Dossier Développement Durable 2016

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VISU n° 1679 – Mardi 24 mai 2016

P r o g r a mm e s d u 2 8 m a i a u 0 3 j ui n 2 0 1 6

shopping faites

la gagnante du jeu selfies !

idées cadeaux

plaisir à votre maman ! Médecinre du futuous

Allons enr des fabriqummes ? surho

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places à gagner pour le concert

! e t e f e n n s n o a m b a les m

de frédéric françois

s e t u o t a

semaine du développement durable la réunion i bouge



Du 30 mai au 5 juin, C’est la semaine du développement durable !

Cette semaine a pour objectif de sensibiliser aux enjeux du développement durable, d’apporter des solutions concrètes pour agir et d’inciter à l’adoption de comportements responsables.

La Réunion possède de nombreuses sources d’énergies renouvelables et souhaite atteindre la dépendance énergétique totale en 2030. Chez-nous, le développement durable n’est pas un vain mot et les avancées sont significatives, bien qu’il reste beaucoup à faire pour atteindre cet ambitieux objectif. G.C

La Réunion y bouge ! L

a Réunion, estampillée “territoire d’excellence et d’innovation“ par EDF s’affiche comme un pionnier des énergies vertes avec l’un des plus gros stockages d’énergie en Europe. Dès 2020, les énergies renouvelables devraient représenter 50% de la production. Notre territoire a été porté en exemple à l’occasion de la Cop 21 en 2015 et montré comme une vitrine de la transition énergétique. > L’ADEME, lance régulièrement des campagnes de protection et d’innovation sur des thématiques diverses, huiles usagées, déplacements… Les nombreux acteurs de la société réunionnaise, la création de la Réserve Marine et du Parc National, les engagements des différentes collectivités et organismes, tous œuvrent pour la préservation et le mieux vivre dans les années futures ; notre département est l’un des plus actifs du pays en la matière !

> La commune de Saint-Rose a notamment reçu la “Mariane d’Or” pour ses actions. Cependant des grands défis restent encore à relever, celui de la mobilité est de taille car le tout voiture est toujours roi ; il en est de même pour l’épineux problème du traitement des déchets. Dans ces domaines la clairvoyance ne semble pas avoir été au rendez-vous.

ENVIRONNEMENT > ÉNERGIE > DÉVELOPPEMENT DURABLE L’ADEME conseille les entreprises, les collectivités et le grand public

L’ADEME EST UN ÉTABLISSEMENT SOUS LA TUTELLE DES MINISTÈRES DE L’ÉCOLOGIE, DE L’ENSEIGNEMENT SUPERIEUR ET DE LA RECHERCHE.

WWW.ADEME.FR 15


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Crèches bioclimatiques à La Bretagne

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Photo 1 : Patrick Deleurme, constructeur agréé NFHQE - Photo 2 : Maison HOMIA - Photo 3: crèches Ekolo Tipa Tipa

Les cinq crèches Ekolo Tipa Tipa de La Bretagne ont un bâti conçu de façon à réduire l’impact carbone en ayant une ventilation naturelle et pensée pour réduire la consommation d’énergie.

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es crèches bioclimatiques sont des structures qui respectent certains critères écologiques, tant au niveau du mobilier, des jouets, de la peinture, des repas bios…

> Climatisation solaire des écoles, une solution adoptée à Saint-Leu. La meilleure solution pour résoudre le problème de suchauffe dont se plaignent élèves. Certains en bénéficient déjà. Il faudrait 20 millions d’euros pour climatiser tous les établissements.

• Elles défendent des valeurs écocitoyennes et écosolidaires en proposant des produits de qualité confectionnés à La Réunion, elles offrent une alternative au tout jetable et pensent au bien-être des tout-petits dans un environnement sain.

• Une première dans une école maternelle de Saint-Leu en 2014 avec l’installation de panneaux solaires et local bloc énergie autonome pour un montant de 10 000€ pour deux classes.

• 50% minimum des produits qui composent les repas des petits sont bio, les OGM sont interdits, le gaspillage limité, des écodétergents utilisés pour le nettoyage et le compostage pratiqué.

