Hors série ADiR

S p é c i a l AD i R

S u p p l é m e n t g r at u i t a u V I S U n ° 1 8 0 2 d u m a r d i 2 o c t o b r e 2 0 1 8

hors série

+ de 40ans

d’engagements pour le développement du territoire

1ÈRE INDUSTRIE DU BTP À BÉNÉFICIER DE LA MARQUE COLLECTIVE POUR SES PRODUITS FABRIQUÉS À LA RÉUNION !

TERAKAZ ET TERABAT

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LE MEILLEUR RESTE À BATIR

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sommaire 04-05 interview du président daniel moreau 06 l'assemblée générale 07 le plan réunionnais pour l'industrie 08-09 les adhérents 10-12 rôles et missions de l'adir 13 les 20 ans des nouveaux défis 14 interview de jean larrègle 16 nou la fé : une marque collective 17 des valeurs et des engagements 18 attribution de la marque 19 une production multi-facette 20 les opérations de la marque 22-23 les produits frais 24-25 l'équipement 26 & 28 l'épicerie 30-31 les boissons 32 droguerie et hygiène 34 les produits divers

UN FACILITATEUR POUR L’éCONOMIE DE LA RéUNION

D

epuis presque 40 ans, l’Association pour le Développement Industriel de La Réunion (ADIR), œuvre pour la promotion des industries réunionnaises existantes et nouvelles.

Pour ses quelques 200 adhérents, l’ADIR met tout son savoir-faire et son potentiel au service des entreprises pour aider à améliorer les structures, commercialiser les produits et valoriser les hommes qui y travaillent. Dans cette optique, le maintien d’un dialogue constant avec les pouvoirs publics, la défense de l’intérêt collectif dans les négociations avec les différents acteurs du monde économique, l’engagement de moyens d’études et de recherches ainsi que l’accompagnement technique constituent les missions prioritaires de l’association.

Forte de son engagement au service du développement industriel de notre île, l’ADIR a créé et accompagné la marque collective d’identification “ Nou la fé ”, lancée en 2009 pour permettre aux réunionnais de reconnaître les produits fabriqués sur notre île, qu’ils soient 100% local ou bien à base de matières premières importées. Nou la fé est une démarche volontaire des entreprises qui souhaitent s’inscrire dans une approche collective de valorisation du savoir-faire réunionnais, tout en mettant en avant des critères économique, social et environnemental. Parce que La Réunion de demain se construit aujourd’hui, L’ADIR et sa marquerepère Nou la fé s’inscrivent durablement dans une démarche partenariale avec les acheteurs et consommateurs réunionnais pour intégrer l’avenir de La Réunion dans leurs critères d’achat.

Hors série adir - 1, rue Lislet-Geoffroy - 97490 Sainte-Clotilde & : 0262 90 20 60 info@visu.re - Adresse postale : 97712 Saint-Denis Messagerie Cedex 9 Directeur de publication : Christian AH-SON - rédaction - Rédacteur en chef : Roland HÉBRARD - Rédaction - Stéphane MARTIAL - maquette : Hervé BAUM (DA) - Maquettistes : Macaire DORMEUIL - Olivier BANOR - publicité : Régie - Adèle RANDRANTE & : 0692 38 38 38 regie.pub@visu.re - Chef de produit Publicité Patrick Bijoux & : 0692 86 49 79 - Régie extra-locale MEDIA OUTRE-MER 101, boulevard Murat 75016 PARIS & : 01 53 64 58 60 - b.chevallier@media-outremer.fr IMPRESSION Safi - ZI. Chaudron 97490 Sainte-Clotilde - ÉDITEUR : EPR SAS au capital de 800 000 F PRINCIPAUX ASSOCIÉS SAS SIROB et SA SPR COMMISSION PARITAIRE N° 0709 R 85460 ViSU a été tiré à 20 000 exemplaires. © Toute reproduction même partielle des articles et illustrations publiés dans VISU est interdite. Dépôt légal 4503

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hors-série ADIR

Interview

“ L’indus doit êt Après bientôt deux années de présidence et à quelques heures de la 43e Assemblée Générale de l’ADIR, Daniel Moreau revient sur l’année écoulée et dresse le bilan des satisfactions et des craintes de l’association pour l’industrie réunionnaise.

À

quelques jours de la 43e assemblée générale de l’ADIR, comment jugez-vous le bilan de l’ADIR ?

Le bilan de l’ADIR est bon, en particulier grâce à la mobilisation des partenaires pour la rédaction du Plan Réunionnais pour l’Industrie, qui est une feuille de route stratégique pour les dix années à venir. Il était important de fixer les choses, notamment savoir quelle ambition nous avions pour l’industrie réunionnaise, quels seraient les axes de développement et comment assumer nos responsabilités vis-à-vis du territoire. Depuis le deuxième semestre de cette année, nous nous attachons à diffuser et vulgariser ce plan.

La mise en place d’un observatoire de l’industrie peut-elle contribuer à optimiser la valorisation de l’industrie réunionnaise ?

Justement, cette création est une des propositions de ce Plan. Il servira à mesurer l’impact de l’industrie sur le territoire, les tendances en termes d’évolution, le poids de la production locale face aux importations, les formations disponibles etc. C’est un gros enjeu de bien connaître l’industrie car l’ADIR considère que l’industrie est une activité très structurante pour La Réunion. Face à un processus de désindustrialisation de l’économie européenne, les mesures pour relancer cette industrie passe obligatoirement par une bonne connaissance du tissu local. L’observatoire aidera l’industrie

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trie réunionnaise re soutenue ”

Daniel Moreau, président de l'adir

industriels. Nous demandons une solution de remplacement. L’ADIR entend bien rester vigilante sur tous ces sujets-là.

réunionnaise à se connaître et se faire connaître auprès des décideurs politiques pour être mieux accompagnée.

La loi de développement économique pour l’Outre-mer (Lodeom), qui aménage le dispositif d’exonération des charges patronales en fonction de l’éligibilité ou non de l’entreprise au crédit d’impôt pour la compétitivité et l’emploi (CICE), se terminera en 2020. Que peut-on craindre par la suite ?

Dans le cadre de la revue des aides aux entreprise outre-mer, faire prendre en compte le nécessaire accompagnement de l’industrie réunionnaise est une des préoccupations de l’ADIR. Le Plan va servir aussi à cela. Le projet de Loi de finances qui va se discuter dans les semaines qui viennent va traiter du nouveau dispositif.

L’industrie réunionnaise doit être soutenue car elle est potentiellement créatrice d’emplois mais doit faire face à des handicaps structurels, notamment la taille réduite du marché, la distance d’avec les sources d’approvisionnement d’imports industriels et les surcoûts d’exploitation.

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L’internationalisation des entreprises est-elle une voie de développement possible pour l’industrie réunionnaise ?

Il faut être conscient que l’exportation à partir de La Réunion dans la zone s’avère compliqué en termes de coût puisque les pays voisins sont à pouvoir d’achat faible. Sans compter la problématique des différences concurrentielles de contraintes normatives ! De plus, n’appartenant pas à un certain nombre d’ensembles douaniers comme la SADEC ou bien la COMESA, La Réunion doit faire face à des barrières douanières importantes. Mais au regard du savoir-faire technologique des entreprises réunionnaises industrielles, la logique d’internationalisation fait partie des orientations de l’ADIR. Encore faut-il qu’il y ait des garanties financières pour ce faire…

Tous LES sondages montrent que les Réunionnais connaissent la marque Nou la fé et la plébiscitent

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Justement, qu’attendez-vous du gouvernement d’aujourd’hui ?

Un dispositif du travail puissant et sans effet de seuil, un dispositif fiscal puissant avec la reconduite de la zone Franche d’Activité lancée en 2009 mais dont les taux ont été réduits au fil des ans et qui peut servir à d’autres domaines comme le tourisme, la recherche etc., une amélioration du dispositif de contributions et d’aides aux investissements industriels. Le sujet de la défiscalisation doit être amélioré, notamment sur les délais d’agrément, la problématique du crédit d’impôt etc. L’ADIR a une préoccupation majeure sur la TVA NPR que le gouvernement envisage de supprimer et qui représente un financement important de nos investissements

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Quid de l’octroi de mer ?

C’est également un sujet d’actualité pour l’ADIR. L’Europe et la France sont actuellement dans un exercice d’évaluation à mi-parcours pour connaître précisément l’efficacité des exonérations dont bénéficie la production locale par rapport à l’importation. C’est un outil de financement important pour les collectivités et de protection pour l’industrie réunionnaise.

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Êtes-vous satisfait des assises de l’outre-mer auxquelles l’ADIR a participé ?

Ce qui nous intéresse, c’est la mise en œuvre du fameux livre bleu, notamment pour la partie économique et la remise à plat des aides. L’ADIR sera extrêmement vigilante sur la déclinaison des orientations de ce livre qui, pour partie, peuvent être soit intéressantes, soit préoccupantes. Nous allons juger sur les actes !

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La marque Nou la fé est-elle essentielle pour la valorisation de nos productions locales ?

Tous les sondages montrent que les Réunionnais connaissent la marque Nou la fé et la plébiscitent. Elle s’inscrit dans un mouvement mondial de consommer des produits cultivés près de chez soi.

Cette marque permet d’identifier et de valoriser la production locale, qui est de qualité. Nous avons décidé de donner une nouvelle dynamique à la marque Nou la fé en insufflant plus de moyens en termes de communication, plus d’ambition, plus d’exigences de transparence sur les critères d’attribution, en intégrant une logique d’export et en y associant d’autres services.

L’ADIR a l’ambition d’en faire, avec l’aide des pouvoirs publics, la marque-repère de La Réunion.

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Propos recueillis par Stéphane MARTIAL 5

hors-série ADIR

L’ASSEMBLÉE GÉNÉRALE 2018

Créée le 9 août 1975, l’ADIR, Association pour le Développement Industriel de La Réunion, est une association loi 1901 de défense et de promotion des industries régionales.

Les membres fondateurs

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René Barriere, Maximin Chane-Ki-Chune, Henri-Emile Cornu, Rémi Fastre, Abdéali I. Goulamaly, Charles Isautier, Sulliman Mogalia, Raymond Ode, Marcel Pere, Alain Pissler, Xavier Thieblin. Banque de La Reunion, Bnci-Oi, Bourbon Plastiques,

Ccir (Chambre de Commerce et D'industrie de La Réunion), Cogedal, Coral, Ets Isautier, Isoplast, Jeumont Reunion, Satec, Seicar Miko, Sodere, Sorema, Ste Sucriere du Quartier Français, Syndicat des Industries Alimentaires Diverses.

La présidence depuis ses origines • Xavier Thieblin, PDG du Groupe Quartier Français (1975 – 1981) • Abdéali Goulamaly, PDG du Groupe Océinde (1981 – 1987) • Raphaël Chane-Nam, PDG du Groupe Chane-Nam (1987 – 1989) • Paul Martinel, PDG de CILAM (1989 – 1996) • Gérard Debeux, PDG de STMB (1996 – 1999) • Maurice Cerisola, Directeur Général de Crête d’Or Entreprise (1999 - 2011) • Jérôme Isautier, Directeur Général du Groupe Isautier (2001-2016) • Daniel MOREAU, Président Directeur Général de ROYAL BOURBON INDUSTRIES (Depuis 2016) 6

L'ADIR est gérée par un Conseil d'Administration de 18 personnes et dotée d'une équipe de 8 permanents Président : • Daniel MOREAU, Président Directeur Général de ROYAL BOURBON INDUSTRIES Vice-Présidents : • Jérôme Isautier (Groupe ISAUTIER) • Abdéali Goulamaly (Groupe OCEINDE) • Michel Dijoux (COFER) Trésorier : • Guy Hagelauer (CARTONNERIE DE LA REUNION) • Trésorière adjointe : Carole Chane-Ki-Chune (Groupe LE QUOTIDIEN) Secrétaire : • Thierry Taye (BIOALGOSTRAL) Secrétaire adjoint : • Johnny Law-Yen (SOLYVAL)

Les Membres : • Claude BIHRY (URCOOPA) • Gilles COUAPEL (DOM’EAU) • Frédéric AUCHE (MASCARIN) • Maurice CERISOLA • Philippe GUERIN (ENEZ DU & REUNIPECHE) • Alex HOW CHOONG (HCE) • Philippe LABRO (TEREOS) • Paul MARTINEL, Yvan MAINIX (FIBRES IND.) • Pascal QUINEAU (SCA CHEMIN D’EAU) Les membres d’honneur : • R. BARRIERE • M. CERISOLA • R. CHANE-NAM • M. CHANE-KI-CHUNE • G. DEBEUX, A. GOULAMALY • J. ISAUTIER • P. MARTINEL • X. THIEBLIN

avenir LE PLAN REUNIONNAIS POUR L’INDUSTRIE

UN éLÉMENT DE CONSTRUCTION DE L’AVENIR DU TERRITOIRE Face à un environnement concurrentiel et institutionnel plus complexe, l’industrie réunionnaise doit évoluer en permanence et se projeter dans l’avenir. Rédigé à l’initiative de l’ADIR à partir des réflexions de ses adhérents, le Plan Réunionnais pour l’industrie formalise cette ambition. Il entend remettre l’industrie au cœur du territoire et des Réunionnais. 'industrie réunionnaise est fortement impactée par ses handicaps de compétitivité inhérents à la géographie, à la structure du tissu économique et à l'évolution de son environnement normatif et concurrentiel.

Les industries sont en quête permanente de points de compétitivité via l’optimisation et la modernisation de leurs outils et l'élévation des compétences de leurs équipes. La performance industrielle

passe également par la tropicalisation et l'adaptation des normes, notamment dans le bâtiment et l'agroalimentaire.

Il faut également développer les initiatives mutualisées. Aussi il importe en premier lieu de développer une plateforme collaborative qui caractérisera les entreprises selon leur activité, leur implantation, leurs équipements et moyens logistiques, leur taux d'utilisation etc. afin que la consultation et l'animation de cet outil, qui sera géré par l’ADIR,

1 valoriser 2 innover • L'industrie réunionnaise doit gagner en lisibilité et en visibilité en soutenant la capacité d'accès au marché, en valorisant et clarifiant l'offre locale et en renforçant l'image de l'industrie par le dialogue et les coopérations entre industriels et organisations représentatives du secteur.

• La pérennité de l'industrie réunionnaise repose sur la nécessité d'innover et de diversifier l'offre produits pour optimiser l'outil industriel et conserver un temps d'avance sur la concurrence et l’obligation de répondre et d'anticiper les attentes et besoins des consommateurs et de la société.

permettent de faire émerger des projets communs. Il faudra également renforcer les compétences en structurant des filières de formation professionnelle pour les jeunes Réunionnais ainsi qu’aux cadres et dirigeants pour mieux appréhender les défis technologiques ou commerciaux qu'ils doivent relever.Enfin l’observatoire de l'industrie devra permettre de constituer une base de données pour clarifier la structure des coûts de revient locaux et permettre de les compenser.

3 diversifier • Construire les logements de demain, contribuer à la sécurité alimentaire et sanitaire, réduire la facture énergétique, construire de nouvelles solutions de mobilité, soutenir l'économie circulaire, renforcer la dynamique d'import/ substitution, soutenir la capacité des industriels à diversifier les champs d'activité, s'internationaliser par le développement des marchés de niche... l’ADIR est sur tous les fronts.

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hors-série ADIR

les corps de métiers

ils ont adhéré à l'adir poissons • ARMAS PECHE • ARMEMENT DES MASCAREIGNES • ARMEMENT ENEZ DU • CAP BOURBON • COMATA • LES ARMEMENTS REUNIONNAIS • NUTRIMA PRODUCTION • REUNIPECHE • SAPMER

FRUITS ET LEGUMES

BOULANGERIE PÂTISSERIE

• HOARAU FRAICHE ALTITUDE • SETAA • SORINORD

• BOULANGERIE YONG • COCO CANNELLE • REU (SOCIETE INDUSTRIELLE DU NORD), • SAINT-ROLAN

riz, grains • COGEDAL • SOBORIZ • SODERIZ • UCR

viandes • AVIFERME • COUVEE D’OR • EDG EVOLLYS • ELEVAGE MAILLOT • KARL TECHER • MAK-YUEN INDUSTRIES • OVOCOOP • SALAISONS DE BOURBON • SCEA CHEMIN D’EAU • SCEA ELEVAGE BLARD • SICA VIANDES PAYS (SVP) • SVP • TRANSCOVI

PRODUITS LAITIERS • CILAM, • L’ILE EN GLACE • SORELAIT

boissons

SUCRE • EUROCANNE • MASCARIN SAS • SUCRERIE DE BOIS-ROUGE • SUCRIERE DE LA REUNION

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AUTRES

CAFé • SAFA • SICRE • SORETEC

• BIOALGOSTRAL • MAISON AH-SOUNE • ROYAL BOURBON INDUSTRIES • SOLEIL REUNION • SPHB

PRODUITS D’HYGIENE • DOULUX • ECOCHIMIE • SILF

• BRASSERIE DE BOURBON • BRASSERIES PICARO • CHAN-OU-TEUNG • CHANE-HIVE SA • CILAOS • COVINO • DISTILLERIE DE SAVANNA • DISTILLERIE JEAN CHATEL • DISTILLERIE RIVIERE DU MAT • EDENA, • ETABLISSEMENTS ISAUTIER • GRAND SUD PRODUCTIONS • RHUMS & PUNCHS ISAUTIER • RHUMS REUNION • SOREBRA

