Biennale Moebius

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MOEBIUS MULTIPLE(S) E 6 biennale du 9 E ART Cherbourg-Octeville

MUSEE D’ART THOMAS-HENRY D U

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J U I N

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D E C E M B R E

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A l’occasion de sa 6e Biennale du 9e art, la Ville de Cherbourg-Octeville invite au musée le dessinateur Jean Giraud, alias Moebius, père d’Arzack, Blueberry et L’Incal. Du 17 juin au 31 décembre 2011, découvrez MOEBIUS MULTIPLE(S), voyage imaginaire au sein des mondes oniriques, aquatiques ou désertiques de l’artiste. L’occasion d’admirer des œuvres inédites, emblématiques du Moebius des années 2000. Conçue en collaboration étroite avec l’artiste et sa maison d’édition, Moebius Productions, la 6e Biennale du 9e art est une invitation au voyage au sein de l’univers onirique et protéiforme de Moebius, dessinateur visionnaire, créateur de mondes foisonnants et mystérieux. L’exposition MOEBIUS MULTIPLE(S) comprend plus de deux cents œuvres récentes qui se déploient à travers de multiples supports graphiques dont certains dans des formats monumentaux. Pour la première fois, le portfolio Les mondes élémentaires, conçu d’après la bande dessinée Le monde d’Edena et réalisé pour la célèbre maison Hermès, sera présenté au public. Trois nouvelles séries de dessins seront exposées : la Faune de Mars où l’auteur imagine une improbable faune, peuplant la surface de la planète rouge ; Le Major, une méditation cocasse et énigmatique sur le fameux explorateur au casque à pointe et l’œuvre intitulée De la matière à la lumière, ensemble de lithographies inédites réalisées pour la Foire internationale d’art contemporain de Dubaï en février 2011… Parmi les œuvres cultes de Moebius, on pourra admirer, imprimées en grand format sur papier Japon, les très belles pages de l’album 40 jours dans le désert B.

Des œuvres inédites pour Cherbourg

Moebius revisite aussi l’épopée transatlantique à Cherbourg à travers une série de trois œuvres inédites mettant en scène la salle sous-douane ou salle des bagages, lieu mythique de la gare transatlantique traversé par Elizabeth Taylor, Charlie Chaplin, Dali… et des milliers d’anonymes en partance pour les Etats-Unis ou débarquant des paquebots de la Cunard... Cet ensemble, présenté dans les salles, donnera lieu à l’édition d’un ouvrage «Zaza et Moeb aiment Cherbourg». Cet ouvrage intégrera deux œuvres du musée d’art Thomas-Henry particulièrement appréciées par Jean Giraud : une marine de Morel-Fatio ainsi que Nocturne aux elfes de Gustave Doré. Artiste visionnaire, Jean Giraud construit, depuis plus de cinquante ans, une œuvre animée par une quête constante d’expérimentations graphiques et narratives. Ses recherches explorent l’infini des possibles offerts par l’image imprimée, du travail traditionnel de la gravure et de la sérigraphie à la création numérique où le dessin, réalisé sur palette graphique, se prête à toutes les variations de taille et de support. Ses images ne se limitent jamais à une seule déclinaison. Elles sont une matière vivante, mouvante : dupliquées, transformées, recréées au gré des techniques et des tirages, elles posent la question du multiple, au cœur de cette 6e Biennale. Pour vous faciliter ce voyage au sein des mondes imaginaires de Moebius, le musée vous propose des visites guidées hebdomadaires, des animations pour adultes et enfants, et notamment un atelier pour enfants sur la bande dessinée... L’entrée est gratuite ainsi que les rendez-vous programmés par le musée.

M oeb i u s

Invitation au voyage avec Moebius


A l’occasion de sa 6e Biennale du 9e art, la Ville de Cherbourg-Octeville invite au musée le dessinateur Jean Giraud, alias Moebius, père d’Arzack, Blueberry et L’Incal. Du 17 juin au 31 décembre 2011, découvrez MOEBIUS MULTIPLE(S), voyage imaginaire au sein des mondes oniriques, aquatiques ou désertiques de l’artiste. L’occasion d’admirer des œuvres inédites, emblématiques du Moebius des années 2000. Conçue en collaboration étroite avec l’artiste et sa maison d’édition, Moebius Productions, la 6e Biennale du 9e art est une invitation au voyage au sein de l’univers onirique et protéiforme de Moebius, dessinateur visionnaire, créateur de mondes foisonnants et mystérieux. L’exposition MOEBIUS MULTIPLE(S) comprend plus de deux cents œuvres récentes qui se déploient à travers de multiples supports graphiques dont certains dans des formats monumentaux. Pour la première fois, le portfolio Les mondes élémentaires, conçu d’après la bande dessinée Le monde d’Edena et réalisé pour la célèbre maison Hermès, sera présenté au public. Trois nouvelles séries de dessins seront exposées : la Faune de Mars où l’auteur imagine une improbable faune, peuplant la surface de la planète rouge ; Le Major, une méditation cocasse et énigmatique sur le fameux explorateur au casque à pointe et l’œuvre intitulée De la matière à la lumière, ensemble de lithographies inédites réalisées pour la Foire internationale d’art contemporain de Dubaï en février 2011… Parmi les œuvres cultes de Moebius, on pourra admirer, imprimées en grand format sur papier Japon, les très belles pages de l’album 40 jours dans le désert B.

Des œuvres inédites pour Cherbourg

Moebius revisite aussi l’épopée transatlantique à Cherbourg à travers une série de trois œuvres inédites mettant en scène la salle sous-douane ou salle des bagages, lieu mythique de la gare transatlantique traversé par Elizabeth Taylor, Charlie Chaplin, Dali… et des milliers d’anonymes en partance pour les Etats-Unis ou débarquant des paquebots de la Cunard... Cet ensemble, présenté dans les salles, donnera lieu à l’édition d’un ouvrage «Zaza et Moeb aiment Cherbourg». Cet ouvrage intégrera deux œuvres du musée d’art Thomas-Henry particulièrement appréciées par Jean Giraud : une marine de Morel-Fatio ainsi que Nocturne aux elfes de Gustave Doré. Artiste visionnaire, Jean Giraud construit, depuis plus de cinquante ans, une œuvre animée par une quête constante d’expérimentations graphiques et narratives. Ses recherches explorent l’infini des possibles offerts par l’image imprimée, du travail traditionnel de la gravure et de la sérigraphie à la création numérique où le dessin, réalisé sur palette graphique, se prête à toutes les variations de taille et de support. Ses images ne se limitent jamais à une seule déclinaison. Elles sont une matière vivante, mouvante : dupliquées, transformées, recréées au gré des techniques et des tirages, elles posent la question du multiple, au cœur de cette 6e Biennale. Pour vous faciliter ce voyage au sein des mondes imaginaires de Moebius, le musée vous propose des visites guidées hebdomadaires, des animations pour adultes et enfants, et notamment un atelier pour enfants sur la bande dessinée... L’entrée est gratuite ainsi que les rendez-vous programmés par le musée.