> Maison bioclimatique, ça vient ! Les premières villas autonomes à énergie positive devraient commencer à sortir de terre d’ici deux mois. Des villas construites selon le concept HOMIA, lancé par Patrick Deleurme, constructeur agréé NFHQE.

• Marie-Lise Perraut, gérante de ces structures est engagée dans le développement durable, pour elle, cet engagement ne s’arrête pas aux crêches, “c’est tout un quartier qui est concerné par nos actions. ” Action pour la semaine : deux ateliers Nesting. Renseignements : 0692 67 57 30.

• Plus besoin de climatisation, avec une enveloppe extérieure réalisée en polystyrène enrobé de béton armé, la température intérieure est inférieure de 5% par rapport à une construction traditionnelle. Associée à une centrale photovoltaïque ce type de maison peut s’auto suffire au niveau énergétique.



> Le covoiturage, ça démarre ! La pratique commence à séduire un certain public mais n’est pas évidente sur l’île en raison notamment de la faiblesse du réseau, des difficultés de liaison par bus… Plusieurs parkings existent actuellement, l’aire du tabac, l’Etang-Salé, l’Ermitage, l’Echangeur de Bellemène et le Marché Forain de la Possession, d’autres devraient voir le jour dans un avenir proche.

Tous les champs du développement durablesont concernés: consommation, biodiversité, climat, déchets, eau, emplois verts, énergies, logement, loisirs, mer, sport, tourisme, transports, etc…

> Comment faire ? • On peut s’inscrire sur le site internet : http://www.roulensemb.re/ • On trouve plusieurs annonces de covoiturage sur des pages comme le boncoin, sur http://www.iledelareunion.net/ covoiturage-reunion/ et d’autres encore.

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Photo 1 : Usine hydroélectrique de Sainte-Rose - Photo 2 : Cartes des bornes (PAV) - Photo 3: Bornes (PAV)

> Des bornes pour la récupération des textiles (PAV) Des PAV sont installées à l’initiative de l’association Ti Tang Récup un peu partout sur l’île. Les particuliers peuvent y déposer vêtements, chaussures, textiles divers, mais aussi cartables, articles de maroquinerie et peluches en vu d’une réutilisation (friperie), d’une revalorisation (combustible), ou d’une transformation (feutres, isolation…)

> Traitement des déchets L’île croule sous les déchets et les centres d’enfouissement arrivent à saturation (2018) , ce phénomène était prévisible et les autorités compétentes n’ont en tout état de cause pas anticipé le problème. Continuer l’enfouissement n’est plus souhaitable en raison du volume et surtout de la pollution générée. L’incinération semble être la solution qui s’impose, mais loin d’être écologique, il faudrait limiter son utilisation en mettant en place des unités de recyclage car 40% de nos déchets enfouis pourraient être recyclés. Il serait grand temps que La Réunion agisse !

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> Usine hydroélectrique de Sainte-Rose. un exemple d’intégration environnementale Une grande première sur ce site d’EDF, une réalisation qui allie activité industrielle et respect de la biodiversité. Ce ne sont pas moins de 22 000 plants de 48 espèces endémiques qui ont été implantés sur le site des réservoirs et 1 600 plants sur le site de la marine, avec la collaboration du conservatoire Botanique de ascarin et du Parc National.

Sur un trajet quotidien de 20 kilomètres, alterner son véhicule chaque semaine avec un covoitureur permet d’économiser jusqu’à 2070€ par an (source ADEME).


Le Trokali mobile près de chez vous du 31 mai au 4 juin 2016, de 8h à 18h ! Venez déposer et échanger vos objets en bon état dont vous ne vous servez plus !

MARDI 31 MAI - LE PORT Quartier de la ZUP (face à la mairie annexe) MERCREDI 1ER JUIN - LA POSSESSION Espace à côté de la Médiathèque Héva JEUDI 2 JUIN - SAINT-LEU Place Maxime Laope, Le Plate

posé

dé 1 objet

=récupérés

s

5 objet

VENDREDI 3 JUIN - TROIS-BASSINS Stade de Bois de Nèfles SAMEDI 4 JUIN - SAINT-PAUL Quai Gilbert côté Étang

www.tco.re


Les Énergies renouvelables sont bien présentes à La Réunion, mais elles peinent à s’implanter réellement. Cependant, quelques projets ambitieux ont vu le jour, espoir d’une île plus propre.

