Laborde

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Graines de lecteurs RĂŠcits

École Antonin Laborde (Lyon) - Classe de CM1



Trois Enfants à New-York André de Araujo Gomes


Thomas a 12 ans. Il est blond aux yeux bleus. Il aime jouer au foot avec ses copains au collège en 5ème. Vincent a 14 ans. Il est brun, grand et maigre. Il joue au basket. Il est un peu fort.

Marine a 12 ans, Elle est au collège en 5ème. Elle a les cheveux longs et blonds et des yeux bleus. Elle aime jouer avec ses copines. Vincent, Thomas et Marine vont à New York en avion en vacances. Arrivés là-bas, ils voient un voleur en train de voler un sac à une dame. Peut-être qu’il y a de l’or dans ce sac ? Alors ils le poursuivent. Et ils appellent la police de New York. Elle arrête l’homme.


Et la dame a dit merci pour son sac aux trois copains. Elle est contente car son sac était plein d’or et d’argent. Pour les remercier, elle leur donne de l’argent : « Trop cool ces vacances en Amérique ! »



La disparition du sac de sport CĂŠlia DĂŠhili


Je suis Mélina j’ai 12 ans. Ce matin il est 7h45 et je dois aller au collège. En arrivant ma copine Chloé me demande de l’aide. « Mais pourquoi tu as besoin d’aide ? -Parce que j’ai un tournoi de basket… -Et alors ? coupè-je - Baa ! Je me suis fait voler mes affaires de sport pour mon tournoi qui a lieu à 18h. » Nous nous mettons à enquêter. Chloé et moi, regardons s’il y a quelqu’un qui aurait ses affaires. Personne ne les a. Mais après réflexion, Chloé vient de remarquer qu’on ne lui avait volé au début que ses affaires de sport

et que, là, il y a aussi son sac qui a disparu. Nous apercevons soudain Tom et lui demandons : « Est-ce que tu as vu quelqu’un avec le sac de Chloé ? - Oui, un collégien de 4ème3. - Ça ne m’étonne pas, il est avec l’autre équipe avec laquelle je joue à 18h00. - Merci. » Tout à coup on aperçoit un collégien avec le sac de Chloé. « Eh! Ce sac n’est pas à toi ! - Mais je suis désolé, dit le collégien, je l’ai confondu avec le mien.


- Oui mais n’empêche que si je ne t’avais pas vu, je serais partie sans mon sac de sport, et je me serais fait disputer par mon entraineur de basket ! - On aurait bien rigolé … » ricane Tom. Puis on est parti tellement énervées, qu’on en a oublié le sac de Chloé. Quand elle s’en aperçoit, elle revient en courant pour voir si le collégien est encore là. Mais il a disparu. On devait faire une autre enquête. Chloé et moi étions très découragées. Alors que nous recherchions le collégien, nous le trouvâmes mais il prétendit qu’il n’avait plus le sac et qu’on le lui avait repris. Chloé lui demanda : « Tu es sûr que tu ne l’as pas ? - Mais puisque je vous dis que vous l’avez repris !!! » Alors Chloé et moi avons regardé autour de lui pour voir s’il ne l’avait pas caché quelque part. Non, il n’y avait rien. « Je suis sûre qu’il y avait quelqu’un d’autre avec lui. » pensai-je. Et là, je vis son copain avec le sac de Chloé. Et nous lui demandâmes qu’ils nous le rendent, même si son copain n’était pas d’accord, et Chloé alla à son tournoi comme prévu.



Le nouveau voisin Chiara-Lou Gianti


Ce matin, il est 8h30. Nous partons par le vol de 10 h 00 pour aller à New York tous les quatre. Aujourd’hui j’ai 11 ans et je m’appelle Camille. Ma mère s’appelle Carine, et mon père Luc. Mon frère s’appelle Julien, lui aussi il a 11 ans mais il est très méchant. Voilà il est enfin dix heures. Et à chaque fois qu’on part en vacances, maman crie pour qu’on ne soit pas en retard. Arrivés à New York, on a découvert des magasins très bien, car c’est une ville riche. Après une semaine, nous étions épuisés. En repartant dans l’avion, maman et Julien ont dormi pendant tout le voyage. Papa et moi, nous avons discuté. Quand nous sommes arrivés à la maison, nous avons vu une fenêtre cassée, donc papa a couru pour ouvrir et il y avait un homme qui avait reçu un coup de couteau. Il y avait un message à côté sur lequel était écrit : « Je vous tuerai. » Et le pire c’est que la télé, l’ordinateur, la tablette et le téléphone de la maison avaient disparu. Papa connaissait un Détective Privé donc il l’a engagé. Quatre heures plus tard, nous avons parlé à la police et la police a relevé les empreintes.


Ils ne savaient pas encore qui était le coupable mais ils pensaient trouver très vite grâce aux empreintes. Aujourd’hui, nous sommes le 16 décembre. Une heure après le petit déjeuner, le téléphone de papa sonna et papa décrocha. C’était la police qui avait décidément trouvé le suspect mais ils ne savaient pas encore où il habitait ni où il travaillait. Par contre, le suspect s’appelait Pietro et avait 30 ans. Une semaine plus tard, la police nous a informés que le suspect a été arrêté. Pendant les trois derniers jours je suis allée au cinéma et j’ai fait mes devoirs.