M oeb i u s

Invitation au voyage avec Moebius


De Blueberry à Arzack en passant par L’Incal,…, Jean Giraud, alias Moebius ou Gir, nous fait découvrir avec brio des mondes imaginaires ou réalistes appartenant à notre inconscient collectif : icône de la bande dessinée, à la notoriété internationale, Jean Giraud influence aussi bien le 9e que le 7e art. Né le 8 mai 1938 à Nogent-sur-Marne, Jean Giraud a baigné toute son enfance dans la bande dessinée réaliste américaine : Flash Gordon d’Alex Raymond, Prince Vaillant d’Harold Foster… Dès les années 50, il intègre le milieu du 9e art en rejoignant l’atelier de Joseph Gillain, chef de file de la bande dessinée réaliste européenne, plus connu sous le pseudonyme de Jijé. En 1963, il crée avec le scénariste Jean-Michel Charlier la célèbre série Blueberry pour l’hebdomadaire Pilote et s’inspire de l’acteur Jean-Paul Belmondo pour créer son cow-boy solitaire. Le réalisme fouillé de son trait et la qualité des scénarios de Charlier en font vite un classique de la BD franco-belge. Parallèlement à ses activités de dessinateur, Jean Giraud multiplie les expériences graphiques dans des univers variés : publicité, illustration, édition de sérigraphies, affiches pour le cinéma… En 1975, sous le pseudonyme de Moebius, il participe à la création de Métal Hurlant, revue culte de toute une génération, qui paraîtra aux Etats-Unis sous le nom de Heavy Metal et offre au dessinateur une notoriété internationale. Son style graphique, qui évolue au gré de son inspiration, s’impose avec la publication d’œuvres expérimentales comme L’Incal avec Alejandro Jodorowsky ou encore Arzack où il explore le domaine de la science-fiction. Ses univers graphiques regorgent de villes-mondes aux méandres et ruelles labyrinthiques ou de paysages arides et lunaires. Il passe ainsi aisément de l’épure onirique et lyrique à la science-fiction teintée de métaphysique. En 1981, il reçoit le Grand Prix du festival d’Angoulême qui récompense l’ensemble de son œuvre. Aux Etats-Unis, où il est vite reconnu, il réalise en 1988, un épisode du Surfer d’argent sur un scénario de son créateur Stan Lee ; ce qui lui vaut le Eisner Award à la San Diego Comic-Con International de 1989. Dans le domaine du 7e Art, ses contributions sont nombreuses, de la conception de l’ambiance graphique de films à la participation au story-board (langage visuel qu’il considère comme une passerelle entre la B.D. et le cinéma). Parmi ses incursions dans le domaine du cinéma, citons Alien (1979, Ridley Scott), Les maîtres du temps (film d’animation de 1982, René Laloux), Tron (1980. Premier film associant prises de vue directes et images de synthèse), Willow (1988, Ron Howard), Abyss (1989, James Cameron), Little Nemo (1989, film d’animation tiré de la célèbre bande dessinée de Windsor McRay) ou encore Le cinquième élément (1996, Luc Besson). En 1996, Jean Giraud crée sa propre maison d’édition, Moebius Productions, avec sa femme, Isabelle. En 2008, Moebius explore une nouvelle dimension de l’interaction entre bande dessinée et technologie actuelle : sous le titre de La Citadelle du vertige, il transpose l’univers du Garage hermétique sous forme de parcours sensoriel au Futuroscope de Poitiers. Moebius utilise même les nouvelles technologies jusque dans la réalisation de ses dessins. Le dessinateur fait régulièrement l’objet d’expositions et est associé à de nombreuses manifestations d’art contemporain. Ainsi, l’exposition Miyasaki-Moebius en 2005, qui révèle l’influence réciproque de ces deux maîtres du graphisme contemporain, «Dormir, rêver… et autres nuits» qui réunit en 2006 au Musée d’Art Contemporain de Bordeaux des artistes tels que Sophie Calle ou Duane Michael, la rétrospective évènement Moebius Trans-forme organisée en 2010 par la Fondation Cartier pour l’art contemporain, ou encore l’Art Dubaï, foire internationale d’art contemporain, en février 2011.

