4 minute read

À PROPOS DES ARTISTES

Reginald Veal

Reginald « Swingdoom » Veal représente le summum de ce que la musique devrait être : le prolongement de l’esthétique et de la spiritualité de l’artiste, mêlées à une conscience universelle du monde qui l’entoure. La carrière musicale de Reginald s’étend sur plus de trente-cinq ans. Au cours de ces années, il a eu le plaisir de prêter ses talents au Who’s Who des sommités du monde de la musique. L’amour et la passion de Reginald pour toute musique qui élève l’esprit et touche les profondeurs de l’âme ont incontestablement contribué à son génie musical et l’ont propulsé parmi les plus grands bassistes actuels. Il pense que lorsque la musique vient du cœur et de l’âme, elle est réelle et que ce qui vient du cœur atteint le cœur. Les proches de Reginald disent qu’il peut être anticonformiste. Mais c’est ce qu’il pense et que ses fans aiment le plus chez lui – le fait qu’ils peuvent compter sur lui pour ne pas suivre la norme. Reginald est l’alternative à ce qui est si facile à obtenir. Il est prévisible, mais d’une manière imprévisible. En d’autres termes, Reginald « Swingdoom » Veal est « une bouffée d’air frais ».

Christopher Ventris

Le ténor britannique Christopher Ventris est l’un des plus grands Heldentenors au monde et est notamment connu pour les interprétions de Siegmund et Parsifal les plus talentueuses de sa génération. Depuis ses débuts acclamés au Bayreuther Festspiele en 2008 dans le rôle de Parsifal, il a fait d’innombrables apparitions dans ce rôle, notamment au Wiener Staatsoper, au Royal Opera House Covent Garden et à l’Opernhaus Zürich, ce dernier sous la direction de Bernard Haitink ayant été immortalisé sur DVD. Il s’est produit à de nombreuses reprises dans le rôle de Siegmund (Die Walküre) notamment au Wiener Staatsoper (Sir Simon Rattle) et au Semperoper de Dresde (Christian Thielemann). La clé de son succès continu est la polyvalence de son répertoire, avec d’autres rôles comme Peter Grimes au Deutsche Oper Berlin, Laca (Jenůfa) à l’Opernhaus Zürich, le Prince Andrey Khovansky (Khovanshchina) au Wiener Staatsoper et Tambour’Major (Wozzeck) au Metropolitan Opera. Au cours de la saison actuelle, il fait ses débuts dans le rôle de Loge (Das Rheingold).

Yuja Wang

Née à Pékin, la pianiste Yuja Wang a fait sa percée internationale en 2007 lorsqu’elle a remplacé Martha Argerich en tant que soliste de l’Orchestre Symphonique de Boston. Depuis lors, les superlatifs de la critique n’ont cessé de suivre son éblouissante carrière, ses nombreux prix et distinctions, dont le titre d’Artiste de l’Année 2017 du Musical America, et un Gramophone Award 2019 pour The Berlin Recital sur Deutsche Grammophon, avec qui elle est une artiste exclusive depuis 2009. Elle a récemment reçu un Opus Klassik Award pour son premier enregistrement mondial de Must the Devil Have all the Good Tunes? de John Adams avec le Los Angeles Philharmonic sous la direction de Gustavo Dudamel, s’est produite lors du gala

Reginald “Swingdoom” Veal represents the pinnacle of what music should be- balanced extensions of the artist’s aesthetical and spiritual ideas, mixed with a universal awareness for the world that surrounds him. Reginald has a music career that has spanned well over thirty-five years. During these years he has had the pleasure of lending his chops to the Who’s Who among the music world’s luminaries. Reginald’s love and openness for all music that lifts the spirit and touches the depths of the soul, inarguably has contributed to his musical genius and catapulted him among the ranks of the greatest bass players alive today. He believes when music comes from the heart and soul it is real and what comes from the heart reaches the heart. People close to Reginald say he can be a nonconformist. But that is what he thinks his fans love about him the most—the fact that they can depend on him to not follow the norm. Reginald is the alternative to the thing that is so easy to get. He is predictable, but in an unpredictable way. In other words, Reginald “Swingdoom” Veal is “A breath of fresh air.”

British tenor Christopher Ventris is among the world’s leading Heldentenors and the pre-eminent Siegmund and Parsifal of his generation. Since his acclaimed 2008 Bayreuther Festspiele debut as Parsifal, his innumerable appearances in the role have included at Wiener Staatsoper, Royal Opera House Covent Garden and at Opernhaus Zürich, the latter under Bernard Haitink and immortalised on DVD. As Siegmund (Die Walküre), he has appeared extensively including at Wiener Staatsoper (Sir Simon Rattle) and Semperoper Dresden (Christian Thielemann). Key to his enduring success has been his repertoire versatility with other roles including Peter Grimes at Deutsche Oper Berlin, Laca (Jenůfa) at Opernhaus Zürich, Prince Andrey Khovansky (Khovanshchina) at Wiener Staatsoper and Tambour’Major (Wozzeck) at the Metropolitan Opera. The current season includes his role debut as Loge (Das Rheingold ).

Born in Beijing, pianist Yuja Wang made her international breakthrough in 2007 when she replaced Martha Argerich as soloist with the Boston Symphony Orchestra. Since then, critical superlatives have continuously followed her dazzling career, her numerous awards and accolades including being Musical America’s 2017 Artist of the Year, and a 2019 Gramophone Award for The Berlin Recital on Deutsche Grammophon, with whom she has been an exclusive artist since 2009. Recent highlights include an Opus Klassik Award for her world-premiere recording of John Adams’ Must the Devil Have all the Good Tunes? with the Los Angeles Philharmonic under the baton of Gustavo Dudamel, performing at Carnegie Hall’s 2021 / 22 season Opening Night Gala with Yannick Nézet-Séguin and the Philadelphia d’ouverture de la saison 2021 / 22 du Carnegie Hall avec Yannick Nézet-Séguin et le Philadelphia Orchestra, et a participé à des tournées avec ses partenaires de chambre habituels, le violoniste Leonidas Kavakos et le violoncelliste Gautier Capuçon.

Tsotne Zedginidze

À son jeune âge, Tsotne (né en 2009) s’est déjà imposé comme un talent unique, à la musicalité débordante. Ayant commencé à composer à cinq ans, il a montré au fil de ses études un intérêt croissant pour la musique des 20e et 21e siècles. Des artistes aussi éminents que Daniel Barenboim, Jörg Widmann ou Giya Kancheli l’ont désigné comme l’un des musiciens les plus exceptionnellement doués de notre siècle. Tsotne travaille actuellement sur des pièces dont il assurera la création au cours des différents festivals de la prochaine saison.

Orchestra, and tours with her regular chamber partners, violinist Leonidas Kavakos and cellist Gautier Capuçon.

At his young age, Tsotne (*2009) has already shown to be a unique talent with an overwhelming musicality. He started to compose at the early age of five and became increasingly interested in music of the 20th and 21st century during his studies. Some of the greatest musicians such as Daniel Barenboim, Jörg Widmann and Giya Kancheli named him to be one of the most exceptionally gifted musicians of the century. Tsotne is currently working on pieces that will be premiered at different festivals this coming season.

This article is from: