Le Courrier de la Gueoula n°898

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Servir avec joie et confiance Ils ont vécu ce Miracle

Le fait de publier les miracles que D-ieu réalise pour nous est recommandé par le Rabbi, roi Machia’h, comme un moyen de hâter la Délivrance prochaine, et particulièrement lorsqu’ils surviennent au mois de Nissan, dont le nom contient le mot «Ness», miracle… est le Rav Péretz Friedman, de Kyriat-Gat, fondateur des camps de vacances «Oro Chel Machia’h, qui raconte cet extraordinaire prodige : «L’an dernier, en un moment bon et heureux, nous est né notre fils Chnéour-Zalman. Le jour qui suivit sa naissance, les médecins découvrirent que l’enfant souffrait d’un problème de communication entre l’œsophage et la trachée-artère, qui nécessitait une intervention immédiate, et celle-ci fut menée avec succès, D-ieu en soit loué. Après quelques mois, le même problème se représenta. La Providence voulut qu’une sommité en la matière, venue des EtatsUnis, fût sur place, et il oeuvra aux côtés du chef de service de chirurgie à l’Hôpital «Meir» de Kfar-Saba. L’intervention, là encore, fut réalisée avec succès. Quelques jours plus tard, l’enfant fut l’objet d’une fièvre qui refusait de descendre. Conduit d’urgence à Kfar-Saba, le nouveau-né fut examiné, et l’on découvrit une ouverture dans l’œsophage, à un endroit où une opération s’avérait difficile. A ce stade, le chirurgien nous recommanda un certain professeur à l’Hôpital «Hadassa-Ein Kerem» de Jérusalem, en précisant qu’il s’agissait d’une garantie réservée, tant le problème semblait compliqué. Ce professeur se montra effectivement sceptique sur les chances de succès d’une telle opération, faisant remarquer qu’il était possible que l’on doive rechercher une solution à l’étranger. Il conclut son entretien avec la phrase suivante : «Les portes de la prière ne sont jamais fermées…» Et c’est ce qui se passa. Les amies de ma femme se mobilisèrent sur le plan spirituel. Plusieurs d’entre elles prirent sur elles de lire les Téhilim chaque Chabbath pour la guérison de l’enfant. D’autres résolurent d’étudier chacune, et pendant quarante jours, un chapitre du Tanya en profondeur. Parallèlement, je m’organisai en vue d’une «Campagne de Matsoth», comme je le faisais depuis plusieurs années, en distribuant des boîtes de trois Matsoth à tous ceux que je pouvais contacter. Notre situation financière, qui n’était déjà pas brillante, s’aggrava encore du fait de cette campagne, mais j’avais bon espoir que nous trouverions la solution de notre problème. Entretemps, je demandai à mon épouse de se faire engager à la fabrique des Matsoth, convaincu que c’était par la distribution de ces Matsoth, connues comme aliment de la foi et de la santé, que nous hâterions la guérison de notre fils. Elle accepta, en me conseillant d’écrire au Rabbi, roi Machia’h. Je le fis en mentionnant que nous distribuions des Matsoth, et en demandant que le Rabbi veille à la santé de notre fils, ChnéourZalman ben Rivka-Odalia. Je précisai que le nom de l’enfant comportait deux fois la lettre «Noun», à l’exemple du mois de Nissan, et demandai en conséquence que des «miracles de miracles » (en hébreu «Nissei-Nissim») soient réalisés en sa faveur. La réponse qui m’apparut, par le canal des «Igueroth-Kodech», mettait en évidence la nécessité de servir dans la joie…Je décidai donc que je publierais le miracle dont nous serions gratifiés,

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par tous les moyens à ma disposition, et que je servirais effectivement avec joie et avec une confiance pleine et entière. Le 9 Nissan, à huit heures du matin, nous arrivâmes à l’Hôpital, où devait avoir lieu l’intervention. Le premier examen laissa le professeur abasourdi, car il n’avait décelé aucune ouverture, aucun trou. Il décida donc une seconde exploration, cette fois avec un prodduit colorant, qui devait révéler où se trouvait la fuite éventuelle. En effet, la vidéo précédente avait montré clairement un passage du produit entre les deux conduits. Mais cette fois encore, l’image ne trouva rien de semblable. Ce que voyant, le chirurgien commanda un examen encore plus approfondi, encore plus perfectionné, de toute la région concernée. L’injection du produit était filmée aux rayon x, et…miraculeusement, on ne voyait aucune fuite. Tout était normal, D-ieu en soit loué ! Que ce miracle personnel soit suivi de miracles en grand nombre, jusqu’au plus grand de tous, la Délivrance complète et définitive de l’exil, réalisée par le Rabbi, roi Machia’h, dans l’immédiat présent !


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Lumières du Chabbath

TAZRIA - METSORA

2 & 3 Iyar 5777 Entrée : 20h43 - Sortie : 21h56

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L’Hebdomadaire qui remet les pendules à l’heure ... de la Délivrance

Du 27/04 au 04/05/2017

Notre Chabbath a ceci de particulier qu’il conjugue deux caractères apparemment incompatibles. D’une part, la lecture de la Torah, traite de tous les aspects d’une plaie cutanée appelée «Tsaraath»…

Le début de son action Le monde est affiné

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ais ce Chabbath est aussi celui où, il y a 26 ans, le Rabbi annonça, au cours d’un Farbrenguen sortant de l’ordinaire, qu’il fallait s’attendre à la révélation imminente du roi Machia’h, au point que l’on pourrait, encore avant l’heure de Min’ha, prononcer la bénédiction de «Chéhé’héyanou» pour la naissance et le dévoilement du Machia’h. Au cours de cette réunion, la première de ce genre et dans une atmosphère extrêmement joyeuse, le Rabbi montra ouvertement sa préférence pour ceux qui osaient proclamer ce que lui-même ne pouvait pas faire, à savoir sa royauté messianique. Au point que toute la période de près d’un an qui suivit fut marquée et dominée par un seul et même sujet, la nécessité pour chacun de travailler à créer les conditions du règne du Machia’h. Chaque réunion, chaque discours, avaient pour thème l’étude en profondeur des textes se rapportant au Machia’h et à la Délivrance imminente.

Une situation paradoxale

Sachant cela, il nous est difficile de comprendre la relation entre le choix de ce Chabbath pour y proclamer l’imminence de la Délivrance, et le contenu de la Paracha, emplie de la description de plaies et autres affections, dont l’examen aboutissait parfois à l’isolement des malades et à des diagnostics d’impureté, toutes choses qui semblent à l’opposé de la Délivrance de l’exil et à une ère de bonheur pour toute l’humanité. Pour comprendre néanmoins cette relation, il semble nécessaire de se pencher sur une particularité de ces plaies, signalée aux versets 12 et 13 (du chapitre 13): «Si la Tsaraath s’est étendue à toute la peau, de la tête aux pieds …, le Cohen déclarera pure cette plaie». Particularité étonnante: si l’affection frappe une région du

corps, elle rend la personne impure, alors que dans le cas où elle s’étend à tout le corps, cette même personne est déclarée pure! On trouve à ce sujet deux explications : 1 – C’est un décret de la Torah, qui s’oppose certes à la logique humaine, mais D-ieu a décrété qu’un tel homme doit être déclaré pur. Cela en dit long sur les aspects apparemment logiques des commandements de la Torah, qui sont avant tout des décrets divins. 2 – Si la Tsaraath apparaît sur une région du corps, il s’agit d’une maladie, alors que si elle s’étend à tout l’organisme, elle témoigne qu’on a affaire à la nature de cet homme et non à une plaie. La Guémara cite cette raison en relation avec la Délivrance: les plaies sont à comprendre dans le sens de fautes, de transgressions. Et elle tranche: «Le fils de David ne viendra que lorsque la royauté sera totalement transformée en négation de D-ieu», une emprise complète de l’athéisme sur les esprits, comme l’atteste notre verset : « ...si tous les poils sont devenus blancs, il est pur» (alors que deux poils ayant viré au blanc sont un indice d’impureté)! Cette situation paradoxale est un décret de D-ieu, qui désire que la Délivrance arrive dans un contexte avec lequel elle n’a aucun rapport, révélant ainsi Sa force infinie.