J e a n G i r a u d , i c ôn e d e l a b a n d e d e s s i née

Jean Giraud, icône de la bande dessinée


De Blueberry à Arzack en passant par L’Incal,…, Jean Giraud, alias Moebius ou Gir, nous fait découvrir avec brio des mondes imaginaires ou réalistes appartenant à notre inconscient collectif : icône de la bande dessinée, à la notoriété internationale, Jean Giraud influence aussi bien le 9e que le 7e art. Né le 8 mai 1938 à Nogent-sur-Marne, Jean Giraud a baigné toute son enfance dans la bande dessinée réaliste américaine : Flash Gordon d’Alex Raymond, Prince Vaillant d’Harold Foster… Dès les années 50, il intègre le milieu du 9e art en rejoignant l’atelier de Joseph Gillain, chef de file de la bande dessinée réaliste européenne, plus connu sous le pseudonyme de Jijé. En 1963, il crée avec le scénariste Jean-Michel Charlier la célèbre série Blueberry pour l’hebdomadaire Pilote et s’inspire de l’acteur Jean-Paul Belmondo pour créer son cow-boy solitaire. Le réalisme fouillé de son trait et la qualité des scénarios de Charlier en font vite un classique de la BD franco-belge. Parallèlement à ses activités de dessinateur, Jean Giraud multiplie les expériences graphiques dans des univers variés : publicité, illustration, édition de sérigraphies, affiches pour le cinéma… En 1975, sous le pseudonyme de Moebius, il participe à la création de Métal Hurlant, revue culte de toute une génération, qui paraîtra aux Etats-Unis sous le nom de Heavy Metal et offre au dessinateur une notoriété internationale. Son style graphique, qui évolue au gré de son inspiration, s’impose avec la publication d’œuvres expérimentales comme L’Incal avec Alejandro Jodorowsky ou encore Arzack où il explore le domaine de la science-fiction. Ses univers graphiques regorgent de villes-mondes aux méandres et ruelles labyrinthiques ou de paysages arides et lunaires. Il passe ainsi aisément de l’épure onirique et lyrique à la science-fiction teintée de métaphysique. En 1981, il reçoit le Grand Prix du festival d’Angoulême qui récompense l’ensemble de son œuvre. Aux Etats-Unis, où il est vite reconnu, il réalise en 1988, un épisode du Surfer d’argent sur un scénario de son créateur Stan Lee ; ce qui lui vaut le Eisner Award à la San Diego Comic-Con International de 1989. Dans le domaine du 7e Art, ses contributions sont nombreuses, de la conception de l’ambiance graphique de films à la participation au story-board (langage visuel qu’il considère comme une passerelle entre la B.D. et le cinéma). Parmi ses incursions dans le domaine du cinéma, citons Alien (1979, Ridley Scott), Les maîtres du temps (film d’animation de 1982, René Laloux), Tron (1980. Premier film associant prises de vue directes et images de synthèse), Willow (1988, Ron Howard), Abyss (1989, James Cameron), Little Nemo (1989, film d’animation tiré de la célèbre bande dessinée de Windsor McRay) ou encore Le cinquième élément (1996, Luc Besson). En 1996, Jean Giraud crée sa propre maison d’édition, Moebius Productions, avec sa femme, Isabelle. En 2008, Moebius explore une nouvelle dimension de l’interaction entre bande dessinée et technologie actuelle : sous le titre de La Citadelle du vertige, il transpose l’univers du Garage hermétique sous forme de parcours sensoriel au Futuroscope de Poitiers. Moebius utilise même les nouvelles technologies jusque dans la réalisation de ses dessins. Le dessinateur fait régulièrement l’objet d’expositions et est associé à de nombreuses manifestations d’art contemporain. Ainsi, l’exposition Miyasaki-Moebius en 2005, qui révèle l’influence réciproque de ces deux maîtres du graphisme contemporain, «Dormir, rêver… et autres nuits» qui réunit en 2006 au Musée d’Art Contemporain de Bordeaux des artistes tels que Sophie Calle ou Duane Michael, la rétrospective évènement Moebius Trans-forme organisée en 2010 par la Fondation Cartier pour l’art contemporain, ou encore l’Art Dubaï, foire internationale d’art contemporain, en février 2011.