Le détective avait repris les affaires que Pietro nous avait volées. L’homme blessé à coups de couteau va mieux : on l’a soigné car il était gravement blessé. Et puis, savez-vous qui c’était ? Il s’appelait Hugo et c’était notre nouveau voisin venu quand il avait entendu du bruit.



Les confettis d’Angelo Ema Jomard


Nathalie était une petite fille en CM2 âgée de 10 ans. Elle avait deux amis Angelo et Marie. Une fois rentrés en classe, Mr Dubon, leur maître, leur annonça : « Comme nous apprenons l’espagnol, nous irons en Espagne mais deux parents devront venir pour servir d’accompagnateurs. »Nathalie rentra chez elle et demanda à ses parents, Julien et Amandine : « Papa, Maman, est-ce que vous voulez aller en Espagne avec l’école pour nous accompagner ? - Mais oui, ma chérie, on a hâte d’y aller. Comme nous ne travaillons pas, cela tombe bien. Nous changerons d’air et nous serons en paix.» Le lendemain matin, c’est le départ du train à la gare de Lyon. Une fois parti, tout le monde lisait ou était sur un ordinateur. A 16h50, ils arrivèrent. Mr Dubon trouva un tabac-presse. Il prit une carte d’Espagne et il repéra un camping. Ils arrivèrent et s’installèrent : ils montèrent leurs tentes, et firent quelques courses. Une fois le repas terminé, ils allèrent se coucher. Le lendemain, Angelo n’était plus là. Les parents et le maître étaient traumatisés. Alors Nathalie et Marie, les meilleures amies, sont parties enquêter. En chemin, elles rencontrèrent


un homme habillé tout en noir. Elles le poursuivirent, mais, d’un coup, il se retourna et les deux amies firent semblant de chercher quelque chose pour ne pas qu’il les repère. Elles repartirent puis trouvèrent une boulangerie pour prendre une brioche pour le petit déjeuner. Pour le poursuivre sans être vues, Marie a eu l’idée de faire 4 trous dans le journal. Nathalie dit : « Mais c’est génial. » Elles repartirent enquêter et puis paf ! Elles perdirent de vue. Mais comment allaient-elles faire ? Retourner enquêter ou complètement arrêter ? Retourner enquêter était beaucoup mieux. Mais elles avaient oublié un indice : sur le chemin Angelo avait laissé tomber des confettis qu’il avait mis dans sa poche pendant la petite fête organisée par le maître à leur arrivée au camping.

En suivant les confettis, Marie et Nathalie arrivèrent près d’une maison qui semblait abandonnée. Ne voulant prendre aucun risque, les filles téléphonèrent au maître ; celui-ci appela la police. Rapidement, la police se rendit sur place pour libérer Angelo. Alors le criminel avoua tout. Il avait vu Angelo sur le site Internet « Face de bouc » et il savait que les parents d’Angelo avaient beaucoup de sous et pourraient payer une rançon. Tout le monde était fou de joie de retrouver leur ami. L’homme fut arrêté et les vacances purent enfin commencer.



L’enquête de Maman Hana Chebli


Je m’appelle Lucie. J’ai 8 ans et je suis très maligne. Mon frère se nomme Théo, il a 11 ans et lui fait beaucoup de bêtises. La semaine dernière, maman a fait une enquête. C’est une histoire bizarre. Maman cria : « Allez, les enfants on va être en retard. - On arrive maman ! Dans la voiture maman, nous demanda : - Je vais au supermarché, avez-vous besoin de quelque chose ? Nous répondîmes: - Non rien. Quand nous sommes arrivés à l’école, maman partit très vite. Maman est au supermarché. Elle prend du poisson et tous les aliments.

Elle rentre à la maison. Elle range les courses et elle s’aperçoit que le poisson n’est plus là. A ce moment là, nous arrivons. Elle monta dans nos chambres, et nous questionna. Elle me posa comme question : - Mais où est le poisson ? paniqua-t-elle


- Je ne sais pas, j’étais à l’école, répondis-je. C’était au tour de Théo : -Tu n’as pas vu le poisson, Théo ? - Non, répondit-il. - Theo, veux-tu aller à la poissonnerie ? bégaya maman - Je fais mes devoirs ! s’énerva Theo. Maman chercha partout. Elle chercha sous l’oreiller du chat, et découvrit le poisson. Elle rigola et le priva de lait. Elle repartit au supermarché et acheta un autre poisson et pardonna au chat.