AMEUBLEMENT

VRD

• ATELIER DU STORE • BAMB • DECO RUN • ICP ROTO • ISOPLAST • PROMOB

• BOURBON COMPOSITES • BOURBON PLASTIQUE BATIMENT • EDF • SOLEO

VITRERIE • DIJOUX VITRERIE • SOREMIR

DéCHETS • CYCLEA • HCE • INTER’VAL • METAL REUNION • SOLYVAL • SUEZ RV REUNION

CONSTRUCTION • AC2V SERVICES • ARCELORMITTAL • ARMA SUD REUNION • ATELIER DU PORT • B&M STRUCTURE • BOURBON BOIS INDUSTRIE • BOURBON PLASTIQUE EMBALLAGE • CANCÉ REUNION • CORRE SOUDURE • FCI AQUATECHNOLOGY • FIBRES INDUSTRIES BOIS SAS • HOLCIM REUNION SA • KY’BANE

• MILLET OCEAN INDIEN • OSSATURE BOIS INDUSTRIE (OBI) • PLAST OI • PREFABETON • SCPR, • SERMETAL • SIPEC • SITA GERARD MATERIAUX • SOLUBAT • SORETOLE • TERALTA GRANULAT BETON REUNION • TOP OCEAN INDIEN • VERLEO

CHAUFFAGE PEINTURES • MAUVILAC • SOPECO

• ALBIOMA • ALBIOMA BOIS ROUGE • COFER • DAK INDUSTRIES • SOLUTION SOLAIRE REUNION

Services à l’industrie et autres produits pour entreprise ACTEMIUM • ADEPTA • AIR LIQUIDE REUNION • ALDES REUNION • AQUALO • AURAXI • AVIFUEL • BFC OI • BNP PARIBAS REUNION • BOURBON BACHES • BOURBON GAZ SAS • BRED BANQUE POPULAIRE • CAISSE D'EPARGNE CEPAC • CAISSE D'EPARGNE PROVENCE-ALPES-CORSE • CARTONNERIE DE LA REUNION • CCIR • CHRYSO MASCAREIGNES • COFELY ENDEL • CORETAB • COREX • CREDIT AGRICOLE DE LA REUNION • DEFi • DIGITAL REUNION • DIOT CREDIT OUTRE-MER (EX VASCO) • DOM'EAU

• EECA • EMIR • EMPREINTE LOCALE • EMR • ETIQ' OCEAN • FLEXO TECH PHOTOGRAVURE • GALVANISATION REUNION • IEDOM, IMPRIMERIE CKC • ISODOM • JIPE REUNION • JPP • LACROIX OCEAN INDIEN • METAL PROTEC • NID IMPRIMERIE • ORANGE • PACK OI • PROJECT REPRO INDUSTRIE • PROTEM • RECHAPAGE REUNION • RÉGION REUNION • RUNEO • SAFI • SAPHIR • SBR • SCANNER • SELF SIGNAL Oi • SEMIR • SODICO • SRPP • SRR • TEEO

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hors-série ADIR

4 DÉCENNIES AU SERVICE DE L’INDUSTRIE RÉUNIONNAISE L'industrie réunionnaise est multiple, dynamique et performante. C’est pourquoi, depuis sa création en 1975, l’ADIR met tout en œuvre pour présenter et représenter l’industrie réunionnaise auprès des décideurs, des élus, mais aussi auprès des acteurs futurs de notre région que sont les jeunes.

F

ruits d’une audace entrepreneuriale conjuguant compétences et savoir-faire des hommes et des femmes qui la composent, l’industrie réunionnaise allie diversité et pérennité, productivité et normalisation.

Bénéficiant d’un tissu économique en 10

pleine mutation, elle est le reflet d’un territoire innovant toujours en recherche d’améliorations de produits ou de productions. Dépasser nos handicaps de compétitivité, optimiser les politiques de soutien, construire la future Réunion industrielle et verte de demain sont les trois axes de la politique de l’association.

Pour soutenir intelligemment son

ambition, l’ADIR entend miser sur le collectif, s’appuyer sur un réseau performant et diversifié, créer des outils de veille et mettre en place des formations pour sensibiliser nos jeunes.

Avec comme seuls objectifs d’accroître la compétitivité de notre industrie et de participer en parallèle à la préservation et l’amélioration du tissu économique

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role et missions

Promouvoir les

industries locales, leurs produits et les hommes qui y travaillent.

de l’ADIR

sont regroupées

L'entreprise industrielle réunionnaise est souvent une structure de petite taille, moderne, qui fonctionne en équipe et répond à l'ensemble des normes européennes. A ce titre, elle est créatrice de valeur ajoutée pour notre territoire. C’est pourquoi l’ADIR travaille activement pour valoriser et faire connaitre la richesse du savoir-faire, des produits et des compétences des acteurs locaux (marque Nou La Fé, émission Les Nouveaux Défis, Semaine de l’industrie, etc…). En parallèle, fédérer les industries réunionnaises dans le respect des spécificités de chacun est un enjeu primordial pour l’association. La force du collectif, au cœur des prérogatives de l’ADIR depuis le début, permet ainsi de créer un environnement propice à l’interaction entre ses adhérents afin de mutualiser et d’optimiser tous les savoirfaire locaux. Construire l’avenir en tissant des partenariats régionaux et internationaux afin de faire rayonner le savoir-faire réunionnais dans la zone et dans le monde est enfin une réalité déjà existante.

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autour de

thématiques

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3

Défendre l'intérêt collectif dans les négociations avec les différents acteurs du monde économique.

Face à une conjoncture économique difficile, l’ADIR veille au grain pour préserver les mesures de soutien acquises qui doivent servir à compenser les surcoûts structurels qui touchent l’industrie réunionnaise. Dans cette optique, l’association collabore étroitement avec beaucoup d’acteurs du territoire et finance la majorité de ses actions grâce aux cotisations perçues auprès de ses adhérents.

Le maintien du dialogue avec tous les partenaires, notamment sociaux, permet de faire preuve d’intelligence collective et de valoriser la force du réseau de l’association.

Maintenir un dialogue constant avec les pouvoirs publics et créer un environnement favorable au développement industriel.

Les missions

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❱

2

Garantir un accompagnement technique au service de la performance globale.

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Réfléchir, organiser, structurer l’avenir de la filière industrielle est essentiel pour continuer à exister économiquement. Partant de ce constat, l’ADIR développe et contribue à maintenir un climat le plus propice possible pour les activités industrielles (cadre réglementaire, dispositifs de soutien, politiques publiques, etc). Le modèle industriel réunionnais s’est construit par rapport au positionnement de l’île dans la République, l’Union européenne et enfin dans l’Océan Indien. Cette situation a généré des coûts de production plus importants, atténués par des soutiens à l’investissement productif et des aides.

Aujourd’hui, ces dispositifs sont remis en question, réduits ou réformés, ce qui crée une incertitude pour l’avenir industriel de notre île. L’ADIR reste donc vigilante et en constant dialogue avec les pouvoirs publics afin d’optimiser les politiques de rattrapage et de consolider les dispositifs qui existent aujourd’hui.

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Engager des moyens d'études et de recherches sur le développement industriel.

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Le renforcement des outils de veille, d’informations et de formations est un facteur d’amélioration du service voulu par l’ADIR. Dans cette optique, l’association envisage de mettre en place une plateforme interactive qui offre une multiplicité de services dans des domaines spécifiques : juridique, logistique, maintenance, gestion de production, ressources humaines, ingénierie financière, relations commerciales, environnement, qualité et sécurité.

❱

Mutualiser le maximum de choses pour réduire les coûts et optimiser nos capacités, participer d’une façon assez large à la vie du territoire avec les aspects industriels en ligne de mire (aménagement du territoire, formations : partenariats école de la 2e chance-université-ESIROI-etc…), l’ADIR est sur tous les fronts pour optimiser le tissu économique local. L’association a d’ailleurs mis en place un Plan Réunionnais pour l’Industrie du Futur, conçu comme une boite à outil, dont l’un des piliers sera le futur Observatoire de l’Industrie.

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role et missions

MATÉRIAUX LA BOURSE AUX LE PROGRAMME “ ASSURE ”

❱

L’ADIR et la CER BTP sont engagées conjointement dans la réduction des déchets et l’amélioration des pratiques en matière de tri et de gestion. Sur le principe des bourses aux déchets qui émergent en métropole, l’objectif est de détourner de la filière déchet tout produit qui pourrait être réemployé. L’ADIR et la CER BTP proposent à leur adhérents ce service en ligne de petites annonces dédié à l’échange, le don, la cession de matériaux, d’objets, d’emballages, de contenants pouvant être réemployés. La bourse aux matériaux s’inscrit donc dans une démarche de prévention et d'économie circulaire. L’objectif est de faciliter le lien entre professionnels et de faciliter le réemploi.

UX S GÉNÉRA T A T É S E L ENTATION DE L’ALIM

❱

Les États généraux de l’Alimentation s’insèrent dans la feuille de route 2018-2022 de la politique de l’alimentation du gouvernement. Le projet de loi qui en découle vise d’abord à améliorer l’équilibre des relations commerciales dans le secteur agricole et alimentaire. Assurer la souveraineté alimentaire passe par la préservation de la capacité de production agricole et la juste rémunération des agriculteurs. Le texte vise ensuite à renforcer la qualité sanitaire, environnementale et nutritionnelle des produits pour une alimentation saine, de qualité et durable accessible à tous.