J e a n G i r a u d , i c ôn e d e l a b a n d e d e s s i née

Jean Giraud, icône de la bande dessinée


Une démarche avant-gardiste

Entre les peintres anciens du musée et les artistes contemporains mis en valeur par la Biennale, le lien se fait naturellement : tous ont eu recours à la gravure pour diffuser leur travail. D’où la volonté d’ouvrir régulièrement le musée d’art Thomas-Henry aux arts graphiques et aux arts appliqués (illustrateurs, dessinateurs, auteurs de carnets de voyages…). Une démarche novatrice - les dessinateurs de bande dessinée sont plus facilement exposés dans les festivals que dans les musées - initiée par l’artothèque de Cherbourg-Octeville dès 2002, avec le concours de la Galerie Christian Desbois à Paris et qui se poursuit aujourd’hui avec Moebius Productions. Enki Bilal, François Schuiten, André Juillard, Jacques de Loustal, Hugo Pratt ont déjà été accueillis au musée d’art Thomas-Henry qui possède une des plus importantes collections françaises d’œuvres de Jean-François Millet, après les musées d’Orsay et du Louvre. La pérennisation de l’ouverture du musée aux auteurs de la bande dessinée est une position avantgardiste ardemment défendue par la Ville de Cherbourg-Octeville à travers l’action et la programmation de l’artothèque. Avec toujours la même optique : faciliter la rencontre entre un artiste et le public, rendre accessible les œuvres, et montrer la continuité des démarches à travers les siècles. Pour favoriser cette rencontre avec les œuvres, la municipalité a également choisi d’instaurer l’accès gratuit au musée.

Une d Ă©ma rche av an t - g ar di st e

En créant sa Biennale du 9e art, Cherbourg-Octeville s’est engagée depuis 2002 dans une démarche novatrice : la ville présente au public des artistes majeurs de la bande dessinée à travers de grandes expositions thématiques qui s’intègrent dans la programmation des expositions temporaires de son musée d’art. De Bilal en 2002 à Moebius en 2011, quelques-uns des plus grands noms de la bande dessinée y ont été accueillis.


Une démarche avant-gardiste

Entre les peintres anciens du musée et les artistes contemporains mis en valeur par la Biennale, le lien se fait naturellement : tous ont eu recours à la gravure pour diffuser leur travail. D’où la volonté d’ouvrir régulièrement le musée d’art Thomas-Henry aux arts graphiques et aux arts appliqués (illustrateurs, dessinateurs, auteurs de carnets de voyages…). Une démarche novatrice - les dessinateurs de bande dessinée sont plus facilement exposés dans les festivals que dans les musées - initiée par l’artothèque de Cherbourg-Octeville dès 2002, avec le concours de la Galerie Christian Desbois à Paris et qui se poursuit aujourd’hui avec Moebius Productions. Enki Bilal, François Schuiten, André Juillard, Jacques de Loustal, Hugo Pratt ont déjà été accueillis au musée d’art Thomas-Henry qui possède une des plus importantes collections françaises d’œuvres de Jean-François Millet, après les musées d’Orsay et du Louvre. La pérennisation de l’ouverture du musée aux auteurs de la bande dessinée est une position avantgardiste ardemment défendue par la Ville de Cherbourg-Octeville à travers l’action et la programmation de l’artothèque. Avec toujours la même optique : faciliter la rencontre entre un artiste et le public, rendre accessible les œuvres, et montrer la continuité des démarches à travers les siècles. Pour favoriser cette rencontre avec les œuvres, la municipalité a également choisi d’instaurer l’accès gratuit au musée.

Une d Ă©ma rche av an t - g ar di st e

En créant sa Biennale du 9e art, Cherbourg-Octeville s’est engagée depuis 2002 dans une démarche novatrice : la ville présente au public des artistes majeurs de la bande dessinée à travers de grandes expositions thématiques qui s’intègrent dans la programmation des expositions temporaires de son musée d’art. De Bilal en 2002 à Moebius en 2011, quelques-uns des plus grands noms de la bande dessinée y ont été accueillis.




