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Dossier : La ville fleurit durablement
8 et 9 mai : Presqu’île en Fleurs M A G A Z I N E
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Christiane Lanièce fait bouger le CORA
5 Evènement Relais des 4 châteaux : et de dix ! 6-20 En bref 7 Conseils de quartier Les conseils de quartier pour les déplacements doux 8-9 Evénement Presqu’île en Fleurs voit la vie en roses 10-11 Culture Le théâtre amateur sous les feux de la rampe/Le voyage forme la jeunesse 12 Economie Groupement d’employeurs : trente emplois à la clé 18-19 24 heures avec... Les marchés 21 Association Jardin de Cultures associe nature et création
Sommaire
10-11
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Dossier
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La Ville fleurit durablement
Les enfants, premiers défenseurs de l’environnement
23 Tribunes de l’opposition 24 International Le jumelage avec Bremerhaven a 50 ans ! 25 Loisirs La fanfare des pompiers défend les couleurs de la ville 26-27 Travaux Quarante-six nouveaux logements inaugurés 28 Sports Allez les bleues ! 29 Infos pratiques Horaires et numéros de téléphone 30-31 Retour sur Cherbourg-Octeville en images
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Editorial
Bernard Cazeneuve
J’ai souhaité créer, au lendemain des élections municipales de 2008, une délégation au développement durable afin d’afficher clairement nos priorités en la matière. La Ville travaille ainsi avec la Communauté urbaine à la réalisation d’un Agenda 21 qui donnera des objectifs précis à notre action.
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Mais d’ores et déjà, la Ville s’est engagée fortement en faveur de la préservation de l’environnement : elle a ainsi fait le choix d’une chaufferie bois sur le quartier des Provinces qui permettra de réduire les émissions de CO2 et de diminuer la facture énergétique des locataires du parc social. Les projets de reconstruction dans le cadre de l’Opération de renouvellement urbain - que ce soit les constructions en cours sur l’AmontQuentin et le Blanc-Ruisseau ou sur les logements achevés sur les Hauts de Quincampoix, rue de l’Abbaye ou Impasse Tellier intègrent les préoccupations environnementales, et notamment énergétiques.
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des espaces verts. Les services municipaux sont désormais passés au zéro produits phytosanitaires : un objectif difficile à réaliser mais important pour la santé de nos habitants et de nos jardiniers. Aujourd’hui, nous nous sommes fixé un nouveau cap : le passage au fleurissement durable. Cela signifie un changement complet de nos pratiques et méthodes de fleurissement. Nous allons donc transformer les massifs exubérants aux couleurs chatoyantes, changés deux fois par an, qui nous ont valu d’obtenir la récompense suprême en matière de ville fleurie, à savoir les 4 fleurs. Mais l’enjeu est important : nous accroîtrons le nombre de variétés plantées et favoriserons ainsi la biodiversité. Plus de 500 variétés différentes seront mises en terre avec une durée de vie de plus de trois ans, au lieu d’un an aujourd’hui. Elles contribueront au bien-être des habitants et à la préservation de l’avenir de nos enfants.
Sur les espaces publics, la Ville s’est engagée depuis longtemps dans une gestion durable “Cherbourg-Octeville Magazine” - numéro 133. Bimestriel d’informations municipales.
AVRIL 2010
Magazine
Dossier : La ville fleurit durablement
BP 823 - 50108 Cherbourg-Octeville Cedex Téléphone 02 33 87 88 89 http://www.ville-cherbourg.fr e.mail : mairie@ville-cherbourg.fr Directeur de la publication : Bernard Cazeneuve. Directrice de publication déléguée : Geneviève Gosselin. Rédaction, coordination : Service Communication Photos : JM Enault, M Chauvin, BIS Bremerhaven Touristik, DR. Mise en page : Imprimerie Municipale Conception : Libre Cours, Caen Impression : Technigraphic Nombre d’exemplaires : 23 000. Dépôt légal : à parution.
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Christiane Lanièce fait bouger le CORA
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Créé en 1983, le Club Octevillais de Rencontre et d’Amitié (Cora) compte aujourd’hui près de 550 adhérents et propose une douzaine d’activités gratuites. Une effervescence entretenue par la nouvelle présidente, Christiane Lanièce. Christiane Lanièce entourée des membres du Cora lors d’un des thés dansants mensuels organisés par l’association.
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Gymnastique, jeux de cartes, arts plastiques, pétanque ou encore initiation à la danse… Il y en a pour tout le monde. Et pour tous les emplois du temps. «Le Cora propose au moins une activité par jour, explique Christiane Lanièce, élue à la présidence de l’association en février dernier. Et régulièrement, nous essayons d’en mettre de nouvelles en place, en fonction de la demande.» Le dynamisme de la toute nouvelle présidente, qui fête ses 65 ans, irradie ainsi l’ensemble de l’association.
«J’adore danser par exemple. A l’occasion des thés dansants, les adhérents venaient régulièrement me dire qu’ils adoreraient eux aussi oser en faire autant, mais qu’ils ne savaient pas. Qu’à cela ne tienne, nous avons monté un atelier danse. Tout le monde peut maintenant s’y essayer et progresser à son rythme. C’est ma plus grande satisfaction. On sent à quel point les gens s’épanouissent dans ce qu’on leur propose. Je pense notamment à un couple qui désormais se prépare, plusieurs heures à l’avance, pour venir à la danse. La dame se
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maquille, et tous les deux s’habillent dans les mêmes couleurs. Pour moi, c’est une émotion fabuleuse !»
«Faire plaisir aux autres» Bien sûr elle ne l’évoque pas, mais cette jeune retraitée du Trésor Public est pour beaucoup dans le succès croissant que connaît le Cora. Car bien avant d’en être élue présidente, elle a été à l’origine de très nombreuses initiatives. «Mon bonheur à moi, c’est de faire plaisir aux autres, expliquet-elle très simplement. C’est pour cette raison que je me suis beaucoup investie dans l’organisation de voyages en groupes, tantôt en France, tantôt à l’étranger». Cette année, le groupe partira dans le Luberon en mai et en Lorraine en septembre. Mais de nombreuses demandes pour repartir hors des frontières continuent de pleuvoir. «C’est donc notre grand projet pour les mois à venir. Organiser de nouveaux voyages, en Espagne, en Italie ou encore dans les pays de l’Est. C’est vraiment une opportunité que les gens attendent avec impatience.»
Christiane met donc tout en œuvre pour la leur offrir. «C’est un métier bénévole à plein temps !, sourit-elle. Mais la satisfaction du partage qui en découle est immense.» Pratique : Toutes les activités, à l’exception du bowling et de la gym, sont gratuites. Seule l’adhésion à l’association est payante. Tarif unique : 17 €.
Les Contre sens de Philippe Dufour Peintre, dessinateur et spécialiste en jeux de mots, Philippe Dufour sort son 2e livre, Contre sens. Il propose son ouvrage, regroupant une soixantaine de dessins humoristiques, sur internet (www.philibertlecascadeur. weonea.com). «Ce livre est en quelque sorte un catalogue d’objets introuvables», explique l’auteur inspiré par des artistes comme Magritte, Franquin ou Serre. A découvrir !
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Relais des 4 châteaux : et de dix !
Evénement
Chaque année, le Relais des 4 châteaux réunit près de deux mille participants, sportifs, amateurs ou personnes à mobilité réduite. Cette année, rendez-vous le 25 avril à vélo ou à pied !
és par Quatorze circuits sont proposés de 4 à 55 km, à pied ou à vélo.
Le Relais des 4 châteaux est né de la volonté d’une équipe de promouvoir le Nord-Cotentin. Et depuis sa création, son succès n’a jamais été démenti. Si la première édition, qui se déroulait à l’époque à Saint-Joseph, a réuni environ deux cents participants, dix ans après, la fréquentation a été multipliée par dix. Cette année, la manifestation se déroulera le 25 avril. Rendez-vous au parc du château des Ravalet mis à disposition par la Ville de CherbourgOcteville d’où partiront toutes les randonnées. Les participants n’auront que l’embarras du choix puisqu’ils disposeront de quatorze circuits différents. Les adeptes du VTT se verront proposer quatre parcours (55, 45, 35 et 25 kilomètres). «Le 55 kilomètres permettra de découvrir dix châteaux», rappelle Thierry Valton, le président du Nord-Cotentin Moutain Bike (NCMTB), organisateur du rallye. Les amateurs de trail et les piétons auront également le choix entre trois parcours (22, 16 et 8 kilomètres). Les
personnes à mobilité réduite pourront effectuer un circuit de quatre kilomètres. «Cela n’a pas été facile mais nous sommes parvenus à gommer toutes les difficultés», souligne le responsable qui propose également un circuit réservé aux pratiquants de handbike, ce vélo où l’on pédale avec les mains. «On sait que des personnes handicapées souhaitent venir de loin. Pour elles, nous proposons un forfait week-end qui inclut l’hébergement sur place.»
Une manifestation engagée Au-delà des aspects sportifs, ludiques ou touristiques, le Relais des 4 châteaux revendique un engagement fort : «Nous voulons, avec cet événement, favoriser l’utilisation du vélo ou la marche à pied, apprendre à chacun à respecter l’environnement et aider les personnes handicapées à participer à une activité sportive.» Un engagement en faveur du développement durable auquel l’équipe organisatrice est attachée. «Nous n’utilisons que des
produits recyclables et nous profiterons des stands pour parler du développement durable», affirme Thierry Valton. Le NCMTB s’implique également aux côtés de l’association humanitaire Ti’Moun qui vient en aide aux sinistrés d’Haïti. Celle-ci déléguera plusieurs de ses bénévoles sur place afin d’évoquer les parrainages. Les organisateurs ont tout prévu : restauration sur place, découverte des produits artisanaux et une ambiance chaleureuse et musicale assurée par le groupe Pomélé. «Nous ne pouvons qu’encourager cette manifestation à la fois sportive, solidaire, ouverte à tous et qui œuvre en faveur du développement durable», conclut Franck Tison, maire-adjoint aux sports. Contact : Nord-Cotentin Moutain Bike au 02 33 44 37 32 ou 06 32 93 97 11. Bulletin d’inscription téléchargeable sur www.ncmtb.fr
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En bref
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Le Château des Ravalet se refait une beauté
Nouvelle course entre Granville et Cherbourg-Octeville Les Yachts Clubs de Granville et de Cherbourg lancent la première édition de la Solo Basse-Normandie, nouvelle épreuve qualificative pour La Solitaire du Figaro ouverte aux Figaro Bénéteau 2 et aux équipages en double en handicap HN. Les quelque 30 bateaux attendus s’élanceront le 23 avril de Granville, cap sur Cherbourg. Les figaristes effectueront un parcours de 280 milles via SaintQuay-Portrieux, les îles anglonormandes et Ouistreham, tandis que les doubles partiront pour 110 milles, via les îles anglo-normandes. Leur arrivée est prévue le 24 avril, après 24 heures de navigation sans escale. «Cette course présente deux avantages, explique le skipper cherbourgeois Alexis Loison. Non seulement elle nous permettra de faire des repérages pour l’arrivée de La Solitaire à Cherbourg en août, mais en plus le vainqueur gagnera le montant nécessaire pour s’inscrire à La Solitaire.» La régate est soutenue par la Région dans le cadre de la mise en place d’un groupement de skippers basnormands comprenant notamment Alexis Loison, Eric d’Hooghe, Alexandre Toulorge, Nicolas Jossier… Contact : Yacht Club de Cherbourg au 02 33 94 28 05
5 juin : la fête des familles aux Provinces Chaque année, la fête des familles rassemble dans le parc Mendès-France habitants et associations du quartier des Provinces autour d’une grande journée conviviale. Cette année, rendez-vous le 5 juin pour découvrir les stands, l’exposition d’affiches et les petits animaux de la ferme.