Mais il est possible d’y voir aussi un aspect positif : si le mal s’étend sur le monde entier, c’est une preuve qu’on n’a pas affaire à un simple accroissement de ce mal, car dans ce cas, devraient subsister des domaines où le bien dominerait. La totale domination des idées négatives témoigne de ce qu’elles se sont exprimées à la surface des choses parce qu’elles n’ont plus aucune place dans la dimension profonde du monde, ayant été expulsées par l’application des Mitzvoth, depuis des millénaires, par les Enfants d’Israël. Cette situation fait partie de l’affinage final du monde (Daniel, 12, 10: «…et beaucoup seront décantés, purifiés, affinés»), lorsque le mal aura été séparé du bien et qu’il remontera à la surface. Les crises que traverse journellement le monde actuel, depuis les exactions de «Daêch» en Syrie et en Irak, les menaces de l’Iran et de la Corée du Nord, l’insécurité et le terrorisme, sont les indices de ce mal flottant. De même que les réactions énergiques de ce gouvernement nouveau des Etats-Unis, qui fait entendre un message propre à faire réfléchir les régimes menaçants, sont l’indice que quelque chose est en train de changer dans le monde. C’est, à n’en pas douter, le début de l’action du Machia’h sur les nations du monde. Mais celui-ci attend davantage de nous: que nous accroissions notre action en matière de Mitzvoth, et particulièrement en matière de diffusion des Sept Lois aux Enfants de Noa’h. C’est ainsi que nos commentateurs interprètent la prophétie disant: «Il jugera les nations avec équité», car, grâce à l’application de ces Sept Lois, «une nation ne fera plus la guerre à l’autre». Que cela se réalise immédiatement, et au sein d’une joie universelle!


TAZRIA

Voir le miracle en tout

D e l a To r a h d u M a c h i a ’ h

La Sidra traite dans son ensemble des plaies de Tsaraath, une affection qui apparaissait, à l’époque biblique, sur les murs des maisons, sur les vêtements, ou en finalité sur la peau des individus qui s’étaient adonnés au «Lachon Hara» (la médisance)… es plaies étaient totalement d’ordre divin, supérieures à la nature courante des maladies, comme l’expriment nos Sages: «C’était un signe, un prodige envoyé au peuple d’Israël pour le mettre en garde contre la médisance». L’affection était progressive, s’attaquant d’abord aux murs, puis, si l’occupant persistait dans sa funeste pratique au point que l’on dût abattre sa maison, elle frappait alors les objets de cuir et de peau, puis ses vêtements. Enfin, si tous ces avertissement étaient demeurés inopérants, elle apparaissait sur sa propre peau. Il était alors isolé, son défaut rendu public par cet isolement, jusqu’à ce qu’il décide d’abandonner cette voie.

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Il est toujours possible de se leurrer

La forme prise par l’affection conduisait l’homme à reconnaître qu’il n’avait pas affaire à des phénomènes naturels. Il devait convenir qu’il s’agissait de signes envoyés par la Providence, dans un but déterminé par la seule Volonté Divine, pour l’éloigner de la faute. Cependant, celui qui n’aurait pas voulu croire cela aurait toujours pu prétendre qu’il s’agissait d’une loi naturelle, et chercher une explication quelconque au phénomène. Car, en fait, celui-ci n’était pas un miracle totalement détaché des apparences naturelles, au point de laisser bouche-bée les observateurs de l’époque. Les manifestations des plaies prenaient l’apparence d’une affection pathologique, ce qui laissait la possibilité à chacun de s’enliser dans l’erreur et de prétendre à l’absence de facteurs surnaturels.