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u Biogaz issu de la méthanisation des déchets, puis transformé en électricité, est produit depuis 2008 à l’usine de la Rivière Saint Etienne (0,9MW). Cependant, la production effective s’est montrée décevante et peu rentable par rapport aux prévisions. Il existe aussi une unité à Sainte Suzanne (1,9MW). A savoir, que 3MW peuvent alimenter 2800 foyers, soit l’équivalent d’une commune comme Cilaos. Selon le Schéma directeur de la filière, la production de biogaz pourra aussi apparaître dans les hauts.

> Biomasse au Gol et à Bois-Rouge. Ces centrales fonctionnent au charbon et à la bagasse. La Réunion est l’un des seuls départements à avoir ce type d’installation. • Albioma, avec ces deux centrales et son parc de photovoltaïque couvre 53% des besoins en électricité de l’île (chiffre 2014). En 2020, 50% de la production devrait être issue de la biomasse. 20

énergies renouvelables La Réunion est sur la bonne voie

• Chauffe-eau solaire Depuis 2009 une loi rend obligatoire l’équipement d’un chauffe-eau solaire pour toute construction neuve à La Réunion, à terme tous les foyers en seront équipés. 130 000 foyers en sont déjà pourvus (40%). Des aides sont accordées par la Région et EDF. Ces installations permettent une économie de 8% de la consommation d’électricité de l’île et d’éviter le rejet de 170 000 tonnes de CO2 dans l’atmosphère. > Le Photovoltaïque • Le photovoltaïque, c’est la transformation du rayonnement solaire en électricité, à ne pas confondre avec l’énergie solaire thermique qui produit de la chaleur. Un mètre carré de capteurs fournit 100W de puissance, 60 m2 permettent d’assurer la totalité les besoins d’un foyer. Avec l’aide régionale, ces capteurs fleurissent partout dans l’île. • À Sainte-Rose, ce ne sont pas moins de 100 000 panneaux qui assurent les besoins

annuels en énergie de 23 700 habitants et évitent ainsi le rejet de 13 000 tonnes de CO2 dans l’atmosphère, soit l’équivalent du rejet généré par 5 000 véhicules. (apvf. asso.fr) > L’Éolien • La ferme de La Perrière à Sainte Suzanne couvre une surface de 40 ha avec 37 éoliennes qui produisent une puissance de 10MW, ce qui correspont à une fois et demi aux besoins de la commune. • Celle de Sainte Rose comporte 23 éoliennes (6MW), elles permettent d’éviter le rejet de 12 300 tonnes de CO2. u L’électricité éolienne est produite grâce au vent qui actionne un rotor, selon le principe de la dynamo. Une mini éolienne peut alimenter une habitation en site isolé. Le schéma Régional prévoit le développement de ce type d’énergie à raison de 50 MW de puissance en 2030. L’un des problèmes majeurs reste l’implantation de ces éoliennes dans notre paysage.


solaire à Mafate Le projet Microgrid mettra en réseau 3 bâtiments de La Nouvelle avec un équipement photovoltaïque permettant une autonomie énergétique dans cet endroit isolé. Une solution durable, propre et innovante.

(source :http://www.tntv.pf/Royaltacle-le-projet-SWAC-de-laReunion_a10846.html)

Climatisation par l’eau de mer

> Saint-Denis / Sainte-Marie : Une première mondiale, un ambitieux projet de 150 M€ qui vise à alimenter en froid plusieurs grandes structures sur ces deux communes. Le financement est trouvé (90 millions par l’Etat) et les travaux devaient démarrer en 2015 pour une mise en service en 2017. Cependant la filiale Engie (ex-GDF-SUEZ) en charge de la réalisation a demandé un report du démarrage des travaux en évoquant “notamment la chute du baril de pétrole qui remettrait en cause la rentabilité du projet». La ministre de l’écologie Ségolène Royal et la députée Huguette Bello suivent ce dossier de près! et du Parc National. > Saint-Pierre : EDF et l’ADEME encouragent ce concept innovant

