est venu naturellement. Depuis plusieurs années, l'entreprise soutient « Des Enfants et des Arbres », une association qui plante des haies pour restaurer la biodiversité. Au quotidien, les boutiques appliquent des pratiques écoresponsables : économie d’eau grâce à des circuits fermés, recyclage des équipements optiques, suppression des PLV inutiles… « Nous sensibilisons aussi nos clients à ces actions, explique Emmanuelle Wiart, responsable de la boutique Clin d'œil Opticiens à Charleville. Notre mission, c’est de leur offrir une belle vue, mais aussi un bon moment, avec un équipement adapté, à la mode et techniquement abouti. »

Le tournant majeur a été l’obtention du label B Corp. « On a toujours eu ces valeurs sans vraiment les formaliser, raconte Anne. Le Covid a été un déclic : comment faire mieux, comment limiter notre impact ? » Aujourd’hui, cette certification atteste d’un engagement global, intégrant la gouvernance, la collectivité, les clients, les collaborateurs et l’environnement.

Des lunettes qui racontent des histoires

Chez Perceval, les lunettes ont plusieurs vies. « Saviez-vous que 100 millions de paires dorment dans les tiroirs des Français ? » s’amuse Anne Perceval-Violier. Plutôt que de les laisser s’empoussiérer, la maison propose un service de rénovation

VOIR LOIN, RESTER PROCHE
Arnaud Perceval et Anne Perceval Violier, co-gérants.

des montures. Et pour celles qui ne peuvent être réparées, une seconde vie est possible : les lunettes en bon état sont offertes à « CO-RE, Collecter et Recycler », les autres sont recyclées en Italie ou utilisées pour la formation d’étudiants en optique.

L’innovation est aussi au cœur du métier : verres pour ralentir la myopie des enfants, montures en matériaux recyclés, lunettes connectées capables de prendre des photos ou d’écouter de la musique… « On ne s’ennuie jamais dans ce métier », sourit Vincent Baille, directeur de la boutique Perceval à Reims.

Dans un monde où la consommation rapide est reine, Maison Perceval et Clin d'œil Opticiens prouvent qu’il est possible de faire autrement : privilégier la qualité, préserver ce qui peut l’être et concevoir l’optique autrement. Une vision du monde qui, définitivement, fait du bien.

Nouvelle collection

@centrois.103 - www.centrois.fr

OPTICIEN FAMILIAL RÉGIONAL ET INDÉPENDANT engagé dans la santé par la vision depuis 1989

13 avenue Jean Jaurès CHARLEVILLE-MÉZIÈRES

www.clin-doeil.fr

@clindoeilopticiens

Clin d'œil Opticiens Charleville-Mézières.
Maison Perceval Reims.

AUX FEMMES ANIMALES

Les femmes, comme la survie de la faune, sont le fil rouge de l’œuvre de Python. Au travers d’une série de portraits, l’artiste peintre vise à sensibiliser au sort des plus vulnérables.

Manessa Terrien Hervé Dapremont

? Chez elle. Mais pas question d’y mettre les pieds. C’est dans un sous-bois d’Aiglemont où elle a grandi qu’elle Revigorante », » pour Python. Vous l’aurez compris, l’artiste peintre ne se dévoile pas facilement. Pas de nom, pas de prénom, juste ce surnom animalier dont ellequ’il vient de

Autodidacte, on saura juste qu’elle est venue à la création après des études… de commerce. Longtemps, elle a préféré se mettre à l’ombre de ses œuvres. Et il est vrai que ces toiles percutent. Dans des halos de couleurs incandescentes, des portraits de femmes à la beauté stupéfiante vous saisissent de leur regard perçant. Passé la contemplation, on pourrait vite se lasser de cette perfection féminine mais le diable se cache dans les détails. Comme ces yeux cerclés de noir, comme s’ils sortaient de leurs orbites. Et parmi les fleurs et les feuilles qui forment la couronne sublimant leur visage, on découvre

« J’aime que ça fusionne, un portrait seul serait trop lisse. »