La foi juive

On peut voir ici la différence entre la conception juive de l’existence et celle qui a cours dans les autres cultures. Les Juifs n’avaient, en effet, aucun doute sur la provenance divine des plaies. Cela tient au fait que les enfants d’Israël sont surnommés «croyants et fils de croyants», ce qui ne s’applique pas seulement à des phénomènes comme ceuxlà, où le Juif voit aussitôt la «Main de D-ieu», mais également lorsqu’il s’agit d’évènement naturels courants. Il croit d’emblée que ceux-ci sont conduits d’en-Haut par la Providence, et c’est la base de la vision juive de l’existence. Tout autre est la conception qu’en ont les nations. Même l’individu qui reconnaît l’existence d’un Créateur, cherchera à tout ce qui arrive une explication naturelle, logique.

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Même s’il assiste à un miracle, et même s’il y croit, il essaiera autant que possible de donner à celui-ci un habillage naturel et intellectuellement acceptable.

Du bien dans tout

Le Juif, quant à lui, croit qu’à l’exemple des plaies de Tsaraath – dans lesquelles l’Intention divine était évidente – toute chose comporte une intention particulière de la part de D-ieu. Plus encore, il croit que même dans un élément mauvais en apparence se cache un bien de haut niveau. Car puisque tout vient de D-ieu, il n’est pas possible que du mal provienne de Celui qui est le Bien absolu. Ce principe était d’ailleurs présent dans les plaies de Tsaraath : le Midrach raconte que l’une des causes de l’envoi de cette plaie sur les murs des habitations résidait dans le fait que les Cananéens y avaient caché des trésors avant d’être anéantis par les enfants d’Israël. Nous voyons alors qu’au moyen d’un phénomène qui paraît négatif, et qui conduisait effectivement à détruire une maison, se révélait un bien extraordinaire, la découverte de trésors immenses. C’est la mise en pratique de cette foi innée qui fut à l’origine de la délivrance d’Egypte, comme le soulignent nos Sages. Et c’est par le mérite de cette foi, appliquée aujourd’hui aux faits qui nous concernent, que nous abordons la Délivrance complète et définitive, celle vers laquelle nous conduit notre légitime Machia’h. (Likoutei-Si’hoth Volume 1)


La Guéoula en Questions

Sur le Seuil de la Délivrance

ès le début du conflit consécutif à l’invasion du Koweit par les troupes irakiennes, et au sein de la panique engendrée par la crainte d’une généralisation de ce conflit, une voix différente s’était fait entendre, celle du Rabbi de Loubavich. Citant le Midrach «Yalkout Chimoni», qui avait prophétisé la révélation du Machia’h lorsqu’un conflit exactement identique à celui-là éclaterait, le Rabbi entreprit d’apaiser les esprits, en montrant aux habitants du Pays d’Israël qu’ils n’avaient rien à craindre, et il commença surtout à annoncer et à faire connaître l’imminence de la Délivrance…

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Qui nous a fait vivre, exister et atteindre ce moment (suite de la narration de Rav David Na’hchon) «J’allais m’asseoir sur un banc en titubant, Avi Taub me soutenant pour m’éviter de tomber. J’étais heureux d’être sorti vivant de ce moment d’émotion intense. Je me souvins alors de mon intention première, et je clamais «Chéhé’héyanou…Lizman Hazêh». J’entendis quelqu’un répéter cette Bera’kha (il s’agissait de Bérel Lipsker), et, après la fin de ce Farbrenguen, ceux qui la répétèrent étaient nombreux. Je me souviens d’une euphorie indescriptible… Quelqu’un me dit plus tard que son beau-père lui avait confié : «Ecoute, je ne suis pas ce qu’on peut appeler un «messianiste», mais j’ai vu le Rabbi au moment où Na’hchon faisait sa proclamation. Et j’ai vu à quel point le Rabbi était heureux, cela se lisait sur son visage!» Les différentes réunions (Farbrenguen) étaient toutes empreintes d’une joie particulière, ponctuées par de fréquents «Lé’haïm!» Lorsque nous allâmes prier Arvith, je me souviens que Reb ‘Haïkel ‘Hanin, que nous rencontrâmes sur la route, me sauta au cou et m’embrassa avec émotion. Lui qui était compté parmi les anciens