qui permet de substituer une grande partie de l’énergie électrique nécessaire à la climatisation par l’énergie thermique des mers. Il s’agit de pomper de l’eau de mer fraîche des profondeurs pour la passer dans un échangeur thermique où elle refroidit un circuit d’eau douce en boucle fermée. Ce circuit secondaire alimente en eau fro ide les immeubles à climatiser. Une économie pouvant aller jusqu’à 75% de la consommation électrique liée à la climatisation pourrait être réalisée grâce à cette source d’énergie totalement naturelle et renouvelable. Pour, ce projet (15 M €) qui concerne le CHU sud, on en serait à l’appel d’offre lancé fin 2015 alors que la mise en service initiale était prévue en 2014, les choses vont donc moins vite que prévu. 21


De nos jours la canne à sucre est entièrement exploitée, ce qui la classe en tête du hit des cultures compatibles avec le développement durable, en plus d’être l’un des premiers pourvoyeurs d’emplois.

La canne à sucre

Star de la culture réunionnaise

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Une culture adaptée à notre territoire. La canne est très résistante aux insectes et aux intempéries de notre zone, elle possède de bonnes capacités de rétablissement face aux chocs climatiques. Avec ses racines nombreuses et profondes, pouvant atteindre 4m, elle permet de lutter contre l’érosion des sols, favorise l’infiltration des eaux et l’alimentation des nappes phréatiques. Cette couverture végétale quasi permanente offre une protection des sols importante. La coupe en vert (sans brûlage) redonne à la terre 3 000 à 5 000 kg de carbone par ha chaque année. > Une production variée. 1,9 millions de tonnes sont en moyenne récoltées chaque année et valorisées sous de nombreuses formes. Le sucre est la pricipale production avec 210 000 tonnes par an et représente la plus importante

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exportation issue de La Réunion. Mais d’autres produits proviennent de la canne, litière et alimentation pour les animaux, alcools, engrai, électricité. > Composante essentielle du développement durable. La filière canne fait figure de pionnière en matière environnementale. Grâce à eRcane, seul centre européen de recherche sur la canne à sucre, la filière bénéficie d’une expertise mondialement reconnue, l’usine du Gol possède par ailleurs la norme ISO 14 001. > Tout est valorisé ! • La paille pour la protechtion des sols, pour l’alimentation animale (30% des besoins en fourrage) et la gestion non chimique des effluents d’élevage. • La mélasse (sirop épais) pour faire le rhum et en complément alimentaire animal • L’écume (résidu organique) est utilisé. pour enrichir le sol, ce qui réduit l’utilisation d’engrais chimiques (- 2 500T).

• La bagasse (résidu fibreux) sert à l’enrichissement du sol et à la production d’électricité. > La bagasse, deuxième source d’énergie renouvelable de l’île. 530 000T de bagasse consumées, produissent 270 GWh d’électricité chaque année, évitant ainsi l’importation de 140 000T de charbon et inscrivant nettement La Réunion dans la réduction des gaz à effet de serre et dans la lutte contre le réchauffement climatique. La part d’électricité fournie par la bagasse représente 10% de l’électricité. Dans le contexte actuel, où l’île tend vers l’autonomie énergétique, le poids de cette production n’est pas négligeable. Cependant, malgré toutes ses vertus, au vu de la concurrence mondiale, la canne réunionnaise est face à un sérieux problème ; 2017 sera probablement une étape déterminante pour son devenir et, implicitement, pour l’économie de l’île !


publi-communiqué

Comment l’Agorah aborde les questions environnementales dans son programme de travail ? En tant que Présidente d’une agence d’urbanisme qui a vocation à observer, étudier et animer le volet “ aménagement ” du territoire réunionnais, la question d’un développement durable et équilibré de l’île est omniprésente. La population demande souvent aux politiques de “ passer plus rapidement à l’action ”, pourquoi est-il nécessaire d’observer, d’analyser le territoire avant d’agir ?