Mon professeur, le voleur Jessim Smarra


Bonjour je me présente : Paul. J’ai 14 ans. Je suis au lycée, et aujourd’hui je rentre seul chez moi parce que ma mère et mon père finissent tous les deux à 9 heures 30 du soir, et je vais attendre qu’ils arrivent. Au moment où je passe à côté du restaurant chinois, il y a un bonhomme avec une capuche qui sort en même temps. Il va dans une rue qui s’appelle la rue Pierre Paul. Je le suis jusqu’à une rue très étrange qui s’appelle Jean Paul le Grand. Et le bonhomme du restaurant chinois parle avec une étrange personne qui s’appelle Jérémy. Il lui dit que, demain soir, ils vont aller à la banque pour voler 100 000 euros. Je rentre chez moi, je m’endors. Je suis à moitié couché sur mon lit et je m’endors la tête dans le coussin ! Le lendemain matin, je vais au lycée. J’en sors à 5 heures. Je rentre chez moi, je pose mon cartable à la maison. Je fais un peu de mes devoirs : je commence par ma matière préférée, les maths. Je vais ensuite au rendez-vous du bonhomme et de celui qui s’appelle Jérémy. Je suis arrivé mais ils ne sont pas là ! Je rentre dans la banque mais je découvre que tout est détruit à l’intérieur. Je sors de la banque. Je rentre chez moi. Ma mère me demande : - Pourquoi tu es rentré très tard, ce soir ? » Je lui réponds : - Parce que la banque a été cambriolée : 100 000 euros !


Je tombe sur le voleur qui avait volé les 100 000 euros. Je lui saute dessus comme un fou et je m’aperçois que c’est mon professeur de maths qui s’appelle François. Je lui dis : - Pourquoi avez-vous fait ça ? - Parce que le principal m’a appelé dans son bureau pour m’annoncer qu’il me renvoie de l’école. Je lui demandé pourquoi et il m’a répondu que c’est parce que mes élèves ne travaillent pas bien. « Vous n’en êtes qu’à la bataille de la France mais, normalement vous devriez en être à la bataille de la Russie », m’a-t-il reproché. Et voilà tu connais mon histoire. - Maintenant, je sais pourquoi vous avez volé 100 000 euros : parce que vous êtes au chômage. Mais maintenant il faut qu’on ramène les 100 000 euros à la banque, et vous devez aller en prison. J’appelle tout de suite la police pour remettre l’argent à la banque.

La police vient et je lui dis tout ce qui s’est passé. Ils me disent que c’est très intéressant. - Vous allez le mettre en prison ? Le policier dit : - Non, ton professeur a des circonstances atténuantes, c’est parce qu’il était au chômage. On va lui donner la moitié de la somme volée et il va retrouver son travail de professeur au lycée et l’autre moitié à vous. D’accord ? - C’est avec grand plaisir ! Et c’est pour ça que je suis riche et que j’ai une grande voiture.



Disparition suspecte au supermarchĂŠ Kassandra Lavenant


Je m’appelle Cléa. Je suis collégienne, je suis blonde et je ne suis pas bonne en maths. J’ai une amie qui s’appelle Maëlisse et un copain qui s’appelle Thomas. Aujourd’hui je reviens du collège avec Maëlisse et Thomas. Les cours sont finis. - Allez, 16h30, je vais au supermarché. Celui-ci est très grand, juste à côté de chez moi. - Mais je n’ai pas d’argent, dit Maëlisse. - C’est bon, j’en ai, je réponds. Et sans faire attention, je lâche mon sac de classe et je vais à la caisse pour payer. Puis je retourne à la maison, et je m’aperçois que je n’ai plus mon sac. Alors je cours au supermarché. Je fouille tous les rayons mais je ne le trouve pas. Puis je retourne au collège. Je regarde dans toutes les salles mais je ne le trouve toujours pas. Je suis très énervée : dans mon sac il y a mes cahiers de collège, 30 €, et mon téléphone portable. Je rentre à la maison avec Maëlisse. Et plus tard Thomas arrive. - Qu’est-ce qu’il y a Cléa ? » demande-t-il. - Elle a perdu son sac, dit Maëlisse - Où tu l’as perdu ? demande Thomas - Je ne sais pas …, je lui réponds machinalement, mais je suis abattue. - Je…, commence Thomas


- Je m’en fiche et je ne parle plus à personne, dis-je. Thomas va au supermarché. Et le téléphone de la maison sonne. - Oui ? Allo quoi !!! Thomas, tu veux que je vienne au supermarché ? je m’écrie. Pendant ce temps, le nettoyeur du supermarché passe dans le rayon où le sac est tombé, et le met sur une étagère. J’arrive au supermarché. - Regarde tout en haut de l’étagère, suggère Thomas. - Mon sac ! Merci beaucoup ! dis-je Je rentre chez moi. - Mais ce n’est pas mon téléphone ! je m’écrie. C’est alors que le téléphone, qui n’est pas à moi, sonne : - Allo, qui c’est ? dis-je - C’est Philippe …, répond une voix - Quel Philippe ? Je connais plein de Philippe. - C’est Philippe Lebon, le professeur, s’énerve le monsieur au bout du fil. - Ah je vois ! Il fallait que je me taise, et peut-être que j’en apprendrais plus ! - C’est urgent !!! Viens tout-de suite ! Quand on a cambriolé la banque de Lyon, Léo s’est fait arrêter par la police, mais nous on a le magot. Il faut que tu nous aides à le sortir de là. Tu comprends, ils ne te soupçonneront pas : tu étais au supermarché cet après-midi, tu as un bon alibi !!! Alors je raccroche. J’ai un peu peur ! Je vais au supermarché. Et j’entends mon prénom. C’est le nettoyeur du supermarché qui a lu mon prénom sur mon téléphone et je lui rends le sien sans lui parler de l’appel que j’ai pris. Immédiatement, je cours au commissariat. Je dis à la police que le cambrioleur était mon professeur et sa bande. Et tout est bien qui finit bien.