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La Ville de Cherbourg-Octeville poursuit sa campagne de restauration du Château des Ravalet. Elle a lancé en mars les travaux sur la façade ouest du bâtiment. Une opération qui devrait durer sur six mois et permettre au château de retrouver une deuxième jeunesse. Comme pour la façade principale, les parties sculptées, pierres de taille et parements seront restaurés tandis que les menuiseries seront entièrement refaites. Et si la plupart des interventions sont assurées par une entreprise extérieure, la dépose, la peinture et l’installation des fenêtres ainsi que les entablements en plomb seront effectués par le centre technique municipal. Les fenêtres retrouveront leur couleur d’origine, à savoir un rouge tomate que les visiteurs du parc ont déjà pu admirer sur la façade principale. «La demande provient de l’Architecte en chef des Monuments Historiques, explique Lydia Thieulent, maire-adjointe à la culture. Il s’est basé sur l’analyse des anciennes fenêtres.»
Un TGV pour Dijon via Roissy Depuis le 5 juillet 2009 et jusqu’en 2012, la SNCF expérimente une liaison TGV quotidienne entre Cherbourg et Dijon, desservant les gares de Caen, Lisieux, Evreux, Mantes-la-Jolie, l’aéroport Charles de Gaulle -TGV, Marne la Vallée, Chessy et Montbard. Bilan positif après six mois d’activité : 49 000 voyageurs ont déjà emprunté la ligne qui permet de rallier la Bourgogne en moins de 6h30, mais aussi d’arriver directement à l’aéroport Charles de Gaulle, évitant ainsi les changements, ou de se rendre directement aux portes des parcs Disney. Le TGV effectue un aller-retour par jour, avec un départ de Cherbourg à 6h55 pour une arrivée à Dijon à 13h18 et un retour au départ de Dijon à 17h09 pour une arrivée en gare de Cherbourg à 23h09. Contact : www.sncf.com
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Les conseils de quartier pour les déplacements doux
Conseils de quartier Une douzaine de conseillers de quartier a participé à la première réunion du comité technique “Déplacements doux” créé par la Ville de Cherbourg-Octeville.
Une douzaine de conseillers de quartier volontaires est associée aux réflexions menées par la Ville autour des déplacements doux.
A la suite de l’étude vélo lancée par la Communauté urbaine visant à élaborer un schéma directeur des aménagements cyclables, la Ville de Cherbourg-Octeville a réuni pour la première fois, le 1er avril dernier, son comité technique “Déplacements doux”. Sa mission : contribuer à la réflexion sur les aménagements de voirie à réaliser afin de faciliter les déplacements des usagers. Outre les élus, ce comité comprend les associations militant pour le déplacement à vélo ainsi qu’une douzaine de conseillers de quartier membres de la commission vélo inter-quartiers. «Cette commission permet de recouper les réflexions menées par chaque conseil de quartier sur les probléma-
tiques liées aux déplacements doux, explique l’un des conseillers. L’idée étant de proposer ensuite à la municipalité des aménagements cohérents.» Une concertation importante pour la Ville : «la contribution des conseils de quartier est essentielle sur un projet tel que celui-ci, souligne Jean-Claude Magalhaes, maire-adjoint à la citoyenneté. Ils nous font remonter directement les remarques des habitants, très riches en enseignements.» Le comité technique “Déplacements doux” se réunira chaque trimestre. Dans ses cartons : la mise en place d’une zone 30 en centre-ville, l’aménagement de parkings à vélos et de nouveaux couloirs de circulation pour les cyclistes… A suivre !
La concertation se poursuit aux Provinces Le 11 janvier dernier, les conseils de quartier Amont-Quentin/Provinces et Octeville-Bourg ont été invités à participer à une réunion sur l’aménagement du quartier des Provinces, notamment de l’avenue de Normandie et du parc Mendès-France. Au programme : la présentation des plans, des grandes modifications sur le quartier et du calendrier. Un aménagement globalement bien accueilli et qui correspond aux attentes des conseillers et des habitants.
L’Agenda 21 au cœur des conseils de quartier Dans le cadre de l’élaboration de son Agenda 21, la Ville de CherbourgOcteville a choisi d’engager une concertation très large : parmi les acteurs qui participeront à sa rédaction figure une douzaine de conseillers de quartier qui représenteront les habitants. Ceux-ci se sont portés volontaires au terme de la réunion de sensibilisation du 11 février. Tous participeront aux ateliers de travail et de réflexion qui se dérouleront en plusieurs phases, la prochaine séance étant
fixée en mai pour compléter le diagnostic développement durable établi par une entreprise extérieure. «L’écriture d’un Agenda 21 d’une ville ne peut se réaliser sans la participation de tous, explique Liliane Loisel, maireadjointe au développement durable et à l’Agenda 21. Les réunions doivent favoriser l’échange entre des personnes dont la fonction ou le métier peuvent être radicalement différents. Nous avons donc tout
naturellement demandé aux conseils de quartier de s’impliquer dans la réflexion sur l’Agenda 21. Il faut que les fiches actions que nous allons mettre en place reflètent au mieux les attentes des habitants.» Si vous avez des suggestions concernant le développement durable, n’hésitez pas à en faire part à Claire Garénaux, chargée de mission pour la Ville, au 02 33 87 88 64 ou claire.garenaux@ville-cherbourg.fr
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Evénement
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Presqu’île en Fleurs voit la vie en roses
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Rendez-vous les 8 et 9 mai au Château des Ravalet pour la quatrième édition de Presqu’île en Fleurs placée cette année sous le signe de la rose et, plus précisément, la Rose de la Renaissance.
Retrou sur Fra Une quarantaine de pépiniéristes est attendue dont de nouveaux venus spécialistes des plantes grimpantes, des fougères botaniques...
Tous les deux ans depuis 2004, Presqu’île en Fleurs rassemble au cœur du parc de quatorze hectares du Château des Ravalet les amoureux des plantes, les paysagistes amateurs et les jardiniers en herbe. Cette manifestation botanique accueillera cette année encore près d’une quarantaine de producteurs, sélectionnés avec soin dans toute la France par le service embellissement de Cherbourg-Octeville pour la
qualité de leurs plantes mais aussi pour la variété des végétaux qu’ils proposent : spécialistes des hydrangeas, des plantes australes, des plantes épiphytes, des semences biologiques... Installés sur la prairie, certains pépiniéristes font désormais partie des habitués, avec un public de fidèles, mais l’édition 2010 réservera aussi quelques surprises comme la Pépinière Javoy et ses plantes grimpantes et clématites, Les Jardins d'écoute s'il pleut, spécialistes des
Presqu’île en Fleurs côté pratique Presqu’île en Fleurs sera ouvert au public de 10h à 19h, les 8 et 9 mai dans le parc du Château des Ravalet, à Tourlaville. L’entrée est libre et six parkings gratuits seront à votre disposition. Une circulation en sens unique sera mise en place afin de faciliter les déplacements. Comme les années précédentes, la Ville met gratuitement à votre disposition une consigne à plantes ainsi qu’un système de brouettage jusqu’à votre véhicule. Sur place, vous trouverez des stands pour vous restaurer et les amateurs de thé et de boissons chaudes pourront s’installer sur la terrasse du salon de thé La Tour de l’Horloge. Contact : Anne-Marie Heuvet au 02 33 87 89 19
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fougères botaniques et rustiques, La Chapelle des Pots et ses citronniers, oliviers et palmiers ou encore Les fleurs farfelues, spécialisé dans les hydrangeas...
La Rose à la Renaissance Après la création d’un jardin des vents en 2004, la reconstitution d’un jardin carolingien en 2006, et le voyage au cœur des jardins du Moyen-Âge en 2008, les jardiniers de la Ville vous emmènent cette fois-ci découvrir le jardin de la Renaissance et ses mille et une roses. Et pour tout savoir sur les roses anciennes, venez participer aux conférences de Daniel Lemonnier, spécialiste des roses anciennes et normandes. Les associations locales proposeront également de nombreuses animations et stands autour du thème de la rose. Parallèlement, la Ville renouvelle son invitation au Kingston Maurward College, lycée agricole anglais du
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Presqu’île en Fleurs voit la vie en roses
Evénement Deux jours d’animations
Retrouvez Presqu’île en Fleurs le 5 mai dans le supplément de la Presse de la Manche et le 8 mai en direct sur France Bleu Cotentin (100.7) de 9h à 11h30.
Dorchester qui avait déjà fait sensation en 2008 grâce à son forgeron. Le lycée horticole de Coutances sera également présent sur le stand.
Rendez-vous donc les 8 et 9 mai au château des Ravalet pour un weekend animé où plus de 20 000 visiteurs sont attendus.
Pour tout savoir sur les roses Daniel Lemonnier, spécialiste des roses, proposera quatre conférences – les samedi et dimanche de 11h à 16h – au rez-de-chaussée du Château des Ravalet. Il y abordera l’histoire de la rose normande ainsi que l’évolution de la rose, de la Renaissance à nos jours.
Les amoureux de la rose pourront également lui rendre visite à la roseraie “Roses de Normandie” à Beaumont-LeHareng (76) ou aussi découvrir le Jardin des oubliés de Balleroy, créé en 1987 par Eric Lenoir, autre spécialiste régional de la rose.
A proximité du jardin de la Renaissance créé par les jardiniers municipaux, quatre associations locales proposeront des jeux, des expositions, des animations, des quiz… sur le thème de la rose, ou plus largement de la Renaissance. Vous pourrez ainsi découvrir l’exposition et le jeu concours organisé par l’association Art et Jardins du Cotentin, des démonstrations de taille et les conseils des Jardiniers de France, les fossiles végétaux de Fresville Fossiles et la reconstitution d’un jardin japonais à l’époque de la Renaissance proposée par Val de Saire Bonsaï. Au rez-de-chaussée du Château des Ravalet, l’association Art et bouquet d’Avranches présentera une exposition d’art floral autour du thème de la Renaissance. Enfin, les visiteurs découvriront à travers le parc des «Paroles de roses». Ces banderoles, élaborées par la Ville de Cherbourg-Octeville, expliqueront comment la rose a inspiré les poètes, les écrivains et les philosophes et reviendront sur son omniprésence dans la littérature. Deux concours-jeux de piste seront organisés. Venez y participer.
Aux arbres et caetera... er
Du 1 au 31 mai, le peintre Jean-Philippe Burnel et le photographe Norbert Hardy exposent leurs Arbres remarquables dans les communs du Château des Ravalet. Un travail issu de longs mois d’observations et de vadrouilles dans le Nord-Cotentin à la recherche de ces végétaux d’exception. «Nous avons retenu quinze arbres, certains inscrits à l’inventaire des arbres remarquables, d’autres simplement exceptionnels pour nous, en raison de leur forme ou de leur monumentalité,
explique Jean-Philippe Burnel. Nous avons également voulu rendre compte de la variété des essences qui cohabitent autour de Cherbourg-Octeville.» Peint et photographié, chaque arbre a également fait l’objet d’un texte. «Nous avons
laissé le soin à André Servant de sélectionner 15 auteurs qui doivent chacun écrire sur un arbre», poursuit le photographe. Parmi eux : Serge Mauger, Emmanuel Besnier… Objectif : proposer trois visions artistiques différentes interrogeant sur la place de l’arbre dans la nature. L’exposition sera accompagnée d’un catalogue, édité par Angles et Perspectives et disponible sur place.