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’entends bien l’impatience légitime de la population à voir réaliser rapidement des équipements pour améliorer la vie quotidienne des Réunionnais. Cependant les contraintes de notre territoire liées notamment Entretien à l’insularité, à la géologie et aux avec FABIENNE risques naturels nous obligent aussi COUAPEL-SAURET, à respecter la réglementation et des PRESIDENTE procédures souvent longues. Cette DE L’AGORAH réglementation peut d’ailleurs s’avérer - AGENCE parfois trop rigide et il conviendrait D’URBANISME à LA REUNION. de la réadapter et d’expérimenter de nouvelles règles pour mieux valoriser les atouts de La Réunion. Pour pouvoir interagir au plus juste et définir des stratégies efficaces de développement, et apporter des réponses adéquates aux attentes de la population, les politiques publiques ont besoin de connaître les grandes Je vous tendances du invite à aller territoire, et de découvrir tout ce garder toujours que fait l’AGORAH sur en mémoire les son site internet. expériences et les événements Ce n’est pas que du passé. pour les élus et les Le travail de techniciens, vous l’AGORAH verrez ! consiste, à partir de données fiables qu’elle collecte et étudie, à envisager les grandes tendances à venir que ce soit dans le domaine de l’urbanisme, de l’habitat et de la ville durable, dans le domaine des déplacements et mobilités durables ou encore des déchets et risques

naturels. Par exemple sur ce sujet des risques naturels (les cyclones n’étant qu’un des 7 aléas majeurs touchant La Réunion), il s’agit pour l’AGORAH de recenser, d’inventorier, de mesurer les impacts générés par les cyclones, les inondations, les glissements de terrain, afin de prévoir des techniques d’aménagement et de construction innovantes, qui permettront demain de minimiser les préjudices. Delphine DE DEA, la directrice de l’AGORAH parle alors de “ résilience du territoire ” : c’est la capacité que nous avons à anticiper la sécurité des biens et des personnes, en imaginant des concepts d’aménagement ou de construction adaptés au climat tropical, et permettant une reprise rapide des fonctionnalités et des usages urbains, une fois la crise climatique ou autre passée. > Cette connaissance des nombreux domaines de l’urbanisme est un préalable nécessaire pour orienter les décisions publiques, mais aussi guider les investissements privés. L’AGORAH est la seule agence d’urbanisme de l’Océan Indien et existe depuis 24 ans maintenant. Comme elle est publique, partenariale, ouverte à tous, elle partage sa connaissance gratuitement, au travers d’expertises et d’études mises en ligne sur son site internet (www.agorah.com). > Aujourd’hui, ce sont 8 observatoires thématiques

(déchets, risques naturels, foncier économique, équipements réunionnais, mobilités durables, habitat indigne, loyers privés, transactions foncières) qui alimentent en données quantitatives et qualitatives l’ensemble des acteurs de l’aménagement. Un 9e observatoire voit également le jour à l’AGORAH pour capitaliser sur toutes nos spécificités insulaires : il s’agit de l’Observatoire de la Ville Tropicale Durable, portant sur l’urbanisme durable, la résilience territoriale et l’architecture tropicale. L’AGORAH compte ainsi valoriser un grand nombre des informations dont elle dispose déjà, et développer des partenariats permanents avec les acteurs déjà impliqués sur ces thèmes. > Parler de développement durable à La Réunion aujourd’hui, c’est être tous capables de nous projeter dans ce que sera La Réunion de demain en préservant notre identité, avec des villes durables aux interconnexions intelligentes sur toutes les questions qui touchent à l’environnement aux déplacements, à la gestion et la valorisation des déchets. Et pour rendre nos actes pérennes, avec les enjeux forts de préservation de notre patrimoine naturel, de maintien des terres agricoles, et d’aménagement d’un espace urbain de qualité, il est indispensable d’avoir un outil comme l’AGORAH, dont les compétences sont reconnues jusque dans l’Océan Indien. 19


e g a s v e i r r r è a M s e d e t ê F

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M U I R U H T N A B E G O N I A

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CHÈQUESCADEAUX ! Rout eNat i onal e1Cambai e-97460Sai nt Paul

TÉL.0262455040-OUVERT7/ 7J DuLundiaus amedide9h00à18h00 Ledi manchede9h00à1 2h30

H I B I S C U S

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