Une esthétique inspirée du Mexique où l’Ardennaise a vécu. « J’ai été bouleversée par le jour des morts dont la figure de Catrina est devenue l’icône. Au départ c’est une satire de l’Européenne, de la femme riche qu’on caricature en squelette avec son chapeau, ses bijoux… Pour rappeler qu’au final, on finit tous pareil… » Partout, la présence d’animaux et de végétal, plus ou moins discrète, qui se mêle au personnage ou au décor. « J’aime que ça fusionne, un portrait seul serait trop lisse. Quand j’étais au Mexique, j’ai été éblouie par le syncrétisme, le fait que toutes les religions non seulement cohabitaient, mais se mélangeaient vraiment. Vous entrez dans une église et vous trouvez des symboles des religions natives. »

LES FEMMES ET LA NATURE

Sans forcément l’intellectualiser, ce n’est toutefois pas un hasard si cette autodidacte mélange les deux thématiques : les femmes et la nature. « La protection des plus vulnérables est un fil rouge de mon boulot », explique-t-elle. Elle était au Mexique quand des milliers de personnes ont participé à la « marée violette », une manifestation monstre contre les violences faites aux femmes qui a marqué la société. « Le Mexique a été la pointe pour toute l’Amérique latine, avec le slogan « Ni una menos », pas une de moins… » Contemplative de la nature, la faune est omniprésente dans son travail :

« Quand on parle de la sixième extinction de masse, ce n’est pas pour rien… », lâche celle qui dessine avec la précision d’une naturaliste chaque détail anatomique d’un insecte, le plumage d’un oiseau ou la griffe d’un mammifère. L’une de ses toiles préférées « Rebirth », renaissance, le synthétise parfaitement

UNE FORÊT EN FEU

Sur un fond jaune, le portrait d’une femme tout ornée de plumes. À ses oreilles pend le crâne d’un volatile. « Vous connaissez la harpie ? C’est une femme vautour, méchante, vieille… C’est aussi un oiseau des forêts tropicales. » Un magnifique rapace en voie d’extinction au Mexique.

« Derrière, il y a tout ce jaune… Certains y voient une forêt en feu. »

Peinture

L'AGRICULTURE BIO, C'EST QUOI ?

PAS DE PROMESSES, QUE DES RÉSULTATS

#POUR LA BIO FRANÇAISE

• Chez Biocoop c'est 90 % de produits Origine France, contre 33 % pour nos concurrents.

• Biocoop et ses groupements, c'est 16 relocalisations de productions agricoles, dont la seule moutarde Origine France.

#AGRICULTURE BIO : DES ENGAGEMENTS ET DES RÉSULTATS

• L'Agriculture Bio, c'est le « diplôme d'Etat » de l'agroécologie : pas de pesticides de synthèse, règle sur le bien-être animal...

• L'agriculture a déjà des résultats démontrés par la science :

– Meilleur goût

– Plus d'emplois en ruralité

– Améliore la santé : obésité, diabète, cancer,

1 000 premiers jours...

– Impact climat carbone diminué de 48 à 66 %

– Plus de biodiversité

– Garantie qualité pour l'eau collective.

#REVENU DIGNE POUR LES PAYSANS

Leader français du commerce équitable « Bio équitable en France » : seul label prenant en compte les coûts de structures des fermes.

#LA BIO POUR TOUS

Nos prix justes ! Jugeons la qualité de nos produits et la solidarité avec nos paysans et nos prix !

• « Prix engagé » Gamme de produits au meilleur prix avec toute la filière bio qui s’engage pour vos portefeuilles !

• Les produits Bio ont la plus faible inflation de l’alimentation en France !

#NOMBREUX ENGAGEMENTS VÉRIFIÉS

• Décarbonation : objectif - 30 % et comité d’experts nationaux

• 0 déchet : à fond le vrac et on réduit le plastique !

• 0 transport en avion

• Marque « BIOCOOP » encore plus engagée !

• Lutte contre l’ultratransformation

• Collecte Bio Solidaire avec reversement de notre marge !

#UNE COOPÉRATIVE ARDENNAISE DANS UNE COOPÉRATIVE NATIONALE

• Nous, Ardennais, sommes 250 sociétaires à parts égales entre paysans bio locaux, consommateurs et salariés.

• En France, Biocoop, une coopérative de 740 magasins indépendants (dont 60 % sous forme coopérative), 23 groupements associés (3 000 fermes) et 1 000 salariés associés.

Biocoop Le Pissenlit

ZAC La Croisette / Bois Fortant

2 rue André Joseph - 08000 Charleville-Mézières

03 24 42 34 20 - contact@biocoopardennes.fr

BOIRE UN VERRE ENTOURÉ D’ÂNES, C’EST POSSIBLE À LA FRONTIÈRE BELGE

L’association États d’Ânes est née en 2020 et avec elle a été créé un bar à ânes, à Treignes, de l’autre côté de la frontière belge, à deux pas de la France. Six ânes y déambulent au milieu des clients.

C’est peu de dire qu’elles sont passionnées, Ariane Cabaraux et Virginie Dumoulin. Pourtant rien, vraiment, ne les prédestinait à vivre entourées d’ânes, elles qui se connaissent depuis 25 ans. Virginie est géologue de formation, Ariane est biologiste. Et même si elles ont fait toutes les deux leurs études à quelques années d’intervalle à Bruxelles, c’est le sport qui les a au départ rapprochées. « Ariane jouait au volley et quand je me suis installée dans la région, j’ai rejoint le club. C’est comme ça qu’on a sympathisé. » Elles ont partagé plein de choses ensemble. Jusqu’à l’idée de créer leur projet commun ici à la frontière française, entre Oignies-en-Thiérache et Olloy-sur-Viroin, chez elles.

ENTRE 1 M ET 1,18 M

L’âne s’est imposé presque naturellement. Cet animal qu’elles jugent « beau, reposant ». Pourquoi ne pas créer une ferme pédagogique avec des ânes miniatures ? Ou lancer des séances de médiation asine avec les personnes âgées ? C’est sur cette seconde idée qu’elles sont restées focalisées, en préférant aux ânes miniatures des ânes classiques mais de petite taille : leurs six compagnons mesurent entre 1 m et 1,18 m. « Un âne peut aller jusqu’à 1,60 m », compare Virginie, qui ajoute : « On s’est beaucoup formées sur les besoins, comment bien s’en occuper avant de constituer le cheptel. » 2020 approche. Le camion floqué « États d’Ânes » est acheté, les animaux ont rejoint leur nouveau foyer et l’idée c’est de tout lancer le 1er avril… « On avait une quarantaine de réservations de maisons de repos en France et en Belgique et à quinze jours de commencer, Covid ! » Coup dur pour celles qui envisageaient une reconversion professionnelle. « On avait fait un business plan… Et faire du bénévolat, c’est bien, mais on avait investi toutes les deux. Il fallait trouver quelque chose pour entrer dans nos frais. »

Mélanie Demarest Hervé Dapremont

BOIRE UN VERRE EN « LES CAJOLANT »

Un bar à chats venait d’ouvrir à Charleroi, alors pourquoi pas s’en inspirer pour créer la même chose, mais avec des ânes ? « On voulait que les gens puissent les approcher au plus près. » À Treignes, sur le site de la ferme-château au n° 63 de la rue Eugène-Defraire, les six ânes déambulent librement entre leur prairie et la cafétéria, parmi les clients. « Pom par exemple peut stationner près des gens pendant des heures », rigole Virginie, qui va aussi régulièrement éloigner les paquets de chips avec lesquels il a tendance à aller jouer sur le comptoir.

LES VOLAILLES ET AGNEAUX DE LA FERME

Famille COGNIARD | Éleveurs depuis 1980

« On met des brosses à disposition, les gens boivent un verre et peuvent les cajoler. On demande juste de ne pas leur donner à manger », complète Ariane qui insiste : « C’est aussi un endroit pour faire passer des messages de ce type : on ne donne pas à manger à un animal qu’on ne connaît pas. Ça permet aux gens de mieux connaître et mieux respecter. » D’autant pour les ânes, qui ont ce naturel assez inexpressif.

Le bar à ânes n’est qu’une des nombreuses activités pour Pom, Cannabis, Yacobs, Macadam, Polo et Louis. Lesquels flâneront en tout cas entre les tables dès la réouverture, le 5 avril.

L'abus d'alcool est dangereux pour la santé, à consommer avec modération

Agneau au détail

Gigot - Épaule - Baron

Volailles prêtes à cuire, entière ou au détail

Poulet - Pintade - Coq

UNE MATINÉE AVEC...

UNE BÉNÉVOLE DE

34 l’association LISA

Pascale Chebieb est bénévole à la LISA à Vivier-au-Court depuis un an et demi. Tous les vendredis matin, elle nettoie les box des chiens et les emmène en promenade. Rencontre.