‘hassidim sentait que tout était sur le point d’éclore. Après Chabbath, il était d’usage que se réunisse le «comité de répétition», qui reconstituait de mémoire les Si’hoth prononcées par le Rabbi. Ce soir-là, nous eûmes de nombreux auditeurs, qui répétèrent le contenu de ce Farbrenguen en tous lieux. Même le RavYossef Weinberg, qui dispensait son cours hebdomadaire de Tanya à la radio, et qui y ajoutait brièvement les Si’hoth prononcées pendant le Farbrenguen, en profita pour annoncer: «Aujourd’hui, des sujets d’une très grande élévation ont été entendus… » Rav Shapira raconte les mêmes événements, tels qu’il les vécut de la place où il se tenait, et avec sa sensibilité: «Tout au long de ce Farbrenguen, ce Chabbath Tazria-Metsora, nous avons entendu des mots et des expressions extrêmement forts sur le thème du Machia’h, «qui est présent dans le monde, sur les lieux et à l’époque de l’exil…et qui attend impatiemment de pouvoir délivrer Israël». Le Rabbi avait également ajouté que ce même jour, avant même la Téfila de Min’ha, on pourrait prononcer la bénédiction «Chéhé’héyanou» au sujet de la naissance et de la révélation du roi Machia’h. A la fin du Farbrenguen, lorsque des personnes montèrent (sur l’estrade) pour recevoir les bouteilles de «Machkéh» et pour annoncer les futures réunions en tous lieux, le Rabbi s’exprima cette fois-là de manière inhabituelle, disant «que cette proclamation serait entendue dans tout le «système d’Ichtalchelouth» (les mondes spirituels)».Au cours de toutes les années où le Rabbi distribuait le «Machkêh», nous n’avions jamais entendu une telle expression…et il était clair pour tous à quelle proclamation le Rabbi faisait allusion. D’ailleurs, on peut constater ce caractère particulier, par le fait que pendant la proclamation (faite par David Na’hchon), le Rabbi ne poursuivit pas sa distribution de «Machkêh» aux autres demandeurs, comme il avait l’usage de le faire en pareille circonstance, mais il écouta attentivement tout au long cette proclamation et il y répondit par un large sourire». «Il faut savoir (reprend Rav David Na’hchon) qu’à partir de ce Chabbath, des lettres affluèrent, émanant de divers organismes ‘Habad, qui se plaignaient de ce que les actions dans ce domaine étaient susceptibles de porter préjudice à Loubavitch ( !)…et qui demandaient au Rabbi de «calmer» la situation en tempérant, sur la version corrigée de la Si’ha, les termes prononcés, afin de ne pas publier celle-ci dans la forme «extrême» qu’avait revêtue ce Farbrenguen ! En fait, la version corrigée fut encore plus «dure », et elle s’exprimait avec des mots sortant de l’ordinaire. Je me souviens aussi de ce qu’un ‘hassid âgé avait appelé, dès la sortie de ce Chabbath, son fils qui était en mission dans un pays lointain, pour lui raconter les événements de ce jour, et pour le préparer à l’idée qu’il devrait bientôt laisser le lieu où il servait, pour partir à Jérusalem. C’était là sa réaction spontanée à ce Farbrenguen extraordinaire. (à suivre) 3


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