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Le théâtre amateur sous les feux de la rampe
Sur les traces de Millet Dans le cadre du festival Normandie Impressionniste, le musée d’art ThomasHenry rendra hommage à Jean-François Millet, l’enfant du pays, à travers l’exposition Millet, à l’aube de l’impressionnisme. Peintures, dessins et pastels provenant des collections du musée et de prêts exceptionnels, dont L’église de Gréville, exposée au Musée d’Orsay, vous permettront de découvrir un aspect méconnu du travail du peintre de l’Angélus : le paysage. En effet, Millet n’a eu de cesse de représenter, sa vie durant, les chemins de son enfance, des roches du Castel Vendon à la côte, en passant par l’église de Gréville ou la vallée de Vauville. Cette promenade picturale sera enrichie, les week-ends, d’un programme d’animations et de conférences.
Millet, à l’aube de l’impressionnisme, du 18 juin au 5 septembre 2010, galerie des expositions temporaires du musée d’art Thomas-Henry. Entrée gratuite.
Le théâtre amateur bas-normand a rendez-vous les 21, 22 et 23 mai à CherbourgOcteville pour la 16e édition des Téméraires. Accueillies au Vox et au théâtre de la Butte par les techniciens de la Scène nationale, de la Ville et toute l’équipe de la Maison des Jeunes et de la Culture, les quelque vingt troupes sélectionnées présenteront au grand public leurs spectacles dans des conditions professionnelles. «Le but de ces rencontres est de permettre aux compagnies amateurs de se confronter aux réalités du monde du spectacle, explique Stéphanie Vernet, directrice de la MJC qui organise les Téméraires. Et le concept plaît puisque depuis deux ans, ces rencontres sont ouvertes à toutes les troupes de Basse-Normandie». Mais les objectifs du festival ne s’arrêtent pas là. «Nous avons également pour ambition de faciliter les rencontres entre professionnels, amateurs et spectateurs. C’est pourquoi, chaque année, un ou deux conseillers techniques suivent les spectacles et animent, le dimanche matin, un échange autour des questions liées à la pratique théâtrale.» Au total, une cinquantaine de brèves et de pièces de théâtre a été reçue par l’organisation. «Les propositions artistiques sont extrêmement variées, poursuit la directrice de la MJC. Certaines compagnies proposent des tragédies, d’autres des comédies, certaines préfèrent le répertoire classique, d’autres enfin donnent leur chance aux auteurs contemporains.» A vos agendas ! Contact : MJC Centre au 02 33 53 31 72 ou centre@mjc-cherbourg.com
Une nuit au musée Samedi 15 mai, le musée d’art ThomasHenry participe à la 6e Nuit des musées, manifestation nationale qui permet au grand public de découvrir, le temps d’une soirée, son patrimoine de façon nocturne et insolite. De 20h à minuit, le musée ThomasHenry de Cherbourg-Octeville vous dévoile ses coulisses. L’occasion de découvrir l’exposition éphémère Trésors cachés des réserves ou les coups de cœur de l’équipe du musée, réunissant une
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sélection d’œuvres présentée en exclusivité aux visiteurs. Vous pourrez aussi effectuer une visite insolite sur la vie secrète des œuvres, rencontrer un restaurateur qui présentera les dessous de son métier, comprendre comment s’enrichissent les collections, échanger autour d’un buffet amical et, bien entendu, vous promener de nuit dans les salles. Contact : Musée d’art Thomas-Henry au 02 33 23 39 30
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Le voyage forme la jeunesse
Culture Quand spectacle rime avec jardin
Du 27 au 30 mai, la plage verte accueille la 23e édition du festival du livre de jeunesse et de bande dessinée autour du thème «Prendre le large, prendre le nord». Un rendez-vous soutenu depuis sa création par la Ville de CherbourgOcteville et que près de 10 000 visiteurs ne manqueraient pour rien au monde. «Chaque année, le festival est l’occasion de découvrir des expositions étonnantes, de participer à des ateliers et de rencontrer et échanger avec la quarantaine d’auteurs, de dessinateurs et de plasticiens invités», explique Catherine Gentile à la tête de l’organisation de cet événement. Des échanges que nombre d’élèves de la maternelle au collège ont déjà expérimentés avec leurs enseignants. «Notre collaboration avec le corps enseignant est de plus en plus importante : beaucoup participent à la sélection des livres et la plupart travaillent ensuite sur les ouvrages sélectionnés avec leur classe, soit à travers des ateliers d’écriture, soit au cours d’ateliers d’arts plastiques…, poursuit Catherine Gentile. Le festival vient clôturer ce travail lorsque les auteurs rencontrent les élèves.» Festival du livre de jeunesse et de bande dessinée, du 27 au 30 mai, plage verte.
L’œuvre du mois, c’est reparti ! Avis aux nostalgiques de la conférence mensuelle “L’œuvre du mois” : la nouvelle conservatrice, Louise Le Gall, a repris le concept et proposera le premier dimanche de chaque mois à 16h la visite guidée d’un chef d’œuvre ou d’une œuvre méconnue du musée d’art Thomas-Henry. Plongez dans le contexte historique de création de cette toile ou sculpture, découvrez les secrets de son histoire, les faits marquants de la vie de son auteur, familiarisez-vous avec les techniques utilisées… et formez ainsi votre œil.
Rendez-vous le dimanche 2 mai à 16h pour tout savoir sur la formation des peintres au XIXe siècle et comment chacun a trouvé son style autour du Patrocle de Jacques-Louis David, puis le dimanche 6 juin à 16h pour mener l’enquête sur l’un des tableaux les plus énigmatiques du musée, La conversion de Saint-Augustin de Fra Angelico. Chaque visite dure environ 45 minutes et l’entrée est libre.
Pour la troisième édition de son temps fort “Toi cour, moi jardin”, Le TridentScène Nationale vous invite à découvrir sept propositions artistiques aussi originales qu’éclectiques. Spectacles en plein air au cœur du parc des Ravalet, dîner en famille ou entre amis en compagnie de Julien et Marguerite Ravalet dans votre propre maison, retour au tribunal d’instance de Cherbourg pour le procès de la truie de Falaise ou l’excommunication des sauterelles de Troie, ballet d’étourneaux, corneilles et autres perruches au sein du théâtre de la Butte… il y en a pour tous les goûts. Venez fêter l’arrivée de l’été dans les jardins de la Ville ! “Toi cour, moi jardin”, du 26 mai au 12 juin. Programmation complète dans le programme du Trident-scène nationale.
La salle des fêtes à l’heure de l’art contemporain Du 22 au 25 avril, la salle des fêtes de Cherbourg-Octeville accueille la 16e édition de l’exposition d’art contemporain Passage à l’art. Organisée par l’association Art’n Co, cette manifestation invite chaque année une dizaine d’artistes venus de toute la France à exposer leurs dessins, peintures, sculptures, céramiques et autres œuvres d’art. L’occasion de découvrir ce qui se fait aujourd’hui et d’échanger avec les artistes qui restent sur place pendant toute la durée de l’exposition. Pratique : exposition ouverte du 22 au 25 avril, de 14h à 20h. Nocturne le samedi 24 avril jusqu’à 22h. Entrée libre.
Contact : Musée d’art Thomas-Henry au 02 33 23 39 30
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Groupement d’employeurs : trente emplois à la clé
Votre entreprise a besoin de personnel qualifié quelques heures seulement par semaine ? Grâce au groupement d’employeurs qu’anime Véronique Hervieu, il pourra non seulement travailler chez vous mais aussi bénéficier d’un CDI ! Le premier groupement d’employeurs de CherbourgOcteville est animé par Véronique Hervieu.
Née à Cherbourg, Véronique Hervieu a occupé divers postes en France avant de découvrir à Nantes son premier groupement d’employeurs. Très vite, elle est conquise par la formule. «Ce principe est né dans le monde agricole au milieu des années quatre-vingt et s’est étendu par la suite au secteur industriel, explique-t-elle. Il repose sur un partage des compétences.» En effet, beaucoup de PME ont besoin d’employés qualifiés mais pour un temps limité par semaine. C’est le cas de métiers comme les graphistes, les comptables indépendants, les webmasters… Si leurs compétences sont indispensables au bon fonctionnement de la plupart des entreprises, elles ne nécessitent cependant pas un emploi à plein temps, notamment dans les petites structures. En outre, trouver une personne qualifiée qui accepte de travailler un ou deux jours par semaine est pratiquement impossible. D’où le groupement d’employeurs. Celui-ci analyse les besoins des entreprises et les compétences disponibles dans le bassin
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d’emploi et propose des solutions qui conviennent aux deux parties.
Priorité aux sans emploi A Cherbourg-Octeville, Véronique Hervieu travaille depuis octobre dernier sur un projet de groupement d’employeurs. Elle a rencontré les responsables de la Maison pour l’emploi et la formation qui ont accepté de l’héberger. La jeune femme est aussitôt partie à la rencontre des éventuels employeurs. Actuellement, elle a réuni une quinzaine d’entreprises, comme la fondation Bon Sauveur ou Facnor, et beaucoup d’autres sociétés se disent très intéressées.
«Je me suis fixé comme objectif d’employer trente personnes en CDI d’ici trois ans. Je privilégie les gens au chômage ou bénéficiant du statut d’auto entrepreneur. Je compte aussi favoriser les personnes qui ont un certain âge et qui sont privées d’emploi : beaucoup d’entreprises refusent de les embaucher à temps plein car leur expérience coûte plus cher, mais la plupart seraient tout à
fait favorable à les employer une journée ou deux par semaine», poursuit Véronique Hervieu qui sait qu’ailleurs cette initiative fonctionne. En Bretagne, par exemple, où cette technique est developpée depuis plusieurs années et où certains groupements comptent jusqu’à 800 salariés et 300 entreprises. La Manche, à ce jour, ne pouvait s’appuyer que sur un groupement d’employeurs spécialisé dans la conchyliculture. Si vous avez des compétences spécifiques à proposer ou si, à l’inverse, vous recherchez du personnel très pointu plusieurs heures par semaine, vous pouvez contacter Véronique Hervieu au 02 33 01 64 50.
1er mai : les marchés sont annulés Samedi 1er mai, le marché aux puces qui se déroule habituellement place des Moulins, place de la Révolution, rue d’Espagne et parvis de la basilique Saint-Trinité ainsi que le marché installé place centrale et place de Gaulle sont annulés.
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Dossier La Ville fleurit durablement Dans le cadre de ses engagements en faveur du développement durable, la Ville de Cherbourg-Octeville passe au fleurissement durable : plus de 500 variétés de vivaces et arbustes seront plantées ce printemps dans les massifs de la ville.
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Dossier En 2010, la Ville franchit un nouveau cap en matière de développement durable : elle passe au fleurissement durable. En mai, les jardiniers planteront 550 nouvelles variétés de vivaces et arbustes. A la clé, une plus grande biodiversité.