Impliquée dans les enjeux régionaux et nationaux du monde agricole, l’ADIR fait de la politique de l’alimentation un moteur de réduction des inégalités sociales à La Réunion.

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❱

Concernée par les questions de maîtrise de l’énergie, l’ADIR est impliquée depuis l’année dernière dans le programme ASSURE, co-financé par l’ADEME, EDF et la Région Réunion. Concrétisant la volonté de l’ADIR de s’engager durablement aux côtés des Réunionnais pour la protection de l’environnement, le programme ASSURE marque la volonté de l’ADIR de pousser les entreprises industrielles à faire des diagnostics de leur situation énergétique pour définir, en compagnie des bureaux d’études, les plans d’actions pour réduire les consommations.

LES ASSISES DE L’OUTRE-MER

❱

Lancée en octobre 2017, cette consultation de terrain auprès des ultramarins visait à faire remonter "des projets concrets" répondant à des besoins "diagnostiqués territoire par territoire".

25000 participants se sont mobilisés dans le cadre d’ateliers thématiques ou de réunions publiques et plus de 500 ateliers locaux ont été organisés, sous l’égide des préfectures avec la participation active des élus. Des consultations Internet ainsi que des sondages ont aussi été organisées. Le chef de l'État a donné rendez-vous pour un bilan dans 18 mois. Daniel Moreau, président de l'ADIR a promis de “ rester vigilant sur la mise en œuvre du fameux livre bleu ” et de “ juger sur les actes ”.

télévision business is romantic

années

de développement industriel en images

Créée en 1998, l’émission sur l'industrie et l'économie de La Réunion, produite par l'ADIR avec le concours de l'Europe et la Région Réunion, fête cette année ses 20 ans. Diffusée tous les derniers mardis du mois à 20h sur Antenne Réunion, elle met en lumière chaque semaine l’industrie réunionnaise.

E

n 20 ans, l’émission a changé plusieurs fois de format, de présentateurs mais aussi de chaine.

Diffusée à l’origine sur Antenne Réunion, puis sur RFO, l’émission fait aujourd’hui le bonheur d’Antenne Réunion puisqu’elle réalise 40% de parts d’audience. “ Donnant la part belle à l’industrie réunionnaise, Les Nouveaux Défis ont suivi le développement de notre île au plus près des artisans et entreprises en valorisant tout le savoir-faire local et en suivant en temps réel les grands chantiers

de La Réunion, comme la spéciale route des tamarins, qui a permis de faire découvrir ce merveilleux ouvrage d’art à l’ensemble des Réunionnais ou encore la spéciale Europe, sur les fonds mis à disposition pour la construction du territoire. ” précis Anne Cogneau, présentatrice de 2005 à 2011.

Aujourd’hui, l’émission est présentée par Stéphanie Joannès, qui ne tarit pas d’éloges : “ le capital sympathie est énorme et ça plaît vraiment à toutes les catégories sociales. Ce qui marche avec cette émission, c’est qu’elle est positive et

valorise notre île ! Elle montre La Réunion qui bouge, qui innove, qui travaille et les gens sont surpris de voir comment fonctionnent les entreprises et la diversité de ce qu’on est capable de produire sur un petit territoire comme le nôtre.

A titre personnel, ce qui me marque le plus, c’est de découvrir les outils industriels de pointe et les infrastructures énormes que l’on a ici mais aussi la façon dont nos chefs d’entreprises les rentabilisent. ” Vu les enjeux pour bâtir La Réunion de demain, nul doute que l’émission s’inscrive encore un peu plus dans l’histoire du développement industriel local.

• Tim Leberecht est un écrivain, entrepreneur et consultant germanoaméricain basé à San Francisco et Berlin, avec plus de 20 ans d’expérience en marketing dans les secteurs du design, du logiciel et de la technologie aux États-Unis et en Europe. Il a fondé The Business Romantic Society, une société de conseil qui aide dirigeants et sociétés à construire de belles marques et de belles organisations.

Les articles de Tim Leberecht portent sur le marketing, le design et l’innovation et apparaissent régulièrement dans diverses publications renommées comme Forbes ou la Harvard business Review.

Tim participe à des conférences dans le monde entier et interviendra lors de la 43e assemblée générale de l’ADIR, le jeudi 4 octobre 2018.

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hors-série ADIR

“ NOU LA FÉ CRÉÉ DE L’EMPLOI ”

Jean Larrègle

Coordinateur de la marque Nou la fé au sein de l’ADIR, Jean Larrègle dresse un état des lieux de l’impact de la marque sur l’économie réunionnaise.

P

ourquoi avoir conçu la marque Nou la fé ?

Nous avons voulu créer cette marque pour permettre à l’ensemble des entreprises réunionnaises qui fabriquaient des produits à La Réunion d’avoir une marque commune identifiable.

Ainsi, le consommateur permettant aux consommateurs peut repérer facilement les produits fabriqués à La Réunion et participer activement au développement économique de l’île par leur acte d’achat.

Quels sont les produits concernés par cette marque collective ?

Nou la fé est une marque qui fédère les entreprises et donc on peut y retrouver aussi bien des produits artisanaux, agricoles ou industriels. Nou la fé s’adresse à tous les secteurs de la production locale. A ce jour, Nou la fé regroupe près de 50 types de produits, alimentaires, de la vie quotidienne mais aussi des produits de construction et d'équipements du logement.

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Quelles valeurs sont véhiculées par la marque ?

Elle se veut proche des Réunionnais afin de proposer des produits adaptés aux attentes spécifiques de La Réunion. Le soutien des Réunionnais à nos marques et produits nous permet de maintenir et créer de l'emploi et à travers cela, de

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développer et maintenir nos savoir-faire pour lutter contre les produits importés.

Nou la fé permet à 1500 familles de vivre grâce aux produits fabriqués localement et c'est plus de 5000 emplois qui sont générés par ces mêmes entreprises dans les partenaires et clients avec lesquels elles travaillent.

La marque véhicule aussi la démarche qualité de nos entreprises, c'est un point auquel nous sommes très sensible, ainsi que le respect de l'environnement, qui est d'ailleurs l'un des critères d'attribution de la marque.

Nou la fé entend-elle valoriser les circuits courts ?

Effectivement, c’est en partie l’objectif de cette marque, qui contribue à une économie circulaire sur notre île. Mais il faut aussi être capable d’aller chercher la matière première qui fait défaut chez nous à l’extérieur de notre île pour alimenter l’économie locale et créer de l’emploi à La Réunion, en transformant cette matière première pour produire et créer de la valeur ajoutée sur notre territoire.

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Selon vous, Nou la fé participe-t-elle à la croissance économique de La Réunion ?

Bien sûr ! Nous sommes fiers que 9 Réunionnais sur 10 connaissent la marque Nou la fé car ça signifie que notre rôle économique est compris et reconnu.

Cette reconnaissance est également très concrète puisque 6 acheteurs sur 10 sont influencés par la marque lors de l'achat d'un produit.

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Propos recueillis par Stéphane MARTIAL

hors-série ADIR

nou la fé

UNE MARQUE COLLECTIVE RÉUNIONNAISE DE RÉFÉRENCE Marque ombrelle collective d’identification de la production réunionnaise, Nou la fé est propriété de l’ADIR. Gérée et financée toutefois par ses détenteurs, cette marque commerciale déposée a pour objectif de valoriser la production réunionnaise face aux produits finis importés.

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collectif

DES VALEURS ET DES ENGAGEMENTS AVANT TOUT

❱

ancée en septembre 2009 sous l’égide de l’ADIR, la marquerepère Nou la fé répondait à l’objectif d’identifier l’ensemble de la production locale. La marque « Produit Réunion », également initiée par l'ADIR et symbolisée par un logo "PR" jaune et bleu en forme de code-barre présente depuis les années 80, ne correspondait plus aux attentes des producteurs et consommateurs. Sur ces constats, lors d’une réflexion collective initiée en 2005 par l’ADIR, la création d’une marque capable de devenir un emblème fédérateur auprès des consommateurs fut soutenue par

beaucoup de chefs d’entreprise afin de clarifier le décryptage des produits par les acheteurs, rendu difficile par la multiplicité de la production locale, la mondialisation des marques et la globalisation des sources d’approvisionnement. Après avoir présenté sa démarche auprès des industriels, défini les objectifs, la stratégie et le plan d’action, en 2008, les critères d’attribution furent déterminés et validés. Après concertation avec un panel de consommateurs, le nom "Nou la fé" sera plébiscité et la marque lancée en septembre 2009. Le projet démarrera avec 15 entreprises, qui représentaient 30 marques et 1600 produits. Aujourd’hui, 33 entreprises,

pour 90 marques et plus de 3000 produits participent à cette aventure de marqueur des produits fabriqués à La Réunion et la construction collective de la marque en fait une de ses forces. Les Réunionnais se sont emparés de la marque Nou la fé car elle symbolise et véhicule des valeurs présentes sur notre île qui sont devenues des atouts : emplois, savoir-faire, fierté et engagement !