Infos Pratiques Moebius Multiple(s) 17 juin - 31 décembre 2011 Musée d’art Thomas-Henry Centre culturel, 4 rue Vastel 50100 Cherbourg-Octeville Tél. 02 33 23 39 33 www.ville-cherbourg.fr Entrée libre Horaires d’ouverture : Du 17 juin au 30 septembre du mardi au samedi : 10h à 12h et 14h à 18h le dimanche : 14h à 18h Du 1er octobre au 31 décembre du mardi au dimanche : 14h à 18h Le musée est fermé les lundis et les jours fériés. Des visites guidées hebdomadaires et des animations pour enfants et adultes sont programmées pendant toute la durée de l’exposition. Pour plus d’informations : www.ville-cherbourg.fr

Inf o s p rat iq ues

Accès En voiture, par la N13 depuis Caen En train, depuis la gare Saint-Lazare à Paris (3h) Par ferry, depuis Rosslare en Irlande ou Poole et Portsmouth en Angleterre


Infos Pratiques Moebius Multiple(s) 17 juin - 31 décembre 2011 Musée d’art Thomas-Henry Centre culturel, 4 rue Vastel 50100 Cherbourg-Octeville Tél. 02 33 23 39 33 www.ville-cherbourg.fr Entrée libre Horaires d’ouverture : Du 17 juin au 30 septembre du mardi au samedi : 10h à 12h et 14h à 18h le dimanche : 14h à 18h Du 1er octobre au 31 décembre du mardi au dimanche : 14h à 18h Le musée est fermé les lundis et les jours fériés. Des visites guidées hebdomadaires et des animations pour enfants et adultes sont programmées pendant toute la durée de l’exposition. Pour plus d’informations : www.ville-cherbourg.fr

Inf o s p rat iq ues

Accès En voiture, par la N13 depuis Caen En train, depuis la gare Saint-Lazare à Paris (3h) Par ferry, depuis Rosslare en Irlande ou Poole et Portsmouth en Angleterre


Contacts et partenaires La biennale du 9e art 2011 est organisée par la Ville de CherbourgOcteville en collaboration avec Moebius Productions. Contact presse/photos : Florence Coudre Tél. 02 33 87 89 25 ou 06 87 71 09 47 florence.coudre@ville-cherbourg.fr Des visuels sont à votre disposition en vous inscrivant sur l’espace presse : https://presse.cherbourg-octeville.fr/ Commissaires d’exposition : Louise Le Gall Conservateur des musées de Cherbourg-Octeville louise.le-gall@ville-cherbourg.fr Dominique Paysant dominique.paysant@ville-cherbourg.fr Isabelle Giraud Moebius Productions Scénographie : Véronique Liévin veronique.lievin@ville-cherbourg.fr Conception graphique : Claire Champeval claire.champeval@wanadoo.fr

C onta cts et p a rtena ire s

La Biennale du 9e art est soutenue par :


Contacts et partenaires La biennale du 9e art 2011 est organisée par la Ville de CherbourgOcteville en collaboration avec Moebius Productions. Contact presse/photos : Florence Coudre Tél. 02 33 87 89 25 ou 06 87 71 09 47 florence.coudre@ville-cherbourg.fr Des visuels sont à votre disposition en vous inscrivant sur l’espace presse : https://presse.cherbourg-octeville.fr/ Commissaires d’exposition : Louise Le Gall Conservateur des musées de Cherbourg-Octeville louise.le-gall@ville-cherbourg.fr Dominique Paysant dominique.paysant@ville-cherbourg.fr Isabelle Giraud Moebius Productions Scénographie : Véronique Liévin veronique.lievin@ville-cherbourg.fr Conception graphique : Claire Champeval claire.champeval@wanadoo.fr

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