Il est 9 heures lorsque Pascale Chebieb arrive dans les locaux de l’association LISA (Ligue dans l’intérêt de la société et l’animal) à Vivierau-Court. Dès son arrivée, elle s’équipe : grosse veste pour lutter contre le froid, gants de protection pour l’hygiène… Puis commence son petit rituel hebdomadaire. « Je passe voir tous les chiens dont je m’occupe, je leur fais une petite caresse, je leur donne une petite friandise, c’est une manière pour moi de leur dire bonjour », confie-t-elle.

Pascale a rejoint l’équipe de bénévoles depuis un an et demi. « Avec mon mari, on s’est toujours dit que lorsqu’on serait à la retraite, on viendrait ici. Car pour moi, être bénévole, c’est être fidèle et donner du temps, et en retraite, c’est plus facile. »

BALAYAGE, SERPILLIÈRE,

CHANGEMENT DE COUVERTURES…

Vers 9 h 30, Pascale commence le nettoyage des box individuels. Chaque vendredi matin, elle s’occupe de 5 à 7 emplacements, selon la disponibilité des autres bénévoles et salariés. Pour commencer, elle sort le chien concerné dans la cour. Puis balaie son box. « Ensuite, je nettoie à grande eau. C’est hyper important le nettoyage. Déjà que ce sont des animaux qui sont malheureux de ne pas avoir de famille, ils ont au moins le droit à un box tout propre. »

Une fois le nettoyage terminé, elle replace le panier du chien, installe des couvertures propres, s’occupe de rincer les gamelles, puis rentre le chien dans son box. Chaque nettoyage lui prend environ un quart d’heure. « En fait, j’essaie de me mettre à leur place, de voir ce dont ils ont besoin, s’il fait froid, il arrive qu’on leur mette un manteau par exemple… »

Margaux Plisson Hervé Dapremont

« Vous savez, si on pouvait, on les ramènerait tous à la maison. Si on devient bénévoles, c’est pour l’amour des animaux. »

APRÈS LE NETTOYAGE, PLACE AUX PROMENADES

Il est entre 11 heures et 11 h 30 lorsque la bénévole termine les box. Mais hors de question pour elle de s’arrêter là. « Lorsque j’ai fini, je prends un chien et je le balade une bonne demi-heure, parfois plus même. Ça les change du box… Vous savez, si on pouvait, on les ramènerait tous à la maison. Si on devient bénévoles, c’est pour l’amour des animaux. » À 13 heures, Pascale Chebieb quitte la LISA. Elle retourne chez elle retrouver son chien, adopté à la LISA il y a quelques années, et son chat. Et rêve d’une seule chose : « Que la semaine prochaine, certains chiens ne soient plus là et aient trouvé une famille d’accueil qui leur donnera tout l’amour dont ils ont besoin. »

Les Serres

du Vivier Guyon

Entreprise familiale depuis 1912

FLEURISTERIE - JARDINERIE

Prendre le temps de jardiner !

183, rue de Berthaucourt - Charleville-Mézières 03 24 57 48 48 - les serres du vivier guyon

LA TRIBU DE VALÉRIE DELORME DÉCOUVERTE D’UN ÉLEVAGE DE CHIENS EURASIERS

Passionnée par les chiens depuis toujours, Valérie Delorme, qui a eu plusieurs vies, est revenue à ses premières amours il y a sept ans. C’est en surfant sur Internet qu’elle a découvert cette race au charme incontestable, désormais élevées à Taizy, près de Rethel.

« Vous n’avez pas peur des chiens, au moins ? » L’accueil de Valérie Delorme, éleveuse d’eurasiers à Taizy – un croisé spitz, chow-chow et samoyède - est aussi chaleureux que précautionneux. « C’est-à-dire que… Je n’en fais pas des cauchemars mais mieux vaut qu’ils évitent de me sauter dessus ! » Vœu exaucé. La meute, composée d’une quinzaine de chiens aux allures de peluche qui affluent de toutes parts, est parfaitement tenue. Pas d’aboiements intempestifs, aucun écart. Sous l’œil attentif de Ryūkyū, Toundra ou Tamiyo – le couple est passionné par le Japon –, l’interview peut commencer.