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Afin de lutter contre les ravageurs (les pucerons par exemple) en respectant l’environnement, la Ville a recours aux animaux dits auxiliaires, comme les larves de coccinelles.
Plus de 500 nouvelles variétés
plantes annuelles comme précédemment, les jardiniers planteront des vivaces qui ont une durée de vie de plusieurs années. Au total, plus de 500 nouvelles espèces de vivaces et arbustes seront plantées sur toute la commune, favorisant ainsi la biodiversité de la faune et de la flore. «Nous passons de près de 300 variétés à 548 mais nous diminuons le nombre de plants de 400 000 les années précédentes à 50 000 cette année, explique Dominique Poirier, directeur de l’embellissement. Par la suite, nous renouvellerons un tiers de nos plantes chaque année». L’objectif est d’améliorer les collections en permanence. Pour les jardiniers, cela signifie plus de travail de recherche : sur les associations de plantes, sur la résistance au climat, sur l’amélioration de la gamme… «A terme, nous souhaitons être autonomes. En conséquence, le travail des jardiniers va évoluer : moins de repiquage, moins de semis mais plus de bouturage, ce qui demande plus d’attention, plus de multiplications».
Cette année, la Ville passe au fleurissement durable, franchissant ainsi un nouveau cap dans son engagement en faveur de la préservation de l’environnement. Au lieu d’installer des
Aux vivaces, s’ajoutera près d’une cinquantaine d’arbres et arbustes dont des espèces rares : «Cela va dans l’objectif de constituer une ville arboretum, explique Bernard Cazeneuve.
Depuis plusieurs années déjà, la Ville s’est engagée dans une gestion durable de ses espaces verts. «La consommation en eau a été réduite de 40 % grâce à l’évolution des systèmes d’arrosage, la sélection d’espèces peu gourmandes en eau, le paillage systématique des parterres et l’installation de récupérateurs d’eau de pluie», souligne Yvan Dupont, conseiller municipal délégué à l’embellissement. De même, les jardiniers n’utilisent plus de produits phytosanitaires : «le passage au zéro phytosanitaire se traduit par un recours au désherbage manuel, moins radical que l’utilisation de désherbants. Il y a plus de végétation spontanée, nous laissons les herbes pousser, mais la ville n’est pas sale pour autant. Au contraire, nous préservons ainsi la biodiversité et la santé des habitants comme de nos jardiniers».
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Notre engagement en faveur de la gestion durable de nos espaces verts est essentiel : en tant que collectivité, nous devons montrer l’exemple». Un exemple que vient découvrir le service espaces verts de Rennes : en juin, une cinquantaine de jardiniers rennais visitera les serres municipales, le parc des Ravalet, les nouveaux espaces comme le Nivernais pour étudier le choix de vivaces réalisé par la Ville !
8 000 dahlias distribués Chaque année, la municipalité distribue plus de 8 000 plantes à ses habitants afin qu'ils participent au fleurissement de la ville. Jusqu'à présent, il s'agissait de géraniums. Désormais, le service espaces verts offre des vivaces. En 2010, le choix s’est porté sur des dahlias aux couleurs chatoyantes. «Il s’agit du Dahlia opera. Un dahlia rustique qui monte à 30 cm avec une petite fleur», précise Frédéric Galbadon, responsable des serres municipales. Mais les jardiniers espèrent pouvoir proposer chaque année de nouvelles espèces cultivées au sein des serres municipales, et pourquoi pas des agapanthes.
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Ville a La Ville s’engage dans une gestion durable de ses espaces verts et plantera ce printemps plus de 500 variétés de vivaces et arbustes.
Planter des vivaces implique de réfléchir autrement les parterres. Le choix de ces nouvelles plantes a été effectué principalement en fonction de leur adaptation au climat local, de leur floraison importante (3 à 4 semaines) et de leurs couleurs. «L’objectif est d’avoir une floraison qui s’étale et s’enchaîne, précise Frédéric Galbadon, responsable des serres municipales. Nous aurons une floraison printanière avec les hellébores ou roses de Noël, des euphorbes, des plantes de rocaille tapissantes comme les aubrietas,… puis une floraison estivale avec les sauges, les lobélias...».
Mariage de plantes locales et exotiques Pour avoir des parterres colorés et touffus, les jardiniers mixent plantes classiques genre asters, crocosmias,
agastaches… et plantes de l’hémisphère sud comme les echiums, les agapanthes, les ligulaires… «Nous allons jouer avec les coloris en respectant les accords de couleurs dans les massifs (pas de couleurs froides avec des couleurs chaudes) mais nous travaillons aussi sur les formes et couleurs de feuillage». Ainsi sedums, hostas et heuchères ont été sélectionnés pour leur feuillage mettant en valeur les autres végétaux. Ils seront associés à des graminées vivaces (Carex, Miscanthus) qui apportent de la légèreté dans les massifs.
«Jusqu’à présent, nous avions un fleurissement annuel prestigieux et chatoyant qui nous avait permis d’obtenir les 4 fleurs, remarque Yvan Dupont, conseiller municipal délégué à l’embellissement. La plantation de vivaces nous oblige à penser autrement. Cette année est une année test :
Temps de floraison, couleurs, élégance et architecture des feuillages, adaptation au climat… : autant de critères pris en compte pour élaborer les nouveaux parterres. Le nouveau mode de fleurissement change le mode de travail des jardiniers. nous allons voir si les variétés choisies s’adaptent bien, si les compositions sont appropriées… Nous en sommes aux prémices». Les jardiniers municipaux ont suivi un stage sur les vivaces avec Michel Gallet, meilleur ouvrier de France, qui avait déjà formé les équipes il y a dix ans.
La fin des suspensions Dans la continuité des actions engagées en matière de gestion durable des espaces verts, la Ville supprime ses bacs suspendus trop consommateurs d’eau et d’engrais. A la place, elle installe des plantes grimpantes : glycine comme sur la façade de l’hôtel de ville, place de la République, ou solanum au feuillage persistant et aux fleurs blanches ou bleues s’étalant de juin à octobre. Par ailleurs, les palmiers en bac seront replantés en ville lors de la réfection du centre piétonnier.
Paillage naturel Pour le paillage des massifs, pas de paille de chanvre ou d’écorces de pin qui ne sont pas des cultures locales : la Ville utilise désormais des graminées coupées comme le Miscanthus giganthus qui fournit un engrais naturel au sol tout en le protégeant du dessèchement. Des graminées garanties sans produit phytosanitaire et provenant d’un agriculteur de Bayeux ! Cette proximité limite la production de CO2 !
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Jardiner naturellement, c’est possible !
Abandonnez les pesticides et optez pour des solutions alternatives plus propres et plus économiques. Suivez le guide.
Réduisez vos déchets tout en obtenant naturellement un fertilisant de qualité pour votre jardin grâce à un composteur.
«Le pesticide, aussi appelé produit phytosanitaire, est un mélange de substances chimiques, rappelle Dominique Poirier, directeur du service embellissement de la Ville. Il regroupe les herbicides, les fongicides, les insecticides… et a le rôle d’éliminer les «mauvaises herbes», les maladies dues à des champignons et les parasites.» Mais celui-ci présente bien plus d’inconvénients que d’avantages : nocif pour les parasites, il l’est aussi pour le reste de la faune et de la flore du jardin. De plus, ces substances restent longtemps dans le sol et peuvent s’infiltrer dans les rivières et nappes phréatiques. Choisissez des solutions plus écologiques et moins onéreuses.
Désherbez naturellement Pour désherber votre jardin sans nuire à l’environnement, vous pouvez : - désherber manuellement, surtout un jour ensoleillé afin que les racines brûlent au soleil et ne puissent se réenraciner ; - désherber avec l’eau chaude de cuisson des pommes de terre : la chaleur et le sel possèdent tous les deux des
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propriétés désherbantes. Vous pouvez aussi anticiper en paillant vos massifs. Le paillage consiste à couvrir la terre et éviter ainsi la pousse des mauvaises herbes par suppression de la lumière. Cette technique permet également de limiter les arrosages, d’éviter le tassement de la terre, de favoriser la vie microbienne de la terre, de diminuer le risque de transmission des maladies et de protéger du gel. Différents types de paillage peuvent être utilisés : la tonte de pelouse (à utiliser avec modération), le broyat de branchage d’arbres et d’arbustes, les paillettes de lin ou de chanvre, la paille… Evitez ici l’écorce de pin ou de cacao qui renforce l’acidité de nos sols. Côté engrais, de nombreuses solutions écologiques existent aussi. Le compostage, par exemple. «Après décomposition par les microorganismes, les tontes en petite quantité, les feuilles mortes et autres déchets du jardin sont très bons pour toutes les plantations, explique Dominique Poirier. Il suffit d’alterner les couches de déchets organiques du jardin et de la cuisine. Au bout de 6 mois, vous pouvez l’utiliser en compost.»
Lutter contre les maladies et les ravageurs Certaines pratiques simples permettent de diminuer le risque de maladies dans son jardin. «Une des règles de base est de bien respecter l’espacement entre les plantes, explique Frédéric Galbadon, responsable des serres municipales. Celles-ci peuvent alors se développer normalement et ne sont pas fragilisées par une pousse en hauteur.» Et pour lutter contre les ravageurs, inutile d’aller chercher des pesticides : le paillage – à nouveau – enrichit naturellement le sol et permet ainsi de multiplier les micro-organismes qui s’y trouvent. Une défense naturelle qui permet d’éviter les niches de ravageurs et de champignons nocifs aux plantes. Vous pouvez également préparer du purin d’orties, véritable répulsif pour les pucerons, ou planter certaines espèces qui repoussent elles-aussi les ravageurs, comme les tagètes. Enfin, la présence de ravageurs attire naturellement les animaux dits auxiliaires : si leurs proies sont éliminées par les pesticides, le nombre d’auxiliaires diminue.
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Les parcs et jardins expliqués
Dossier Des fleurs dans tous les jardins !
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Chaque année, la Ville de Cherbourg-Octeville vous propose de découvrir gratuitement son patrimoine botanique à l’occasion du Mois des Jardins. Cette année, quatre rendez-vous sont programmés en mai, au moment où les floraisons sont les plus spectaculaires, pour vous faire (re)découvrir les parcs et jardins de la ville : Les jardins de l’ancien Hôpital des Armées Dimanche 2 mai à 14h30, rendez-vous devant l’entrée de l’ancien hôpital, rue de l’Abbaye. Le jardin public Dimanche 16 mai à 14h30, rendez-vous place Jacques Demy. La randonnée des jardins Dimanche 23 mai à 14h30, rendez-vous devant la mairie de la Butte. Le parc du château des Ravalet Dimanche 30 mai à 14h30, rendez-vous dans la cour du château. Contact : 02 33 87 89 19
Le jardin selon Gilles Clément Le 15 avril, la Ville de Cherbourg-Octeville reçoit le paysagiste de renommée internationale, Gilles Clément. Créateur du parc André Citroën à Paris (en collaboration), du parc Matisse à Lille, des jardins du château de Blois et, plus récemment, des jardins de l'Arche à la Défense et du jardin du Musée du Quai Branly, Gilles Clément conçoit des parcs et jardins qui changent imprévisiblement d’une saison à l’autre et d’une floraison à l’autre. Cet ingénieur horticole, écrivain, jardinier et enseignant, présentera les trois concepts dont il est l’auteur et qui ont révolutionné le monde du jardinage et du paysagisme : le jardin planétaire, le jardin en mouvement et le tiers paysage. «L’observation de la nature m’a fait prendre conscience que si nous connaissions mieux les espèces et leurs comportements, nous pouvions exploiter leurs capacités naturelles sans dépense excessive d’énergie», explique-t-il. Rendez-vous le 15 avril à l’Omnia à 20h30 pour en savoir plus. Entrée libre.