Désormais connue par l’ensemble des Réunionnais, la marque est aujourd’hui prise en compte par 65% des Réunionnais lorsqu’ils vont faire des achats. Mieux structurée, elle assure un vrai lien de proximité entre les producteurs, les distributeurs et les consommateurs.

Faits par NOUS Faits pour NOUS • Nou la fé s’attache à valoriser l’initiative et l’effort de la production locale, tous acteurs confondus.

La marque s’adresse à tous, au grand public pour les produits de consommation courante mais aussi aux professionnels et aux collectivités. Elle permet d’identifier tous les produits fabriqués chez nous, quel que soit le producteur (agricole, industriel, artisanal), le produit (agroalimentaire, produits du bâtiment, équipement…), la marque, les modes de fabrication ou les matériaux utilisés.

• Nou la fé identifie les entreprises œuvrant au développement de La Réunion par : - La promotion de l’activité et du travail comme facteur de développement de l’île.

- Le souci constant d’optimisation des entreprises

par des évolutions technologiques et une formation permanente des salariés pour une meilleure efficacité.

- La proximité entre producteurs, distributeurs et consommateurs.

- La prise en compte des enjeux environnementaux dans les axes de développement économique.

Reflet de notre île d’aujourd’hui, Nou la fé se veut ouverte sur le monde et tournée vers l’avenir. À cet effet, l’ADIR et les détenteurs de la marque, afin d’étudier sa pertinence et sa place dans le contexte général de commercialisation ainsi que son adéquation aux attentes des producteurs et des partenaires socio-économiques, ont initié un audit début 2017 pour permettre à la marque de prendre une nouvelle dynamique dès 2019.

Conçue avant tout comme un repère pour le grand public, Nou la fé différencie positivement les produits fabriqués ou produits à La Réunion des produits finis importés. Elle permet aussi aux entreprises et aux collectivités de valoriser leur soutien au territoire dans les actes d’achat.

Nou la fé est une marque d'ancrage économique, d'engagement sociétal, de prise en compte des enjeux environnementaux.

Elle met au cœur de son discours le savoir-faire, le vouloir-faire et le pouvoir-faire, c’està-dire l’activité économique, l'innovation et l’emploi. Valorisant le dynamisme et la créativité de la production locale, la marque joue un rôle vertueux sur l’économie car en stimulant la consommation, elle participe à la croissance économique et devient à terme un facteur de développement de la fabrication à La Réunion. La marque est ainsi un acteur prégnant du développement économique local.

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hors-série ADIR

collectif D'autres indicateurs sont pris en compte sans toutefois être déterminants

1

économiques

2

Sociaux

3

Environnementaux

L'évolution de l'activité, l'export, les investissements productifs, l'évolution des volumes de production, l'innovation produits.

ATTRIBUTION DE LA MARQUe

L'évolution de l’effectif, les emplois induits c’est-à-dire des emplois générés dans d’autres entreprises de par l’activité de l’entreprise, les mesures d’hygiène et de sécurité́ mises en place pour ses salariés, les relations avec les jeunes et les acteurs de l’éducation.

mode d'emploi

La politique environnementale de l’entreprise et investissements liés (déchets, énergie, eau,) ainsi que les autres actions à caractère environnemental (mécénat...).

Pour une entreprise, être estampillée Nou la fé, c’est garantir aux consommateurs l’achat d’un produit fabriqué localement et dans le respect des normes nationales et européennes. Un atout de capacité et de compétence qui s’obtient grâce à une procédure normée et uniforme. a demande de la marque relève d’une démarche volontaire de l’entreprise qui formule une demande d’attribution auprès de l’ADIR. Cette marque collective peut être demandée pour toute entreprise dotée d’une unité de production, pour au minimum une marque ou bien pour la totalité de ses marques.

Quels sont les critères

L’attribution répond à une procédure, quel que soit le demandeur. Un comité d’attribution, composé de représentants des détenteurs de la marque collective, d’élus de la Région et de la CCI de La Réunion, de représentants des distributeurs (FCD) et des associations de consommateurs, examine et évalue la demande sur des critères précis. Ce comité statut pour chaque

Production à La Réunion

❱

le lieu de production doit être effectivement situé sur notre territoire. L’activité de productionfabrication-transformationassemblage doit être avérée, structurée et permanente.

Performance économique

c’est-à-dire la richesse produite d'attribution? ❱parque, l'entreprise de par la commerciali18

La valeur ajoutée produite de la mar-

marque faisant l’objet de la demande. Sur décision du comité, Nou la fé est attribuée à la marque et uniquement aux références produites, fabriquées ou assemblées à La Réunion. Elle permet à l'entreprise d'utiliser le logo sur ses emballages, ses supports de vente ou de communication, de bénéficier de la communication de la marque et de participer aux opérations collectives.

sation, la fabrication ou l'ouvraison des produits à partir de l'achat de matières premières, doit être d'au moins 20%.

Exemplarité

Implication environnementale

Performance qualité

❱

L'entreprise doit avoir mis en place une démarche environnementale au sein de son entreprise (gestion et recyclage des déchets, réduction de la consommation d’énergie, réduction de la consommation en eau et gestion des rejets...)

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Respecter les règles nationales et européennes en vigueur.

L’entreprise doit être engagée dans une démarche qualité liée aux produits ou à la production. Les indicateurs de qualité étant liés à l’activité, la démarche engagée peut être différente d’une entreprise à une autre.

Une production multi-facette Pensée dès son lancement comme une marque fédératrice pour l'ensemble de la production réunionnaise, la marque Nou la fé est le reflet d’une production multi-facette qui fait aujourd’hui sa force.

Même si les premières marques ont été industrielles, “ Nou la fé ” est accessible à tous

les types de producteurs qui souhaitent revendiquer la fabrication locale de leurs produits. Ainsi, le secteur agricole, étroitement lié à l’activité de transformation, artisanale ou industrielle, s’est emparé lui aussi de la marque collective, pour augmenter sa capacité à exister économiquement et accompagner La Réunion dans

V a r ié t é o ir -f a ir e v des sa Nou la fé est souvent associée aux produits alimentaires et de consommation courante alors que son périmètre est bien plus large. Nou la fé, ce n’est pas seulement des produits alimentaires et de consommation courante. La marque accueille l’ensemble des produits fabriqués et transformés à La Réunion.

Matériaux de construction, équipements, produits de consommation courante... le nombre de détenteurs hors produits de consommation courante s’est d’ailleurs accru ces dernières années.

m iè r e s es pre M a t iè r t a il e t é v e n o ir -f a ir e v a s des La marque Nou la fé est parfois associée à des produits ou marques dont la totalité des matières premières sont importées. Or, 2/3 des marques détentrices du logo Nou la fé utilisent en totalité ou en partie des matières premières locales. En effet, la fabrication à partir de matières premières importées a permis la création de bon nombre d’activités qui n’auraient pas vu le jour sans la volonté de produire sur notre département. Si Nou la fé accueille aussi des marques extérieures fabriquées sur notre île et des produits élaborés à partir de matières premières importées, elle revendique haut et fort un savoir-faire local et souhaite encourager toutes les initiatives locales.

son développement futur. Les contours de la marque se sont donc imposés d’eux-mêmes et plusieurs marques de souche agricole ont rejoint la démarche : les œufs Lustrucru, l’engrais organique Terla produit au Tampon, les terreaux et scories JPP de la Plaine-desCafres, les légumes et fruits Sandhy, les produits à base de canard de l'élevage Blard etc.

A c c e s s ib le à toutes les mar qu

es

La fabrication de marques nationales ou mondiales par des entreprises locales atteste à la fois de la qualité et de la capacité de nos entreprises à produire avec des standards internationaux. Alors que l'import serait plus simple, certaines marques reconnues ont préféré établir ou conserver la production de leurs produits sur notre territoire.

C’est un véritable engagement pour notre île car la marque apporte son savoir-faire, forme ses collaborateurs réunionnais et génère une dynamique auprès de ses fournisseurs, clients et partenaires locaux. Ce savoir-faire permet souvent à l’entreprise réunionnaise de développer en parallèle ses propres marques.

Ces marques “ extérieures ” deviennent ainsi de véritables ambassadrices de notre savoir-faire, de notre performance technique et qualitative ainsi que de notre dynamisme.

Porte-parole du dynamisme des producteurs

❱

La proximité entre producteurs et consommateurs est un atout pour les Réunionnais qui peuvent bénéficier d’une offre correspondant à leurs attentes tant en matière d’alimentation que des matériaux de construction ou d’équipement qui requiert des performances spécifiques. Les entreprises locales savent s’adapter : depuis des années, elles proposent des produits répondant aux spécificités de notre région.