Le dĂŠcapiteur Mehdi Bouchattat


Je m’appelle Marty et j’ai 15 ans. Je voulais voir Mamie Lucette. Mais en la découvrant décapitée, je suis parti vers mes parents. Le lendemain matin, la police était en train de chercher le décapiteur. Moi, j’avais une petite idée de la maison où un homme pourrait décapiter des gens. Je m’y rendis. Dès que j’entrai, j’entendis un bruit comme quelqu’un qui marchait. J’avais très peur et j’entendis aussi le bruit d’un fusil. Je courus me cacher pour faire en sorte qu’il ne me voie pas. Mais en fait, ce bruit n’était que le système d’alarme pour effrayer les voleurs. N’empêche que j’ai eu peur. Je suis parti voir les voisins, mais c’était trop tard. Pas même le temps de prendre des preuves. Le lendemain matin, la police a dit que le suspect avait la taille d’un enfant de 10 ans. Je pensais à un adulte de la taille d’un enfant de 10 ans.

– Le voilà ! » je criai. « Là-bas ! Près de la voiture rouge ! » – Pas la peine … Je l’ai attrapé, annonça le policier. Allez, mets- toi sur la chaise électrique. – Attendez ! protesta le suspect. Je vais vous raconter : ce n’était qu’un film ! Vous pouvez me relâcher. Vous voyez que ce n’était pas moi !


Mamie Lucette n’a pas été vraiment assassinée mais on a remplacé son corps par un mannequin pour les besoins du film. Enfin ce qui est bien, c’est que ça se finit bien.



Les voleurs de livre avant les vacances Nadia Abbas


Dans un collège de Lyon, le collège Jean Perrin, deux filles vont s’engager dans des histoires inoubliables. Le vendredi avant les vacances, moi Sarah , 11 ans, en 6éme, et ma meilleure amie Emilie, 11 ans, nous sommes allées chercher mes affaires et, tout-à-coup, mon livre n’était plus là alors qu’il était dans mon casier tout à l’heure. Ce n’est pas drôle : c’est un livre dédicacé par monsieur Arrou-Vignod. - Rends-le moi ! dis-je à Emilie. -C’est pas moi ! répondit-elle. -Je te crois - Tu l’as peut-être oublié chez toi ! - Non, il est tout le temps à l’école. - Tu l’as prêté à quelqu’un ? - Non. Il n’y a pas beaucoup de gens qui connaissent le mot de passe de mon casier : mes parents et le prof. En tout cas, j’espère que ce n’est pas Jennifer, mon ennemie, et ses deux amies. Bref, il faut qu’on aille chercher mon petit frère, il pourra nous aider. - Rends-moi mon livre, dis-je. - Non, répondit Ilies . - C’est Monsieur Arrou-Vignod, qui est venu à l’école, qui me l’a donné et il l’a dédicacé. - Bon, je te crois, affirmai-je. Il faut qu’on aille chercher mon livre. On va aller au collège, qui vient avec moi ? » « Nous ! bondirent Emilie et Ilies. - Allons-y ! » Une fois arrivés à l’école, on se disperse et celui qui trouve le livre doit crier. - Je vais à droite et vous deux à gauche ! criai-je. Emilie hurla : - Il y a quelqu’un dans la salle de français ! - On arrive ! - Mais c’est Madame Dupond, ta professeure de français ! remarqua Ilies. - Ah oui ! Je me souviens maintenant, j’avais une heure de colle, alors j’avais pris mon livre pour faire passer le temps et je l’ai oublié dans la salle de français. - Mais pourquoi avez-vous pris mon livre ? demandai-je à Mme Dupont. - Parce que les professeurs ne peuvent pas avoir de livres dédicacés alors je voulais le prendre. Mais j’étais tellement fatiguée, que je me suis endormie et je n’ai même pas pu le lire. répondit la professeure. - Si vous voulez, je vous le prêterai, mais ne faites plus jamais ça.