Depuis les années 1990, la Ville invite tous les Cherbourgeois-Octevillais à décorer leurs maisons, jardins, balcons et autres fenêtres lors du concours des maisons fleuries. «Ce concours a notamment contribué à obtenir la Quatrième Fleur il y a deux ans», explique Yvan Dupont, conseiller municipal délégué à l’embellissement. Cette année, le concours évolue et, dans la logique de préservation de la biodiversité engagée par la Ville, fait entrer des critères de développement durable pour pouvoir décrocher un prix. «Nous souhaitons que les participants soient dans une logique de respect de l’environ-nement et évitent les produits phytosanitaires. Nous prendrons donc en compte l’utilisation de composteur, de récupération d’eau de pluie…, poursuit le conseiller municipal. Ceux qui le souhaitent pourront d’ailleurs trouver des conseils auprès des professionnels municipaux à leur écoute les lundis et mercredis de 8h à 10h et les mardis et jeudis de 14h à 16h au 02 33 01 01 81.» Pour participer au concours, rien de plus simple : il suffit de retourner avant le 21 juin le bulletin d’inscription disponible sur les plaquettes éditées à l’occasion du concours. Un jury associant conseillers de quartier et services municipaux passera cet été pour sélectionner les maisons, balcons, fenêtres ou devantures les mieux fleuries. Une remise des prix en octobre récompensera les plus belles maisons mais aussi tous les participants pour leur implication dans l’embellissement de la ville. A vos pelles, pioches et râteaux ! Contact : Monique Hamel au 02 33 87 89 51 ou Emilie Jean au 02 33 87 88 98
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Les marchés
Chaque semaine, six marchés, regroupant jusqu’à 150 commerçants, rythment la vie des CherbourgeoisOctevillais. Fruits, légumes, bijoux, vêtements, produits du terroir…, il y en a pour tous les goûts !
Chaqu le parv
Le mardi, le jeudi et le samedi le marché s’installe place de Gaulle.
Installation du marché Dès potron-minet, les agents du service des droits de place sont à pied d’œuvre : activation des bornes électriques, ouverture des points d’eau pour le nettoyage en fin de marché, placement des commerçants passagers… Car si les abonnés disposent d’une place fixe, les commerçants qui viennent de façon occasionnelle sont placés en fonction de leurs étals et des endroits disponibles. Le tout avant 9h, heure officielle de l’ouverture des marchés.
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Le marché du jeudi Loin d’être figés, les marchés s’adaptent aux travaux et aux évolutions urbaines. Ainsi, le jeudi, les commerçants installés jusqu’à présent rues Collard et Vastel se sont déplacés sur la contre-allée parallèle à la rue Vastel. Pour autant, le marché compte toujours plus d’une centaine de commerçants, qui y vendent des fruits et légumes, fromages, et autres denrées alimentaires (place de Gaulle et devant la Poste), ainsi que des vêtements, de la vaisselle, des produits cosmétiques… (place centrale et devant la Poste).
Perception des droits de place Chaque commerçant doit s’acquitter d’une redevance d’occupation du domaine public, perçue par le service municipal des droits de place. Fixée en moyenne à 0,69 € le mètre linéaire, cette redevance comprend également la mise à disposition d’électricité, d’eau et d’égoût pour le nettoyage de fin de marché.
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Les marchés
Six marchés variés
Chaque premier samedi du mois, les particuliers peuvent vider leur grenier place des Moulins et sur le parvis de la Sainte Trintité lors du marché aux puces mensuel.
Samedi, marché de centre-ville Le marché du samedi, place centrale et place de Gaulle, de 8h30 à 13h, est particulièrement animé. Il réunit une centaine de commerçants. Vous y trouverez un large choix de fruits et légumes, de viandes et de fromages ainsi que quelques stands de fleurs. L’occasion aussi de profiter des terrasses ensoleillées de la place centrale.
Le dimanche, rendezvous aux Provinces Le marché du dimanche matin, aux Provinces, avenue de Normandie, réunit jusqu’à 150 commerçants. Un marché très fréquenté où vous trouverez fruits et légumes, vêtements, quincaillerie, volailles vivantes... Les visiteurs peuvent s’y rendre par la rue de Plymouth très souvent oubliée donc plus fluide et bénéficier de parkings place des Provinces ou rue de Franche Comté. Fin 2010, le marché devrait être modifié : les stands actuellement déployés sur la contre-allée parallèle à l’avenue de Normandie seront regroupés autour du parc Mendès-France.
Du mardi au dimanche, six marchés se succèdent sur Cherbourg-Octeville. Outre les gros marchés du jeudi, du samedi et du dimanche, vous avez rendez-vous le mardi place de Gaulle de 8h30 à 17h15 et le mercredi, Place Rossel et Brèche du Bois de 8h30 à 13h. Un marché aux puces est également organisé chaque premier samedi du mois de 8h à 18h sur la place des Moulins, la place de la Révolution, la rue d’Espagne et le parvis de la Basilique Ste-Trinité.
Un partenariat avec la CUC Le nettoyage des places et rues qui accueillent des étals est assuré par les services de la CUC. Dès la fermeture du marché, leurs camions bennes et balayeuses entament le ramassage des ordures qui peut monter, selon les jours et la saison, à 8 m3. La circulation est alors effectuée par la police municipale qui s’assure du bon déroulement de l’opération.
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En bref Apprenez les gestes qui sauvent ! Inscriptions scolaires 2010/2011 Du lundi 26 avril au vendredi 21 mai 2010, les inscriptions scolaires se dérouleront à la Mairie de la Butte, de 8h15 à 12h15 et sur rendez-vous l’après-midi. Pour les inscriptions, se munir du livret de famille, du carnet de vaccination à jour de l’enfant, d’un justificatif de domicile (facture EDF, de loyer ou de téléphone…), d’un certificat de radiation si l’enfant était déjà scolarisé ailleurs et du jugement de divorce ou de séparation s’il y a lieu. Pour l’inscription à la restauration scolaire ou pour les études surveillées (écoles Amont-Quentin, avenue de Paris, Dujardin, Gibert, primaire La Polle, Prévert, Tourville et Fraternité), se munir d’un justificatif de ressources (3 derniers bulletins de salaire, justificatif de RMI, ASSEDIC…), du dernier justificatif des prestations familiales, du dernier avis d’imposition ou de non imposition sur le revenu, d’un justificatif de domicile, du jugement de divorce ou de séparation s’il y a lieu et d’un certificat médical en cas d’allergie alimentaire. Pour l’accueil périscolaire en maternelle, se munir de la carte vitale ou attestation carte vitale, d’un justificatif de domicile, de la carte allocataire CAF, du nom et n° de téléphone du médecin traitant. Contact : service Education au 02 33 87 87 33
Une régate handisport Du 13 au 15 mai, l’Ecole de voile de Cherbourg-Octeville organise la coupe nationale Néo 4.95. Une régate handisport à laquelle participera une quinzaine d’équipages, constitués d’une personne valide et d’une personne en situation de handicap.
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Dans le cadre de la mise en place de défibrillateurs sur l’ensemble de son territoire, la Ville de Cherbourg-Octeville, la Croix-Rouge Française et l’association Cœur et Cancer organisent le samedi 19 juin une journée gratuite d’initiation aux premiers secours. Rendez-vous à l’hôtel de Ville ainsi que dans les trois espaces solidaires (Maisons Olympe de Gouges, Flora Tristan et Françoise Giroud) pour vous initier aux gestes qui sauvent : position latérale de sécurité, bouche à bouche, massage cardiaque, et, bien sûr, utilisation des défibrillateurs. L’initiation dure environ deux heures et se termine par la remise d’une attestation de suivi de formation. L’entrée est libre et les formations sont ouvertes à tous à partir de 7 ans. Contact : 02 33 87 87 60
La photo s’affiche salle des fêtes Du 20 mai au 13 juin, le Club Photo du Nord-Cotentin organise la 9e édition de son événement phare, le Mois de la Photo. Rendez-vous à la salle des fêtes de Cherbourg-Octeville pour découvrir le travail d’une centaine de photographes amateurs. Quelque 250 photos en couleur et
noir et blanc y seront exposées, dont une partie autour du thème retenu pour l’édition 2010, «L’homme au travail». Exposition ouverte du lundi au dimanche de 14h à 18h et le samedi de 10h à 12h et de 14h à 18h. Entrée libre.
Les secrets du cimetière de Cherbourg Didier Lecœur, guide conférencier de la Ville de Cherbourg-Octeville, publie Promenade dans le cimetière de Cherbourg aux éditions Isoète. Un ouvrage qui retrace en une centaine de pages les richesses patrimoniales du cimetière, des caveaux familiaux aux
bas-reliefs, en passant par les colonnes, pyramides et croix qui se dressent sur cette colline funéraire. Le livre est préfacé par Bernard Cazeneuve et richement illustré des peintures et dessins de l’artiste Jean-Philippe Burnel.
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Jardin de Cultures associe nature et création
Association Créée il y a un peu plus d’un an et animée par Valérie Gelineau, l’association Jardin de Cultures utilise le végétal comme outil artistique et pédagogique. Son objectif ? Favoriser la réflexion sur le développement durable et l’éco-citoyenneté.
Valérie Gélineau anime des ateliers d’écriture et d’arts plastiques qui tournent autour du monde végétal.
«Tous les supports, tous les moyens et tous les lieux sont bons pour sensibiliser les gens au développement durable et à l’éco-citoyenneté, affirme Valérie Gelineau, plasticienne et animatrice de l’association Jardin de Cultures. J’ai choisi de m’appuyer sur des ateliers d’art plastique et d’écriture qui tournent autour du monde végétal». Installée au sein de la Maison Olympe de Gouges, l’association Jardin de Cultures ne manque ni d’idées, ni de projets. Une première action a été menée d’avril à décembre 2009 dans le cadre de l’opération de renouvellement urbain avec les habitants du quartier. Pendant huit mois, ils se sont retrouvés régulièrement pour créer un jardin extraordinaire, vision idéalisée du futur aménagement du parc Mendès-France. Les œuvres, volumes et jeux créés ont été installés dans l’entrée de la Maison Olympe de Gouges pendant deux mois. Actuellement, l’association travaille avec le service embellissement de la ville pour créer plusieurs petits
espaces verts à proximité de l’école Baquesne. «Nous allons peindre des totems, créer des petites rocailles. Les enfants - ils sont une cinquantaine à participer au projet - choisiront euxmêmes les plantes qu’ils souhaitent voir pousser dans les serres municipales. On change ainsi, par petites touches, le regard des habitants et on apprend aux plus jeunes à regarder différemment la nature», souligne l’animatrice qui a encore d’autres projets dans ses cartons.