C’est la force de nos producteurs locaux, qui peuvent ainsi se différencier de l’offre nationale ou internationale.

Produire à la Réunion permet le maintien de notre savoir-faire et le développement des compétences de nos entreprises, au bénéfice des acheteurs réunionnais. Une phrase résume parfaitement la philosophie de “ Nou la fé ” : “ les produits faits par nous, faits pour nous ”.

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hors-série ADIR

2009 2014

2009

• lancement et succession d’opérations magasins, sans présence publicitaire sauf quelques annonces-presse.

Mise en place de la signature “ les produits faits par nous, faits pour nous ”.

2012 2009

2010

UNE MARQUE PROCHE DES CONSOMMATEURS Depuis le lancement de la marque, les opérations séduction se sont succédé via divers supports de communication pour expliquer aux Réunionnais en quoi Nou la fé était un symbole qualitatif du savoir-faire local. Retour en images sur ces moments clefs de l’histoire de la marque.

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• début de la communication de la marque en tv avec un spot d’animation avec une mascotte “ Léanou ” pour appuyer le discours d’achat citoyen et rendre la marque sympathique.

2016 • communication autour du soutien des réunionnais à la marque collective, construite sur des prises de vues itinérantes (le Fotofan Tour). Au final 166 affiches différentes sur les panneaux publicitaires fin 2016.

2017 • adaptation de la campagne autour des messages forts (emplois, innovation, économie) de la marque avec changement de l’accroche.

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ILS fabriquent des produits FRAIS PRÈS de CHEZ VOUS !

SORELAIT-DANO

NE

❱

L’usine SORELAIT, SOCIETE REUNIONNAISE LAITIERE, franchisée Danone est installée au PORT. Depuis que Sorelait a introduit sur le marché local la marque Danone, leader mondial des produits laitiers frais, la consommation de yaourts à La Réunion a bien évolué et atteint aujourd’hui en moyenne 23,4 kg par habitant. Depuis 2003, le site réunionnais n’a cessé de progresser et a obtenu en 2010 le niveau le plus élevé de l’échelle de notation, classant ainsi Sorélait parmi les meilleurs sites mondiaux du Groupe Danone.

• date de création : 1989 • salariés : 75 • 115.000 yaourts fabriqués quotidiennement • 31% de part de marché • C.A : 18 M€

BOURBON SALAISONS DE SANDHY

❱

Salaisons de Bourbon, charcutier-traiteur, est une entreprise 100% réunionnaise animée par la passion du bon goût et de la fraîcheur. Depuis 45 ans, l’entreprise perpétue son savoirfaire au travers de ses recettes pour proposer aujourd’hui plus de 500 produits sous 6 marques : Salaisons de Bourbon, Le Traiteur de Bourbon, Fumaisons de l’océan Indien, Vermont, Porcine et Ti’Volaille.

Objectif de l’entreprise : allier recettes d’antan et modernité, pour coller aux habitudes et goûts de nos consommateurs en leur apportant saveur, fraicheur et praticité.

L’entreprise, qui innove régulièrement, a reçu en 2014, le prix national Innovafood pour son nouveau produit Kréol box : un snacking en portion individuelle, à emporter, qui bouscule les codes de la traditionnelle barquette carry.

❱

La société SANDHY est pionnière dans la production de légumes sous abris à La Réunion. Au fil des années, Sandhy a mis en place un cahier des charges pour garantir aux consommateurs des produits savoureux et sains. De la sélection des meilleures variétés en passant par un accompagnement rigoureux des plantes, par une sélection sévère de chacun des produits et par la mise en rayon de ses produits, l’entreprise garantit une fraicheur de produits récoltés le matin, emballés le jour même et mis en rayon le lendemain.

• date de création : 2008 • salariés : 30 • C.A : 1,5 M€ • date de création : 1973 • salariés : 110 • C.A : 27,5 M€

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Produits REUNION PELAG IQUE

TRANSCOVI

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Filiale du groupe familial Frigotimes, qui s’est spécialisée dès le départ dans l’importation de produits carnés et de poissons haut de gamme, l’entreprise Transcovi s’est axée sur la fabrication et commercialisation des produits de salaisons et charcuterie. Connus sous la marque Les Paysannes, ces produits sont élaborés et fabriqués dans ses ateliers, grâce à une matière première de grande qualité et des outils de production modernisés. Si 90% du chiffre d’affaires est réalisé avec des produits grand public, l’entreprise vise à augmenter la part destinée aux professionnels, notamment grâce à l’élaboration de produits premium. Labelisée Nou la fé, Transcovi a pour maître-mot la qualité au service des consommateurs.

❱

REUNION PELAGIQUE TRAITEUR est spécialisée dans la transformation à forte valeur ajoutée de produits de la mer : cuisson de crustacés, affinage de poisson, réalisation de plateaux de fruits de mer, de rillettes de poisson… Ces produits sont commercialisés localement sous la marque “ Le Pêcheur Créole notre production ”. La grande distribution, les sandwicheries et les services de restauration aérienne constituent à ce jour ses principaux clients.

Une gamme de produits en cours d’élargissement, un packaging revu plus adapté à l’évolution des attentes consommateurs et plus visible, et de nombreux développement à venir, l’entreprise labelisée Nou la fé sait s’adapter aux attentes des Réunionnais, de plus en plus friands de produits de la mer.

• date de création : 1978 • salariés : 35 • C.A : 7 M€

• date de création : 2007 • salariés : 140 • C.A : 23 M€

AVIFERME SCEA ELEVAGE BLARD

❱

Partenaire de la marque Lustrucru, l’entreprise Aviferme revendique une production d’œufs 100% réunionnaise et s’est appropriée un tiers du marché local. L’unité de production, installée à la Plaine des Cafres et entièrement informatisée, permet de conditionner et distribuer ses œufs sur l’ensemble du territoire . Partenaire avec Lustucru depuis 1986, Aviferme répond aux exigences d’une marque nationale reconnue et propose à ses consommateurs une gamme produits très large, que l’entreprise a voulu associer aux valeurs de Nou la fé.

• date de création : 1962 • salariés : 40 • C.A : 7,95 M€

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Enseigne reconnue à La Réunion pour ses magrets, rillettes et foies gras péi, l’entreprise a réussi à mêler gastronomie réunionnaise et techniques de production artisanale du sud-ouest de la France. Si la qualité de ses produits fait l’unanimité auprès des Réunionnais, l’entreprise a gagné en lisibilité et en visibilité en étant estampillée Nou la fé. Aujourd’hui, la totalité des produits est labellisée et proposée à la vente dans plus de 50 grandes et moyennes surfaces et épiceries fines, récompensant un savoir-faire local avéré.

• date de création : 1985 • salariés : 14

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hors-série ADIR

Produits

atelier du sto re

ILS équipent la réunion de demain

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Atelier du Store fait rayonner son expertise en protection solaire à La Réunion depuis 25 ans. L’entreprise propose aux particuliers et professionnels différentes solutions intérieures et extérieures pour une protection optimale contre le soleil : Stores, rideaux, moustiquaires, pergolas, et depuis peu pergolas bioclimatiques. L’Atelier du store décline tout son savoir-faire en une gamme diversifiée et garantit la qualité de ses produits, fabriqués à partir de matériaux issus de marques européennes partenaires aux normes très strictes, fabriqués localement et sur mesure dans son atelier à Cambaie. 90% des références de l’entreprise ont été labellisées Nou la fé car elle cherche à promouvoir la qualité de sa production locale.

teralta

• date de création : 1993 • salariés : 30

• salariés : 150 • C.A : 78 M€

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© PHOTO : RENÉ CARAYOL

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Depuis plus de 50 ans, Lafarge, rebaptisé Teralta en août 2015, participe à bâtir l’Île de La Réunion. Acteur majeur de la construction, l’entreprise décline quatre activités : le Ciment, le Béton, le Granulat et la Préfabrication. Partenaire des constructeurs, des artisans, des architectes, des négociants et des particuliers, Teralta propose un large panel de solutions pour la construction, la rénovation et l’aménagement décoratif. Afin d’apporter un service de proximité, Teralta couvre l’ensemble du territoire de l’Île grâce à ses implantations au Port, à Saint-Louis, à Sainte-Marie et à Saint-André. Ambition de l’entreprise labellisée Nou la fé : accompagner La Réunion de demain en proposant des solutions pour que la construction soit plus belle, plus durable, plus pratique, plus responsable et plus économique. Entre 2014 et 2016, la société a investi près d’un million d'euros pour répondre aux besoins de la NRL. La société s’engage aussi pour réduire son impact sur l’environnement et protéger la biodiversité en investissant chaque année pour le développement et la performance environnementale de ses outils de production.

dak industrie s

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Avec à sa tête, près de 20 années d’expérience au service d’une clientèle de particuliers et d’entreprises, DAK INDUSTRIES, bien qu’implantée récemment, est une unité de fabrication en plein essor. À la pointe de la technologie dans le domaine des énergies renouvelables, DAK INDUSTRIES conçoit, fabrique et distribue des ballons à échangeurs destinés à l’habitat collectif, des capteurs solaires thermiques hautes performances et les accessoires de raccordement hydraulique d’une installation solaire thermique.