La disparition Néhémia Vincendon


Ce matin là, je suis allée au parc Forest, pour prendre un peu l’air. Je m’appelle Fanny et j’ai 17 ans. Ma sœur s’appelle Molly, elle a 22 ans. Nous vivons seules depuis que nos parents sont morts il y a deux ans. Après ma promenade au parc, je suis rentrée chez moi, j’ai pris une petite douche pour me rafraichir et j’ai dit à ma sœur : « Bonjour Moly tu me dis pas bonjour ? » - Non j’ai un examen à passer je n’ai pas envie de le rater et je réviserai tant qu’il le faudra. - D’accord - Fanny, tu peux me passer mon portable ? - Pourquoi ? - Je vais envoyer un message à Billy. - Ok - Billy, demain je serai à ….. « Bip bip bip ». On entend la sonnerie du téléphone raccroché. - Que se passe-t-il, Moly ? - Mon portable a coupé et il n’a plus de batterie. - Tu viens on va manger. - D’accord ; je vais faire une bonne sieste après. Quelques heures plus tard, je suis entrée dans sa chambre … - Réveille- toi, Moly ! j’ai lancé en la secouant. - Mmm… - Je vais au travail, je reviens vers minuit, lui ai-je annoncé. - Mmm. - Salut. -Mmm. Je suis partie… Mais quand je suis rentrée, vers minuit, Moly n’était plus là ! J’ai cherché dans toute la maison, de plus en plus inquiète. J’ai même appelé la police mais il n’ont pas voulu me croire. Je pensais bien que ma sœur avait été enlevée, et que son ravisseur était encore dans le coin, alors j’ai un peu risqué ma vie : il fallait bien que quelqu’un la cherche ! J’ai regardé si elle avait laissé son pyjama sur le sol. J’avais trouvée sa bague par terre. Le lendemain matin, je suis allée voir mes voisins : - Qu’y a-t-il jeune fille ? m’a demandé la voisine. - Hier, je suis rentrée à la maison, et ma sœur n’était plus là. - Il était quelle heure ? - Minuit. - Oh ! À minuit, on n’est plus de ce monde, mais si vous voulez en savoir


plus, allez voir chez le voisin, Monsieur Confecteur. Il ne ferme jamais l’œil, il peut peut-être vous renseigner. - Ok merci et bonne fin de journée. - Merci à vous aussi, à bientôt. Je trouvai la maison de Monsieur Confecteur et je sonnai. - Bonjour monsieur Confecteur. - Bonjour jeune fille. Que puis-je faire pour vous ? - J’habite dans la maison jaune non loin d’ici. Je suis votre nouvelle voisine. Vous n’auriez pas vu quelqu’un venir vers ma maison hier soir, car ma sœur a disparu dans la soirée d’hier.

- D’accord ! Cela m’explique tout. Pour tout vous dire, j’ai vu quelqu’un entrer dans votre maison, puis peu après la musique a été mise à fond ! Le bruit m’a réveillé. J’étais énervé et j’ai crié par la fenêtre de faire moins de bruit. Un jeune homme est alors venu me voir et il m’a demandé pourquoi je lui criais dessus. Je lui ai répondu que c’était parce qu’il m’avait réveillé. Je lui ai demandé son prénom et il m’a dit qu’il s’appelait Jimmy. Il habite deux rues après la nôtre et vous savez quoi ? C’est le petit copain de votre sœur. - Non, son petit copain, c’est Billy ! Mais Monsieur Confecteur me prit par la main et m’accompagna chez Jimmy, le frère de Billy, et … ma sœur y était ! Je lui ai d’abord criédessus car j’avais eu si peur, mais ensuite nous sommes tombées dans les bras l’une de l’autre …



Un voyage en Irlande Quentin Gaspard


Bonjour, je m’appelle Valentin et ma copine s’appelle Mathilde. Nous sommes partis pour l’Irlande le 12 février. Dans l’avion, notre ami Tom a vu qu’un voleur avait volé une bague à une dame. Le prof nous dit que nous allions bientôt arriver et Tom a gardé le secret. Nous sommes arrivés à l’Hôtel de l’Irlande fleurie. Nous allons dormir ici cette nuit. « Chouette !!! » a dit Tom. Mais le lendemain, quand je me lève, je m’aperçois que Tom a disparu. Mon professeur, Loïc dit : « On va appeler la police !» Loïc dit à la police : « Mon élève a disparu cette nuit ». Loïc nous propose, à Mathilde et àmoi: « Nous allons enquêter tout de suite. » « OK, » je réponds. Nous sortons de l’hôtel et Mathilde murmure : « J’ai trouvé un papier avec du sucre dedans : c’est peut-être un indice que Tom a déposé. » Loïc réplique : « Nous allons suivre cette route. Peut-être trouveronsnous d’autres indices. » Nous suivons la route. Mathilde annonce à Loïc : « Regarde ! Il y a une enveloppe posée par terre. » Loïc marmonne « Nous allons voir s’il y a des choses dedans. » Loïc ouvre l’enveloppe et découvre une publicité pour leur hôtel ; il souffle en disant : « Nous nous sommes trompés de chemin ». Ils sont déçus. Loïc, Mathilde et moi retournons en arrière. Mathilde nous dit alors « Regardez ! Il y a des petits bouts de papier sur la chaussée. Je suis sûre que c’est Tom qui les a semés pour qu’on retrouve sa trace ! »


Nous suivons la route et nous voyons Tom les pieds ligotés à un banc et un homme est en train de lui attacher les mains dans le dos. Loïc crie : « Relâchez Tom ! Sinon j’appelle la police ! » Les voleurs, qui ne veulent pas que la police vienne les arrêter, répondent : «On le relâche. » Tom, épuisé, murmure : « On retourne à l’hôtel ».