Une nouvelle vie pour les arbres L’association, en partenariat notamment avec la DRAC, envisage ainsi de créer une œuvre de land art au cœur d’un jardin ouvrier. «Je souhaiterais travailler sur des structures végétales, leur donner de la couleur et les associer à un univers plus cartésien comme le jardin ouvrier.» La décoration de la cafétéria de la Maison Olympe de Gouges fait aussi partie des projets. Valérie Gelineau aimerait bien utiliser un ou plusieurs
des arbres abattus dans le cadre du réaménagement du parc voisin afin de leur offrir une nouvelle vie et une fonction différente. «Nous associerons ainsi le passé et le futur, tout en conservant la trace de ce que fut cet espace vert.» L’association travaille également avec les écoles. Là encore, les projets sont variés selon les demandes des enseignants. «Nous pouvons aborder des thématiques aussi différentes que celles de l’arbre, de la peinture impressionniste, du jardin ou de la création artistique. Il nous est possible, par exemple, d’utiliser des morceaux de tissu et de les peindre en plaçant sous la toile des branches qui donnent du relief à la peinture. Dans tous les cas, cela permet d’évoquer avec les enfants des thèmes qui nous sont chers comme l’éco-citoyenneté, le développement durable ou la sauvegarde de la nature.» Contact : 06 15 13 16 97 ou jardindecultures@orange.fr
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Les enfants, premiers défenseurs de l’environnement
Une classe de CM1-CM2 de l’école des Roquettes planche depuis plusieurs mois sur la question du réchauffement climatique. Un sujet «citoyen» qui sert de base pour aborder le programme, des maths au français en passant par les sciences. Dans le cadre du projet qu’ils mènent avec leur classe sur le respect de l’environnement, les CM1-CM2 de l’école des Roquettes ont participé à la préparation d’un repas “développement durable”.
Depuis le début de l’année, Sophie Le Bourgeois, institutrice d’une classe de CM1-CM2 de l’école élémentaire des Roquettes, travaille avec ses élèves sur le respect de l’environnement. «Grâce notamment à l’analyse du film Home, les enfants ont compris que la lutte contre le réchauffement climatique passe par l’évolution de nos comportements individuels. Nous avons donc décidé d’organiser un repas collectif prenant en compte ces valeurs. Fin mars, nous avons invité parents et élus à venir déguster nos plats, la plupart bio, et élaborés à partir de produits locaux de saison.» Résultat : les enfants se révèlent être les meilleurs ambassadeurs auprès de leurs parents. «J’ai appris que ce sont désormais les premiers à regarder les étiquettes quand
les parents font leurs courses et à refuser de manger des fruits d’été en plein hiver. Ça, c’est vraiment gratifiant.» Pour autant, le programme scolaire est loin d’être oublié : ce projet sert de support pédagogique et permet d’aborder toutes sortes de notions au programme. «Pour organiser le repas, il a bien fallu écrire à la mairie, donc acquérir des notions de français, ou encore faire les comptes, ce qui nous a permis de travailler les divisions !» Et ce n’est pas tout. «C’est aussi l’occasion d’une éducation concrète à la citoyenneté. Chacun a participé à sa manière à l’organisation du repas, soit en cuisine, soit en salle, soit en faisant la vaisselle…» Autant dire évidemment que tout le monde adhère, à com-
Des assistantes maternelles apprenties metteurs en scène Pour la deuxième année consécutive, trois assistantes maternelles ont monté un spectacle, Petite feuille et le grand arbre, pour les enfants des crèches. Outre l’écriture du scénario, les assistantes maternelles ont également créé les décors et réalisé la mise en scène. L’occasion de faire découvrir aux enfants l’évolution de
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la nature au fil des saisons. Et si l’année dernière le spectacle de Noël écrit par ces assistantes maternelles s’adressait uniquement aux enfants de la crèche familiale, cette année, le spectacle a été produit aux P’tits Loups, au RAM et à la halte-garderie de la rue Paul Talluau et à la crèche parentale les Petits Marmots.
mencer par les parents d’élèves. A tel point que Sophie Le Bourgeois envisage de poursuivre cette démarche et réfléchit déjà à un projet plus ambitieux encore pour l’année prochaine…
Le graff s’invite à l’école Tourville Depuis quelques semaines, les murs du préau de l’école élémentaire Tourville arborent un nouveau et monumental graff. «Lorsque nous avons demandé à la Ville de repeindre notre préau, Daniel Jouanne, maire-adjoint à l’éducation, nous a suggéré de nous associer à la MJC la Brèche pour qu’elle réalise un graff», explique Denis Morvan, directeur de l’école élémentaire Tourville. Aussitôt dit, aussitôt fait. Quatre jeunes, encadrés par Mickaël Rabay, se sont rendus à l’école et ont rencontré les élèves de CM2 pour leur présenter l’art du graff. Les enfants ont ensuite travaillé avec leurs enseignants sur le choix du sujet à peindre. Et c’est le thème de la mer qui a été retenu avec ses poissons et son voilier faisant référence à l’amiral Tourville.
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Tribunes de l’opposition Changements La liste Changements n'a pas souhaité s'exprimer.
Cherbourg-Octeville, un nouveau cap Il faut assumer ses choix On se désole… A juste raison. Car, depuis que Cherbourg n’est plus l’une des trois régions maritimes que comptait la métropole, mais qu’elle a été rétrogradée au rang d’arrondissement maritime, tout a commencé à ficher le camp. Fort logiquement. Les grandes directions d’une région maritime avec leurs officiers généraux, les effectifs, les bâtiments, et donc les emplois, ont fondu. Aujourd’hui, on s’interroge sur l’école atomique, haut lieu de formations interarmes, dont la réputation pourtant n’est plus à démontrer. Entre temps, l’arsenal, devenu DCN, puis DCNS, s’effiloche sans cesse. Au point que son avenir est posé. Il y a toujours eu des tentatives, y compris au XIXe siècle, pour réduire l’importance du port militaire de Cherbourg. Elles n’auront jamais abouti. La ville et la marine vivaient en communion. Et puis, il y a eu le triste jour du retour du Redoutable dans son port constructeur. Cette imbécile manifestation contre les participants au dernier voyage, des amiraux pour la plupart, anciens commandants du submersible, bombardés d’oranges et d’objets divers, qui se sont promis qu’il n’y aurait pas de pardon. D’autant plus que, solidaires, les politiques de l’époque, en ont remis une couche car, voyez-vous, à Cherbourg, on est comme ça. Dans l’erreur et l’impolitesse, c’est jusqu’au bout. Depuis, les jeux politiques conduisent à ce que ce soit le nucléaire qui soit désormais de plus en plus contesté, ou soutenu du bout des lèvres, pour cause d’alliance avec les écologistes, indispensables au maintien de toute majorité du parti socialiste sur la ville. Alors, on se désole lorsque des menaces se font jour sur nos équipements de pointe, tels l’arsenal, l’école atomique, demain d’autres structures. Il faut assumer ses choix. Et pour garder le pouvoir, on voit bien que la tendance est au compromis qui joue économiquement à fond contre notre région, particulièrement le Cotentin. Evidemment, on peut tout remplacer par de nouvelles industries porteuses d’avenir et créatrices d’emplois à forte rémunération. Mais, si la gauche au pouvoir, à CherbourgOcteville depuis près de 40 ans, en était capable, ça se saurait.
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Liste «Changements» (UMP) : Hervé Corbin, Alain Estève, Régine Villedieu
Liste «Pour un nouveau cap» (UMP) : Géraldine Morlet, Jean Levallois, Sophie Héry, Fabrice Huet
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Le jumelage avec Bremerhaven a 50 ans !
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Cinquante ans de jumelage entre Cherbourg-Octeville et Bremerhaven, cela se fête ! Rendez-vous le 8 mai pour une soirée musicale au répertoire germanique.
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Les quais de Bremerhaven, ville maritime.
Du 6 au 8 mai, la Ville de CherbourgOcteville fête le 50e anniversaire du jumelage avec Bremerhaven, avec une délégation d’élus allemands. Au programme : trois jours de visites et de rencontres. La commémoration du 8 mai sera suivie de la découverte de Presqu’île en Fleurs au Château des Ravalet avec une visite dans le Val de Saire. Afin de fêter l’événement, la direction des relations internationales de la Ville a imaginé une grande soirée festive le 8 mai, salle des fêtes. «Nous voulons que les habitants se sentent impliqués, explique Jean-Claude Magalhaes, maire-adjoint aux relations internationales. Nous organisons donc une soirée avec trois concerts.»
Une soirée festive La soirée débutera à 20h avec le concert de Françoise Colson, chanteuse originaire du Nord-Cotentin qui interprètera notamment son répertoire allemand. Elle cèdera sa place au groupe allemand Bremerhaven’s singing sail makers et leur musique
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typique du nord de l’Allemagne. «Cette soirée doit permettre aux Cherbourgeois-Octevillais de s’initier à la culture allemande et d’en découvrir les traditions musicales, poursuit le maire-adjoint. Nous sommes très fiers d’accueillir les Bremerhaven’s singing sail makers. Ce trio originaire de Bremerhaven est célèbre pour ses réinterprétations des chansons de Lale Andersen, chanteuse du milieu du XXe siècle réputée pour son répertoire maritime et sa célèbre chanson Lili Marleen.» La soirée se terminera avec le groupe A fond d’cale bien connu dans la région pour l’ambiance rock et festive qu’il distille à chaque concert. Les établissements scolaires de la ville fêteront également les 50 ans du jumelage : pour l’occasion, la Ville s’associe à Images d’Outre-Rhin pour proposer aux collégiens et lycéens étudiant l’allemand la projection à l’Odéon d’un film allemand. Un échange est également en cours de développement entre le lycée Tocqueville et le lycée Schulzentrum Geschwister Scholl de Bremerhaven :
les lycéens français se rendront en Allemagne fin 2010 et accueilleront leurs homologues allemands début 2011.
Lancement du défi Transmanche Le 21 mai, le comité de jumelage de Poole se rendra à Cherbourg-Octeville pour lancer le Challenge défi Transmanche ou Cross Channel Challenge. Imaginé à l’automne dernier, ce Challenge doit permettre de renforcer les liens qui unissent notre ville à Poole. «Jusqu’en mai 2011, les clubs participants s’affronteront sportivement pour récolter le plus de points possibles. Nos deux populations se rencontreront donc régulièrement, autour d’un objectif commun : remporter le trophée !», explique JeanClaude Magalhaes, maire-adjoint aux relations internationales. Ce Challenge est ouvert à toutes les associations sportives, quel que soit l’âge de leurs membres. Celles qui souhaitent participer à ce défi peuvent contacter la direction des relations internationales au 02 33 87 88 87.
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La fanfare des pompiers défend les couleurs de la ville
Loisirs Composée de plus de 30 musiciens, la batterie-fanfare des pompiers de Cherbourg-Octeville assure une douzaine de concerts par an, dans la région mais aussi bien au-delà. Elle offre surtout la possibilité de s’initier à la musique.
Cette année encore, la batterie fanfare des pompiers participera aux festivités de la Sainte-Echelle.
«Moyennant une cotisation annuelle de 10 €, nous permettons à chacun de découvrir un instrument et de venir jouer avec nous». C’est sans doute la plus grande fierté de Sylvain Lacour, président de l’association de la batterie-fanfare des sapeurs-pompiers de la CUC qui a pris, il y a deux ans, la succession de son père. «Dans la continuité !, revendique-t-il. Notre objectif est de permettre à chacun, quels que soient ses moyens, d’avoir accès à la musique. Qui veut vient…» Et il n’y a pas besoin de savoir jouer d’un instrument, ni même d’en avoir un. On vous les prête. «Nous avons même désormais un intervenant qui assure une formation en solfège. Progressivement, les nouveaux arrivants sont intégrés à nos répétitions et participent pleinement à nos prestations.» Car la fanfare cherbourgeoise se produit environ une fois par mois, en Bretagne, en Haute-Normandie ou encore dans les Pays de Loire. «Localement, nous sommes évidemment très attachés aux cérémonies républicaines ou encore à la Sainte-
Echelle. Mais on peut intervenir dans des contextes très différents.»