Certifiée ISO9001, l’entreprise labellisée Nou la fé a fait de l’innovation un de ses atouts pour le futur.

• date de création : 2012 • salariés : 20 • chiffre d'affaire : 4 M€

cima solar reunion

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La société SOLAR RÉUNION, filiale du Groupe DIJOUX, est spécialisée dans la distribution et l'installation de chauffe-eau solaires individuels et centralisés. Présente sur le marché du solaire thermique depuis presque 25 ans, elle occupe aujourd'hui une position de leader sur le marché réunionnais, avec un parc de plus de 80 000 chauffeeau solaires installés. Entreprise locale à la pointe de la technologie, estampillée Nou la fé, Solar Réunion porte haut les valeurs de la marque en associant savoir-faire local, respect de l’environnement et proximité avec les Réunionnais.

• date de création : 1991 • salariés : 80 • chiffre d'affaire : 17 M€

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Branche spécialisée en métallurgie du groupe HDI, la Compagnie Industrielle des Mascareignes conçoit et fabrique des ouvrages métalliques sur mesure, dont du mobilier urbain. Depuis plus de 20 ans, l’entreprise répond aux besoins des entreprises, des collectivités et des particuliers : portails, gardecorps, clôtures … la production de CIMA est sans limite et propose des produits fabriqués localement et adaptés au climat particulier de La Réunion. Estampillée Nou la fé depuis l’année dernière, CIMA est la seule entreprise de travail du métal à affirmer son ancrage Réunion et par làmême à revendiquer l’importance de proposer des produits adaptés et spécifiques.

• date de création : 1993 • salariés : 6

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Produits

Les produits épicerie n industries royal bourbo

❱

Premier transformateur de fruits et légumes dans l'Océan Indien. L’entreprise certifiée Nou la fé se tient au premier plan sur le marché réunionnais et propose fréquemment de nouvelles gammes de produits. Élaborée selon des recettes typiques à partir des fruits et légumes tropicaux, les produits Royal Bourbon reflètent la tradition culinaire de notre île.

Sélection rigoureuse des meilleures matières premières, techniques d'assemblage maîtrisées, transformation selon des procédés adaptés à chaque fruit et légumes, Royal Bourbon Industries commercialise des produits approvisionnés et transformés à La Réunion sur le site moderne de Bras Panon. À l’origine du groupe d’entreprises qui a imaginé la marque Nou la fé, le groupe propose aujourd’hui 46 références estampillée de la marque collective.

• date de création : 1996 • salariés : 140 • C.A en 2017 : 19.5 M€

sicre

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Intégrée au groupe Tereos, la Société Industrielle de Café de La Réunion (Sicre), labellisée Nou la fé, importe, torréfie et moud plus de 700 tonnes de café par an. Représentant actuellement 20% de la consommation de café de l’île, les produits le lion restent majoritairement constitués de Robusta pour fournir aux Réunionnais une dégustation fidèle aux traditions. L’innovation reste primordiale pour l’entreprise qui met à profit son expérience de plusieurs décennies sur le marché local.

En 2015, une ligne de dosettes souples a notamment été développée. Un an plus tard, le lion décide de donner un coup de fouet à son positionnement grâce aux nouvelles capsules compatibles pour vos machines ! Entre modernité et tradition, le lion continue de produire un café proche des Réunionnais.

cogedal

❱

Lauréate du Trophée Entreprise et Territoire 2018, la COGEDAL (Compagnie Générale d’Alimentation de La Réunion) est l’unique moulin de l’île de la Réunion.

Elle produit plus de 60% des farines consommées à la Réunion, commercialisées sous la marque Meunier de Bourbon. Figurant le savoir-faire d’une industrie de transformation implantée sur notre île, la société a inauguré un nouveau moulin en 2014 qui intègre toute la technologie moderne en termes d’automatisation, de contrôle de la chaîne de production et de qualité du produit fini. Dans sa démarche économique, la COGEDAL valorise également le volet environnemental avec la mise en place d’une fabrication de farine bio à destination des professionnels et des particuliers et commercialisée sous le label « Nou la Fé ”. En avril dernier, la COGEDAL a obtenu une certification IFS validant la reconnaissance de sa démarche qualité. Proximité, solidarité et créativité : 3 valeurs fortes qui font de la société un acteur pérenne du tissu industriel à La Réunion.

• date de création : 1991 • salariés : 13 • C.A en 2017 : 4.48 M€

• date de création : 1973 • salariés : 35 • C.A : 13.5 M€

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Produits

ils s'assoient à la table des réunionnais SORETEC

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La SOCIETE REUNIONNAISE DE TORREFACTION ET D'ENSACHAGE DE CAFE torréfie et moud depuis 2009 du café pour les consommateurs de notre île. Si les grains sont importés, les triages, la torréfaction et les mélanges sont faits à La Réunion, dans l’usine de Ravine à Marquet. Grâce à cette production locale, commercialisée sous la marque Café Séga, l’entreprise propose une vaste gamme de produits. Satisfaire le consommateur et faire vivre l’économie locale sont les objectifs affichés de l’entreprise, qui portent haut les valeurs de la marque collective Nou la fé.

• date de création : 2009 • salariés : 3

SPHB SOBORIZ

❱

Née de la volonté concertée d’industriels et de distributeurs Réunionnais, la SPHB, SOCIETE DE PRODUCTION DES HUILES DE BOURBON est l’unique raffinerie (alimentaire) de l’île.

C’est aujourd’hui un acteur majeur de la production locale d’huiles et de condiments à la Réunion, notamment avec les marques internationales Lesieur, Isio 4 et la marque réunionnaise Corbeille d’Or.Installée en plein cœur du sud à St Pierre, la SPHB devient en 2015 une filiale intégrée du groupe Avril et en particulier de la société Lesieur, dont elle fabriquait et commercialisait les produits sous licence depuis 1998. Engagée pour le développement du territoire Réunionnais, les produits fabriqués localement à la SPHB sont porteurs de la marque régionale Nou La Fé.

❱

Fondée en 1968, Soboriz est la première rizerie implantée à la Réunion. Leader local de la production de riz, l’entreprise commercialise une large gamme de riz et de légumes secs, sous les marques le Forban et Grains du Capricorne.. La Soboriz (Société Bourbonnaise de Riz) est tournée vers l’avenir et s’attache à évoluer pour répondre aux exigences de qualité et d’innovation de ses clients et pour améliorer son impact environnemental. Elle s’engage pour améliorer continuellement la qualité de ses produits et de son processus de fabrication et obtient ainsi le label international de qualité IFS (International Food Standard) en 2017. La marque Le Forban lancée en 1987, est l’une des marques les plus connues des réunionnais.

• date de création : 1968 • salariés : 35 • C.A : 20 M€ • date de création : 1988 • salariés : 36 • C.A en 2016 : 19.1M€

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Far ines p rodu ites Reunion a la

À partir d’une sélection de blés français.

Retrouvez-nous sur lemeunierdebourbon.re et sur lemeunierdebourbon.re

hors-série ADIR

ILS ÉTANCHENT Notre soif EDENA

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Leader sur le marché ultra-concurrentiel des eaux de source, Edena embouteille chaque année 48 millions de litres d’eau dans son usine de La Possession. L’ensemble des produits est fabriqué et distribué dans le respect des engagements qualitatifs et environnementaux de l’entreprise. Une implication reconnue et récompensée par une double certification ISO (SO 9001, sur la qualité et la démarche d’amélioration continue de la société et 14001 sur l'aspect environnemental), que l’entreprise est la seule à détenir à La Réunion. Prônant la défense du savoir-faire réunionnais, l’entreprise est labellisée Nou la fé et fait de la proximité avec la population un atout important dans sa réussite commerciale.

• date de création : 1972 • salariés : 92b • C.A : 37 M€

BOURBON BRASSERIES DE

❱

Située dans le Bas-de-la-Rivière, l’usine des Brasseries de Bourbon produit un large éventail de boissons. Coca-cola, Schweppes, Orangina, pour ne citer que les plus connues des marques internationales produites par l’usine du Bas de la Rivière, mais aussi et surtout la fameuse Dodo, rebaptisée Bourbon en 1970. Implantée sur notre île depuis presque 60 ans autour de ses pôles brasserie et limonaderie, l’entreprise orchestre son activité avec près de 300 salariés, et participe à l’économie locale avec plus de 2 000 emplois indirects. Ayant obtenu plusieurs certifications, les Brasseries de Bourbon produisent chaque jour 300 000 Dodo. Engagée dans la production locale et génératrice d’emplois, l’entreprise est labellisée Nou la fé pour toutes les boissons qui sortent de ses lignes de production.