Aujourd’hui 14 Février, c’est l’anniversaire de Tom. Tout le monde croit que ce n’est que le jour de ma fête, mais non, c’est aussi l’anniversaire de Tom ! Mathilde, Loïc et moi nous sommes levés très tôt pour inviter Tom au restaurant. Nous lui chantons : « Joyeux anniversaire ! Joyeux anniversaire ! Joyeux anniversaire Tom ! Joyeux anniversaire ! » Nous allons rentrer en France le lendemain. Tom pense que ce n’est pas juste, parce qu’il serait content de rester plus longtemps dans ce beau pays.



Un journal intime Rachida Khelfi


Tout allait bien au lycée jusqu’à ce qu’arrive une nouvelle élève. Elle s’appelait Sabrina, elle était très timide et personne ne la connaissait. Mais Stéphanie Julien et moi, Jack, avions beaucoup de méfiance et des soupçons sur elle. Tous les midis, à la caféteria, elle portait sous son bras une chose qui nous intriguait. Etait-ce les réponses de l’évaluation de maths du lendemain ? Mystère. Nous décidons d’enquêter sur cette fille : Jack, mes amis et moi nous allons résoudre cette enquête à midi. Mais avant, on doit en savoir plus sur cette fille. Pour ça, il faudra aller directement dans le bureau du proviseur après les cours. Nous passons par la bouche d’aération puis à l’aide d’une corde, on est descendu dans le bureau.

Nous avons regardé dans tous les tiroirs du proviseur mais il n’y avait rien. Puis Stéphanie s’interrogea : « Peut-être que quelqu’un nous a devancés ? ». Ensuite Julien se cogna contre le bureau et soudain il cria : « Oui !!!!!! » Il avait trouvé : le papier d’inscription de Sabrina. Il y était écrit qu’elle avait été renvoyée de plusieurs lycées pour avoir mis le feu. Soudain, un petit bruit parvint de la porte. « Oh non ! C’est le proviseur ! » « Tout le monde à terre ! ». Discrètement nous nous cachons pour ne pas être vus par le proviseur. Mais le mystère n’est toujours pas éclairci. Nous allons directement retrouver notre Sabrina dans le couloir.


Nous l’apercevons, nous courons de toutes nos forces et enfin nous la tenons. Nous l’accrochons avec une corde. «Nous savons que tu veux faire brûler notre école » dit Stéphanie. «Mais non, je cherche mon journal intime. Quelqu’un me l’a volé. Est-ce-que vous pouvez m’aider à le retrouver ?» « D’accord, mais par où commencer ? » «On pourrait commencer par chercher des indices, dit Sabrina. Au moment même où mon journal disparaissait, j’ai aperçu Franck. C’est peut-être lui le voleur. » « Mais qu’est-ce-qu’ on va faire ? » se désespéra Julien. «Ne baisse pas les bras ! Quand Franck ira dehors, nous le prendrons au piège, je murmure. Mais pour ça il faut nous préparer : voici la liste des choses à apporter : une corde, un casque, et de la peinture pour nous camoufler.Et ne soyez pas en retard, c’est ce soir.»

Le soir venu, nous nous cachâmes derrière le mur de la cour. Tout-à-coup, Franck apparut. Nous nous acharnâmes sur lui : «Tous au lasso ! » criai je. « Rends-moi mon livre !» cria Sabrina. « Non ! répondit Franck. Je ne te le rendrai pas. Je veux tout savoir sur toi. C’est à cause des copains à l’école : ils se moquent de moi. Alors je me suis dit que si je leur ramenais des informations sur toi, je pourrais les impressionner » pleura Franck. « Mais tu aurais pu me le dire. Je t’aurais raconté quelque chose » répondit Sabrina « D’accord, dit Franck. Je ne le referai plus jamais. »



La disparition du kimono de Kanako Tallia Druart


Bonjour, je m’appelle Kanako et j’ai une meilleure amie qui s’appelle Kumiko. Nous avons toutes les deux 14 ans. On habite au Japon et, tous les samedis, on a des entrainements de défilé de kimono. Aujourd’hui, justement, on est samedi. J’ouvre mon placard et PAS de kimono. Je commence à m’inquiéter puis j’appelle Kumiko : « Allo ! Tu ne sauras jamais ce qu’il vient de m’arriver. On m’a volé MON kimono. » « C’est pas grave. Je vais t’en prêter un. » « Merci mais, quand même, c’était un kimono de famille. Il appartenait à la mère de la mère de ma mère. » « A ton arrière-grand-mère ? » « Oui. Au revoir. On se voit tout à l’heure. »