Un répertoire varié Le répertoire de cet ensemble très soudé est d’ailleurs révélateur de cette diversité : «on peut jouer du jazz, du rock ou encore de la samba.» Mais on sent surtout à quel point la musique est d’abord un fabuleux prétexte à l’échange. «Tous les âges sont dans la fanfare, de 12 à 70 ans ! Nous nous retrouvons tous les mardis soir dans une salle de la pépinière d’entreprises, rue des Tanneries. Il n’est pas rare en plus que nous répétions le week-end, notamment les veilles de sortie. C’est important puisqu’à l’extérieur, nous défendons un peu l’image de la région.» Une image toujours très attachée au centre des pompiers de Cherbourg-Octeville. Même si, paradoxalement, la fanfare ne compte plus aujourd’hui de pompiers dans ses rangs ! Contact : 06 62 17 27 05
Sainte-Echelle : la Butte en fête Du jeudi 13 au dimanche 16 mai, Cherbourg-Octeville vivra au rythme de la Sainte-Echelle. Un rendez-vous annuel convivial et festif qui réunit chaque année les habitants autour de concerts et défilés en musique, d’une grande parade le jeudi après-midi avec majorettes et fanfares, d’une exposition de peintres amateurs et d’une fête foraine. Les festivités démarreront le jeudi avec l’ouverture, salle Montécot, du Salon de la Butte où seront exposées peintures et photographies d’artistes locaux. Le samedi soir, à partir de 21h, petits et grands pourront récupérer leurs lampions pour le défilé aux flambeaux (rendez-vous à l’Accueil de jour, rue Becquerel) qui précèdera le feu d’artifice prévu sur le stade Jean Tesson à la nuit tombée. La manifestation se terminera par le traditionnel vide-greniers de la Sainte-Echelle le dimanche de 8h à 18h, rue Roger Salengro et place des Justes. Pour y participer, il suffit de s’adresser le jour même à la Police Municipale. L’emplacement est gratuit ! Contact : 02 33 87 88 33
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Quarante-six nouveaux logements inaugurés
Rue de l’Abbaye, Hauts de Quincampoix, Impasse Tellier : le bailleur social Presqu’Ile Habitat propose 46 nouveaux logements construits ou réhabilités dans le cadre de l’Opération de renouvellement urbain. Présentation. Au centre, Bernard Cazeneuve, Député-Maire de Cherbourg-Octeville, et Daniel Lereculey, président de Presqu’Ile Habitat, lors de l’inauguration de l’Impasse Tellier.
Sur les logeme
Suite aux démolitions de l’AmontQuentin en 2007 et 2008, le bailleur social Presqu’Ile Habitat a initié un vaste programme de reconstitution de l’offre de logements. «Pour chaque logement démoli, nous nous sommes engagés à en reconstruire un, précise Daniel Lereculey, président de Presqu’Ile Habitat. De même, nous réservons 50% de ces logements sociaux aux familles de l’AmontQuentin ou des quartiers situés dans le périmètre de la zone ORU.»
Plusieurs chantiers ont donc été lancés aux quatre coins de la ville. Aujourd’hui, les travaux des Hauts de Quincampoix, de la rue de l’Abbaye et de l’Impasse Tellier sont terminés, permettant à 46 familles de s’installer dans des logements de qualité. Les trois ensembles ont été inaugurés en février dernier. Sur les Hauts de Quincampoix, 30 nouveaux logements ont été construits et sont loués depuis mi-août 2009. «Cette opération fait partie
La Maison-Relais Julie Postel Conçues sur le modèle des pensions de famille, les Maisons-Relais sont des logements sociaux destinés aux personnes exclues, en réinsertion ou fragilisées par un handicap. La Maison Julie Postel, qui a ouvert ses portes en février dernier, rue de la Bucaille à Cherbourg-Octeville, est la première Maison-Relais de la Manche. Gérée par l’association Habitat et Humanisme, elle sera dotée, dès la fin de l’année 2010, de 19 studios et pourra accueillir 23 résidants qui resteront dans les logements aussi longtemps qu’ils le souhaitent. Objectifs : offrir un cadre convivial et rassurant pour parvenir à un
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rythme de vie régulier, rompre l’isolement et nouer des liens avec autrui. Tous bénéficieront de l’accompagnement de la maîtresse de maison, du gardien et des bénévoles de l’association qui les aideront dans leurs démarches pour trouver un emploi, un logement social… Un projet soutenu par la Ville de Cherbourg-Octeville et par la Communauté urbaine. L’association recherche également des bénévoles. Contact : 02 33 44 24 04
intégrante du programme de redynamisation du quartier, explique Bernard Cazeneuve, Député-Maire de Cherbourg-Octeville. Elle complète les offres proposées par l’hôtel d’entreprises et l’EHPAD public en cours de construction.»
Améliorer votre habitat Dans le cadre de l’opération programmée d’amélioration de l’habitat lancée en 2009 et afin de remettre sur le marché des logements vacants, lutter contre le logement indigne et inciter aux économies d’énergie, l’Agence nationale de l'habitat et la CUC notamment accordent des subventions pour la réhabilitation et l’amélioration des résidences principales de plus de 15 ans. Celles-ci peuvent être attribuées aux propriétaires, qu’ils louent ou qu’ils occupent la résidence, en fonction du niveau de ressources, mais aussi aux syndicats de copropriétés pour des travaux sur les parties communes. Peuvent aussi être concernés les propriétaires ou gérants d’hôtels meublés. Contact : CDHAT au 02 33 01 72 78 ou agence.cherbourg@cdhat.fr www.cdhat.fr
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Quarante-six nouveaux logements inaugurés
Travaux La Ville participe au ravalement des façades
dent Sur les Hauts de Quincampoix, 30 nouveaux logements ont été inaugurés en février dernier.
Rue de l’Abbaye, Presqu’Ile Habitat a réhabilité un immeuble, aboutissant à la création de cinq logements : trois F2, dont un adapté aux personnes à mobilité réduite, un F3 et une maison de type F2 dans la cour intérieure. Une réhabilitation menée dans le cadre de l’Opération Programmée d’Amélioration de l’Habitat dont l’objectif est de favoriser la construction d’îlots d’habitation en centre-ville.
Développement durable et insertion Impasse Tellier, 11 logements (3 F2, 5 F3 et 3 F4) ont vu le jour, dont trois sont accessibles aux personnes à mobilité réduite. Douze places de stationnement (6 en sous-sol et 6 aériennes) ont également été construites. Les clés ont été remises aux locataires le 15 décembre 2009. Pour ce programme, une attention particulière a été portée à l’isolation, permettant à l’immeuble d’obtenir le label «Très Haute Performance Energétique» (THPE 2005). «Presqu’Ile Habitat s’est engagé dans une démarche environnementale afin de maîtriser au mieux les charges
locatives et de préserver la planète, poursuit Daniel Lereculey. Le label THPE représente une baisse de 20% de la consommation énergétique.» Les trois programmes ont bénéficié de la clause d’insertion mise en œuvre sur les chantiers de l’ORU : des entreprises ont dû réserver des heures à des personnes accompagnées dans un parcours d'insertion pour leur permettre ainsi d’acquérir de nouvelles compétences. Au total, plus de 4 000 heures d'insertion ont été effectuées sur les trois chantiers, le gros œuvre représentant près de 49% des heures d'insertion.
Depuis le 1er janvier 2009, la ville de Cherbourg-Octeville a modifié les conditions d’attribution de subvention au ravalement des façades visibles de la voie publique : elles sont désormais octroyées sur deux périmètres ciblés, afin de rendre le dispositif plus incitatif sur le périmètre de l’Opération Programmée de l’Amélioration de l’Habitat – Renouvellement Urbain (OPAH-RU 2009-2013). Sur ce premier secteur, qui couvre une grande partie du centre-ville ancien et l’avenue de Paris, les propriétaires peuvent bénéficier d’une aide correspondant à 30 % du montant TTC des travaux, plafonnée à 2 400 €. Le deuxième secteur correspond aux principaux axes de la ville. Les travaux de ravalement de façades sur les rues concernées y sont subventionnés à hauteur de 10 % du montant des travaux TTC, avec un plafond fixé à 1200 €. Parallèlement, la Ville accompagne les commerçants dans la rénovation de leur vitrine. Une aide majorée lorsque ceuxci effectuent en même temps un ravalement de façade. Concernant les conditions d’attributions de ces aides, n’hésitez pas à vous adresser à la direction de l’urbanisme, 30, Place Napoléon. Contact : 02 33 87 89 35
Onglet Dunant : 19 logements locatifs en construction Dans le cadre des améliorations de logement définies par l’axe prioritaire OPAH (Opération Programmée d’Amélioration de l’Habitat) et toujours avec l’ORU, Presqu’Ile Habitat intervient sur l’îlot Onglet Dunant. Constitué de plusieurs immeubles insalubres et dégradés, cet îlot est en cours de démolition. L’office reconstruira prochainement un immeuble de 19 logements locatifs et un local commercial.
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Sports
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Allez les bleues !
Avis aux amateurs de football féminin ! Du 9 au 20 juin, le Cercle Sports et Foyers de la Marine organise la 6e édition du championnat du monde militaire de football féminin. Plus de 270 athlètes provenant d’une dizaine de nations sont attendues. Venez encourager l’équipe de France de football féminin militaire à l’occasion du championnat du monde.
Initié par le Conseil international au sport militaire (CISM), le championnat du monde militaire de football féminin 2010 se déroulera à CherbourgOcteville. «Les infrastructures de la ville, et plus largement du NordCotentin, permettent l’organisation d’un tel événement», explique Eddy Bruhat, lieutenant de vaisseau chargé de l’organisation du championnat au sein du cercle Sports et Foyers de la Marine de Cherbourg. En effet, alors que les matches d’ouverture avec l’équipe de France et la finale se dérouleront au stade Maurice Postaire, les autres rencontres seront réparties sur les villes de la CUC. Un choix qui tient également compte des capacités organisationnelles de l’équipe cherbourgeoise. «En novembre dernier, nous avons accueilli près de 50 équipages à l’occasion de la dernière épreuve de la coupe de France des J80, précise Eddy Bruhat. Nous savons gérer ce genre d’événement !»