Pauline Godart Alexandre Penard

116 pages

AU MENU

• Dégustation de 75 cuvées emblématiques

• Rencontre avec MC Solaar

• Champagne et culture, erté champenoise, gastronomie et art de vivre...

DISPONIBLE CHEZ VOTRE MARCHAND DE JOURNAUX ET DANS CERTAINES LIBRAIRIES DE VOTRE DÉPARTEMENT

« Il y a 20 ans, j’ai fait deux portées de bergers allemands, dit-elle, 55 ans aujourd’hui, épouse d’un fondeur d’art renommé. Après avoir exercé pas mal de métiers, je suis revenue à ma passion il y a sept ans, d’abord dans l’Aube. Puis dans le Rethélois il y a 7 ans, pour nous agrandir. » Immense, l’hectare de terrain permet aux chiens de gambader en paix, tout en jouissant d’une ultime sécurité. « La nurserie est dans la maison et on a des box fermés dans un bâtiment. »

BALADES AU MARCHÉ OU AU RESTO POUR LA SOCIABILITÉ

Ensuite, le métier. « Ah oui, c’est prenant », sourit l’éleveuse, vantant avant tout le côté familial de son élevage. « On fait trois portées par an, avec quatre femelles. À six ans, tous sont stérilisés. » Outre les soins à prodiguer – « le dimanche est consacré au brossage », ajoute Valérie – c’est l’importance des alliances amoureuses qui occupe les éleveurs. « Il faut penser aux bons mariages, gérer le calendrier des chaleurs, les bagarres des femelles, la consanguinité… Mais on tient avant tout à avoir une vraie relation avec nos animaux. »

Mieux que ça : « C’est important de les sociabiliser. On les emmène, à tour de rôle, au marché ou au restaurant, pour qu’ils découvrent la vie, d’autres odeurs, d’autres congénères. »

Cinq bébés, âgés de quelques semaines, sont d’ores et déjà réservés par leurs futurs adoptants dans l’enclos des naissances. « Ils partiront à neuf semaines. Et il y a une liste d’attente ! fait savoir l’éleveuse. J’en ai un qui est à La Réunion, aujourd’hui. En juin, je vais organiser une grande journée avec tous mes adoptants. » À raison de 15 ou 20 chiens par an, ça commence à faire du monde.

ZOOM SUR LA RACE

Ni chien de berger, ni de traîneau, l’eurasier s’adapte avant tout à son maître et à son activité. « Pas besoin d’une dépense physique incroyable », précise l’éleveuse. Le couple gère minutieusement les accouplements pour viser un « standard morphologique » qui lui convient. Des chiens solides sur leurs pattes, avec de grands yeux, entre autres. « Évidemment, ils ont un côté nounours… Mais ça reste des chiens et c’est souvent sur ce point qu’il faut insister auprès des adoptants. Un animal doit rester à sa place », conclut Valérie. Une place toutefois bien chérie.

Les bébés, à raison de trois portées par an, quittent l’élevage à l’âge de neuf semaines.

« c’est important de les sociabiliser. On les emmène, à tour de rôle, au marché ou au restaurant, pour qu’ils découvrent la vie, d’autres odeurs, d’autres congénères. »

Inspirez votre quo�dien

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BMW X3 30E HYBRIDE, VERTUEUSE ET CHALEUREUSE

C’est déjà la quatrième génération de la BMW X3, un des best-sellers de la marque bavaroise. Lorsque la technologie est au service du confort de conduite.

Mirko Spasic Arnaud Gratia

Jour de fin d’hiver, pluvieux. Le ciel est bas, comme pourrait être notre moral. Heureusement, cette BMW X3 30e hybride rechargeable réchauffe carrément l’atmosphère et les cœurs.

UN TALENT DE LA CUISINE HABITUÉ DE LA MARQUE

« Le design du X3 est bien revu, très agréable, note-t-il. L’éclairage d’ambiance, assez fun, est sympa. À l’intérieur, le confort est là, autant par la qualité de l’assise que de la position du conducteur. » Du côté de la conduite, la large dalle tactile du tableau de bord et l’affichage tête haute qu’apprécie particulièrement notre essayeur apportent toutes les informations indispensables et aident à la conduite. « En ce qui concerne les performances, quelles belles accélérations ! » assure le pilote du jour.