« Ok. » « On n’a qu’à acheter un autre kimono,» propose Kumiko quand on se retrouve.» « NON, je veux retrouver MON kimono à MOI et en plus le mien était ROUGE ! Pourquoi ça m’arrive à moi ? En plus, le jour de mon anniversaire, le 6 juin : je vais avoir 15 ans aujourd’hui. Bon ce n’est pas grave, en espérant qu’on retrouve mon kimono demain.» Nous préparons notre matériel de camping et nous partons passer la nuit


sous notre tente. Le lendemain matin je réveille très tôt mon amie : « Viens ! Kumiko ! Debout ! Viens voir ! C’est extraordinaire ! Il y a des traces de pas. Suivons-les, si cela se trouve, on pourra retrouver MON kimono ! » Nous suivîmes les traces mais, au bout d’un kilomètre, elles disparurent. Je me dis que le voleur était malin car il avait dû se dire que les gens qui passeraient par là auraient vu les traces de pas. Un peu plus tard, on trouva des bouts de tissu rouge. On fouilla dans un buisson et on trouva le kimono. Si j’avais su qu’il serait parti en mille morceaux, je n’aurais jamais accepté qu’on me le donne. Alors une jeune fille de 8 ans arriva et demanda pardon. La petite fille raconta toute l’histoire : elle adorait les kimonos. Or ce soir-là en rentrant des magasins sans kimono, elle regardait tristement par les fenêtres des gens et elle m’a vu ranger mon kimono. Alors la jeune fille retrouva le sourire et se dit : « Je ne peux pas voler le kimono des gens quand même ! » Puis elle pensa : « Après tout, sa propriétaire ne saura pas que c’est moi qui l’ai volé… » Et comme il faisait chaud chez moi et que j’habite dans une maison, les fenêtres n’étaient pas hautes. Alors la petite fille entra par la fenêtre et prit le kimono. Et voilà comment ça s’est passé. La petite fille s’excusa et me dit que sa maman était couturière et qu’elle allait me recoudre le kimono déchiré et tout se finit très bien.



Le faux vol Thomas Zeleck


Alan est en CM1. Un jour, il y a eu une fille qui l’aimait et qui lui a donné des bijoux. Son frère Kilian, qui est en CM2, va le voir dans la cour. « Qu’est-ce qu’il y a ? » demande-t-il « -Une fille m’a donné des bijoux mais on me les a volés. Mais je crois savoir qui les a pris. » répond Kilian à son frère. -C’est cette brute de Brutus. » Kilian explique ensuite où il s’est caché Brutus : derrière le mur de l’école. C’est là-bas qu’il est avec ses copains. Kilian dit, en prenant Alan par le bras : - Viens, on va les espionner. - Mais tu es fou ! répond Alan. - Mais si, tu verras, ce sera drôle.

- Voilà, mon plan : on va aller dans le bureau de la directrice et prendre des ballons gonflables. On va les remplir d’eau, monter tout en haut du mur de l’école et on va lancer les ballons plein d’eau sur leur tête et les bijoux seront à nous parce qu’ils vont les faire tomber par terre. Tu es prêt ? demande Kilian.


Et Alan répond : - Attends, et s’ils nous voient, on fait comment pour redescendre ? - On improvisera. Tu verras c’est rigolo. - Tu es sûr ? Vaudrait mieux pas …, dit Alan. Kilian ! Ne lance pas les ballons ! Non ! Trop tard Plouf ! Le ballon rempli d’eau explose sur la tête des brutes. Et là, Brutus crie : Mais je n’ai rien fait ! Pourquoi vous m’attaquez ? - Attention la maîtresse est là ! Ferme la porte des escaliers ! hurle Kilian. - Les garçons ! Ouvrez- moi, ordonne la maîtresse, sinon j’appelle vos parents ! «- D’accord, dirent les garçons qui lui ouvrirent. - Dans la classe et tout de suite… Alors les garçons, pourquoi avez-vous fait ça ? Et là le téléphone sonna. C’était la directrice qui appelait la maîtresse pour une réunion. La maîtresse dit « Allez ! » Alan et Kilian partirent en se posant des questions. Mais alors, qui était le voleur si ce n’était pas Brutus ? -Ah mais non ! se rappela soudain Alan. Je les avais rangés dans mon casier. Attends je regarde ! - Mais non, c’est moi, dit Chloé. Je les ai empruntés pour les essayer alors toute cette histoire était fausse ! Voilà tes bijoux. Tu ne m’en veux pas, j’espère ? -Non, grâce à toi, on a donné une bonne leçon à cette brute de Brutus et à ses copains, répondit Alan.



Des enquĂŞteurs de choc Yassir Attoumani


Ce matin-là, moi, Yassir, et mes meilleurs amis Mattéo et Lisa, 10 ans tous les deux, nous avons été réveillés par une alarme. Nous étions en classe verte. On nous a appris alors que le maître avait kidnappé quelques élèves, nous ne savions pas pourquoi. Nous avons été choqués par cette nouvelle car c’était notre professeur préféré. Comment avait-il fait pour kidnapper des élèves ? Comment Monsieur Roberto avait-il fait pour entrer dans le dortoir qui était protégé par une alarme ? Alors nous trois, nous avons réfléchi et j’ai décidé en premier : - Nous allons enquêter à minuit ! Puis Mattéo et Lisa ont dit en même temps : - D’accord ! Nous avons demandé au gardien l’autorisation d’entrer dans les bâtiments la nuit et le gardien a dit : - Je vous autorise à enquêter pour retrouver les élèves et le professeur. Ensuite, nous appellerons la police pour que ce professeur arrête de kidnapper des élèves. Ce fut ainsi que nous commençâmes à enquêter. Soudain, en fouillant la pièce, Lisa trouva quelque chose de bizarre et elle s’écria : - Regardez ! On dirait qu’il y a un alien ! Mais Mattéo répondit : - Ce n’est pas un zombie, mais une théière ! Essuie tes lunettes !