Des matches gratuits Au total, entre 9 et 11 équipes sont attendues pour disputer les quelque vingt matches prévus. Parmi elles, l’é-
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quipe de France militaire. Créée en 2004, cette équipe regroupe une vingtaine de femmes militaires de carrière qui pratiquent le football à haut niveau. La sélection 2010 compte même une joueuse internationale de l’équipe de France actuelle ! Depuis sa création, l’équipe a participé à quatre championnats du monde militaire, finissant 4e en 2006, 3e en 2007, 2e en 2008 et 4e l’année dernière. «Cette année, encore plus que les années précédentes, nous visons la première marche du podium, explique l’entraîneur de la formation. Nous comptons beaucoup sur le public pour nous encourager face à des équipes très expérimentées comme le Brésil, champion du monde en titre, ou la Corée du sud, dont les joueuses ont été embauchées par l’armée pour leur niveau en football. L’accès à l’ensemble des rencontres sera entièrement gratuit .» Rendez-vous donc du 9 au 20 juin pour assister à ces matches qui allieront sport de haut niveau et fair play. «Le mot d’ordre de ce championnat est toujours L’amitié par le sport, poursuit Eddy Bruhat. Outre les rencontres sportives, nous prévoyons des échanges entre les délégations et
des classes de CM2 de l’agglomération ainsi que des sorties culturelles au Mont-Saint-Michel, sur les plages du débarquement, et bien sûr à La Cité de la Mer.» La Ville de Cherbourg-Octeville soutient bien entendu cet événement. «Non seulement les organisateurs défendent des valeurs fortes, mais ils associent également les associations locales de football féminin du NordCotentin, qui mettent à disposition des bénévoles pour le bon déroulement du championnat», se réjouit Franck Tison, maire-adjoint aux sports.
Le tennis de table s’invite à Cherbourg-Octeville Les 29 et 30 mai, l’Union sportive cherbourgeoise de tennis de table organise les finales du championnat de France par équipes. Au total, plus de 210 joueurs s’affronteront au complexe sportif Chantereyne de CherbourgOcteville avec des équipes constituées de 4 femmes et de 6 hommes. Venez les encourager !
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Horaires et numéros de téléphone Ville de Cherbourg-Octeville : E-Mail : mairie@ville-cherbourg.fr Site Internet : www.ville-cherbourg.fr
Les bibliothèques
Bibliothèque Jacques Prévert
Hôtel de ville Place de la République BP 823 50108 Cherbourg-Octeville Cedex Tél. 02 33 87 88 89 Fax : 02 33 87 88 88 Mardi et jeudi : de 8h15 à 17h entre 12h15 et 13h30 uniquement Services Accueil, Etat-Civil, Population Lundi, mercredi, vendredi : de 8h15 à 12h15 et de 13h30 à 17h Samedi : de 9h à 12h (Services Accueil, Etat-Civil, Population et une permanence au Secrétariat Général) Services situés à l'hôtel de ville ou à proximité : Etat civil : Tél. 02 33 87 88 20 Population (élections, logement) : Tél. 02 33 87 88 22 Culture : Tél. 02 33 87 89 26 Secrétariat général : Tél. 02 33 87 88 10 Services techniques : Tél. 02 33 87 88 90 Développement économique et commerce : Tél. 02 33 87 89 14 Point d'accueil insertion-centre : Tél. 02 33 01 50 60 Relations publiques, promotion et tourisme : Tél. 02 33 87 88 30 Ressources humaines : Tél. 02 33 87 89 60 Service 3e âge Tél. 02 33 01 50 60 ou 02 33 01 50 71 Services financiers : Tél. 02 33 87 88 70 Service communication : Tél. 02 33 87 88 32
Centre culturel, 4 rue Vastel Tél. 02 33 23 39 40 Mardi, jeudi et vendredi : de 13h à 17h, Mercredi et Samedi : de 9h à 17h
Mairie de la Butte Place René Cassin Téléphone : 02 33 87 88 89 Fax : 02 33 87 87 30 Du lundi au vendredi : de 8h15 à 12h15 et de 13h30 à 17h (Services Accueil, Etat-Civil, Population) Services situés à la mairie de la Butte ou à proximité : Etat civil : Tél. 02 33 87 87 32 Population (élections, logement) : Tél. 02 33 87 87 32 Citoyenneté : Tél. 02 33 87 87 26 Education : Tél. 02 33 87 87 33 Petite enfance et jeunesse : Tél. 02 33 87 87 43 Point accueil insertion : Tél. 02 33 87 87 06 Points associations : Tél. 02 33 87 87 56 Solidarité : Tél. 02 33 87 87 20 Sports : Tél. 02 33 87 87 07 Service d'hygiène et de santé : Tél. 02 33 87 87 60
Bibliothèque Raymond Queneau Place de Bourgogne 50130 Cherbourg-Octeville Tél. 02 33 44 73 73 Lundi, mardi et vendredi : de 16h à 18h Mercredi : de 10 à 12h et de 13h à 17h
Bibliothèque des Sciences 21, rue Bonhomme Tél. 02 33 53 28 06 Mercredi et vendredi : de 14h à 17h Samedi : de 9h30 à 11h et de 14h à 16h30
Les musées
Musée d'Art Thomas-Henry 4, rue Vastel Tél. 02 33 23 39 30 Fermé du 12 au 23 avril.
Musée d'Ethnographie, d'Histoire Naturelle et d'Archéologie (Muséum) Parc Emmanuel Liais Tél. 02 33 53 51 61
Musée de la Libération
Piscine Chantereyne
Piscine de la Butte
Période scolaire Lundi de 12h à 13h30 et de 17h15 à 19h15 Mardi de 12h à 13h30 et de 17h15 à 19h Mercredi de 14h à 18h Jeudi 12h à 13h30 et de 17h15 à 19h Vendredi de 12h à 13h30, de 17h15 à 19h et de 20h30 à 22h Samedi de 14h à 18h Dimanche de 9h à 13h
Période scolaire Lundi de 17h à 18h15 Mardi de 12h à 13h30 et de 17h à 18h45 Mercredi de 15h à 17h Vendredi de 17h à 18h45 et de 20h30 à 21h45 Samedi de 10h à 11h45 et de 15h à 17h30 Dimanche de 10h à 12h15
Vacances scolaires Lundi de 14h à 18h Mardi de 12h à 18h Mercredi de 14h à 18h Jeudi de 12h à 18h Vendredi de 14h à 18h et de 20h30 à 22h Samedi de 14h à 18h Dimanche 18 et 25 avril de 9h à 13h et de 15h à 18h
Infos pratiques
Vacances scolaires Lundi de 14h à 18h Mardi de 14h à 18h Mercredi de 14h à 18h Jeudi de 10h à 11h45 et de 14h à 18h Vendredi de 10h à 11h45 de 14h à 18h et de 20h30 à 21h45 Samedi de 10h à 11h45 et de 15h à 17h30 Dimanche de 10h à 12h15
Urgences : Hôtel de police, 2 rue Val de Saire. Tél. : 02 33 88 76 76 - Pompiers : 18 Police Secours : 17 - S.A.M.U : 15 - Secours depuis tous les portables : 112
Fort du Roule Tél. 02 33 20 14 12 Jusqu’au 30 avril, les musées sont ouverts du mercredi au dimanche de 14h à 18h. Du 1er mai au 30 septembre, les musées sont ouverts tous les jours de 10h à 12h et de 14h à 18h sauf les dimanches matin et lundis matin
Police municipale et objets trouvés
22 rue de la Bucaille Tél. : 02 33 10 05 10 Du lundi au vendredi de 8h à 12h et de 14h à17h
Suggestions, idées, réclamations... : la ville est à votre écoute au Numéro vert : 0 800 050 100 29
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Retour sur
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La formation aux premiers secours continue Dans le cadre de l’installation de défibrillateurs sur l’ensemble de la commune, la Ville de CherbourgOcteville, la Croix-Rouge française et l’association Cœur et cancer ont organisé les 30 janvier et 1er février une nouvelle session d’initiation aux premiers secours à destination des élèves de 3e du collège des Provinces, de leurs enseignants et de leurs parents. Au total, une quarantaine de parents et 117 élèves de 3e et de la section SEGPA ont suivi cette formation expliquant la position latérale de sécurité, le massage cardiaque, le bouche-à-bouche et bien sûr l’utilisation du défibrillateur automatisé externe.
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Cherbourg-Octeville en images
4 février
Cinq minutes avec mon handicap La Mission handicap de la Ville de Cherbourg-Octeville a organisé un après-midi de sensibilisation au handicap au sein de la Maison Françoise Giroud. Une quinzaine d’ateliers pratiques et théoriques (projections, débats) était proposée. Les quelque cent participants venus du quartier et des établissements scolaires ont pu se rendre compte des difficultés rencontrées dans la vie quotidienne : qu’il s’agisse d’ouvrir une bouteille d’eau lorsque l’on est hémiplégique, de traverser la rue lorsque l’on est aveugle, de communiquer lorsque l’on est sourd ou mal entendant, ou de faire les choses simplement lorsque l’on est atteint de troubles obsessionnels compulsifs… Les ateliers étaient tous animés par des professionnels, notamment des élèves infirmières et des membres d’associations œuvrant pour le handicap.
9 février
Le projet avec Coubalan présenté à Bruxelles Le 9 février dernier, Jean-Claude Magalhaes, maire-adjoint chargé des relations internationales, a présenté devant la commission EuropAid à Bruxelles le projet d'adduction d'eau et d'assainissement mené dans la communauté rurale de Coubalan entre 2000 et 2010. Un projet exemplaire inscrit dans le cadre de la coopération décentralisée entre la Ville de Cherbourg-Octeville et la communauté rurale de Coubalan. Pour l’occasion, Jean-Claude Magalhaes était entouré de Bacary Sane, Président de la communauté rurale de Coubalan, et d’Angela Melodia, directrice de l'ONG italienne ACRA, partenaire du projet.
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Cherbourg-Octeville en images
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11 février
Retour sur
6 mars 6 mars
Le Point du Jour accueille les seniors Les 11 et 12 février derniers, une centaine d’aînés de Cherbourg-Octeville a bénéficié d’une visite guidée gratuite de l’exposition Henri Salesse, enquête sur l’habitat 1951-1953 au centre d’art Le Point du jour. L’occasion pour tous de découvrir ce nouveau lieu, de retrouver sur les murs certaines rues de leur enfance et de partager un moment de convivialité : les deux visites se sont terminées par un goûter. Cet échange participe au renforcement de l’offre culturelle en direction des aînés développée par la Ville. Elle fait suite à celle de l’Alliance franco-russe proposée en août dernier et qui avait déjà remporté un franc succès.
Arrivée du Secrétaire Communautaire de Coubalan
Lancement du 11e festival Femmes dans la Ville
Du 6 mars au 6 avril dernier, le secrétaire communautaire de Coubalan Jean-Noël Bassene était l’invité de la Ville de Cherbourg-Octeville. Son voyage avait plusieurs objectifs : faire le point sur les projets engagés dans le cadre des accords de coopération décentralisée, comprendre le fonctionnement de la mairie et s’en inspirer pour la structuration du fonctionnement de la communauté rurale, prendre contact avec les personnes ou associations impliquées dans les projets d’échanges entre Cherbourg-Octeville et la communauté rurale… Il a ainsi participé aux présentations de la Communauté rurale dans le cadre de Femmes dans la ville, rencontré les élèves infirmières qui se rendront dans la communauté rurale en juillet prochain, échangé avec le comité de jumelage et l’association des ressortissants sénégalais…
C’est en rythme qu’a commencé la 11e édition du festival Femmes dans la Ville : samedi 6 mars, habitantes et habitants étaient réunis devant l’Hôtel de Ville et derrière la batucada Pomélé pour se rendre au village du festival installé au centre culturel. L’après-midi, plus de 200 bénévoles et amateurs de théâtre ont participé au premier temps fort de la quinzaine, la comédie musicale des habitants, Princess’s stars. Une pièce qu’ils ont jouée à trois reprises devant un public conquis et toujours aussi nombreux.
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