• date de création : 1961 • salariés : 260

GRAND SUD PR ODUCTIONS

❱

Basée à l’Etang-Salé, la société rachète en 2004 la franchise de la boisson bien connue Capri-sun, à l’origine créée en Allemagne par la société Wild et jusque-là importée chez nous. Avec plus de 17 millions de sachets de jus de fruits fabriqués chaque année chez nous, les Réunionnais sont les 2e plus gros consommateurs derrière l’Allemagne.

Représentant 15% du marché local des boissons fruitées, l’entreprise conditionne tous les sachets de 20cl. Très attentive à la santé des consommateurs, Grand Sud Productions a accompagné la baisse de 10% du taux de sucre de sa production cette année et réalise de nombreuses analyses bactériologiques en laboratoire indépendant avant la mise en rayon.

• date de création : 2002 • salariés : 15 • C.A : 6 M€

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les produits CHATEL

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Depuis plus d’un siècle, le savoir-faire de la Distillerie Jean CHATEL se transmet de génération en génération. La diversification est le maître-mot de l’entreprise qui a su évoluer en gardant toujours l’authenticité et la qualité au centre de ses productions. Cette saga familiale se poursuit encore aujourd’hui et sur un marché des alcools pourtant très concurrentiel, la maison Chatel tient toujours une place forte dans le cœur des Réunionnais. Avec une production 100% locale d’environ 1 million de litres, elle est leader sur les spiritueux à base de rhum et développe l’export vers la métropole et l’Europe, la Chine mais aussi le Japon. Le lien avec la marque Nou la fé était dès lors naturel pour l’entreprise à l’ancrage local et historique fort et dont la réputation a dépassé nos frontières.

• date de création : 1907 • salariés : 36 • C.A : 9 M€

RHUMS REUNIO N

L’abus d’alcool est dangereux pour la santé, à consommer avec modération

SEBV

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En 2005, la Société des Eaux de Basse-Vallée a fêté le démarrage de sa première chaîne de production d’eau de source de Saint-Philippe, baptisée Australine.

Après une entrée réussie sur le marché des eaux de table, l’usine, certifiée IFS (International Food Standard) propose Kalao, un produit à base de fruits frais et d’eau de source. Estampillée Nou la fé depuis cette année, la Société des Eaux de Basse-Vallée s’est positionnée comme un acteur notable sur un marché des boissons sans alcool très concurrentiel où la production locale est reconnue. Le lien avec Nou la fé et l’ancrage local revendiqué fut un axe naturel de l’entreprise, l’une des rares unités de production implantées à Saint-Philippe.

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Après 45 ans d’existence, le Groupement d’Intérêt Économique (GIE) Rhums Réunion regroupe des rhums issus des distilleries Savanna, Isautier et Rivièredu-Mât sous la marque Rhum Charrette.

C’est à ce jour le producteur de rhum blanc le plus important de France avec 5 millions de litres annuels commercialisés, dont 2 millions pour La Réunion. Bien que son ancrage local ne soit plus à démontrer, de par son lien avec la filière canne, la société a rejoint tout naturellement la démarche Nou la fé pour s’associer à cette volonté collective de valoriser le “ made in Réunion ”. Revendiquant des valeurs de savoir-faire et qualité, par ailleurs primées, le GIE Rhums Réunion décline son engagement pour La Réunion, tant sur notre île qu’à l’extérieur.

• date de création : 2005 • date de création : 1972 • salariés : 36 • C.A : 21 M€

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hors-série ADIR

Produits

ils nettoient notre île SILF

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La Société Industrielle Locate et Fils (SILF) est spécialisée dans les produits à base de ouate de cellulose, comme le papier toilette ou l’essuietout. Dans un secteur où la production locale est fortement concurrencée par les importations, la SILF continue de produire ses propres marques et a développé différentes gammes pour s’adapter aux attentes des réunionnais. Dans un esprit avant-gardiste par rapport aux codes des produits d’hygiène, la SILF a tour à tour lancé des essuie-tout bleu foncé ou noir, des papier-toilette aux emballages noir, … dans un domaine où le blanc domine. Elle a également en cours le développement d’une production de mouchoirs en étuis de poche. Labellisée Nou la fé, 33 produits sont regroupés aujourd’hui sous la marque collective.

• date de création : 1987 • salariés : 30 • C.A en 2016 : 9M€

doulux

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Entreprise basée au Port, Doulux fabrique aussi, depuis 1979, des produits à base de ouate de cellulose, d’abord sous le nom MGR puis depuis 2006 sous le nom de sa marque phare. Produisant du Papier-toilette, de l’essuie-tout, des changes pour adultes et enfin des couches pour bébés, l’entreprise est devenue une référence de notre hygiène etc. La marque Doulux, estampillée Nou la fé, est par ailleurs devenue experte en communication décalée, pour le plus grand plaisir des réunionnais. Ce qui semble fonctionner plutôt très bien puisque chaque année, ce sont 2 000 tonnes de ouate qui sont transformées dans l’usine du Port.

• date de création : 1977 • salariés : 43 • C.A en 2016 : 10M€

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GE TIQUES EMBALLA BOURBON PLAS

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Leader de l’emballage souple à l’île de La Réunion, l’entreprise Bourbon Plastiques Emballage (BPE), dont l'unité de production est située à BrasPanon, propose aux professionnels et aux particuliers un large choix de produits d’emballage : films et sacs pour le conditionnement industriel, des sacs de “ mode ”, des sacs publicitaires, recyclables et réutilisables (le fameux sac zoiseau), des sacs et sachets alimentaires pour les rayons spécialisés, une gamme diverse de sacs poubelle ainsi que des films agricoles. La qualité des produits de BPE repose sur un savoir-faire et des acquis entretenus depuis 1967 ainsi que des équipements à la pointe de la technologie. L’entreprise labellisée Nou la fé se veut également protectrice de l’environnement et du cadre de vie.

• date de création : 1967 • salariés : 44 • C.A : 8 M€

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Produits

ils nourissent nourissent nos animaux et notre terre asr/vivalo

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Spécialisée dans l’industrie des eaux de table, la société Aqua Service Réunion est leader sur le marché des fontaines à eau en bonbonne. Si le distributeur est importé, l’entreprise fabrique elle-même ses bonbonnes et les remplit de nos eaux locales, avant de les commercialiser sous la marque VIVALO bien connue des Réunionnais.

Titulaire du label Nou la fé depuis 2013, l’entreprise s’enorgueillit de cette production locale aux standards de qualité nationaux, en utilisant des matériaux entièrement recyclable et sans bisphénol A. Fabriquées à Saint-Pierre, l’entreprise livre ses bonbonnes sur la presque totalité de l’ile grâce à ses dépôts de Saint-Pierre et Sainte-Marie.

• date de création : 1997 • salariés : 50 • C.A en 2015 : 5.67M€

VALAVIE

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Filiale de l’entreprise Aviferme, spécialisée dans l’élevage de poules pondeuses à la Plaine des Cafres, Valavie s’inscrit dans le développement durable et dans une économie circulaire en proposant une gamme d’engrais à base de fientes de poules. Cette production, commercialisée auprès des professionnels s’est installée dans les jardineries, les pépiniéristes et les généralistes depuis 2016 avec la marque Terla à destination des particuliers. Labellisée Nou la fé, l’entreprise, engagée dans le respect de l’environnement, démontre avec ces produits 100% naturel que l’innovation et le respect de l’environnement sont accessibles à nos entreprises insulaires.

• date de création : 2013 • salariés : 3

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PETFOOD RUN

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Seule usine réunionnaise à fabriquer des aliments pour chiens et chats, Petfood Run valorise les morceaux non-commercialisables des abattoirs de volaille pour nourrir nos animaux de compagnie. Défi de taille pour l’entreprise, qui doit se faire une place sur un marché structuré par les le produits importés.

Avec l’objectif de prendre progressivement une place légitime sur ce marché afin de participer au développement de la production et de l’embauche locales, Petfood Run innove sans cesse : les gammes et les marques proposées par l’entreprise s’étoffent au fil des ans. À sa marque phare, Kanéo, labellisée Nou la fé dès son lancement comme l’ensemble des productions de l’entreprise, Petfood run propose des aliments pour chiens et depuis peu pour chats qui reçoivent l’agrément des réunionnais. Forte de ce succès, l’entreprise a décliné sa production avec marque premium, Pronuten, lancée récemment sous les couleurs de Nou la fé.

• date de création : 2010 • salariés : 16 • C.A : 2.7 M€

JPP DISTRIBUTIO N

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Numéro 1 des scories à La Réunion, la société de la Plaine des Cafres s’est diversifiée en proposant également des terreaux, des terres de jardin et des fumiers. JPP Distribution fournit un grand nombre de magasins dans l’île : magasins de jardinage, de bricolage, les enseignes alimentaires ainsi que diverses quincailleries. Au fil des années, la scorie laisse place au terreau universel qui occupe actuellement une grande part de marché avec une gamme très large. En 2012, JPP distribution obtient le label Nou la fé grâce à la fabrication locale des produits.

• date de création : 1998 • salariés : 8

u a e v u o N nion à la Réu

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