Notre version, dotée de pneus avec des jantes de 21 pouces, tient parfaitement la route. « Elle a du caractère ! Et sa conduite est agréable et assez ludique. Sur grands axes, les accélérations sont intéressantes.

En trajet urbain, elle est plutôt silencieuse. C’est un véhicule rassurant » conclut Julien Ricail, en garant la X3 devant la concession. Il est temps de se mettre à l’abri, mais la nouvelle BMW, elle, a montré qu’elle savait se jouer des très mauvaises conditions météo du jour.

FICHE TECHNIQUE DE LA VOLVO EX90

• BMW X3 30e xDrive 299 ch

• Moteur 4 cylindres essence 2,0 l

• BMW TwinPower Turbo + moteur électrique

• Autonomie électrique de 81 à 90 km

• Boîte de vitesses automatique à huit rapports

• Prix du modèle essayé 90 040 €

LA SPIRULINE, L’ALGUE MIRACULEUSE POUR SUBLIMER VOTRE BEAUTÉ

Remède naturel et puissant, la spiruline regorge de bienfaits pour la peau et le corps. Célinie Charles, fondatrice du Spa Célinie, nous dévoile les secrets de cet actif précieux, utilisé dans les soins Thalgo et les compléments nutritionnels beauté disponibles au sein de son établissement.

« Au Spa Célinie, nous avons à cœur d’offrir des soins qui révèlent la beauté tout en respectant la nature. C’est pourquoi nous avons choisi de travailler avec la marque Thalgo, pionnière de la cosmétique marine, qui intègre l’extraordinaire spiruline dans ses produits », nous confie Célinie Charles. Connue depuis des millénaires, cette microalgue bleu-vert est un trésor de nutriments essentiels : protéines, acides aminés, vitamines et antioxydants. Son action reminéralisante et détoxifiante en fait un ingrédient précieux pour dynamiser le métabolisme cellulaire et sublimer la peau.

UNE PEAU RAYONNANTE GRÂCE À LA SPIRULINE

En intégrant la spiruline à notre routine beauté, nous apportons à votre peau un cocktail de bienfaits. « Au Spa Célinie, nos soins du corps enrichis en spiruline signés Thalgo visent à purifier l’épiderme en profondeur et à lui redonner éclat et

SPA CÉLINIE

Maison de bien-être à Warcq

7 prom. des Remparts - 08000 Warcq

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vitalité », nous confie l’entrepreneure ardennaise. Grâce à ses propriétés antioxydantes, la spiruline lutte efficacement contre les radicaux libres, retardant ainsi les signes du vieillissement cutané. Résultat : une peau plus ferme, plus lisse, et un teint lumineux, même en plein cœur de l’hiver.

DES BIENFAITS DE L’INTÉRIEUR

Pour compléter une routine beauté déjà bien rodée, le spa propose des compléments nutritionnels à base de spiruline. Ces petites merveilles agissent de l’intérieur pour soutenir la minceur, renforcer l’immunité et améliorer la qualité de la peau. Une cure régulière apporte un regain d’énergie, tout en aidant l’organisme à se détoxifier. « Au Spa Célinie, nous croyons qu’une peau belle et saine commence par un corps bien nourri, et la spiruline est notre alliée de choix pour offrir cette harmonie », conclut Célinie Charles, première convaincue des bienfaits de ce principe actif.

Laissez-vous séduire par l’efficacité de ce superaliment marin au Spa Célinie et découvrez comment la spiruline peut transformer votre routine beauté en véritable rituel de bien-être. Le spa propose des coffrets à offrir et des cartes cadeau pour des soins élaborés en partenariat avec la marque Thalgo.

DS N°8

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La plus sereine des voitures électriques est une création DS Automobiles.

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DS N°8 est l’absolu synonyme de sérénité dynamique grâce à la mise en oeuvre de technologies de pointe visant à

DS No8 affiche une signature lumineuse spectaculaire

À l’avant, DS N°8 adopte une signature lumineuse innovante et captivante La calandre éclairée DS LUMINASCREEN, innovation dans le monde automobile, s’illumine avec des traits verticaux et un logo DS éclairés. Les projecteurs, composés de trois modules, sont délimités par 8 LED reprenant le motif des Clous de Paris, en écho au traitement guilloché des décors intérieurs.

Les DS LIGHTBLADE complètent cette signature Leur impla t tion forme de V la première fois

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