Alors elle essuya ses lunettes et nous continuâmes l’aventure. D’un seul coup, nous vîmes une ombre qui s’enfuyait. Nous commençâmes à courir et nous vîmes que ce n’était que le gardien qui devait faire sa ronde. Mais comme il ne nous trouva pas, il retourna au lit. Donc nous continuâmes à enquêter sans bruit. D’un seul coup, nous entendîmes des bruits de pas, si forts que nous nous cachâmes très vite. Nous vîmes que ce n’était que le gardien, suivi d’un autre garde qu’il avait dû aller chercher. Et finalement, j’eus l’idée de monter tout en haut de l’immeuble plutôt que de rester dans les étages. Et c’est nous qui avons trouvé le kidnappeur caché avec les élèves, dans un très grand placard au fond du grenier. Le gardien et son ami étaient accompagnés de trois policiers. L’un des policiers mit les menottes au professeur et l’envoya en prison. Depuis ce jour, nous sommes tranquilles, mais nous avons un peu peur que le maître ressorte de prison car nous savons qu’il a déjà kidnappé des élèves.



L’enquête de Nathalie et Julien Youssouf Mushtaq


Il y a bien longtemps, un soir d’été, le 26 août, le jour anniversaire de la déclaration des droits de l’Homme, il y a eu un enlèvement. Une personne méritait d’être en prison car selon l’article n°3 de la déclaration des droits de l’Homme toute homme a droit à la sûreté de sa personne. Moi, Nathalie, je vais enquêter sur cette histoire avec mon ami Julien. Cet après midi là, vers 12 heures 30, mon ami et moi, nous sommes allés à l’endroit où a eu lieu l’enlèvement. La victime habitait dans la rue des Docks. Mon ami Julien avait la trouille, moi aussi d’ailleurs. Nous sommes entrés dans l’appartement. Tout était calme, mais le long du couloir il y avait des traces de sang, comme si on avait trainé quelqu’un qui était blessé. Nous avançâmes jusqu’ à une fenêtre. - Tu… tu... tu es sûr qu’on ne craint rien ?demanda julien Si on avait su dans quels dangers on se lançait ! - Mais non ! On ne craint rien je fais du karaté répondis-je. - Regarde, il y a un corps. Viens nous devons aller le voir. Mais pourquoi avoir caché ce corps dans les buissons ? - Réfléchis ! Le ravisseur voulait peut-être que personne ne le voie. - Il faut l’arrêter ! s’écria Julien. Mais comment ? - Nous allons attendre que cette personne reprenne connaissance. Quatre heures plus tard, l’homme était réveillé. - Que vous est-il arrivé ? demandai-je. -J’…j…j’ai vu un homme me frapper avec une casserole puis je ne me rappelle plus de rien, bégaya t-il. - Regarde il y a un papier ! Nous devons le lire ! déclara Nathalie. Il y a écrit : « RENDEZ-VOUS AU RESTAURANT DE LA RUE DES DOCK À 1 HEURE ». - Nous devons nous y rendre ! s’écria Julien. - D’accord, répondis-je. Il était 12 heures 45. On avait 15 minutes devant nous pour aller dans ce fameux restaurant. - Voilà, nous y sommes ! s’écria Julien quand nous arrivâmes. Nous nous sommes assis sur une chaise, puis nous avons attendu que le ravisseur sorte du restaurant. l y avait un homme bizarre. Il avait une grosse veste en cuir pleine de sang et il avait le visage masqué pour ne pas être reconnu. Donc, il y avait des chances que ce soit le malfaiteur.


Tout à coup, il quitta le restaurant : ça voulait dire qu’il n’avait pas de rendez- vous. - Ou alors il savait qu’on le suivait depuis le début ! criai-je. Nous nous sommes lancés à sa poursuite. Une fois arrivé à la Saône, il monta dans un grand bateau bleu à moteur. Nous avons sauté dans une petite barque et nous avons repris la poursuite, puis nous sommes arrivés sur une île. Julien se précipita pour vite reprendre la poursuite. Lui, il courait très vite, moi, en revanche, j’étais très épuisée. Je me suis arrêtée et Julien continua, il sauta sur l’homme masqué et il le plaqua sur le sol. Je suis vite arrivée, j’avais une paire de menottes et je l’ai livré à la police.


7è m e s A s s i s e s I n t e r n at i o n a l e s du R o m a n 27 mai - 2 juin 2013

17 classes primaires du département du Rhône ont lu, rencontré et écrit avec :

Gilles Abier, Jean-Philippe Arrou-Vignod, Audren, Hélèna Villovitch Les versions intégrales des histoires écrites par les enfants sont disponibles sur www.villagillet.net Avec les Éditions Célestines : http://petits livres.free.fr


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